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Accueil - Information professionnelle sur Eprex 1000 U - Changements - 17.04.2018
48 Changements de l'information professionelle Eprex 1000 U
  • -Solution injectable
  • -Seringues préremplies avec système de sécurité (Protecs™)
  • -Epoetinum alfa ADNr.
  • -1000 UI/0,5 ml, (8,4 µg/0,5 ml).
  • -2000 UI/0,5 ml, (16,8 µg/0,5 ml).
  • -3000 UI/0,3 ml, (25,2 µg/0,3 ml).
  • -4000 UI/0,4 ml, (33,6 µg/0,4 ml).
  • -5000 UI/0,5 ml, (42,0 µg/0,5 ml).
  • -6000 UI/0,6 ml, (50,4 µg/0,6 ml).
  • -8000 UI/0,8 ml, (67,2 µg/0,8 ml).
  • +Solution injectable en seringues préremplies avec système de sécurité (Protecs™)
  • +1'000 UI/0,5 ml, (8,4 µg/0,5 ml).
  • +2'000 UI/0,5 ml, (16,8 µg/0,5 ml).
  • +3'000 UI/0,3 ml, (25,2 µg/0,3 ml).
  • +4'000 UI/0,4 ml, (33,6 µg/0,4 ml).
  • +5'000 UI/0,5 ml, (42,0 µg/0,5 ml).
  • +6'000 UI/0,6 ml, (50,4 µg/0,6 ml).
  • +8'000 UI/0,8 ml, (67,2 µg/0,8 ml).
  • -Posologies spéciales
  • +Instructions spéciales pour la posologie
  • +Ne pas agiter; une agitation pourrait dénaturer la glycoprotéine et la rendre ainsi inactive.
  • +Eprex en seringues préremplies (seringues à usage unique) ne contient aucun conservateur. Ne pas réutiliser la seringue.
  • -Les patients qui ont développé une érythroblastopénie (pure red cell aplasia PRCA) dans le cadre d'un traitement à l'érythropoïétine ne doivent plus recevoir Eprex ni une autre érythropoïétine (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Les patients qui ont développé une érythroblastopénie (pure red cell aplasia, PRCA) dans le cadre d'un traitement à l'érythropoïétine ne doivent plus recevoir Eprex ni une autre érythropoïétine (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Hypertension
  • +
  • -Eprex ne doit être utilisé qu'avec prudence chez les patients épileptiques, présentant des antécédents épileptiques ou atteints de maladies prédisposant à des crises épileptiques, telles que des infections du SNC ou des métastases cérébrales.
  • +Érythroblastopénie (Pure Red Cell Aplasia; PRCA)
  • +Une érythroblastopénie (Pure Red Cell Aplasia; PRCA) a été rapportée après le traitement par Eprex ou d'autres érythropoïétines.
  • +Chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique et traités par Eprex par voie sous-cutanée, des contrôles réguliers doivent être effectués pour vérifier s'il n'y a pas de perte d'efficacité, définie comme une absence de réponse ou une réponse diminuée à un traitement par Eprex chez des patients qui avaient répondu auparavant à ce traitement. Ceci se manifeste par une diminution durable des taux d'hémoglobine malgré l'augmentation de la dose d'Eprex.
  • +Chez les patients présentant soudainement une perte d'efficacité des érythropoïétines, définie comme une diminution des taux d'hémoglobine (1–2 g/dl par mois) avec un besoin accru de transfusions, il faut déterminer le nombre de réticulocytes et rechercher les causes habituelles d'une absence de réponse au traitement (par exemple une carence en fer, en acide folique ou en vitamine B12, une intoxication aluminique, une infection ou une inflammation, une perte de sang, une hémolyse ou une fibrose médullaire de toute étiologie). Si le nombre de réticulocytes est abaissé (<20 000/mm³), si les nombres de thrombocytes et de leucocytes sont normaux et si on ne trouve aucune autre raison à la perte d'efficacité, il faut envisager de faire un test de détection des anticorps anti-érythropoïétine et un myélogramme pour diagnostiquer une érythroblastopénie (Pure Red Cell Aplasia; PRCA).
