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Accueil - Information professionnelle sur Actilyse 20mg - Changements - 10.08.2018
88 Changements de l'information professionelle Actilyse 20mg
  • -Traces résiduelles: Gentamicine issue du procédé de fabrication.
  • +Traces résiduelles:
  • +Gentamicine issue du procédé de fabrication.
  • -1.Thrombolyse après infarctus aigu du myocarde
  • +1.Thrombolyse après infarctus aigu du myocarde.
  • -a) Schéma posologique sur 90 minutes pour les patients souffrant d'infarctus du myocarde, chez qui le traitement peut commencer dans les 6 heures suivant le début des symptômes:
  • -·15 mg en bolus i.v., en 1 à 2 minutes,
  • -·50 mg en perfusion i.v. dans les premières 30 minutes,
  • -·suivis d'une perfusion i.v. de 35 mg durant 60 minutes,
  • -·jusqu'à la dose maximale de 100 mg.
  • -·La dose totale doit être adaptée selon le schéma suivant chez les patients dont le poids est inférieur à 65 kg:
  • -·15 mg en bolus i.v., en 1 à 2 minutes,
  • -·et 0,75 mg/kg de poids corporel en perfusion i.v. durant 30 minutes (au maximum 50 mg),
  • -·puis perfusion i.v. de 0,5 mg/kg durant 60 minutes (au maximum 35 mg).
  • -b) Schéma posologique sur 3 heures pour les patients chez qui le traitement peut commencer dans les 6 à 12 heures suivant le début des symptômes. Le schéma suivant correspond à la forme d'administration lente recommandée jusqu'ici.
  • -·10 mg en bolus i.v.,
  • -·50 mg en perfusion i.v. durant la première heure,
  • -·puis perfusions i.v. de 10 mg par 30 minutes,
  • -·jusqu'à la dose maximale de 100 mg en 3 heures.
  • -·La dose totale de 1,5 mg/kg ne doit pas être dépassée chez les patients de moins de 65 kg.
  • +a.Schéma posologique sur 90 minutes pour les patients souffrant d'infarctus du myocarde, chez qui le traitement peut commencer dans les 6 heures suivant le début des symptômes:15 mg en bolus intraveineux, en 1 à 2 minutes, 50 mg en perfusion intraveineuse dans les premières 30 minutes, suivis d'une perfusion intraveineuse de 35 mg durant 60 minutes, jusqu'à la dose maximale de 100 mg.La dose totale doit être adaptée selon le schéma suivant chez les patients dont le poids corporel est inférieur à 65 kg:15 mg en bolus intraveineux, en 1 à 2 minutes, et 0,75 mg/kg de poids corporel en perfusion intraveineuse durant 30 minutes (au maximum 50 mg), puis perfusion intraveineuse de 0,5 mg/kg durant 60 minutes (au maximum 35 mg).
  • +b.Schéma posologique sur 3 heures pour les patients chez qui le traitement peut commencer dans les 6 à 12 heures suivant le début des symptômes. Le schéma suivant correspond à la forme d'administration lente recommandée jusqu'ici.10 mg en bolus intraveineux, 50 mg en perfusion intraveineuse durant la première heure, puis perfusions intraveineuses de 10 mg par 30 minutes, jusqu'à la dose maximale de 100 mg en 3 heures.La dose totale de 1,5 mg/kg ne doit pas être dépassée chez les patients de moins de 65 kg de poids corporel.
  • -10 mg en bolus i.v. en 1 à 2 minutes,
  • -90 mg en perfusion i.v. en 2 heures.
  • -La dose totale de 1,5 mg/kg ne doit pas être dépassée chez les patients de moins de 65 kg.
  • +10 mg en bolus intraveineux en 1 à 2 minutes,
  • +90 mg en perfusion intraveineuse en 2 heures.
  • +La dose totale de 1,5 mg/kg ne doit pas être dépassée chez les patients de moins de 65 kg de poids corporel.
  • -Le traitement par l'héparine doit débuter (ou être poursuivi) après le traitement par Actilyse si les valeurs de l'aPTT sont inférieures à 2 fois les valeurs maximales normales. La perfusion doit être ajustée afin de maintenir un aPTT de 50 à 70 secondes (1,5 à 2,5 fois la valeur de référence)
  • +Le traitement par l'héparine doit débuter (ou être poursuivi) après le traitement par Actilyse si les valeurs de l'aPTT sont inférieures à 2 fois les valeurs maximales normales. La perfusion doit être ajustée afin de maintenir un aPTT de 50 à 70 secondes (1,5 à 2,5 fois la valeur de référence).
  • -La dose recommandée est de 0,9 mg de principe actif/kg de poids corporel (dose maximale totale: 90 mg), en perfusion intraveineuse sur 60 minutes. 10% de la dose totale sont administrés initialement en bolus intraveineux. Le traitement doit être instauré aussitôt que possible dans les 4,5 heures suivant l'apparition des symptômes. Une hémorragie intracranienne doit être exclue avant le traitement par un procédé d'imagerie adéquat (p.ex. la tomographie assistée par ordinateur ou par un autre procédé d'imagerie capable de mettre en évidence une hémorragie). L'effet du traitement dépend du temps, ce qui signifie que la probabilité d'une évolution favorable est d'autant plus élevée que le traitement est initié précocement (voir également «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • +La dose recommandée est de 0,9 mg de principe actif/kg de poids corporel (dose maximale totale: 90 mg), en perfusion intraveineuse sur 60 minutes. 10% de la dose totale sont administrés initialement en bolus intraveineux.
  • +Le traitement doit être instauré aussitôt que possible dans les 4,5 heures suivant l'apparition des symptômes. Une hémorragie intracrânienne doit être exclue avant le traitement par un procédé d'imagerie adéquat (p.ex. la tomographie assistée par ordinateur ou par un autre procédé d'imagerie capable de mettre en évidence une hémorragie). L'effet du traitement dépend du temps, ce qui signifie que la probabilité d'une évolution favorable est d'autant plus élevée que le traitement est initié précocement (voir également «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • -La tolérance et l'efficacité de cette posologie en association avec de l'héparine ou de l'acide acétylsalicylique au cours des 24 premières heures suivant l'apparition des symptômes n'ont pas été systématiquement étudiées. Les substances ayant une activité antithrombotique telles que par ex. les inhibiteurs de l'agrégation plaquettaire, l'héparine ou les héparinoïdes ne doivent pas être administrées en même temps qu'Actilyse. Il convient d'attendre 24 heures avant d'utiliser de telles substances, par ex. l'acide acétylsalicylique faiblement dosé, et de les administrer ensuite en prophylaxie afin d'améliorer l'efficacité à long terme. Dans le cas où les paramètres de coagulation se sont normalisés dans les 12 heures suivant la lyse, il est possible d'administrer des antiagrégants plaquettaires avant la fin des 24 heures. Si l'administration d'héparine est rendue nécessaire pour une autre raison (par ex. en prévention de thrombose veineuse profonde), la posologie ne doit pas dépasser 5000 UI, 2 fois par jour, par voie sous-cutanée. Actilyse peut être administré à un patient ayant subi un accident vasculaire cérébral sous acide acétylsalicylique (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • +La sécurité et l'efficacité de cette posologie en association avec de l'héparine ou de l'acide acétylsalicylique au cours des 24 premières heures suivant l'apparition des symptômes n'ont pas été systématiquement étudiées. Les substances ayant une activité antithrombotique telles que p.ex. les inhibiteurs de l'agrégation plaquettaire, l'héparine ou les héparinoïdes ne doivent pas être administrées concomitamment avec Actilyse. Il convient d'attendre 24 heures avant d'utiliser de telles substances, p.ex. l'acide acétylsalicylique faiblement dosé, et de les administrer ensuite en prophylaxie afin d'améliorer l'efficacité à long terme. Dans le cas où les paramètres de coagulation se sont normalisés dans les 12 heures suivant la lyse, il est possible d'administrer des antiagrégants plaquettaires avant la fin des 24 heures. Si l'administration d'héparine est rendue nécessaire pour une autre raison (p.ex. en prévention de thrombose veineuse profonde), la posologie ne doit pas dépasser 5000 UI, 2 fois par jour, par voie sous-cutanée. Actilyse peut être administré à un patient ayant subi un accident vasculaire cérébral sous acide acétylsalicylique (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Population pédiatrique
  • +La sécurité et l'efficacité d'Actilyse chez les enfants et les adolescents n'ont pas encore été établies jusqu'à présent. Actilyse est contre-indiqué pour le traitement de l'accident vasculaire cérébral aigu chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans (voir «Contre-indications»).
  • +Patients âgés
  • +Actilyse n'est pas indiqué pour le traitement de l'accident vasculaire cérébral aigu chez les adultes de plus de 80 ans (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Patients atteints d'insuffisance rénale ou hépatique
  • +On ne dispose pas de données cliniques.
  • +
  • -Quelle que soit l'indication, Actilyse ne doit pas être administré à des patients ayant une hypersensibilité connue aux principes actifs altéplase, gentamicine (traces résiduelles issues du procédé de fabrication) ou à l'un des excipients.
  • -En outre, quelle que soit l'indication, Actilyse, comme tous les thrombolytiques, ne doit pas être utilisé en cas de risque accru de saignement; ceci vaut en particulier dans les cas suivants:
  • -·hémorragie grave ou dangereuse, manifeste ou survenue durant les 6 derniers mois,
  • -·diathèse hémorragique connue,
  • -·patients sous traitement par anticoagulants oraux, par exemple sous acénocoumarol ou phenprocoumone, associés à des effets anticoagulants cliniquement pertinents et présentant une valeur INR >1,3,
  • +Actilyse est contre-indiqué dans les cas suivants:
  • +Patients ayant une hypersensibilité connue aux principes actifs altéplase, gentamicine (traces résiduelles issues du procédé de fabrication) ou à l'un des excipients.
