122 Changements de l'information professionelle Tora-dol 30 mg |
-Solution injectable de Toradol: ampoules incolores à 30 mg de kétorolac trométamol pour 1 ml de solution.
-Comprimés pelliculés de Toradol: comprimés pelliculés ronds, blancs à 10 mg de kétorolac trométamol.
-Indications/possibilités d’emploi
- +Solution injectable de Tora-dol: ampoules incolores à 30 mg de kétorolac trométamol pour 1 ml de solution.
- +Comprimés pelliculés de Tora-dol: comprimés pelliculés ronds, blancs à 10 mg de kétorolac trométamol.
- +Indications/Possibilités d’emploi
-Les comprimés pelliculés de Tora-dol à 10 mg sont indiqués pour le traitement de brève durée des douleurs aiguës, par exemple après une intervention chirurgicale ainsi que lors de blessures accidentelles telles que foulures, entorses et déchirures. Tora-dol peut être également utilisé pour lutter contre des douleurs dorso-lombaires et musculaires d’apparition soudaine.
- +Les comprimés pelliculés de Tora-dol à 10 mg sont indiqués pour le traitement de brève durée des douleurs aiguës, par exemple après une intervention chirurgicale ainsi que lors de blessures accidentelles telles que foulures, entorses et déchirures. Tora-dol peut être également utilisé pour lutter contre des douleurs dorso-lombaires et musculaires d'apparition soudaine.
-Posologie/mode d’emploi
- +Posologie/Mode d’emploi
-La survenue d’effets indésirables peut être minimisée par l’utilisation de la dose minimale efficace pendant la durée la plus courte possible nécessaire au soulagement des symptômes (voir «Mises en garde et précautions»).
- +La survenue d'effets indésirables peut être minimisée par l'utilisation de la dose minimale efficace pendant la durée la plus courte possible nécessaire au soulagement des symptômes (voir «Mises en garde et précautions»).
-La posologie doit être adaptée, par principe, à l’intensité de la douleur.
- +La posologie doit être adaptée, par principe, à l'intensité de la douleur.
- Dose unitaire Dose journalière maximale
- + Dose unitaire Dose journa-lière maximale
-La dose journalière doit être administrée en plusieurs doses réparties sur la journée (jusqu’à 4 doses par jour, toutes les 6–8 heures). Ne pas dépasser la dose maximale recommandée. Le traitement par les ampoules est indiqué en présence d’états douloureux aigus et sévères; il ne devrait pas durer plus de 2 jours. Le contenu des ampoules doit être injecté par voie intramusculaire (i.m.) ou intraveineuse (injection i.v. lente pendant au moins 15 secondes).
- +La dose journalière doit être administrée en plusieurs doses réparties sur la journée (jusqu'à 4 doses par jour, toutes les 6–8 heures). Ne pas dépasser la dose maximale recommandée. Le traitement par les ampoules est indiqué en présence d'états douloureux aigus et sévères; il ne devrait pas durer plus de 2 jours. Le contenu des ampoules doit être injecté par voie intramusculaire (i.m.) ou intraveineuse (injection i.v. lente pendant au moins 15 secondes).
-Lorsqu’il est indiqué de passer des ampoules aux comprimés pelliculés, on peut associer les deux formes d’administration jusqu’à une dose journalière maximale de 90 mg.
- +Lorsqu'il est indiqué de passer des ampoules aux comprimés pelliculés, on peut associer les deux formes d'administration jusqu'à une dose journalière maximale de 90 mg.
-Tora-dol Ampoules: chez l’enfant, la solution injectable de Tora-dol doit être administrée à titre postopératoire par voie i.v. sous forme d’une injection unique, suivie si nécessaire de plusieurs injections i.v. en bolus. Chez l’enfant, le mode d’administration recommandé pour le kétorolac est l’injection i.v., car une injection i.m. est douloureuse.
- +Tora-dol Ampoules: chez l'enfant, la solution injectable de Tora-dol doit être administrée à titre postopératoire par voie i.v. sous forme d'une injection unique, suivie si nécessaire de plusieurs injections i.v. en bolus. Chez l'enfant, le mode d'administration recommandé pour le kétorolac est l'injection i.v., car une injection i.m. est douloureuse.
-Administration i.v. d’une dose de 0,5–1,0 mg/kg.
- +Administration i.v. d'une dose de 0,5–1,0 mg/kg.
-L’injection réitérée de bolus de Tora-dol chez l’enfant ne doit pas excéder 2 jours. L’utilisation de la solution injectable de Tora-dol chez l’enfant de moins de 2 ans n’est pas recommandée, car l’expérience dans ce groupe d’âge est limitée.
- +L'injection réitérée de bolus de Tora-dol chez l'enfant ne doit pas excéder 2 jours. L'utilisation de la solution injectable de Tora-dol chez l'enfant de moins de 2 ans n'est pas recommandée, car l'expérience dans ce groupe d'âge est limitée.
-L’utilisation des comprimés pelliculés de Tora-dol chez l’enfant n’est pas recommandée.
- +L'utilisation des comprimés pelliculés de Tora-dol chez l'enfant n'est pas recommandée.
-Utiliser la plus faible dose efficace possible de Tora-dol, l’élimination étant ralentie dans ce groupe d’âge.
- +Utiliser la plus faible dose efficace possible de Tora-dol, l'élimination étant ralentie dans ce groupe d'âge.
