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Accueil - Information professionnelle sur Depakine Chrono 300 - Changements - 01.02.2025
60 Changements de l'information professionelle Depakine Chrono 300
  • -Arom.: saccharinum, excipiens pro compresso obducto.
  • +Depakine Chrono 300 mg: ethylcellulosum, hypromellosum, silica colloidalis hydrica, saccharinum natricum. Pelliculage: hypromellosum, macrogolum 6000, polyacrylatis dispersio 30 per centum, talcum, titanii dioxidum (E171).
  • +Depakine Chrono 500 mg: ethylcellulosum, hypromellosum, silica colloidalis anhydrica, silica colloidalis hydrica, saccharinum natricum. Pelliculage: hypromellosum, macrogolum 6000, polyacrylatis dispersio 30 per centum, talcum, titanii dioxidum (E171).
  • +Teneur totale en sodium Depakine Chrono 300 mg: 28,3 mg.
  • +Teneur totale en sodium Depakine Chrono 500 mg: 47,2 mg.
  • -Association de Depakine avec d'autres antiépileptiques
  • +Association de Depakine Chrono avec d'autres antiépileptiques
  • -Il convient également de tenir compte de l'effet de Depakine sur les autres antiépileptiques (voir «Interactions»).
  • -Substitution d'un traitement antiépileptique par Depakine
  • -En cas de substitution progressive complète de Depakine aux médications antérieures, l'introduction de Depakine s'effectue de la même manière que pour une monothérapie de première intention. La posologie de certaines médications antérieures, notamment des barbituriques, est diminuée d'emblée, puis le sevrage progressif est poursuivi. Il s'effectue en 2 à 8 semaines.
  • +Il convient également de tenir compte de l'effet de Depakine Chrono sur les autres antiépileptiques (voir «Interactions»).
  • +Substitution d'un traitement antiépileptique par Depakine Chrono
  • +En cas de substitution progressive complète de Depakine Chrono aux médications antérieures, l'introduction de Depakine Chrono s'effectue de la même manière que pour une monothérapie de première intention. La posologie de certaines médications antérieures, notamment des barbituriques, est diminuée d'emblée, puis le sevrage progressif est poursuivi. Il s'effectue en 2 à 8 semaines.
  • +Sodium
  • +Ce médicament contient 28,3 mg de sodium par comprimé de 300 mg et 47,2 mg de sodium par comprimé de 500 mg, ce qui équivaut respectivement à 1,4% et 2,4% de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte.
  • +
  • -Une étude d'interaction pharmacocinétique chez des jeunes volontaires sains de sexe masculin a montré que Depakine n'a aucun effet sur les taux sériques de lithium.
  • +Une étude d'interaction pharmacocinétique chez des jeunes volontaires sains de sexe masculin a montré que Depakine Chrono n'a aucun effet sur les taux sériques de lithium.
  • -Depakine entrave le métabolisme de la lamotrigine et prolonge sa demi-vie moyenne d'élimination de presque deux fois. Cette interaction peut entraîner une augmentation des effets toxiques de la lamotrigine, en particulier des éruptions cutanées sévères. Certaines réactions cutanées graves qui sont apparues dans les six premières semaines des polythérapies ont été rapportées, mais ces dernières ont régressé partiellement lors de l'arrêt du traitement ou, dans certains cas, uniquement après un traitement approprié. Par conséquent, une surveillance clinique est recommandée et les doses de lamotrigine doivent être diminuées le cas échéant
  • +Depakine Chrono entrave le métabolisme de la lamotrigine et prolonge sa demi-vie moyenne d'élimination de presque deux fois. Cette interaction peut entraîner une augmentation des effets toxiques de la lamotrigine, en particulier des éruptions cutanées sévères. Certaines réactions cutanées graves qui sont apparues dans les six premières semaines des polythérapies ont été rapportées, mais ces dernières ont régressé partiellement lors de l'arrêt du traitement ou, dans certains cas, uniquement après un traitement approprié. Par conséquent, une surveillance clinique est recommandée et les doses de lamotrigine doivent être diminuées le cas échéant
  • -Depakine peut diminuer la clairance moyenne du felbamate jusqu'à 16%.
