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Accueil - Information professionnelle sur Co-Dafalgan - Changements - 30.05.2024
50 Changements de l'information professionelle Co-Dafalgan
  • -Principes actifs des comprimés pelliculés et des comprimés effervescents: paracétamol, phosphate de codéine hémihydraté.
  • +Principes actifs des comprimés pelliculés et des comprimés effervescents: paracétamol, phosphate de codéine hémihydraté
  • -Un comprimé effervescent contient 384,7 mg de sodium.
  • +Un comprimé effervescent contient 384,7 mg de sodium
  • -Traitement contre les douleurs moyennement fortes (maux de tête, maux de dents, douleurs articulaires et ligamentaires, douleurs dorsales, douleurs après blessures), qui ne répondent que de manière insatisfaisante aux autres analgésiques tels que le paracétamol ou l'ibuprofène seuls.
  • +Traitement contre les douleurs modérément fortes (céphalées, maux de dents, douleurs articulaires et ligamentaires, douleurs dorsales, douleurs après blessures), qui ne répondent que de manière insatisfaisante aux autres analgésiques tels que le paracétamol ou l'ibuprofène seuls.
  • -Co-Dafalgan doit être utilisé à la dose la plus faible pendant la période la plus courte possible. La dose journalière maximale de paracétamol ne doit pas dépasser 4 g. La dose journalière maximale de paracétamol pour les adolescents âgés de 12 à 18 ans est de 2000 mg. La dose journalière maximale de codéine ne doit pas dépasser 240 mg ou 6 mg/kg de poids corporel.
  • +Co-Dafalgan doit être utilisé à la dose la plus faible pendant la période la plus courte possible.
  • +La dose journalière maximale de paracétamol ne doit pas dépasser 4 g. La dose journalière maximale de paracétamol pour les adolescents âgés de 12 à 18 ans est de 2000 mg. La dose journalière maximale de codéine ne doit pas dépasser 240 mg ou 6 mg/kg de poids corporel.
  • -Chez les adolescents la dose doit être déterminée en fonction du poids corporel.
  • +Chez les adolescents, la dose doit être déterminée en fonction du poids corporel.
  • -Pour obtenir une flexibilité du dosage, le comprimé effervescent peut être rompu en moitiés (rainure), si nécessaire. Les comprimés effervescents doivent être dissous dans un grand verre d'eau; ne pas mâcher ou avaler les comprimés effervescents entiers.
  • +Pour obtenir une flexibilité du dosage, le comprimé effervescent peut être divisé en 2 moitiés (barre de sécabilité), si nécessaire. Les comprimés effervescents doivent être dissous dans un grand verre d'eau; ne pas mâcher ou avaler les comprimés effervescents entiers.
  • -Troubles de la fonction rénale
  • -L'insuffisance rénale augmente le risque d'accumulation de paracétamol et de codéine. Chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale (≤50 ml/min), la dose de codéine doit être limitée à 75% ou 50% de la dose journalière recommandée en fonction de la gravité (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Insuffisance rénale
  • +L'insuffisance rénale augmente le risque d'accumulation de paracétamol et de codéine. Chez les patients souffrant d'une insuffisance rénale (≤50 ml/min), la dose de codéine doit être limitée à 75 % ou 50 % de la dose journalière recommandée en fonction de la gravité (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Chez les patients ayant une maladie hépatique chronique ou compensée active, en particulier d'une insuffisance hépato-cellulaire légère à modérée, alcoolisme chronique, déficit d'alimentation chronique (faibles réserves de glutathion hépatique) ou déshydratation, ainsi que chez les patients adultes cachectiques, il faut réduire la dose unitaire ou prolonger l'intervalle posologique. On ne doit pas dépasser la dose quotidienne de 2 g de paracétamol (voir aussi «Mises en garde et précautions»). Chez les patients présentant une insuffisance hépatique une réduction de la dose de codéine est à envisager.
  • -Dafalgan est contre-indiqué chez les patients souffrant d'un trouble sérieux de la fonction hépatique (voir «Contre-indications»).