-En cas d’insuffisance rénale, il est recommandé de se conformer au schéma thérapeutique suivant:
- +En cas d'insuffisance rénale, il est recommandé de se conformer au schéma thérapeutique suivant:
-> 0,7 < 1,90 aucune
-0,2 - 0,7 1,90 - 5,00 50 %
- +>0,7 <1,90 aucune
- +0,2 - 0,7 1,90 - 5,00 50%
-Hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients selon la composition.
-Anamnèse de bronchospasme, d’urticaire ou de symptômes semblables à une manifestation allergique après prise d’acide acétylsalicylique ou d’autres antiinflammatoires non stéroïdiens.
-Troisième trimestre de la grossesse et pendant l’accouchement (cf. «Grossesse/Allaitement»).
-Ulcère gastrique ou duodénal actif pu antécédents d’ulcère gastrique ou duodénal, saignements gastro-intestinaux ou perforations.
- +Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients selon la composition.
- +Anamnèse de bronchospasme, d'urticaire ou de symptômes semblables à une manifestation allergique après prise d'acide acétylsalicylique ou d'autres antiinflammatoires non stéroïdiens.
- +Troisième trimestre de la grossesse et pendant l'accouchement (cf. «Grossesse/Allaitement»).
- +Ulcère gastrique ou duodénal actif pu antécédents d'ulcère gastrique ou duodénal, saignements gastro-intestinaux ou perforations.
-Patients avec insuffisance rénale moyenne à sévère (voir «Posologie/Mode d’emploi/Instructions spéciales pour la posologie») ainsi que patients avec hypovolémie et déshydratation.
- +Patients avec insuffisance rénale moyenne à sévère (voir «Posologie/Mode d'emploi/Instructions spéciales pour la posologie») ainsi que patients avec hypovolémie et déshydratation.
-Traitement de douleurs post-opératoires après un pontage coronarien (ou après utilisation d’une machine coeur-poumons).
-Risque hémorragique majeur après une intervention chirurgicale (p.ex. amygdalectomie) ou d’hémostase imparfaite, de troubles hématopoïétiques ou d’hémorragie cérébrale.
- +Traitement de douleurs post-opératoires après un pontage coronarien (ou après utilisation d'une machine coeur-poumons).
- +Risque hémorragique majeur après une intervention chirurgicale (p.ex. amygdalectomie) ou d'hémostase imparfaite, de troubles hématopoïétiques ou d'hémorragie cérébrale.
-L’association avec de l’acide acétylsalicylique ou d’autres anti-inflammatoires non stéroïdiens n’est pas autorisée.
-L’administration de Tora-dol à titre préventif avant une intervention chirurgicale est contre-indiquée, car ce produit inhibe l’agrégation plaquettaire. Elle est également contre-indiquée pendant l’intervention en raison du risque hémorragique accru (voir «Mises en garde et précautions»). L’administration péridurale ou intrathécale de la solution injectable de Tora-dol est contre-indiquée en raison de la teneur en alcool du produit.
-Ne pas utiliser la solution injectable de Tora-dol chez l’enfant de moins de 2 ans, faute d’expérience suffisante dans ce domaine.
-L’utilisation des comprimés pelliculés de Tora-dol chez l’enfant n’est pas recommandée.
- +L'association avec de l'acide acétylsalicylique ou d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens n'est pas autorisée.
- +L'administration de Tora-dol à titre préventif avant une intervention chirurgicale est contre-indiquée, car ce produit inhibe l'agrégation plaquettaire. Elle est également contre-indiquée pendant l'intervention en raison du risque hémorragique accru (voir «Mises en garde et précautions»). L'administration péridurale ou intrathécale de la solution injectable de Tora-dol est contre-indiquée en raison de la teneur en alcool du produit.
- +Ne pas utiliser la solution injectable de Tora-dol chez l'enfant de moins de 2 ans, faute d'expérience suffisante dans ce domaine.
- +L'utilisation des comprimés pelliculés de Tora-dol chez l'enfant n'est pas recommandée.
-Mise en garde générale pour l’utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens systémiques
-Des perforations, des ulcères et des saignements gastro-intestinaux peuvent être observés chez des patients traités avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), sélectifs de la COX-2 ou non. Ces effets indésirables peuvent survenir à tout moment, sans signes annonciateurs ni antécédents connus. Pour réduire ce risque, il convient donc d’administrer la dose efficace la plus faible, pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
- +Mise en garde générale pour l'utilisation d'anti-inflammatoires non stéroïdiens systémiques
- +Des perforations, des ulcères et des saignements gastro-intestinaux peuvent être observés chez des patients traités avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), sélectifs de la COX-2 ou non. Ces effets indésirables peuvent survenir à tout moment, sans signes annonciateurs ni antécédents connus. Pour réduire ce risque, il convient donc d'administrer la dose efficace la plus faible, pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
-Des études contrôlées contre placebo ont mis en évidence pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 une augmentation du risque de complications cardio-vasculaires et cérébrovasculaires thrombotiques. Mais on ignore pour l’heure si ce risque est en corrélation directe avec la sélectivité COX-1/COX-2 des AINS. Etant donné qu’aucune donnée issue d’études cliniques comparables n’est actuellement disponible pour kétorolac à la posologie maximale et dans le cadre d’un traitement à long terme, une augmentation analogue du risque ne peut être exclure. Par conséquent, jusqu’à ce que de telles données soient disponibles, kétorolac ne doit être administré qu’après évaluation minutieuse du rapport bénéfice/risque en cas de cardiopathie ischémique avérée, de maladies cérébrovasculaires, d’artériopathies obstructives périphériques ou aux patients présentant d’importants facteurs de risques cardiovasculaires (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme). Tenant compte de ce risque, il convient d’administrer la dose efficace la plus faible, pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
-Les effets rénaux des AINS incluent la rétention hydrique avec oedèmes et/ou hypertension artérielle. Chez les patients présentant des troubles de la fonction cardiaque et d’autres états qui les prédisposent à la rétention hydrique, kétorolac ne devrait donc être utilisé qu’avec prudence. Celle-ci est également de rigueur chez les patients qui prennent simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine et en cas de risque élevé d’hypovolémie.
