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Accueil - Information professionnelle sur Retrovir AZT 250 mg - Changements - 04.03.2017
12 Changements de l'information professionelle Retrovir AZT 250 mg
  • -Acidose lactique et hépatomégalie: Des cas d’acidose lactique (avec ou sans hépatite), associée en général à une hépatomégalie et une stéatose hépatique, ont été signalés suite à l’administration d’analogues nucléosidiques, dont Retrovir AZT. Ses symptômes précoces (hyperlactatémie symptomatique) comportent: troubles digestifs bénins (nausées, vomissements et douleurs abdominales), malaises non spécifiques, inappétence, perte de poids, troubles respiratoires (respiration accélérée ou/et plus profonde) ou symptômes neurologiques (dont la faiblesse motrice). L’acidose lactique est liée à un taux de mortalité élevé et peut être associée à une pancréatite, une insuffisance hépatique, une insuffisance rénale ou à une paralysie motrice. Le traitement à base d’analogues nucléosidiques doit être arrêté lors d’une hyperlactatémie symptomatique et d’une acidose métabolique/lactique, d’une hépatomégalie progressive ou d’une élévation rapide des taux de transaminases. Les analogues nucléosidiques seront utilisés avec prudence chez tous les patients, mais notamment chez les femmes obèses, présentant une hépatomégalie, une hépatite ou d’autres facteurs de risque d’une affection et d’une stéatose hépatiques (certains médicaments et alcool compris). Les malades souffrant d’une hépatite C concomitante et traités par l’interféron α et la ribavirine sont exposés à un risque particulier. Les patients présentant un risque élevé doivent faire l’objet d’une surveillance étroite. En général, l’acidose lactique s’est déclarée après plusieurs mois de traitement.
  • +Acidose lactique et hépatomégalie: Des cas d’acidose lactique, associée en général à une hépatomégalie et une stéatose hépatique, ont été signalés suite à l’administration d’analogues nucléosidiques, dont Retrovir AZT. Ses symptômes précoces (hyperlactatémie symptomatique) comportent: troubles digestifs bénins (nausées, vomissements et douleurs abdominales), malaises non spécifiques, inappétence, perte de poids, troubles respiratoires (respiration accélérée ou/et plus profonde) ou symptômes neurologiques (dont la faiblesse motrice). L’acidose lactique est liée à un taux de mortalité élevé et peut être associée à une pancréatite, une insuffisance hépatique, une insuffisance rénale ou à une paralysie motrice. Le traitement à base d’analogues nucléosidiques doit être arrêté lors d’une hyperlactatémie symptomatique et d’une acidose métabolique/lactique (avec ou sans hépatite), d’une hépatomégalie progressive ou d’une élévation rapide des taux de transaminases. Les analogues nucléosidiques seront utilisés avec prudence chez tous les patients, mais notamment chez les femmes obèses, présentant une hépatomégalie, une hépatite ou d’autres facteurs de risque d’une affection et d’une stéatose hépatiques (certains médicaments et alcool compris). Les malades souffrant d’une hépatite C concomitante et traités par l’interféron α et la ribavirine sont exposés à un risque particulier. Les patients présentant un risque élevé doivent faire l’objet d’une surveillance étroite. En général, l’acidose lactique s’est déclarée après plusieurs mois de traitement.
  • -Lipodystrophie: Chez certains patients traités par une association d’antirétroviraux, on a décrit une redistribution/accumulation de la graisse corporelle, avec obésité centrale, accumulation cervico-dorsale de graisse (bosse de bison), fonte de la graisse en périphérie et au niveau du visage, augmentation de volume des glandes mammaires et augmentation des taux sériques de lipides et de la glycémie (ces phénomènes pouvant survenir isolément ou en association) (voir «Effets indésirables»).
  • -Avec tous les médicaments de la classe des inhibiteurs de protéase (IP) et des inhibiteurs nucléosidiques de la transférase inverse (INTI), un ou plusieurs de ces événements indésirables spécifiques surviennent dans le cadre d’un syndrome général habituellement appelé lipodystrophie. Il est impossible de déterminer précisément la part d’un médicament donné (INTI ou IP) dans la survenue du syndrome de lipodystrophie. L’étiologie de ce dernier est multifactorielle: par exemple, le stade de l’infection par le VIH, l’âge avancé et la durée du traitement antirétroviral jouent un rôle important et peut-être synergique.
  • -Pour l’instant, les conséquences à long terme de ces phénomènes ne sont pas encore connues.
  • -Lors de l’examen clinique, il faut rechercher des signes physiques de redistribution de la graisse corporelle. Il faut également envisager un dosage des lipides sériques et une mesure de la glycémie. S’il existe des anomalies lipidiques, il faut les traiter en fonction des nécessités cliniques. Pour l’instant, il n’est pas démontré qu’en cas d’hyperlipidémie induite par le traitement antirétroviral, un traitement hypolipémiant ait des effets favorables sur la morbidité et la mortalité cardio-vasculaires.
