44 Changements de l'information professionelle Lutrelef 0,8 mg, Injektionspräparat |
-Poudre:
-Principe actif: acétate de gonadoréline
-Excipients: mannitol
-Solvant: 10 ml de solution isotonique de chlorure de sodium (pH 4,0 à 5,0).
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Lutrelef 3,2 mg
-Flacon perforable avec 13,2 mg de poudre (contient 2,91 mg de gonadoréline, correspondant à 3,2 mg d'acétate de gonadoréline).
-Indications/Possibilités d'emploi
-Gynécologie :
- +Principes actifs
- +Gonadorelinum ut Gonadorelini acetas.
- +Excipients
- +Poudre: Mannitolum, Acidum hydrochloricum.
- +Solvant: Natrii chloridum (corresp. Natrium 3,54 mg/ml), Acidum hydrochloridum, Aqua ad iniectabile.
- +
- +Indications/Possibilités d’emploi
- +Gynécologie:
-stade 2 (c.àd. clomifène-négatif, gestagène-positif);
-stade 3a (c.àd. gestagène-négatif, réaction normale ou «adulte» au test LHRH);
-stade 3b (c.àd. gestagène-négatif, réaction réduite ou «prépubère» au test LHRH);
-stade 3c (c.àd. gestagène-négatif, absence totale de réaction au test LHRH).
- +·stade 2 (c.-à-d. clomifène-négatif, gestagène-positif);
- +·stade 3a (c.-à-d. gestagène-négatif, réaction normale ou «adulte» au test LHRH);
- +·stade 3b (c.-à-d. gestagène-négatif, réaction réduite ou «prépubère» au test LHRH);
- +·stade 3c (c.-à-d. gestagène-négatif, absence totale de réaction au test LHRH).
-Posologie/Mode d'emploi
-Lutrelef 3,2 mg est administré à une cadence de pulsations de 90 minutes à la dose recommandée par voie sous-cutanée au moyen du dispositif auto-injecteur Lutrepulse Pod. Si nécessaire, l'intervalle entre deux pulsations peut être modifié et porté à 120 minutes. Le Lutrepulse Pod est piloté par le Lutrepulse Manager (voir « Remarques concernant la manipulation»).
- +Posologie/Mode d’emploi
- +Posologie usuelle
- +Lutrelef 3,2 mg est administré à une cadence de pulsations de 90 minutes à la dose recommandée par voie sous-cutanée au moyen du dispositif auto-injecteur Lutrepulse® Pod. Si nécessaire, l'intervalle entre deux pulsations peut être modifié et porté à 120 minutes. Le Lutrepulse® Pod est piloté par le Lutrepulse® Manager (voir «Remarques concernant la manipulation»).
-Stade 2, 3a et 3b : 10 µg/pulsation pendant 20 jours.
-Stade 3c : 15 µg ou 20 µg/pulsation pendant 15 ou 10 jours.
-Une cadence de pulsations de 90 minutes est une valeur éprouvée lors du traitement de la stérilité féminine. L’administration s’effectue au moyen du dispositif auto-injecteur Lutrepulse.
-La substitution pulsatile de gonadoréline avec le Lutrepulse Pod peut cesser après l'apparition d'une ovulation. On contrôle le traitement par échographie et par mesure de la température basale.
-La fonction du corps jaune doit être soutenue par l’administration de HCG exogène. Comme alternative, on peut également poursuivre l'administration substitutive de gonadoréline sous Lutrelef par pulsations jusqu'à la phase lutéinique tardive. Dans pareil cas, n'enlever la minipompe que si la production de HCG endogène par le trophoblaste récemment implanté permet l'entretien fonctionnel du corps jaune.
- +Stade 2, 3a et 3b: 10 µg/pulsation pendant 20 jours.
- +Stade 3c: 15 µg ou 20 µg/pulsation pendant 15 ou 10 jours.
- +Une cadence de pulsations de 90 minutes est une valeur éprouvée lors du traitement de la stérilité féminine. L'administration s'effectue au moyen du dispositif auto-injecteur Lutrepulse®.
- +La substitution pulsatile de gonadoréline avec le Lutrepulse® Pod peut cesser après l'apparition d'une ovulation. On contrôle le traitement par échographie et par mesure de la température basale.
- +La fonction du corps jaune doit être soutenue par l'administration de HCG exogène. Comme alternative, on peut également poursuivre l'administration substitutive de gonadoréline sous Lutrelef par pulsations jusqu'à la phase lutéinique tardive. Dans pareil cas, n'enlever la minipompe que si la production de HCG endogène par le trophoblaste récemment implanté permet l'entretien fonctionnel du corps jaune.
