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Accueil - Information professionnelle sur Sandostatin 0,05 mg/mL - Changements - 28.01.2016
94 Changements de l'information professionelle Sandostatin 0,05 mg/mL
  • -Excipients
  • +Excipients:
  • -Flacons (5 ml): Acidum lacticum, Mannitolum, Conserv.: Phenolum 5 mg, Aqua ad iniectabilia q.s. ad sol. pro 1 ml.
  • -Sandostatine contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose.
  • -
  • +Flacon (5 ml): Acidum lacticum, Mannitolum, Conserv.: Phenolum 5 mg, Aqua ad iniectabilia q.s. ad sol. pro 1 ml.
  • -Ampoules (1 ml) à 0,05 mg/ml, 0,1 mg/ml et 0,5 mg/ml.
  • -Flacons (5 ml) à 0,2 mg/ml.
  • -Voir aussi sous Sandostatine LAR (traitement à long terme de lacromégalie).
  • +Ampoules (1 ml) à 0.05 mg/ml, 0.1 mg/ml et 0.5 mg/ml.
  • +Flacon (5 ml) à 0.2 mg/ml.
  • +Voir aussi sous Sandostatine LAR (traitement à long terme de l'acromégalie).
  • -Traitement symptomatique de lacromégalie et abaissement des taux plasmatiques de GH (Growth Hormone = hormone de croissance) et de IGF-1 (IGF: Insulin Growth Factor) en cas déchec de lintervention chirurgicale ou de la radiothérapie. Sandostatine est également indiquée chez les patients acromégaliques qui ne sont pas prêts ou ne sont pas en situation de subir une intervention chirurgicale ou pendant la période de latence pour faire la transition en attendant que la radiothérapie produise son plein effet.
  • -Traitement des symptômes lors de tumeurs endocrines gastroentéropancréatiques fonctionnelles
  • -L’efficacité est suffisamment documentée dans les indications suivantes:
  • -tumeurs carcinoïdes caractéristiques dun syndrome carcinoïde;
  • -VIPomes (VIP: Vasoactive Intestinal Peptide);
  • -glucagonomes.
  • -Dans les indications suivantes, Sandostatine sest révélée efficace dans environ 50% des cas, mais les études nont porté que sur un nombre restreint de malades:
  • -gastrinomes/syndrome de Zollinger-Ellison, généralement en association avec un inhibiteur de la pompe à protons ou antagonistes H2;
  • -insulinomes (pour le contrôle préopératoire de lhypoglycémie et pour le traitement dentretien);
  • -GRFomes (GRF: Growth Hormone Releasing Factor).
  • +Traitement symptomatique de l'acromégalie et abaissement des taux plasmatiques de GH (Growth Hormone = hormone de croissance) et de IGF-1 (IGF: Insulin Growth Factor) en cas d'échec de l'intervention chirurgicale ou de la radiothérapie. Sandostatine est également indiquée chez les patients acromégaliques qui ne sont pas prêts ou ne sont pas en situation de subir une intervention chirurgicale ou pendant la période de latence pour faire la transition en attendant que la radiothérapie produise son plein effet.
  • +Traitement des symptômes lors de tumeurs fonctionnelles du système endocrinien gastroentéropancréatique
  • +L'efficacité est suffisamment documentée dans les indications suivantes:
  • +·tumeurs carcinoïdes caractéristiques d'un syndrome carcinoïde;
  • +·VIPomes (VIP: Vasoactive Intestinal Peptide);
  • +·glucagonomes.
  • +Dans les indications suivantes, Sandostatine s'est révélée efficace dans environ 50% des cas, mais les études n'ont porté que sur un nombre restreint de malades:
  • +·gastrinomes/syndrome de Zollinger-Ellison, généralement en association avec un inhibiteur de la pompe à protons ou antagonistes H2;
  • +·insulinomes (pour le contrôle préopératoire de l'hypoglycémie et pour le traitement d'entretien);
  • +·GRFomes (GRF: Growth Hormone Releasing Factor).
  • -Prévention des complications après une opération chirurgicale du pancréas.
  • -Traitement durgence des hémorragies de varices gastro-oesophagiennes chez les patients cirrhotiques, en association avec une thérapie spécifique comme la sclérothérapie endoscopique.