  • +Lipoatrophie: Le traitement par la zidovudine est associé à une perte de graisse sous-cutanée. L’incidence et la sévérité de la lipoatrophie sont en rapport avec l’exposition cumulative au médicament. Il est possible que cette perte de graisse, plus visible au niveau du visage, des extrémités et des fesses, ne soit que partiellement réversible; après le passage à un traitement sans zidovudine, plusieurs mois peuvent s’écouler jusqu’à l’apparition d’une amélioration. Les patients doivent faire l’objet d’un suivi régulier afin de détecter tout signe évocateur d’une lipoatrophie pendant leur traitement par la zidovudine ou par des médicaments contenant de la zidovudine (tels que Combivir et Trizivir). Le traitement par la zidovudine doit être remplacé par un autre traitement en cas de suspicion de développement d’une lipoatrophie.
  • +Lipides sériques et glycémie: un traitement antirétroviral peut s’accompagner d’une augmentation des taux de lipides sériques et de la glycémie. Le contrôle de la maladie et des modifications du mode de vie peuvent aussi y contribuer. Il est donc recommandé de vérifier les taux sériques de lipides et la glycémie. Les troubles du métabolisme lipidique doivent être traités en fonction des nécessités cliniques.
  • -Il a été démontré que la zidovudine franchit la barrière placentaire chez la femme (voir «Pharmacocinétique»). L’utilisation de Retrovir AZT avant la 14e semaine de la grossesse ne doit être envisagée que si le bénéfice potentiel pour la mère l’emporte sur le risque pour le fœtus (voir «Données précliniques»).
  • +La zidovudine a été étudiée dans le cadre du registre de grossesse Antiretroviral Pregnancy Registry (APR) chez respectivement plus de 13'000 femmes pendant la grossesse et durant la phase postpartale. Les données disponibles pour l’être humain dans le registre APR ne montrent pas de risque accru d’anomalies congénitales graves sous zidovudine par rapport à l’incidence de base (voir «Études cliniques»).
  • +La sécurité d’emploi de la zidovudine pendant la grossesse n’a pas été examinée dans le cadre d’études sur les anomalies congénitales appropriées et suffisamment contrôlées. Le traitement par la zidovudine pendant la grossesse ne devrait donc être envisagé que si les bénéfices attendus l’emportent sur les risques éventuels pour le fœtus.
  • +Il a été démontré que la zidovudine franchit la barrière placentaire chez la femme (voir «Pharmacocinétique»). Des études de reproduction sur l’animal ont révélé une association entre la zidovudine et des résultats positifs (voir aussi «Données précliniques»). Les femmes enceintes envisageant un traitement par la zidovudine durant leur grossesse doivent en être informées.
  • -Les données sur la carcinogenèse et la mutagénicité, obtenues à partir de l’expérimentation animale, ne permettent pas d’écarter le risque de carcinogenèse (voir «Données précliniques»).
  • -La signification de ces résultats pour les nouveau-nés, infectés ou non, suite à l’exposition à la zidovudine, n’est pas connue. Cependant il convient d’attirer l’attention des femmes enceintes envisageant un traitement par Retrovir AZT, quant à ces résultats.
  • -Lipodystrophie: chez certains patients, le traitement associé à des médicaments antirétroviraux est en rapport avec une redistribution du tissu adipeux (voir «Mises en garde et précautions»). En font partie: perte de la graisse sous-cutanée en périphérie, augmentation de la graisse intra-abdominale, hypertrophie mammaire et accumulation de graisse dans la région cervico-dorsale (bosse de bison). La fréquence de ce phénomène dépend de plusieurs facteurs, notamment le stade de l’infection par le VIH, l’âge avancé et la nature ainsi que la durée du traitement antirétroviral.
  • +Le traitement par la zidovudine est associé à une perte de graisse sous-cutanée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Études cliniques
  • +Des rapports sur plus de 13'000 grossesses exposées à la zidovudine ayant mené à des naissances vivantes ont été portés au registre sur le traitement antirétroviral pendant la grossesse (APR). Ces rapports concernent plus de 4'100 expositions pendant le 1er trimestre dont 133 étaient associées à des anomalies congénitales, et plus de 9'300 expositions pendant le 2e et le 3e trimestres dont 264 étaient associées à des anomalies congénitales. La prévalence (IC à 95%) des malformations au cours du premier trimestre était de 3,2% (2,7, 3,8%) et de 2,8% (2,5, 3,2%) au cours des 2e et 3e trimestres.
  • +Ces proportions ne sont pas significativement plus élevées que les proportions correspondantes relevées dans les deux systèmes de surveillance basés sur la population (respectivement 2,72 sur 100 naissances vivantes et 4,17 sur 100 naissances vivantes).
  • +Les données disponibles dans le registre APR ne montrent pas de risque accru d’anomalies congénitales graves sous zidovudine par rapport à l’incidence de base.
  • -Retrovir AZT capsules: conserver à moins de 30°C, à l'abri de l'humidité et de la lumière. Ne pas utiliser au-delà de la date de péremption indiquée sur l'emballage.
  • -Retrovir AZT sirop: Conserver à moins de 30°C et à l'abri de la lumière. Ne pas utiliser au-delà de la date de péremption indiquée sur l'emballage.
  • +Retrovir AZT capsules: conserver à moins de 30 °C, à l'abri de l'humidité et de la lumière. Ne pas utiliser au-delà de la date de péremption indiquée sur l'emballage. Tenir hors de portée des enfants.
  • +Retrovir AZT sirop: Conserver à moins de 30 °C et à l'abri de la lumière. Ne pas utiliser au-delà de la date de péremption indiquée sur l'emballage. Tenir hors de portée des enfants.
  • -Février 2015.
  • +Novembre 2016.
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