  • +Cas dans lesquels un risque accru de saignement existe; ceci vaut en particulier dans les cas suivants:
  • +·hémorragie grave ou dangereuse, manifeste ou survenue durant les 6 derniers mois, diathèse hémorragique connue,
  • +·patients sous traitement par anticoagulants oraux, p.ex. sous acénocoumarol ou phenprocoumone, associés à des effets anticoagulants cliniquement pertinents et présentant une valeur INR >1,3,
  • -·massage cardiaque externe traumatique récent (remontant à moins de 10 jours), accouchement ou ponction récente d'un vaisseau non compressible (par ex. de la veine sous-clavière ou jugulaire),
  • +·massage cardiaque externe traumatique récent (remontant à moins de 10 jours), accouchement ou ponction récente d'un vaisseau non compressible (p.ex. de la veine sous-clavière ou jugulaire),
  • -Dans le cas d'infarctus aigu du myocarde ou d'embolie pulmonaire, il faut en outre tenir compte de la contre-indication suivante:
  • -·antécédent d'accident vasculaire cérébral hémorragique ou d'origine inconnue
  • +Dans le cas d'infarctus aigu du myocarde ou d'embolie pulmonaire massive aiguë, il faut en outre tenir compte de la contre-indication suivante:
  • +·antécédent d'accident vasculaire cérébral hémorragique ou d'étiologie inconnue
  • -·patients chez lesquels le moment de l'apparition des symptômes remonte à plus de 4,5 heures ou n'est pas connu,
  • +·patients chez qui le moment de l'apparition des symptômes remonte à plus de 4,5 heures avant l'initiation de la perfusion ou n'est pas connu,
  • -·accident vasculaire cérébral jugé sévère cliniquement (par ex. NIHSS >25) et/ou par des techniques d'imagerie appropriées,
  • -·chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans
  • -·Pour une utilisation chez les patients de plus de 80 ans, voir «Mises en garde et précautions»
  • -·en cas de crise épileptique au début de l'accident vasculaire cérébral, il faut, avant une éventuelle thrombolyse, mettre en évidence l'obstruction du vaisseau cérébral correspondant par un procédé neuro-radiologique afin de ne pas exposer inutilement les patients présentant une parésie post-épileptique isolée, toutefois sans accident vasculaire cérébral, aux risques liés à la thrombolyse,
  • -·ceci est également valable lors de suspicion d'hypo- ou d'hyperglycémie ou d'autres troubles métaboliques pouvant expliquer un déficit neurologique focal,
  • -·administration d'anticoagulants oraux et INR >1,3,
  • -·administration d'héparine et augmentation du temps de prothrombine partiel activé (aPTT) lors de l'admission à l'hôpital,
  • -·thrombocytes <100'000/mm3,
  • -·au début de la thrombolyse, il faut effectuer une prise de sang afin de déterminer les paramètres de la coagulation et démarrer la perfusion d'Actilyse. Si les résultats obtenus montrent un temps de prothrombine (TP) supérieur à 15 secondes ou un aPTT prolongé, il faut interrompre la perfusion,
  • -·pression artérielle systolique >185 mmHg ou diastolique >110 mmHg, ou traitement d'attaque nécessaire pour réduire la pression artérielle au-dessous de ces valeurs,
  • -·glycémie <50 ou >400 mg/dl
  • -·les doses maximales indiquées ne doivent pas être dépassées en raison de la majoration du risque d'hémorragie intracrânienne.
  • +·accident vasculaire cérébral jugé sévère cliniquement (p.ex. NIHSS >25) et/ou par des techniques d'imagerie appropriées,
  • +·chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans.
  • +·Pour une utilisation chez les patients de plus de 80 ans, voir «Mises en garde et précautions».
  • +·En cas de crise épileptique au début de l'accident vasculaire cérébral, il faut, avant une éventuelle thrombolyse, mettre en évidence l'obstruction du vaisseau cérébral correspondant par un procédé neuro-radiologique afin de ne pas exposer inutilement les patients présentant une parésie post-épileptique isolée, toutefois sans accident vasculaire cérébral, aux risques liés à la thrombolyse.
  • +·Ceci est également valable lors de suspicion d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie ou d'autres troubles métaboliques pouvant expliquer un déficit neurologique focal.
  • +·Administration d'héparine dans les 48 heures avant le début des symptômes et augmentation du temps de prothrombine partiel activé (aPTT) lors de l'admission à l'hôpital.
  • +·Thrombocytes <100'000/mm3,
  • +·Au début de la thrombolyse, il faut effectuer une prise de sang afin de déterminer les paramètres de la coagulation et démarrer la perfusion d'Actilyse. Si les résultats obtenus montrent un temps de prothrombine (TP) supérieur à 15 secondes ou un aPTT prolongé, il faut interrompre la perfusion.
  • +·Pression artérielle systolique >185 mm Hg ou diastolique >110 mm Hg, ou traitement d'attaque nécessaire pour réduire la pression artérielle au-dessous de ces valeurs.
  • +·Glycémie <50 mg/dl ou >400 mg/dl.
  • +·Les doses maximales indiquées ne doivent pas être dépassées en raison de la majoration du risque d'hémorragie intracrânienne.
  • -Actilyse est à disposition en plusieurs dosages pour le traitement de l'infarctus du myocarde aigu, de l'embolie pulmonaire massive aiguë et de l'accident ischémique cérébral aigu. Le dosage adéquat d'Actilyse doit être soigneusement choisi en fonction de l'utilisation prévue. Le dosage de 2 mg d'Actilyse Cathflo 2 mg n'est pas indiqué en cas d'infarctus du myocarde aigu, d'embolie pulmonaire aiguë ou d'accident vasculaire cérébral ischémique aigu (en raison du risque de sous-dosage massif). Pour ces domaines d'utilisation, seuls les dosages 10, 20 et 50 mg d'Actilyse sont indiqués.
  • -Comme avec d'autres agents thrombolytiques, il est recommandé, lors d'un traitement par Actilyse, que les appareils et médicaments de réanimation soient disponibles en toutes circonstances.
  • +Actilyse est disponible en plusieurs dosages pour le traitement de l'infarctus du myocarde aigu, de l'embolie pulmonaire massive aiguë et de l'accident ischémique cérébral aigu. Le dosage adéquat d'Actilyse doit être soigneusement choisi en fonction de l'utilisation prévue. Le dosage de 2 mg d'Actilyse Cathflo 2 mg n'est pas indiqué en cas d'infarctus du myocarde aigu, d'embolie pulmonaire massive aiguë ou d'accident vasculaire cérébral ischémique aigu (en raison du risque de sous-dosage massif). Pour ces domaines d'utilisation, seuls les dosages 10 mg, 20 mg et 50 mg d'Actilyse sont indiqués.
  • +Il est recommandé d'effectuer le traitement par Actilyse en présence d'un équipement de réanimation.
  • -Des réactions anaphylactoïdes liées à l'administration d'Actilyse sont rares et peuvent être causées par une hypersensibilité au principe actif altéplase, à la gentamicine (traces résiduelles du procédé de fabrication) ou à l'un des excipients. Le bouchon du flacon contenant le lyophilisat d'Actilyse contient du caoutchouc naturel (un dérivé du latex) qui peut entraîner des réactions allergiques. Dans le cas d'une réaction anaphylactique, la perfusion doit être arrêtée et un traitement adéquat doit être instauré. Une surveillance étroite s'impose, en particulier chez les patients qui prennent un inhibiteur de l'ECA (voir «Effets indésirables»). Les expériences réalisées avec une nouvelle administration d'Actilyse sont limitées. Dans de rares cas, une production d'anticorps contre Actilyse a été observée peu de temps après le traitement, la pertinence clinique de cette observation n'est cependant pas encore entièrement élucidée. Des utilisations répétées sont cependant rares.
  • +Actilyse est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité connue au principe actif altéplase, à la gentamicine (traces résiduelles du procédé de fabrication) ou à l'un des excipients (voir sous «Contre-indications»).
  • +Une production constante d'anticorps contre la molécule activateur du plasminogène tissulaire humain recombinant n'a pas été observée après le traitement. On ne dispose pas d'expériences systématiques relatives à une nouvelle administration d'Actilyse.
  • +Aucune réaction anaphylactique (médiée par les IgE) claire à Actilyse n'est connue. Dans de rares cas, une production transitoire d'anticorps de faibles titres contre Actilyse a été observée; la pertinence clinique de cette observation n'est cependant pas élucidée.
  • +Des réactions anaphylactoïdes liées à l'administration d'Actilyse sont rares et peuvent être causées par une hypersensibilité au principe actif altéplase, à la gentamicine (traces résiduelles du procédé de fabrication) ou à l'un des excipients. Le bouchon du flacon contenant le lyophilisat d'Actilyse contient du caoutchouc naturel (un dérivé du latex) qui peut entraîner de fortes réactions allergiques.
  • +Dans le cas d'une réaction anaphylactique, la perfusion doit être arrêtée et un traitement anti-allergique doit être instauré. Les cas rapportés étaient plus fréquents chez les patients qui étaient traités concomitamment par des inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (ECA). Une surveillance étroite s'impose, en particulier chez les patients qui sont traités concomitamment par un inhibiteur de l'ECA (voir «Interactions»).