- +Des études contrôlées contre placebo ont mis en évidence pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 une augmentation du risque de complications cardio-vasculaires et cérébrovasculaires thrombotiques. Mais on ignore pour l'heure si ce risque est en corrélation directe avec la sélectivité COX-1/COX-2 des AINS. Etant donné qu'aucune donnée issue d'études cliniques comparables n'est actuellement disponible pour kétorolac à la posologie maximale et dans le cadre d'un traitement à long terme, une augmentation analogue du risque ne peut être exclure. Par conséquent, jusqu'à ce que de telles données soient disponibles, kétorolac ne doit être administré qu'après évaluation minutieuse du rapport bénéfice/risque en cas de cardiopathie ischémique avérée, de maladies cérébrovasculaires, d'artériopathies obstructives périphériques ou aux patients présentant d'importants facteurs de risques cardiovasculaires (p.ex. hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme). Tenant compte de ce risque, il convient d'administrer la dose efficace la plus faible, pendant une durée de traitement aussi courte que possible.
- +Les effets rénaux des AINS incluent la rétention hydrique avec oedèmes et/ou hypertension artérielle. Chez les patients présentant des troubles de la fonction cardiaque et d'autres états qui les prédisposent à la rétention hydrique, kétorolac ne devrait donc être utilisé qu'avec prudence. Celle-ci est également de rigueur chez les patients qui prennent simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine et en cas de risque élevé d'hypovolémie.
-De même qu’avec d’autres médicaments inhibant la synthèse des prostaglandines, on a constaté une augmentation de l’urémie et du taux de créatinine.
-Tora-dol étant presque exclusivement éliminé par les reins, son administration aux patients présentant une atteinte manifeste de la fonction rénale est contre-indiquée, sauf si le bénéfice potentiel justifie le risque encouru par le patient. Il faut alors réduire la posologie et contrôler régulièrement le bilan rénal. Chez les patients qui présentent une diminution de la volémie à la suite d’une perte sanguine ou d’une déshydratation importante, la production rénale de prostaglandines peut être nécessaire au maintien de la perfusion rénale et de la vitesse de filtration glomérulaire. Dans de tels cas, des inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines tel que Tora-dol peuvent réduire encore plus le débit sanguin rénal. Il est recommandé de procéder à un contrôle rigoureux du débit rénal, de l’urée et de la créatinine sériques jusqu’au rétablissement du volume normal.
-Comme c’est le cas avec d’autres médicaments inhibant la synthèse des prostaglandines, l’utilisation de Tora-dol peut entraîner des altérations rénales telles que glomérulonéphrite, néphrite interstitielle, nécrose papillaire, syndrome néphrotique et insuffisance rénale aiguë. D’autres affections rénales sont également possibles.
- +De même qu'avec d'autres médicaments inhibant la synthèse des prostaglandines, on a constaté une augmentation de l'urémie et du taux de créatinine.
- +Tora-dol étant presque exclusivement éliminé par les reins, son administration aux patients présentant une atteinte manifeste de la fonction rénale est contre-indiquée, sauf si le bénéfice potentiel justifie le risque encouru par le patient. Il faut alors réduire la posologie et contrôler régulièrement le bilan rénal. Chez les patients qui présentent une diminution de la volémie à la suite d'une perte sanguine ou d'une déshydratation importante, la production rénale de prostaglandines peut être nécessaire au maintien de la perfusion rénale et de la vitesse de filtration glomérulaire. Dans de tels cas, des inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines tel que Tora-dol peuvent réduire encore plus le débit sanguin rénal. Il est recommandé de procéder à un contrôle rigoureux du débit rénal, de l'urée et de la créatinine sériques jusqu'au rétablissement du volume normal.
- +Comme c'est le cas avec d'autres médicaments inhibant la synthèse des prostaglandines, l'utilisation de Tora-dol peut entraîner des altérations rénales telles que glomérulonéphrite, néphrite interstitielle, nécrose papillaire, syndrome néphrotique et insuffisance rénale aiguë. D'autres affections rénales sont également possibles.
-Tora-dol inhibe l’agrégation plaquettaire et peut prolonger le temps de saignement sans toutefois affecter le nombre de plaquettes, le temps de prothrombine ou le temps partiel de thromboplastine.
-L’inhibition de l’agrégation plaquettaire est réversible après l’arrêt de Tora-dol. En cas d’utilisation de Tora-dol, on surveillera étroitement les patients qui ont des troubles de la coagulation ou ceux qui ont été traités par des médicaments servant à contrecarrer une hémostase. La plus grande prudence est aussi de mise dans l’utilisation de Tora-dol en neurochirurgie, car un allongement du temps de saignement peut être la cause de problèmes.
- +Tora-dol inhibe l'agrégation plaquettaire et peut prolonger le temps de saignement sans toutefois affecter le nombre de plaquettes, le temps de prothrombine ou le temps partiel de thromboplastine.
