78 Changements de l'information professionelle Concor 5 |
-Excipients: Excipiens pro compresso obducto.
- +Excipients:
- +Noyau des comprimés: Calcii hydrogenophosphas, Maydis amylum, Silica colloidalis anhydrica, Cellulosum microcristallinum, Crospovidonum, Magnesii stearas.
- +Pellicule des comprimés: Hypromellosum, Macrogola, Dimeticonum.
- +Comprimés pelliculés de 2.5 mg: colorant: Titanii dioxidum (E171).
- +Comprimés pelliculés de 5 mg: colorant: Titanii dioxidum (E171), Ferri oxidum flavum (E172).
- +Comprimés pelliculés de 10 mg: colorant: Titanii dioxidum (E171), Ferri oxidum flavum (E172), Ferri oxidum rubrum (E172).
-Comprimé laqué, sécable (avec rainure), en forme de cœur à 2.5 mg, 5 mg et 10 mg.
- +Comprimé pelliculé, sécable (avec rainure), en forme de cœur à 2.5 mg, 5 mg et 10 mg.
-·Hypertension essentielle.
-·Angine de poitrine en cas de cardiopathie coronaire.
-·Syndrome cardiaque hypercinétique.
-·Insuffisance cardiaque chronique stable.
- +·Hypertension essentielle
- +·Angine de poitrine en cas de coronaropathie
- +·Syndrome cardiaque hypercinétique
- +·Insuffisance cardiaque chronique stable
-Concor devrait être pris une fois par jour, le matin avant ou avec le petit-déjeuner. Les comprimés sont pris sans croquer avec un peu de liquide.
-Le traitement par Concor est généralement de longue durée et ne doit pas être arrêté de façon abrupte, car cela peut conduire à une aggravation temporaire de l'état du patient (notamment chez des patients avec une maladie cardiaque coronarienne). La dose doit être réduite progressivement.
-Instructions spéciales de dosage
-Thérapie de l'hypertension essentielle, de l'angine de poitrine en cas de cardiopathie coronaire et du syndrome cardiaque hypercinétique
-En règle générale, le traitement commence par une dose de 5 mg par jour. Dans beaucoup de cas, cette dose est également suffisante pour un traitement à long terme et peut être augmentée, si nécessaire, à 10 mg une fois par jour.
-Thérapie de l'insuffisance cardiaque chronique stable
-Le médecin traitant doit avoir de l'expérience dans le traitement de l'insuffisance cardiaque chronique et le patient doit être stable au début du traitement par Concor (sans insuffisance cardiaque aiguë).
-Le traitement doit être instauré progressivement selon le schéma posologique suivant. En cas de bonne tolérance, augmenter à la posologie immédiatement supérieure:
-·1re semaine: 1.25 mg (½ cpr. à 2.5 mg) une fois par jour.
-·2e semaine: 2.5 mg (1 cpr. à 2.5 mg) une fois par jour.
-·3e semaine: 3.75 mg (1½ cpr. à 2.5 mg) une fois par jour.
-·4e-7e semaine: 5 mg (1 cpr. à 5 mg) une fois par jour.
-·8e–11e semaine: 7.5 mg (1½ cpr. à 5 mg) une fois par jour.
-·Dès la 12e semaine: 10 mg (1 cpr. à 10 mg) une fois par jour comme traitement d'entretien.
-La dose maximale recommandée est de 10 mg une fois par jour.
-Pendant la phase de titration, une surveillance étroite du patient est recommandée (fréquence cardiaque, tension artérielle) et il faut prêter attention à des signes d'aggravation de l'insuffisance cardiaque.
-Si une augmentation de la dose n'est pas bien tolérée, ou si la dose maximale recommandée est mal tolérée, il faut envisager de réduire progressivement la dose et de poursuivre le traitement avec une posologie inférieure. En cas d'aggravation temporaire de l'insuffisance cardiaque, si une hypotension ou une bradycardie surviennent, il est recommandé de réexaminer la posologie de la médication concomitante. Le cas échéant, on peut réduire temporairement la posologie du bisoprolol ou arrêter le traitement. Après stabilisation du patient, il faut envisager une reprise du traitement resp. une augmentation de la dose de bisoprolol.
- +Concor doit être pris une fois par jour, le matin avant ou avec le petit-déjeuner. Les comprimés pelliculés sont pris sans les croquer avec un peu de liquide.
- +Le traitement par Concor est généralement de longue durée et ne doit pas être arrêté de façon abrupte, car cela peut conduire à une aggravation temporaire de l'état du patient (notamment chez des patients avec une maladie coronaropathie). La dose doit être réduite progressivement.
