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Accueil - Information professionnelle sur Inflamac 25 mg - Changements - 09.04.2024
142 Changements de l'information professionelle Inflamac 25 mg
  • -Formes inflammatoires et dégénératives du rhumatisme: polyarthrite rhumatoïde, arthrite chronique juvénile, spondylarthrite ankylosante, arthroses et arthroses vertébrales.
  • +Formes inflammatoires et dégénératives du rhumatisme: polyarthrite chronique, arthrite chronique juvénile, spondylarthrite ankylosante et arthroses (notamment spondylarthrose).
  • -États inflammatoires et œdémateux douloureux post-traumatiques et post-opératoires, p.ex. chirurgie dentaire / stomatologique ou orthopédique.
  • -États douloureux et/ou inflammatoires en gynécologie, p.ex. dysménorrhée primaire ou annexite.
  • +États inflammatoires et œdémateux douloureux post-traumatiques et postopératoires, p.ex. chirurgie dentaire / stomatologique ou orthopédique.
  • +États douloureux et/ou inflammatoires en gynécologie, par ex. dysménorrhée primaire ou annexite.
  • -Comme adjuvant dans les infections inflammatoires douloureuses graves de la gorge, du nez ou de l'oreille, par ex. pharyngoamygdalite, otite.
  • -Conformément aux principes médicaux généraux, traiter l'affection sous-jacente avec les mesures thérapeutiques appropriées. La fièvre seule ne constitue pas une indication.
  • +Comme adjuvant dans les infections inflammatoires douloureuses aiguës de la gorge, du nez ou de l'oreille, par ex. pharyngoamygdalite, otite.
  • +Conformément aux principes médicaux généraux, des mesures thérapeutiques appropriées doivent être prises pour traiter l'affection sous-jacente. La fièvre seule ne constitue pas une indication.
  • -De manière générale, il est recommandé d'adapter individuellement la posologie. Administrer la dose minimale efficace sur une durée la plus courte possible pour contrôler les symptômes permet de réduire les effets indésirables (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +De manière générale, il est recommandé d'adapter individuellement la posologie. L'administration de la dose minimale efficace sur la durée la plus courte possible pour contrôler les symptômes permet de réduire les effets indésirables (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -La posologie initiale recommandée est de 100–150 mg par jour pour les capsules Inflamac. Dans les cas bénins et lors de traitement à long terme, 75–100 mg par jour sont habituellement suffisants.
  • +La posologie initiale recommandée est de 100–150 mg par jour pour les capsules Inflamac. Dans les cas bénins et lors d'un traitement à long terme, 75–100 mg par jour sont habituellement suffisants.
  • -Les capsules doivent être prises avec du liquide, de préférence avant les repas; ne pas diviser, ni mâcher.
  • +Les capsules doivent être prises avec une boisson, de préférence avant les repas; ne pas diviser, ni mâcher.
  • -En général, un traitement par Inflamac n'est pas recommandé pour les patients atteints d'une maladie cardiovasculaire ou d'hypertension non contrôlée. Si nécessaire, les patients atteints d'une maladie cardiovasculaire, d'hypertension non contrôlée ou présentant des facteurs de risque cardiovasculaires importants ne doivent être traités par Inflamac qu'après une évaluation méticuleuse et, en cas d'administration sur plus de 4 semaines, seulement par des doses quotidiennes maximales de 100 mg (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +En général, un traitement par Inflamac n'est pas recommandé pour les patients atteints d'une maladie cardiovasculaire ou d'hypertension non contrôlée. Si nécessaire, les patients atteints d'une maladie cardiovasculaire, d'hypertension non contrôlée ou présentant des facteurs de risque cardiovasculaires importants ne doivent être traités par Inflamac qu'après une évaluation méticuleuse et, en cas d'administration pendant plus de 4 semaines, seulement à des doses quotidiennes maximales de 100 mg (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Inflamac est contre-indiqué chez les patients atteints d'insuffisance hépatique (cf. «Contre-indications»).
  • -Aucune étude spécifique n'a été réalisée chez des patients avec une fonction hépatique limitée; il n'est donc pas possible de donner des recommandations spécifiques concernant un ajustement de la dose. Il convient de faire preuve de prudence lors de l'administration d'Inflamac aux patients avec des troubles légers à modérés de la fonction hépatique (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Inflamac est contre-indiqué chez les patients atteints d'insuffisance hépatique (voir «Contre-indications»).
  • +Aucune étude spécifique n'a été réalisée chez des patients présentant une insuffisance hépatique limitée; il n'est donc pas possible de donner des recommandations spécifiques concernant un ajustement de la posologie. Il convient de faire preuve de prudence lors de l'administration d'Inflamac aux patients avec des troubles légers à modérés de la fonction hépatique (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Inflamac est contre-indiqué chez les patients atteints d'insuffisance rénale (DFG < 15 ml/min/1,73 m²) (cf. «Contre-indications»).
  • -Aucune étude spécifique n'a été réalisée chez des patients avec une fonction rénale limitée; il n'est donc pas possible de donner des recommandations spécifiques concernant un ajustement de la dose. Il convient de faire preuve de prudence lors de l'administration d'Inflamac aux patients avec des troubles de la fonction rénale (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Inflamac est contre-indiqué chez les patients atteints d'insuffisance rénale (DFG < 15 ml/min/1,73 m²) (voir «Contre-indications»).
  • +Aucune étude spécifique n'a été réalisée chez des patients avec une insuffisance rénale limitée; il n'est donc pas possible de donner des recommandations spécifiques concernant un ajustement de la posologie. Il convient de faire preuve de prudence lors de l'administration d'Inflamac aux patients avec des troubles de la fonction rénale (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Aucun ajustement de la dose initiale n'est en principe nécessaire chez les patients âgés. Pour des raisons médicales de principe, la prudence est cependant recommandée chez les patients âgés, surtout chez les patients âgés fragiles ou de faible poids corporel (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Aucun ajustement de la dose initiale n'est en principe nécessaire chez les patients âgés. Pour des raisons médicales fondamentales, la prudence est cependant recommandée chez les patients âgés, surtout chez les patients âgés fragiles ou de faible poids corporel (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Les capsules Inflamac à 50 mg ne conviennent pas en pédiatrie en raison de leur teneur en principe actif.
  • +Les capsules Inflamac à 50 mg ne sont pas recommandés chez les enfants en raison de leur teneur en principe actif.
  • -Antécédent de bronchospasme, angioedème, urticaire, rhinite aiguë, polypes de la muqueuse nasale ou symptômes de type allergique après la prise d'acide acétylsalicylique ou d'un autre anti-inflammatoire non stéroïdien.
  • -Troisième trimestre de la grossesse (cf. «Grossesse/Allaitement»).
  • -Ulcères gastriques et/ou duodénaux actifs ou hémorragies gastro-intestinales ou perforation.
  • -Maladies intestinales inflammatoires (comme la maladie de Crohn, la colite ulcéreuse).
  • +Antécédents de bronchospasme, angiœdème, urticaire, rhinite aiguë, polypes de la muqueuse nasale ou symptômes de type allergique après la prise d'acide acétylsalicylique ou d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens.
  • +Troisième trimestre de la grossesse (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • +Ulcères gastriques et/ou duodénaux actifs ou hémorragies ou perforations gastro-intestinales.
  • +Maladies intestinales inflammatoires (telles que maladie de Crohn, la colite ulcéreuse).
  • -Insuffisance rénale (DFG < 15 ml/m/1.73 m²).
  • +Insuffisance rénale (DFG < 15 ml/m/1,73 m²).
  • -Traitement de douleurs postopératoires après une opération de pontage coronarien (et utilisation d'une circulation extracorporelle).
  • +Traitement des douleurs postopératoires après un pontage coronarien (et utilisation d'une circulation extracorporelle).
  • -Précautions générales d'emploi des anti-inflammatoires non stéroïdiens par voie systémique
  • -Des ulcères gastro-intestinaux, hémorragies ou perforations peuvent apparaître sous traitement par des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), COX-2 sélectifs ou non, à tout moment et sans signes avant-coureurs ou indication anamnestique. Afin de diminuer ce risque, il faut utiliser la dose minimale efficace sur la période de traitement la plus courte possible.
