42 Changements de l'information professionelle Fortecortin Inject 4 mg |
-Fortecortin Inject seringues prêtes à l’emploi
-Dexamethasoni dihydrogenophosphas 40 mg/5 ml.
-En cas de formes aigües d’œdème cérébral, p.ex. à la suite de lésions crânio-cérébrales, d’hémorragies intracérébrales et d’accidents vasculaires cérébraux: administrer la dose initiale de 40 à 100 mg i.v.; après 2 à 4 jours, 4 à 8 mg i.v. ou i.m. à intervalle de 2 à 4 heures durant 5 à 8 jours.
-En cas de formes subaigües ou chroniques d’œdèmes cérébraux, p.ex. lors de tumeurs cérébrales, d’abcès cérébraux, de méningo-encéphalites et de radiolésions: administrer une dose initiale de 8 à 12 mg i.v.; poursuivre le traitement à raison de 4 mg i.v. ou i.m. à 6 heures d’intervalle.
-Pour le traitement initial du choc anaphylactique (après injection initiale d’adrénaline) ainsi que du choc occasionné par des lésions multiples (prophylaxie du poumon de choc ou de l’embolie graisseuse): administrer 40 à 200 mg i.v.. Dans les cas graves, soit répéter la dose initiale au bout de 4 à 12 heures, soit administrer 16 à 40 mg i.v. toutes les 6 heures durant 2 à 3 jours.
-En cas d’état de mal asthmatique: administrer une dose initiale de 40 à 80 mg i.v.; selon la gravité du cas, répéter la dose initiale 3 à 6 heures plus tard et poursuivre le traitement par 4 mg i.v. par jour et, le cas échéant, passer au traitement par voie orale.
-En cas de dermatoses aigües et d’hémopathies aiguës: administrer une dose initiale de 16 à 40 mg i.v. et poursuivre le traitement par voie orale.
-Pour le traitement de l’insuffisance corticosurrénale aiguë (crise d’Addison): initier le traitement avec 8 à 16 mg i.v. (toutefois uniquement lors de traitement concomitant par un minéralocorticoïde).
-Pour la prophylaxie et le traitement de vomissements induits par des cytostatiques: administrer une ampoule de 8 mg de Fortecortin Inject i.v. la veille du traitement, 8 à 12 mg i.v. au début du traitement, puis 4 mg i.v. toutes les 4 à 6 heures durant au moins 48 heures.
- +En cas de formes aigües d’œdème cérébral, p.ex. à la suite de lésions crânio-cérébrales, d’hémorragies intracérébrales et d’accidents vasculaires cérébraux: administrer la dose initiale de 40 à 100 mg i.v.; après 2 à 4 jours, 4 à 8 mg i.v. ou i.m. à intervalle de 2 à 4 heures durant 5 à 8 jours.
- +En cas de formes subaigües ou chroniques d’œdèmes cérébraux, p.ex. lors de tumeurs cérébrales, d’abcès cérébraux, de méningo-encéphalites et de radiolésions: administrer une dose initiale de 8 à 12 mg i.v.; poursuivre le traitement à raison de 4 mg i.v. ou i.m. à 6 heures d’intervalle.
- +Pour le traitement initial du choc anaphylactique (après injection initiale d’adrénaline) ainsi que du choc occasionné par des lésions multiples (prophylaxie du poumon de choc ou de l’embolie graisseuse): administrer 40 à 200 mg i.v.. Dans les cas graves, soit répéter la dose initiale au bout de 4 à 12 heures, soit administrer 16 à 40 mg i.v. toutes les 6 heures durant 2 à 3 jours.
- +En cas d’état de mal asthmatique: administrer une dose initiale de 40 à 80 mg i.v.; selon la gravité du cas, répéter la dose initiale 3 à 6 heures plus tard et poursuivre le traitement par 4 mg i.v. par jour et, le cas échéant, passer au traitement par voie orale.
- +En cas de dermatoses aigües et d’hémopathies aiguës: administrer une dose initiale de 16 à 40 mg i.v. et poursuivre le traitement par voie orale.
- +Pour le traitement de l’insuffisance corticosurrénale aiguë (crise d’Addison): initier le traitement avec 8 à 16 mg i.v. (toutefois uniquement lors de traitement concomitant par un minéralocorticoïde).
