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Home - Fachinformation zu Cernevit - Änderungen - 06.03.2020
80 Änderungen an Fachinfo Cernevit
  • -Principes actifs: Rétinol (vitamine A), cholécalciférol (vitamine D3), α-tocophérol (vitamine E), acide ascorbique (vitamine C), thiamine (vitamine B1), riboflavine (vitamine B2), pyridoxine (vitamine B6), cyanocobalamine (vitamine B12), acide folique (vitamine B9), acide pantothénique
  • -(vitamine B5), biotine (vitamine B8), nicotinamide (vitamine PP)
  • -Excipients: Glycine, acide glycocholique, lécithine de soja, hydroxyde de sodium ou/et acide chlorhydrique
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Poudre, administration parentérale
  • -1 flacon-ampoule de 750 mg contient sous forme lyophilisée:
  • -Vitamine A, rétinol (sous forme de palmitate de rétinol) 3500 UI (1,925 mg)
  • -Vitamine D3, cholécalciférol 220 UI 0,0055 mg
  • -Vitamine E, α-tocophérol (sous forme de DL α-tocophérol) 11,20 UI (10,20 mg)
  • -Vitamine C, acide ascorbique 125 mg
  • -Vitamine B1, thiamine (sous forme de tétrahydrate de cocarboxylase) 3,51 mg (5,80 mg)
  • -Vitamine B2, riboflavine (sous forme de phosphate sodique de riboflavine dihydraté) 4,14 mg (5,67 mg)
  • -Vitamine B6, pyridoxine (sous forme de chlorhydrate de pyridoxine) 4,53 mg (5,50 mg)
  • -Vitamine B12, cyanocobalamine 0,006 mg
  • -Vitamine B9, acide folique 0,414 mg
  • -Vitamine B5, acide pantothénique (sous forme de dexpanthénol) 17,25 mg (16,15 mg)
  • -Vitamine B8, biotine 0,069 mg
  • -Vitamine PP, nicotinamide 46 mg
  • -Glycine 250 mg
  • -Acide glycocholique 140 mg
  • -Lécithine de soja 112,5 mg
  • -Hydroxyde de sodium ou/et acide chlorhydrique q.s. pH 5,9
  • -
  • +Principes actifs
  • +Rétinol (vitamine A), cholécalciférol (vitamine D3), α-tocophérol (vitamine E), acide ascorbique (vitamine C), thiamine (vitamine B1), riboflavine (vitamine B2), pyridoxine (vitamine B6), cyanocobalamine (vitamine B12), acide folique (vitamine B9), acide pantothénique (vitamine B5), biotine (vitamine B8), nicotinamide (vitamine PP)
  • +Excipients
  • +Glycine, acide glycocholique, lécithine de soja, hydroxyde de sodium ou/et acide chlorhydrique
  • -Indications/possibilités d’emploi
  • +Indications/Possibilités d’emploi
  • -·Alimentation orale contre-indiquée: fistules abdominales, cas graves de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse, ainsi que certains états préopératoires et postopératoires.
  • +·Alimentation orale contreindiquée: fistules abdominales, cas graves de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse, ainsi que certains états préopératoires et postopératoires.
  • -Posologie/mode d’emploi
  • +Posologie/Mode d’emploi
  • -Adultes et enfants de plus de onze ans: 1 flacon-ampoule par jour par voie intraveineuse ou intramusculaire.
  • -Cernévit doit être administré en perfusion lente (sur 1-2 heures au minimum) (voir Mises en garde et précautions).
  • +Adultes et enfants de plus de 11 ans: 1 flacon-ampoule par jour par voie intraveineuse ou intramusculaire.
  • +Cernévit doit être administré en perfusion lente (sur 1-2 heures au minimum) (voir rubrique « Mises en garde et précautions »).
  • -Utilisation chez les patients ayant une insuffisance hépatique:
  • +Utilisation chez les patients ayant une insuffisance hépatique
  • -Une attention particulière doit être effectuée pour prévenir la toxicité de la vitamine A car la présence d’une maladie hépatique est associée à une sensibilité augmentée à la toxicité de la vitamine A, en particulier en association avec une consommation excessive chronique d’alcool (voir aussi hypervitaminose A et effets hépatiques en chapitre Mises en garde et précautions).
  • +Une attention particulière doit être effectuée pour prévenir la toxicité de la vitamine A car la présence d’une maladie hépatique est associée à une sensibilité augmentée à la toxicité de la vitamine A, en particulier en association avec une consommation excessive chronique d’alcool (voir aussi hypervitaminose A et effets hépatiques en chapitre « Mises en garde et précautions »).