- +Instructions spéciales de posologie
- +·Thérapie de l'hypertension essentielle, de l'angine de poitrine en cas de coronaropathie du syndrome cardiaque hyperkinétique:En règle générale, le traitement commence par une dose de 5 mg par jour. Dans beaucoup de cas, cette dose est également suffisante pour un traitement à long terme et peut être augmentée, si nécessaire, à 10 mg une fois par jour.
- +·Thérapie de l'insuffisance cardiaque chronique stable:Le médecin traitant doit avoir de l'expérience dans le traitement de l'insuffisance cardiaque chronique et le patient doit être stable au début du traitement par Concor (sans insuffisance cardiaque aiguë).Le traitement doit être instauré progressivement selon le schéma posologique suivant. En cas de bonne tolérance, augmenter à la posologie immédiatement supérieure:1re semaine: 1.25 mg (½ cpr. à 2.5 mg) une fois par jour.2e semaine: 2.5 mg (1 cpr. à 2.5 mg) une fois par jour.3e semaine: 3.75 mg (1½ cpr. à 2.5 mg) une fois par jour.4e–7e semaine: 5 mg (1 cpr. à 5 mg) une fois par jour.8e–11e semaine: 7.5 mg (1½ cpr. à 5 mg) une fois par jour.Dès la 12e semaine: 10 mg (1 cpr. à 10 mg) une fois par jour comme traitement d'entretien.La dose maximale recommandée est de 10 mg une fois par jour.Pendant la phase de titration, une surveillance étroite du patient est recommandée (fréquence cardiaque, tension artérielle) et il faut prêter attention à des signes d'aggravation de l'insuffisance cardiaque.Si une augmentation de la dose n'est pas bien tolérée, ou si la dose maximale recommandée est mal tolérée, il faut envisager de réduire progressivement la dose et de poursuivre le traitement avec une posologie inférieure. En cas d'aggravation temporaire de l'insuffisance cardiaque, si une hypotension ou une bradycardie surviennent, il est recommandé de réexaminer la posologie de la médication concomitante. Le cas échéant, on peut réduire temporairement la posologie du bisoprolol ou arrêter le traitement. Après stabilisation du patient, il faut envisager une reprise du traitement resp. une augmentation de la dose de bisoprolol.
-Insuffisance rénale ou hépatique
-Traitement d'une hypertension essentielle ou d'une angine de poitrine
-Pour patients souffrant d'une insuffisance rénale ou hépatique légère ou modérée, il n’est pas nécessaire d’adapter la posologie.
-Chez les patients souffrant d’insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine <20 ml/min) ou d’insuffisance hépatique grave, une dose journalière de 10 mg ne doit pas être dépassée. Les expériences avec le bisoprolol chez les patients dialysés sont limitées. Néanmoins, il n’est pas nécessaire d’ajuster la posologie.
-Traitement de l’insuffisance cardiaque chronique stable
-Aucune donnée pharmacocinétique n’est disponible pour les patients avec insuffisance rénale ou hépatique. Une prudence particulière s’impose donc lors de l’augmentation de la posologie.
-Patients âgés
-Il n'est pas nécessaire d'ajuster la posologie.
-Enfants et adolescents
-Il n'existe pas d'expériences pédiatriques avec Concor. C'est pourquoi Concor n'est pas recommandé chez les patients de moins de 18 ans.
- +·Insuffisance rénale ou hépatique:
- +·Traitement d'une hypertension essentielle ou d'une angine de poitrine:Pour les patients souffrant d'une insuffisance rénale ou hépatique légère ou modérée, il n’est pas nécessaire d’adapter la posologie.Chez les patients souffrant d’insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine <20 ml/min) ou d’insuffisance hépatique grave, une dose journalière de 10 mg ne doit pas être dépassée. Les expériences avec le bisoprolol chez les patients dialysés sont limitées. Néanmoins, il n’est pas nécessaire d’ajuster la posologie.
- +·Traitement de l’insuffisance cardiaque chronique stable:Aucune donnée pharmacocinétique n’est disponible pour les patients avec insuffisance rénale ou hépatique. Une prudence particulière s’impose donc lors de l’augmentation de la posologie.
- +·Patients âgés:Il n'est pas nécessaire d'ajuster la posologie.
- +·Enfants et adolescents:Il n'existe pas d'expériences pédiatriques avec Concor. C'est pourquoi Concor n'est pas recommandé chez les patients de moins de 18 ans.