  • -Pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2, des études contrôlées par placebo ont révélé un risque plus élevé de complications thrombotiques cardio- ou cérébrovasculaires. On ne sait pas encore si ce risque est en corrélation directe avec la sélectivité COX-1/COX-2 des AINS concernés. Comme il n'existe pas actuellement de données cliniques comparables lors de traitement sous diclofénac au long cours à des doses maximales, un risque similaire ne peut être exclu. Jusqu'à l'obtention de telles données, il ne faut utiliser le diclofénac qu'après avoir soigneusement évalué le rapport risques/bénéfices en cas de maladies coronaires cliniquement avérées, d'affections vasculaires cérébrales, d'artériopathies oblitérantes périphériques ou chez les patients avec des facteurs de risque importants (par ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète, tabagisme). Pour ces mêmes raisons, il faut administrer la dose minimale efficace pour une durée de traitement la plus courte possible.
  • -La rétention liquidienne avec œdèmes et/ou l'hypertension artérielle sont les effets rénaux des AINS. Chez les patients ayant une fonction cardiaque compromise, et dans les autres situations prédisposant à la rétention liquidienne, le diclofénac doit être utilisé avec prudence. Celle-ci est aussi recommandée chez les patients prenant simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l'ECA, ainsi qu'en cas de risque élevé d'hypovolémie.
  • -Chez les personnes âgées, les conséquences sont généralement plus sévères. En cas d'hémorragie ou d'ulcération gastro-intestinale chez un patient sous Inflamac, le traitement doit être interrompu.
  • +Mises en garde générales pour l'utilisation d'anti-inflammatoires non stéroïdiens systémiques
  • +Des ulcères, des hémorragies ou des perforations gastro-intestinales peuvent survenir sous traitement par des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), COX-2 sélectifs ou non, à tout moment et sans signes avant-coureurs ou antécédents connus. Afin de diminuer ce risque, il convient d'utiliser la dose minimale efficace pendant la durée de traitement la plus courte possible.
  • +Pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2, des études contrôlées par placebo ont révélé un risque accru de complications thrombotiques cardio- ou cérébrovasculaires. On ne sait pas encore si ce risque est en corrélation directe avec la sélectivité COX-1/COX-2 des AINS concernés. Comme il n'existe pas actuellement de données cliniques comparables sur le traitement de longue durée par diclofénac à des doses maximales, un risque similaire ne peut être exclu. Jusqu'à l'obtention de ces données, le diclofénac ne doit être utilisé qu'après avoir soigneusement évalué le rapport bénéfice-risque en cas de maladie coronarienne cliniquement avérée, d'affections cérébrovasculaires, d'artériopathie oblitérante périphérique ou chez les patients présentant des facteurs de risque importants (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme). Pour ces mêmes raisons, il convient d'administrer la dose minimale efficace pendant la durée de traitement la plus courte possible.
  • +La rétention liquidienne avec œdèmes et/ou l'hypertension artérielle figurent parmi les effets rénaux des AINS. Chez les patients présentant une atteinte de la fonction cardiaque ou d'autres états prédisposant à la rétention liquidienne, le diclofénac doit être utilisé avec prudence. Celle-ci est aussi recommandée chez les patients prenant simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l'ECA, ainsi qu'en cas de risque accru d'hypovolémie.
  • +Chez les personnes âgées, les conséquences sont généralement plus graves. En cas d'hémorragies ou d'ulcères gastro-intestinaux chez les patients sous Inflamac, le traitement doit être arrêté.
  • -Des cas de réactions cutanées sévères parfois fatales, comme une dermatite exfoliative, un syndrome de Stevens-Johnson ou une nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell) ainsi qu'un syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS) ont été très rarement rapportés en relation avec l'administration d'AINS y compris Inflamac (cf. «Effets indésirables»). Le risque pour les patients semble être le plus important en début de traitement, la réaction survenant généralement au cours du premier mois de traitement. La prise d'Inflamac doit être interrompue lors des premiers signes d'éruption cutanée, de lésions des muqueuses ou d'autres signes d'hypersensibilité.
  • -Comme avec d'autres AINS, sous diclofénac, des réactions allergiques, y compris anaphylactiques/anaphylactoïdes, peuvent apparaître dans de rares cas, même en l'absence de toute exposition antérieure à ce médicament.
  • -Masquage des signes d'une infection
  • +Des cas de réactions cutanées graves parfois fatales, comme une dermatite exfoliative, un syndrome de Stevens-Johnson ou une nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell) ainsi qu'un syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS) ont été très rarement rapportés en relation avec l'administration d'AINS, y compris Inflamac (voir «Effets indésirables»). Le risque pour les patients semble être maximal en début de traitement, la réaction survenant généralement au cours du premier mois de traitement. La prise d'Inflamac doit être arrêtée dès l'apparition des premiers signes d'éruption cutanée, de lésions des muqueuses ou d'autres signes d'hypersensibilité.
  • +Comme avec d'autres AINS, des réactions allergiques, y compris anaphylactiques/anaphylactoïdes, peuvent apparaître dans de rares cas sous diclofénac, même en l'absence de toute exposition antérieure à ce médicament.
  • +Occultation des signes d'une infection
  • -L'administration conjointe d'Inflamac et d'autres AINS systémiques, comme les inhibiteurs sélectifs de la cyclooxygénase-2, est à éviter, vu qu'il existe un risque d'effets indésirables additifs (cf. «Interactions»).
  • -En se basant sur des considérations médicales générales, la prudence s'impose chez les sujets très âgés. Il est recommandé en particulier d'administrer la dose minimale efficace chez les patients âgés fragiles ou chez ceux dont le poids corporel est faible.
  • +L'administration concomitante d'Inflamac et d'autres AINS systémiques, comme les inhibiteurs sélectifs de la cyclooxygénase-2, est à éviter en raison du risque d'effets indésirables cumulés (voir «Interactions»).
  • +Pour des raisons médicales fondamentales, la prudence s'impose chez les patients âgés. Il est recommandé en particulier d'administrer la dose minimale efficace chez les patients âgés fragiles ou chez ceux dont le poids corporel est faible.
  • -Chez les patients avec un asthme, une rhinite allergique saisonnière, une enflure de la muqueuse nasale (c'est-à-dire des polypes nasaux), une broncho-pneumopathie chronique obstructive ou une infection chronique des voies respiratoires (en particulier si elle est en corrélation avec des symptômes similaires à ceux d'une rhinite allergique), les réactions aux AINS sous la forme d'une exacerbation de l'asthme (dite intolérance aux analgésiques/asthme aux analgésiques), un œdème de Quincke ou une urticaire sont plus fréquentes que chez d'autres patients. C'est pourquoi une prudence particulière est de rigueur chez ces patients (mesures d'urgence). Ceci est valable également pour les patients qui présentent une réaction allergique à d'autres substances sous la forme d'une éruption cutanée, d'un prurit ou d'une urticaire.
  • +Chez les patients présentant un asthme, une rhinite allergique saisonnière, des excroissances de la muqueuse nasale (c'est-à-dire des polypes nasaux), une broncho-pneumopathie chronique obstructive ou une infection chronique des voies respiratoires (en particulier si elle est en corrélation avec des symptômes similaires à ceux d'une rhinite allergique), les réactions aux AINS sous la forme d'une exacerbation de l'asthme (intolérance aux analgésiques/asthme induit par les analgésiques), d'un œdème de Quincke ou d'une urticaire sont plus fréquentes que chez d'autres patients. C'est pourquoi une prudence particulière est de rigueur chez ces patients (préparation à intervenir en cas d'urgence). Cela est valable également pour les patients qui présentent une réaction allergique à d'autres substances sous la forme d'une éruption cutanée, d'un prurit ou d'une urticaire.