  • -Le risque d'hémorragie intracérébrale augmente chez les patients âgés. Le bénéfice thérapeutique étant justement plus élevé chez les patients âgés, il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfice-risque du traitement.
  • -Comme pour tous les thrombolytiques, le bénéfice thérapeutique attendu doit être soigneusement pesé par rapport à tous les risques lors de l'utilisation d'Actilyse; ceci vaut en particulier dans les cas suivants:
  • -·rétinopathie hémorragique, par exemple en cas de diabète (des troubles visuels peuvent être les signes d'une rétinopathie hémorragique) ou autres troubles oculaires hémorragique,
  • +Le risque d'hémorragie intracérébrale augmente chez les patients âgés. Le bénéfice thérapeutique étant justement plus élevé chez les patients âgés, il faut évaluer soigneusement le rapport bénéfice/risque du traitement.
  • +Comme pour tous les thrombolytiques, le bénéfice thérapeutique attendu doit être soigneusement soupesé par rapport à tous les risques lors de l'utilisation d'Actilyse; ceci vaut en particulier dans les cas suivants:
  • +·rétinopathie hémorragique, p.ex. en cas de diabète (des troubles visuels peuvent être les signes d'une rétinopathie hémorragique) ou autres troubles oculaires hémorragiques,
  • -L'utilisation de cathéters rigides doit être évitée pour ne pas blesser les vaisseaux.
  • -En cas de survenue d'hémorragie potentiellement dangereuse (en particulier d'hémorragie cérébrale), la fibrinolyse doit être interrompue. Une substitution des facteurs de coagulation n'est généralement pas nécessaire en raison de la courte demi-vie d'Actilyse et de son faible impact sur les facteurs systémiques de l'hémostase. Pour la plupart des patients chez qui se déclenche une hémorragie, il suffit d'interrompre la thrombolyse et le traitement par les anticoagulants, de compenser les pertes volumiques et de comprimer les vaisseaux sanguins concernés. Dans le cas où de l'héparine a été administrée dans les 4 heures précédant le début de l'hémorragie ou également après, il faut envisager l'administration de protamine. L'utilisation prudente de produits de transfusion peut être indiquée chez les rares patients qui ne répondraient pas à ces mesures conservatrices. On peut envisager d'administrer un cryoprécipité, du plasma frais congelé et des thrombocytes; les paramètres cliniques et les valeurs de laboratoire devant être contrôlés après chaque administration. Si l'on administre un cryoprécipité, un taux de fibrinogène de 1 g/l devrait être atteint. L'ultime alternative consiste à utiliser des antifibrinolytiques.
  • +L'utilisation de cathéters rigides et une manipulation inutile du patient doivent être évitées pour ne pas blesser les vaisseaux.
  • +En cas de survenue d'hémorragie potentiellement dangereuse (en particulier d'hémorragie cérébrale), la fibrinolyse doit être interrompue et une administration adjuvante d'héparine doit être immédiatement arrêtée. Une substitution des facteurs de coagulation n'est généralement pas nécessaire en raison de la courte demi-vie d'Actilyse et de son faible impact sur les facteurs systémiques de l'hémostase. Pour la plupart des patients chez qui se déclenche une hémorragie, il suffit d'interrompre la thrombolyse et le traitement par les anticoagulants, de compenser les pertes volumiques et de comprimer les vaisseaux sanguins concernés. Dans le cas où de l'héparine a été administrée dans les 4 heures précédant le début de l'hémorragie ou également après, il faut envisager l'administration de protamine. L'utilisation prudente de produits de transfusion peut être indiquée chez les rares patients qui ne répondraient pas à ces mesures conservatrices. On peut envisager d'administrer un cryoprécipité, du plasma frais congelé et des thrombocytes; les paramètres cliniques et les valeurs de laboratoire devant être contrôlés après chaque administration. Si l'on administre un cryoprécipité, un taux de fibrinogène de 1 g/l devrait être atteint. Une autre alternative consiste à utiliser des antifibrinolytiques.
  • -En outre, il faut respecter les précautions et les mises en garde suivantes pour le traitement de l'infarctus du myocarde aigu et de l'embolie pulmonaire aiguë:
  • -Tension systolique >160 mmHg.
  • -Pour le traitement de l'infarctus aigu du myocarde, il convient en plus de considérer les mises en garde et précautions suivantes:
  • -Une thrombolyse coronarienne peut déclencher des arythmies associées à une reperfusion. Les arythmies dues à la reperfusion peuvent conduire à un arrêt cardiaque, mettre la vie du patient en péril et nécessiter un traitement anti-arythmique conventionnel.
  • -L'administration concomitante d'antagonistes des récepteurs GPIIb/IIIa accroît le risque hémorragique.
  • -L'utilisation de thrombolytiques peut augmenter le risque d'événements thromboemboliques chez les patients avec un thrombus du cœur gauche (par ex. sténose mitrale, fibrillation auriculaire).
  • -Pour le traitement de l'accident vasculaire cérébral ischémique aigu, il convient en plus de considérer les mises en garde et précautions suivantes:
  • -Comparativement aux autres indications, les patients traités par Actilyse dans le cadre d'un accident vasculaire cérébral ischémique aigu, présentent une augmentation marquée du risque d'hémorragie intracrânienne, les hémorragies survenant préférentiellement dans la zone de l'infarctus.
  • +En outre, il faut respecter les précautions et les mises en garde suivantes pour le traitement de l'infarctus du myocarde aigu et de l'embolie pulmonaire massive aiguë:
  • +·Tension systolique >160 mm Hg (voir «Contre-indications»).
  • +Pour le traitement de l'infarctus aigu du myocarde, il convient en plus de considérer les mises en garde et précautions suivantes :
  • +·Une thrombolyse coronarienne peut déclencher des arythmies associées à une reperfusion. Les arythmies dues à la reperfusion peuvent conduire à un arrêt cardiaque, mettre la vie du patient en péril et nécessiter un traitement anti-arythmique conventionnel.
  • +·L'administration concomitante d'antagonistes des récepteurs GPIIb/IIIa accroît le risque hémorragique.
  • +·L'utilisation de thrombolytiques peut augmenter le risque d'événements thromboemboliques chez les patients avec un thrombus du cœur gauche (p.ex. sténose mitrale, fibrillation auriculaire).
  • +Pour le traitement de l'accident vasculaire cérébral ischémique aigu, il convient en plus de considérer les mises en garde et précautions suivantes :
  • +Hémorragies
  • +L'hémorragie intracérébrale constitue l'effet secondaire le plus fréquent (jusqu'à 15% des patients), cependant sans augmentation pertinente de la morbidité globale ou de la mortalité globale dans une étude portant sur 624 patients (étude NINDS).
  • +Comparativement aux autres indications, les patients traités par Actilyse dans le cadre d'un accident vasculaire cérébral ischémique aigu, présentent une augmentation significative du risque d'hémorragie intracrânienne, les hémorragies survenant préférentiellement dans la zone de l'infarctus.
  • -·toutes situations mentionnées au paragraphe «Contre-indications», et plus généralement, toutes situations impliquant un risque hémorragique important
  • -·petits anévrismes asymptomatiques des vaisseaux cérébraux
  • -·début du traitement tardif
  • -·les patients ayant reçu au préalable un traitement par l'acide acétylsalicylique (AAS) peuvent présenter un risque accru d'hémorragie intracrânienne, en particulier si le traitement par Actilyse est mis en place tardivement. En raison du risque accru d'hémorragie intracrânienne, la dose d'altéplase administrée ne doit pas excéder 0,9 mg/kg ou 90 mg.
  • +·Toutes situations mentionnées au paragraphe «Contre-indications», et plus généralement, toutes situations impliquant un risque hémorragique important.
  • +·Début du traitement tardif.
  • +·Les patients ayant reçu au préalable un traitement par l'acide acétylsalicylique (AAS) peuvent présenter un risque accru d'hémorragie intracrânienne, en particulier si le traitement par Actilyse est mis en place tardivement.
  • -Une surveillance de la pression artérielle pendant, ainsi que jusqu'à 24 heures après l'administration du traitement est nécessaire. Si la pression artérielle systolique est supérieure à 180 mmHg ou si la pression artérielle diastolique est supérieure à 105 mmHg, un traitement antihypertenseur par voie intraveineuse est recommandé.
  • -Le bénéfice thérapeutique est diminué chez les patients ayant des antécédents d'accident vasculaire cérébral ou présentant un diabète mal contrôlé ou non traité. Chez ces patients, le bénéfice thérapeutique est moins favorable, mais reste cependant positif.
  • -Chez les patients présentant une forme très légère d'accident vasculaire cérébral, les risques liés au traitement sont supérieurs au bénéfice attendu (voir «Contre-indications»).
  • -Les patients avec un accident vasculaire cérébral très sévère (par ex. plus de 24 points sur l'échelle des accidents vasculaires cérébraux du National Institute of Health), présentent un risque plus important d'hémorragie intracrânienne et de décès et ne doivent pas être traités (voir «Contre-indications»).
  • -Les patients avec des infarctus étendus (par ex. plus d'un tiers de la zone irriguée par l'artère cérébrale moyenne, effet de masse, décalage de la ligne médiane), ont un risque accru d'évolution défavorable, dont hémorragies sévères et décès. Le rapport bénéfice/risque doit être soigneusement évalué chez ces patients.