  • +Chez les patients ayant une maladie hépatique chronique ou compensée active, en particulier d'une insuffisance hépato-cellulaire légère à modérée, alcoolisme chronique, déficit d'alimentation chronique (faibles réserves de glutathion hépatique) ou déshydratation, ainsi que chez les patients adultes cachectiques, il faut réduire la dose unitaire ou prolonger l'intervalle posologique. On ne doit pas dépasser la dose quotidienne de 2 g de paracétamol (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Chez les patients présentant une insuffisance hépatique une réduction de la dose de codéine est à envisager.
  • +Co-Dafalgan est contre-indiqué chez les patients souffrant d'un trouble sérieux de la fonction hépatique (voir «Contre-indications»).
  • -Les effets des opioïdes sur le système nerveux central (SNC) peuvent engendrer une dépression respiratoire grave, potentiellement mortelle.
  • -En particulier en cas d'utilisation chronique, un traitement par opioïdes peut provoquer une hyperalgésie chez certains patients.
  • -Les opioïdes engendrent une dépression respiratoire par leur effet dépresseur sur le SNC. Le risque de dépression respiratoire peut être encore augmenté lors de l'utilisation concomitante d'autres médicaments ou en présence de facteurs pharmacogénétiques.
  • +Dépression respiratoire
  • +Comme pour tous les opioïdes, l'utilisation de Co-Dafalgan comporte un risque de dépression respiratoire cliniquement significative. Si elle n'est pas détectée et traitée immédiatement, une dépression respiratoire peut conduire à un arrêt respiratoire et au décès. En fonction de l'état clinique du patient, le traitement d'une dépression respiratoire comprend une surveillance étroite, des mesures de soutien et l'administration d'antagonistes des opioïdes. Une dépression respiratoire grave, engageant le pronostic vital ou d'issue fatale, peut survenir à tout moment du traitement, le risque étant maximal au début du traitement et après une augmentation posologique.
  • +Hyperalgésie
  • +L'hyperalgésie induite par les opioïdes survient lorsqu'un analgésique à base d'opioïdes entraîne paradoxalement une augmentation des douleurs ou de la sensibilité à la douleur. Cet état se distingue du développement d'une tolérance, qui nécessite l'administration de doses supérieures d'opioïdes pour maintenir un certain effet. Les symptômes de l'hyperalgésie induite par les opioïdes incluent notamment une augmentation des douleurs en cas d'élévation de la dose d'opioïdes, une diminution des douleurs en cas de réduction de la dose d'opioïdes ou des douleurs en cas de stimuli normalement non douloureux (allodynie). En cas de suspicion d'hyperalgésie induite par les opioïdes chez un patient, il convient d'envisager de réduire la dose d'opioïdes ou de faire une rotation d'opioïdes.
  • -La constipation est un effet non souhaité du traitement par opioïdes et exige la surveillance de la fonction intestinale.
  • -Des nausées et des vomissements sont également des effets non souhaités du traitement par opioïdes. Chez quelques personnes, l'apparition des nausées et des vomissements diminue en cas de durée croissante d'utilisation ou de développement de tolérance.
  • +La constipation est un effet indésirable du traitement par opioïdes et exige la surveillance de la fonction intestinale.
  • +Des nausées et des vomissements sont également des effets indésirables du traitement par opioïdes. Chez quelques personnes, l'apparition des nausées et des vomissements diminue en cas de durée croissante d'utilisation ou de développement de tolérance.
  • -Effets hormonaux
  • -Les opioïdes peuvent diminuer les taux hormonaux et doivent par conséquent être utilisés avec prudence chez les patients présentant des troubles de l'équilibre hormonal.
  • +Hormones sexuelles en baisse et prolactine élevée
  • +L'utilisation prolongée d'opioïdes peut être liée à une baisse des taux d'hormones sexuelles et à une élévation du taux de prolactine. Les symptômes incluent une baisse de libido, une impuissance ou une aménorrhée.
  • -Tolérance
  • -En cas d'utilisation prolongée d'opioïdes, une efficacité analgésique diminuée ou tolérance peut apparaître. La tolérance croisée entre opioïdes n'est pas complète et la tolérance peut se développer à des vitesses différentes pour des opioïdes différents.