- +Pour la prophylaxie et le traitement de vomissements induits par des cytostatiques: administrer une ampoule de 8 mg de Fortecortin Inject i.v. la veille du traitement, 8 à 12 mg i.v. au début du traitement, puis 4 mg i.v. toutes les 4 à 6 heures durant au moins 48 heures.
-Pour un traitement péri-articulaire et intra-articulaire ou par infiltration locale dans des conditions d’asepsie strictes: injecter 4 ou 8 mg. Lors d’une injection dans une très petite articulation, 2 mg suffisent. En fonction de la gravité de l’affection, le nombre d’infiltrations ou d’injections ne doit pas dépasser 3 à 4 par articulation. L’intervalle entre les injections ne doit pas être inférieur à 3 à 4 semaines.
- +Pour un traitement péri-articulaire et intra-articulaire ou par infiltration locale dans des conditions d’asepsie strictes: injecter 4 ou 8 mg. Lors d’une injection dans une très petite articulation, 2 mg suffisent. En fonction de la gravité de l’affection, le nombre d’infiltrations ou d’injections ne doit pas dépasser 3 à 4 par articulation. L’intervalle entre les injections ne doit pas être inférieur à 3 à 4 semaines.
-· en cas de maladies générales: doubler ou éventuellement tripler la dernière dose de Fortecortin;
-· en cas d’interventions légères: administrer 100 mg d’hydrocortisone i.v. de plus avant l’intervention;
-· en cas d’interventions d’importance moyenne: administrer en plus 100 mg d’hydrocortisone par voie i.v. avant l’opération et, ensuite, 100 mg d’hydrocortisone toutes les 6 heures durant 24 heures;
-· en cas d’interventions chirurgicales importantes: administrer en plus 100 mg d’hydrocortisone avant le début de l’opération et, ensuite, toutes les 6 heures durant au moins 72 heures. Poursuivre le traitement en fonction de l’évolution.
- +·en cas de maladies générales: doubler ou éventuellement tripler la dernière dose de Fortecortin
- +·en cas d’interventions légères: administrer 100 mg d’hydrocortisone i.v. de plus avant l’intervention
- +·en cas d’interventions d’importance moyenne: administrer en plus 100 mg d’hydrocortisone par voie i.v. avant l’opération et, ensuite, 100 mg d’hydrocortisone toutes les 6 heures durant 24 heures
- +·en cas d’interventions chirurgicales importantes: administrer en plus 100 mg d’hydrocortisone avant le début de l’opération et, ensuite, toutes les 6 heures durant au moins 72 heures. Poursuivre le traitement en fonction de l’évolution
-· Œdème cérébral déclenché p.ex. par:
-o tumeur cérébrale: administrer une dose initiale de 0.5 à 1 mg/kg, puis 0.25 à 0.5 mg/kg par jour en 4 fois.
-o intervention neurochirurgicale: administrer 1 mg/kg en phase préopératoire, puis 0.2 mg/kg toutes les 4 heures pendant 24 heures.
-o encéphalite/méningite: administrer 0.15 mg/kg toutes les 6 heures durant 4 jours, ou 0.4 mg/kg toutes les 12 heures durant 2 jours, en commençant avant la première antibiothérapie.
-· choc anaphylactique (après injection initiale d’adrénaline): dose initiale: 7.5 à 15 mg chez les nourrissons, 4.5 mg/kg chez les enfants plus âgés; 2 e jour: réduire la dose à la moitié de la dose initiale; 3 e jour: réduire la dose à un quart de la dose initiale.
-· choc polytraumatique (prophylaxie du poumon de choc et de l’embolie graisseuse): dose initiale: 7.5 à 15 mg chez les nourrissons, 4.5 mg/kg chez les enfants plus âgés; 2 e jour: réduire la dose à la moitié de la dose initiale; 3 e jour: réduire la dose à un quart de la dose initiale.
-· état de mal asthmatique: dose initiale: 7.5 à 15 mg en bolus, puis 0.15 à 0.3 mg/kg par jour.
