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Accueil - Information professionnelle sur Ovestin - Changements - 22.07.2024
40 Changements de l'information professionelle Ovestin
  • -De préférence, introduire l’ovule profondément dans le vagin en position couchée et avant de se coucher.
  • +De préférence, introduire l’ovule profondément dans le vagin en position allongée et avant de se coucher.
  • -Si, lors de l’utilisation d’Ovestin, la dose journalière est répartie sur deux applications ou plus ou que l’on utilise plus d’un ovule ou plus d’un applicateur par jour, un traitement progestatif séquentiel sur 12 à 14 jours par mois doit être administré chez les femmes non hystérectomisées. De plus, lorsque ces femmes reçoivent un traitement au long cours, il faut déterminer une fois par an le taux de prolifération de l’endomètre à l’aide d’un test avec un progestatif (cf. «Mises en garde et précautions»). Pour ce qui est de l’utilisation du progestatif, se référer à l’information sur le produit correspondant.
  • +Si, lors de l’utilisation d’Ovestin, la dose journalière est répartie sur deux applications ou plus ou que l’on utilise plus d’un ovule ou plus d’un applicateur par jour, un traitement progestatif séquentiel sur 12 à 14 jours par mois doit être administré chez les femmes non hystérectomisées. Pour ce qui est de l’utilisation du progestatif, se référer à l’information sur le produit correspondant.
  • -Si la patiente oublie d’utiliser le médicament, elle doit utiliser celui-ci dès qu’elle s’en aperçoit, à moins qu’elle ne remarque l’oubli que le jour où la dose suivante doit être administrée. Dans ce cas, il faut renoncer à utiliser la dose de médicament oubliée, et la prochaine dose prescrite doit alors être administrée à l’heure habituelle. Deux administrations ne doivent pas avoir lieu le même jour.
  • +Si la patiente oublie d’utiliser le médicament, elle doit utiliser celui-ci dès qu’elle s’en aperçoit, à moins qu’elle ne remarque l’oubli que le jour où la dose suivante doit être administrée. Dans ce cas, il faut renoncer à utiliser la dose de médicament oubliée, et la prochaine dose prescrite doit alors être administrée à l’heure habituelle.
  • -grossesse, allaitement,
  • -Avant tout traitement hormonal substitutif, il faut pratiquer un examen clinique général et un examen gynécologique approfondi. Il faut répéter ces examens au moins une fois par an. Il faut effectuer les examens de contrôle, y compris les techniques d’imagerie appropriées telles que les mammographies, en utilisant les méthodes usuelles de dépistage et en tenant compte des caractéristiques cliniques individuelles de la patiente. Il faut également prendre en compte les antécédents personnels et familiaux. Il faut soigneusement évaluer le rapport bénéfice/risque avant chaque traitement et individuellement pour chaque patiente et en discuter avec elle. Il faut toujours utiliser la dose minimale efficace et pendant la durée la plus courte possible.
  • -Les risques observés sous traitement hormonal substitutif systémique sont décrits ci-dessous. On ne sait pas dans quelle mesure ces mises en garde et précautions peuvent s’appliquer à un produit faiblement dosé, à application topique, tel que Ovestin ovules / crème. Ils devraient toutefois être observés en particulier lors d’une application au long cours ou répétée d’Ovestin. Il faut s’attendre à une absorption systémique significative surtout en début de traitement (c.àd. en cas d’atrophie de l’épithélium vaginal) (cf. «Pharmacocinétique»).
  • +Avant tout traitement hormonal substitutif, il faut pratiquer un examen clinique général et un examen gynécologique approfondi. Il faut répéter ces examens au moins une fois par an. Il faut effectuer les examens de contrôle en utilisant les méthodes usuelles de dépistage et en tenant compte des caractéristiques cliniques individuelles de la patiente. Il faut également prendre en compte les antécédents personnels et familiaux. Il faut soigneusement évaluer le rapport bénéfice/risque avant chaque traitement et individuellement pour chaque patiente et en discuter avec elle. Il faut toujours utiliser la dose minimale efficace et pendant la durée la plus courte possible.