  • -Il faut tenir compte du fait que certaines vitamines, en particulier les vitamines A, B2 et B6 sont sensibles aux rayons UV (par exemple au rayonnement solaire direct ou indirect). La perte de vitamines A, B1, C et E peut de plus augmenter dans la solution en présence de concentrations élevées d’oxygène. Ces facteurs doivent être pris en compte lorsqu’on ne parvient pas à obtenir des taux de vitamines suffisants.
  • +Il faut tenir compte du fait que certaines vitamines, en particulier les vitamines A, B2 et B6 sont sensibles aux rayons UV (par exemple au rayonnement solaire direct ou indirect). La perte de vitamines A, B1, C et E peut de plus augmenter dans la solution en présence de concentrations élevées d’oxygène. Ces facteurs doivent être pris en compte lorsqu’on ne parvient pas à obtenir des taux de vitamines suffisants.
  • -·Hypersensibilité à l’un des constituants ou aux protéines de soja ou aux produits à base de soja.
  • +·Hypersensibilité à l’un des composants ou aux protéines de soja ou aux produits à base de soja.
  • -·En cas d’hypervitaminose reliée à toute vitamine contenue dans Cernévit
  • +·En cas d’hypervitaminose reliée à toute vitamine contenue dans Cernévit.
  • -Des réactions d’hypersensibilité systémiques graves ont été rapportées sous Cernévit, sous d’autres préparations multivitaminées, de même que sous vitamines isolées (y compris les vitamines B1, B2 et B12 et l’acide folique). Des réactions avec issue fatale ont été rapportées sous Cernévit et sous d’autres préparations de vitamines parentérales (voir chapitre Effets indésirables).
  • +Des réactions d’hypersensibilité systémiques graves ont été rapportées sous Cernévit, sous d’autres préparations multivitaminées, de même que sous vitamines isolées (y compris les vitamines B1, B2 et B12 et l’acide folique). Des réactions avec issue fatale ont été rapportées sous Cernévit et sous d’autres préparations de vitamines parentérales (voir rubrique « Effets indésirables »).
  • -La quantité de vitamines présente dans Cernévit ne correspond pas exactement aux besoins des enfants de moins de onze ans. C’est pourquoi Cernévit convient moins à ce groupe de patients.
  • +La quantité de vitamines présente dans Cernévit ne correspond pas exactement aux besoins des enfants de moins de 11 ans. C’est pourquoi Cernévit convient moins à ce groupe de patients.
  • -L’état clinique des patients et les concentrations sanguines en vitamine doivent être étroitement surveillées afin d’éviter un surdosage et des effets toxiques, particulièrement avec les vitamines A, D et E et en particulier chez les patients qui reçoivent des vitamines additionnelles provenant d’autres sources ou utilisent d’autres agents qui augmentent le risque de toxicité des vitamines.
  • +L’état clinique des patients et les concentrations sanguines en vitamine doivent être surveillées afin d’éviter un surdosage et des effets toxiques, particulièrement avec les vitamines A, D et E et en particulier chez les patients qui reçoivent des vitamines additionnelles provenant d’autres sources ou utilisent d’autres agents qui augmentent le risque de toxicité des vitamines.
  • --Une malnutrition protidique
  • +-Une malnutrition protidique,
  • -Au-delà du contrôle de la solution, il convient de vérifier périodiquement l’absence de précipitations dans le set de perfusion et le cathéter.En cas de dyspnée, il faut immédiatement arrêter la perfusion et procéder à un examen médical.
  • +Au-delà du contrôle de la solution, il convient de vérifier périodiquement l’absence de précipitations dans le set de perfusion et le cathéter.En cas de dyspnée, il faut arrêter la perfusion et procéder à un examen médical.
  • -Une surveillance des paramètres hépatiques est conseillée chez les patients recevant Cernévit. Une surveillance particulièrement étroite est de mise chez les patients avec ictère hépatique ou présence de cholestase.Des cas d’élévation des enzymes hépatiques, y compris des cas isolés d’augmentation de l’alanine-aminotransférase (ALAT) chez des sujets souffrant de maladies inflammatoires intestinales, ont été rapportés chez les patients recevant Cernévit (voir chapitre Effets indésirables).
