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Accueil - Information professionnelle sur Inflamac 25 mg - Changements - 05.09.2018
68 Changements de l'information professionelle Inflamac 25 mg
  • -Crise de goutte aiguë (capsules, suppositoires).
  • +Crises de goutte aiguës (capsules, suppositoires).
  • -Conformément aux principes généraux de thérapeutique, traiter l'affection sous-jacente par les moyens fondamentaux requis. La fièvre seule ne constitue pas une indication.
  • +Conformément aux principes généraux de thérapeutique, traiter l'affection sous-jacente avec les moyens fondamentaux requis. La fièvre seule ne constitue pas une indication.
  • -La posologie initiale recommandée est de 100–150 mg par jour pour les capsules et les suppositoires Inflamac. Dans les cas bénins et lors de traitement au long cours, 75–100 mg par jour sont habituellement suffisants. La posologie quotidienne est généralement fractionnée en 2–3 doses. Pour supprimer les douleurs nocturnes et la raideur matinale, la prise de capsules dans la journée peut être complétée par l'application d'un suppositoire avant le coucher (la dose quotidienne maximale étant de 150 mg).
  • +La posologie initiale recommandée est de 100–150 mg par jour pour les capsules et les suppositoires Inflamac. Dans les cas bénins et lors de traitement à long terme, 75–100 mg par jour sont habituellement suffisants. La posologie quotidienne est généralement fractionnée en 2–3 doses. Pour supprimer les douleurs nocturnes et la raideur matinale, la prise de capsules dans la journée peut être complétée par l'application d'un suppositoire avant le coucher (la dose quotidienne maximale étant de 150 mg).
  • -Les capsules doivent être avalés avec une boisson et de préférence avant les repas; ne pas diviser, ni mâcher.
  • -Introduire les suppositoires profondément dans le rectum et de préférence après être allé à la selle.
  • +Les capsules doivent être prises avec du liquide et de préférence avant les repas; ne pas diviser, ni mâcher.
  • +Introduire les suppositoires profondément dans le rectum et de préférence après être allé à selle.
  • -Aucun ajustement de la dose initiale n'est en principe nécessaire chez les patients âgés. Pour des raisons médicales générales, la prudence est cependant recommandée chez les patients âgés, surtout chez les patients âgés fragiles ou de faible poids corporel (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Aucun ajustement de la dose initiale n'est en principe nécessaire chez les patients âgés. Pour des raisons médicales de principe, la prudence est cependant recommandée chez les patients âgés, surtout chez les patients âgés fragiles ou de faible poids corporel (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Aucune étude spécifique n'a été réalisée chez des patients avec une fonction hépatique limitée; il n'est donc pas possible de donner des recommandations spécifiques concernant un ajustement de la dose. Il convient de faire preuve de prudence lors de l'administration d'Inflamac aux patients avec des troubles légers à modérés de la fonction hépatique (cf. «Mises en garde et précautions»)
  • +Aucune étude spécifique n'a été réalisée chez des patients avec une fonction hépatique limitée; il n'est donc pas possible de donner des recommandations spécifiques concernant un ajustement de la dose. Il convient de faire preuve de prudence lors de l'administration d'Inflamac aux patients avec des troubles légers à modérés de la fonction hépatique (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -·Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients selon la composition.
  • -·Anamnèse de bronchospasme, d'urticaire, de rhinite aiguë, de polypes de la muqueuse nasale ou de symptômes semblables à une manifestation allergique après prise d'acide acétylsalicylique ou d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens.
  • -·Troisième trimestre de grossesse (cf. «Grossesse/Allaitement»).
  • -·Ulcères gastriques et/ou duodénaux actifs ou saignements gastro-intestinaux ou perforation.
  • -·Maladies intestinales inflammatoires (p.ex. maladie de Crohn, colite ulcéreuse).
  • +·Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients du médicament selon la composition.
  • +·Antécédent de bronchospasme, urticaire, de rhinite aiguë, polypes de la muqueuse nasale ou symptômes de type allergique après la prise d'acide acétylsalicylique ou d'un autres anti-inflammatoire non stéroïdien.
  • +·Troisième trimestre de la grossesse (cf. «Grossesse/Allaitement»).