- +L'inhibition de l'agrégation plaquettaire est réversible après l'arrêt de Tora-dol. En cas d'utilisation de Tora-dol, on surveillera étroitement les patients qui ont des troubles de la coagulation ou ceux qui ont été traités par des médicaments servant à contrecarrer une hémostase. La plus grande prudence est aussi de mise dans l'utilisation de Tora-dol en neurochirurgie, car un allongement du temps de saignement peut être la cause de problèmes.
-Si des symptômes d’une affection hépatique se manifestent ou si des effets secondaires systémiques (éosinophilie, éruption cutanée étendue, etc.) surviennent, on devra interrompre le traitement par Tora-dol.
-Association avec d’autres AINS
-On renoncera à utiliser Tora-dol en même temps que d’autres anti-inflammatoires non stéroïdiens de crainte d’éventuels effets secondaires supplémentaires.
- +Si des symptômes d'une affection hépatique se manifestent ou si des effets secondaires systémiques (éosinophilie, éruption cutanée étendue, etc.) surviennent, on devra interrompre le traitement par Tora-dol.
- +Association avec d'autres AINS
- +On renoncera à utiliser Tora-dol en même temps que d'autres anti-inflammatoires non stéroïdiens de crainte d'éventuels effets secondaires supplémentaires.
-Tora-dol n’a pas de potentiel de dépendance. Après arrêt brutal de Tora-dol, aucune manifestation de sevrage n’a été observée.
- +Tora-dol n'a pas de potentiel de dépendance. Après arrêt brutal de Tora-dol, aucune manifestation de sevrage n'a été observée.
-Les AINS peuvent augmenter les effets des anticoagulants, tels que la warfarine. Tora-dol inhibe l’agrégation plaquettaire, réduit les concentrations en thromboxane et prolonge le temps de saignement. Contrairement aux effets prolongés de l’aspirine, la fonction plaquettaire revient à la normale dans les 24 à 48 heures après l’arrêt du traitement par Tora-dol.
- +Les AINS peuvent augmenter les effets des anticoagulants, tels que la warfarine. Tora-dol inhibe l'agrégation plaquettaire, réduit les concentrations en thromboxane et prolonge le temps de saignement. Contrairement aux effets prolongés de l'aspirine, la fonction plaquettaire revient à la normale dans les 24 à 48 heures après l'arrêt du traitement par Tora-dol.
-Après traitement préalable par Tora-dol, suivi immédiatement de l’administration d’une dose unique de 25 mg de warfarine, on n’a constaté chez l’homme aucune modification significative de la pharmacocinétique ou de la pharmacodynamique de l’énantiomère de la warfarine.
-L’emploi concomitant d’héparine n’a entraîné aucun effet pharmacodynamique sur les temps de saignement ou de céphaline-kaolin habituellement constatés.
-In vitro, Tora-dol ne diminue que très légèrement (de 99,5 à 99,3%) la liaison de la warfarine aux protéines plasmatiques. Aux concentrations thérapeutiques de salicylate (300 mg/ml), la liaison de Tora-dol in vitro a diminué de 99,2% à 97,5%. Aux concentrations thérapeutiques, la digoxine, la warfarine, l’ibuprofène, le naproxène, le piroxicam, le paracétamol, la phénytoïne et le tolbutamide n’ont pas modifié la liaison de Tora-dol aux protéines.
-Etant donné que Tora-dol n’est présent dans le plasma qu’à de faibles concentrations, il est peu vraisemblable qu’il évince notablement d’autres médicaments de leurs sites de fixation aux protéines.
-Sur la base des études menées chez l’animal et chez l’homme, il n’y a pas lieu de s’attendre à ce que Tora-dol modifie la pharmacocinétique d’autres médicaments par induction enzymatique ou par un mécanisme inhibiteur.
-L’emploi simultané de Tora-dol et de probénécide entraîne une diminution de la clairance du kétorolac et, consécutivement, une élévation de la concentration plasmatique du kétorolac ainsi qu’un allongement de sa demi-vie d’élimination terminale. Tora-dol réduit d’environ 20% la réaction diurétique au furosémide chez des personnes à volémie normale. L’administration simultanée de kétorolac et d’inhibiteurs de l’ECA peut augmenter le risque de troubles de la fonction rénale.
-L’expérience acquise avec d’autres inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines ne permet pas d’écarter la possibilité d’une inhibition de la clairance rénale du lithium; l’élimination de méthotrexate peut également être diminuée.
-Les AINS peuvent réduire l’effet des diurétiques et des médicaments antihypertenseurs. Lors de l’administration concomitante d’un anti-inflammatoire non stéroïdien et d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine ou d’un antagoniste des récepteurs de l’angiotensine II, le risque d’insuffisance rénale aiguë, habituellement réversible, peut être augmenté chez certains patients dont la fonction rénale est compromise (par ex., patients déshydratés ou personnes âgées). Les patients recevront une posologie adéquate et la fonction rénale sera surveillée après initiation d’un traitement en association et périodiquement par après.
- +Après traitement préalable par Tora-dol, suivi immédiatement de l'administration d'une dose unique de 25 mg de warfarine, on n'a constaté chez l'homme aucune modification significative de la pharmacocinétique ou de la pharmacodynamique de l'énantiomère de la warfarine.
- +L'emploi concomitant d'héparine n'a entraîné aucun effet pharmacodynamique sur les temps de saignement ou de céphaline-kaolin habituellement constatés.