  • +Une surveillance des paramètres hépatiques est conseillée chez les patients recevant Cernévit. Une surveillance particulièrement étroite est de mise chez les patients avec ictère hépatique ou présence de cholestase.Des cas d’élévation des enzymes hépatiques, y compris des cas isolés d’augmentation de l’alanine-aminotransférase (ALAT) chez des patients souffrant de maladies inflammatoires intestinales, ont été rapportés chez les patients recevant Cernévit (voir rubrique « Effets indésirables »).
  • -·vitamine A chez les patients souffrant d’escarres, de plaies, de brûlures, de syndrome de l’intestin court ou de mucoviscidose
  • -·vitamine B1 chez les patients dialysés
  • -·vitamine B2 chez les patients cancéreux
  • -·vitamine B6 chez les patients avec insuffisance rénale
  • -·vitamines isolées dont les besoins sont accrus à la suite d’interactions médicamenteuses (voir chapitre Interactions).
  • +·Vitamine A chez les patients souffrant d’escarres, de plaies, de brûlures, de syndrome de l’intestin court ou de mucoviscidose.
  • +·Vitamine B1 chez les patients dialysés.
  • +·Vitamine B2 chez les patients cancéreux.
  • +·Vitamine B6 chez les patients avec insuffisance rénale.
  • +·Vitamines isolées dont les besoins sont accrus à la suite d’interactions médicamenteuses (voir « Interactions »).
  • -Une évaluation du status en vitamine B12 est conseillée avant l’introduction du complément alimentaire Cernévit chez des patients à risque de carence en vitamine B12 et/ou lorsqu’il est prévu d’administrer Cernévit durant plusieurs semaines.
  • +Une évaluation du status en vitamine B12 est conseillée avant l’introduction du complément alimentaire avec Cernévit chez des patients à risque de carence en vitamine B12 et/ou lorsqu’il est prévu d’administrer Cernévit durant plusieurs semaines.
  • -L’interprétation des taux de vitamine B12 doit tenir compte du fait qu’une prise récente de la vitamine peut induire des taux sériques de vitamine B12 normaux malgré la présence d’un déficit tissulaire.
  • +L’interprétation des taux de vitamine B12 doit tenir compte du fait qu’une prise récente de la vitamine B12 peut induire des taux sériques de vitamine B12 normaux malgré la présence d’un déficit tissulaire.
  • -Cernévit contient 24 mg de sodium (1 mmol) par flacon-ampoule. Il faut en tenir compte chez les patients sousgime à teneur en sodium contrôlée.
  • +Cernévit contient 24 mg de sodium (1 mmol) par flacon-ampoule. Il faut en tenir compte chez les patients suivant un régime côntrolé en sodium.
  • +Interférence avec les analyses de biologie médicale
  • +La biotine peut interférer avec les analyses de laboratoire qui se fondent sur l’interaction entre la biotine et la streptavidine, faussant lessultats d’analyse avec des valeurs faussement élevées ou faussement basses, en fonction du type d’analyse. Le risque d’interférence est plus élevé chez les enfants et les patients souffrant d’insuffisance rénale et augmente plus les doses sont fortes. Lorsque l’on interprète les résultats d’analyses de laboratoire, il convient de tenir compte de la possible interférence de la biotine, en particulier si l’on observe une incohérence par rapport à la manifestation clinique (par exemple, résultats d’analyse de la thyroïde indiquant une maladie de Basedow chez des patients asymptomatiques qui prennent de la biotine, ou résultats d’analyse de la troponine faussement négatifs chez des patients victimes d’un infarctus du myocarde qui prennent de la biotine). D’autres analyses, pour lesquelles il n’y a pas de risque d’interférence de la biotine, devraient être réalisées, si possible, en cas de suspicion d’interférence. Lorsque des analyses de laboratoire sont prescrites à des patients prenant de la biotine, le personnel de laboratoire doit être consulté.
  • -·substances susceptibles d’induire une pseudotumeur cérébrale (y compris certaines tétracyclines): risque accru de pseudotumeur cérébrale lors d’administration supplémentaire de vitamine A.
  • -·alcool (excès chronique): augmentation du risque d’hépatotoxicité de la vitamine A.
  • -·antiépileptiques (phénytoïne, fosphénytoïne, phénobarbital, primidone): des compléments d’acide folique peuvent abaisser les concentrations des antiépileptiques et augmenter le risque de crises épileptiques.
  • -·inhibiteurs de l’agrégation plaquettaire (par ex. Aspirine): la vitamine E peut contribuer à l’inhibition de la fonction plaquettaire.