  • +·Prévention des complications après une opération chirurgicale du pancréas.
  • +·Traitement d'urgence des hémorragies de varices gastro-œsophagiennes chez les patients cirrhotiques, en association avec une thérapie spécifique comme la sclérothérapie endoscopique.
  • -La dose initiale est de 0,05–0,1 mg s.c. toutes les 8 h. Cette dose devrait être adaptée en fonction de leffet-évalué mensuellement-sur les taux de GH et de IGF-1 circulants (but: GH <2,5 ng/ml; IGF-1: à lintérieur des valeurs normales) et les symptômes cliniques ainsi quen fonction de la tolérance. Dans la plupart des cas, la dose journalière optimale est de 0,2–0,3 mg. Chez les patients qui reçoivent de manière inchangée la même dose, qui sont stabilisés avec une dose, la détermination des valeurs de GH devrait être établie tous les 6 mois.
  • -Une dose journalière de 1,5 mg est considérée comme maximale et ne devrait pas être dépassée.
  • +La dose initiale est de 0.05-0.1 mg s.c. toutes les 8 h. Cette dose devrait être adaptée en fonction de l'effet-évalué mensuellement-sur les taux de GH et de IGF-1 circulants (but: GH <2.5 ng/ml; IGF-1: à l'intérieur des valeurs normales) et les symptômes cliniques ainsi qu'en fonction de la tolérance. Dans la plupart des cas, la dose journalière optimale est de 0.2–0.3 mg. Chez les patients qui reçoivent de manière inchangée la même dose, qui sont stabilisés avec une dose, la détermination des valeurs de GH devrait être établie tous les 6 mois.
  • +Une dose journalière de 1.5 mg est considérée comme maximale et ne devrait pas être dépassée.
  • -Si après 1 mois de traitement par Sandostatine on ne constate aucune diminution notable du taux de GH et des symptômes cliniques, il y a lieu denvisager larrêt de la médication.
  • +Si après 1 mois de traitement par Sandostatine on ne constate aucune diminution notable du taux de GH et des symptômes cliniques, il y a lieu d'envisager l'arrêt de la médication.
  • -Commencer par 0,05 mg s.c. 12×/d. Il est possible daugmenter progressivement la posologie jusquà 0,2 mg 3×/d en fonction de la tolérance et de la réponse clinique (régression de la symptomatologie et baisse des taux excessifs de produits tumoraux circulants). Des doses plus élevées peuvent se révéler nécessaires dans des cas exceptionnels. La dose dentretien est à ajuster de cas en cas.
  • -En cas déchec thérapeutique, le traitement devrait être interrompu après une semaine.
  • +Commencer par 0.05 mg s.c. 1-2×/d. Il est possible d'augmenter progressivement la posologie jusqu'à 0.2 mg 3×/d en fonction de la tolérance et de la réponse clinique (régression de la symptomatologie et baisse des taux excessifs de produits tumoraux circulants). Des doses plus élevées peuvent se révéler nécessaires dans des cas exceptionnels. La dose d'entretien est à ajuster de cas en cas.
  • +En cas d'échec thérapeutique, le traitement devrait être interrompu après une semaine.
  • -0,1 mg s.c. 3×/d pendant 7 jours consécutifs; commencer le traitement le jour de lintervention, au moins 1 h avant la laparotomie.
  • -Hémorragies des varices gastro-oesophagiennes
  • -0,025 mg/h pendant au maximum 5 jours, sous forme de perfusion i.v. continue. Sandostatine peut être dilué dans une solution physiologique de NaCl 0,9% (cf. «Remarques pour la perfusion intraveineuse» dans la rubrique «Remarques particulières»).
  • -Posologie pour certains groupes de patients
  • -Patients âgés: Une petite étude de dose unique chez des volontaires âgés a montré quil nest pas nécessaire dadministrer une posologie spéciale chez les patients âgés au début dun traitement par Sandostatine.
  • -Enfants: pour ce groupe de patients, lexpérience avec Sandostatine est encore limitée.