  • +En présence d'un diagnostic d'érythroblastopénie (Pure Red Cell Aplasia; PRCA), il faut immédiatement arrêter le traitement par Eprex. En raison du risque de réactions croisées, aucune thérapie par une autre érythropoïétine ne doit être instaurée. Si cela est indiqué, ces patients peuvent être transfusés avec du sang conservé.
  • +Généralités
  • +Eprex ne doit être utilisé qu'avec prudence chez les patients épileptiques, présentant des antécédents épileptiques ou atteints de maladies prédisposant à des crises épileptiques telles que des infections du SNC ou des métastases cérébrales.
  • -Le traitement par Eprex peut conduire à une légère augmentation dose-dépendante, restant dans les limites de la normale, du nombre de thrombocytes. Celui-ci se normalise à la poursuite du traitement. Il est recommandé de contrôler régulièrement le nombre de thrombocytes au cours des premières 8 semaines de traitement.
  • +Le traitement par Eprex peut conduire à une légère augmentation dose-dépendante, restant dans les limites de la normale, du nombre de thrombocytes. Celui-ci se normalise à la poursuite du traitement. De plus, une thrombocytémie au-dessus des limites de la normale a également été rapportée. Il est recommandé de contrôler régulièrement le nombre de thrombocytes au cours des premières 8 semaines de traitement.
  • +Chez un petit nombre de patients, la formation de bulles et des réactions de type de décollement cutané, incluant un érythème polymorphe et un syndrome de Stevens-Johnson (SSJ)/une nécrolyse épidermique toxique (NET), ont été rapportées au cours du traitement par Eprex. Le traitement par Eprex doit immédiatement être arrêté en cas de suspicion de réaction cutanée sévère, p.ex. de SSJ/NET. L'atteinte des muqueuses (bouche, yeux, parties génitales) constitue un élément de suspicion important.
  • +
  • -Chez des patients atteints d'insuffisance rénale chronique, on a constaté dans de rares cas, des mois et même des années après qu'ils aient été traités par Eprex ou d'autres érythropoïétines, une érythroblastopénie (Pure Red Cell Aplasia). Chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique, auxquels Eprex est administré par voie sous-cutanée, des contrôles réguliers devraient être effectués pour vérifier s'il n'y a pas de perte d'efficacité, définie comme une absence de réponse ou une réponse diminuée à un traitement par Eprex chez des patients qui avaient répondu auparavant à ce traitement. Ceci se manifeste par une diminution durable des niveaux d'hémoglobine malgré l'augmentation de la dose d'Eprex.
  • -Chez les patients dont l'anémie se montre soudainement réfractaire aux érythropoïétines, définie comme une diminution des valeurs d'hémoglobine (1–2 g/dl par mois) avec un besoin accru de transfusions, il faudrait déterminer le compte des réticulocytes et rechercher les causes habituelles d'une trop faible réponse au traitement (par exemple une carence en fer, en acide folique ou en vitamine B12, une intoxication aluminique, une infection ou une inflammation, une perte de sang, une hémolyse et une fibrose médullaire de toute étiologie). Si le compte de réticulocytes est abaissé (<20'000/mm³), si les comptes de thrombocytes et de leucocytes sont normaux et si on ne trouve aucune autre raison à la perte d'efficacité, il faut envisager de faire un test de détection des anticorps anti-érythropoïétine et de faire un examen de la moelle osseuse pour diagnostiquer une PCRA. En présence d'un diagnostic de PCRA (érythroblastopénie), il faudrait immédiatement arrêter le traitement avec Eprex. En raison du risque de réactions croisées, aucune autre thérapie par une érythropoïétine ne devrait être initiée. Si c'est indiqué, ces patients devraient être transfusés avec du sang conservé.