  • -Une surveillance médicale étroite est préconisée comme pour tous les AINS y compris le diclofénac, et une précaution particulière est indiquée lors de la prescription de Inflamac aux patients ayant des symptômes évoquant des affections gastro-intestinales ou des patients avec une anamnèse d'ulcères, d'hémorragies ou de perforations gastriques ou intestinales (cf. «Effets indésirables»). Le risque d'hémorragie gastro-intestinale est plus important avec une dose d'AINS plus élevée, de même que chez les patients avec une anamnèse d'ulcère, en particulier lors de complications telles qu'hémorragie ou une perforation ou s'il s'agit d'un patient âgé.
  • -Afin de réduire le risque de toxicité gastro-intestinale chez les patients avec une anamnèse d'ulcère, en particulier lors de complications telles qu'une hémorragie ou une perforation ou s'il s'agit d'un patient âgé, le traitement devrait être instauré et poursuivi à la dose minimale efficace.
  • -Il faut envisager la possibilité d'un traitement combiné à des substances protectrices (inhibiteurs de la pompe à protons ou misoprostol p.ex.) chez ces patients de même que chez ceux qui nécessitent une faible dose d'acide acétylsalicylique (AAS) ou d'autres médicaments qui augmentent potentiellement le risque gastro-intestinal.
  • -Les patients qui ont des antécédents de toxicité gastro-intestinale, en particulier les patients âgés, devraient signaler tout symptôme abdominal inhabituel (surtout une hémorragie gastro-intestinale). La prudence s'impose chez les patients qui reçoivent simultanément des médicaments pouvant accroître le risque d'une ulcération ou d'une hémorragie comme par exemple les corticoïdes systémiques, les anticoagulants, les anti-thrombotiques ou les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (cf. «Interactions»).
  • -Les AINS, y compris le diclofénac, peuvent être liés à un risque accru de fuites d'anastomose gastro-intestinale. La prudence s'impose en cas d'utilisation de Inflamac après une opération gastro-intestinale et une surveillance médicale étroite est recommandée.
  • +Une surveillance médicale étroite est préconisée comme pour tous les AINS, y compris le diclofénac, et une précaution particulière est indiquée lors de la prescription de Inflamac aux patients ayant des symptômes évoquant des affections gastro-intestinales ou aux patients ayant des antécédents d'ulcères, d'hémorragies ou de perforations gastriques ou intestinaux (voir «Effets indésirables»). Le risque d'hémorragie gastro-intestinale est plus important avec une dose d'AINS plus élevée, de même que chez les patients ayant des antécédents d'ulcère, en particulier lors de complications telles qu'une hémorragie ou une perforation, ou chez les patients âgés.
  • +Afin de réduire le risque de toxicité gastro-intestinale chez les patients ayant des antécédents d'ulcère, en particulier lors de complications supplémentaires telles qu'une hémorragie ou une perforation, et chez les patients âgés, le traitement doit être instauré et poursuivi à la dose minimale efficace.
  • +Il convient d'envisager un traitement combiné à des substances protectrices (inhibiteurs de la pompe à protons ou misoprostol p. ex.) chez ces patients, de même que chez ceux qui nécessitent en concomitance de faibles doses d'acide acétylsalicylique (AAS) ou d'autres médicaments qui augmentent potentiellement le risque gastro-intestinal.
  • +Les patients qui ont des antécédents de toxicité gastro-intestinale, en particulier les patients âgés, devraient signaler tout symptôme abdominal inhabituel (surtout une hémorragie gastro-intestinale). La prudence s'impose chez les patients qui reçoivent simultanément des médicaments pouvant accroître le risque d'ulcère ou d'hémorragie, tels que les corticostéroïdes systémiques, les anticoagulants, les antithrombotiques ou les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (voir «Interactions»).
  • +Les AINS, y compris le diclofénac, peuvent être asscociés à un risque accru de fuite anastomotique gastro-intestinale. La prudence s'impose en cas d'utilisation de Inflamac après une chirurgie gastro-intestinale et une surveillance médicale étroite est recommandée.
  • -Une surveillance médicale étroite est nécessaire en cas d'administration de Inflamac à des patients avec une insuffisance hépatique, car cela pourrait péjorer leur affection (cf. «Effets indésirables»).
  • -Comme avec tous les AINS y compris le diclofénac, les valeurs d'une ou de plusieurs enzymes hépatiques peuvent augmenter sous Inflamac. Ceci a été observé très fréquemment avec le diclofénac au cours d'études cliniques (chez environ 15% des patients) mais ne s'accompagne cependant que rarement de symptômes cliniques. Dans la plupart des cas, il s'agit d'élévations limitées. Fréquemment, (dans 2,5% des cas), il s'agissait d'une augmentation modérée des enzymes hépatiques (≥3 - < 8x la limite supérieure de la norme) alors que l'incidence des augmentations marquées (≥8x la limite supérieure de la norme) n'était que d'env. 1%. Au cours des études cliniques mentionnées ci-dessus, parallèlement à l'augmentation des enzymes hépatiques, des lésions hépatiques cliniquement manifestes ont été observées dans 0,5% des cas. En général, l'augmentation des enzymes hépatiques était réversible après l'arrêt du traitement.
  • -Comme avec les autres AINS la fonction hépatique doit aussi être contrôlée étroitement en cas de traitement prolongé par Inflamac.
  • -Le traitement par Inflamac doit être interrompu lorsque les anomalies des valeurs hépatiques persistent ou s'aggravent ainsi que lorsqu'apparaissent des signes ou symptômes cliniques faisant suspecter le développement d'une hépatopathie ou d'autres manifestations (p.ex. éosinophilie, éruption cutanée, etc.).
  • -Parallèlement à l'augmentation des enzymes hépatiques, de rares cas de réactions hépatiques graves, y compris d'ictère, d'hépatite fulminante de nécrose hépatique et de défaillance hépatique, qui dans des cas isolés, ont entraîné la mort, ont été rapportés.
  • -Une hépatite peut se produire sans symptômes avant-coureurs. La prudence s'impose chez les patients atteints de porphyrie hépatique car Inflamac pourrait déclencher une crise.
  • +Une surveillance médicale étroite est nécessaire en cas d'administration de Inflamac à des patients avec une insuffisance hépatique, car cela pourrait aggraver leur affection (voir «Effets indésirables»).
  • +Comme avec tous les AINS y compris le diclofénac, les valeurs d'une ou de plusieurs enzymes hépatiques peuvent augmenter sous Inflamac. Cela a été observé très fréquemment avec le diclofénac au cours d'études cliniques (chez environ 15% des patients), mais ne s'accompagne cependant que rarement de symptômes cliniques. Dans la plupart des cas, il s'agit d'élévations limitées. Fréquemment, (dans 2,5% des cas), il s'agissait d'une augmentation modérée des enzymes hépatiques (≥3 < 8 x la limite supérieure de la normale) alors que l'incidence des augmentations marquées (≥8 x la limite supérieure de la normale) n'était que d'env. 1%. Au cours des études cliniques mentionnées ci-dessus, parallèlement à l'augmentation des enzymes hépatiques, des lésions hépatiques cliniquement manifestes ont été observées dans 0,5% des cas. En général, l'augmentation des enzymes hépatiques était réversible après l'arrêt du traitement.
  • +Comme avec les autres AINS, la fonction hépatique doit aussi être contrôlée étroitement en cas de traitement de longue durée par Inflamac.
  • +Le traitement par Inflamac doit être interrompu lorsque les anomalies des valeurs hépatiques persistent ou s'aggravent et lorsqu'apparaissent des signes ou symptômes cliniques faisant suspecter le développement d'une hépatopathie ou d'autres manifestations (par ex. éosinophilie, éruption cutanée, etc.).
  • +Outre l'augmentation des enzymes hépatiques, de rares cas de réactions hépatiques graves, y compris d'ictère, d'hépatite fulminante de nécrose hépatique et de défaillance hépatique, qui dans des cas isolés, ont entraîné la mort, ont été rapportés.
  • +Une hépatite peut survenir sans symptômes avant-coureurs. La prudence s'impose chez les patients atteints de porphyrie hépatique, car Inflamac pourrait déclencher une crise.