  • +·Ulcères gastriques et/ou duodénaux actifs ou hémorragies gastro-intestinales ou perforation.
  • +·Maladies intestinales inflammatoires (comme la maladie de Crohn, la colite ulcéreuse).
  • -·Insuffisance cardiaque sévère (NYHA III-IV).
  • -·Traitement des douleurs post-opératoires après un pontage coronarien (ou après utilisation d'une machine cœur-poumons).
  • +·Insuffisance cardiaque grave (NYHA III-IV).
  • +·Traitement de douleurs postopératoires après une opération de bypass (et utilisation d'une circulation extracorporelle).
  • -Mise en garde générale pour l'utilisation d'anti-inflammatoires non stéroïdiens systémiques:
  • -Des perforations, des ulcères et des saignements gastro-intestinaux peuvent être observés chez des patients traités par des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), sélectifs de la COX-2 ou non. Ces effets indésirables peuvent survenir à tout moment, sans signes annonciateurs ni antécédents connus. Pour réduire ce risque, il convient donc d'administrer la dose efficace la plus faible, pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
  • -Des études contrôlées contre placebo ont mis en évidence pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 une augmentation du risque de complications cardio-vasculaires et cérébro-vasculaires thrombotiques. Mais on ignore pour l'heure si ce risque est en corrélation directe avec la sélectivité COX-1/COX-2 des AINS. Etant donné qu'aucune donnée issue d'études cliniques comparables n'est actuellement disponible pour le diclofénac à la posologie maximale dans le cadre d'un traitement au long cours, une augmentation analogue du risque ne peut être exclue.
  • -Par conséquent, jusqu'à ce que de telles données soient disponibles, le diclofénac ne doit être administré qu'après évaluation minutieuse du rapport bénéfice/risque en cas de cardiopathie ischémique avérée, de maladies cérébrovasculaires, d'artériopathies obstructives périphériques ou aux patients présentant d'importants facteurs de risque cardio-vasculaire (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme). Tenant compte de ce risque, il convient d'administrer la dose efficace la plus faible, pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
  • -Les effets rénaux des AINS incluent la rétention hydrique avec œdèmes et/ou hypertension artérielle. Chez les patients présentant des troubles de la fonction cardiaque et d'autres états qui les prédisposent à la rétention hydrique, le diclofénac ne devrait donc être utilisé qu'avec prudence. Celle-ci est également de rigueur chez les patients qui prennent simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine et en cas de risque élevé d'hypovolémie.
  • -Chez les personnes âgées, les conséquences sont généralement plus sévères. En cas d'hémorragie ou d'ulcération gastro-intestinale chez un patient sous Inflamac, le traitement doit être interrompu.
  • +Mise en garde générale pour d'emploi des anti-inflammatoires non stéroïdiens par voie systémique:
  • +Des s ulcères gastro-intestinaux, hémorragies ou perforations peuvent apparaître sous traitement par des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), COX-2 sélectifs ou non, à tout moment et sans signes avant-coureurs ou indication anamnestique. Afin de diminuer ce risque, il faut utiliser la dose minimale efficace sur la période de traitement la plus nt courte possible.
  • +Pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2, des études contrôlées par placebo ont révélé un risque de complications thrombotiques cardio- ou cérébrovasculaires. On ne sait pas encore si ce risque est en corrélation directe avec la sélectivité COX-1/COX-2 des AINS concernés. Comme il n'existe pas actuellement de données cliniques comparables los de traitement au long cours à des doses maximales, un risque similaire ne peut être exclu.
  • +Jusqu'à l'obtention de telles données, il ne faut utiliser le diclofénac qu'après avoir soigneusement évalué le rapport risque//bénéfices en cas de maladies coronaires cliniquement avérées, d'affections vasculaires cérébrales, d'artériopathies oblitérantes périphériques ou chez les patients avec des facteurs de risque importants (par ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète, tabagisme). Pour ces mêmes raisons, il faut administrer la dose minimale efficace pour une durée de traitement la plus courte possible.