-·Insuffisance cardiaque aiguë ainsi qu'épisodes d'insuffisance cardiaque décompensée, qui nécessitent une thérapie inotrope parentérale;
-·Blocs auriculo-ventriculaires des 2e ou 3e degrés (non appareillés);
-·Maladie du sinus;
-·Bloc sino-auriculaire;
-·Choc cardiogénique;
-·Bradycardie symptomatique avec moins de 60 battements par minute avant le début du traitement;
-·Hypotension symptomatique (pression systolique <100 mm Hg);
-·Formes sévères d'artériopathie oblitérante périphérique ou de syndrome de Raynaud;
-·Asthme bronchique grave;
-·Phéochromocytome non traité;
-·Acidose métabolique;
-·Hypersensibilité au bisoprolol ou à l'un des excipients conformément à la composition.
- +·Insuffisance cardiaque aiguë ainsi qu'épisodes d'insuffisance cardiaque décompensée, qui nécessitent une thérapie inotrope parentérale
- +·Blocs auriculo-ventriculaires des 2e ou 3e degrés (non appareillés)
- +·Maladie du sinus
- +·Bloc sino-auriculaire
- +·Choc cardiogénique
- +·Bradycardie symptomatique avec moins de 60 battements par minute avant le début du traitement
- +·Hypotension symptomatique (pression systolique <100 mm Hg)
- +·Formes sévères d'artériopathie oblitérante périphérique ou de syndrome de Raynaud
- +·Asthme bronchique grave
- +·Phéochromocytome non traité
- +·Acidose métabolique
- +·Hypersensibilité au bisoprolol ou à l'un des excipients conformément à la composition
-·Sauf en cas de nécessité absolue, le traitement par Concor ne doit pas être interrompu brusquement chez les patients atteints d'une cardiopathie coronaire, afin d'éviter une aggravation transitoire de l'état du patient.
-·Le traitement de l'insuffisance cardiaque chronique stable doit être instauré progressivement (voir «Instructions spéciales de dosage»).
- +·Sauf en cas de nécessité absolue, le traitement par Concor ne doit pas être interrompu brusquement chez les patients atteints d'une coronaropathie, afin d'éviter une aggravation transitoire de l'état du patient.
- +·Le traitement de l'insuffisance cardiaque chronique stable doit être instauré progressivement (voir Instructions spéciales de dosage).
-·Chez les patients présentant un psoriasis ou des antécédents de psoriasis: les β-bloquants (p.ex. bisoprolol) ne devraient être utilisés qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque;
- +·Chez les patients présentant un psoriasis ou des antécédents de psoriasis: les β-bloquants (p.ex. bisoprolol) ne doivent être utilisés qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque;
-·Bronchopathie chronique obstructive (BPCO): en raison de sa sélectivité β1 relative, Concor peut être utilisé avec précaution chez les patients souffrant de BPCO si ceci est nécessaire du point de vue clinique. Dans ce cas, le traitement doit être instauré avec la bisoprolol dose la plus faible possible. Un traitement bronchodilatateur doit être co-administré;
-·Asthme bronchique: un traitement bronchodilatateur doit être co-administré. Une augmentation de la résistance des voies respiratoires peut occasionnellement survenir chez les patients asthmatiques, rendant nécessaire une augmentation de la dose du sympathomimétique β2. Concor est contre-indiqué en cas d'asthme bronchique grave (voir «Contre-indications»);
- +·Bronchopathie chronique obstructive (BPCO): en raison de sa sélectivité β1 relative, Concor peut être utilisé avec précaution chez les patients souffrant de BPCO si ceci est nécessaire du point de vue clinique. Dans ce cas, le traitement doit être instauré avec la dose de bisoprolol la plus faible possible. Un traitement bronchodilatateur doit être co-administré;
- +·Asthme bronchique: un traitement bronchodilatateur doit être co-administré. Une augmentation de la résistance des voies respiratoires peut occasionnellement survenir chez les patients asthmatiques, rendant nécessaire une augmentation de la dose du sympathomimétique β2. Concor est contre-indiqué en cas d'asthme bronchique grave (voir Contre-indications);
-Le début du traitement de l'insuffisance cardiaque chronique stable par Concor nécessite une surveillance régulière (voir «Instructions spéciales de dosage»).
-En l'absence d'expériences thérapeutiques, Concor doit être administré avec prudence chez les patients insuffisants cardiaques qui présentent simultanément l'un des tableaux cliniques suivants
- +Le début du traitement de l'insuffisance cardiaque chronique stable par Concor nécessite une surveillance régulière (voir Instructions spéciales de dosage).