  • -Compte tenu de l'importance des prostaglandines dans le maintien de la perfusion rénale, un traitement prolongé d'AINS à hautes doses, y compris de diclofénac provoque souvent (1–10%) des œdèmes et une hypertension. Une prudence particulière s'impose chez les sujets présentant une atteinte fonctionnelle cardiaque ou rénale, une anamnèse d'hypertension, chez les patients âgés, les patients sous diurétiques ou sous médicaments influençant sensiblement la fonction rénale ainsi que chez les patients présentant un important déficit de liquide extracellulaire, quelle qu'en soit la cause, p.ex. dans la phase pré- ou post-opératoire lors d'interventions chirurgicales lourdes (cf. «Contre-indications»). C'est pourquoi, lorsque Inflamac est utilisé dans ces cas-là, il est recommandé de surveiller la fonction rénale par mesure de précaution. L'arrêt du traitement permet généralement de retrouver l'état antérieur au traitement.
  • +Compte tenu de l'importance des prostaglandines dans le maintien de la perfusion rénale, un traitement de longue durée par des AINS à hautes doses, y compris le diclofénac, provoque fréquemment (dans 1–10% des cas) des œdèmes et une hypertension. Une prudence particulière s'impose chez les patients présentant une atteinte de la fonction cardiaque ou rénale, des antécédents d'hypertension, chez les patients âgés, chez les patients traités par des diurétiques ou des médicaments pouvant influencer sensiblement la fonction rénale ainsi que chez les patients présentant une diminution importante du volume de liquide extracellulaire, quelle qu'en soit la cause, p.ex. dans la phase pré- ou postopératoire lors d'interventions chirurgicales lourdes (voir «Contre-indications»). Lorsque Inflamac est utilisé dans ces cas-là, il est recommandé de surveiller la fonction rénale par mesure de précaution. L'arrêt du traitement permet généralement de retrouver l'état antérieur au traitement.
  • -Généralement, le traitement par Inflamac n'est pas recommandé chez les patients atteints d'une maladie cardiovasculaire (insuffisance cardiaque, cardiopathie ischémique préexistante, artériopathie oblitérante des membres inférieurs) ou d'hypertension non contrôlée. Si nécessaire, les patients avec une cardiopathie préexistante, une hypertension non contrôlée ou des facteurs de risque cardiovasculaires importants (par ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète, tabagisme) doivent être traités par Inflamac qu'après une évaluation méticuleuse et, en cas d'administration sur plus de 4 semaines, seulement par des doses quotidiennes maximales de 100 mg/jour.
  • +Généralement, le traitement par Inflamac n'est pas recommandé chez les patients atteints d'une maladie cardiovasculaire (insuffisance cardiaque, cardiopathie ischémique préexistante, artériopathie oblitérante périphérique) ou d'hypertension non contrôlée. Si nécessaire, les patients atteints d'une maladie cardiovasculaire ou d'hypertension non contrôlée ou présentant des facteurs de risque cardiovasculaires importants (par ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré et tabagisme) ne doivent être traités par Inflamac qu'après une évaluation méticuleuse et, en cas d'administration pendant plus de 4 semaines, seulement à des doses quotidiennes maximales de 100 mg/jour.
  • -Les patients doivent faire attention aux signes et symptômes d'événements artériels thromboemboliques sévères (par ex. douleurs thoraciques, souffle court, faiblesse, troubles de l'élocution), qui peuvent survenir sans signes annonciateurs. Il faut enjoindre aux patients de consulter immédiatement un médecin en cas de survenue d'un tel événement.
  • +Les patients doivent faire attention aux signes et symptômes d'événements thromboemboliques artériels graves (par ex. douleurs thoraciques, essoufflement, faiblesse, troubles de l'élocution), qui peuvent survenir sans signes annonciateurs. Il faut enjoindre aux patients de consulter immédiatement un médecin en cas de survenue d'un tel événement.
  • -Un contrôle de la formule sanguine est recommandé lors de traitement prolongé avec Inflamac ou d'autres AINS.
  • +Un contrôle de la formule sanguine est recommandé lors d'un traitement de longue durée par Inflamac ou d'autres AINS.
  • -Les interactions suivantes peuvent être observées sous Inflamac et/ou sous d'autres formes d'administration du diclofénac.
  • +Les interactions suivantes peuvent être observées sous Inflamac et/ou sous d'autres formes pharmaceutiques du diclofénac.
  • -La prudence est de rigueur en cas d'utilisation concomitante de diclofénac et d'inducteurs du CYP2C9 (p.ex. rifampicine). Ceux-ci peuvent être à l'origine d'une diminution significative de la concentration plasmatique et de l'exposition par diclofénac.
  • +La prudence est de rigueur en cas d'utilisation concomitante de diclofénac et d'inducteurs du CYP2C9 (par ex. rifampicine). Ceux-ci peuvent être à l'origine d'une diminution significative de la concentration plasmatique et de l'exposition au diclofénac.
  • -La prudence est de rigueur lorsque le diclofénac est utilisé en même temps que des inhibiteurs du CYP2C9 (par ex. voriconazole). Ceux-ci peuvent être à l'origine d'une augmentation significative du pic de concentration plasmatique de diclofénac et, globalement, d'une exposition accrue au diclofénac.
  • +La prudence est de rigueur en cas d'utilisation concomitante du diclofénac et d'inhibiteurs du CYP2C9 (par ex. voriconazole). Ceux-ci peuvent être à l'origine d'une augmentation significative du pic de concentration plasmatique de diclofénac et, globalement, d'une exposition accrue au diclofénac.
  • -Lors d'administration concomitante, le diclofénac peut augmenter la concentration plasmatique du lithium. Un contrôle des taux sériques de lithium est recommandé.
  • +Lors d'une administration concomitante, le diclofénac peut augmenter la concentration plasmatique du lithium. Un contrôle des taux sériques de lithium est recommandé.
  • -Diurétiques et anti-hypertenseurs
  • -Comme avec d'autres AINS, l'administration conjointe du diclofénac avec des diurétiques ou des anti-hypertenseurs (bêtabloquants, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC) par ex.) peut provoquer une diminution de leurs effets anti-hypertenseurs. C'est pourquoi il faut être prudent dans l'utilisation d'une association médicamenteuse de ce type et contrôler régulièrement la tension artérielle, notamment chez les patients âgés. Il faut veiller à une hydratation suffisante des patients et la fonction rénale doit être surveillée de près après instauration du traitement combiné et par la suite régulièrement, surtout avec les diurétiques et les inhibiteurs de l'enzyme de conversion, en raison d'un risque élevé de néphrotoxicité (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Diurétiques et antihypertenseurs
  • +Comme avec d'autres AINS, l'administration conjointe du diclofénac avec des diurétiques ou des antihypertenseurs (p.ex. bêtabloquants, inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine [ECA]) peut provoquer une diminution de leurs effets antihypertenseurs. C'est pourquoi la prudence est de mise lors de l'utilisation d'une association médicamenteuse de ce type et la tension artérielle doit être contrôlée régulièrement, notamment chez les patients âgés. Il convient de veiller à une hydratation suffisante des patients et la fonction rénale doit être contrôlée après l'instauration du traitement combiné et régulièrement par la suite, surtout avec les diurétiques et les inhibiteurs de l'ECA, en raison d'un risque accru de néphrotoxicité (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Comme d'autres AINS, le diclofénac peut accroître la néphrotoxicité de la ciclosporine et du tacrolimus par ses effets sur les prostaglandines rénales. Pour cette raison, le diclofénac doit être administré à des doses plus faibles chez les patients qui reçoivent de la ciclosporine ou du tacrolimus par rapport à ceux qui n'en reçoivent pas.