  • +La rétention liquidienne avec œdèmes et/ou l'hypertension artérielle sont les effets rénaux des AINS. Chez les patients ayant une fonction cardiaque compromise, et dans les autres situations prédisposant à la rétention liquidienne, le diclofénac ne doit être utilisé avec prudence. Celle-ci est aussi recommandée chez les patients prenant simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l'ECA, ainsi qu'en cas de risque d'hypovolémie élevé.
  • +Chez les personnes âgées les conséquences sont généralement plus sévères. En cas d'hémorragie ou d'ulcération gastro-intestinale chez un patient sous Inflamac, le traitement doit être interrompu.
  • -Chez les patients avec un asthme, une rhinite allergique saisonnière, une enflure de la muqueuse nasale (c'est à dire des polypes nasaux), une broncho-pneumopathie chronique obstructive ou une infection chronique des voies respiratoires (en particulier si elle est en corrélation avec des symptômes similaires à ceux d'une rhinite allergique), les réactions aux AINS sous la forme d'une exacerbation de l'asthme (intolérance aux analgésiques/asthme aux analgésiques), un œdème de Quincke ou une urticaire sont plus fréquentes que chez d'autres patients. C'est pourquoi une prudence particulière est de rigueur chez ces patients (piquet d'urgence). Ceci est valable également pour les patients qui présentent une réaction allergique à d'autres substances sous forme d'une éruption cutanée, d'un prurit ou d'une urticaire.
  • +Chez les patients avec un asthme, une rhinite allergique saisonnière, une enflure de la muqueuse nasale (c'est à dire des polypes nasaux), une broncho-pneumopathie chronique obstructive ou une infection chronique des voies respiratoires (en particulier si elle est en corrélation avec des symptômes similaires à ceux d'une rhinite allergique), les réactions aux AINS sous la forme d'une exacerbation de l'asthme (intolérance aux analgésiques/asthme aux analgésiques), un œdème de Quincke ou une urticaire sont plus fréquentes que chez d'autres patients. C'est pourquoi une prudence particulière est de rigueur chez ces patients (piquet d'urgence). Ceci est valable également pour les patients qui présentent une réaction allergique à d'autres substances sous la forme d'une éruption cutanée, d'un prurit ou d'une urticaire.
  • -Il faut envisager la possibilité d'un traitement combiné à des substances protectrices (inhibiteurs de la pompe à protons ou misoprostol p.ex.) chez ces patients, de même que chez ceux qui nécessitent des médicaments contenant une faible dose d'acide acétylsalicylique (AAS) ou d'autres médicaments qui augmentent potentiellement le risque gastro-intestinal.
  • +Il faut envisager la possibilité d'un traitement combiné à des substances protectrices (inhibiteurs de la pompe à protons ou misoprostol p.ex.) chez ces patients de même que chez ceux qui nécessitent une faible dose d'acide acétylsalicylique (AAS) ou d'autres médicaments qui augmentent potentiellement le risque gastro-intestinal.
  • -Comme avec les autres AINS la fonction hépatique doit aussi être contrôlée étroitement en cas de traitement au long cours par Inflamac.
  • +Comme avec les autres AINS la fonction hépatique doit aussi être contrôlée étroitement en cas de traitement prolongé par Inflamac.
  • -Compte tenu de l'importance des prostaglandines dans le maintien de la perfusion rénale, un traitement prolongé par AINS à hautes doses, y compris le diclofénac, provoque souvent (1–10%) des œdèmes et une hypertension. Une prudence particulière s'impose chez les sujets présentant une atteinte fonctionnelle cardiaque ou rénale, une anamnèse d'hypertension, chez les patients âgés, les malades sous diurétiques ou sous médicaments influençant sensiblement la fonction rénale ainsi que chez les patients présentant un important déficit de liquide extracellulaire, quelle qu'en soit la cause, p.ex. dans la phase pré-opératoire ou post-opératoire lors d'interventions chirurgicales lourdes (cf. «Contre-indications»). C'est pourquoi, lorsque Inflamac est utilisé dans ces cas-là, il est recommandé de surveiller la fonction rénale par mesure de précaution. L'arrêt du traitement permet généralement de retrouver l'état antérieur au traitement.