  • +Depakine Chrono peut diminuer la clairance moyenne du felbamate jusqu'à 16%.
  • -En fonction de leur fréquence, les effets indésirables sont classés dans les catégories suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (entre ≥1/100 et <1/10), occasionnels (entre ≥1/1000 et <1/100), rares (entre ≥1/10'000 et <1/1000), très rares (<1/10'000), et fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • +Les effets indésirables sont rangés par classe de système d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante:
  • +«très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100), «rares» (≥1/10 000 à <1/1000), «très rares» (<1/10 000), et «fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Fréquent : anémie, thrombocytopénie. L'administration de valproate peut entraîner une chute du nombre de plaquettes, souvent dose-dépendante et temporaire (voir «Mises en garde et précautions/Examen hématologique et bilan de coagulation»).
  • -Occasionnel : pancytopénie, leucopénie.
  • -Rare : insuffisance médullaire, y compris érythroblastopénie, agranulocytose, anémie macrocytaire, macrocytose (voir «Mises en garde et précautions/Examen hématologique et bilan de coagulation»).
  • -Fréquence inconnue : anomalie de Pelger-Huët acquise (surtout, mais pas exclusivement observée dans le cadre d'un syndrome myélodysplasique).
  • +Fréquents: anémie, thrombocytopénie. L'administration de valproate peut entraîner une chute du nombre de plaquettes, souvent dose-dépendante et temporaire (voir «Mises en garde et précautions/Examen hématologique et bilan de coagulation»).
  • +Occasionnels: pancytopénie, leucopénie.
  • +Rares: insuffisance médullaire, y compris érythroblastopénie, agranulocytose, anémie macrocytaire, macrocytose (voir «Mises en garde et précautions/Examen hématologique et bilan de coagulation»).
  • +Fréquence inconnue: anomalie de Pelger-Huët acquise (surtout, mais pas exclusivement observée dans le cadre d'un syndrome myélodysplasique).
  • -Fréquent : surdité (parfois irréversible).
  • -Fréquence pas connue : Tinnitus.
  • +Fréquents: surdité (parfois irréversible).
  • +Fréquence inconnue: acouphènes.
  • -Occasionnel : syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique (SIADH), chez les femmes hyperandrogénisme (hirsutisme, virilisme, acné, alopécie androgénique, et/ou augmentation du taux d'androgènes).
  • -Rare : hypothyroïdisme.
  • -Fréquence inconnue: anomalies des taux d'hormones sexuelles (comme p.ex. de la testostérone, de l'hormone folliculo-stimulante (FSH), de l'hormone lutéinisante (LH) et de la prolactine) (voir «Effets indésirables/Affections des organes de reproduction et du sein» et «Données précliniques»).
  • +Occasionnels: syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique (SIADH), chez les femmes hyperandrogénisme (hirsutisme, virilisme, acné, alopécie androgénique, et/ou augmentation du taux d'androgènes).
  • +Rares: hypothyroïdisme.
  • +Fréquence inconnue: anomalies des taux d'hormones sexuelles (comme par ex. de la testostérone, de l'hormone folliculo-stimulante (FSH), de l'hormone lutéinisante (LH) et de la prolactine) (voir «Effets indésirables/Affections des organes de reproduction et du sein» et «Données précliniques»).
  • -Très fréquent : nausées.
  • -Fréquent : vomissements, troubles gingivaux (principalement hyperplasie gingivale), stomatite. Douleur de la partie supérieure de l'abdomen, diarrhée qui cèdent en général au bout de quelques jours sans interruption du traitement. Ces troubles ont vu leur incidence diminuer fortement par l'introduction très progressive de Depakine, l'emploi des comprimés pelliculés Chrono et l'administration en début de repas. Dans ces cas, la prescription de thérapeutiques symptomatiques est appropriée.