  • -Médicaments connus pour provoquer une hyperkaliémie
  • -Le traitement concomitant par des diurétiques d'épargne potassique, de la ciclosporine, du tacrolimus ou du triméthoprime peut être associé à une augmentation des concentrations plasmatiques de potassium qu'il convient donc de contrôler fréquemment (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Comme d'autres AINS, le diclofénac peut accroître la néphrotoxicité de la ciclosporine et du tacrolimus par ses effets sur les prostaglandines rénales. Pour cette raison, le diclofénac doit être administré à des doses plus faibles chez les patients recevant de la ciclosporine ou du tacrolimus que chez ceux qui n'en reçoivent pas.
  • +Médicaments induisant une hyperkaliémie avérée
  • +Le traitement concomitant par des diurétiques d'épargne potassique, la ciclosporine, le tacrolimus ou le triméthoprime peut être associé à une augmentation des concentrations plasmatiques de potassium, qu'il convient donc de contrôler fréquemment (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Des cas isolés de convulsions qui auraient pu être dues à l'association d'AINS et de quinolones ont été rapportés.
  • +Des cas isolés de convulsions qui pourraient être dues à l'association d'AINS et de quinolones ont été rapportés.
  • -L'administration concomitante du diclofénac avec d'autres AINS ou des corticostéroïdes par voie systémique peut augmenter la fréquence des effets indésirables gastro-intestinaux (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Anticoagulants et anti-thrombotiques
  • -La prudence est de rigueur, car une administration conjointe pourrait augmenter le risque d'hémorragies (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Bien que les études cliniques n'indiquent pas que le diclofénac influence l'effet des anticoagulants, des cas de risque accru d'hémorragie lors d'emploi concomitant du diclofénac et d'anticoagulants ont été rapportés; c'est pourquoi une surveillance étroite est recommandée dans de tels cas.
  • +L'administration concomitante du diclofénac avec d'autres AINS ou des corticostéroïdes par voie systémique peut augmenter la fréquence des effets indésirables gastro-intestinaux (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Anticoagulants et antithrombotiques
  • +La prudence est de rigueur, car une administration concomitante pourrait augmenter le risque d'hémorragies (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Bien que les études cliniques n'indiquent pas que le diclofénac influence l'effet des anticoagulants, des cas de risque accru d'hémorragie lors de l'utilisation concomitante du diclofénac et d'anticoagulants ont été rapportés. C'est pourquoi une surveillance étroite est recommandée dans de tels cas.
  • -L'administration concomitante d'AINS, y compris de diclofénac, par voie systémique et d'ISRS peut augmenter le risque d'hémorragies gastro-intestinales (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +L'administration concomitante d'AINS, y compris le diclofénac, par voie systémique et d'ISRS peut augmenter le risque d'hémorragies gastro-intestinales (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Des essais cliniques ont montré que le diclofénac peut être administré conjointement avec des antidiabétiques oraux sans en modifier leur effet clinique. Cependant, des cas isolés d'effets hypoglycémiants et hyperglycémiants après administration de diclofénac ont été rapportés, rendant nécessaire une modification de la posologie des médicaments hypoglycémiants. Pour cette raison il est recommandé, par mesure de précaution, de contrôler les glycémies durant le traitement combiné.
  • -Des cas isolés d'acidose métabolique lors de l'administration concomitante de diclofénac et de metformine ont été rapportés, surtout chez les patients présentant déjà une altération de la fonction rénale.
  • +Des essais cliniques ont montré que le diclofénac peut être administré conjointement avec des antidiabétiques oraux sans modifier leur effet clinique. Cependant, des cas isolés d'effets hypoglycémiants et hyperglycémiants après administration de diclofénac ont été rapportés, rendant nécessaire une modification de la posologie des antidiabétiques. Pour cette raison il est recommandé, par mesure de précaution, de contrôler la glycémie durant le traitement combiné.
  • +Des cas isolés d'acidose métabolique lors de l'administration concomitante de diclofénac et de metformine ont été rapportés, surtout chez les patients présentant déjà une atteinte de la fonction rénale.
  • -La prudence s'impose lorsque des AINS, y compris le diclofénac, sont administrés moins de 24 h avant ou après un traitement au méthotrexate, car la concentration sanguine et la toxicité du méthotrexate peuvent augmenter.
  • +La prudence s'impose lorsque des AINS, y compris le diclofénac, sont administrés moins de 24 h avant ou après un traitement par méthotrexate, car la concentration sanguine et la toxicité du méthotrexate peuvent augmenter.
  • -Lorsque la phénytoïne est utilisée en même temps que le diclofénac, une surveillance de la concentration plasmatique de la phénytoïne est recommandée car il faut s'attendre à une augmentation de l'exposition à la phénytoïne.
  • +Lorsque la phénytoïne est utilisée en association avec le diclofénac, une surveillance de la concentration plasmatique de la phénytoïne est recommandée, car une augmentation de l'exposition à la phénytoïne est attendue.
  • -Il a été démontré chez l'animal que l'administration d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines entraîne une augmentation des pertes pré et post-implantatoires et une létalité embryo-fœtale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, y compris des malformations cardiovasculaires, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines durant la phase de l'organogenèse (cf. «Données précliniques»).
  • -Premier / deuxième trimestres
  • -Durant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, le diclofénac ne devrait être administré qu'en cas de nécessité absolue. Si le diclofénac est utilisé par une femme qui désire une grossesse ou pendant le premier ou le deuxième trimestre de la grossesse, la dose devrait être aussi faible que possible et la durée du traitement aussi courte que possible.
  • -Oligoamnios/insuffisance rénale néonatale/constriction du canal artériel
  • -La prise d'AINS à la 20e semaine de grossesse ou plus tard peut entraîner des troubles de la fonction rénale du fœtus, qui peuvent provoquer un oligoamnios et, dans certains cas, une insuffisance rénale néonatale. Ces effets indésirables surviennent en moyenne après quelques jours ou quelques semaines de traitement, bien qu'un oligoamnios ait été rapporté dans de rares cas dès 48 heures après le début du traitement par AINS. L'oligoamnios est souvent, mais pas toujours, réversible lorsque le traitement est arrêté. Parmi les complications potentielles d'un oligoamnios prolongé figurent entre autres des contractures des membres et un retard de maturation des poumons. Après la mise sur le marché, plusieurs cas d'insuffisance rénale néonatale ont nécessité des procédures invasives telles qu'une exsanguino-transfusion ou une dialyse. En outre, une constriction du canal artériel a été observée lors d'un traitement pendant le deuxième trimestre de la grossesse; elle s'est avérée réversible dans la majorité des cas après arrêt du traitement. Envisagez une surveillance échographique du liquide amniotique et du cœur du fœtus si le traitement par Inflamac dure plus de 48 heures. Arrêtez de prendre Inflamac lorsqu'un oligoamnios ou une constriction du canal artériel survient et effectuez un examen de suivi conformément à la pratique clinique.
  • +Il a été démontré chez l'animal que l'administration d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines entraîne une augmentation des pertes pré et post-implantatoires et une létalité embryo-fœtale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, y compris des malformations cardiovasculaires, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines durant la phase de l'organogenèse (voir «Données précliniques»).
  • +Premier et deuxième trimestres
  • +Durant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, le diclofénac ne doit être administré qu'en cas de nécessité absolue. Si le diclofénac est utilisé par une femme qui tente de tomber enceinte ou pendant le premier ou le deuxième trimestre de la grossesse, la dose doit être aussi faible que possible et la durée du traitement aussi courte que possible.
  • +Oligoamnios/insuffisance rénale néonatale / constriction du canal artériel
  • +La prise d'AINS à la 20e semaine de grossesse ou plus tard peut entraîner des troubles de la fonction rénale du fœtus, qui peuvent provoquer un oligoamnios et, dans certains cas, une insuffisance rénale néonatale. Ces effets indésirables surviennent en moyenne après quelques jours ou quelques semaines de traitement, bien qu'un oligoamnios ait été rapporté dans de rares cas dès 48 heures après le début du traitement par AINS. L'oligoamnios est souvent, mais pas toujours, réversible lorsque le traitement est arrêté. Parmi les complications potentielles d'un oligoamnios prolongé figurent entre autres des contractures des membres et un retard de maturation des poumons. Après la mise sur le marché, plusieurs cas d'insuffisance rénale néonatale ont nécessité des procédures invasives telles qu'une exsanguino-transfusion ou une dialyse.