- +En raison de l'absence d'expériences thérapeutiques, Concor doit être administré avec prudence chez les patients insuffisants cardiaques qui présentent simultanément l'un des tableaux cliniques suivants
-Le traitement par le bisoprolol ne doit pas être interrompu brutalement, car l'insuffisance cardiaque risque de s'aggraver transitoirement ou l'état du patient peut s'aggraver brusquement notamment chez les sujets présentant une cardiopathie coronaire. Si le traitement doit être arrêté, il faut réduire la dose progressivement (p.ex. réduire la dose de moitié à intervalle d'une semaine).
- +Le traitement par le bisoprolol ne doit pas être interrompu brutalement, car l'insuffisance cardiaque risque de s'aggraver transitoirement ou l'état du patient peut s'aggraver brusquement notamment chez les sujets présentant une coronaropathie. Si le traitement doit être arrêté, il faut réduire la dose progressivement (p.ex. réduire la dose de moitié à intervalle d'une semaine).
-·Antagonistes du calcium de type vérapamil et dans une moindre mesure de type diltiazem: effet négatif sur la contractilité et l'excitabilité AV. L'administration intraveineuse de vérapamil peut entraîner une hypotension marquée et un bloc auriculo-ventriculaire.
-·Les antihypertenseurs à action centrale (p.ex. réserpine, α-méthyldopa, clonidine, moxonidine): l'effet antihypertenseur est accentué par la baisse de la fréquence cardiaque, de la capacité cardiaque ainsi que par une vasodilatation. Un arrêt brusque d'un antihypertenseur à action centrale, en particulier avant la fin de la thérapie par bêtabloquant, peut augmenter le risque de survenue d'une hypertension de rebond («Rebound»).
- +·Antagonistes du calcium de type vérapamil et, dans une moindre mesure, de type diltiazem: effet négatif sur la contractilité et l'excitabilité AV. L'administration intraveineuse de vérapamil peut entraîner une hypotension marquée et un bloc auriculo-ventriculaire.
- +·Les antihypertenseurs à action centrale (p.ex. réserpine, α-méthyldopa, clonidine, moxonidine): l'effet antihypertenseur est accentué par la baisse de la fréquence cardiaque, de la capacité cardiaque ainsi que par une vasodilatation. Un arrêt brusque d'un antihypertenseur à action centrale, en particulier avant la fin de la thérapie par bêtabloquant, peut augmenter le risque de survenue d'une hypertension de rebond («rebound»).
-·Sympathomimétiques, activant les α- et β-récepteurs (p.ex. adrénaline, noradrénaline): augmentation possible de la pression artérielle et aggravation d'une claudication intermittente. Ces interactions surviennent surtout avec des β-bloquants non-sélectifs.
- +·Sympathomimétiques activant les α- et β-récepteurs (p.ex. adrénaline, noradrénaline): augmentation possible de la pression artérielle et aggravation d'une claudication intermittente. Ces interactions surviennent surtout avec des β-bloquants non-sélectifs.
-·Inhibiteurs de la monoamine-oxydase (à l'exception des inhibiteurs MAO-B): il faut considérer le renforcement de l'effet hypotenseur des β-bloquants mais également le risque de crise hypertensive;
- +·Inhibiteurs de la monoamine-oxydase (à l'exception des inhibiteurs de la MAO-B): il faut considérer le renforcement de l'effet hypotenseur des β-bloquants mais également le risque de crise hypertensive;
-Les effets pharmacologiques du bisoprolol peuvent avoir une influence négative sur la grossesse et/ou le fœtus/le nouveau-né. Les β-bloquants réduisent l'irrigation placentaire, ce qui est associé à un ralentissement du développement fœtal, une mort intrautérine, une fausse couche ou une naissance prématurée. Des effets secondaires (p.ex. hypoglycémie et bradycardie) peuvent survenir chez le fœtus/nouveau-né. Si un traitement par des β-bloquants est nécessaire, il faut administrer des β1-bloquants sélectifs.
-Concor ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf si le traitement est absolument nécessaire. Si l'application est indispensable, une surveillance stricte de l'irrigation utéro-placentaire et de la croissance fœtale est nécessaire. Lors de l'apparition d'effets négatifs sur la grossesse ou le fœtus, il faut envisager d'autres thérapies. Le nouveau-né doit être surveillé attentivement pendant les premiers 3 jours sur l'apparition d'hypoglycémie ou de bradycardie.
- +Les effets pharmacologiques du bisoprolol peuvent avoir une influence négative sur la grossesse et/ou le fœtus/le nouveau-né. Les β-bloquants réduisent l'irrigation placentaire, ce qui est associé à un ralentissement du développement fœtal, une mortalité intra-utérine, des fausses couches ou des naissances prématurées. Des effets indésirables (p.ex. hypoglycémie et bradycardie) peuvent survenir chez le fœtus/nouveau-né. Si un traitement par des β-bloquants est nécessaire, il faut administrer des β1-bloquants sélectifs.