  • -Les produits stimulant l'érythropoïèse sont des facteurs de croissance qui stimulent principalement la production de globules rouges du sang. Les récepteurs d'érythropoïétine peuvent se former à la surface de diverses cellules cancéreuses. On pense que les produits stimulant l'érythropoïèse pourraient stimuler la croissance des tumeurs. Des études cliniques contrôlées sur Eprex et d'autres produits stimulant l'érythropoïèse ont pu montrer:
  • +Les produits stimulant l'érythropoïèse sont des facteurs de croissance qui stimulent principalement la production de globules rouges du sang. Les récepteurs d'érythropoïétine peuvent se former à la surface de diverses cellules cancéreuses. On pense que les produits stimulant l'érythropoïèse pourraient stimuler la croissance des tumeurs.
  • +Des études cliniques contrôlées sur Eprex et d'autres produits stimulant l'érythropoïèse ont pu montrer:
  • -Comme la cyclosporine A est liée aux érythrocytes, on admet l'existence d'une interaction potentielle avec cette substance. C'est pourquoi, lors de l'administration simultanée de cyclosporine A et d'Eprex, la concentration sanguine de cyclosporine A devrait être déterminée. Le cas échéant, il faut adapter la posologie de la cyclosporine A.
  • +Comme la ciclosporine est liée aux érythrocytes, on admet l'existence d'une interaction potentielle avec cette substance. C'est pourquoi, lors de l'administration simultanée de ciclosporine et d'Eprex, la concentration sanguine de ciclosporine devrait être déterminée. Le cas échéant, il faut adapter la posologie de la ciclosporine.
  • -Il n'existe pas de données suffisantes concernant l'emploi chez la femme enceinte. Dans ces circonstances, le médicament ne devrait être administré que si c'est manifestement nécessaire.
  • +Il n'existe pas de données suffisantes concernant l'emploi chez la femme enceinte. Dans ces circonstances, Eprex ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • -L'érythropoïétine est présente dans le lait maternel. On ignore toutefois si l'époétine alfa passe dans le lait maternel, pour cette raison la patiente devrait cesser d'allaiter pendant l'utilisation du médicament. L'emploi d'Eprex n'est pas recommandé chez les patientes enceintes ou allaitant et participant à un programme de donation autologue.
  • +L'érythropoïétine est présente dans le lait maternel. On ignore toutefois si l'époétine alfa passe dans le lait maternel, pour cette raison la patiente devrait cesser d'allaiter pendant l'utilisation du médicament.
  • +L'emploi d'Eprex n'est pas recommandé chez les patientes enceintes ou allaitant et participant à un programme de donation autologue.
  • -Embolie et thrombose² 2 (2) NR 15 (15) 2 (4) 76 (5) 33 (4) 6 (4) 3 (3) 18 (8) 6 (6)
  • +Embolie et thromboseb 2 (2) NR 15 (15) 2 (4) 76 (5) 33 (4) 6 (4) 3 (3) 18 (8) 6 (6)
  • -Hypertension³ 35 (27) 20 (25) 32 (33) 5 (11) 43 (3) 24 (3) NR 2 (2) 23 (11) 9 (9)
  • +Hypertensionc 35 (27) 20 (25) 32 (33) 5 (11) 43 (3) 24 (3) NR 2 (2) 23 (11) 9 (9)
  • -Toux 5 (4) 1 (1) 9 (9) 8 (17) 98 (7) 66 (7) 2 (1 ) 2 (2) 10 (5) NR
  • +Toux 5 (4) 1 (1) 9 (9) 8 (17) 98 (7) 66 (7) 2 (1) 2 (2) 10 (5) NR
  • -Eruption cutanée³ 8 (6) 6 (8) 11 (11) 2 (4 ) 93 (7) 47 (5) 3 (2) 2 (2) 8 (4) 2 (2)
  • +Eruption cutanéea 8 (6) 6 (8) 11 (11) 2 (4) 93 (7) 47 (5) 3 (2) 2 (2) 8 (4) 2 (2)
  • -Œdèmes périphériques 9 (7) 10 (13) NR NR 72 (5 ) 34 (4) 2 (1) 2 (2) 14 (7) 4 (4)
  • +Œdèmes périphériques 9 (7) 10 (13) NR NR 72 (5) 34 (4) 2 (1) 2 (2) 14 (7) 4 (4)
  • -¹ Les éruptions cutanées incluent l'urticaire et l'œdème de Quincke.