  • -Occasionnel: pancréatite, parfois d'évolution fatale (voir «Mises en garde et précautions /Pancréatite et /Enfants»).
  • +Très fréquents: nausées.
  • +Fréquents: vomissements, troubles gingivaux (principalement hyperplasie gingivale), stomatite. Douleurs dans la partie supérieure de l'abdomen, diarrhées qui cèdent en général au bout de quelques jours sans interruption du traitement. Ces troubles ont vu leur incidence diminuer fortement par l'introduction très progressive de Depakine, l'emploi des comprimés à libération prolongée Chrono et l'administration en début de repas. Dans ces cas, la prescription de thérapeutiques symptomatiques est appropriée.
  • +Occasionnels: pancréatite, parfois d'évolution fatale (voir «Mises en garde et précautions /Pancréatite et /Enfants»).
  • -Occasionnel : œdème périphérique non graves, hypothermie.
  • +Occasionnels: œdème périphérique non grave, hypothermie.
  • -Des cas d'atteintes hépatiques d'évolution sévère, parfois mortelles, ont été rapportés chez des patients dont le traitement comportait valproate (voir «Mises en garde et précautions/Troubles sévères de la fonction hépatique» et «Interactions/Risque de lésions hépatiques»).
  • +Des cas d'atteintes hépatiques d'évolution sévère, parfois mortelles, ont été rapportés chez des patients dont le traitement comportait du valproate (voir «Mises en garde et précautions/Troubles sévères de la fonction hépatique» et «Interactions/Risque de lésions hépatiques»).
  • -Rare : diminution du nombre de facteurs de coagulation, anomalie des tests de coagulation (telle qu'un allongement du temps de prothrombine, du temps de céphaline activée, du temps de thrombine ou de l'INR). Un trouble de la coagulation, correspondant à la maladie de Willebrand type I a été rapporté dans la littérature (voir «Mises en garde et précautions/Examen hématologique et bilan de coagulation»).
  • -Rare: carence en biotine/biotinidase.
  • +Rares: diminution du nombre de facteurs de coagulation, anomalie des tests de coagulation (telle qu'un allongement du temps de prothrombine, du temps de céphaline activée, du temps de thrombine ou de l'INR). Un trouble de la coagulation correspondant à la maladie de Willebrand type I a été rapporté dans la littérature (voir «Mises en garde et précautions/Examen hématologique et bilan de coagulation»).
  • +Rares: carence en biotine/biotinidase.
  • -Fréquent : augmentation pondérale (5 à 10% des cas), notamment chez les adolescents et les femmes jeunes.
  • +Fréquents: augmentation pondérale (5 à 10% des cas), notamment chez les adolescents et les femmes jeunes.
  • -Fréquent : hyponatrémie.
  • -Rare: hyperammoniémie, obésité.
  • -Des cas d'hyperammoniémie isolée et modérée, sans altération significative des tests habituels des fonctions hépatiques, ont été rapportés. En l'absence de manifestations cliniques, ils n'imposent pas l'arrêt du traitement. Par contre, si cette hyperammoniémie est accompagnée de symptômes neurologiques, des investigations complémentaires sont nécessaires (voir «Mises en garde et précautions/Trouble du cycle de l'urée et risque d'hyperammoniémie, et /Patients à risque d'une déficience en carnitine»).
  • -Fréquence inconnue : déficit en carnitine (voir «Contre-indications», «Mises en garde et précautions»).
  • -Troubles musculo-squelettiques et systémiques
  • -Occasionnel : diminution de la densité osseuse, ostéopénie, ostéoporose, fractures pathologiques chez des patients qui avaient pris de l'acide valproïque pendant une longue durée. Mais le mécanisme d'action de l'acide valproïque sur le métabolisme osseux n'est pas connu (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Rare : lupus érythémateux systémique, rhabdomyolyse.