  • -·aspirine (fortes doses): peut abaisser les taux d’acide folique par augmentation de l’excrétion urinaire.
  • -·certains antiépileptiques (par ex. phénytoïne, carbamazépine, phénobarbital, valproate): peuvent entraîner un déficit en acide folique, en pyridoxine et en vitamine D.
  • -·certaines substances antirétrovirales: des diminutions des taux de vitamine D ont été mises en relation par ex. avec efavirenz et zidovudine. Une formation réduite des métabolites actifs de la vitamine D a été associée aux inhibiteurs de la protéase.
  • -·chloramphénicol: peut inhiber la réponse hématologique à la vitamine B12.
  • -·déféroxamine: risque accru d’insuffisance cardiaque induite par le fer consécutive à une augmentation de la mobilisation du fer par l’augmentation de la supplémentation physiologique en vitamine C. Pour les précautions particulières, on se rapportera à l’information professionnelle de la déféroxamine.
  • -·�thionamide: peut entraîner un déficit en pyridoxine.
  • -·fluoropyrimidine (5fluorouracil, capécitabine, tégafur): augmentation de la cytotoxicité en cas de combinaison avec l’acide folique.
  • -·antagoniste de l’acide folique, par ex. méthotrexate, sulfasalazine, pyriméthamine, triamtérène, triméthoprime et fortes doses de catéchines du thé: blocage de la transformation de l’acide folique en métabolites actifs et diminution de l’efficacité des compléments alimentaires.
  • -·antimétabolites de l’acide folique (méthotrexate, raltitrexed): la supplémentation en acide folique peut empêcher les effets des antimétabolites.
  • -·antagonistes de la pyridoxine, y compris la cyclosérine, hydralazine, isoniazide, pénicillamine, phénelzine: peuvent induire un déficit en pyridoxine.
  • -·rétinoïdes, y compris bexarotène: augmentation du risque de toxicité en cas de prise concomitante de vitamine A (voir chapitre Mises en garde et précautions: hypervitaminose A).
  • -· théophylline: peut induire un déficit en pyridoxine.
  • -· tipranavir solution à avaler: contient 116 UI / avec vitamine E, ce qui se situe au-dessus de la dose journalière recommandée.
  • -· antivitamine K (par ex. phenprocoumone): augmentation de l’action anticoagulante par la vitamine E.
  • +·Substances susceptibles d’induire une pseudotumeur cérébrale (y compris certaines tétracyclines): risque accru de pseudotumeur cérébrale lors d’administration supplémentaire de vitamine A.
  • +·Alcool (excès chronique): augmentation du risque d’hépatotoxicité de la vitamine A.
  • +·Antiépileptiques (phénytoïne, fosphénytoïne, phénobarbital, primidone): des compléments d’acide folique peuvent abaisser les concentrations des antiépileptiques et augmenter le risque de crises épileptiques.
  • +·Inhibiteurs de l’agrégation plaquettaire (par ex. Aspirine): la vitamine E peut contribuer à l’inhibition de la fonction plaquettaire.
  • +·Aspirine (fortes doses): peut abaisser les taux d’acide folique par augmentation de l’excrétion urinaire.
  • +·Certains antiépileptiques (par ex. phénytoïne, carbamazépine, phénobarbital, valproate): peuvent entraîner un déficit en acide folique, en pyridoxine et en vitamine D.
  • +·Certaines substances antirétrovirales: des diminutions des taux de vitamine D ont été mises en relation par ex. avec efavirenz et zidovudine. Une formation réduite des métabolites actifs de la vitamine D a été associée aux inhibiteurs de la protéase.
  • +·Chloramphénicol: peut inhiber la réponse hématologique à la vitamine B12.
  • +·Déféroxamine: risque accru d’insuffisance cardiaque induite par le fer consécutive à une augmentation de la mobilisation du fer par l’augmentation de la supplémentation physiologique en vitamine C. Pour les précautions particulières, on se rapportera à l’information professionnelle de la déféroxamine.
  • +·�thionamide: peut entraîner un déficit en pyridoxine.
  • +·Fluoropyrimidine (5-fluorouracil, capécitabine, tégafur): augmentation de la cytotoxicité en cas de combinaison avec l’acide folique.
  • +·Antagoniste de l’acide folique, par ex. méthotrexate, sulfasalazine, pyriméthamine, triamtérène, triméthoprime et fortes doses de catéchines du thé: blocage de la transformation de l’acide folique en métabolites actifs et diminution de l’efficacité des compléments alimentaires.