  • +Les risques observés sous traitement hormonal substitutif systémique sont décrits ci-dessous. On ne sait pas dans quelle mesure ces mises en garde et précautions peuvent s’appliquer à un produit à application topique, tel que Ovestin ovules / crème. Ils devraient toutefois être observés en particulier lors d’une application au long cours ou répétée d’Ovestin. Il faut s’attendre à une absorption systémique significative surtout en début de traitement (c.àd. en cas d’atrophie de l’épithélium vaginal) (cf. «Pharmacocinétique»).
  • -détérioration de la fonction hépatique ou apparition d’une hépatite ou d’un
  • -ictère;
  • +détérioration de la fonction hépatique ou apparition d’une hépatite ou d’un ictère;
  • -facteurs de risque de tumeurs œstrogéno-dépendantes, p. ex.
  • -cancer du sein chez des parents du 1er degré,
  • +facteurs de risque de tumeurs œstrogéno-dépendantes, p. ex. cancer du sein chez des parents du 1er degré,
  • -Pour éviter une stimulation de l’endomètre, il ne faut ni dépasser une dose journalière de 0,5 mg d’estriol ni l’utiliser pendant plusieurs semaines. Une étude épidémiologique a montré que le traitement par l’estradiol à faible dose augmentait le risque de cancer de l’endomètre. En cas de prise orale, le risque était environ doublé (et significativement accru sur le plan statistique par rapport aux patientes naïves de traitement), alors qu’en application vaginale, l’augmentation du risque n’était que faible et non significative. Le risque augmentait avec la durée du traitement et diminuait dans l’année suivant l’arrêt du traitement. Cette augmentation du risque valait surtout pour les tumeurs peu invasives et très différenciées.
  • +Pour éviter une stimulation excessive de l’endomètre, il ne faut ni dépasser une dose journalière de 0,5 mg d’estriol ni l’utiliser pendant plusieurs semaines. Une étude épidémiologique a montré que le traitement par l’estradiol à faible dose augmentait le risque de cancer de l’endomètre. En cas de prise orale, le risque était environ doublé (et significativement accru sur le plan statistique par rapport aux patientes naïves de traitement), alors qu’en application vaginale, l’augmentation du risque n’était que faible et non significative. Le risque augmentait avec la durée du traitement et diminuait dans l’année suivant l’arrêt du traitement. Cette augmentation du risque valait surtout pour les tumeurs peu invasives et très différenciées.
  • -Dans de rares cas, des modifications bénignes et, plus rarement encore, des modifications malignes du foie ont été observées lors de l’utilisation d’hormones sexuelles, qui ont parfois entraîné des hémorragies intra-abdominales potentiellement fatales. En cas de fortes douleurs épigastriques, d’hépatomégalie ou de signes d’hémorragies intra-abdominales, il faut inclure la possibilité d’une tumeur hépatique lors des réflexions concernant le diagnostic différentiel.
  • +Dans de rares cas, des modifications bénignes et, plus rarement encore, des modifications malignes du foie ont été observées lors de l’utilisation d’hormones sexuelles, qui ont parfois entraîné des hémorragies intra-abdominales potentiellement fatales. En cas de fortes douleurs épigastriques, d’hépatomégalie ou de signes d’hémorragies intra-abdominales, il faut inclure la possibilité d’une tumeur hépatique lors des réflexions concernant le diagnostic différentiel.
  • -L’étude WHI a été menée chez plus de 8000 femmes post-ménopausées (âge compris entre 50 et 79 ans à la fin de l’étude, âge moyen de 63 ans) qui ont reçu un traitement hormonal substitutif (THS) oral par des œstrogènes conjugués et de l’acétate de médroxyprogestérone pendant une durée moyenne de 5,2 ans. Cette étude a montré une augmentation du risque d’événements cardiovasculaires (RR 1,24 [IC à 95%: 1,00-1,54], augmentation absolue du risque: 6 cas pour 10 000 années-femmes) comparativement au placebo. Le risque était maximal pendant la première année suivant le début du THS (RR 1,81 [IC à 95%: 1,09-3,01]). Plus la ménopause était ancienne, plus le risque augmentait (ménopause datant de moins de 10 ans: RR 0,89; ménopause datant de 10 à 19 ans: RR 1,22; ménopause datant de 20 ans ou plus: RR 1,71). Dans l’étude WHI, le risque vasculaire cérébral était également augmenté sous traitement œstro-progestatif combiné (RR 1,31 [IC à 95%: 1,02-1,68]).