  • -Au moment de l'admission chez les patients présentant un accident vasculaire cérébral, il faut s'attendre à une diminution des chances d'évolution favorable avec l'âge, à une augmentation de la sévérité de l'atteinte et à une élévation de la glycémie; le risque de handicap sévère permanent, de décès ou d'hémorragie intracrânienne sévère augmentent, indépendamment du mode de traitement. Les patients avec un accident vasculaire cérébral sévère (évaluation clinique et/ou par techniques appropriées d'imagerie) et les patients présentant une glycémie basale inférieure à 50 mg/100 ml ou supérieure à 400 mg/100 ml lors de l'admission ne doivent pas être traités par Actilyse (voir «Contre-indications»).
  • -La reperfusion de la zone de l'ischémie peut entraîner un œdème cérébral dans la zone infarcie. En raison d'un risque hémorragique accru, aucun traitement antiagrégant plaquettaire ne doit être initié dans les premières 24 heures suivant le traitement thrombolytique avec Actilyse.
  • +Surveillance de la pression artérielle
  • +Une surveillance de la pression artérielle pendant, ainsi que jusqu'à 24 heures après l'administration du traitement est nécessaire. Si la pression artérielle systolique est supérieure à 180 mm Hg ou si la pression artérielle diastolique est supérieure à 105 mm Hg, un traitement antihypertenseur par voie intraveineuse est recommandé.
  • +Groupes de patients particuliers présentant un bénéfice diminué par rapport aux risques
  • +Le bénéfice thérapeutique est diminué chez les patients ayant des antécédents d'accident vasculaire cérébral (voir «Contre-indications») ou présentant un diabète mal contrôlé ou non traité. Chez ces patients, le bénéfice thérapeutique est moins favorable, mais reste cependant positif.
  • +Les patients avec des infarctus étendus (p.ex. plus d'un tiers de la zone irriguée par l'artère cérébrale moyenne, effet de masse, décalage de la ligne médiane), ont un risque accru d'évolution défavorable, dont hémorragies sévères et décès. Le rapport bénéfice/risque doit être soigneusement évalué chez ces patients.
  • +Chez les patients présentant un accident vasculaire cérébral, il faut s'attendre à une diminution des chances d'évolution favorable avec le temps s'écoulant entre le début du traitement et la survenue des symptômes, avec l'âge, avec une augmentation de la sévérité de l'accident vasculaire cérébral et avec une élévation de la glycémie au moment de l'hospitalisation; le risque de handicaps sévères permanents, de décès ou d'hémorragies intracrâniennes symptomatiques augmentent indépendamment du mode de traitement.
  • +Œdème cérébral
  • +La reperfusion de la zone de l'ischémie peut entraîner un œdème cérébral dans la zone infarcie.
  • +Population pédiatrique
  • -Le risque d'hémorragie augmente lorsque sont utilisés des dérivés coumariniques, des inhibiteurs de l'agrégation plaquettaire, de l'héparine et d'autres médicaments susceptibles d'influencer la coagulation.
  • +Principes actifs ayant des répercussions sur la coagulation sanguine/fonction des thrombocytes
  • +Le risque d'hémorragie augmente lorsque sont utilisés des dérivés coumariniques, des inhibiteurs de l'agrégation plaquettaire, de l'héparine et d'autres médicaments susceptibles d'influencer la coagulation avant, pendant ou après le traitement par Actilyse (voir «Contre-indications»).
  • -Parmi les cas de réaction anaphylactique rapportés, une proportion relativement élevée de patients était traitée simultanément par des inhibiteurs de l'ECA. Un risque accru de réaction anaphylactique ne peut donc pas être exclu, lors d'administration concomitante d'inhibiteurs de l'ECA avec Actilyse.
  • +Inhibiteurs de l'ECA
  • +Le traitement concomitant par des inhibiteurs de l'ECA peut augmenter le risque de réaction anaphylactoïde. Les cas rapportés étaient plus fréquents chez les patients traités concomitamment par inhibiteurs de l'ECA.
  • -Les effets indésirables pour les indications infarctus aigu du myocarde, accident vasculaire cérébral ischémique aigu et embolie pulmonaire ont été évalués avec les résultats de l'étude Assent-2 (étude menée auprès de 8'299 patients traités par Actilyse). Pour l'indication accident vasculaire cérébral ischémique aigu, les fréquences de l'effet indésirable «hémorragies intracrâniennes» sont basées sur les résultats des études NINDS et ECASS III (études menées auprès de respectivement 312 et 418 patients traités à un intervalle de 0-4,5 heures par Actilyse).
  • -Les effets indésirables les plus fréquents lors de l'utilisation d'Actilyse sont des saignements graves qui peuvent conduire à des situations menaçant le pronostic vital, des handicaps permanents ou des décès.
  • -L'hémorragie intracérébrale symptomatique constitue l'effet secondaire le plus fréquent (jusqu'à 10% des patients) dans l'indication accident ischémique cérébral aigu, cependant sans augmentation pertinente de la morbidité globale ou de la mortalité globale.
  • -
  • +Les effets indésirables pour les indications infarctus aigu du myocarde, accident vasculaire cérébral ischémique aigu et embolie pulmonaire ont été évalués avec les résultats de l'étude Assent-2 (étude menée auprès de 8299 patients traités par Actilyse). Pour l'indication accident vasculaire cérébral ischémique aigu, les fréquences de l'effet indésirable «hémorragies intracrâniennes» sont basées sur les résultats des études NINDS et ECASS III (études menées auprès de respectivement 312 et 418 patients traités à un intervalle de 0-4,5 heures par Actilyse).
  • +Les effets indésirables les plus fréquents lors de l'utilisation d'Actilyse sont des hémorragies graves qui peuvent conduire à des situations menaçant le pronostic vital, des handicaps permanents ou des décès.
  • -Troubles du système immunitaire
  • -Rare: réactions anaphylactoïdes (telles que éruptions cutanées, urticaire, bronchospasme, hypotension, angioœdème, choc).
  • -Troubles du système nerveux:
  • -Les effets indésirables suivants ainsi que les fréquences sont spécifiques pour les indications:
  • -Infarctus du myocarde aigu et embolie pulmonaire:
  • -Fréquent: hémorragies intracrâniennes (telles que hémorragie cérébrale, hématome cérébral, accident vasculaire cérébral hémorragique, transformation hémorragique d'un accident vasculaire cérébral, hématome intracrânien, hémorragie sous-arachnoïdienne).
  • +Affections du système immunitaire
  • +Rare: Réactions anaphylactoïdes (telles que éruptions cutanées, urticaire, bronchospasme, hypotension, angio-œdème, choc).
  • +Affections du système nerveux
  • +Les fréquences sont spécifiques pour les indications:
  • +Infarctus du myocarde aigu et embolie pulmonaire massive aiguë:
  • +Fréquent: Hémorragies intracrâniennes (telles que hémorragie cérébrale, hématome cérébral, accident vasculaire cérébral hémorragique, transformation hémorragique d'un accident vasculaire cérébral, hématome intracrânien, hémorragie sous-arachnoïdienne).
  • -Très fréquent: hémorragies intracrâniennes (NINDS: 15.4%; ECASS III: 14.1%) telles que hémorragie cérébrale, hématome cérébral, accident vasculaire cérébral hémorragique, transformation hémorragique d'un accident vasculaire cérébral, hématome intracrânien, hémorragie sous-arachnoïdienne.
  • +Très fréquent: Hémorragies intracrâniennes (NINDS: 15,4%; ECASS III: 14,1%) telles que hémorragie cérébrale, hématome cérébral, accident vasculaire cérébral hémorragique, transformation hémorragique d'un accident vasculaire cérébral, hématome intracrânien, hémorragie sous-arachnoïdienne.
  • -Troubles oculaires
  • -Rare: Saignements oculaires, en particulier chez les patients présentant une rétinopathie diabétique.
  • -Troubles cardiaques et vasculaires
  • -Très fréquent: Saignements tels que des hématomes (12.8%).
  • -Rare: Hémopéricarde, embolies thrombotiques.
  • -Hémorragies d'organes parenchymateux (telles que hémorragie hépatique et hémorragie pulmonaire).
  • -Les effets indésirables suivants et les fréquences sont spécifiques pour l'indication.
  • +Affections oculaires
  • +Rare: Hémorragies oculaires, en particulier chez les patients présentant une rétinopathie diabétique.
  • +Affections cardiaques
  • +Rare: Hémorragie péricardique.
  • +Les effets indésirables suivants et les fréquences sont spécifiques pour l'indication:
  • -Organes respiratoires (troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux)
  • -Occasionnels: hémorragies au niveau des voies respiratoires (telles que hémorragie pharyngée, hémoptysie, épistaxis).
  • -Troubles gastrointestinaux
  • -Fréquent: hémorragies gastrointestinales (telles que hémorragie gastrique, hémorragie ulcéreuse gastrique, hémorragie rectale, hématémèse, méléna, hémorragie buccale).
  • -Occasionnel: Saignement des gencives.
  • -Rare: Hémorragies retropéritonéales (telles que hématome retropéritonéal), nausées.
  • -Fréquence inconnue: Vomissements.
  • +Affections vasculaires
  • +Très fréquent: Hémorragies telles qu'hématome (17,1%).
  • +Rare: Embolie thrombotique.
  • +Fréquence inconnue*: Hémorragies des organes parenchymateux (telles que hémorragie hépatique).
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Fréquent: Hémorragies des voies respiratoires (telles que hémorragie pharyngée).
  • +Occasionnel: Hémoptysie, épistaxis.
  • +Rare: Hémorragie pulmonaire.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Fréquent: Hémorragies gastro-intestinales (telles que hémorragie gastrique, hémorragie ulcéreuse gastrique, hémorragie rectale, hématémèse, méléna, hémorragie buccale, saignement des gencives).