  • +Fréquents: hyponatrémie.
  • +Rares: hyperammoniémie, obésité.
  • +Des cas d'hyperammoniémie isolée et modérée, sans altération significative des tests habituels des fonctions hépatiques, ont été rapportés. En l'absence de manifestations cliniques, ils n'imposent pas l'arrêt du traitement. Par contre, si cette hyperammoniémie est accompagnée de symptômes neurologiques, des investigations complémentaires sont nécessaires (voir «Mises en garde et précautions/Trouble du cycle de l'urée et risque d'hyperammoniémie et /Patients à risque d'une déficience en carnitine»).
  • +Fréquence inconnue: déficit en carnitine (voir «Contre-indications», «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Occasionnels: diminution de la densité osseuse, ostéopénie, ostéoporose, fractures pathologiques chez des patients qui avaient pris de l'acide valproïque pendant une longue durée. Le mécanisme d'action de l'acide valproïque sur le métabolisme osseux n'est pas connu (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Rares: lupus érythémateux systémique, rhabdomyolyse.
  • -Rare: syndrome myélodysplasique.
  • +Rares: syndrome myélodysplasique.
  • -Très fréquent : tremblement.
  • -Fréquent : désordres extrapyramidaux (parfois irréversibles), stupeur, somnolence, convulsion, troubles de la mémoire, maux de tête, nystagmus, étourdissement (en cas d'injection intraveineuse, l'étourdissement survient quelques minutes après et se résout généralement spontanément au bout de quelques minutes).
  • -Occasionnel : coma, encéphalopathie, léthargie, syndrome de Parkinson réversible, ataxie, paresthésie, aggravation des convulsions (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Rare : démence réversible avec atrophie cérébrale, troubles cognitifs.
  • +Très fréquents: tremblement.
  • +Fréquents: désordres extrapyramidaux (parfois irréversibles), stupeur, somnolence, convulsion, troubles de la mémoire, maux de tête, nystagmus, étourdissement (en cas d'injection intraveineuse, l'étourdissement survient quelques minutes après et se résout généralement spontanément au bout de quelques minutes).
  • +Occasionnels: coma, encéphalopathie, léthargie, syndrome de Parkinson réversible, ataxie, paresthésie, aggravation des convulsions (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Rares: démence réversible avec atrophie cérébrale, troubles cognitifs.
  • -Fréquence inconnue: diplopie
  • +Fréquence inconnue: diplopie.
  • -Fréquent: état confusionnel, hallucinations, agressivité*, agitation*, troubles de l'attention*.
  • -Rare : comportement anormal*, hyperactivité psychomotrice*, troubles d'apprentissage*.
  • +Fréquents: état confusionnel, hallucinations, agressivité*, agitation*, troubles de l'attention*.
  • +Rares : comportement anormal*, hyperactivité psychomotrice*, troubles d'apprentissage*.
  • -Fréquent: incontinence urinaire.
  • -Occasionnel : insuffisance rénale.
  • -Rare : néphrite tubulointerstitielle, énurésie, syndrome de Fanconi, mais le mécanisme physiopathologique n'est pas encore élucidé.
  • +Fréquents: incontinence urinaire.
  • +Occasionnels: insuffisance rénale.
  • +Rares: néphrite tubulointerstitielle, énurésie, syndrome de Fanconi, mais le mécanisme physiopathologique n'est pas encore élucidé.
  • -Fréquent : dysménorrhées.
  • -Occasionnel : aménorrhées (voir «Grossesse, allaitement/Fertilité», «Effets indésirables/Affections endocriniennes» et «Données précliniques»).
  • -Fréquence inconnue : stérilité masculine, anomalies du spermiogramme, ovaires polykystiques. Des cas de volumes testiculaires réduits ont été observés pour lesquels une relation avec le valproate n'a pas clairement pu être établie (voir «Grossesse, allaitement/ Fertilité», «Effets indésirables/Affections endocriniennes» et «Données précliniques»).