- +In vitro, Tora-dol ne diminue que très légèrement (de 99,5 à 99,3%) la liaison de la warfarine aux protéines plasmatiques. Aux concentrations thérapeutiques de salicylate (300 mg/ml), la liaison de Tora-dol in vitro a diminué de 99,2% à 97,5%. Aux concentrations thérapeutiques, la digoxine, la warfarine, l'ibuprofène, le naproxène, le piroxicam, le paracétamol, la phénytoïne et le tolbutamide n'ont pas modifié la liaison de Tora-dol aux protéines.
- +Etant donné que Tora-dol n'est présent dans le plasma qu'à de faibles concentrations, il est peu vraisemblable qu'il évince notablement d'autres médicaments de leurs sites de fixation aux protéines.
- +Sur la base des études menées chez l'animal et chez l'homme, il n'y a pas lieu de s'attendre à ce que Tora-dol modifie la pharmacocinétique d'autres médicaments par induction enzymatique ou par un mécanisme inhibiteur.
- +L'emploi simultané de Tora-dol et de probénécide entraîne une diminution de la clairance du kétorolac et, consécutivement, une élévation de la concentration plasmatique du kétorolac ainsi qu'un allongement de sa demi-vie d'élimination terminale. Tora-dol réduit d'environ 20% la réaction diurétique au furosémide chez des personnes à volémie normale. L'administration simultanée de kétorolac et d'inhibiteurs de l'ECA peut augmenter le risque de troubles de la fonction rénale.
- +L'expérience acquise avec d'autres inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines ne permet pas d'écarter la possibilité d'une inhibition de la clairance rénale du lithium; l'élimination de méthotrexate peut également être diminuée.
- +Les AINS peuvent réduire l'effet des diurétiques et des médicaments antihypertenseurs. Lors de l'administration concomitante d'un anti-inflammatoire non stéroïdien et d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion de l'angiotensine ou d'un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II, le risque d'insuffisance rénale aiguë, habituellement réversible, peut être augmenté chez certains patients dont la fonction rénale est compromise (par ex., patients déshydratés ou personnes âgées). Les patients recevront une posologie adéquate et la fonction rénale sera surveillée après initiation d'un traitement en association et périodiquement par après.
-Grossesse, allaitement
- +Grossesse/Allaitement
-L’inhibition de la synthèse de la prostaglandine peut avoir une incidence négative sur la grossesse ainsi que sur le développement embryonnaire et foetal. Selon certaines données tirées d’études épidémiologiques, l’administration d’inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine au début de la grossesse accroît en effet le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de gastroschisis. L’on présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement.
-Chez les animaux, il est prouvé que l’administration d’inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine entraîne une augmentation des pertes pré- et postimplantatoires ainsi que de la létalité embryo-foetale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, cardiovasculaires notamment, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse de la prostaglandine pendant la phase de l’organogenèse.
-Pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, kétorolac ne devrait être administré qu’en cas de nécessité absolue. Si kétorolac est donné à une femme qui envisage une grossesse ou qui en est au premier ou au deuxième trimestre de sa grossesse, la dose devrait être aussi faible et la durée du traitement aussi courte que possible.
- +L'inhibition de la synthèse de la prostaglandine peut avoir une incidence négative sur la grossesse ainsi que sur le développement embryonnaire et foetal. Selon certaines données tirées d'études épidémiologiques, l'administration d'inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine au début de la grossesse accroît en effet le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de gastroschisis. L'on présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement.
- +Chez les animaux, il est prouvé que l'administration d'inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires ainsi que de la létalité embryo-foetale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, cardiovasculaires notamment, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse de la prostaglandine pendant la phase de l'organogenèse.
- +Pendant les premier et deuxième trimestres de la grossesse, kétorolac ne devrait être administré qu'en cas de nécessité absolue. Si kétorolac est donné à une femme qui envisage une grossesse ou qui en est au premier ou au deuxième trimestre de sa grossesse, la dose devrait être aussi faible et la durée du traitement aussi courte que possible.
-atteintes rénales allant jusqu’à l’insuffisance rénale et l’oligohydramniose.
-Exposer la mère et l’enfant aux risques suivants
- +atteintes rénales allant jusqu'à l'insuffisance rénale et l'oligohydramniose.
- +Exposer la mère et l'enfant aux risques suivants
-inhibition des contractions utérines retardant ou allongeant l’accouchement.
- +inhibition des contractions utérines retardant ou allongeant l'accouchement.
-Les AINS passent dans le lait maternel. Par mesure de précaution, kétorolac ne doit donc pas être administré aux femmes qui allaitent. Si le traitement s’avère indispensable, il convient alors de nourrir l’enfant au biberon.
- +Les AINS passent dans le lait maternel. Par mesure de précaution, kétorolac ne doit donc pas être administré aux femmes qui allaitent. Si le traitement s'avère indispensable, il convient alors de nourrir l'enfant au biberon.
-L’utilisation de kétorolac peut avoir un impact négatif sur la fécondité féminine et n’est dès lors pas recommandé aux femmes qui envisagent une grossesse. L’arrêt des traitements à base de kétorolac devrait également être envisagé chez les femmes qui ne parviennent pas à débuter une grossesse ou qui subissent des tests de fécondité.
- +L'utilisation de kétorolac peut avoir un impact négatif sur la fécondité féminine et n'est dès lors pas recommandé aux femmes qui envisagent une grossesse. L'arrêt des traitements à base de kétorolac devrait également être envisagé chez les femmes qui ne parviennent pas à débuter une grossesse ou qui subissent des tests de fécondité.