  • +Rare: Hémorragies rétropéritonéales (telles que hématome rétropéritonéal), nausées.
  • +Fréquence inconnue*: Vomissements.
  • -Troubles cutanés
  • -Fréquent: ecchymoses.
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • -Fréquent: hémorragies urogénitales (telles que hématurie, hémorragie des voies urinaires).
  • -Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
  • -Fréquent: Saignements au site d'injection tels que des hématomes dus au cathéter, saignements au site du cathéter.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Fréquent: Ecchymoses.
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Fréquent: Hémorragies urogénitales (telles que hématurie, hémorragie des voies urinaires).
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Fréquent: Hémorragies au site d'injection telles que des hématomes dus au cathéter, hémorragies au site du cathéter.
  • -Fréquent: Diminution de la tension artérielle.
  • -Fréquence inconnue: Augmentation de la température corporelle.
  • -Dommages et empoisonnement
  • -Fréquence inconnue: embolies graisseuses (embolies dues à des cristaux de cholestérol).
  • +Fréquent: Baisse de la tension artérielle.
  • +Fréquence inconnue*: Augmentation de la température corporelle.
  • +Lésions, intoxications et complications liées aux procédures
  • +Fréquence inconnue*: Embolies graisseuses* (embolies dues à des cristaux de cholestérol).
  • +Actes médicaux et chirurgicaux
  • +Fréquence inconnue*: Nécessité de procéder à une transfusion sanguine.
  • +* Ces réactions indésirables proviennent de rapports spontanés.
  • +
  • -En cas de surdosage, une diminution marquée du fibrinogène et d'autres facteurs de coagulation peut survenir.
  • -En règle générale, on pourra attendre la reprise physiologique de la synthèse de ces facteurs, après l'arrêt du traitement par Actilyse. Si une hémorragie massive se manifeste, on aura recours à du plasma frais congelé ou à du sang frais, éventuellement aussi à des antifibrinolytiques de synthèse.
  • +Symptômes
  • +Lorsque la dose maximale recommandée est dépassée, le risque d'hémorragies intracrâniennes augmente.
  • +En cas de surdosage, une diminution cliniquement pertinente du fibrinogène et d'autres facteurs de coagulation peut survenir.
  • +Traitement
  • +En règle générale, on pourra attendre la reprise physiologique de la synthèse de ces facteurs après l'arrêt du traitement par Actilyse. Si une hémorragie massive se manifeste, on aura recours à du plasma frais congelé ou à du sang frais, éventuellement aussi à des antifibrinolytiques de synthèse.
  • -Le principe actif d'Actilyse est une glycoprotéine humaine recombinante, qui active directement la conversion du plasminogène en plasmine. Après administration i.v., Actilyse reste pratiquement inactif dans la circulation, jusqu'à sa fixation sur la fibrine du thrombus. Activé par sa fixation à la fibrine, Actilyse induit la conversion du plasminogène en plasmine, provoquant ainsi la lyse du caillot de fibrine.
  • -Grâce à la spécificité relative d'Actilyse pour la fibrine, l'administration d'une dose totale de 100 mg entraîne une diminution limitée des valeurs de fibrinogène circulant à environ 60% en 4 heures; après 24 heures, elles remontent à 80%. Les valeurs de plasminogène et d'alpha-2-antiplasmine tombent après 4 heures à 20%, respectivement 35%; elles remontent après 24 heures à plus de 80%. On n'a observé que chez quelques patients une diminution prolongée marquée des taux sanguins de fibrinogène.
  • -
  • +Groupe pharmacothérapeutique: agent antithrombotique.
  • +Mécanisme d'action
  • +Le principe actif d'Actilyse est une glycoprotéine humaine recombinante, qui active directement la conversion du plasminogène en plasmine. Après administration intraveineuse, Actilyse reste pratiquement inactif dans la circulation jusqu'à sa fixation sur la fibrine du thrombus. Activé par sa fixation à la fibrine, Actilyse induit la conversion du plasminogène en plasmine, provoquant ainsi la lyse du caillot de fibrine.
  • +Pharmacodynamie
  • +Grâce à la spécificité relative d'Actilyse pour la fibrine, l'administration d'une dose totale de 100 mg entraîne une diminution limitée des valeurs de fibrinogène circulant à environ 60% en 4 heures; après 24 heures, elles remontent à 80%. Les valeurs de plasminogène et d'alpha-2-antiplasmine tombent après 4 heures à 20%, respectivement 35%; elles remontent après 24 heures à plus de 80%. On n'a observé une diminution prolongée marquée des taux sanguins de fibrinogène uniquement chez quelques patients.
  • +Efficacité clinique
  • +
  • -La perfusion accélérée d'Actilyse a été étudiée dans le cadre d'une étude internationale et multicentrique (GUSTO), menée auprès de 41021 patients avec infarctus aigu du myocarde et randomisés pour quatre régimes de thrombolyse. L'administration de 100 mg d'Actilyse pendant 90 minutes, en association avec une perfusion i.v. simultanée d'héparine, a conduit à une mortalité à 30 jours (6,3%) plus faible que l'administration de streptokinase, 1,5 millions d'UI, pendant 60 minutes avec héparine en s.c. ou en i.v. (7,3%). La réduction absolue de 1% de la mortalité à 30 jours sous Actilyse par rapport à la streptokinase a été statistiquement significative (p = 0,001).
  • +La perfusion accélérée d'Actilyse a été étudiée dans le cadre d'une étude internationale et multicentrique (GUSTO), menée auprès de 41021 patients avec infarctus aigu du myocarde et randomisés pour quatre régimes de thrombolyse. L'administration de 100 mg d'Actilyse pendant 90 minutes, en association avec une perfusion intraveineuse concomitante d'héparine, a conduit à une mortalité à 30 jours (6,3%) plus faible que l'administration de streptokinase, 1,5 millions d'UI, pendant 60 minutes avec héparine par voie sous-cutanée ou par voie intraveineuse (7,3%). La réduction absolue de 1% de la mortalité à 30 jours sous Actilyse par rapport à la streptokinase a été statistiquement significative (p = 0,001).
  • -Au cours d'une étude randomisée en double aveugle (721 patients) de comparaison entre Actilyse et un placebo, chez les patients perfusés par Actilyse dans les 5 heures après le début de l'apparition des symptômes, la fonction ventriculaire gauche a été meilleure 1022 jours plus tard que chez les patients dans le groupe sous placebo, lorsque la fraction d'éjection globale a été déterminée par ventriculographie de contraste (50,7% contre 48,5%, p = 0,01). Chez les patients traités par Actilyse, l'infarctus a été réduit significativement de 20% [détermination par l'activité cumulée de la HBD-(α-hydroxybutyrate déshydrogénase)] par rapport aux patients traités par le placebo (p = 0,001). Chez les patients traités par Actilyse, les épisodes de choc cardiogénique, de fibrillation ventriculaire et de péricardite ont été moins nombreux. En outre, la mortalité à 14 jours a été réduite à 2,8% chez les patients traités par Actilyse contre 5,7% chez les patients sous placebo (non significatif). Dans le groupe sous Actilyse, 6 patients ont souffert d'un accident vasculaire cérébral hémorragique documenté et 1 patient d'un accident vasculaire cérébral ischémique, alors qu'aucun accident vasculaire cérébral n'a été noté sous placebo. Ces résultats n'apportent pas de preuve claire d'une réduction significative de la mortalité au cours de cette étude, mais indiquent une tendance, étayée par les données de l'étude ASSET.
  • -Au cours d'une étude contrôlée contre placebo (LATE) menée auprès de 5711 patients avec infarctus aigu du myocarde et un début des symptômes remontant de 6 à 24 heures, la perfusion de 100 mg d'Actilyse pendant 3 heures a été comparée à un placebo. Sous Actilyse, une réduction non significative de 14,1% de la mortalité à 30 jours (IC à 95%: 028,1%; p >0,05) a été notée. Au cours d'une analyse demandée par un steering committee sur la survie des patients traités dans les 12 heures suivant le début de l'apparition des symptômes, une réduction significative de la mortalité de 25,6% en faveur d'Actilyse (IC à 95%: 6,345%; p = 0,023) a été observée.
  • -Patients avec embolie pulmonaire
  • -Au cours d'une étude comparative randomisée entre l'altéplase et l'urokinase menée auprès de 63 patients avec embolie pulmonaire aiguë massive documentée par angiographie, une réduction significative de l'hypertension pulmonaire causée par l'embolie pulmonaire a été notée dans les deux groupes de traitement. La pression artérielle pulmonaire moyenne (PAPm) a diminué dans les deux groupes de 28±7 mmHg à 17±6 mmHg dans les 12 heures. L'hémodynamique pulmonaire s'est améliorée significativement plus vite sous Actilyse que sous urokinase (traitement × temps - interaction: p = 0,0006).
  • +Au cours d'une étude randomisée en double aveugle (721 patients) de comparaison entre Actilyse et un placebo, chez les patients perfusés par Actilyse dans les 5 heures après le début de l'apparition des symptômes, la fonction ventriculaire gauche a été meilleure 1022 jours plus tard que chez les patients dans le groupe sous placebo, lorsque la fraction d'éjection globale a été déterminée par ventriculographie de contraste (50,7% contre 48,5%, p = 0,01). Chez les patients traités par Actilyse, l'infarctus a été réduit significativement de 20% [détermination par l'activité cumulée de la HBD-(α-hydroxybutyrate déshydrogénase)] par rapport aux patients traités par le placebo (p = 0,001). Chez les patients traités par Actilyse, les épisodes de choc cardiogénique, de fibrillation ventriculaire et de péricardite ont été moins nombreux. En outre, la mortalité à 14 jours a été réduite à 2,8% chez les patients traités par Actilyse contre 5,7% chez les patients sous placebo (non significatif). Dans le groupe sous Actilyse, 6 patients ont souffert d'un accident vasculaire cérébral hémorragique documenté et 1 patient d'un accident vasculaire cérébral ischémique, alors qu'aucun accident vasculaire cérébral n'a été noté sous placebo. Ces résultats n'apportent pas de preuve claire d'une réduction significative de la mortalité au cours de cette étude, mais indiquent une tendance, étayée par les données de l'étude ASSET.