  • -En ce qui concerne la codéine, il convient de tenir compte de ce qui suit:
  • -Une utilisation prolongée de codéine peut conduire à une dépendance physique et psychique. C'est pourquoi, la prise prolongée de Co-Dafalgan n'est pas recommandée. Co-Dafalgan doit être utilisé avec prudence chez les patients ayant des antécédents d'abus et/ou de dépendance (y compris aux drogues et à l'alcool) ou de troubles psychiatriques (par ex. dépression sévère). L'abus ou la mauvaise utilisation peuvent entraîner un surdosage et/ou la mort (voir «Surdosage»).
  • -Pour diminuer le risque de surdosage ou d'effets secondaires graves, il convient de s'assurer que les autres médicaments administrés (sur prescription ou en vente libre) ne contiennent pas d'opioïdes ou d'autres dépresseurs du SNC.
  • +Utilisation concomitante de substances ayant un effet dépresseur sur le système nerveux central
  • +L'utilisation concomitante d'opioïdes et de benzodiazépines ou d'autres substances ayant un effet dépresseur sur le système nerveux central peut entraîner une sédation importante, une dépression respiratoire, un coma ou le décès. En raison de ces risques, les opioïdes et les benzodiazépines ou d'autres dépresseurs du système nerveux central ne doivent être administrés de manière concomitante qu'aux patients pour lesquels aucune autre option de traitement n'est envisageable. Si l'on décide de prescrire Co-Dafalgan en même temps que des benzodiazépines ou d'autres dépresseurs du système nerveux central, il convient de choisir la dose efficace la plus faible possible et une durée minimale d'utilisation concomitante. Les patients doivent être étroitement surveillés afin de détecter les signes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation. (voir rubrique «Interactions»).
  • +Exposition accidentelle
  • +Les patients et les aidants doivent être avertis que Co-Dafalgan contient un principe actif dans une concentration qui peut être fatale, notamment pour les enfants. Il convient donc de les inviter à conserver toutes les unités de dose hors de portée des enfants et à éliminer correctement toute unité entamée ou non utilisée.
  • +Syndrome de sevrage des opioïdes chez le nouveau-né
  • +L'utilisation prolongée de Co-Dafalgan pendant la grossesse peut entraîner un syndrome de sevrage des opioïdes chez le nouveau-né, lequel peut engager le pronostic vital s'il n'est pas détecté et traité en temps opportun. Le traitement doit être mené selon les protocoles mis en place par les spécialistes de néonatologie. S'il est nécessaire d'utiliser des opioïdes chez une femme enceinte pendant une période prolongée, il convient d'informer la patiente du risque de syndrome de sevrage néonatal aux opioïdes et de s'assurer que le traitement approprié est disponible, le cas échéant.
  • +Insuffisance surrénalienne
  • +Les opioïdes peuvent provoquer une insuffisance surrénalienne réversible nécessitant une surveillance et un traitement de substitution par des glucocorticoïdes. Les symptômes d'insuffisance surrénalienne peuvent inclure les suivants: nausées, vomissements, perte d'appétit, fatigue, faiblesse, vertiges ou hypotension.
  • +Dépendance médicamenteuse et potentiel d'abus
  • +L'utilisation répétée d'opioïdes peut entraîner le développement d'une tolérance et d'une dépendance physique et/ou psychique. Une dépendance iatrogène peut survenir suite à l'utilisation d'opioïdes. Comme tout autre opioïde, Co-Dafalgan peut faire l'objet d'abus et tous les patients traités par des opioïdes doivent être surveillés afin de détecter les signes éventuels d'abus et de dépendance. Les patients présentant un risque accru d'abus d'opioïdes peuvent néanmoins être traités de manière appropriée par des opioïdes, mais une surveillance étroite est nécessaire afin de détecter les signes éventuels d'utilisation incorrecte, d'abus ou de dépendance. L'utilisation répétée de Co-Dafalgan peut entraîner un trouble lié à l'utilisation des opioïdes. L'abus ou l'utilisation incorrecte délibérée de Co-Dafalgan peut conduire à un surdosage et/ou au décès. Le risque de développer un trouble lié à l'utilisation d'opioïdes est accru chez les patients ayant des antécédents personnels ou familiaux (parents ou frères et sœurs) de troubles liés à l'utilisation de substances (y compris les troubles liés à la consommation d'alcool), chez les fumeurs ou chez les patients atteints d'autres maladies mentales (p.ex. dépression majeure, troubles anxieux et troubles de la personnalité). Les patients doivent être surveillés afin de détecter tout signe d'un comportement addictif («drug-seeking behaviour») (p.ex. demande précoce d'une ordonnance de suivi). Il s'agit également de vérifier l'absence d'utilisation concomitante d'opioïdes et de médicaments psychoactifs (tels que les benzodiazépines). La consultation d'un addictologue doit être envisagée pour les patients présentant des signes et des symptômes d'un trouble lié à l'utilisation d'opioïdes.