-Très fréquemment (>1/10), fréquemment (>1/100, <1/10), occasionnellement (>1/1000, <1/100), rarement (>1/10’000, <1/1000), très rarement (<1/10’000).
- +Très fréquemment (>1/10), fréquemment (>1/100, <1/10), occasionnellement (>1/1000, <1/100), rarement (>1/10'000, <1/1000), très rarement (<1/10'000).
-Des études cliniques et des données épidémiologiques suggèrent que l’utilisation d’inhibiteurs de la COX-2 et de certains anti-inflammatoires non stéroïdiens (surtout à doses élevées) peut être associée à une augmentation du risque d’événements thrombotiques artériels (par exemple, infarctus du myocarde ou apoplexie). L’administration du kétorolac n’a pas entrainé d’augmentation des accidents thrombotiques comme les infarctus, mais on ne dispose pas encore de résultats suffisants permettant d’exclure un tel risque avec le kétorolac.
- +Des études cliniques et des données épidémiologiques suggèrent que l'utilisation d'inhibiteurs de la COX-2 et de certains anti-inflammatoires non stéroïdiens (surtout à doses élevées) peut être associée à une augmentation du risque d'événements thrombotiques artériels (par exemple, infarctus du myocarde ou apoplexie). L'administration du kétorolac n'a pas entrainé d'augmentation des accidents thrombotiques comme les infarctus, mais on ne dispose pas encore de résultats suffisants permettant d'exclure un tel risque avec le kétorolac.
-Occasionnellement: troubles de l’activité onirique, troubles de la pensée, anxiété, dépression, sécheresse buccale, euphorie, soif excessive, hallucinations, hyperkinésie, difficultés de concentration, troubles du sommeil, myalgies, nervosité, paresthésies.
- +Occasionnellement: troubles de l'activité onirique, troubles de la pensée, anxiété, dépression, sécheresse buccale, euphorie, soif excessive, hallucinations, hyperkinésie, difficultés de concentration, troubles du sommeil, myalgies, nervosité, paresthésies.
-Troubles de l’oreille et de l’équilibre
-Occasionnellement: bourdonnements d’oreille, perte de l’audition.
- +Troubles de l'oreille et de l'équilibre
- +Occasionnellement: bourdonnements d'oreille, perte de l'audition.
-Occasionnellement: ulcères gastro-intestinaux, perte d’appétit, reflux gastro-oesophagien, gastrites, rectorragies.
- +Occasionnellement: ulcères gastro-intestinaux, perte d'appétit, reflux gastro-oesophagien, gastrites, rectorragies.
-Rarement: insuffisance rénale aiguë, douleur au niveau du flanc (avec ou sans hématurie ou azotémie), syndrome urémique-hémolytique, hyperkaliémie, hyponatrémie, néphrite interstitielle, syndrome néphrotique, augmentation des taux sériques d’urée et de créatinine.
-Comme pour d’autres médicaments inhibant la synthèse rénale des prostaglandines, la prise d’une dose de Tora-dol peut être suivie de signes évoquant un trouble de la fonction rénale, notamment une augmentation des taux de créatinine et de potassium.
- +Rarement: insuffisance rénale aiguë, douleur au niveau du flanc (avec ou sans hématurie ou azotémie), syndrome urémique-hémolytique, hyperkaliémie, hyponatrémie, néphrite interstitielle, syndrome néphrotique, augmentation des taux sériques d'urée et de créatinine.
- +Comme pour d'autres médicaments inhibant la synthèse rénale des prostaglandines, la prise d'une dose de Tora-dol peut être suivie de signes évoquant un trouble de la fonction rénale, notamment une augmentation des taux de créatinine et de potassium.
-Troubles généraux et accidents liés au site d’administration
-Fréquemment: oedèmes, douleurs au point d’injection.
- +Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
- +Fréquemment: oedèmes, douleurs au point d'injection.
-Très rarement: réactions d’hypersensibilité: anaphylaxie, bronchospasme, rougeur cutanée, exanthème, hypotension, oedème laryngé, oedème de Quincke, réactions anaphylactoïdes. Les réactions anaphylactoïdes peuvent – tout comme l’anaphylaxie – avoir une issue fatale.
- +Très rarement: réactions d'hypersensibilité: anaphylaxie, bronchospasme, rougeur cutanée, exanthème, hypotension, oedème laryngé, oedème de Quincke, réactions anaphylactoïdes. Les réactions anaphylactoïdes peuvent – tout comme l'anaphylaxie – avoir une issue fatale.
-Affections gastrointestinales: aggravation d’une colite et de la maladie de Crohn.
- +Affections gastro-intestinales: aggravation d'une colite et de la maladie de Crohn.
-Des saignements gastro-intestinaux peuvent survenir. Hypertension, insuffisance rénale aiguë, dépression respiratoire et coma peuvent survenir après ingestion d’AINS, mais sont rares.
-Des réactions anaphylactoïdes ont été rapportées après ingestion de doses thérapeutiques d’AINS et peuvent survenir suite à un surdosage.
- +Des saignements gastro-intestinaux peuvent survenir. Hypertension, insuffisance rénale aiguë, dépression respiratoire et coma peuvent survenir après ingestion d'AINS, mais sont rares.
- +Des réactions anaphylactoïdes ont été rapportées après ingestion de doses thérapeutiques d'AINS et peuvent survenir suite à un surdosage.