  • +Au cours d'une étude contrôlée contre placebo (LATE) menée auprès de 5711 patients avec infarctus aigu du myocarde et un début des symptômes remontant de 6 à 24 heures, la perfusion de 100 mg d'Actilyse pendant 3 heures a été comparée à un placebo. Sous Actilyse, une réduction non significative de 14,1% de la mortalité à 30 jours (IC à 95%: 028,1%; p >0,05) a été notée. Au cours d'une analyse demandée par un steering committee sur la survie des patients traités dans les 12 heures suivant le début de l'apparition des symptômes, une réduction significative de la mortalité de 25,6% en faveur d'Actilyse (IC à 95%: 6,345%; p = 0,023) a été observée.
  • +Patients avec embolie pulmonaire massive aiguë
  • +Au cours d'une étude comparative randomisée entre l'altéplase et l'urokinase menée auprès de 63 patients avec embolie pulmonaire aiguë massive documentée par angiographie, une réduction significative de l'hypertension pulmonaire causée par l'embolie pulmonaire a été notée dans les deux groupes de traitement. La pression artérielle pulmonaire moyenne (PAPm) a diminué dans les deux groupes de 28±7 mm Hg à 17±6 mm Hg dans les 12 heures. L'hémodynamique pulmonaire s'est améliorée significativement plus vite sous Actilyse que sous urokinase (traitement x temps interaction: p = 0,0006).
  • -Plusieurs études ont été réalisées sur l'accident vasculaire cérébral ischémique aigu. L'étude NINDS est la seule a avoir été menée sans limite d'âge supérieure, elle intègre donc également des patients de plus de 80 ans. Toutes les autres études ont exclu les patients de plus de 80 ans. C'est pourquoi les décisions thérapeutiques dans ce groupe de patients doivent être prises avec beaucoup de précautions et de manière individuelle.
  • +Plusieurs études ont été réalisées sur l'accident vasculaire cérébral ischémique aigu. L'étude NINDS est la seule à avoir été menée sans limite d'âge supérieure, elle intègre donc également des patients de plus de 80 ans. Toutes les autres études ont exclu les patients de plus de 80 ans. Le bénéfice d'une thrombolyse chez les patients présentant un accident vasculaire cérébral ischémique aigu doit être soupesé individuellement par rapport aux risques escomptés.
  • -L'étude initiale (NINDS, partie 1, n = 291) a évalué l'amélioration neurologique 24 heures après l'apparition de l'accident vasculaire cérébral. Concernant le critère primaire d'évaluation, la proportion de patients avec une amélioration du score sur l'échelle de l'accident vasculaire cérébral du National Institute of Health (échelle NIHSS) de 4 points ou plus ou un rétablissement complet (score NIHSS = 0), les résultats des deux groupes de traitement n'ont pas été significativement différents. Une analyse secondaire a montré, à l'aide des échelles suivantes destinées à l'évaluation de l'accident vasculaire cérébral, un meilleur résultat thérapeutique après 3 mois avec le traitement par Actilyse: index de Barthel, échelle modifiée de Rankin (mRS), Glasgow Outcome Scale et échelle NIHSS. Au cours d'une deuxième étude (NINDS, partie 2, n = 333), le critère d'évaluation primaire a été le résultat du traitement après 3 mois. Un résultat thérapeutique positif a été défini comme un handicap minimal ou une absence de handicap sur les quatre échelles utilisées pour l'évaluation de l'accident vasculaire cérébral: index de Barthel (nombre de points ≥95), échelle modifiée de Rankin (nombre de points ≤1), Glasgow Outcome Scale (nombre de points = 1) et échelle NIHSS (nombre de points ≤1). Le odds-ratio pour un résultat thérapeutique positif a été de 1,7 dans le groupe sous Actilyse (IC à 95%: 1,22,6). Par rapport au placebo, l'augmentation absolue du nombre de patients avec un handicap minimal ou une absence de handicap a été de 13% (mRS 0-1) (OR: 1,7; IC à 95%: 1,12,6). De plus, un bénéfice a été observé sous Actilyse avec d'autres échelles neurologiques et d'invalidité. Les analyses secondaires montrent toutes, sur les quatre échelles utilisées pour l'évaluation de l'accident vasculaire cérébral (médianes des scores), une amélioration fonctionnelle et neurologique. Ces résultats indiquent une forte concordance avec les données recueillies au bout de 3 mois sur l'effet du traitement dans la première partie de l'étude. Après le traitement par Actilyse, un nombre significativement plus important d'hémorragies intracrâniennes symptomatiques (selon la définition NINDS) a été noté dans les 36 heures par rapport au placebo (Actilyse 6,4%; placebo 0,65%). Par contre, chez les patients traités par Actilyse, une élévation de la mortalité à 90 jours n'a pas été observée ni une élévation de l'incidence des handicaps sévères (Actilyse 20,5%; placebo 17,3%).
  • -Une analyse compilée de 2775 patients issus de 6 grandes études cliniques randomisées (NINDS parties 1 et 2, deux études ECASS et ATLANTIS parties A et B) a examiné le degré de handicap des patients traités par Actilyse ou par le placebo. A l'issue de cette analyse, il est apparu que la probabilité d'un résultat thérapeutique positif après 3 mois augmentait de manière inversement proportionnelle à la durée jusqu'au traitement par Actilyse. Les hémorragies intracrâniennes symptomatiques ont été de 5,9% chez les patients traités par Actilyse contre 1,1% dans le groupe témoin (p <0,0001) et ont montré une relation avec l'âge mais pas avec la durée jusqu'au traitement. Cette analyse étaye fortement le fait qu'un traitement rapide par Actilyse est associé à de meilleurs résultats thérapeutiques après 3 mois. De plus, elle apporte la preuve que la fenêtre thérapeutique peut être étendue jusqu'à 4,5 heures.
  • -Au cours d'une grande étude d'observation (SITS-MOST: The Safe Implementation of Thrombolysis in Stroke-Monitoring Study), la sécurité et l'efficacité d'Actilyse dans le traitement dans les 3 heures de l'accident vasculaire cérébral aigu ont été évaluées lors de la pratique quotidienne clinique. Les résultats ont été comparés avec ceux issus d'études cliniques randomisées (RCT). Les conditions figurant dans l'information professionnelle européenne (EU-SPC) d'Actilyse devaient être respectées chez tous les patients. Les données relatives au traitement et à l'évolution de la condition de 6483 patients issus de 285 centres dans 14 pays européens ont été collectées. Le critère d'évaluation primaire a été constitué par les hémorragies intracrâniennes symptomatiques dans les 24 h et la mortalité après 3 mois. Le taux d'hémorragies intracrâniennes symptomatiques observé lors de l'étude SITS-MOST au jour 7 a été similaire à celui des études randomisées: 7,3% (IC à 95%: 6,78,0) dans l'étude SITS-MOST contre 8,6% (IC à 95%: 6,111,1) dans les RCT. La mortalité a été de 11,3% (IC à 95%: 10,512,1) au cours de l'étude SITS-MOST contre 17% (IC à 95%: 13,920,7) dans les RCT. Les résultats de l'étude SITS-MOST indiquent que l'utilisation d'Actilyse dans les 3 heures après l'apparition de l'accident vasculaire cérébral est aussi sûre dans la pratique clinique en routine que lors des études cliniques.
  • -L'étude ECASS-III était une étude en double aveugle contrôlée contre placebo menée auprès de patients avec accident vasculaire cérébral aigu et une fenêtre temporelle de traitement de 3 à 4,5 heures. L'étude a inclus des patients avec des déficits neurologiques mesurables et pour lesquels les conditions de l'information professionnelle européenne (EU-SPC) ont pu être respectées, à l'exception de la fenêtre temporelle. Après exclusion d'une hémorragie cérébrale ou un infarctus plus important par tomographie computorisée, les patients avec accident vasculaire cérébral ischémique aigu ont été randomisés (1:1) et traités en double aveugle soit par altéplase par voie intraveineuse (0,9 mg/kg de poids corporel) soit par le placebo. Le critère d'évaluation primaire a été le handicap après 90 jours, classé en évolution favorable (modifié d'après l'échelle de Rankin [mRS] 0 à 1) ou défavorable (mRS 2 à 6). Le principal critère secondaire a été une analyse de l'évolution globale à l'aide d'une combinaison de quatre échelles neurologiques et d'invalidité. Les critères d'évaluation de la sécurité comprennent la mortalité, les hémorragies intracrâniennes symptomatiques et les évenements indésirables sévères. Au total, 821 patients (418 sous altéplase/403 sous placebo) ont été randomisés. Le nombre de patients avec un résultat favorable a été plus important sous altéplase (52,4%) que sous placebo (45,2%; odds-ratio [OR]: 1,34; IC à 95% 1,021,76; p = 0,038). L'analyse globale a également montré un meilleur résultat thérapeutique sous altéplase (OR: 1,28; IC à 95%: 1,001,65; p = 0,048). Les patients traités par altéplase ont montré une plus forte incidence d'hémorragies intracrâniennes (symptomatiques/non symptomatiques) que ceux sous placebo (hémorragies intracrâniennes totales: 27,0% contre 17,6%, p = 0,0012; hémorragies intracrâniennes symptomatiques selon la définition NINDS: 7,9% contre 3,5%, p = 0,006); hémorragies intracraniennes symptomatiques selon la définition ECASS-III 2,4% versus 0,2%, p = 0,008). La mortalité a été faible et n'a pas été significativement différente sous altéplase (7,7%) par rapport au placebo (8,4%; p = 0,681). Les résultats de l'étude ECASS-III montrent qu'Actilyse, administré entre 3 et 4,5 heures après le début de l'apparition des symptômes, améliore significativement l'évolution clinique chez les patients avec accident vasculaire cérébral ischémique aigu.