  • -² Inclut les événements artériels et veineux, mortels et non mortels tels que les thromboses veineuses profondes, embolies pulmonaires, thromboses rétiniennes, thromboses artérielles (y c. infarctus du myocarde), événements cérébrovasculaires (p.ex. AVC, y c. infarctus et hémorragies cérébraux), attaques ischémiques transitoires et thromboses du shunt (y c. dans le matériel de dialyse), et thromboses des anévrysmes de shunt artério-veineux.
  • -³ L'hypertension comprend les crises hypertensives.
  • +a Les éruptions cutanées incluent l'urticaire et l'œdème de Quincke.
  • +b Inclut les événements artériels et veineux, mortels et non mortels tels que les thromboses veineuses profondes, embolies pulmonaires, thromboses rétiniennes, thromboses artérielles (y c. infarctus du myocarde), événements cérébrovasculaires (p.ex. AVC, y c. infarctus et hémorragies cérébraux), attaques ischémiques transitoires et thromboses du shunt (y c. dans le matériel de dialyse), et thromboses des anévrysmes de shunt artério-veineux.
  • +c L'hypertension comprend les crises hypertensives.
  • -Très rarement (<1/10'000 cas par année-patient), une aplasie érythrocytaire pure (pure red cell aplasia, PRCA) induite par des anticorps anti-érythropoïétine a été rapportée plusieurs mois à plusieurs années après un traitement par Eprex.
  • +Très rarement (<1/10 000 cas par année-patient), une érythroblastopénie (pure red cell aplasia, PRCA) induite par des anticorps anti-érythropoïétine a été rapportée plusieurs mois à plusieurs années après un traitement par Eprex.
  • -Circulation sanguine et lymphatique
  • -Très rares: aplasie érythrocytaire pure induite par des anticorps anti-érythropoïétine.
  • -Très rares: thrombocytémie.
  • +Affections hématologiques
  • +Très rares: érythroblastopénie (pure red cell aplasia, PRCA) induite par des anticorps anti-érythropoïétine, thrombocytémie.
  • +Affections cutanées
  • +Très rares: réactions cutanées sévères, incluant érythème polymorphe et syndrome de Stevens-Johnson (SSJ)/nécrolyse épidermique toxique (NET).
  • -Une étude randomisée, ouverte et multicentrique a inclus 2098 femmes anémiques atteintes dun cancer du sein métastatique et recevant une chimiothérapie de première ou de deuxième ligne. Il sagissait dune étude de non-infériorité conçue pour exclure une augmentation de 15% du risque de progression tumorale ou de décès sous époétine alfa plus traitement standard (SOC, Standard of Care) par rapport au SOC seul. Le critère dévaluation principal, à savoir la survie sans progression (PFS) médiane selon lévaluation de la progression de la maladie par linvestigateur, a été de 7,4 mois dans les deux bras, avec 841 événements (80%) dans le groupe époétine plus SOC contre 818 événements (78%) dans le groupe ayant bénéficié du SOC seul (HR 1,09, intervalle de confiance [IC] à 95%: 0,99–1,20). Cela signifie que lobjectif de létude, la «non-infériorité», na pas été atteint et quil y a eu une augmentation du risque de progression de la maladie ou de décès de 9% dans le groupe époétine alfa plus SOC. La PFS médiane, selon lévaluation de la progression de la maladie par le comité de revue indépendant (visant à évaluer la cohérence des résultats), a été de 7,6 mois dans les deux bras (HR 1,03, IC à 95%: 0,92–1,15). À la clôture de la phase clinique de létude, 1337 décès avaient été rapportés. La survie médiane globale a été de 17,2 mois dans le groupe traité par lépoétine alfa plus SOC contre 17,4 mois dans le groupe ayant bénéficié du SOC seul (HR 1,06, IC à 95%: 0,95–1,18). Cela correspond à une augmentation du risque de mortalité de 6% dans le groupe époétine alfa plus SOC. Par ailleurs, significativement plus de patientes ont souffert dévénements thrombotiques dans le bras époétine alfa (2,8% contre 1,4% selon lévaluation dun comité darbitrage). Significativement moins de patientes ont reçu des transfusions dérythrocytes dans le bras époétine alfa plus SOC (5,8% contre 11,4%).