-10µg - 20µg/pulsation pendant 10 à 20 jours.
- +10 µg – 20 µg/pulsation pendant 10 à 20 jours.
-Le site de perfusion de la pompe Lutrepulse Pod doit être régulièrement examiné afin de déceler tout signe d'irritations et d'infections.
-Instructions posologiques spéciales
-Enfants/adolescents
-Chez les garçons atteints d'hypogonadisme central, chez lesquels Lutrelef est utilisé pour induire la puberté, la posologie correspond à celle de l'homme adulte atteint d'hypogonadisme central.
-En gynécologie il n’y a pas d'indication pour Lutrelef avant la puberté.
- +Le site de perfusion de la pompe Lutrepulse® Pod doit être régulièrement examiné afin de déceler tout signe d'irritations et d'infections.
- +Afin d'assurer la traçabilité des médicaments biotechnologiques, il convient de documenter pour chaque traitement le nom commercial et le numéro de lot.
- +Instructions posologiques particulières
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
- +Lutrelef n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique. Aucune recommandation posologique ne peut donc être faite.
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
- +Lutrelef n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance rénale. Aucune recommandation posologique ne peut donc être faite.
-Lutrelef n’a pas d’indication chez les patients âgés.
-Insuffisance rénale: Lutrelef n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance rénale. Aucune recommandation posologique ne peut donc être faite.
-Insuffisance hépatique: Lutrelef n'a pas été étudié chez les patients présentant une insuffisance hépatique. Aucune recommandation posologique ne peut donc être faite.
- +Lutrelef n'a pas d'indication chez les patients âgés.
- +Enfants et adolescents
- +Chez les garçons atteints d'hypogonadisme central, chez lesquels Lutrelef est utilisé pour induire la puberté, la posologie correspond à celle de l'homme adulte atteint d'hypogonadisme central.
- +En gynécologie il n'y a pas d'indication pour Lutrelef avant la puberté.
-- adénomes hypophysaires et autres tumeurs hormono-dépendantes;
-- kystes ovariens;
-anovulation n’étant pas d’origine hypothalamique.
- +·adénomes hypophysaires et autres tumeurs hormono-dépendantes;
- +·kystes ovariens;
- +·anovulation n'étant pas d'origine hypothalamique.
-Le syndrome d'hyperstimulation ovarienne (SHO) est un risque connu lors d’un traitement inducteur d’ovulation, mais rare lors de l’administration de GnRH de façon pulsatile. Les symptômes possibles d’une SHO sont outre une forte augmentation du volume ovarien – des nausées, des vomissements, une distension abdominale associée ou non à des douleurs, des kystes ovariens, et dans les cas plus sévères, une hypovolémie, une tachycardie, une hypotension, une oligurie, une déshydratation, une ascite, un épanchement pleural, des troubles rénaux et des troubles de la coagulation. La réponse ovarienne doit être soigneusement surveillée cliniquement et par échographie afin de détecter un risque d'hyperstimulation. Lutrelef peut induire un syndrome d'hyperstimulation ovarienne nécessitant l’arrêt du traitement. Le maintien du mécanisme de rétrocontrôle endogène observé sous gonadoréline entraîne généralement la disparition spontanée des manifestations de ce syndrome. Toutefois, des mesures symptomatiques peuvent être requises le cas échéant. Les cas sévères peuvent nécessiter une hospitalisation.
- +Le syndrome d'hyperstimulation ovarienne (SHO) est un risque connu lors d'un traitement inducteur d'ovulation, mais rare lors de l'administration de GnRH de façon pulsatile. Les symptômes possibles d'une SHO sont - outre une forte augmentation du volume ovarien – des nausées, des vomissements, une distension abdominale associée ou non à des douleurs, des kystes ovariens, et dans les cas plus sévères, une hypovolémie, une tachycardie, une hypotension, une oligurie, une déshydratation, une ascite, un épanchement pleural, des troubles rénaux et des troubles de la coagulation. La réponse ovarienne doit être soigneusement surveillée cliniquement et par échographie afin de détecter un risque d'hyperstimulation. Lutrelef peut induire un syndrome d'hyperstimulation ovarienne nécessitant l'arrêt du traitement. Le maintien du mécanisme de rétrocontrôle endogène observé sous gonadoréline entraîne généralement la disparition spontanée des manifestations de ce syndrome. Toutefois, des mesures symptomatiques peuvent être requises le cas échéant. Les cas sévères peuvent nécessiter une hospitalisation.