  • +·Antimétabolites de l’acide folique (méthotrexate, raltitrexed): la supplémentation en acide folique peut empêcher les effets des antimétabolites.
  • +·Antagonistes de la pyridoxine, y compris la cyclosérine, hydralazine, isoniazide, pénicillamine, phénelzine: peuvent induire un déficit en pyridoxine.
  • +·Rétinoïdes, y compris bexarotène: augmentation du risque de toxicité en cas de prise concomitante de vitamine A (voir rubrique « Mises en garde et précautions: hypervitaminose A »).
  • +· Théophylline: peut induire un déficit en pyridoxine.
  • +· Tipranavir solution à avaler: contient 116 UI / avec vitamine E, ce qui se situe au-dessus de la dose journalière recommandée.
  • +·Antagonistes de la vitamine K (par ex. phenprocoumone): augmentation de l’action anticoagulante par la vitamine E.
  • -Les substances qui se lient à l’alpha-1glycoprotéine acide (AAG):
  • +Les substances qui se lient à l’alpha-1-glycoprotéine acide (AAG)
  • -Dans une étude in vitro ayant utilisé du sérum humain, des concentrations d’acide glycocholique correspondant à environ 4 fois les concentrations sériques d’acide glycocholique obtenues après l’injection d’un bolus de Cernévit chez un adulte, ont augmenté de 50 à 80% la fraction libre de ces médicaments. On ne sait pas si cet effet est cliniquement significatif lorsque la quantité d’acide glycocholique contenue dans une dose standard de Cernévit (en tant que composante des micelles mélangées) est administrée par injection intraveineuse lente, injection intramusculaire ou perfusion sur une durée relativement longue.Les patients recevant Cernévit et des médicaments se liant sur l’alpha-1glycoprotéine acide, doivent bénéficier d’une surveillance étroite à la recherche d’une augmentation des effets de ces médicaments.
  • +Dans une étude in vitro ayant utilisé du sérum humain, des concentrations d’acide glycocholique correspondant à environ 4 fois les concentrations sériques d’acide glycocholique obtenues après l’injection d’un bolus de Cernévit chez un adulte, ont augmenté de 50 à 80% la fraction libre de ces médicaments. On ne sait pas si cet effet est cliniquement significatif lorsque la quantité d’acide glycocholique contenue dans une dose standard de Cernévit (en tant que composante des micelles mélangées) est administrée par injection intraveineuse lente, injection intramusculaire ou perfusion sur une durée relativement longue.Les patients recevant Cernévit et des médicaments se liant sur l’alpha-1-glycoprotéine acide, doivent bénéficier d’une surveillance étroite à la recherche d’une augmentation des effets de ces médicaments.
  • -L’évaluation de la fréquence se base sur les catégories suivantes: très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100, <1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1000, < 1/100) ; rare (≥ 1/10000, < 1/1000) et très rare (< 1/10000).
  • -Troubles gastro-intestinaux:
  • -Peu fréquent: vomissements, nausées
  • -Troubles généraux et accidents liés au site d’administration
  • -Fréquent: douleurs au niveau du site d'injection/d’infusion
  • +L’évaluation de la fréquence se base sur les catégories suivantes: très fréquents (≥ 1/10) ; fréquents (≥ 1/100, <1/10) ; occasionnels (≥ 1/1000, < 1/100) ; rares (≥ 1/10000, < 1/1000) et très rares (< 1/10000).
  • +Affections gastro-intenstinales
  • +Occasionnels: vomissements, nausées
  • +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
  • +Fréquents: douleurs au niveau du site d'injection/d’infusion
  • -Très fréquent (lors d’une administration quotidienne sur 3 mois): augmentation de la protéine liant le rétinol, augmentation de la vitamine A (sans symptomatologie clinique)
  • -Troubles hépato-biliaires
  • -Très fréquent: Acides biliaires augmentés, l’alanineaminotransférase isolé augmenté
  • -Fréquent: Aminotransférases augmentés, alkaline phosphatase dans le sang augmenté, augmentation de la glutamatedéshydrogénase
  • +Très fréquents (lors d’une administration quotidienne sur 3 mois): augmentation de la protéine liant le rétinol, augmentation de la vitamine A (sans symptomatologie clinique)
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Très fréquents: Acides biliaires augmentés, l’alanine-aminotransférase isolé augmenté
  • +Fréquents: Aminotransférases augmentés, alkaline phosphatase dans le sang augmenté, augmentation de la glutamate-déshydrogénase
  • -Système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Troubles fonctionnels cardiaques
  • +Affections cardiaques
  • -Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Troubles gastro-intestinaux:
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Troubles hépato-biliaires
  • -gamma-glutamyltransférase augmenté
  • -Troubles généraux et accidents liés au site d’administration
  • +Affections hépatobiliaires
  • +gammaglutamyltransférase augmenté
  • +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
  • -Le risque de surdosage est particulièrement élevé lorsqu’un patient reçoit des vitamines de plusieurs sources et que les doses d’une vitamine donnée ne correspondent pas aux besoins individuels du patient ou chez les patients présentant une tendance accrue à une hypervitaminose (voir chapitre Mises en garde et précautions).