- +Concor ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf si le traitement est absolument nécessaire. Si l'application est indispensable, une surveillance stricte de l'irrigation utéro-placentaire et de la croissance fœtale est nécessaire. Lors de l'apparition d'effets négatifs sur la grossesse ou le fœtus, il faut envisager d'autres thérapies. Le nouveau-né doit être surveillé attentivement pendant les premiers 3 jours concernant l'apparition éventuelle d'une hypoglycémie ou d'une bradycardie.
-L'aptitude à la conduite ou à l'utilisation de machines peut être affectée par des réactions individuelles aux antihypertenseurs. C'est tout particulièrement le cas en début de traitement ou lors d'un changement de médication, ainsi qu'avec l'action conjuguée de l'alcool. Cependant, des recherches menées dans ce contexte ont montré qu'il n'y a pas lieu de redouter d'effet direct du β1-bloquant sélectif bisoprolol sur les capacités de réaction.
- +L'aptitude à la conduite ou à l'utilisation de machines peut être affectée par diverses réactions individuelles aux antihypertenseurs. C'est tout particulièrement le cas en début de traitement ou lors d'un changement de médication, ainsi qu'avec l'action conjuguée de l'alcool. Cependant, des recherches menées dans ce contexte ont montré qu'il n'y a pas lieu de redouter d'effet direct du β1-bloquant sélectif bisoprolol sur les capacités de réaction.
-Troubles métaboliques et nutritionnels
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition
-Troubles psychiques
- +Affections psychiatriques
-Troubles du système nerveux
-Fréquent: fatigue, vertiges, céphalées et sudation. Ces manifestations surviennent chez des patients avec hypertension ou angine de poitrine surtout au début du traitement, sont généralement de nature légère et disparaissent dans la plupart des cas après 1-2 semaines de traitement.
-Insensibilité et sensation de froid dans les extrémités, asthénie (chez des patients avec une insuffisance cardiaque chronique)
- +Affections du système nerveux
- +Fréquent: fatigue, vertiges, céphalées et sudation. Ces manifestations, qui surviennent chez des patients avec hypertension ou angine de poitrine surtout au début du traitement, sont généralement de nature légère et disparaissent dans la plupart des cas après 1-2 semaines de traitement.
- +Insensibilité et sensation de froid dans les extrémités, asthénie (chez des patients avec une insuffisance cardiaque chronique).
-Troubles oculaires
- +Affections oculaires
-Troubles de l'oreille et du conduit auditif
- +Affections de l'oreille et du labyrinthe
-Troubles cardiovasculaires
- +Affections cardiaques, affections vasculaires
-Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinales
-Troubles hépatiques
- +Affections hépatobiliaires
-Troubles au niveau de la peau et des tissus sous-cutanés
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Troubles de l'appareil moteur, du tissu conjonctif et des os
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
-Troubles des voies urogénitales
- +Affections des organes de reproduction et du sein
-Un surdosage d'un bêtabloquant peut entraîner une chute de la pression artérielle, une bradycardie, des bronchospasmes, une insuffisance cardiaque aiguë et une hypoglycémie. Après la prise d'une dose unique élevée de bisoprolol, on a constaté d'importantes différences interindividuelles, les patients souffrant d'insuffisance cardiaque étant probablement particulièrement sensibles. Après un surdosage aigu, interrompre le traitement par Concor et instaurer des mesures symptomatiques et de soutien. Les données restreintes disponibles suggèrent que le bisoprolol n'est que très difficilement dialysable. Comme antidote en cas de bradycardie, administrer 0.5-2.0 mg de sulfate d'atropine i.v. Au cas où la fréquence cardiaque n'augmenterait pas suffisamment, administrer également de l'orciprénaline.
- +Un surdosage d'un bêtabloquant peut entraîner une chute de la pression artérielle, une bradycardie, des bronchospasmes, une insuffisance cardiaque aiguë et une hypoglycémie. Après la prise d'une dose unique élevée de bisoprolol, on a constaté d'importantes différences interindividuelles, les patients souffrant d'insuffisance cardiaque étant probablement particulièrement sensibles. Après un surdosage aigu, interrompre le traitement par Concor et instaurer des mesures symptomatiques et de soutien. Les données restreintes disponibles suggèrent que le bisoprolol n'est que très difficilement dialysable. Comme antidote en cas de bradycardie, administrer 0.5–2.0 mg de sulfate d'atropine i.v. Au cas où la fréquence cardiaque n'augmenterait pas suffisamment, administrer également de l'orciprénaline.