  • +Compte tenu de l'importance des prostaglandines dans le maintien de la perfusion rénale, un traitement prolongé d'AINS à hautes doses, y compris de diclofénac provoque souvent (1–10%) des œdèmes et une hypertension. Une prudence particulière s'impose chez les sujets présentant une atteinte fonctionnelle cardiaque ou rénale, une anamnèse d'hypertension, chez les patients âgés, les malades sous diurétiques ou sous médicaments influençant sensiblement la fonction rénale ainsi que chez les patients présentant un important déficit de liquide extracellulaire, quelle qu'en soit la cause, p.ex. dans la phase pré- ou post-opératoire lors d'interventions chirurgicales lourdes (cf. «Contre-indications»). C'est pourquoi, lorsque Inflamac est utilisé dans ces cas-là, il est recommandé de surveiller la fonction rénale par mesure de précaution. L'arrêt du traitement permet généralement de retrouver l'état antérieur au traitement.
  • -Un contrôle de la formule sanguine est recommandé lors de traitement au long cours par Inflamac ou d'autres AINS.
  • -Une inhibition temporaire de l'agrégation plaquettaire est aussi possible avec Diclofenac comme avec les autres AINS. Une surveillance attentive s'impose chez les patients souffrant de troubles de la coagulation.
  • +Un contrôle de la formule sanguine est recommandé lors de traitement prolongé avec Inflamac ou d'autres AINS.
  • +Une inhibition temporaire de l'agrégation plaquettaire est aussi possible avec le diclofenac comme avec les autres AINS. Une surveillance attentive s'impose chez les patients souffrant de troubles de la coagulation.
  • -La prudence est de rigueur lorsque le diclofénac est utilisé en même temps que de inhibiteurs du CYP2C9 (par ex. voriconazole). Ceux-ci peuvent être peut être à l'origine d'une augmentation significative du pic de concentration plasmatique de diclofénac et, globalement, d'une exposition accrue au diclofénac.
  • +La prudence est de rigueur lorsque le diclofénac est utilisé en même temps que des inhibiteurs du CYP2C9 (par ex. voriconazole). Ceux-ci peuvent être à l'origine d'une augmentation significative du pic de concentration plasmatique de diclofénac et, globalement, d'une exposition accrue au diclofénac.
  • -La prudence est de rigueur, étant donné qu'une administration conjointe pourrait augmenter le risque d'hémorragies (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Bien que les études cliniques n'indiquent pas que le diclofénac influence l'effet des anticoagulants, des cas isolés de risque accru d'hémorragie lors d'emploi concomitant du diclofénac et d'anticoagulants ont été rapportés; c'est pourquoi une surveillance clinique étroite est recommandée dans de tels cas.
  • +La prudence est de rigueur, car une administration conjointe pourrait augmenter le risque d'hémorragies (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Bien que les études cliniques n'indiquent pas que le diclofénac influence l'effet des anticoagulants, des cas de risque accru d'hémorragie lors d'emploi concomitant du diclofénac et d'anticoagulants ont été rapportés; c'est pourquoi une surveillance clinique étroite est recommandée dans de tels cas.
  • -Une inhibition de la synthèse des prostaglandines peut influencer la grossesse et/ou le développement embryo-fœtal de façon négative. Des données issues d'études épidémiologiques indiquent un risque accru de fausses couches ainsi que de malformations cardiaques et de laparoschisis suite à l'utilisation d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse. On suppose que le risque augmente avec la dose et la durée du traitement.
  • -Les expérimentations animales ont révélé que l'administration d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines entraîne une perte pré-implantation et post-implantation et une létalité embryo-fœtale. En outre, des incidences accrues de différentes malformations, y compris les malformations cardio-vasculaires, ont été mises en évidence chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines durant la phase de l'organogenèse (cf. «Données précliniques»).
  • -Le diclofénac ne devrait être administré durant le premier et le deuxième trimestre de la grossesse que lorsque ceci s'avère absolument nécessaire. Lorsque le diclofénac est utilisé par une femme qui désire tomber enceinte ou lorsqu'il est utilisé durant le premier ou le deuxième trimestre de la grossesse, la dose devrait être aussi faible que possible et la durée du traitement devrait être aussi courte que possible.
