26 Changements de l'information professionelle Co-Dafalgan |
-Co-Dafalgan doit être utilisé à la dose la plus faible pendant la période la plus courte possible. La dose journalière maximale de paracétamol ne doit pas dépasser 4 g. La dose journalière maximale de codéine ne doit pas dépasser 240 mg ou 6 mg/kg de poids corporel.
- +Co-Dafalgan doit être utilisé à la dose la plus faible pendant la période la plus courte possible. La dose journalière maximale de paracétamol ne doit pas dépasser 4 g. La dose journalière maximale de paracétamol pour les adolescents âgés de 12 à 18 ans est de 2000 mg. La dose journalière maximale de codéine ne doit pas dépasser 240 mg ou 6 mg/kg de poids corporel.
-Poids corporel (âge) Dose unitaire Dose journalière maximale paracétamol/codéine Schéma posologique par jour
- +Poids corporel (âge) Dose unitaire paracétamol/codéine Dose journalière maximale paracétamol/codéine Schéma posologique par jour
-Poids corporel (âge) Dose unitaire Dose journalière maximale paracétamol/codéine Schéma posologique par jour
- +Poids corporel (âge) Dose unitaire paracétamol/codéine Dose journalière maximale paracétamol/codéine Schéma posologique par jour
-L'insuffisance hépatique augmente le risque d'accumulation de paracétamol et de codéine. Chez les patients ayant une maladie hépatique chronique ou compensée active, en particulier des troubles de la fonction hépatique, alcoolisme chronique, déficit d'alimentation chronique (faibles réserves de glutathion hépatique) ou déshydratation, la dose quotidienne de paracétamol ne doit pas dépasser 3 g et une réduction de la dose de codéine est à envisager.
- +L'insuffisance hépatique augmente le risque d'accumulation de paracétamol et de codéine.
- +Chez les patients ayant une maladie hépatique chronique ou compensée active, en particulier d'une insuffisance hépato-cellulaire légère à modérée, alcoolisme chronique, déficit d'alimentation chronique (faibles réserves de glutathion hépatique) ou déshydratation, ainsi que chez les patients adultes cachectiques, il faut réduire la dose unitaire ou prolonger l'intervalle posologique. On ne doit pas dépasser la dose quotidienne de 2 g de paracétamol (voir aussi «Mises en garde et précautions»). Chez les patients présentant une insuffisance hépatique une réduction de la dose de codéine est à envisager.
- +Dafalgan est contre-indiqué chez les patients souffrant d'un trouble sérieux de la fonction hépatique (voir «Contre-indications»).
- +La prudence s'impose lors de la surconsommation d'alcool. L'alcool peut accroître la toxicité hépatique du paracétamol, en particulier lors de carence alimentaire simultanée ou de la malnutrition. Dans de tels cas, une dose thérapeutique de paracétamol peut déjà conduire à des lésions hépatiques.
- +
-·troubles de la fonction hépatique légers à modérés,
-·insuffisance rénale (clairance de la créatinine ≤50 ml/min)
-·déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (déficit en G6PD; peut entraîner une anémie hémolytique)
-·alcoolisme chronique, consommation excessive d'alcool (3 boissons alcoolisées ou plus par jour),
-·anorexie, boulimie ou cachexie; malnutrition chronique (faibles réserves de glutathion hépatique);
-·déshydratation, hypovolémie.
- +·Insuffisance hépatique légère à modérée (voir «Posologie/Mode d’emploi»),
- +·Insuffisance rénale (clairance de la créatinine ≤50 ml/min, voir «Posologie/Mode d’emploi»),
- +·Déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (déficit en G6PD; peut entraîner une anémie hémolytique),
- +·Prise concomitante de médicaments potentiellement hépatotoxiques ou d’inducteurs des enzymes hépatiques,
- +·Anorexie, boulimie ou cachexie; malnutrition chronique, septicémie (faibles réserves de glutathion hépatique) (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
- +·Déshydratation, hypovolémie,
- +·Chez des patients à statut du glutathion épuisé, comme en cas d'une septicémie par exemple, l'emploi de paracétamol peut augmenter le risque d'une acidose métabolique.
-·une intolérance au fructose (contient du sorbitol),
- +·une intolérance au fructose (contient du sorbitol).
-·phénylcétonurie (contient de l'aspartame)
- +·phénylcétonurie (contient de l'aspartame).