  • +En outre, une constriction du canal artériel a été observée lors d'un traitement pendant le deuxième trimestre de la grossesse; elle s'est avérée réversible dans la majorité des cas après arrêt du traitement.
  • +Envisagez une surveillance échographique du liquide amniotique et du cœur du fœtus si le traitement par Inflamac dure plus de 48 heures. Arrêtez de prendre Inflamac lorsqu'un oligoamnios ou une constriction du canal artériel survient et effectuez un examen de suivi conformément à la pratique clinique.
  • -·toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire, cf. aussi «Données précliniques»)
  • -·trouble de la fonction rénale pouvant évoluer vers une insuffisance rénale avec oligohydramnios.
  • +·toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire, voir aussi «Données précliniques»)
  • +·trouble de la fonction rénale pouvant évoluer vers une insuffisance rénale avec oligoamnios.
  • -·prolongation éventuelle du temps de saignement, un effet antiagrégant plaquettaire pouvant également survenir à très faibles doses,
  • +·allongement éventuel du temps de saignement, un effet antiagrégant plaquettaire pouvant également survenir à très faibles doses,
  • -Comme d'autres AINS, le diclofénac passe en faibles quantités dans le lait maternel. Pour cette raison et par mesure de précaution, le diclofénac ne doit pas être utilisé par les femmes qui allaitent. Si le traitement est indispensable, le nourrisson doit être alimenté au biberon avec une préparation lactée.
  • +Comme d'autres AINS, le diclofénac passe en faibles quantités dans le lait maternel. Pour cette raison et par mesure de précaution, l'utilisation du diclofénac est contre-indiquée chez les femmes qui allaitent. Si le traitement est indispensable, le nourrisson doit être alimenté au biberon.
  • -L'utilisation de diclofénac peut entraver la fertilité féminine et n'est par conséquent pas recommandée chez les femmes désirant concevoir un enfant. Chez les femmes ayant des difficultés de conception ou qui sont en cours d'investigation pour une stérilité, il faut prendre en considération un arrêt éventuel de la prise de diclofénac.
  • -Chez l'animal, une diminution de la fertilité masculine ne peut pas être exclue vu l'existence de données correspondantes (cf. «Données précliniques»). La pertinence de ces observations pour l'être humain n'est pas connue.
  • +L'utilisation du diclofénac peut entraver la fertilité féminine et n'est par conséquent pas recommandée chez les femmes désirant concevoir un enfant. Chez les femmes ayant des difficultés à concevoir ou qui subissent des examens pour une stérilité, l'arrêt de la prise de diclofénac doit être envisagé.
  • +Chez l'animal, une diminution de la fertilité masculine ne peut pas être exclue au vu des données disponibles (voir «Données précliniques»). La pertinence de ces observations pour l'être humain n'est pas connue.
  • -Les patients qui suite à la prise d'Inflamac, souffrent de troubles de la vue, d'étourdissements, de vertiges, de somnolence ou d'autres troubles nerveux centraux doivent renoncer à conduire un véhicule ou utiliser des machines.
  • +Les patients sous Inflamac, souffrent de troubles de la vue, d'étourdissements, de vertiges, de somnolence ou d'autres troubles nerveux centraux doivent renoncer à conduire un véhicule ou à utiliser des machines.
  • -Les effets indésirables mentionnés ci-dessous comprennent ceux qui ont été rapportés pour Inflamac et/ou d'autres formes de présentation du diclofénac, en traitement de courte ou de longue durée.
  • +Les effets indésirables mentionnés ci-dessous comprennent ceux qui ont été rapportés pour Inflamac et/ou d'autres formes pharmaceutiques du diclofénac, en traitement de courte ou de longue durée.
  • -«Très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10'000), «très rares» (<1/10'000).
  • +«Très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (1/100 à <1/10), «occasionnels» (<1/100 à ≥1/1000), «rares» (1/10'000 à <1/1000), «très rares» (<1/10'000).
  • -Très rares: angioœdème (y compris œdème du visage).
  • +Très rares: angiœdème (y compris œdème de la face).
  • -Très rares: troubles de la vision, faiblesse de la vue, diplopie.
  • +Très rares: troubles visuels, faiblesse de la vue, diplopie.
  • -Fréquents: vertiges.
  • -Très rares: acouphène, baisse de l'acuité auditive.
  • +Fréquents: vertige.
  • +Très rares: acouphènes, baisse de l'acuité auditive.
  • -Occasionnels: infarctus du myocarde, insuffisance cardiaque, palpitations, douleurs thoraciques.
  • +Occasionnels*: infarctus du myocarde, insuffisance cardiaque, palpitations, douleurs thoraciques.
  • -Très rares: pneumonie.
  • +Très rares: pneumopathie inflammatoire.
  • -Très rares: colite (y compris colite hémorragique, colite ischémique et exacerbation d'une colite ulcéreuse ou d'une maladie de Crohn), constipation, stomatite, glossite, troubles œsophagiens, affection diaphragmatique intestinale, pancréatite.
  • -Inflamac peut provoquer des états inflammatoires chroniques avec pseudomembranes et strictures dans la région distale de l'intestin (intestin grêle et colon).
  • +Très rares: colite (y compris colite hémorragique, colite ischémique et exacerbation d'une colite ulcéreuse ou d'une maladie de Crohn), constipation, stomatite, glossite, troubles œsophagiens, sténose intestinale en diaphragme, pancréatite.
  • +Inflamac peut provoquer des états inflammatoires chroniques avec pseudomembranes et rétrécissements dans la région distale de l'intestin (intestin grêle et colon).
  • -Rares: hépatite, ictère, insuffisance hépatique.
  • -Très rares: hépatite fulminante, nécrose hépatique, défaillance hépatique.
  • +Rares: hépatite, ictère, trouble de la fonction hépatique.
  • +Très rares: hépatite fulminante, nécrose hépatique, insuffisance hépatique.
  • -Fréquents: éruptions cutanées.
  • +Fréquents: rash cutané.
  • -Fréquents: rétention de liquide, œdèmes.
  • -Très rares: atteinte rénale aiguë (défaillance rénale aiguë), hématurie, protéinurie, néphrite tubulo-interstitielle, syndrome néphrotique, nécrose papillaire.
  • +Fréquents: rétention liquidienne, œdèmes.
  • +Très rares: atteinte rénale aiguë (insuffisance rénale aiguë), hématurie, protéinurie, néphrite tubulo-interstitielle, syndrome néphrotique, nécrose papillaire.
  • -La fréquence reflète les données sous traitement de longue durée à dose élevée (150 mg/jour).
  • -Les méta-analyses d'études cliniques contrôlées et des données pharmaco-épidémiologiques montrent que l'utilisation du diclofénac, en particulier à hautes doses (150 mg par jour) et sur une longue durée, peut être mise en corrélation avec des événements thromboemboliques artériels (infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral par ex.) (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Description des certains effets indésirables
  • -Effets sur l'acuité visuelle
  • +* La fréquence reflète les données sous traitement de longue durée à dose élevée (150 mg/jour).
  • +Les méta-analyses d'études cliniques contrôlées et des données pharmaco-épidémiologiques montrent que l'utilisation du diclofénac, en particulier à hautes doses (150 mg par jour) et sur une longue durée, peut être mise en corrélation avec un risque accru d'événements thromboemboliques artériels (infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral par ex.) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Description d'effets indésirables spécifiques
  • +Influence sur l'acuité visuelle
  • -Il n'existe pas de tableau clinique caractéristique du surdosage du diclofénac. Un surdosage peut engendrer des symptômes tels des vomissements, une hémorragie gastro-intestinale, des diarrhées, des étourdissements, un acouphène ou des convulsions. Une intoxication sévère peut conduire à une insuffisance rénale et à des lésions hépatiques.