-En cas de surdosage d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, on administrera aux patients un traitement symptomatique et de soutien. Il n’existe pas d’antidotes spécifiques. La dialyse ne permet pas d’eliminer notablement le kétorolac de la circulation sanguine.
-En cas de besoin, il faut pratiquer immédiatement un lavage gastrique ou administrer du charbon actif pour réduire l’absorption du produit.
- +En cas de surdosage d'anti-inflammatoires non stéroïdiens, on administrera aux patients un traitement symptomatique et de soutien. Il n'existe pas d'antidotes spécifiques. La dialyse ne permet pas d'eliminer notablement le kétorolac de la circulation sanguine.
- +En cas de besoin, il faut pratiquer immédiatement un lavage gastrique ou administrer du charbon actif pour réduire l'absorption du produit.
-Mécanisme d’action
- +Mécanisme d'action
-Tora-dol est indiqué dans le traitement d'états douloureux aigus. Son mécanisme d'action repose pour l’essentiel sur l'inhibition de la biosynthèse des prostaglandines.
- +Tora-dol est indiqué dans le traitement d'états douloureux aigus. Son mécanisme d'action repose pour l'essentiel sur l'inhibition de la biosynthèse des prostaglandines.
-Tora-dol est rapidement et totalement (100%) absorbé après administration aussi bien intramusculaire qu’orale.
- +Tora-dol est rapidement et totalement (100%) absorbé après administration aussi bien intramusculaire qu'orale.
-La prise d’aliments compromet la vitesse d’absorption, sans toutefois modifier la quantité de principe actif absorbée, tandis que les anti-acides n’influent pas sur l’absorption de Tora-dol.
-La pharmacocinétique de Tora-dol après administration de doses uniques ou répétées se déroule de façon linéaire chez l’homme. Les concentrations plasmatiques à l’état d’équilibre sont obtenues après un jour lorsque le produit est administré régulièrement à 6 heures d’intervalle.
- +La prise d'aliments compromet la vitesse d'absorption, sans toutefois modifier la quantité de principe actif absorbée, tandis que les anti-acides n'influent pas sur l'absorption de Tora-dol.
- +La pharmacocinétique de Tora-dol après administration de doses uniques ou répétées se déroule de façon linéaire chez l'homme. Les concentrations plasmatiques à l'état d'équilibre sont obtenues après un jour lorsque le produit est administré régulièrement à 6 heures d'intervalle.
-Le volume de distribution après administration d’une dose intraveineuse unique est de 0,25 l/kg.
- +Le volume de distribution après administration d'une dose intraveineuse unique est de 0,25 l/kg.
-L’élimination de Tora-dol et de ses métabolites se fait principalement par les reins (91,4%), le reste étant retrouvé dans les fèces.
-Le principe actif est éliminé sous forme inchangée dans l’urine à raison de 60%, le reste étant métabolisé (conjugués pour env. 30% et p-hydroxykétorolac pour env. 10%).
-Après administration parentérale d’une dose unique de 30 mg à de jeunes adultes, la demi-vie moyenne est de respectivement 5,3 heures (voie i.m.) et 5,1 heures (voie i.v.); après administration orale, elle est de 5,4 heures.
-Chez le patient âgé, l’élimination est retardée. La demi-vie terminale est de 7 heures après administration i.m. et de 6,2 heures après administration orale.
- +L'élimination de Tora-dol et de ses métabolites se fait principalement par les reins (91,4%), le reste étant retrouvé dans les fèces.
- +Le principe actif est éliminé sous forme inchangée dans l'urine à raison de 60%, le reste étant métabolisé (conjugués pour env. 30% et p-hydroxy-kétorolac pour env. 10%).
- +Après administration parentérale d'une dose unique de 30 mg à de jeunes adultes, la demi-vie moyenne est de respectivement 5,3 heures (voie i.m.) et 5,1 heures (voie i.v.); après administration orale, elle est de 5,4 heures.
- +Chez le patient âgé, l'élimination est retardée. La demi-vie terminale est de 7 heures après administration i.m. et de 6,2 heures après administration orale.
-La pharmacocinétique de Tora-dol chez l’enfant n’est pas sensiblement différente de celle observée chez l’adulte. La clairance plasmatique et le volume de distribution du kétorolac diminuent avec l’âge; ils peuvent être deux à trois fois plus élevées chez des jeunes enfants par rapport à l’adulte, sans modification importante de la demi-vie d’élimination.
- +La pharmacocinétique de Tora-dol chez l'enfant n'est pas sensiblement différente de celle observée chez l'adulte. La clairance plasmatique et le volume de distribution du kétorolac diminuent avec l'âge; ils peuvent être deux à trois fois plus élevées chez des jeunes enfants par rapport à l'adulte, sans modification importante de la demi-vie d'élimination.
-En cas d’atteinte rénale, la clairance de Tora-dol n’atteint plus que la moitié environ des valeurs normales (voir tableau).
-En cas d’insuffisance hépatique (cirrhose), les modifications des paramètres pharmacocinétiques sont sans importance pour l’utilisation clinique (voir tableau).
-Influence de l’âge ainsi que des fonctions hépatique et rénale sur la clairance et la demi-vie terminale
-(Valeurs obtenues après administration i.m. d’une dose unique de 30 mg de kétorolac trométamol)
- +En cas d'atteinte rénale, la clairance de Tora-dol n'atteint plus que la moitié environ des valeurs normales (voir tableau).