  • +Le risque de surdosage est particulièrement élevé lorsqu’un patient reçoit des vitamines de plusieurs sources et que les doses d’une vitamine donnée ne correspondent pas aux besoins individuels du patient ou chez les patients présentant une tendance accrue à une hypervitaminose (voir rubrique « Mises en garde et précautions »).
  • -Le traitement des surdosages de vitamines consiste habituellement en une interruption de l’administration des vitamines et en d’autres mesures en fonction de l’indication clinique (voir chapitre Interactions).
  • +Le traitement des surdosages de vitamines consiste habituellement en une interruption de l’administration des vitamines et en d’autres mesures en fonction de l’indication clinique (voir rubrique « Interactions »).
  • -Code ATC: B05XC
  • -Cernévit contient toutes les vitamines essentielles au métabolisme, telles qu’en ont besoin les adultes et les enfants de plus de onze ans. La composition et la proportion de chaque vitamine correspondent aux recommandations de l’American Medical Association, de la Food and Drug Administration et du Food and Nutrition Board pour l’alimentation parentérale.
  • +Code ATC : B05XC
  • +Cernévit contient toutes les vitamines essentielles au métabolisme, telles qu’en ont besoin les adultes et les enfants de plus de 11 ans. La composition et la proportion de chaque vitamine correspondent aux recommandations de l’American Medical Association, de la Food and Drug Administration et du Food and Nutrition Board pour l’alimentation parentérale.
  • -Données précliniques
  • -Les données de la littérature ne révèlent pas de propriétés toxiques de la vitamine B12 pour la reproduction. Il n’existe aucune étude chez l’animal destinée à évaluer les propriétés toxicologiques de l’acide folique pour la reproduction (voir Mises en garde et précautions).
  • +Les données de la littérature ne révèlent pas de propriétés toxiques de la vitamine B12 pour la reproduction. Il n’existe aucune étude chez l’animal destinée à évaluer les propriétés toxicologiques de l’acide folique pour la reproduction (voir aussi « Mises en garde et précautions »).
  • -Influence sur les méthodes diagnostiques
  • +Influence sur les méthodes de diagnostic
  • -Conservation
  • -Le médicament ne peut être utilisé au-delà de la date imprimée sur le récipient avec la mention EXP.
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Ne pas conserver au-dessus de 25°C et ne pas congeler. Conserver à l’abri de la lumière. Médicament à tenir hors de portée des enfants.
  • -La solution prête à l’emploi non diluée peut être conservée pendant 24 heures à 5 °C ou pendant huit heures à moins de 25 °C. La solution prête à l’emploi diluée peut être conservée pendant huit heures à moins de 25 °C. La solution pour perfusion doit être tenue à l’abri de la lumière.
  • +Stabilité
  • +Le médicament ne peut être utilisé au-delà de la date imprimée sur le récipient avec la mention « EXP ».
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Ne pas conserver au-dessus de 25°C et ne pas congeler. Conserver à l’abri de la lumière. Tenir le médicament hors de la portée des enfants.
  • +La solution prête à l’emploi non diluée peut être conservée pendant 24 heures à 5 °C ou pendant 8 heures à moins de 25 °C. La solution prête à l’emploi diluée peut être conservée pendant 8 heures à moins de 25 °C. La solution pour perfusion doit être tenue à l’abri de la lumière.
  • -47953 (Swissmedic)
  • +47953 (Swissmedic)
  • -1 emballage contient :
  • -10 flacons-ampoules contenant 750 mg de lyophilisat. (B)
  • +1 emballage contient 10 flacons-ampoules contenant 750 mg de lyophilisat. (B)
  • -Juin 2016
  • +Septembre 2019
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