  • +Il n'existe pas de tableau clinique caractéristique du surdosage du diclofénac. Un surdosage peut provoquer des symptômes tels que vomissements, hémorragie gastro-intestinale, diarrhées, étourdissements, acouphènes ou convulsions. Une intoxication sévère peut conduire à une insuffisance rénale et à des lésions hépatiques.
  • -Le traitement de l'intoxication aiguë par les AINS, y compris par le diclofénac, consiste essentiellement en une surveillance clinique et en la mise en place de mesures symptomatiques. Les complications telles qu'hypotension, insuffisance rénale, convulsions, irritation gastro-intestinale et dépression respiratoire requièrent une surveillance clinique et un traitement symptomatique.
  • -Des mesures thérapeutiques spécifiques telles que diurèse forcée, dialyse ou hémoperfusion seront probablement inefficaces pour éliminer les AINS, y compris le diclofénac, en raison de leur liaison protéique élevée et de leur métabolisme important.
  • -Le charbon actif peut être éventuellement administré en cas de surdosage potentiellement toxique. Une décontamination gastrique (vomissements forcés, lavage gastrique par ex.) peut être réalisée en cas de surdosage potentiellement létal.
  • +Le traitement de l'intoxication aiguë par les AINS, y compris le diclofénac, consiste essentiellement en des soins de support et un traitement symptomatique. Les complications telles que hypotension, insuffisance rénale, convulsions, troubles gastro-intestinaux et dépression respiratoire requièrent des soins de support et un traitement symptomatique.
  • +Des mesures thérapeutiques spécifiques telles que la diurèse forcée, la dialyse ou l'hémoperfusion seront probablement inefficaces pour éliminer les AINS, y compris le diclofénac, en raison de leur liaison protéique élevée et de leur métabolisme important.
  • +Le charbon actif peut être éventuellement administré en cas de surdosage potentiellement toxique. Une décontamination digestive (vomissements forcés, lavage gastrique par ex.) peut être réalisée en cas de surdosage engageant le pronostic vital.
  • -Inflamac contient du diclofénac sodique, un composé non stéroïdien doté de propriétés antirhumatismales, anti-inflammatoires, analgésiques et antipyrétiques prononcées.
  • -Son mécanisme d'action s'appuie essentiellement sur l'inhibition, prouvée expérimentalement, de la biosynthèse des prostaglandines qui jouent un rôle majeur dans la genèse de l'inflammation, de la douleur et de la fièvre. In vitro, à des concentrations équivalentes à celles que l'on atteint chez l'homme, le diclofénac n'inhibe pas la biosynthèse des protéoglycanes dans le cartilage.
  • +Inflamac contient du diclofénac sodique, une substance active non stéroïdienne dotée de propriétés antirhumatismales, anti-inflammatoires, analgésiques et antipyrétiques prononcées.
  • +Son mécanisme d'action s'appuie essentiellement sur l'inhibition, prouvée expérimentalement, de la biosynthèse des prostaglandines qui jouent un rôle majeur dans la genèse de l'inflammation, de la douleur et de la fièvre. In vitro, à des concentrations équivalentes à celles atteintes chez l'homme, le diclofénac n'inhibe pas la biosynthèse des protéoglycanes dans le cartilage.
  • -Cf. «Mécanisme d'action».
  • +Voir «Mécanisme d'action».
  • -Dans les maladies rhumatismales, les propriétés anti-inflammatoires et analgésiques d'Inflamac se traduisent sur le plan clinique par un soulagement marqué de signes et symptômes tels que douleurs au repos et en mouvement, raideur matinale, gonflement des articulations, ainsi que par une amélioration de la capacité fonctionnelle. Dans les états inflammatoires post-traumatiques et post-opératoires, Inflamac soulage rapidement les douleurs spontanées et en mouvement et réduit l'œdème d'origine inflammatoire ainsi que l'œdème d'origine traumatique.
  • -Des études cliniques ont mis en évidence une action analgésique prononcée également dans les douleurs non rhumatismales, modérées et graves. Inflamac peut atténuer les douleurs et diminuer l'intensité de l'hémorragie dans la dysménorrhée primaire.
  • +Dans les maladies rhumatismales, les propriétés anti-inflammatoires et analgésiques d'Inflamac se traduisent sur le plan clinique par un soulagement marqué de signes et symptômes tels que douleurs au repos et en mouvement, raideur matinale, gonflement des articulations, ainsi que par une amélioration de la capacité fonctionnelle. Dans les états inflammatoires post-traumatiques et postopératoires, Inflamac soulage rapidement les douleurs spontanées et en mouvement et réduit l'œdème d'origine inflammatoire ainsi que l'œdème d'origine traumatique.
  • +Des études cliniques ont mis en évidence une action analgésique prononcée également dans les douleurs non rhumatismales, modérées et sévères. Inflamac peut atténuer les douleurs et diminuer l'intensité de l'hémorragie dans la dysménorrhée primaire.
  • -L'absorption du diclofénac se fait après le passage des capsules dans l'estomac; elle est complète et rapide mais il est possible qu'elle soit retardée au début par l'enrobage gastrorésistant des capsules.
  • -Des concentrations plasmatiques maximales moyennes de 1,5 µg/ml sont atteintes 2 h en moyenne après la prise d'une capsule à 50 mg. La prise des capsules pendant ou après un repas ralentit le passage gastrique, par rapport à une administration avant le repas. La quantité de diclofénac absorbée reste cependant identique.
  • +L'absorption du diclofénac se fait après le passage des capsules dans l'estomac; elle est complète et rapide mais il est possible qu'elle soit retardée au début par l'enrobage gastro-résistant des capsules. Des concentrations plasmatiques maximales moyennes de 1,5 µg/ml sont atteintes 2 heures en moyenne après la prise d'une capsule à 50 mg. La prise des capsules pendant ou après un repas ralentit le passage gastrique, par rapport à une administration avant le repas. La quantité de diclofénac absorbée reste cependant identique.
  • -Le diclofénac pénètre dans le liquide synovial où les concentrations maximales sont atteintes 2 à 4 h après le pic plasmatique. La demi-vie apparente d'élimination du liquide synovial est de 3–6 h. Les concentrations de principe actif dans le liquide synovial sont plus élevées que les concentrations plasmatiques déjà deux heures après le pic plasmatique et le restent pendant une période pouvant aller jusqu'à 12 h.
  • -De faibles concentrations de diclofénac ont été décelées dans le lait d'une femme allaitante (100 ng/ml). La quantité estimée, absorbée par un nourrisson allaité, correspond à une dose de 0,03 mg/kg/jour.
  • +Le diclofénac pénètre dans le liquide synovial où les concentrations maximales sont atteintes 2 4 h après le pic plasmatique. La demi-vie apparente d'élimination du liquide synovial est de 3–6 h. Deux heures après le pic plasmatique seulement, les concentrations de principe actif dans le liquide synovial sont plus élevées que les concentrations plasmatiques déjà deux heures après le pic plasmatique et le restent pendant une période pouvant aller jusqu'à 12 h.
  • +Le diclofénac a été détecté dans le lait d'une femme allaitante à une faible concentration (100 ng/ml). La quantité estimée absorbée par un nourrisson allaité correspond à une dose de 0,03 mg/kg/jour.
  • -La biotransformation du diclofénac s'effectue en partie par glucuronidation de la molécule inchangée, mais surtout par hydroxylation et par méthoxylation simples et multiples entraînant la formation de différents métabolites phénoliques (3'-hydroxy, 4'-hydroxy, 5-hydroxy, 4',5-dihydroxy et 3'-hydroxy-4'-méthoxydiclofénac) qui sont éliminés pour la plupart sous forme glucuronoconjuguée. Deux de ces métabolites phénoliques sont pharmacologiquement actifs mais à un degré nettement moindre que le diclofénac.
  • +La biotransformation du diclofénac s'effectue en partie par glucuronoconjugaison de la molécule inchangée, mais surtout par hydroxylation et par méthoxylation simples et multiples entraînant la formation de différents métabolites phénoliques (3'-hydroxy, 4'-hydroxy, 5-hydroxy, 4',5-dihydroxy et 3'-hydroxy-4'-méthoxydiclofénac) qui sont éliminés pour la plupart sous forme glucuronoconjuguée. Deux de ces métabolites phénoliques sont pharmacologiquement actifs mais à un degré nettement moindre que le diclofénac.