-Des réactions d'hypersensibilité ont été signalées sous Lutrelef allant jusqu’au collapsus cardio-vasculaire et une perte de connaissance. Lors de l’utilisation d’un polypeptide apparenté, le chlorhydrate de gonadoréline, des réactions anaphylactiques ont également été observées. La survenue de telles réactions impose l’arrêt immédiat du traitement. En cas de réactions d'hypersensibilité sévères, il est impératif de placer le patient sous soins intensifs.
-Chez les patients présentant un adénome hypophysaire, après administration parentérale de gonadoréline (en une seule dose ou en administration pulsative), des symptômes neurologiques passagers (par ex. céphalées, désorientation) ou ophtalmologiques (par ex. vision floue) ont été rapportés, en particulier lors de l’utilisation concomitante de THR (protiréline). Dans quelques cas, une apoplexie hypophysaire (syndrome clinique secondaire à un infarctus hypophysaire) a été observée après l'administration de gonadoréline d’une seule dose de 100 µg (à des fins de diagnostic). Les symptômes possibles d'une apoplexie hypophysaire sont des céphalées soudaines, des vomissements, des modifications de la vision (pouvant aller jusqu'à l’amaurose), une ophtalmoplégie, une paralysie du nerf crânien, une hémiplégie, une altération de l’état mental et occasionnellement un collapsus cardiovasculaire. Les agonistes de la GnRH ne doivent donc pas être administrés en présence avérée d’un adénome hypophysaire. En cas d'apoplexie hypophysaire, une prise en charge médicale immédiate est nécessaire.
-Lors de l’administration à long terme des médicaments de cette classe pharmacothérapeutique, la formation d'anticorps peut se produire dans des cas isolés et entraîner une diminution de l'efficacité.
- +Des réactions d'hypersensibilité ont été signalées sous Lutrelef allant jusqu'au collapsus cardio-vasculaire et une perte de connaissance. Lors de l'utilisation d'un polypeptide apparenté, le chlorhydrate de gonadoréline, des réactions anaphylactiques ont également été observées. La survenue de telles réactions impose l'arrêt immédiat du traitement. En cas de réactions d'hypersensibilité sévères, il est impératif de placer le patient sous soins intensifs.
- +Chez les patients présentant un adénome hypophysaire, après administration parentérale de gonadoréline (en une seule dose ou en administration pulsative), des symptômes neurologiques passagers (par ex. céphalées, désorientation) ou ophtalmologiques (par ex. vision floue) ont été rapportés, en particulier lors de l'utilisation concomitante de THR (protiréline). Dans quelques cas, une apoplexie hypophysaire (syndrome clinique secondaire à un infarctus hypophysaire) a été observée après l'administration de gonadoréline d'une seule dose de 100 µg (à des fins de diagnostic). Les symptômes possibles d'une apoplexie hypophysaire sont des céphalées soudaines, des vomissements, des modifications de la vision (pouvant aller jusqu'à l'amaurose), une ophtalmoplégie, une paralysie du nerf crânien, une hémiplégie, une altération de l'état mental et occasionnellement un collapsus cardio-vasculaire. Les agonistes de la GnRH ne doivent donc pas être administrés en présence avérée d'un adénome hypophysaire. En cas d'apoplexie hypophysaire, une prise en charge médicale immédiate est nécessaire.
- +Lors de l'administration à long terme des médicaments de cette classe pharmacothérapeutique, la formation d'anticorps peut se produire dans des cas isolés et entraîner une diminution de l'efficacité.
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par ml, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
- +
-D’autres hormonothérapies peuvent également affecter la réponse au traitement.
-Grossesse/Allaitement
-Lutrelef est indiqué uniquement de la phase folliculaire à l'implantation du trophoblaste. Les études animales n’ont pas démontré d'effets tératogènes ou fœtotoxiques et il n’a pas été mis en évidence à ce jour de risque pour l’évolution de la grossesse. La possibilité d’un préjudice fœtal semble peu probable.
-Il n'y a pas d'indication pendant l’allaitement. On ignore si la gonadoréline diffuse dans le lait maternel.
- +D'autres hormonothérapies peuvent également affecter la réponse au traitement.
- +Grossesse, allaitement
- +Grossesse
- +Lutrelef est indiqué uniquement de la phase folliculaire à l'implantation du trophoblaste. Les études animales n'ont pas démontré d'effets tératogènes ou fœtotoxiques et il n'a pas été mis en évidence à ce jour de risque pour l'évolution de la grossesse. La possibilité d'un préjudice fœtal semble peu probable.
- +Allaitement
- +Il n'y a pas d'indication pendant l'allaitement. On ignore si la gonadoréline diffuse dans le lait maternel.