-· poussées aiguës de dermatoses sévères (p.ex. œdème de Quincke, pemphigus vulgaire, eczémas non contrôlables, sarcoïdose cutanée): posologie selon la gravité: dose élevée de 0.3 à 0.45 mg/kg par jour; dose moyenne de 0.15 mg/kg par jour; dose d’entretien de 0.04 mg/kg par jour.
-· hémopathies aiguës (p.ex. anémie hémolytique aiguë): selon la gravité de la maladie: 6.5 à 40 mg/m 2 de surface corporelle pendant 4 à 5 jours tous les 28 jours.
-· insuffisance corticosurrénalienne primaire et secondaire aiguë (si l’hydrocortisone n’est pas disponible; toutefois uniquement lors de traitement concomitant par un minéralocorticoïde): dose initiale: 7.5 à 15 mg chez les nourrissons, 4.5 mg/kg chez les enfants plus âgés; puis passer à l’hydrocortisone.
-· prophylaxie et traitement de vomissements induits par des cytostatiques: 8 mg/m 2 de surface corporelle environ 30 min. avant la chimiothérapie, puis 16 mg/m 2 en 2 à 4 doses partielles distribuées dans la journée.
- +·Œdème cérébral déclenché p.ex. par:
- +·tumeur cérébrale:administrer une dose initiale de 0.5 à 1 mg/kg, puis 0.25 à 0.5 mg/kg par jour en 4 fois
- +·intervention neurochirurgicale:administrer 1 mg/kg en phase préopératoire, puis 0.2 mg/kg toutes les 4 heures pendant 24 heures
- +·encéphalite/méningite:administrer 0.15 mg/kg toutes les 6 heures durant 4 jours, ou 0.4 mg/kg toutes les 12 heures durant 2 jours, en commençant avant la première antibiothérapie
- +·choc anaphylactique (après injection initiale d’adrénaline):dose initiale: 7.5 à 15 mg chez les nourrissons, 4.5 mg/kg chez les enfants plus âgés; 2e jour: réduire la dose à la moitié de la dose initiale; 3e jour: réduire la dose à un quart de la dose initiale
- +·choc polytraumatique (prophylaxie du poumon de choc et de l’embolie graisseuse):dose initiale: 7.5 à 15 mg chez les nourrissons, 4.5 mg/kg chez les enfants plus âgés; 2e jour: réduire la dose à la moitié de la dose initiale; 3e jour: réduire la dose à un quart de la dose initiale
- +·état de mal asthmatique:dose initiale: 7.5 à 15 mg en bolus, puis 0.15 à 0.3 mg/kg par jour
- +·poussées aiguës de dermatoses sévères (p.ex. œdème de Quincke, pemphigus vulgaire, eczémas non contrôlables, sarcoïdose cutanée):posologie selon la gravité: dose élevée de 0.3 à 0.45 mg/kg par jour; dose moyenne de 0.15 mg/kg par jour; dose d’entretien de 0.04 mg/kg par jour
- +·hémopathies aiguës (p.ex. anémie hémolytique aiguë):selon la gravité de la maladie: 6.5 à 40 mg/m2 de surface corporelle pendant 4 à 5 jours tous les 28 jours
- +·insuffisance corticosurrénalienne primaire et secondaire aiguë (si l’hydrocortisone n’est pas disponible; toutefois uniquement lors de traitement concomitant par un minéralocorticoïde):dose initiale: 7.5 à 15 mg chez les nourrissons, 4.5 mg/kg chez les enfants plus âgés; puis passer à l’hydrocortisone
- +·prophylaxie et traitement de vomissements induits par des cytostatiques:8 mg/m2 de surface corporelle environ 30 min. avant la chimiothérapie, puis 16 mg/m2 en 2 à 4 doses partielles distribuées dans la journée
-Les seringues prêtes à l’emploi de Fortecortin Inject 40 mg sont le plus souvent injectées lentement (pendant 2 à 3 minutes) par voie intraveineuse. En cas d’injection trop rapide, des épisodes bénins de picotements désagréables ou de paresthésies pouvant durer jusqu’à 3 minutes peuvent survenir. Une administration par voie intramusculaire est aussi possible. Les ampoules de 4 et 8 mg de Fortecortin Inject sont injectées par voie intraveineuse, intramusculaire, intra-articulaire ou par infiltration locale.