  • -Insuffisance hépatique: chez les patients présentant une cirrhose, la demi-vie délimination du produit peut être augmentée et nécessiter une adaptation de la posologie dentretien. Les patients cirrhotiques présentant des varices oesophagiennes hémorragiques et ayant reçu Sandostatine sous forme de perfusion i.v. continuelle à raison de 0,050 mg/h pendant 5 jours lont bien toléré.
  • -Insuffisance rénale: linsuffisance rénale na pas influencé lexposition totale (AUC) de loctréotide administré par voie s.c. Cest pourquoi aucune adaptation posologique nest nécessaire.
  • -Mode demploi: (voir aussi les indications détaillées concernant le mode demploi sous «Remarques particulières»).
  • -Remarque: les patients qui doivent procéder eux-mêmes à linjection s.c. du médicament recevront des instructions précises de la part de l’infirmière ou du médecin.
  • -Pour réduire à un minimum la douleur au site dinjection, il est recommandé dattendre que la solution ait atteint la température ambiante avant de procéder à ladministration. Éviter dinjecter plusieurs fois de suite au même endroit. Ne pas piquer le bouchon du flacon multidoses plus de 10× afin déviter la contamination.
  • +0.1 mg s.c. 3×/d pendant 7 jours consécutifs; commencer le traitement le jour de l'intervention, au moins 1 h avant la laparotomie.
  • +Hémorragies des varices gastro-œsophagiennes
  • +0.025 mg/h pendant au maximum 5 jours, sous forme de perfusion i. v. continue. Sandostatine peut être dilué dans une solution physiologique de NaCl 0.9% (cf. «Remarques particulières»).
  • +Instructions spéciales sur la posologie
  • +Patients âgés: Une petite étude de dose unique chez des volontaires âgés a montré qu'il n'est pas nécessaire d'administrer une posologie spéciale chez les patients âgés au début d'un traitement par Sandostatine.
  • +Enfants: pour ce groupe de patients, l'expérience avec l'octréocride est encore limitée.
  • +Insuffisance hépatique: chez les patients présentant une cirrhose, la demi-vie d'élimination du produit peut être augmentée et nécessiter une adaptation de la posologie d'entretien. Les patients cirrhotiques présentant des varices œsophagiennes hémorragiques et ayant reçu Sandostatine sous forme de perfusion i.v. continuelle à raison de 0.050 mg/h pendant 5 jours l'ont bien toléré.
  • +Insuffisance rénale: l'insuffisance rénale n'a pas influencé l'exposition totale (AUC) de l'octréotide administré par voie s.c. C'est pourquoi aucune adaptation posologique n'est nécessaire.
  • +Mode d'emploi: voir aussi les indications détaillées concernant le mode d'emploi sous «Remarques particulières».
  • +Remarque: les patients qui doivent procéder eux-mêmes à l'injection s.c. du médicament recevront des instructions précises de la part du médecin ou d'un spécialiste médical (voir «Remarques particulières»).
  • +Pour réduire à un minimum la douleur au site d'injection, il est recommandé d'attendre que la solution ait atteint la température ambiante avant de procéder à l'administration. Éviter d'injecter plusieurs fois de suite au même endroit. Ne pas piquer le bouchon du flacon multidoses plus de 10× afin d'éviter la contamination.
  • -Hypersensibilité connue à loctréotide ou à lun des excipients.
  • +Hypersensibilité connue à l'octréotide ou à l'un des excipients.
  • -Étant donné que les tumeurs hypophysaires GH-sécrétantes sont parfois expansives et quelles peuvent de ce fait causer des complications graves (p.ex. rétrécissement du champ visuel), il est impératif de surveiller le patient de près. Dès les premiers signes dexpansion tumorale, il convient denvisager lapplication dautres méthodes thérapeutiques.
  • -Le bénéfice thérapeutique dune baisse du taux de GH («Growth hormone») et la normalisation de la concentration de lIGF-1 («Insulin-like growth factor») peuvent éventuellement rétablir la fertilité chez les patientes atteintes dacromégalie. En cas dindication, il faut recommander aux patientes en âge de procréer dutiliser des méthodes contraceptives appropriées pendant un traitement par loctréotide (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • -La fonction thyroïdienne devra être surveillée chez les patients traités à long terme par loctréotide.