  • +Fréquents: dysménorrhées.
  • +Occasionnels: aménorrhées (voir «Grossesse, allaitement/Fertilité», «Effets indésirables/Affections endocriniennes» et «Données précliniques»).
  • +Fréquence inconnue: stérilité masculine, anomalies du spermiogramme, ovaires polykystiques. Des cas de volumes testiculaires réduits ont été observés pour lesquels une relation avec le valproate n'a pas clairement pu être établie (voir «Grossesse, allaitement/Fertilité», «Effets indésirables/Affections endocriniennes» et «Données précliniques»).
  • -Occasionnel : épanchement pleural.
  • -Affections de la peau et des tissus sous-cutanés
  • -Fréquent : hypersensibilité, alopécie passagère et/ou dose-dépendant, altérations des ongles et du lit unguéal.
  • -Occasionnel : angio-œdème, éruption cutanée.
  • -Rare : syndrome de Lyell (nécrolyse épidermique toxique), syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe, syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse ou DRESS (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms) (voir «Mises en garde et précautions»), troubles capillaires (texture anormale, changement de couleur de cheveux, croissance capillaire anormale).
  • +Occasionnels: épanchement pleural.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Fréquents: hypersensibilité, alopécie passagère et/ou dose-dépendante, altérations des ongles et du lit unguéal.
  • +Occasionnels: angiœdème, éruption cutanée.
  • +Rares: syndrome de Lyell (nécrolyse épidermique toxique), syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe, syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse ou DRESS (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms) (voir «Mises en garde et précautions»), troubles capillaires (texture anormale, changement de couleur de cheveux, croissance capillaire anormale).
  • +Fréquence inconnue: hyperpigmentation.
  • +
  • -Fréquent: hémorragie.
  • -Occasionnel: vascularites.
  • +Fréquents: hémorragie.
  • +Occasionnels: vascularites.
  • -La présence de sodium dans la composition de Depakine peut entraîner une hypernatrémie lors d'un surdosage.
  • +La présence de sodium dans la composition de Depakine Chrono peut entraîner une hypernatrémie lors d'un surdosage.
  • -Les travaux de pharmacologie animale ont montré que Depakine possède des propriétés anti-convulsivantes dans divers modèles d'épilepsie expérimentale (crises généralisées et focales).
  • -De même chez l'homme, l'activité antiépileptique de Depakine a été mise en évidence sur les diverses formes d'épilepsie. Le renforcement de l'activité gabaergique intervient vraisemblablement, en empêchant ou en limitant la diffusion des décharges.
  • +Les travaux de pharmacologie animale ont montré que Depakine Chrono possède des propriétés anti-convulsivantes dans divers modèles d'épilepsie expérimentale (crises généralisées et focales).
  • +De même chez l'homme, l'activité antiépileptique de Depakine Chrono a été mise en évidence sur les diverses formes d'épilepsie. Le renforcement de l'activité gabaergique intervient vraisemblablement, en empêchant ou en limitant la diffusion des décharges.
  • -Ne pas utiliser au-delà de la date indiquée sur l'emballage avec la mention «Exp».
  • +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Ne pas conserver au-dessus de 25oC. Conserver dans l'emballage original et hors de portée des enfants.
  • +Ne pas conserver au-dessus de 25oC. Conserver dans l'emballage d'origine et tenir hors de portée des enfants.
  • -Comprimés pelliculés Chrono sécables à 300 mg: 100 (B)
  • -Comprimés pelliculés Chrono sécables à 500 mg: 60 (B)
  • +Comprimés à libération prolongée sécables à 300 mg: 100 (B)
  • +Comprimés à libération prolongée sécables à 500 mg: 60 (B)
  • -Juillet 2024
  • +Novembre 2024
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