-Le bisoprolol est un β1-bloquant sélectif et ne possède ni des propriétés stimulantes intrinsèques, ni d'importantes propriétés de stabilisation membranaire. Cette affinité élevée pour les récepteurs β1 s'oppose à la faible affinité pour les récepteurs β2 de la musculature lisse bronchique et vasculaire ainsi que les récepteurs β2 agissant dans la régulation métabolique. Il est donc improbable que le bisoprolol affecte la résistance bronchique ou le métabolisme β2-dépendant du moins aux faibles doses prescrites dans l'insuffisance cardiaque. La β1-sélectivité est assurée à toutes les doses thérapeutiques. Le bisoprolol n'exerce pas d'effet inotrope négatif à long terme.
- +Le bisoprolol est un β1-bloquant sélectif et ne possède ni des propriétés stimulantes intrinsèques, ni d'importantes propriétés de stabilisation membranaire. Cette affinité élevée pour les récepteurs β1 s'oppose à la faible affinité pour les récepteurs β2 de la musculature lisse bronchique et vasculaire ainsi que les récepteurs β2 agissant dans la régulation métabolique. Il est donc improbable que le bisoprolol affecte la résistance bronchique ou le métabolisme β2-dépendant du moins aux faibles doses prescrites en cas d'insuffisance cardiaque. La β1-sélectivité est assurée à toutes les doses thérapeutiques. Le bisoprolol n'exerce pas d'effet inotrope négatif à long terme.
-Alors qu'initialement tous les patients étaient classés aux stades III et IV, nombre d'entre eux sont passés en classe II ou I NYHA au cours de l'étude: en classe II étaient 25.6% des patients après 6 mois, 32.3% après 12 mois et 35.1% après 18 mois respectivement 1.7% après 6 mois, 2.8% après 12 mois et 3.3% après 18 mois en classe I. Avec 15%, le taux d'abandons définitifs du traitement était comparable dans le groupe bisoprolol et le groupe placebo.
-Une étude menée chez 36 patients souffrant de cardiopathie coronaire (sans insuffisance cardiaque chronique) a montré que le bisoprolol réduit la fréquence cardiaque et le rapport pression/fréquence et soulage ainsi le cœur.
-L'étude CIBIS III a été menée chez 1010 patients âgés de 65 ans au moins avec une insuffisance cardiaque chronique légère à modérée (classe NYHA II ou III) et une fraction d'éjection ventriculaire gauche ≤35%. Les patients n'avaient pas été prétraités avec des inhibiteurs de l'ECA, des bétabloquants ou des antagonistes du récepteur à l'angiotensine. Cette étude a comparé l'efficacité et la sécurité d'un traitement initial de six mois avec du bisoprolol (posologie visée 1× 10 mg/jour), suivi d'une administration supplémentaire d'énalapril, un inhibiteur de l'ECA, (posologie visée 2× 10 mg/jour) pendant 6 à 24 mois supplémentaires, avec un traitement initial à l'énalapril, suivi d'une administration supplémentaire de bisoprolol. Chaque groupe de traitement englobait 505 patients.
-Les deux stratégies de traitement ont été évaluées en aveugle aussi bien sur la base du critère d'évaluation primaire combiné – mortalité totale ou hospitalisation – que sur la base de chaque composant individuel. L'analyse en intention de traiter (ITT) a montré que dans le groupe du bisoprolol-initial, un événement du critère d'évaluation primaire survenait chez 178 patients (35.2%) et dans le groupe de l'énalapril-initial, chez 186 patients (36.8%). L'efficacité d'un traitement initial au bisoprolol suivi d'une administration supplémentaire d'énalapril est comparable (pas inférieure) à la combinaison dans l'ordre inverse. Dans le groupe traité initialement au bisoprolol, 65 patients sont décédés, dans celui traité initialement à l'énalapril, 73 patients (différence entre les groupes: p=0.44). 151 patients traités d'abord au bisoprolol et 157 patients traités d'abord à l'énalapril (p=0.66) ont été hospitalisés. Le nombre de cas d'effets secondaires graves ainsi que le nombre total d'effets secondaires étaient comparables dans les deux groupes. Une analyse des données dans la première année de l'étude a montré une tendance non significative avec la diminution de 31% de la mortalité totale dans le groupe traité initialement au bisoprolol par rapport au groupe traité d'abord à l'énalapril. L'amélioration de la survie dans le groupe traité initialement au bisoprolol est principalement attribuable à une réduction du risque de mort cardiaque subite de 46% (p=0.049) durant la première année de traitement.
-Les résultats de l'étude CIBIS III montrent qu'en cas d'insuffisance cardiaque chronique, un traitement initial au bisoprolol est aussi efficace et sûr qu'un traitement initial à l'énalapril.