  • -Evénements touchant le système cardio-vasculaire
  • -Des cas de bradycardie ont occasionnellement été observés. Un ajustement de la dose de médicaments tels que bêtabloquants, antagonistes du calcium ou autres médicaments destinés au contrôle du bilan hydro-électrolytique peut savérer nécessaire.
  • +Étant donné que les tumeurs hypophysaires GH-sécrétantes sont parfois expansives et qu'elles peuvent de ce fait causer des complications graves (p.ex. rétrécissement du champ visuel), il est impératif de surveiller le patient de près. Dès les premiers signes d'expansion tumorale, il convient d'envisager l'application d'autres méthodes thérapeutiques.
  • +Le bénéfice thérapeutique d'une baisse du taux de GH («Growth hormone») et la normalisation de la concentration de l'IGF-1 («Insulin-like growth factor») peuvent éventuellement rétablir la fertilité chez les patientes atteintes d'acromégalie. En cas d'indication, il faut recommander aux patientes en âge de procréer d'utiliser des méthodes contraceptives appropriées pendant un traitement par l'octréotide (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • +La fonction thyroïdienne devra être surveillée chez les patients traités à long terme par l'octréotide.
  • +Evénements cardio-vasculaires
  • +Des cas de bradycardie ont été observés. Un ajustement de la dose de médicaments tels que les bêtabloquants, les antagonistes du calcium ou médicaments destinés au contrôle du bilan hydro-électrolytique peut s'avérer nécessaire.
  • -Lincidence de la formation dune lithiase biliaire lors dun traitement par Sandostatine est estimée à 1530%. Dans la population générale, cette valeur est de 520%. Cest pourquoi il est recommandé de procéder à une échographie vésiculaire avant linstauration du traitement ainsi que tous les 612 mois environ durant le traitement par Sandostatine. La survenue dune lithiase biliaire chez les patients sous Sandostatine est dans la plupart des cas asymptomatique; les lithiases symptomatiques devraient être éliminées au moyen dune litholyse avec acides biliaires ou chirurgicalement.
  • +L'incidence de la formation d'une lithiase biliaire lors d'un traitement par Sandostatine est estimée à 15-30%. Dans la population générale, cette valeur est de 5-20%. C'est pourquoi il est recommandé de procéder à une échographie vésiculaire avant l'instauration du traitement ainsi que tous les 6-12 mois environ durant le traitement par Sandostatine. La survenue d'une lithiase biliaire chez les patients sous Sandostatine est dans la plupart des cas asymptomatique; les lithiases symptomatiques devraient être éliminées au moyen d'une litholyse avec acides biliaires ou chirurgicalement.
  • -Pendant le traitement de tumeurs endocrines gastroentéropancréatiques (GEP), on a observé, dans de rares cas, une disparition soudaine de lamélioration des symptômes obtenue avec Sandostatine et la réapparition de symptômes sévères.
  • +Pendant le traitement de tumeurs endocrines gastroentéropancréatiques (GEP), on a observé, dans de rares cas, une disparition soudaine de l'amélioration des symptômes obtenue avec Sandostatine et la réapparition de symptômes sévères.
  • -Du fait quil inhibe plus fortement et de manière plus prolongée la sécrétion de GH et de glucagon que celle de linsuline, loctréotide peut renforcer et prolonger les états hypoglycémiques chez les patients atteints dun insulinome. Ces patients nécessitent une surveillance particulièrement attentive au début du traitement par Sandostatine et lors de chaque modification du traitement.
  • +Du fait qu'il inhibe plus fortement et de manière plus prolongée la sécrétion de GH et de glucagon que celle de l'insuline, l'octréotide peut renforcer et prolonger les états hypoglycémiques chez les patients atteints d'un insulinome. Ces patients nécessitent une surveillance particulièrement attentive au début du traitement par Sandostatine et lors de chaque modification du traitement.
  • -Le traitement par Sandostatine peut diminuer les besoins en insuline chez les patients atteints dun diabète insulinodépendant de type I. Chez les patients non diabétiques ou ceux présentant un diabète de type II avec des réserves dinsuline partiellement intactes, Sandostatine peut conduire à une augmentation postprandiale de la glycémie. Cest pourquoi il est recommandé de surveiller la tolérance au glucose ainsi que la thérapie antidiabétique.