  • +Troubles respiratoires liés au sommeil
  • +Les opioïdes peuvent provoquer des troubles respiratoires liés au sommeil, notamment une apnée centrale du sommeil (ACS) et une hypoxémie liée au sommeil. L'utilisation d'opioïdes s'accompagne d'une augmentation dose-dépendante du risque d'apnée centrale du sommeil. Chez les patients souffrant d'apnée centrale du sommeil, une réduction de la dose totale d'opioïdes doit être envisagée.
  • +Spasme du sphincter d'Oddi/pancréatite
  • +Les opioïdes peuvent entraîner un dysfonctionnement et un spasme du sphincter d'Oddi, ce qui augmente la pression intrabiliaire ainsi que le risque de symptômes liés aux voies biliaires et de pancréatite.
  • -Patients gériatriques
  • -Chez les patients gériatriques, il peut exister un risque élevé d'effets secondaires liés aux opioïdes, comme par exemple la dépression respiratoire ou la constipation. La demi-vie peut être allongée chez les patients âgés et s'accompagner d'une diminution de la clairance de médicaments. Chez les patients âgés, il peut exister une plus grande sensibilité aux analgésiques opioïdes. Un dosage initial plus faible doit être choisi chez les patients âgés. La dose doit être adaptée aux exigences et à la tolérance individuelles. De plus, il existe chez les patients âgés une plus grande probabilité de prise simultanée d'autres médicaments, ce qui augmente à nouveau le risque d'interactions.
  • +Patients âgés
  • +Chez les patients âgés, il peut exister un risque élevé d'effets secondaires liés aux opioïdes, comme par exemple la dépression respiratoire ou la constipation. La demi-vie peut être allongée chez les patients âgés et s'accompagner d'une diminution de la clairance de médicaments. Chez les patients âgés, il peut exister une plus grande sensibilité aux analgésiques opioïdes. Un dosage initial plus faible doit être choisi chez les patients âgés. La dose doit être adaptée aux exigences et à la tolérance individuelles. De plus, il existe chez les patients âgés une plus grande probabilité de prise simultanée d'autres médicaments, ce qui augmente à nouveau le risque d'interactions.
  • -·Déficit en glucose-6-phosphatedéshydrogénase (déficit en G6PD; peut entraîner une anémie hémolytique),
  • +·Déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (déficit en G6PD; peut entraîner une anémie hémolytique),
  • -Comprimés pelliculés: ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +Comprimés pelliculés : ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • -·Flucloxacilline: En cas d'administration concomitante de paracétamol et flucloxacilline la prudence s'impose en raison du risque accru d'acidose métabolique à trou anionique augmenté (AMTAA), en particulier chez les patients présentant le facteur de risque d'un déficit en glutathion, comme par exemple troubles graves de la fonction rénale, sepsis, malnutrition et alcoolisme chronique. Une étroite surveillance est recommandée, y compris de la 5-oxoproline dans l'urine, afin de déceler l'apparition de troubles de l'équilibre acido-basique, à savoir d'une AMTAA.
  • +·Flucloxacilline: en cas d'administration concomitante de paracétamol et flucloxacilline la prudence s'impose en raison du risque accru d'acidose métabolique à trou anionique augmenté (AMTAA), en particulier chez les patients présentant le facteur de risque d'un déficit en glutathion, comme par exemple troubles graves de la fonction rénale, sepsis, malnutrition et alcoolisme chronique. Une étroite surveillance est recommandée, y compris de la 5-oxoproline dans l'urine, afin de déceler l'apparition de troubles de l'équilibre acido-basique, à savoir d'une AMTAA.