  • -Dans le bras sous œstrogènes en monothérapie de l’étude WHI, des femmes hystérectomisées âgées de 50 à 79 ans ont été traitées par des œstrogènes conjugués équins (0,625 mg par jour) ou par un placebo (n=10 739). La durée moyenne d’observation a été de 6,8 ans. Les œstrogènes en monothérapie n’ont pas eu d’effet significatif sur le risque cardiovasculaire (RR 0,91 [IC à 95%: 0,75-1,12]). En revanche, le risque d’accident vasculaire cérébral était augmenté (RR 1,39 [IC à 95%: 1,10-1,77]).
  • +L’étude WHI a été menée chez plus de 8000 femmes post-ménopausées (âge 50-79 ans au moment de l’inclusion dans l’étude, âge moyen de 63 ans) qui ont reçu un traitement hormonal substitutif (THS) oral par des œstrogènes conjugués et de l’acétate de médroxyprogestérone pendant une durée moyenne de 5,2 ans. Cette étude a montré une augmentation du risque d’événements cardiovasculaires (RR 1,24 [IC à 95%: 1,00-1,54], augmentation absolue du risque: 6 cas pour 10 000 années-femmes) comparativement au placebo. Le risque était maximal pendant la première année suivant le début du THS (RR 1,81 [IC à 95%: 1,09-3,01]). Plus la ménopause était ancienne, plus le risque augmentait (ménopause datant de moins de 10 ans: RR 0,89; ménopause datant de 10 à 19 ans: RR 1,22; ménopause datant de 20 ans ou plus: RR 1,71). Dans l’étude WHI, le risque vasculaire cérébral était également augmenté sous traitement œstro-progestatif combiné (RR 1,31 [IC à 95%: 1,02-1,68]).
  • +Dans le bras sous œstrogènes en monothérapie de l’étude WHI, des femmes hystérectomisées âgées de 50-79 ans ont été traitées par des œstrogènes conjugués équins (0,625 mg par jour) ou par un placebo (n=10 739). La durée moyenne d’observation a été de 6,8 ans. Les œstrogènes en monothérapie n’ont pas eu d’effet significatif sur le risque cardiovasculaire (RR 0,91 [IC à 95%: 0,75-1,12]). En revanche, le risque d’accident vasculaire cérébral était augmenté (RR 1,39 [IC à 95%: 1,10-1,77]).
  • -Il faut étroitement surveiller les patientes qui présentent des facteurs de risque d’événements thromboemboliques. Si possible, il faut envisager d’autres traitements. Les facteurs de risque de thromboembolie veineuse sont les suivants: les antécédents personnels ou familiaux de maladies thromboemboliques (thromboses chez les parents ou les frères et sœurs, en particulier pendant la jeunesse), des thrombophilies connues (cf. «Contre-indications»), le tabagisme, l’obésité sévère (index de masse corporelle > 30 kg/m2), le lupus érythémateux systémique et les maladies malignes. Le risque de thromboembolies veineuses augmente aussi avec l’âge. Il n’y a pas de consensus à propos du rôle possible des varices dans le développement des thromboembolies veineuses.
  • +Il faut étroitement surveiller les patientes qui présentent des facteurs de risque d’événements thromboemboliques. Si possible, il faut envisager d’autres traitements. Les facteurs de risque de thromboembolie veineuse sont les suivants: les antécédents personnels ou familiaux de maladies thromboemboliques (thromboses chez les parents ou les frères et sœurs, en particulier pendant la jeunesse), des thrombophilies connues (cf. «Contre-indications»), le tabagisme, l’obésité (indice de masse corporelle > 30 kg/m2), le lupus érythémateux systémique et les maladies malignes. Le risque de thromboembolies veineuses augmente aussi avec l’âge. Il n’y a pas de consensus à propos du rôle possible des varices dans le développement des thromboembolies veineuses.