  • -Varices oesophagiennes
  • -Après des épisodes hémorragiques en présence de varices oesophagiennes, il existe un risque accru de développement dun diabète de type I ou de modification des besoins en insuline chez les patients ayant un diabète de type I préexistant. Cest pourquoi une surveillance adéquate de la glycémie simpose chez ces patients.
  • +Le traitement par Sandostatine peut diminuer les besoins en insuline chez les patients atteints d'un diabète insulinodépendant de type I. Des cas d'hypoglycémie ont été observés.
  • +Chez les patients non diabétiques ou ceux présentant un diabète de type II avec des réserves d'insuline partiellement intactes, Sandostatine peut conduire à une augmentation postprandiale de la glycémie. C'est pourquoi il est recommandé de surveiller le taux de glucose et, le cas échéant, d'adapter la thérapie antidiabétique.
  • +Varices œsophagiennes
  • +Après des épisodes hémorragiques en présence de varices œsophagiennes, il existe un risque accru de développement d'un diabète de type I ou de modification des besoins en insuline chez les patients ayant un diabète de type I préexistant. C'est pourquoi une surveillance adéquate de la glycémie s'impose chez ces patients.
  • -Loctréotide peut modifier labsorption des graisses alimentaires chez certains patients.
  • -Des taux sanguins de vitamine B12 plus faibles et des taux anormaux lors du test de Schilling ont été observés chez certains patients traités par loctéotride. Il est recommandé pendant le traitement par Sandostatine de surveiller les taux sanguins de vitamine B12 chez les patients présentant des antécédents de carence en vitamine B12.
  • +L'octréotide peut modifier l'absorption des graisses alimentaires chez certains patients.
  • +Des taux sanguins de vitamine B12 plus faibles et des taux anormaux lors du test de Schilling ont été observés chez certains patients traités par l'octéotride. Il est recommandé pendant le traitement par Sandostatine de surveiller les taux sanguins de vitamine B12 chez les patients présentant des antécédents de carence en vitamine B12.
  • -Ladministration concomitante doctréotide et de bromocriptine augmente la biodisponibilité de la bromocriptine.
  • -Un nombre limité de cas publiés font penser que les analogues de la somatostatine pourraient diminuer la clairance métabolique de substances métabolisées par les enzymes du cytochrome CYP3A4. Ceci est attribué à la suppression de lhormone de croissance. Étant donné quon ne peut exclure un effet semblable avec loctréotide, dautres substances également métabolisées principalement par le système P450 et ayant une marge thérapeutique réduite (telle que quinidine, terfénadine) doivent être administrées avec une grande prudence.
  • -On a constaté que Sandostatine diminue l’absorption intestinale de la ciclosporine et qu’elle retarde celle de la cimétidine.
  • +Interactions pharmacocinétiques
  • +Il a été constaté que l'octréotide réduisait la résorption intestinale de ciclosporine et ralentissait celle de cimétidine.
  • +L'administration concomitante d'octréotide et de bromocriptine augmente la biodisponibilité de la bromocriptine.
  • +Un nombre limité de cas publiés font penser que les analogues de la somatostatine pourraient diminuer la clairance métabolique de substances métabolisées par les enzymes du cytochrome CYP3A4. Ceci est attribué à la suppression de l'hormone de croissance. Étant donné qu'on ne peut exclure un effet semblable avec l'octréotide, d'autres substances également métabolisées principalement par le système P450 et ayant une marge thérapeutique réduite (telle que quinidine, terfénadine) doivent être administrées avec une grande prudence.
  • +Interactions pharmacodynamiques
  • +Un ajustement du dosage de médicaments tels que les bêtabloquants, les antagonistes du calcium ou autres médicaments destinés au contrôle du bilan hydro-électrolytique peut s'avérer nécessaire lors de la prescription simultanée de Sandostatine (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Des ajustements du dosage de l'insuline et des anti-diabétiques peuvent s'avérer nécessaires lorsque Sandostatine est prescrit simultanément (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Mis à part un certain retard passager du développement physiologique, les expérimentations animales n’ont révélé aucune toxicité directe ou indirecte ayant une incidence sur la grossesse, le développement embryonnaire, le développement foetal, l’accouchement et/ou le développement post-natal (voir «Données précliniques»).