  • -·Autres opioïdes: L'utilisation simultanée de codéine et d'autres médicaments contenant des opioïdes (alfentanil, dihydrocodéine, fentanyl, hydromorphone, morphine, rémifentanil, sufentanil, oxycodone, péthidine, méthadone, tramadol) ou de sirops pour la toux de type morphine (dextrométhorphane, noscapine, pholcodine, codéine, éthylmorphine) peut intensifier la dépression respiratoire et la sédation par l'effet dépresseur du SNC et augmenter le risque d'un surdosage mortel. Les agonistes/antagonistes des opioïdes et les agonistes partiels des opioïdes tels que la buprénorphine et la nalbuphine peuvent conduire à une diminution de l'effet analgésique et à des symptômes de sevrage.
  • -·Les médicaments qui engendrent un effet dépresseur sur le SNC comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, y compris les antidépresseurs tricycliques (ATC), les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), les inhibiteurs de la monoamine oxydase (MAO), les benzodiazépines, les hypnotiques, les narco-analgésiques et les barbituriques peuvent renforcer une dépression du système nerveux central (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +·Autres opioïdes: l'utilisation simultanée de codéine et d'autres médicaments contenant des opioïdes (alfentanil, dihydrocodéine, fentanyl, hydromorphone, morphine, rémifentanil, sufentanil, oxycodone, péthidine, méthadone, tramadol) ou de sirops pour la toux de type morphine (dextrométhorphane, noscapine, pholcodine, codéine, éthylmorphine) peut intensifier la dépression respiratoire et la sédation par l'effet dépresseur du SNC et augmenter le risque d'un surdosage mortel. Les agonistes/antagonistes des opioïdes et les agonistes partiels des opioïdes tels que la buprénorphine et la nalbuphine peuvent conduire à une diminution de l'effet analgésique et à des symptômes de sevrage.
  • +·L'utilisation concomitante d'autres médicaments affectant le système nerveux central, tels que d'autres opioïdes, des sédatifs, tels que les benzodiazépines ou les hypnotiques, des anesthésiques généraux, des phénothiazines, des tranquillisants, des relaxants des muscles squelettiques, des antihistaminiques sédatifs, des gabapentinoïdes (gabapentine et prégabaline) et de l'alcool peut produire des effets dépresseurs additifs entraînant une dépression respiratoire, une hypotension, une forte sédation ou un coma, et peut parfois être fatale (voir rubrique «Mises en garde et précautions).
  • +·Un syndrome sérotoninergique peut se développer lors de l'utilisation concomitante d'opioïdes, d'inhibiteurs de la monoamine oxydase(inhibiteurs de la MAO) et des agents sérotoninergiques, comme les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN) et les antidépresseurs tricycliques (ATC). Un syndrome sérotoninergique peut s'exprimer sous forme d'altérations de l'état mental, d'instabilité autonome, d'anomalies neuromusculaires et/ou de symptômes gastro-intestinaux.
  • -·Alcool (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +L'utilisation prolongée de Co-Dafalgan pendant la grossesse peut entraîner un syndrome de sevragedes opioïdes chez le nouveau-né, lequel peut engager le pronostic vital s'il n'est pas détecté et traité en temps opportun. Le traitement doit être mené selon les protocoles mis en place par les spécialistes de néonatologie. S'il est nécessaire d'utiliser des opioïdes chez une femme enceinte pendant une période prolongée, il convient d'informer la patiente du risque de syndrome de sevrage néonatal aux opioïdes et de s'assurer que le traitement approprié est disponible, le cas échéant (voir aussi la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Fréquence inconnue: symptôme de sevrage médicamenteux.
  • -En cas d'interruption soudaine du traitement, il peut y avoir un risque de syndrome de sevrage chez les patientes et les nouveau-nés de mères intoxiquées par la codéine pendant la grossesse (voir la section «Grossesse» liée à la codéine).
  • +Fréquence inconnue: dépendance, symptôme de sevrage médicamenteux.
  • +En cas d'interruption soudaine du traitement, il peut y avoir un risque de syndrome de sevrage chez les patientes et les nouveau-nés de mères intoxiquées par la codéine pendant la grossesse (voir rubrique «Grossesse» liée à la codéine).