- +Les ampoules de 4 et 8 mg de Fortecortin Inject sont injectées par voie intraveineuse, intramusculaire, intra-articulaire ou par infiltration locale.
-· infection de l’articulation ou des régions avoisinantes;
-· arthrite bactérienne;
-· instabilité articulaire;
-· tendance hémorragique (hémorragies spontanées ou liées à une thérapie anticoagulante);
-· calcification péri-articulaire;
-· ostéonécrose avasculaire;
-· rupture du tendon;
-· articulation de Charcot.
- +·infection de l’articulation ou des régions avoisinantes
- +·arthrite bactérienne
- +·instabilité articulaire
- +·tendance hémorragique (hémorragies spontanées ou liées à une thérapie anticoagulante)
- +·calcification péri-articulaire
- +·ostéonécrose avasculaire
- +·rupture du tendon
- +·articulation de Charcot
-· infections virales aiguës (hépatite B, varicelle, zona, Herpes simplex, kératite herpétique, poliomyélite, rougeole). Il convient d’être particulièrement prudent si, pendant un traitement par Fortecortin, des patient(e)s immunodéprimé(e)s sans antécédents de varicelle ou de rougeole sont en contact avec des personnes atteintes de ces maladies. L’évolution de ces maladies chez des patients sous traitement par Fortecortin peut être particulièrement grave. La varicelle survenant durant un traitement systémique par des corticostéroïdes peut revêtir une forme dont l’évolution est grave et dont l’issue peut être mortelle, en particulier chez l’enfant. Elle nécessite un traitement immédiat, p.ex. par aciclovir i.v. Chez les patients à risque, l’administration d’aciclovir à titre prophylactique ou une immunoprophylaxie passive par administration d’immunoglobuline du virus varicelle-zona sont indiquées.
-· infections bactériennes aiguës et chroniques: administrer uniquement sous protection antibiotique. Une amibiase latente doit être exclue avant le traitement et les patients atteints de tuberculose latente ou de tuberculose d’organe doivent recevoir des tuberculostatiques à titre prophylactique pendant un traitement à long terme par glucocorticoïdes.
-· mycoses et parasitose systémiques. Chez les patients présentant une infestation connue ou présumée par des strongyloïdes, les glucocorticoïdes peuvent entraîner des récidives ou le développement de la maladie.
-· environ 8 semaines avant et 2 semaines après une vaccination préventive par des vaccins vivants. Les vaccinations avec des vaccins inactivés sont en principe possibles. Il faut cependant considérer que la réaction immune et ainsi le succès de la vaccination peuvent être diminués en cas de posologies plus élevées de glucocorticoïdes.
-· lymphadénite à la suite de vaccination par le BCG.
-· hépatite chronique, HBsAg-positive.
-· diabète sucré difficile à contrôler, la tolérance au glucose pouvant être diminuée. Des contrôles sanguins doivent être effectués régulièrement et la dose d’antidiabétiques doit, le cas échéant, être ajustée.
-· hypothyroïdie et cirrhose du foie car, dans de tels cas, l’effet des glucocorticoïdes est renforcé.
-· tendance à la thrombose.
-· infarctus du myocarde récent.
-· hypertension difficile à contrôler et insuffisance cardiaque.
-· myasthénie et administration concomitante d’inhibiteurs de la cholinestérase car, dans de tels cas, l’effet des inhibiteurs de la cholinestérase est diminué et le risque de crise myasthénique est accru (le traitement par des inhibiteurs de la cholinestérase devrait être interrompu, dans la mesure du possible, 24 heures avant l’administration d’un corticostéroïde).
-· ulcère gastro-intestinal.
-· ostéoporose.
-· maladies psychiatriques, y compris comportement suicidaire (même anamnestique): une surveillance neurologique ou psychiatrique est conseillée.
-· glaucome à angle ouvert ou fermé, ulcères ou lésions cornéens: une surveillance ophtalmologique étroite et un traitement sont conseillés.