  • -Il nexiste pas détudes adéquates et bien contrôlées chez la femme enceinte. Depuis la mise sur le marché, un nombre limité de patientes acromégaliques qui ont été enceintes lors dun traitement par loctréotide, a été rapporté; toutefois, lissue de la grossesse est inconnue dans la moitié de ces cas. La plupart des patientes ont reçu loctréotide pendant le premier trimestre de la grossesse, à une dose comprise entre 100 et 300 µg/jour de Sandostatine par voie s.c. ou à une dose comprise entre 20 et 30 mg/mois de Sandostatine LAR. Dans environ les deux tiers des cas où lissue de la grossesse est connue, les femmes ont choisi de poursuivre le traitement par loctréotide pendant leur grossesse. Dans la plupart des cas où lissue est connue, les rapports font état de nouveau-nés normaux, mais aussi de quelques avortements spontanés pendant le premier trimestre et de rares avortements provoqués.
  • -Aucun cas d’anomalies ou de malformations congénitales secondaires à l’utilisation de l’octréotide n’a été observé parmi les grossesses dont l’issue est connue.
  • -Sandostatine ne doit être utilisé chez la femme enceinte quen cas d’indication impérative (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Mis à part un retard passager de la croissance de la progéniture, les expérimentations d'octréotide sur les animaux n'ont révélé aucun effet toxique de l'octréotide sur la reproduction (voir «Données précliniques»).
  • +Il n'existe pas d'études adéquates et bien contrôlées chez la femme enceinte. Depuis la mise sur le marché, un nombre limité de patientes acromégaliques qui ont été enceintes lors d'un traitement par l'octréotide, a été rapporté; toutefois, l'issue de la grossesse est inconnue dans la moitié de ces cas. La plupart des patientes ont reçu l'octréotide pendant le premier trimestre de la grossesse, à une dose comprise entre 100 et 300 µg/jour de Sandostatine par voie s.c. ou à une dose comprise entre 20 et 30 mg/mois de Sandostatine LAR. Dans environ les deux tiers des cas où l'issue de la grossesse est connue, les femmes ont choisi de poursuivre le traitement par l'octréotide pendant leur grossesse. Dans la plupart des cas où l'issue est connue, les rapports font état de nouveau-nés sans particularité mais aussi de quelques avortements spontanés pendant le premier trimestre. Aucune anomalie congénitale ni malformation n'a été rapportée.
  • +Sandostatine ne doit être utilisé chez la femme enceinte qu'en cas de nécessité absolue.
  • -On ignore si loctréotide est excrété dans le lait maternel humain. Des études chez lanimal ont montré une excrétion de loctréotide dans le lait maternel. Les patientes ne devraient pas allaiter pendant un traitement par Sandostatine.
  • +On ignore si l'octréotide est excrété dans le lait maternel humain. Des études chez l'animal ont montré une excrétion de l'octréotide dans le lait maternel. Les patientes ne devraient pas allaiter pendant un traitement par Sandostatine.
  • +Fertilité
  • +On ignore si l'octréotide a des effets sur la fertilité. Chez les rats mâles et femelles, l'octréotide en dose de 1 mg/kg/jour n'a eu aucun impact sur la fertilité (voir «Données précliniques»).
  • +
  • -Il n’existe pas de données.
  • +Aucune expérience n'a été rapportée quant à l'influence de Sandostatine sur l'aptitude à la conduite et à la commande de machines.
  • -Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés pendant un traitement par l’octréotide ont été des troubles gastrointestinaux, nerveux, hépatobiliaires ainsi que des troubles du métabolisme et de la nutrition.
  • -Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés dans les études cliniques après ladministration de loctréotide ont été: diarrhée, douleurs abdominales, nausées, ballonnements, céphalées, cholélithiase, hyperglycémie et constipation.
  • -Les autres effets indésirables fréquemment rapportés ont été: vertiges, douleurs localisées, sable biliaire, trouble de la fonction thyroïdienne (p.ex. diminution de la TSH, diminution de la T4 totale et diminution de la T4 libre), selles involontaires, diminution de la tolérance au glucose, vomissements, asthénie et hypoglycémie.