  • -Une étude sur les interactions de l’antiépileptique, la lamotrigine, et d’un contraceptif combiné oral (30 µg d’éthinylestradiol et 150 µg de lévonorgestrel) a mis en évidence une augmentation cliniquement significative de la clairance de lamotrigine, entraînant une réduction significative correspondante des taux plasmatiques de lamotrigine en cas d’administration concomitante de ces médicaments. Une telle réduction des concentrations plasmatiques peut réduire le contrôle des crises épileptiques.
  • -On ne dispose pas d’études sur le potentiel d’interactions éventuel entre les produits à base d’œstrogènes seuls et la lamotrigine. On s’attend cependant à ce que le potentiel d’interaction de ces produits soit comparable. Si un traitement par Ovestin est initié chez une patiente sous lamotrigine, les concentrations de lamotrigine doivent être surveillées étroitement au début du traitement, un ajustement de la dose de lamotrigine étant susceptible d’être nécessaire.
  • -Après l’arrêt de l’œstrogénothérapie, il peut se produire une nette élévation du taux de lamotrigine (allant, selon les circonstances, jusque dans le domaine toxique).
  • +À l’inverse, les hormones sexuelles peuvent aussi faire diminuer les concentrations plasmatiques d’autres principes actifs. Ainsi, lors de l’administration concomitante de lamotrigine et de contraceptifs hormonaux combinés à la suite de l’induction d’une glucuronidation, on a observé une augmentation cliniquement significative de la clairance de lamotrigine, entraînant une réduction significative correspondante des taux plasmatiques de lamotrigine. Une telle réduction des concentrations plasmatiques peut réduire le contrôle des crises épileptiques.
  • +On s’attend à ce que le potentiel d’interaction de ces produits de THS soit comparable. Si un traitement par Ovestin est initié chez une patiente sous lamotrigine, les concentrations de lamotrigine doivent être surveillées étroitement au début du traitement, un ajustement de la dose de lamotrigine étant susceptible d’être nécessaire.
  • +Après l’arrêt de l’œstrogénothérapie, il peut se produire une nette élévation du taux de lamotrigine (allant, selon les circonstances, jusque dans le domaine toxique). Il convient donc de surveiller aussi les patientes lors de cette phase et de diminuer la dose de lamotrigine si nécessaire.
  • -L’usage d’Ovestin est contre-indiqué pendant la grossesse. Si une grossesse débute pendant le traitement par Ovestin, il faut immédiatement arrêter le traitement et consulter le médecin. La plupart des études épidémiologiques menées à ce jour n’ont toutefois mis en évidence aucun signe clair en faveur d’un effet embryotoxique ou tératogène lors de l’administration accidentelle d’œstrogènes pendant la grossesse.
  • +L’usage d’Ovestin n’est pas indiqué pendant la grossesse. Si une grossesse débute pendant le traitement par Ovestin, il faut immédiatement arrêter le traitement et consulter le médecin. La plupart des études épidémiologiques menées à ce jour n’ont toutefois mis en évidence aucun signe clair en faveur d’un effet embryotoxique ou tératogène lors de l’administration accidentelle d’œstrogènes pendant la grossesse.
  • -L’usage d’Ovestin est contre-indiqué pendant l’allaitement. L’estriol passe dans le lait maternel et peut diminuer la production de lait.
  • +L’usage d’Ovestin n’est pas indiqué pendant l’allaitement. L’estriol passe dans le lait maternel et peut diminuer la production de lait.
  • -Les effets indésirables suivants ont été observés sous traitement TSH combiné. Faute de données, on ignore si la monothérapie œstrogénique topique par Ovestin ovules ou crème présente un profil d’innocuité différent.