- +Alors qu'initialement, tous les patients étaient classés aux stades III et IV, nombre d'entre eux sont passés en classe II ou I NYHA au cours de l'étude: en classe II étaient 25.6% des patients après 6 mois, 32.3% après 12 mois et 35.1% après 18 mois et en classe I 1.7% après 6 mois, 2.8% après 12 mois et 3.3% après 18 mois. Avec 15%, le taux d'abandons définitifs du traitement était comparable dans le groupe bisoprolol et le groupe placebo.
- +Une étude menée chez 36 patients souffrant de coronaropathie (sans insuffisance cardiaque chronique) a montré que le bisoprolol réduit la fréquence cardiaque et le rapport pression/fréquence et soulage ainsi le cœur.
- +L'étude CIBIS III a été menée chez 1010 patients âgés de 65 ans au moins avec une insuffisance cardiaque chronique légère à modérée (classe NYHA II ou III) et une fraction d'éjection ventriculaire gauche ≤35%. Les patients n'avaient pas été prétraités par des inhibiteurs de l'ECA, des bétabloquants ou des antagonistes du récepteur à l'angiotensine. Cette étude a comparé l'efficacité et la sécurité d'un traitement initial de six mois par le bisoprolol (posologie visée 1× 10 mg/jour), suivi d'une administration supplémentaire d'énalapril, un inhibiteur de l'ECA (posologie visée 2× 10 mg/jour) pendant 6 à 24 mois supplémentaires, avec un traitement initial par l'énalapril suivi d'une administration supplémentaire de bisoprolol. Chaque groupe de traitement englobait 505 patients.
- +Les deux stratégies de traitement ont été évaluées en aveugle aussi bien sur la base du critère d'évaluation primaire combiné – mortalité totale ou hospitalisations – que sur la base de chaque composant individuel. L'analyse en intention de traiter (ITT) a montré que, dans le groupe du bisoprolol initial, un événement du critère d'évaluation primaire est survenu chez 178 patients (35.2%) et dans le groupe de l'énalapril initial, chez 186 patients (36.8%). L'efficacité d'un traitement initial par le bisoprolol suivi d'une administration supplémentaire d'énalapril est comparable (pas inférieure) à la combinaison dans l'ordre inverse. Dans le groupe traité initialement par le bisoprolol, 65 patients sont décédés, contre 73 patients dans celui traité initialement par l'énalapril, 73 patients (différence entre les groupes: p=0.44). 151 patients traités d'abord par le bisoprolol et 157 patients traités d'abord par l'énalapril (p=0.66) ont été hospitalisés. Le nombre d'effets indésirables graves ainsi que le nombre total d'effets indésirables étaient comparables dans les deux groupes. Une analyse des données de la première année de l'étude a montré une tendance non significative à la diminution (31%) de la mortalité totale dans le groupe traité initialement par le bisoprolol par rapport au groupe traité d'abord par l'énalapril. L'amélioration de la survie dans le groupe traité initialement par le bisoprolol est principalement attribuable à une réduction du risque de mort cardiaque subite de 46% (p=0.049) durant la première année de traitement.
- +Les résultats de l'étude CIBIS III montrent qu'en cas d'insuffisance cardiaque chronique, un traitement initial par le bisoprolol est aussi efficace et sûr qu'un traitement initial par l'énalapril.
-Le bisoprolol étant moyennement lipophile, avec un coefficient de distribution de 4.8, son volume de distribution est moyennement élevé, malgré un taux de liaison aux protéines plasmatiques relativement faible. Le volume de distribution du bisoprolol est de 3.2 ± 0.2 l/kg de poids corporel après administration i.v. Sa pharmacocinétique est donc indépendante de son taux de liaison protéinique. Par conséquent, les interactions pharmacocinétiques médicamenteuses provenant d'une compétition pour le site protéinique du bisoprolol dans le plasma sont improbables.
-Le bisoprolol passe dans le liquide céphalorachidien. Sa concentration dans le liquide céphalorachidien est approximativement celle de sa fraction libre plasmatique, non liée. Les données obtenues chez l'animal permettent d'établir que le bisoprolol ne s'accumule que faiblement dans le SNC (facteur 2) en comparaison avec la concentration plasmatique.
- +Le bisoprolol étant moyennement lipophile, sa liaison aux protéines plasmatiques faible et son coefficient de distribution de 4.8, son volume de distribution est moyennement élevé. Le volume de distribution du bisoprolol est de 3.2 ± 0.2 l/kg de poids corporel après administration i.v. Sa pharmacocinétique est donc indépendante de son taux de liaison protéinique. Par conséquent, les interactions pharmacocinétiques médicamenteuses provenant d'une compétition pour le site protéinique du bisoprolol dans le plasma sont improbables.