  • -Dans de rares cas, les effets secondaires gastrointestinaux peuvent prendre lapparence dune occlusion intestinale aiguë, avec ballonnement abdominal croissant, douleur épigastrique intense et défense abdominale douloureuse.
  • -On peut enregistrer une augmentation de lexcrétion de graisses dans les selles, mais rien nindique à ce jour que le traitement par loctréotide, même à long terme, entraîne une carence nutritionnelle due à une malabsorption.
  • -Les effets indésirables gastrointestinaux peuvent être réduits en pratiquant les injections dans la mesure du possible à distance des repas, c.-à-d. entre les repas ou le soir avant le coucher.
  • -Dans de très rares cas, une pancréatite aiguë a été rapportée dans les premières heures ou jours dun traitement par Sandostatine et a régressé à larrêt du médicament. En outre, une pancréatite induite par une cholélithiase a été rapportée chez des patients sous traitement de longue durée avec Sandostatine.
  • -Réactions au point d’application
  • -Les réactions locales avec Sandostatine comprennent: douleur ou sensation de fourmillement, de picotement ou de brûlure s’accompagnant d’une rougeur et d’une tuméfaction au point d’injection s.c. Il est rare que ces réactions durent plus de 15 min. Il est possible de diminuer la gêne locale en attendant que la solution soit à température ambiante avant de procéder à l’injection ou d’injecter un plus faible volume sous la forme d’une solution plus concentrée.
  • -Chez les patients atteints dacromégalie et de tumeurs carcinoïdes, des modifications de lECG telles quun allongement de QT, une déviation de laxe, une repolarisation précoce, un faible voltage, une transition R/S, une propagation précoce de londe R et des modifications non spécifiques des ondes ST-T, ont été observées. Le lien entre ces événements et loctréotide na pas été clairement démontré, car beaucoup de ces patients souffraient dune cardiopathie sous-jacente (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Les effets indésirables énumérés ci-dessous ont été rapportés dans les études cliniques réalisées avec l’octréotide:
  • -Indications de fréquence (par ordre décroissant de fréquence): très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1000, <1/100); rares (≥1/10000, <1/1000) très rares (<1/10000), y compris cas isolés. Dans chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont énumérés par ordre de sévérité décroissante.
  • +Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés dans les études cliniques après l'administration de l'octréotide ont été: diarrhée, douleurs abdominales, nausées, ballonnements, céphalées, cholélithiase, hyperglycémie et constipation.
  • +Dans de rares cas, les effets secondaires gastro-intestinaux peuvent prendre l'apparence d'une occlusion intestinale aiguë, avec ballonnement abdominal croissant, douleur épigastrique intense et défense abdominale douloureuse.
  • +On peut enregistrer une augmentation de l'excrétion de graisses dans les selles, mais rien n'indique à ce jour que le traitement par l'octréotide, même à long terme, entraîne une carence nutritionnelle due à une malabsorption.
  • +Les effets indésirables gastro-intestinaux peuvent être réduits en pratiquant les injections dans la mesure du possible à distance des repas, c.-à-d. entre les repas ou le soir avant le coucher.
  • +Dans de très rares cas, une pancréatite aiguë a été rapportée dans les premières heures ou jours d'un traitement par Sandostatine et a régressé à l'arrêt du médicament. En outre, une pancréatite induite par une cholélithiase a été rapportée chez des patients sous traitement de longue durée avec Sandostatine.
  • +Chez les patients atteints d'acromégalie et de tumeurs carcinoïdes, des modifications de l'ECG telles qu'un allongement de QT, une déviation de l'axe, une repolarisation précoce, un faible voltage, une transition R/S, une propagation précoce de l'onde R et des modifications non spécifiques des ondes ST-T, ont été observées. Le lien entre ces événements et l'octréotide n'a pas été clairement démontré, car beaucoup de ces patients souffraient d'une cardiopathie sous-jacente (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Réactions au point d'application
  • +Les réactions locales avec Sandostatine comprennent: paresthésies, douleurs, picotements ou brûlures s'accompagnant d'une rougeur et d'une tuméfaction au point d'injection s.c. Il est rare que ces réactions durent plus de 15 min et elles sont moins virulentes lorsque la solution Sandostatine est portée à température ambiante avant l'injection ou qu'un volume plus faible est injecté sous forme de solution plus concentrée.