  • -La clairance plasmatique systémique du diclofénac est de 263 ± 56 ml/min. (moyenne ± écart-type). La demi-vie plasmatique terminale est de 1–2 h. Quatre parmi les métabolites, dont les deux actifs, ont également une demi-vie plasmatique brève de 1–3 h. Un autre métabolite, le 3'-hydroxy-4'-méthoxydiclofénac, a en revanche une demi-vie nettement plus longue mais il est pratiquement inactif.
  • -Environ 60% de la dose administrée sont éliminés dans les urines sous la forme de métabolites. Moins de 1% est excrété sous forme inchangée. Le reste est éliminé sous forme de métabolites, par la bile, avec les fèces.
  • +La clairance plasmatique systémique du diclofénac est de 263 ± 56 ml/min (moyenne ± écart-type). La demi-vie plasmatique terminale est de 1–2 h. Quatre des métabolites, dont les deux actifs, ont également une demi-vie plasmatique brève de 1–3 h. Un autre métabolite, le 3'-hydroxy-4'-méthoxydiclofénac, a en revanche une demi-vie nettement plus longue, mais il est pratiquement inactif.
  • +Environ 60% de la dose administrée sont éliminés dans les urines sous la forme de métabolites. Moins de 1% est excrété sous forme inchangée. Le reste est éliminé sous forme de métabolites, par la bile, dans les fèces.
  • -En présence d'une insuffisance hépatique (hépatite chronique ou cirrhose non décompensée), la cinétique et le métabolisme du diclofénac sont les mêmes que chez les patients dont le foie est intact.
  • +En présence d'une insuffisance hépatique (hépatite chronique ou cirrhose compensée), la cinétique et le métabolisme du diclofénac sont les mêmes que chez les patients dont le foie est intact.
  • -Chez les insuffisants rénaux, la cinétique de dose unique administrée selon le schéma posologique habituel ne permet pas de conclure à une accumulation du principe actif inchangé. Lorsque la clairance de la créatinine est inférieure à 10 ml/min, la concentration plasmatique des métabolites à l'état d'équilibre est environ quatre fois supérieure à celle enregistrée chez les sujets sains. Les métabolites sont finalement éliminés par voie biliaire.
  • +Chez les insuffisants rénaux, la cinétique d'une dose unique administrée selon le schéma posologique habituel ne permet pas de conclure à une accumulation du principe actif inchangé. Lorsque la clairance de la créatinine est inférieure à 10 ml/min, la concentration plasmatique théorique des métabolites à l'état d'équilibre est environ quatre fois supérieure à celle mesurée chez les sujets sains. Cependant, les métabolites sont finalement éliminés par voie biliaire.
  • -Des résultats précliniques d'études de pharmacologie de sécurité, de toxicité aiguë et de toxicité après administrations répétées ainsi que de génotoxicité, mutagénicité et de carcinogenèse du diclofénac n'ont pas montré de risque particulier pour l'homme aux doses thérapeutiques prévues.
  • +Les données précliniques issues des études sur la pharmacologie de sécurité, la toxicité aiguë et la toxicité après des administrations répétées, la génotoxicité, la mutagénicité et de la carcinogénicité du diclofénac n'ont pas révélé de signes évocateurs d'un risque particulier pour l'être humain aux doses thérapeutiques prévues.
  • -Dans toutes les études de toxicité réalisées chez le rat, une hypertrophie des ganglions lymphatiques mésentériques ou une lymphadénite avec hyperplasie réactive ont été observées. Ces modifications se sont accompagnées d'une neutrophilie, laquelle a également été observée dans les études chez le singe. On suppose qu'il s'agit de réactions secondaires aux ulcères gastro-intestinaux observés. Dans une étude sur 2 ans, une augmentation dosedépendante des occlusions thrombotiques des vaisseaux cardiaques a été observée chez des rats traités par le diclofénac.
  • +Dans toutes les études de toxicité réalisées chez le rat, une hypertrophie des ganglions lymphatiques mésentériques ou une lymphadénite avec hyperplasie réactive ont été observées. Ces modifications se sont accompagnées d'une neutrophilie, laquelle a également été observée dans les études chez le singe. On suppose qu'il s'agit de réactions secondaires aux ulcères gastro-intestinaux observés. Dans une étude sur 2 ans, une augmentation dose-dépendante des occlusions thrombotiques des vaisseaux cardiaques a été observée chez des rats traités par le diclofénac.
  • -Des études supplémentaires indiquent que le diclofénac administré à des doses orales répétées chez le rat (> 1 mg/kg de poids corporel) a des effets sur la fertilité (diminution du taux de testostérone, ainsi que réduction du poids des épididymes et des testicules, associées à des modifications histopathologiques). Des effets similaires ont également été observés dans la génération F1 après des doses ≥1.25 mg/kg dans une étude sur 2 générations. Chez le chien, l'administration sous-cutanée quotidienne de 2 mg/kg de diclofénac sodique a augmenté le nombre des spermatides. D'autres études décrivent une diminution du pourcentage de rates s'accouplant après administration répétée de doses de diclofénac ≥0.5 mg/kg. Un effet sur la fertilité aussi bien masculine que féminine ne peut donc pas être exclu.
  • -Le diclofénac passe la barrière placentaire chez les rongeurs. L'administration d'AINS (y compris le diclofénac) a inhibé l'ovulation chez le lapin ainsi que l'implantation et le développement du placenta chez le rat, et a entraîné une fermeture prématurée du canal artériel chez la rate gravide. Chez le rat, des doses de diclofénac toxiques pour la mère ont été associées à une dystocie, un allongement de la gestation, une diminution de la survie fœtale et un retard de croissance intra-utérin. Les faibles effets du diclofénac sur les paramètres de la reproduction et de la mise bas ainsi que sur la fermeture du canal artériel in utero sont des effets pharmacologiques de cette classe d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines (cf. «Contre-indications» et «Grossesse/Allaitement»).
  • +Des études supplémentaires indiquent que le diclofénac administré à des doses orales répétées chez le rat (> 1 mg/kg de poids corporel) a des effets sur la fertilité (diminution du taux de testostérone, ainsi que réduction du poids des épididymes et des testicules, associées à des modifications histopathologiques). Des effets similaires ont également été observés dans la génération F1 après des doses ≥1,25 mg/kg dans une étude sur 2 générations. Chez le chien, l'administration sous-cutanée quotidienne de 2 mg/kg de diclofénac sodique a augmenté le nombre des spermatides. D'autres études décrivent une diminution du pourcentage de rates s'accouplant après administration répétée de doses de diclofénac ≥0,5 mg/kg. Un effet sur la fertilité aussi bien masculine que féminine ne peut donc pas être exclu.
  • +Le diclofénac franchit la barrière placentaire chez les rongeurs. L'administration d'AINS (y compris le diclofénac) a inhibé l'ovulation chez le lapin ainsi que l'implantation et le développement du placenta chez le rat et a entraîné une fermeture prématurée du canal artériel chez la rate gravide. Chez le rat, des doses de diclofénac toxiques pour la mère ont été associées à une dystocie, un allongement de la gestation, une diminution de la survie fœtale et un retard de croissance intra-utérin. Les faibles effets du diclofénac sur les paramètres de la reproduction et de la mise bas ainsi que sur la fermeture du canal artériel in utero sont des effets pharmacologiques de cette classe d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines (voir «Contre-indications» et «Grossesse/Allaitement»).
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP.» sur l'emballage.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Capsules 25 mg: emballages à 30 et 100 capsules. [B]
  • -Capsules 50 mg: emballages à 20 et 100 capsules. [B]
  • +Capsules à 25 mg: emballages à 30 et 100 capsules. [B]
  • +Capsules à 50 mg: emballages à 20 et 100 capsules. [B]
  • -Juin 2022
  • +Janvier 2023
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