  • +Fréquence inconnue: syndrome de l'apnée centrale du sommeil
  • +
  • -Fréquence inconnue: diarrhée, douleurs abdominales.
  • +Fréquence inconnue: diarrhée, douleurs abdominales, pancréatite.
  • -Fréquence inconnue: augmentation des enzymes hépatiques, cholestase, ictère.
  • +Fréquence inconnue: augmentation des enzymes hépatiques, cholestase, ictère, spasme du sphincter d'Oddi.
  • +Une leucoencéphalopathie toxique a été observée lors d'un surdosage d'opioïdes.
  • -Des études cliniques avec le paracétamol oral, en raison de concentrations plasmatiques accrues de paracétamol et d'une demi-vie d'élimination prolongée chez les patients atteints de maladies hépatiques chroniques, notamment cirrhoses hépatiques d'origine alcoolique, ont mis en évidence un métabolisme modérément altéré du paracétamol. Toutefois, aucune accumulation significative de paracétamol n'a été observée. La demi-vie plasmatique accrue du paracétamol a été liée à une réduction de la capacité métabolique hépatique. Pour cette raison, le paracétamol doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints de maladie hépatique, la dose quotidienne maximale étant réduit à 2 g (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Le paracétamol est contre-indiqué en cas de maladie hépatique active décompensée, notamment d'hépatite due à l'abus d'alcool (à cause de l'induction de CYP2E1, qui augmente la formation des métabolites hépatotoxiques du paracétamol).
  • +Des études cliniques avec le paracétamol oral, en raison de concentrations plasmatiques accrues de paracétamol et d'une demi-vie d'élimination prolongée chez les patients atteints de maladies hépatiques chroniques, notamment cirrhoses hépatiques d'origine alcoolique, ont mis en évidence un métabolisme modérément altéré du paracétamol. Toutefois, aucune accumulation significative de paracétamol n'a été observée. La demi-vie plasmatique accrue du paracétamol a été liée à une réduction de la capacité métabolique hépatique. Pour cette raison, le paracétamol doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints de maladie hépatique, la dose quotidienne maximale étant réduit à 2 g (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Le paracétamol est contre-indiqué en cas de maladie hépatique active décompensée, notamment d'hépatite due à l'abus d'alcool (à cause de l'induction de CYP2E1, qui augmente la formation des métabolites hépatotoxiques du paracétamol).
  • -Différentes études ont constaté un potentiel génotoxique. Il convient de relativiser ce fait, car cela dépend de la dose. Sur la base des mécanismes probablement responsables de ces effets, on peut considérer que les doses inférieures à certaines valeurs seuils ne sont pas associées à des effets génotoxiques, mais que les valeurs seuils peuvent être plus basses lors d'une réserve réduite de glutathion. Les valeurs seuils à partir desquelles des effets génotoxiques ont été démontrés dans les essais sur l'animal se situent cependant clairement à un niveau de dosage toxique provoquant des dommages du foie et de la moelle osseuse. Les doses non hépatotoxiques (jusqu'à 300 mg/kg chez le rat et 1000 mg/kg chez la souris) ne sont pas cancérigènes. Il peut donc pratiquement être exclu que des doses thérapeutiques puissent avoir des effets génotoxiques ou cancérigènes.
  • +Différentes études ont constaté un potentiel génotoxique. Il convient de relativiser ce fait, car cela dépend de la dose. Sur la base des mécanismes probablement responsables de ces effets, on peut considérer que les doses inférieures à certaines valeurs seuils ne sont pas associées à des effets génotoxiques, mais que les valeurs seuils peuvent être plus basses lors d'une réserve réduite de glutathion.
  • +Les valeurs seuils à partir desquelles des effets génotoxiques ont été démontrés dans les essais sur l'animal se situent cependant clairement à un niveau de dosage toxique provoquant des dommages du foie et de la moelle osseuse. Les doses non hépatotoxiques (jusqu'à 300 mg/kg chez le rat et 1000 mg/kg chez la souris) ne sont pas cancérigènes. Il peut donc pratiquement être exclu que des doses thérapeutiques puissent avoir des effets génotoxiques ou cancérigènes.
  • -Remarques concernant le stockage
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • -Mars 2023
  • +Mars 2024
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