-·Autres opioïdes: L'utilisation simultanée de codéine et d'autres médicaments contenant des opioïdes (alfentanil, dihydrocodéine, hydromorphone, morphine, rémifentanil, sufentanil, oxycodone, péthidine, méthadone, tramadol) ou de sirops pour la toux de type morphine (dextrométhorphane, codéine, éthylmorphine) peut intensifier la dépression respiratoire et la sédation par l'effet dépresseur du SNC et augmenter le risque d'un surdosage mortel. Les agonistes/antagonistes des opioïdes et les agonistes partiels des opioïdes tels que la buprénorphine et la nalbuphine peuvent conduire à une diminution de l'effet analgésique et à des symptômes de sevrage.
- +·Autres opioïdes: L'utilisation simultanée de codéine et d'autres médicaments contenant des opioïdes (alfentanil, dihydrocodéine, fentanyl, hydromorphone, morphine, rémifentanil, sufentanil, oxycodone, péthidine, méthadone, tramadol) ou de sirops pour la toux de type morphine (dextrométhorphane, noscapine, pholcodine, codéine, éthylmorphine) peut intensifier la dépression respiratoire et la sédation par l'effet dépresseur du SNC et augmenter le risque d'un surdosage mortel. Les agonistes/antagonistes des opioïdes et les agonistes partiels des opioïdes tels que la buprénorphine et la nalbuphine peuvent conduire à une diminution de l'effet analgésique et à des symptômes de sevrage.
- +·Alcool (voir «Mises en garde et précautions»).
- +
-Des études cliniques avec le paracétamol oral, en raison de concentrations plasmatiques accrues de paracétamol et d'une demi-vie d'élimination prolongée chez les patients atteints de maladies hépatiques chroniques, notamment cirrhoses hépatiques d'origine alcoolique, ont mis en évidence un métabolisme modérément altéré du paracétamol. Toutefois, aucune accumulation significative de paracétamol n'a été observée. La demi-vie plasmatique accrue du paracétamol a été liée à une réduction de la capacité métabolique hépatique. Pour cette raison, le paracétamol doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints de maladie hépatique, la dose quotidienne maximale étant limitée à 3 g.
- +Des études cliniques avec le paracétamol oral, en raison de concentrations plasmatiques accrues de paracétamol et d'une demi-vie d'élimination prolongée chez les patients atteints de maladies hépatiques chroniques, notamment cirrhoses hépatiques d'origine alcoolique, ont mis en évidence un métabolisme modérément altéré du paracétamol. Toutefois, aucune accumulation significative de paracétamol n'a été observée. La demi-vie plasmatique accrue du paracétamol a été liée à une réduction de la capacité métabolique hépatique. Pour cette raison, le paracétamol doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints de maladie hépatique, la dose quotidienne maximale étant réduit à 2 g (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Les études toxicologiques n'ont démontré aucun effet sur la reproduction et aucun effet tératogène chez les animaux traités au paracétamol. Les doses aiguës très élevées de paracétamol sont hépatotoxiques.
- +Les doses aiguës très élevées de paracétamol sont hépatotoxiques.
- +Les études toxicologiques n'ont démontré aucun effet sur la reproduction et aucun effet tératogène chez les animaux traités au paracétamol.
- +Une administration répétée de fortes doses (hépatotoxiques) de paracétamol a conduit à une atrophie testiculaire chez la souris et le rat. L'administration répétée de très fortes doses de paracétamol (≥500 mg/kg) à des rats mâles a entraîné une fertilité réduite (diminution de la libido et de la performance sexuelle ainsi que de la motilité des spermatozoïdes).
-Le paracétamol peut perturber les mesures de la glycémie lors d'une utilisation de la méthode à la glucoseoxydase. Il peut également être responsable d'une fausse augmentation des valeurs d'uricémie si celles-ci sont obtenues au moyen de la méthode par réduction de l'acide phosphotungstique.
- +Le paracétamol peut perturber les mesures de la glycémie lors d'une utilisation de la méthode à la glucose-oxydase. Il peut également être responsable d'une fausse augmentation des valeurs d'uricémie si celles-ci sont obtenues au moyen de la méthode par réduction de l'acide phosphotungstique.
-Comprimés effervescents: 500 mg/30 mg: 16 (B)
-Comprimés filmés 500 mg/30 mg: 16 et 40 (B)
- +Comprimés effervescents: 500 mg/30 mg: 16 [B].
- +Comprimés filmés 500 mg/30 mg: 16 et 40 [B].
-Avril 2015.
- +Janvier 2017.
|
|