  • +Une étude randomisée, ouverte et multicentrique a inclus 2098 femmes anémiques atteintes d'un cancer du sein métastatique et recevant une chimiothérapie de première ou de deuxième ligne. Il s'agissait d'une étude de non-infériorité conçue pour exclure une augmentation de 15% du risque de progression tumorale ou de décès sous époétine alfa plus traitement standard (SOC, Standard of Care) par rapport au SOC seul. Le critère d'évaluation principal, à savoir la survie sans progression (PFS) médiane selon l'évaluation de la progression de la maladie par l'investigateur, a été de 7,4 mois dans les deux bras, avec 841 événements (80%) dans le groupe époétine plus SOC contre 818 événements (78%) dans le groupe ayant bénéficié du SOC seul (HR 1,09, intervalle de confiance [IC] à 95%: 0,99–1,20). Cela signifie que l'objectif de l'étude, la «non-infériorité», n'a pas été atteint et qu'il y a eu une augmentation du risque de progression de la maladie ou de décès de 9% dans le groupe époétine alfa plus SOC. La PFS médiane, selon l'évaluation de la progression de la maladie par le comité de revue indépendant (visant à évaluer la cohérence des résultats), a été de 7,6 mois dans les deux bras (HR 1,03, IC à 95%: 0,92–1,15). À la clôture de la phase clinique de l'étude, 1337 décès avaient été rapportés. La survie médiane globale a été de 17,2 mois dans le groupe traité par l'époétine alfa plus SOC contre 17,4 mois dans le groupe ayant bénéficié du SOC seul (HR 1,06, IC à 95%: 0,95–1,18). Cela correspond à une augmentation du risque de mortalité de 6% dans le groupe époétine alfa plus SOC. Par ailleurs, significativement plus de patientes ont souffert d'événements thrombotiques dans le bras époétine alfa (2,8% contre 1,4% selon l'évaluation d'un comité d'arbitrage). Significativement moins de patientes ont reçu des transfusions d'érythrocytes dans le bras époétine alfa plus SOC (5,8% contre 11,4%). Lors de l'analyse finale, 1635 décès avaient été rapportés. La survie médiane globale était de 17,8 mois dans le groupe sous époétine alfa plus SOC contre 18,0 mois dans le groupe sous SOC seul (HR 1,07, IC à 95%: 0,97-1,18). Le temps médian jusqu'à la progression (TTP), basé sur une progression de la maladie (PD) évaluée par l'investigateur, était de 7,5 mois dans le groupe sous époétine alfa plus SOC et de 7,5 mois dans le groupe sous SOC (HR 1,099, IC à 95%: 0,998-1,210). Le TTP médian, basé sur une PD évaluée par le comité de revue indépendant, était de 8,0 mois dans le groupe sous époétine alfa plus SOC et de 8,3 mois dans le groupe sous SOC (HR 1,033, IC à 95%: 0,924-1,156).
  • -Les taux sériques après administration sous-cutanée sont nettement plus bas et atteignent leur valeur maximale après 12 à 18 heures. La quantité d'érythropoïétine décelée dans le sérum correspond aux 20% environ de la valeur obtenue après administration i.v. Il ne semble pas qu'un effet cumulatif existe; les concentrations sériques d'érythropoïétine mesurées restent inchangées, qu'elles soient mesurées 24 heures après la première injection ou 24 heures après la dernière injection. Les profils concentrationtemps de l'érythropoïétine après la semaine 1 et la semaine 4 étaient semblables chez les sujets sains après administration de doses multiples de 600 UI/kg.