  • +Les effets indésirables suivants ont été observés sous traitement THS combiné. Faute de données, on ignore si la monothérapie œstrogénique topique par Ovestin ovules ou crème présente un profil d’innocuité différent.
  • -En cas de surdosage aigu, les femmes peuvent présenter des nausées, des vomissements et des hémorragies de privation. En cas de surdosage chronique, il faut s’attendre à l’apparition accrue des symptômes mentionnés à la rubrique «Effets indésirables».
  • +En cas de surdosage aigu, des nausées, des vomissements et des hémorragies de privation peuvent survenir. En cas de surdosage chronique, il faut s’attendre à l’apparition accrue des symptômes mentionnés à la rubrique «Effets indésirables».
  • -Ovestin compense la diminution de la production d’œstrogènes chez les femmes ménopausées et soulage les symptômes de ménopause. L’estriol est particulièrement efficace en application vaginale pour le traitement des symptômes urogénitaux. En cas d’atrophie du tractus génital inférieur, l’estriol favorise la normalisation de l’épithélium urogénital et restaure la flore microbiologique et normalise le pH dans le vagin. Il stimule la résistance des cellules épithéliales aux infections et inflammations. Il réduit les symptômes vaginaux tels que dyspareunie, sécheresse, prurit, infections vaginales et urinaires, troubles mictionnels et légère incontinence.
  • +Ovestin compense la diminution de la production d’œstrogènes chez les femmes ménopausées et soulage les symptômes de ménopause. L’estriol est particulièrement efficace en application vaginale pour le traitement des symptômes urogénitaux. En cas d’atrophie du tractus génital inférieur, l’estriol favorise la normalisation de l’épithélium urogénital, restaure la flore microbiologique et normalise le pH dans le vagin. Il stimule la résistance des cellules épithéliales aux infections et inflammations. Il réduit les symptômes vaginaux tels que dyspareunie, sécheresse, prurit, infections vaginales et urinaires, troubles mictionnels et légère incontinence.
  • -L’estriol est également résorbé par la voie systémique après administration vaginale, ce qui se traduit par une augmentation considérable des taux plasmatiques de l’estriol non conjugué. Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes environ 1-2 heures après administration. Après administration vaginale de 0,5 mg d’estriol, la Cmax s’élève à env. 100 pg/ml, la Cmin à env. 25 pg/ml et la Caverage à env. 70 pg/ml. Au bout de 3 semaines d’utilisation vaginale journalière de 0,5 mg d’estriol, la Caverage se réduit à 40 pg/ml.
  • +L’estriol est également résorbé par la voie systémique après administration vaginale, ce qui se traduit par une augmentation considérable des taux plasmatiques de l’estriol non conjugué. Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes environ 1-2 heures après administration. Après administration vaginale de 0,5 mg d’estriol, la Cmax s’élevait à env. 100 pg/ml, la Cmin à env. 25 pg/ml et la Caverage à env. 70 pg/ml. Au bout de 3 semaines d’utilisation vaginale journalière de 0,5 mg d’estriol, la Caverage se réduisait à 40 pg/ml.
  • -L’estriol est rapidement absorbé du plasma par le foie, où il est principalement conjugué en glucuronides et en sulfates par un métabolisme de phase II. Les conjugués subissent un cycle entérohépatique.
  • +L’estriol est rapidement absorbé du plasma par le foie, où il est principalement conjugué en glucuronides et en sulfates par un métabolisme de phase II. Les conjugués subissent un cycle entérohépatique.
  • -L’estriol lui-même est un produit métabolique terminal. La majeure partie de l’estriol est excrétée dans les urines, essentiellement sous forme d’estriol conjugué. Seule une faible fraction (± 2 %) est excrétée dans les selles, essentiellement sous forme d’estriol non conjugué.
  • +L’estriol lui-même est un produit métabolique terminal. La majeure partie de l’estriol est excrétée dans les urines, essentiellement sous forme d’estriol conjugué. Seule une faible fraction (± 2%) est excrétée dans les selles, essentiellement sous forme d’estriol non conjugué.
  • -Juin 2021
  • +Février 2024
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