- +·infections virales aiguës (hépatite B, varicelle, zona, Herpes simplex, kératite herpétique, poliomyélite, rougeole). Il convient d’être particulièrement prudent si, pendant un traitement par Fortecortin, des patient(e)s immunodéprimé(e)s sans antécédents de varicelle ou de rougeole sont en contact avec des personnes atteintes de ces maladies. L’évolution de ces maladies chez des patients sous traitement par Fortecortin peut être particulièrement grave. La varicelle survenant durant un traitement systémique par des corticostéroïdes peut revêtir une forme dont l’évolution est grave et dont l’issue peut être mortelle, en particulier chez l’enfant. Elle nécessite un traitement immédiat, p.ex. par aciclovir i.v. Chez les patients à risque, l’administration d’aciclovir à titre prophylactique ou une immunoprophylaxie passive par administration d’immunoglobuline du virus varicelle-zona sont indiquées
- +·infections bactériennes aiguës et chroniques: administrer uniquement sous protection antibiotique. Une amibiase latente doit être exclue avant le traitement et les patients atteints de tuberculose latente ou de tuberculose d’organe doivent recevoir des tuberculostatiques à titre prophylactique pendant un traitement à long terme par glucocorticoïdes
- +·mycoses et parasitose systémiques. Chez les patients présentant une infestation connue ou présumée par des strongyloïdes, les glucocorticoïdes peuvent entraîner des récidives ou le développement de la maladie
- +·environ 8 semaines avant et 2 semaines après une vaccination préventive par des vaccins vivants. Les vaccinations avec des vaccins inactivés sont en principe possibles. Il faut cependant considérer que la réaction immune et ainsi le succès de la vaccination peuvent être diminués en cas de posologies plus élevées de glucocorticoïdes
- +·lymphadénite à la suite de vaccination par le BCG
- +·hépatite chronique, HBsAg-positive
- +·diabète sucré difficile à contrôler, la tolérance au glucose pouvant être diminuée. Des contrôles sanguins doivent être effectués régulièrement et la dose d’antidiabétiques doit, le cas échéant, être ajustée
- +·hypothyroïdie et cirrhose du foie car, dans de tels cas, l’effet des glucocorticoïdes est renforcé
- +·tendance à la thrombose
- +·infarctus du myocarde récent
- +·hypertension difficile à contrôler et insuffisance cardiaque
- +·myasthénie et administration concomitante d’inhibiteurs de la cholinestérase car, dans de tels cas, l’effet des inhibiteurs de la cholinestérase est diminué et le risque de crise myasthénique est accru (le traitement par des inhibiteurs de la cholinestérase devrait être interrompu, dans la mesure du possible, 24 heures avant l’administration d’un corticostéroïde)
- +·ulcère gastro-intestinal
- +·ostéoporose
- +·maladies psychiatriques, y compris comportement suicidaire (même anamnestique): une surveillance neurologique ou psychiatrique est conseillée
- +·glaucome à angle ouvert ou fermé, ulcères ou lésions cornéens: une surveillance ophtalmologique étroite et un traitement sont conseillés
-· colite ulcéreuse grave sans irritation péritonéale, accompagnée d’un risque de perforation;
-· diverticulite;
-· entéro-anastomoses (en phase postopératoire immédiate).
- +·colite ulcéreuse grave sans irritation péritonéale, accompagnée d’un risque de perforation
- +·diverticulite
- +·entéro-anastomoses (en phase postopératoire immédiate)
- +Après l'utilisation de la dexaméthasone seule ou en association avec des médicaments chimiothérapeutiques, un syndrome de lyse tumorale (SLT) a été rapporté chez des patients avec des maladies hématologiques malignes. Les patients avec des tumeurs à forte vitesse de prolifération ou à haute sensibilité envers les principes actifs cytotoxiques ainsi que les patients avec une charge tumorale élevée courent un risque important de développer un SLT et doivent donc être surveillés étroitement. En outre, des mesures de précaution correspondantes doivent être prises.
- +Prématurés
- +Après un traitement précoce (<96 heures après la naissance) chez les prématurés avec maladie pulmonaire chronique à une posologie initiale de 0.25 mg/kg deux fois par jour, les données disponibles indiquent des effets négatifs à long terme concernant le développement neuronal.