-La sécurité de Lutrelef a été examinée pour l’indication gynécologique dans une étude clinique incluant au total 72 patientes. Pour l'indication d'hypogonadisme central chez l'homme, aucune étude clinique n’a été effectuée.
-Dans le cadre des essais cliniques, des effets indésirables ont été rapportés dans environ 10% des cas.
-Les effets indésirables qui ont été observés dans des essais cliniques ou après commercialisation sont classés ci-dessous par systèmes d’organes et par fréquence. Lors de l'évaluation des effets indésirables, les fréquences sont définies comme suit: très fréquent ≥ 1/10, fréquent ≥ 1/100 et <1/10, occasionnel ≥ 1/1’000 et <1/100, rare ≥1/10’000 à <1/1’000, très rare (<1/10’000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée à partir des données disponibles).
-Troubles du système immunitaire
-Rare: réactions allergiques (y compris réactions anaphylactoïdes telles que urticaire, bouffées vasomotrices, œdème de Quincke, dyspnée, bronchospasme, tachycardie, hypotension, collapsus cardiovasculaire, perte de connaissance).
-Troubles du système nerveux
-Très rare: symptômes neurologiques passagers tels qu’une apoplexie hypophysaire (voir „Mises en garde et précautions“).
-Fréquence indéterminée: céphalées.
-Troubles vasculaires
- +La sécurité de Lutrelef a été examinée pour l'indication gynécologique dans une étude clinique incluant au total 72 patientes. Pour l'indication d'hypogonadisme central chez l'homme, aucune étude clinique n'a été effectuée.
- +Dans le cadre des essais cliniques, des effets indésirables ont été rapportés dans environ 10 % des cas.
- +Les effets indésirables qui ont été observés dans des essais cliniques ou après commercialisation sont classés ci-dessous par selon la classification convenue à l'échelle internationale des classes de systèmes d'organes du MedDRA et par fréquence. Lors de l'évaluation des effets indésirables, les fréquences sont définies comme suit: «très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (≥1/100, <1/10), «occasionnel» (≥1/1'000, <1/100), «rare» (≥1/10'000, <1/1'000), «très rare» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
- +Affections du système immunitaire
- +Rare: réactions allergiques (y compris réactions anaphylactoïdes telles que urticaire, bouffées vasomotrices, œdème de Quincke, dyspnée, bronchospasme, tachycardie, hypotension, collapsus cardio-vasculaire, perte de connaissance).
- +Affections du système nerveux
- +Très rare: symptômes neurologiques passagers tels qu'une apoplexie hypophysaire (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Fréquence inconnue: céphalées.
- +Affections vasculaires
-Troubles gastro-intestinaux
-Fréquence indéterminée: nausées, douleurs abdominales.
-Troubles des organes de reproduction et des seins
-Peu fréquent: SHO.
-Fréquence indéterminée: ménorragies, priapisme.
-Troubles généraux et réactions au site d'administration
-Fréquent: réactions au site d'administration telles qu’érythème, prurit, urticaire, hématome, inflammation, phlébite faible ou infection.
- +Affections gastro-intestinales
- +Fréquence inconnue: nausées, douleurs abdominales.
- +Affections des organes de reproduction et du sein
- +Occasionell: SHO.
- +Fréquence inconnue: ménorragies, priapisme.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Fréquent: réactions au site d'administration telles qu'érythème, prurit, urticaire, hématome, inflammation, phlébite faible ou infection.
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +
-ATC-Code : H01CA01
- +Code ATC
- +H01CA01
- +Mécanisme d'action
- +Pharmacodynamique
- +Voir Mécanisme d'action.
- +Efficacité clinique
- +Aucune information.
- +
-Après administration s.c. de Lutrelef, la biodisponibilité absolue était chez les sujets de sexe masculin de 87,5%. La Cmax est atteinte après environ 15 minutes.
-La concentration sérique mise en évidence 60 minutes après administration i.v. de 100 µg d'acétate de gonadoréline n'a plus atteint que 1 à 2% du pic évalué environ 3 minutes après l'injection; l'hormone n'est plus décelable dans le plasma au bout de 180 minutes.
- +Après administration s.c. de Lutrelef, la biodisponibilité absolue était chez les sujets de sexe masculin de 87,5 %. La Cmax est atteinte après environ 15 minutes.
- +La concentration sérique mise en évidence 60 minutes après administration i.v. de 100 µg d'acétate de gonadoréline n'a plus atteint que 1 à 2 % du pic évalué environ 3 minutes après l'injection; l'hormone n'est plus décelable dans le plasma au bout de 180 minutes.
-On ne dispose d’aucune donnée concernant un éventuel passage de la gonadoréline dans le liquide céphalorachidien, son franchissement de la barrière placentaire et sa diffusion dans le lait maternel.