  • +Les taux sériques après administration sous-cutanée sont nettement plus bas et atteignent leur valeur maximale après 12 à 18 heures. La quantité d'érythropoïétine décelée dans le sérum correspond aux 20% environ de la valeur obtenue après administration i.v. Il ne semble pas qu'un effet cumulatif existe; les concentrations sériques d'érythropoïétine mesurées restent inchangées, qu'elles soient mesurées 24 heures après la première injection ou 24 heures après la dernière injection. Les profils concentration-temps de l'érythropoïétine après la semaine 1 et la semaine 4 étaient semblables chez les sujets sains après administration de doses multiples de 600 UI/kg.
  • -Conservation
  • +Stabilité
  • -Conditions de stockage particulières
  • +Remarques concernant le stockage
  • -Conseils d'utilisation
  • +Remarques concernant la manipulation
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé et doit être éliminé
  • +·si le sceau est rompu, si le liquide présente un changement de coloration ou si des particules en suspension sont visibles,
  • +·si Eprex a (ou est suspecté d'avoir) été congelé ou
  • +·si le réfrigérateur a présenté un dysfonctionnement.
  • -Eprex Protecs sol inj 1000 UI ser préremplie 6× 0,5 ml. (A)
  • -Eprex Protecs sol inj 2000 UI ser préremplie 6× 0,5 ml. (A)
  • -Eprex Protecs sol inj 3000 UI ser préremplie 6× 0,3 ml. (A)
  • -Eprex Protecs sol inj 4000 UI ser préremplie 6× 0,4 ml. (A)
  • -Eprex Protecs sol inj 5000 UI ser préremplie 6× 0,5 ml. (A)
  • -Eprex Protecs sol inj 6000 UI ser préremplie 6× 0,6 ml. (A)
  • -Eprex Protecs sol inj 8000 UI ser préremplie 6× 0,8 ml. (A)
  • -Eprex Protecs sol inj 10000 UI ser préremplie 6× 1,0 ml. (A)
  • -Eprex Protecs sol inj 20000 UI ser préremplie 1× 0,5 ml. (A)
  • -Eprex Protecs sol inj 30000 UI ser préremplie 1× 0,75 ml et 4× 0,75 ml. (A)
  • -Eprex Protecs sol inj 40000 UI ser préremplie 1× 1,0 ml et 4× 1,0 ml. (A)
  • +Eprex sol inj (seringues préremplies)1'000 UI/0,5 ml. (A)
  • +Eprex sol inj (seringues préremplies)2'000 UI/0,5 ml. (A)
  • +Eprex sol inj (seringues préremplies)3'000 UI/0,3 ml. (A)
  • +Eprex sol inj (seringues préremplies)4'000 UI/0,4 ml. (A)
  • +Eprex sol inj (seringues préremplies)5'000 UI/0,5 ml. (A)
  • +Eprex sol inj (seringues préremplies)6'000 UI/0,6 ml. (A)
  • +Eprex sol inj (seringues préremplies)8'000 UI/0,8 ml. (A) (HC)
  • +Eprex sol inj (seringues préremplies) 6× 10'000 UI/1,0 ml. (A)
  • +Eprex sol inj (seringues préremplies)20'000 UI/0,5 ml. (A)
  • +Eprex sol inj (seringues préremplies)30'000 UI/0,75 ml (A)
  • +Eprex sol inj (seringues préremplies)30'000 UI/0,75 ml (A) (HC)
  • +Eprex sol inj (seringues préremplies)40'000 UI/1,0 ml (A)
  • +Eprex sol inj (seringues préremplies)40'000 UI/1,0 ml (A) (HC)
  • -Juin 2016.
  • +Mars 2018.
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