  • -Le diclofénac est contre-indiqué durant le troisième trimestre de la grossesse. Tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent:
  • +Une inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir une incidence négative sur la grossesse et/ou le développement embryonnaire et fœtal. Selon certaines données tirées d'études épidémiologiques, l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines au début de la grossesse accroît le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de gastroschisis. On présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement.
  • +Il a été démontré chez l'animal que l'administration d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatiores et une létalité embryo-fœtale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, y compris des malformations cardio-vasculaires, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines durant la phase de l'organogenèse (cf. «Données précliniques»).
  • +Durant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, le diclofénac ne devrait être administré qu'en cas de nécessité absolue. Si le diclofénac est utilisé par une femme qui désire une grosseesse ou pendant le premier ou le deuxième trimestre de la grossesse, la dose devrait être aussi faible que possible et la durée du traitement aussi courte que possible.
  • +Le diclofénac est contre-indiqué pendant le troisième trimestre de la grossesse. Tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent:
  • -·trouble de la fonction rénale pouvant évoluer jusqu'à la défaillance rénale avec oligoamnios.
  • +·trouble de la fonction rénale pouvant évoluer vers une insuffisance rénale avec oligohydroamnios.
  • -·prolongation éventuelle du temps de saignement, un effet antiagrégant pouvant également survenir à très faibles doses;
  • +·prolongation éventuelle du temps de saignement, un effet antiagrégant pouvant également survenir à très faibles doses,
  • -Comme d'autres AINS, le diclofénac passe en faibles quantités dans le lait maternel. Par mesure de prudence, le diclofénac ne sera par conséquent pas pris par les femmes qui allaitent. Si le traitement est absolument nécessaire, il faut passer à l'alimentation des nourrissons au biberon.
  • +Comme d'autres AINS, le diclofénac passe en faibles quantités dans le lait maternel. Pour cette raison et par mesure de précaution, le diclofénac ne doit pas être utilisé par les femmes qui allaitent. Si le traitement est indispensable, le nourrisson doit être alimenté au biberon avec du lait de formule.
  • -Très rares: œdème angioneurotique (y compris œdème du visage).
  • +Très rares: angio-œdème angioneurotique (y compris œdème du visage).
  • -Fréquents: céphalées, obnubilation.
  • +Fréquents: céphalées, étourdissements.
  • -Très rares: vasculite.
  • +Très rares: hypertension, vasculite.
  • -Très rares: pneumonite.
  • +Très rares: pneumonie.
  • -Très rares: dermatite bulleuse, eczéma, érythème, érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell (nécrolyse épidermique toxique), dermatite exfoliative, alopécie, réaction de photosensibilisation, purpura, purpura de Henoch-Schönlein, prurit.
  • +Très rares: dermatite bulleuse, eczéma, érythème, érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell (nécrolyse épidermique toxique), érythrodermie (dermatite exfoliative), alopécie, réaction de photosensibilisation, purpura, purpura de Henoch-Schönlein, prurit.
  • -Rares: œdème.
  • +Rares: œdèmes.
  • -Il n'existe pas de tableau clinique caractéristique du surdosage du diclofénac. Un surdosage peut engendrer des symptômes tels des vomissements, une hémorragie gastro-intestinale, des diarrhées, de l'obnubilation, un acouphène ou des convulsions. Une intoxication sévère peut conduire à une insuffisance rénale et à des lésions hépatiques.
  • +Il n'existe pas de tableau clinique caractéristique du surdosage du diclofénac. Un surdosage peut engendrer des symptômes tels des vomissements, une hémorragie gastro-intestinale, des diarrhées, des étourdissements, un acouphène ou des convulsions. Une intoxication sévère peut conduire à une insuffisance rénale et à des lésions hépatiques.
  • -Le traitement de l'intoxication aiguë par les AINS, y compris par le diclofénac consiste essentiellement en une surveillance clinique et en la mise en place de mesures symptomatiques. Les complications telles qu'hypotension, insuffisance rénale, convulsions, irritation gastro-intestinale et dépression respiratoire requièrent des mesures supportives et un traitement symptomatique.
