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Accueil - Information professionnelle sur Disoprivan 10 mg/ml - Changements - 13.03.2020
16 Changements de l'information professionelle Disoprivan 10 mg/ml
  • -Neurotoxicité pédiatrique: Dans des études publiées d’expérimentation animale, il est démontré que l’administration pendant plus de trois heures d’anesthésiques et de sédatifs qui bloquent les récepteurs NMDA et/ou potentialisent l’activité de GABA entraîne une augmentation de l’apoptose neuronale dans le cerveau en développement et des déficits cognitifs à long terme. La signification clinique de cette observation n’est pas claire. Sur la base de comparaisons supra-spécifiques, on admet toutefois que la fenêtre temporelle vulnérable pour ces modifications présente une corrélation avec des expositions pendant le troisième trimestre et pendant les trois premiers mois de vie mais peut aussi s’étendre, chez l’être humain, jusqu’à la fin de la troisième année de vie environ (voir sous «Grossesse/Allaitement» et «Données précliniques»).
  • +Le médecin traitant doit être conscient de ces effets indésirables éventuels chez les patients présentant les facteurs de risque décrits ci-dessus et doit interrompre immédiatement l’utilisation du propofol en cas d’apparition de signes des symptômes décrits ci-dessus.
  • +Neurotoxicité pédiatrique: Dans des études publiées d’expérimentation animale, il est démontré que l’administration pendant plus de trois heures d’anesthésiques et de sédatifs qui bloquent les récepteurs NMDA et/ou potentialisent l’activité de GABA entraîne une augmentation de l’apoptose neuronale dans le cerveau en développement pendant la phase de croissance rapide du cerveau ou de synaptogenèse et des déficits cognitifs à long terme. La signification clinique de cette observation n’est pas claire. Sur la base de comparaisons supra-spécifiques, on admet toutefois que la fenêtre temporelle vulnérable pour ces modifications présente une corrélation avec des expositions pendant le troisième trimestre et pendant les trois premiers mois de vie mais peut aussi s’étendre, chez l’être humain, jusqu’à la fin de la troisième année de vie environ (voir sous «Grossesse/Allaitement» et «Données précliniques»).
  • -Il n’existe aucune donnée clinique sur l’application chez les femmes enceintes. Des expérimentations sur lanimal n’ont pas montré de toxicité pour la reproduction. Le risque potentiel pour l’être humain n’est pas connu.
  • +Il n’existe aucune donnée clinique sur l’application chez les femmes enceintes. Des études menées sur les animaux ont montré une toxicité pour la reproduction (voir «Données précliniques» et «Mises en garde et précautions»).
  • -On ne dispose d'aucune donnée relative à la sécurité du nourrisson en cas d’utilisation pendant la période d'allaitement.
  • +Des études menées auprès de femmes qui allaitent ont montré que le propofol passe en petites quantités dans le lait maternel. Les mères doivent donc cesser d’allaiter jusqu’à 24 heures après l’administration du propofol et jeter le lait maternel correspondant.
  • -Très rare: désinhibition sexuelle.
  • +Très rare: désinhibition sexuelle et priapisme.
  • -Deux minutes après une injection i.v. de 2,5 mg/kg (dose d’induction), la concentration sanguine est d'environ 4 mg/ml. Le patient se réveille à une concentration sanguine d'environ 1 mg/ml.
  • +Deux minutes après une injection i.v. de 2,5 mg/kg (dose d’induction), la concentration sanguine est d'environ 4 µg/ml. Le patient se réveille à une concentration sanguine d'environ 1 µg/ml.
  • -Des études publiées menées sur des fœtus de macaques rhésus ont montré que l’administration d’anesthésiques (isoflurane) et de médicaments entraînant une sédation (propofol, kétamine) qui bloquent les récepteurs NMDA et/ou potentialisent l’activité de GABA augmente l’apoptose de neurones et d’oligodendrocytes dans le cerveau en développement de la descendance. La signification clinique de ces résultats non cliniques n’est pas claire. Des études menées chez des animaux juvéniles laissent supposer qu’il existe une corrélation entre la neuro-apoptose et des déficits cognitifs à long terme.
  • +Mutagénicité
  • +Propofol n’était pas mutagène dans les études de génotoxicité.
  • -Propofol n’était pas mutagène dans les études de génotoxicité. Aucune étude de carcinogénicité n’a été réalisée . A hautes doses, on a constaté des effets toxiques sur l’embryon, mais pas d’effets tératogènes.
  • +Aucune étude de carcinogénicité n’a été réalisée .
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +A hautes doses, on a constaté des effets toxiques sur l’embryon, mais pas d’effets tératogènes.
  • +Des études publiées menées sur des fœtus de macaques rhésus ont montré que l’administration d’anesthésiques (isoflurane) et de médicaments entraînant une sédation (propofol, kétamine) qui bloquent lescepteurs NMDA et/ou potentialisent l’activité de GABA augmente l’apoptose de neurones et d’oligodendrocytes dans le cerveau en développement de la descendance. La signification clinique de ces résultats non cliniques n’est pas claire. Des études menées chez des animaux juvéniles laissent supposer qu’il existe une corrélation entre la neuro-apoptose et des déficits cognitifs à long terme.
  • -Septembre 2019
  • +Décembre 2019
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