  • -La sécurité et l'efficacité d'Actilyse dans le traitement de l'accident vasculaire cérébral ischémique aigu avec une fenêtre temporelle allant jusqu'à 4,5 heures entre les premiers symptômes et le début du traitement (onset to treatment time, OTT) ont été examinées sur la base d'un registre en cours sur les accidents vasculaires cérébraux ischémiques aigus (SITS-ISTR: The Safe Implementation of Thrombolysis in Stroke registry). Les données relatives au résultat primaire du traitement et à la mortalité issues de 15'294 patients traités dans une fenêtre temporelle de 0 à 3 heures ont été comparées à celles issues de 947 patients traités 3 à 4,5 heures après l'apparition de l'accident vasculaire cérébral ischémique aigu. Après 3 mois, l'incidence des hémorragies intracérébrales symptomatiques (selon la définition NINDS) a été légèrement plus élevée avec la fenêtre temporelle de 3 à 4,5 heures (9,13%; IC à 95%: 7,3811,24) qu'avec la fenêtre de 3 heures (7,49%; IC: 7,077,93). Le taux de mortalité a été comparable entre la fenêtre de 3 à 4,5 heures (12,4%) et celle de 0 à 3 heures (12,3%).
  • +L'étude initiale (NINDS, partie 1, n = 291) a évalué l'amélioration neurologique 24 heures après l'apparition de l'accident vasculaire cérébral. Concernant le critère primaire d'évaluation, la proportion de patients avec une amélioration du score sur l'échelle de l'accident vasculaire cérébral du National Institute of Health (échelle NIHSS) de 4 points ou plus ou un rétablissement complet (score NIHSS = 0), les résultats des deux groupes de traitement n'ont pas été significativement différents. Une analyse secondaire a montré, à l'aide des échelles suivantes destinées à l'évaluation de l'accident vasculaire cérébral, un meilleur résultat thérapeutique après 3 mois avec le traitement par Actilyse: index de Barthel, échelle modifiée de Rankin (mRS), Glasgow Outcome Scale et échelle NIHSS. Au cours d'une deuxième étude (NINDS, partie 2, n = 333), le critère d'évaluation primaire a été le résultat du traitement après 3 mois. Un résultat thérapeutique positif a été défini comme un handicap minimal ou une absence de handicap sur les quatre échelles utilisées pour l'évaluation de l'accident vasculaire cérébral: index de Barthel (nombre de points ≥95), échelle modifiée de Rankin (nombre de points ≤1), Glasgow Outcome Scale (nombre de points = 1) et échelle NIHSS (nombre de points ≤1). Le odds-ratio pour un résultat thérapeutique positif a été de 1,7 dans le groupe sous Actilyse (IC à 95%: 1,22,6). Par rapport au placebo, l'augmentation absolue du nombre de patients avec un handicap minimal ou une absence de handicap a été de 13% (mRS 0 - 1) (OR: 1,7; IC à 95%: 1,12,6). De plus, un bénéfice a été observé sous Actilyse avec d'autres échelles neurologiques et d'invalidité. Les analyses secondaires montrent toutes, sur les quatre échelles utilisées pour l'évaluation de l'accident vasculaire cérébral (médianes des scores), une amélioration fonctionnelle et neurologique. Ces résultats indiquent une forte concordance avec les données recueillies au bout de 3 mois sur l'effet du traitement dans la première partie de l'étude. Après le traitement par Actilyse, un nombre significativement plus important d'hémorragies intracrâniennes symptomatiques (selon la définition NINDS) a été noté dans les 36 heures par rapport au placebo (Actilyse 6,4%; placebo 0,65%). Par contre, chez les patients traités par Actilyse, ni une élévation de la mortalité à 90 jours n'a été observée ni une élévation de l'incidence des handicaps sévères (Actilyse 20,5%; placebo 17,3%).
  • +Une analyse compilée de 2775 patients issus de 6 grandes études cliniques randomisées (NINDS parties 1 et 2, deux études ECASS et ATLANTIS parties A et B) a examiné le degré de handicap des patients traités par Actilyse ou par le placebo. Á l'issue de cette analyse, il est apparu que la probabilité d'un résultat thérapeutique positif après 3 mois augmentait de manière inversement proportionnelle à la durée jusqu'au traitement par Actilyse. Les hémorragies intracrâniennes symptomatiques ont été de 5,9% chez les patients traités par Actilyse contre 1,1% dans le groupe témoin (p <0,0001) et ont montré une relation avec l'âge, mais pas avec la durée jusqu'au traitement. Cette analyse étaye fortement le fait qu'un traitement rapide par Actilyse est associé à de meilleurs résultats thérapeutiques après 3 mois. De plus, elle apporte la preuve que la fenêtre thérapeutique peut être étendue jusqu'à 4,5 heures.
  • +Au cours d'une grande étude d'observation (SITS-MOST: The Safe Implementation of Thrombolysis in Stroke-Monitoring Study), la sécurité et l'efficacité d'Actilyse dans le traitement dans les 3 heures de l'accident vasculaire cérébral aigu ont été évaluées lors de la pratique quotidienne clinique. Les résultats ont été comparés avec ceux issus d'études cliniques randomisées (RCT). Les conditions figurant dans l'information professionnelle européenne (EU-SPC) d'Actilyse devaient être respectées chez tous les patients. Les données relatives au traitement et à l'évolution de la condition de 6483 patients issus de 285 centres dans 14 pays européens ont été collectées. Le critère d'évaluation primaire a été constitué par les hémorragies intracrâniennes symptomatiques dans les 24 h et la mortalité après 3 mois. Le taux d'hémorragies intracrâniennes symptomatiques observé lors de l'étude SITS-MOST au jour 7 a été similaire à celui des études randomisées: 7,3% (IC à 95%: 6,78,0) dans l'étude SITS-MOST contre 8,6% (IC à 95%: 6,111,1) dans les RCT. La mortalité a été de 11,3% (IC à 95%: 10,512,1) au cours de l'étude SITS-MOST contre 17% (IC à 95%: 13,920,7) dans les RCT. Les résultats de l'étude SITS-MOST indiquent que l'utilisation d'Actilyse dans les 3 heures après l'apparition de l'accident vasculaire cérébral est aussi sûre dans la pratique clinique en routine que lors des études cliniques.
  • +L'étude ECASS-III était une étude en double aveugle contrôlée contre placebo menée auprès de patients avec accident vasculaire cérébral aigu et une fenêtre temporelle de traitement de 3 à 4,5 heures. L'étude a inclus des patients avec des déficits neurologiques mesurables et pour lesquels les conditions de l'information professionnelle européenne (EU-SPC) ont pu être respectées, à l'exception de la fenêtre temporelle. Après exclusion d'une hémorragie cérébrale ou un infarctus plus important par tomographie computorisée, les patients avec accident vasculaire cérébral ischémique aigu ont été randomisés (1:1) et traités en double aveugle soit par altéplase par voie intraveineuse (0,9 mg/kg de poids corporel), soit par le placebo. Le critère d'évaluation primaire a été le handicap après 90 jours, classé en évolution favorable (modifié d'après l'échelle de Rankin [mRS] 0 à 1) ou défavorable (mRS 2 à 6). Le principal critère secondaire a été une analyse de l'évolution globale à l'aide d'une combinaison de quatre échelles neurologiques et d'invalidité. Les critères d'évaluation de la sécurité comprennent la mortalité, les hémorragies intracrâniennes symptomatiques et les événements indésirables sévères. Au total, 821 patients (418 sous altéplase/403 sous placebo) ont été randomisés. Le nombre de patients avec un résultat favorable a été plus important sous altéplase (52,4%) que sous placebo (45,2%; odds-ratio [OR]: 1,34; IC à 95% 1,021,76; p = 0,038). L'analyse globale a également montré un meilleur résultat thérapeutique sous altéplase (OR: 1,28; IC à 95%: 1,001,65; p = 0,048). Les patients traités par altéplase ont montré une plus forte incidence d'hémorragies intracrâniennes (symptomatiques / non symptomatiques) que ceux sous placebo (hémorragies intracrâniennes totales: 27,0% contre 17,6%, p = 0,0012; hémorragies intracrâniennes symptomatiques selon la définition NINDS: 7,9% contre 3,5%, p = 0,006); hémorragies intracrâniennes symptomatiques selon la définition ECASS-III 2,4% versus 0,2%, p = 0,008). La mortalité a été faible et n'a pas été significativement différente sous altéplase (7,7%) par rapport au placebo (8,4%; p = 0,681). Les résultats de l'étude ECASS-III montrent qu'Actilyse, administré entre 3 et 4,5 heures après le début de l'apparition des symptômes, améliore significativement l'évolution clinique chez les patients avec accident vasculaire cérébral ischémique aigu.