  • +Le traitement de l'intoxication aiguë par les AINS, y compris par le diclofénac consiste essentiellement en une surveillance clinique et en la mise en place de mesures symptomatiques. Les complications telles qu'hypotension, insuffisance rénale, convulsions, irritation gastro-intestinale et dépression respiratoire requièrent une surveillance clinique et un traitement symptomatique.
  • -Mécanisme d'action/Pharmacodynamie
  • +Mécanisme d'action/pharmacodynamie
  • -Dans les maladies rhumatismales, les propriétés anti-inflammatoires et analgésiques d'Inflamac se traduisent sur le plan clinique par un soulagement marqué de signes et symptômes tels que douleurs au repos et en mouvement, raideur matinale, gonflement des articulations, ainsi que par une amélioration de la capacité fonctionnelle. Dans les états inflammatoires post-traumatiques et post-opératoires, Inflamac soulage rapidement les douleurs spontanées et au mouvement et réduit l'œdème d'origine inflammatoire ainsi que l'œdème d'origine traumatique.
  • +Dans les maladies rhumatismales, les propriétés anti-inflammatoires et analgésiques d'Inflamac se traduisent sur le plan clinique par un soulagement marqué de signes et symptômes tels que douleurs au repos et en mouvement, raideur matinale, gonflement des articulations, ainsi que par une amélioration de la capacité fonctionnelle. Dans les états inflammatoires post-traumatiques et post-opératoires, Inflamac soulage rapidement les douleurs spontanées et en mouvement et réduit l'œdème d'origine inflammatoire ainsi que l'œdème d'origine traumatique.
  • -L'absorption du diclofénac se fait après le passage des dragées gastrorésistantes dans l'estomac; elle est complète et rapide mais il est possible qu'elle soit retardée au début par l'enrobage gastrorésistant des dragées.
  • -Des concentrations plasmatiques maximales moyennes de 1.5 µg/ml sont atteintes 2 h en moyenne après la prise d'une dragée à 50 mg. La prise des dragées pendant ou après un repas ralentit le passage gastrique, par rapport à une administration avant le repas. La quantité de diclofénac absorbée reste cependant identique.
  • +L'absorption du diclofénac se fait après le passage des capsules dans l'estomac; elle est complète et rapide mais il est possible qu'elle soit retardée au début par l'enrobage gastrorésistant des capsules.
  • +Des concentrations plasmatiques maximales moyennes de 1.5 µg/ml sont atteintes 2 h en moyenne après la prise d'une capsule à 50 mg. La prise des capsules pendant ou après un repas ralentit le passage gastrique, par rapport à une administration avant le repas. La quantité de diclofénac absorbée reste cependant identique.
  • -La résorption du diclofénac commence rapidement après administration des suppositoires bien que la vitesse de résorption soit plus lente que pour les capsules administrées par voie orale. Après administration de suppositoires à 50 mg, les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes en 1 heure en moyenne, mais les concentrations maximales par unité de prise correspondent environ aux deux tiers de celles que l'on obtient après administration des capsules.
  • +L'absorption du diclofénac commence rapidement après l'administration des suppositoires bien que la vitesse d'absorption soit plus lente que pour les capsules administrées par voie orale. Après administration de suppositoires à 50 mg, les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes en 1 heure en moyenne, mais les concentrations maximales par unité de prise correspondent environ aux deux tiers de celles que l'on obtient après la prise des capsules.
  • -Chez les insuffisants rénaux, la cinétique de dose unique administrée selon le schéma posologique habituel ne permet pas de conclure à une accumulation du principe actif inchangé. Lorsque la clairance de la créatinine est inférieure à 10 ml/min., la concentration plasmatique des métabolites à l'état d'équilibre théorique est environ quatre fois supérieure à celle enregistrée chez les sujets sains. Les métabolites sont finalement éliminés par voie biliaire.
  • +Chez les insuffisants rénaux, la cinétique de dose unique administrée selon le schéma posologique habituel ne permet pas de conclure à une accumulation du principe actif inchangé. Lorsque la clairance de la créatinine est inférieure à 10 ml/min., la concentration plasmatique des métabolites à l'état d'équilibre est environ quatre fois supérieure à celle enregistrée chez les sujets sains. Les métabolites sont finalement éliminés par voie biliaire.
  • -Septembre 2016.
  • +Septembre 2017.
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