- +En cas d'insuffisance hépatique (cirrhose), les modifications des paramètres pharmacocinétiques sont sans importance pour l'utilisation clinique (voir tableau).
- +Influence de l'âge ainsi que des fonctions hépatique et rénale sur la clairance et la demi-vie terminale
- +(Valeurs obtenues après administration i.m. d'une dose unique de 30 mg de kétorolac trométamol)
-(Valeurs obtenues après administration i.v. d’une dose unique de 0,5 mg/kg)
- Clairance plasmatique (l/h/kg) Demi-vie d’élimination (heures)
- +(Valeurs obtenues après administration i.v. d'une dose unique de 0,5 mg/kg)
- + Clairance plasmatique (l/h/kg) Demi-vie d'élimination (heures)
-Une étude de 18 mois menée chez la souris ainsi qu’une étude de 24 mois menée chez le rat n’ont fourni aucun indice de cancérogénicité de Tora-dol.
- +Une étude de 18 mois menée chez la souris ainsi qu'une étude de 24 mois menée chez le rat n'ont fourni aucun indice de cancérogénicité de Tora-dol.
-Le kétorolac trométamol ne s’est avéré mutagène ni dans le test d’Ames, ni lors de la synthèse non programmée et de la réparation d’ADN, ni dans des tests de mutation directe. Le kétorolac trométamol n’a entraîné in vivo, chez la souris, aucune cassure chromosomique dans le test du micro-noyau. A des concentrations supérieures ou égales à 1590 mg/ml de kétorolac trométamol, la fréquence des aberrations chromosomiques dans des cellules ovariennes de hamsters chinois a augmenté.
- +Le kétorolac trométamol ne s'est avéré mutagène ni dans le test d'Ames, ni lors de la synthèse non programmée et de la réparation d'ADN, ni dans des tests de mutation directe. Le kétorolac trométamol n'a entraîné in vivo, chez la souris, aucune cassure chromosomique dans le test du micro-noyau. A des concentrations supérieures ou égales à 1590 mg/ml de kétorolac trométamol, la fréquence des aberrations chromosomiques dans des cellules ovariennes de hamsters chinois a augmenté.
-Administré à des doses de 9 mg/kg (0,9 fois l’AUC chez l’homme) et de 16 mg/kg (1,6 fois l’AUC chez l’homme), le kétorolac trométamol n’a compromis la fertilité ni chez le rat mâle ni chez le rat femelle.
- +Administré à des doses de 9 mg/kg (0,9 fois l'AUC chez l'homme) et de 16 mg/kg (1,6 fois l'AUC chez l'homme), le kétorolac trométamol n'a compromis la fertilité ni chez le rat mâle ni chez le rat femelle.
-La solution injectable de Tora-dol ne doit pas être mélangée à raison de petits volumes (dans une seringue, par exemple) à du sulfate de morphine, du chlorhydrate de péthidine, de prométhazine ou d’hydroxyzine; cela provoquerait une précipitation du kétorolac dans la solution. La solution injectable de Tora-dol est compatible avec un soluté physiologique de chlorure de sodium, du glucose à 5%, un soluté de Ringer, un soluté de Ringer-lactate ainsi que des solutions plasmalyte. En cas de mélange avec des solutions i.v. telles qu’elles sont contenues dans les poches et flacons standards des nécessaires pour perfusion, Tora-dol est compatible avec l’aminophylline, le chlorhydrate de lidocaïne, le sulfate de morphine, le chlorhydrate de mépéridine, le chlorhydrate de dopamine, l’insuline humaine normale et l’héparinate de sodium.
- +La solution injectable de Tora-dol ne doit pas être mélangée à raison de petits volumes (dans une seringue, par exemple) à du sulfate de morphine, du chlorhydrate de péthidine, de prométhazine ou d'hydroxyzine; cela provoquerait une précipitation du kétorolac dans la solution. La solution injectable de Tora-dol est compatible avec un soluté physiologique de chlorure de sodium, du glucose à 5%, un soluté de Ringer, un soluté de Ringer-lactate ainsi que des solutions plasmalyte. En cas de mélange avec des solutions i.v. telles qu'elles sont contenues dans les poches et flacons standards des nécessaires pour perfusion, Tora-dol est compatible avec l'aminophylline, le chlorhydrate de lidocaïne, le sulfate de morphine, le chlorhydrate de mépéridine, le chlorhydrate de dopamine, l'insuline humaine normale et l'héparinate de sodium.
-Ampoules: ne pas conserver au-dessus de 30 °C et ne pas congeler. Conserver le récipient dans l’emballage en carton et le tenir à l’abri de la lumière.
-Comprimés pelliculés: ne pas conserver au-dessus de 30 °C. Conserver dans l’emballage original, à l’abri de la lumière et de humidité.
- +Ampoules: ne pas conserver au-dessus de 30 °C et ne pas congeler. Conserver le récipient dans l'emballage en carton et le tenir à l'abri de la lumière.
- +Comprimés pelliculés: ne pas conserver au-dessus de 30 °C. Conserver dans l'emballage original, à l'abri de la lumière et de humidité.
-Les ampoules de Tora-dol contiennent 100 mg d’éthanol pour 1 ml.
- +Les ampoules de Tora-dol contiennent 100 mg d'éthanol pour 1 ml.
-Toradol cpr pell 10 mg 10. (B)
- +Tora-dol cpr pell 10 mg 10. (B)
-Pro Farma AG, Baar
- +Recordati AG, 6340 Baar.
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