  • +La sécurité et l'efficacité d'Actilyse dans le traitement de l'accident vasculaire cérébral ischémique aigu avec une fenêtre temporelle allant jusqu'à 4,5 heures entre les premiers symptômes et le début du traitement (onset to treatment time, OTT) ont été examinées sur la base d'un registre en cours sur les accidents vasculaires cérébraux ischémiques aigus (SITS-ISTR: The Safe Implementation of Thrombolysis in Stroke registry). Les données relatives au résultat primaire du traitement et à la mortalité issues de 15294 patients traités dans une fenêtre temporelle de 0 à 3 heures ont été comparées à celles issues de 947 patients traités 3 à 4,5 heures après l'apparition de l'accident vasculaire cérébral ischémique aigu. Après 3 mois, l'incidence des hémorragies intracérébrales symptomatiques (selon la définition NINDS) a été légèrement plus élevée avec la fenêtre temporelle de 3 à 4,5 heures (9,13%; IC à 95%: 7,3811,24) qu'avec la fenêtre de 3 heures (7,49%; IC: 7,077,93). Le taux de mortalité a été comparable entre la fenêtre de 3 à 4,5 heures (12,4%) et celle de 0 à 3 heures (12,3%).
  • -Aucun effet tératogène n'a été observé après perfusion intraveineuse de doses pharmacologiquement actives chez des animaux gravides. L'administration de plus de 3 mg/kg/jour a induit une embryotoxicité (mortalité embryonnaire, retard de croissance) chez les lapins. Chez les rats, aucun effet sur le développement péri- et postnatal ou sur les paramètres de fertilité n'a été observé à des doses allant jusqu'à 10 mg/kg/jour.
  • +Aucun effet tératogène n'a été observé après perfusion intraveineuse de doses pharmacologiquement actives chez des animaux gravides. L'administration de plus de 3 mg/kg/jour a induit une embryotoxicité (mortalité embryonnaire, retard de croissance) chez les lapins. Chez les rats, aucun effet sur le développement périnatal et postnatal ou sur les paramètres de fertilité n'a été observé à des doses allant jusqu'à 10 mg/kg/jour.
  • -La solution reconstituée peut être diluée davantage avec une solution physiologique stérile de chlorure de sodium (0,9%) jusqu'à une concentration minimale de 0,2 mg/ml auquel cas l'apparition d'un trouble de la solution reconstituée ne peut pas être exclue. Une nouvelle dilution avec de l'eau pour préparations injectables ou l'utilisation de solutions pour perfusion contenant des hydrates de carbone (p.ex. dextrose) n'est pas recommandée en raison d'une formation de trouble accrue.
  • -Actilyse ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments, ni dans la même perfusion, ni par la même voie veineuse (également valable pour l'héparine).
  • +Actilyse ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments, ni dans le même flacon de perfusion ni par la même voie veineuse (également valable pour l'héparine).
  • -Le médicament ne doit être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • -Le contenu d'un flacon d'Actilyse (10, 20 ou 50 mg) de substance sèche est dissous dans des conditions aseptiques dans de l'eau stérilisée pour préparations injectables (10, 20 ou 50 ml, en fonction du volume du flacon d'Actilyse) à une concentration de 1 mg d'Actilyse par ml. Une canule de transfert est fournie à cet effet avec les présentations de 20 et 50 mg. Pour la présentation de 10 mg, une seringue stérile doit être utilisée.
  • +Le contenu d'un flacon d'Actilyse (10 mg, 20 mg ou 50 mg) de substance sèche est dissous dans des conditions aseptiques dans de l'eau stérilisée pour préparations injectables (10 ml, 20 ml ou 50 ml, en fonction du volume du flacon d'Actilyse) à une concentration de 1 mg d'Actilyse par ml. Une canule de transfert est fournie à cet effet avec les présentations de 20 mg et 50 mg. Pour la présentation de 10 mg, une seringue stérile doit être utilisée.
  • -4 Sortez la canule de transfert* de son étui. Ne désinfectez pas ou ne stérilisez pas la canule de transfert, elle est déjà stérile. Retirez l'un de ses capuchons. (*si une canule de transfert est incluse dans la boîte. La reconstitution peut aussi être faite avec une seringue et une aiguille.) (image)
  • -5 Tenez le flacon contenant l'eau pour préparations injectables en position verticale et sur une surface stable. Percez le bouchon en caoutchouc avec la pointe de la canule de transfert, de façon verticale et bien au centre du bouchon, en pressant doucement mais fermement, sans tourner. (image)
  • -6 Tenez fermement le flacon contenant l'eau pour préparations injectables et la canule de transfert avec une seule main, à l'aide des deux rabats de chaque côté de la canule. Retirez le capuchon restant sur le dessus de la canule de transfert. (image)
  • -7 Tenez fermement le flacon contenant l'eau pour préparations injectables et la canule de transfert avec une seule main, à l'aide des deux rabats de chaque côté de la canule. Prenez le flacon d'Actilyse contenant le lyophilisat et tenez-le au-dessus de la canule de transfert en positionnant l'extrémité pointue de la canule de transfert bien au centre du bouchon. (image)
  • +4 Sortez la canule de transfert* de son étui. Ne désinfectez pas ou ne stérilisez pas la canule de transfert, elle est déjà stérile. Retirez l'un de ses capuchons. (* Si une canule de transfert est incluse dans la boîte. La reconstitution peut aussi être faite avec une seringue et une aiguille.) (image)
  • +5 Tenez le flacon contenant l'eau pour préparations injectables en position verticale et sur une surface stable. Percez le bouchon en caoutchouc avec la pointe de la canule de transfert, de façon verticale et bien au centre du bouchon, en pressant doucement, mais fermement, sans tourner. (image)
  • +6 Tenez fermement le flacon contenant l'eau pour préparations injectables et la canule de transfert avec une seule main, à l'aide des deux rabats de chaque côté de la canule.Retirez le capuchon restant sur le dessus de la canule de transfert. (image)
  • +7 Tenez fermement le flacon contenant l'eau pour préparations injectables et la canule de transfert avec une seule main, à l'aide des deux rabats de chaque côté de la canule.Prenez le flacon d'Actilyse contenant le lyophilisat et tenez-le au-dessus de la canule de transfert en positionnant l'extrémité pointue de la canule de transfert bien au centre du bouchon. (image)
  • -8 Retournez ensemble les deux flacons de manière à ce que l'eau pour préparations injectables puisse remplir compltement le flacon contenant le lyophilisat. (image)
  • +8 Retournez ensemble les deux flacons de manière à ce que l'eau pour préparations injectables puisse remplir compltement le flacon contenant le lyophilisat. (image)
  • -10 Prenez le flacon contenant la solution reconstituée d'Actilyse et tournez doucement jusqu'à dissoudre tout reste de poudre, mais ne secouez surtout pas, cela produira de la mousse. (image)
  • - En cas de formation de bulles, laissez la solution reposer quelques minutes et attendre la disparition des bulles. (image)
  • +10 Prenez le flacon contenant la solution reconstituée d'Actilyse et tournez doucement jusqu'à dissoudre tout reste de poudre, mais ne secouez surtout pas, cela produirait de la mousse. (image)
  • + En cas de formation de bulles, laissez la solution reposer quelques minutes et attendez la disparition des bulles. (image)
  • -12 Prélevez la quantité nécessaire en utilisant une aiguille et une seringue stériles. N'utilisez pas le même trou de perforation que celui de la canule de transfert pour éviter toute fuite. (image)
  • -13 Utilisez immédiatement. Détruisez la solution non utilisée.
  • +12 Prélevez la quantité nécessaire en utilisant une aiguille et une seringue stériles.N'utilisez pas le même trou de perforation que celui de la canule de transfert pour éviter toute fuite. (image)
  • +13 Utilisez immédiatement. Jetez la solution non utilisée.
  • -La solution reconstituée de 1 mg/ml peut être diluée davantage avec une solution injectable stérile de chlorure de sodium de 9 mg/ml (0,9%) jusqu'à une concentration minimale de 0,2 mg/ml (voir également «Remarques particulières», «Incompatibilités»).
  • -Pour garantir un dosage précis, Actilyse doit être administré au moyen de perfuseurs/de pompes à perfusion. A défaut, on pourra utiliser un autre dispositif de perfusion à condition que celui-ci garantisse un réglage précis du débit de la perfusion.
  • -Pour que le patient reçoive bien la dose entière d'Actilyse, on limitera au minimum le volume résiduel dans le dispositif à perfusion.
  • +La solution reconstituée de 1 mg/ml peut être diluée davantage avec une solution injectable stérile de chlorure de sodium de 9 mg/ml (0,9%) jusqu'à une concentration minimale de 0,2 mg/ml, la survenue d'une turbidité de la solution reconstituée ne pouvant être exclue.
  • +Une nouvelle dilution de la solution reconstituée de 1 mg/ml avec de l'eau pour préparations injectables ou l'utilisation de solutions glucosées pour perfusion (p.ex. dextrose), n'est pas recommandée en raison d'une formation accrue de turbidité.
  • +Actilyse ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments, ni dans le même flacon de perfusion ni par la même voie veineuse (également valable pour l'héparine).
  • +Pour garantir un dosage précis, Actilyse doit être administré au moyen de perfuseurs/de pompes à perfusion. À défaut, on pourra utiliser un autre dispositif de perfusion à condition que celui-ci garantisse un réglage précis du débit de la perfusion.
  • +Pour que le patient reçoive bien la dose entière d'Actilyse, on limitera au minimum le volume résiduel dans le dispositif de perfusion.
  • -Juillet 2017.
  • +Juin 2018.
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