- +Le bisoprolol passe dans le liquide céphalorachidien. On estime que sa concentration dans le liquide céphalorachidien est approximativement celle de sa fraction libre plasmatique non liée. Les données obtenues chez l'animal permettent d'établir que le bisoprolol ne s'accumule que faiblement dans le SNC (facteur 2) en comparaison avec la concentration plasmatique.
-Le bisoprolol est éliminé du plasma à parts égales par le foie et les reins. Les 50% de la dose administrée sont transformés par le foie en métabolites inactifs qui sont ensuite excrétés par voie rénale.
- +Le bisoprolol est éliminé du plasma à parts égales par le foie et les reins. 50% de la dose administrée sont transformés par le foie en métabolites inactifs qui sont ensuite excrétés par voie rénale.
-La demi-vie plasmatique moyenne du bisoprolol est de 10-12 heures.
- +La demivie plasmatique moyenne du bisoprolol est de 10-12 heures.
-En cas d'insuffisance rénale et de cirrhose du foie de tous les stades, la demi-vie d'élimination du bisoprolol a augmenté d'un facteur 2 au maximum. Un ajustement de la dose de bisoprolol est donc uniquement recommandé au stade terminal d'une insuffisance rénale (clairance de la créatinine <20 ml/min) ou hépatique. Chez ces patients, la dose ne devrait pas dépasser 10 mg/d.
- +En cas d'insuffisance rénale et de cirrhose du foie de tous les stades, la demi-vie d'élimination du bisoprolol a augmenté d'un facteur 2 au maximum. Un ajustement de la dose de bisoprolol est donc uniquement recommandé au stade terminal d'une insuffisance rénale (clairance de la créatinine <20 ml/min) ou hépatique. Chez ces patients, la dose ne devrait pas dépasser 10 mg/jour.
-Dans des expérimentations sur des rats, le bisoprolol n'a pas influencé la fertilité et la capacité de reproduction en général. À des doses élevées, maintes fois (85 à 1400 fois) supérieures à celles administrées à l'homme, le bisoprolol, à l'instar d'autres β-bloquants, s'est avéré materno- et fœto-/embryotoxique chez les rats et les lapins. Dans ces essais, le bisoprolol n'a pas montré d'effet tératogène dans toutes les posologies administrées.
- +Dans des expérimentations sur des rats, le bisoprolol n'a pas influencé la fertilité et la capacité de reproduction en général. À des doses élevées, maintes fois (85 à 1400 fois) supérieures à celles administrées à l'homme, le bisoprolol, à l'instar d'autres β-bloquants, s'est avéré materno- et fœto-/embryotoxique chez les rats et les lapins. Dans ces essais, le bisoprolol n'a montré aucun effet tératogène à toutes les posologies administrées.
-Chez les rats, le bisoprolol a montré un faible effet fœtotoxique (augmentation du nombre d'absorptions tardives) à partir de 50 mg/kg (350-1400 fois la dose thérapeutique chez l'homme) et un faible effet maternotoxique (réduction de la prise de nourriture et de la prise de poids) à 150 mg/kg (1050-4150 fois la dose thérapeutique chez l'homme). Les lapins ont bien toléré des doses allant jusqu'à 6.25 mg/kg (45-175 fois la dose thérapeutique chez l'homme) sans montrer des effets toxiques. 12.5 et 50 mg/kg (85-1400 fois la dose thérapeutique chez l'homme) se sont avérés fœtotoxiques (augmentation du nombre d'absorptions précoces).
- +Chez les rats, le bisoprolol a montré un faible effet fœtotoxique (augmentation du nombre de résorptions) à partir de 50 mg/kg (350-1400 fois la dose thérapeutique chez l'homme) et un faible effet maternotoxique (réduction de la prise de nourriture et de la prise de poids) à 150 mg/kg (1050-4150 fois la dose thérapeutique chez l'homme). Les lapins ont bien toléré des doses allant jusqu'à 6.25 mg/kg (45-175 fois la dose thérapeutique chez l'homme) sans montrer des effets toxiques. 12.5 et 50 mg/kg (85-1400 fois la dose thérapeutique chez l'homme) se sont avérés fœtotoxiques (augmentation du nombre de résorptions précoces).
-Emballages de 30 et 100 comprimés laqués (avec rainure). [B]
- +Emballages de 30 et 100 comprimés pelliculés (avec rainure). [B]
-Avril 2015.
- +Août 2018.
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