- Médicament Modification de l’effet
- Salurétiques, amphotéricine, laxatifs Augmentation de l’excrétion de potassium
- Médicaments inducteurs du CYP3A4 tels que: rifampicine, phénytoïne, carbamazépine, barbituriques et primidon Diminution de l’effet des corticoïdes par augmentation de la clairance
- Médicaments inhibiteurs du CYP3A4 tels que: kétoconazol et itraconazol Renforcement de l’effet des corticoïdes
- Ephédrine Diminution de l’effet par accélération du métabolisme des corticoïdes
- Antiphlogistiques non stéroïdiens/anti- rhumatismaux non stéroïdiens Risque accru d’hémorragies, d’ulcérations et de perforations gastro-intestinales
- Salicylés Diminution de l’effet des salicylés par augmentation de la clairance. En cas de traitement à long terme: risque accru d’hémorragies et d’ulcérations gastro-intestinales pouvant aller jusqu’à la perforation. Une réduction de la dose de glucocorticoïdes doit être faite avec précaution car des intoxications aux salicylés peuvent survenir.
- Œstrogènes Renforcement possible de l’effet des corticoïdes par diminution de la clairance
- Vaccination par vaccins inactivés Limitation possible de l’immunisation
- Inhibiteurs de la cholinestérase Diminution de l’inhibition de la cholinestérase
- Glycosides cardiaques Renforcement de l’effet des glycosides par manque de potassium
- Antidiabétiques oraux, insuline Réduction de la baisse du sucre; besoin éventuellement accru en antidiabétiques
- Dérivés de la coumarine Affaiblissement ou renforcement de l’effet anticoagulant; un ajustement de la dose d’anticoagulant peut s’avérer nécessaire en cas d’utilisation concomitante
- Praziquantel Abaissement possible de la concentration de Praziquantel dans le sang
- Atropine et autres anticholinergiques Risque d’élévation encore plus grande d’une pression intraoculaire déjà élevée
- Inhibiteurs de l’ECA Risque accru de modifications de l’hémogramme
- Chloroquine, hydrochloroquine, méfloquine Risque accru de myopathies et de cardiomyopathies
- Immunosuppresseurs Prédisposition accrue aux infections et possible manifestation ou aggravation d’infections latentes existantes.
- Ciclosporine De plus, risque accru de crises convulsives par augmentation du taux sanguin de ciclosporine
- Myorelaxants non dépolarisants Prolongation éventuelle de la relaxation musculaire
- Protiréline Amoindrissement possible de l’élévation de TSH
- Fluoroquinolones Risque éventuellement accru d’atteintes des tendons
- +Médicament Modification de l’effet
- +Salurétiques, amphotéricine, laxatifs Augmentation de l’excrétion de potassium
- +Médicaments inducteurs du CYP3A4 tels que: rifampicine, phénytoïne, carbamazépine, barbituriques et primidon Diminution de l’effet des corticoïdes par augmentation de la clairance
- +Médicaments inhibiteurs du CYP3A4 tels que: kétoconazol, itraconazol, ritonavir et cobicistat Le risque d'effets indésirables systémiques des corticoïdes peut être augmenté
- +Ephédrine Diminution de l’effet par accélération du métabolisme des corticoïdes
- +Antiphlogistiques non stéroïdiens/antirhumatismaux non stéroïdiens Risque accru d’hémorragies, d’ulcérations et de perforations gastro-intestinales
- +Salicylés Diminution de l’effet des salicylés par augmentation de la clairance. En cas de traitement à long terme: risque accru d’hémorragies et d’ulcérations gastro-intestinales pouvant aller jusqu’à la perforation. Une réduction de la dose de glucocorticoïdes doit être faite avec précaution car des intoxications aux salicylés peuvent survenir.