- +On ne dispose d'aucune donnée concernant un éventuel passage de la gonadoréline dans le liquide céphalorachidien, son franchissement de la barrière placentaire et sa diffusion dans le lait maternel.
-Elimination
-La demi-vie biologique de la gonadoréline injectée par voie i.v. est de 4 minutes environ. La clairance métabolique est de l'ordre de 1,6l/minute. Le produit est éliminé principalement par le rein, avec mise en évidence d'oligopeptides dans l'urine. L'excrétion biliaire est minime.
- +Élimination
- +La demi-vie biologique de la gonadoréline injectée par voie i.v. est de 4 minutes environ. La clairance métabolique est de l'ordre de 1,6 l/minute. Le produit est éliminé principalement par le rein, avec mise en évidence d'oligopeptides dans l'urine. L'excrétion biliaire est minime.
-Toxicité pour la reproduction
-Des expériences chez les rats et les lapins ont montré des effets lutéolytiques intenses ainsi qu'une absorption fœtale plus élevée et une mortalité périnatale. Chez les rats, ces effets sont attribués à une suppression des récepteurs estrogéniques qui conduisent à une naissance retardée du fœtus.
-Aucun effet tératogène n’a été observé.
-
- +Aucun effet tératogène n'a été observé.
- +Toxicité sur la reproduction
- +Des expériences chez les rats et les lapins ont montré des effets lutéolytiques intenses ainsi qu'une absorption fœtale plus élevée et une mortalité périnatale. Chez les rats, ces effets sont attribués à une suppression des récepteurs estrogéniques qui conduisent à une naissance retardée du fœtus.
-Lorsqu'elle est utilisée avec Lutrepulse Pod, la solution prête à l'emploi se conserve 3 jours.
-Remarques concernant le stockage
-Ne pas conserver à une température supérieure à 25°C.
-Conserver le médicament hors de portée des enfants.
- +Stabilité après ouverture
- +Lorsqu'elle est utilisée avec Lutrepulse® Pod, la solution prête à l'emploi se conserve 3 jours.
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Ne pas conserver au-dessus de 25°C.
- +Conserver hors de portée des enfants.
-Lutrelef s'administre uniquement de manière pulsatile à l’aide de Lutrepulse Pod, une minipompe à piles, pilotée par ordinateur. Le Lutrepulse Pod est piloté par le LutrepulseManager.
-Dissoudre 3,2 mg de poudre Lutrelef dans 3,2 ml de solvant, puis introduire 2,0 ml de la solution ainsi préparée dans la pompe Lutrepulse Pod et placer son cathéter à demeure pour l’injection sous-cutané. La dose introduite dans la pompe Lutrepulse Pod est administrée de façon pulsatile, elle peut être augmentée ou diminuée dans le cadre de la fourchette thérapeutique autorisée.
-Le contenu d'une pompe Lutrepulse Pod suffit pour un traitement de trois jours. Après trois jours de traitement, la pompe Lutrepulse Pod doit être éliminée. Pour poursuivre le traitement, préparer une nouvelle solution et répéter la procédure avec une nouvelle pompe Lutrepulse Pod.
-Le Lutrepulse Manager doit être programmé par le médecin traitant.
- +Lutrelef s'administre uniquement de manière pulsatile à l'aide de Lutrepulse® Pod, une minipompe à piles, pilotée par ordinateur. Le Lutrepulse® Pod est piloté par le Lutrepulse® Manager.
- +Dissoudre 3,2 mg de poudre Lutrelef dans 3,2 ml de solvant, puis introduire 2,0 ml de la solution ainsi préparée dans la pompe Lutrepulse® Pod et placer son cathéter à demeure pour l'injection sous-cutané. La dose introduite dans la pompe Lutrepulse® Pod est administrée de façon pulsatile, elle peut être augmentée ou diminuée dans le cadre de la fourchette thérapeutique autorisée.
- +Le contenu d'une pompe Lutrepulse® Pod suffit pour un traitement de trois jours. Après trois jours de traitement, la pompe Lutrepulse® Pod doit être éliminée. Pour poursuivre le traitement, préparer une nouvelle solution et répéter la procédure avec une nouvelle pompe Lutrepulse® Pod.
- +Le Lutrepulse® Manager doit être programmé par le médecin traitant.
-Lutrelef 3,2 mg + solvant
-Titulaire de l'autorisation
- +1 flacon de poudre et 1 flacon de solvant, [B].
- +Titulaire de l’autorisation
-Mise à jour de l'information
-Avril 2015
- +Mise à jour de l’information
- +Avril 2022
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