- +Œstrogènes Renforcement possible de l’effet des corticoïdes par diminution de la clairance
- +Vaccination par vaccins inactivés Limitation possible de l’immunisation
- +Inhibiteurs de la cholinestérase Diminution de l’inhibition de la cholinestérase
- +Glycosides cardiaques Renforcement de l’effet des glycosides par manque de potassium
- +Antidiabétiques oraux, insuline Réduction de la baisse du sucre; besoin éventuellement accru en antidiabétiques
- +Dérivés de la coumarine Affaiblissement ou renforcement de l’effet anticoagulant; un ajustement de la dose d’anticoagulant peut s’avérer nécessaire en cas d’utilisation concomitante
- +Praziquantel Abaissement possible de la concentration de Praziquantel dans le sang
- +Atropine et autres anticholinergiques Risque d’élévation encore plus grande d’une pression intraoculaire déjà élevée
- +Inhibiteurs de l’ECA Risque accru de modifications de l’hémogramme
- +Chloroquine, hydrochloroquine, méfloquine Risque accru de myopathies et de cardiomyopathies
- +Immunosuppresseurs Prédisposition accrue aux infections et possible manifestation ou aggravation d’infections latentes existantes.
- +Ciclosporine De plus, risque accru de crises convulsives par augmentation du taux sanguin de ciclosporine
- +Myorelaxants non dépolarisants Prolongation éventuelle de la relaxation musculaire
- +Protiréline Amoindrissement possible de l’élévation de TSH
- +Fluoroquinolones Risque éventuellement accru d’atteintes des tendons
-C’est pourquoi Fortecortin, comme pour tous les glucocorticoïdes, ne doit pas être administré pendant la grossesse, et en particulier au cours du premier trimestre, sauf en cas de nécessité absolue. En cas d’indication établie, la prednisolone (ou prednisone) est préférable à tous les autres glucocorticoïdes, particulièrement aux glucocorticoïdes fluorés, son passage dans le placenta étant le plus faible.
- +C’est pourquoi Fortecortin, comme tous les glucocorticoïdes, ne doit pas être administré pendant la grossesse, et en particulier au cours du premier trimestre, sauf en cas de nécessité absolue. En cas d’indication établie, la prednisolone (ou prednisone) est préférable à tous les autres glucocorticoïdes, particulièrement aux glucocorticoïdes fluorés, son passage dans le placenta étant le plus faible.
-En cas d’apparition de symptômes similaires à ceux du syndrome de Cushing (p.ex. faciès lunaire, obésité du tronc), la dose doit être réduite progressivement.
- +Syndrome de Cushing (p.ex. faciès lunaire, obésité du tronc), voir «Mises en garde et précautions».
-Augmentation de la pression intraoculaire (glaucome), opacification du cristallin (cataracte). Aggravation des symptômes en cas d’ulcères cornéens, favorise les infections oculaires virales, fongiques et bactériennes, aggravation des infections cornéennes bactériennes, ptose, mydriase, chémosis, perforation sclérale iatrogène, rarement exophtalmie réversible. De plus, en cas d’administration sous-conjonctivale: kératite (causé par le virus Herpex simplex) de même que perforations cornéennes lors de kératite.
- +Augmentation de la pression intraoculaire (glaucome), opacification du cristallin (cataracte). Aggravation des symptômes en cas d’ulcères cornéens, favorise les infections oculaires virales, fongiques et bactériennes, aggravation des infections cornéennes bactériennes, ptose, mydriase, chémosis, perforation sclérale iatrogène, rarement exophtalmie réversible. De plus, en cas d’administration sous-conjonctivale: kératite (causé par le virus Herpex simplex) de même que perforations cornéennes lors de kératite, choriorétinopathie.
-· Les protéines dont la synthèse est initiée incluent, entre autres, la lipocortine 1 qui inhibe la phospholipase A 2 , importante pour une réaction inflammatoire, et l’enzyme de conversion de l’angiotensine (ECA), intervenant dans le circuit de régulation de la pression artérielle.
-· Les protéines dont la synthèse est inhibée incluent différentes cytokines (p.ex. TNF-alpha, interleukine-2, interleukine-6) qui activent les cellules du système immunitaire, et diverses enzymes pro-inflammatoires (p.ex. collagénase). L’induction de la NO-synthétase de même que celle de la cyclo-oxygénase sont également inhibées.
- +·Les protéines dont la synthèse est initiée incluent, entre autres, la lipocortine 1 qui inhibe la phospholipase A2, importante pour une réaction inflammatoire, et l’enzyme de conversion de l’angiotensine (ECA), intervenant dans le circuit de régulation de la pression artérielle
- +·Les protéines dont la synthèse est inhibée incluent différentes cytokines (p.ex. TNF-alpha, interleukine-2, interleukine-6) qui activent les cellules du système immunitaire, et diverses enzymes pro-inflammatoires (p.ex. collagénase). L’induction de la NO-synthétase de même que celle de la cyclo-oxygénase sont également inhibées
-L’équivalence des doses anti-inflammatoires de dexaméthasone et d’autres glucocorticoïdes est la suivante: 1 mg de dexaméthasone = 6 mg de triamcinolone ou méthylprednisolone = 7.5 mg de prednisone ou prednisolone = 30 mg d’hydrocortisone = 35 mg de cortisone.
- +L’équivalence des doses anti-inflammatoires de dexaméthasone et d’autres glucocorticoïdes est la suivante: 1 mg de dexaméthasone = 6 mg de triamcinolone ou méthylprednisolone = 7.5 mg de prednisone ou prednisolone = 30 mg d’hydrocortisone = 35 mg de cortisone.
-Le volume de distribution de dexaméthasone est de 0.6 à 0.8 l/kg.
- +Le volume de distribution de dexaméthasone est de 0.6 à 0.8 l/kg.
-La demi-vie d’élimination plasmatique de la dexaméthasone est de 3 à 5 heures, mais sa demi-vie biologique est considérablement plus longue, atteignant 36 à 72 heures. Chez l’adulte, la clairance plasmatique est de 2 à 5 ml/min/kg. Après infiltration locale et injection intra-articulaire à la dose de 4 ou 8 mg, la dexaméthasone est totalement éliminée après 4 à 10 jours en moyenne en cas d’irrigation normale du site d’injection.
- +La demi-vie d’élimination plasmatique de la dexaméthasone est de 3 à 5 heures, mais sa demi-vie biologique est considérablement plus longue, atteignant 36 à 72 heures. Chez l’adulte, la clairance plasmatique est de 2 à 5 ml/min/kg. Après infiltration locale et injection intra-articulaire à la dose de 4 ou 8 mg, la dexaméthasone est totalement éliminée après 4 à 10 jours en moyenne en cas d’irrigation normale du site d’injection.
-Atteintes rénales: pas de modifications essentielles de l’élimination.
-Maladies hépatiques graves (p.ex. hépatite, cirrhose du foie), hypothyroïdie: prolongation de la demi-vie d’élimination.
-Grossesse: prolongation de la demi-vie d’élimination.
-Nouveau-nés: clairance plasmatique plus faible que chez enfants et les adultes.
- +·Atteintes rénales: pas de modifications essentielles de l’élimination
- +·Maladies hépatiques graves (p.ex. hépatite, cirrhose du foie), hypothyroïdie: prolongation de la demi-vie d’élimination
- +·Grossesse: prolongation de la demi-vie d’élimination
- +·Nouveau-nés: clairance plasmatique plus faible que chez enfants et les adultes
-Diminués: VS, temps de coagulation (Lee White), acide urique, testostérone, potassium, TSH, thyroxine, T 3 .
- +Diminués: VS, temps de coagulation (Lee White), acide urique, testostérone, potassium, TSH, thyroxine, T3.
-Fortecortin Inject 4/8/40 mg doit être appliqué si possible directement par voie intraveineuse ou injecté dans le tube de perfusion.
-Fortecortin Inject (4/8/40 mg de dexaméthasone-21-dihydrogène phosphate) est compatible avec les solutions pour perfusion suivantes (250 et 500 ml à chaque fois) et destiné à être utilisé dans les 24 heures: solution saline isotonique, solution de Ringer et solution de glucose à 5%.
- +Fortecortin Inject 4/8 mg doit être appliqué si possible directement par voie intraveineuse ou injecté dans le tube de perfusion.
- +Fortecortin Inject (4/8 mg de dexaméthasone-21-dihydrogène phosphate) est compatible avec les solutions pour perfusion suivantes (250 et 500 ml à chaque fois) et destiné à être utilisé dans les 24 heures: solution saline isotonique, solution de Ringer et solution de glucose à 5%.
-48669, 45017 (Swissmedic).
- +48669 (Swissmedic).
-Fortecortin Inject 40 mg: 1 seringue prête à l’emploi contenant 5 ml de solution injectable [B]
-Mai 2013.
- +Juin 2017.
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