  • +Ci-après, les effets indésirables observés dans les études cliniques ou l'observation du marché sur l'utilisation de l'octréotide, ont été répertoriés selon le système de classification organique MedDRA et leur fréquence. Les fréquences sont régies par la convention suivante: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1'000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1'000); très rares (<1/10'000); non connus (basé essentiellement sur des signalements spontanés lors de la surveillance du marché, la fréquence précise ne peut pas être estimée).
  • +Système immunitaire
  • +Non connus: Réaction d'hypersensibilité y compris les réactions anaphylactiques.
  • -Très fréquents: Hyperglycémie.
  • +Très fréquents: Hyperglycémie (10,8%).
  • -Très fréquents: Céphalées.
  • +Très fréquents: Céphalées (12,4%).
  • -Coeur
  • +Cœur
  • +Non connus: Arythmies.
  • -Troubles gastrointestinaux
  • -Très fréquents: Diarrhée, douleurs abdominales, nausées, constipation, ballonnements.
  • -Fréquents: Dyspepsie, vomissements, ballonnement abdominal, stéatorrhée, selles involontaires, coloration des selles.
  • +Troubles gastro-intestinaux
  • +Très fréquents: Diarrhée (26,1%), douleurs abdominales (24,2%), nausées (14,3%), flatulences (14,2%), constipation (12,7%).
  • +Fréquents: Dyspepsie, vomissements, distension abdominale, stéatorrhée, coloration des selles.
  • +Non connus: Pancréatique aigue.
  • +
  • -Très fréquents: Cholélithiase.
  • -Fréquents: Cholécystite, sable biliaire, hyperbilirubinémie.
  • +Très fréquents: Cholélithiase (12,0%).
  • +Fréquents: Taux de transaminases élevé, hyperbilirubinémie, cholécystite.
  • +Non connus: Phosphatase alcaline élevée dans le sang, gamma-glutamyltranspeptidase élevée, ictére, choléstase, ictère cholestatique, hépatite cholestatique, hépatite aigue sans cholestase.
  • -Fréquents: Prurit, éruption cutanée, chute de cheveux.
  • -Troubles généraux
  • -Très fréquents: Douleur localisée au site d’injection.
  • -Investigations
  • -Fréquents: Augmentation du taux de transaminases.
  • -Annonces d’effets indésirables depuis la mise sur le marché
  • -Les rapports spontanés d’effets indésirables (voir plus bas) sont déclarés sur une base volontaire et il n’est pas toujours possible d’en établir avec fiabilité la fréquence et le lien de causalité.
  • -Système immunitaire: Anaphylaxie, allergie/réactions d’hypersensibilité.
  • -Peau: Urticaire.
  • -Troubles hépatobiliaires: Pancréatite aiguë, hépatite aiguë sans cholestase, hépatite cholestatique, cholestase, ictère, ictère cholestatique.
  • -Coeur: Arythmies.
  • -Investigations: Augmentation du taux de phosphatase alcaline, augmentation du taux de gamma-glutamyltransférase.
  • +Fréquents: Prurit, éruption cutanée, alopécie.
  • +Non connus: Urticaire.
  • +Troubles généraux et réactions au point d'application
  • +Très fréquents: Réactions au point d'injection (10 à 30% selon la dose et les intervalles d'injection, par ex. douleurs, paresthésie, érythème).
  • +Fréquents: Asthénie.
  • -Un nombre limité de cas de surdosages accidentels de Sandostatine chez ladulte et lenfant a été rapporté. Chez ladulte, les doses allaient de 2400 à 6000 µg/jour, administrés en perfusion continue (100250 µg/h) ou par voie sous-cutanée (1500 µg/3×j). Les symptômes annoncés ont été: arythmie, hypotension, arrêt cardiaque, hypoxie cérébrale, pancréatite, stéatose hépatique, diarrhée, faiblesse, léthargie, amaigrissement, hépatomégalie, acidose lactique.
  • -Chez lenfant, les doses allaient de 50 à 3000 µg/jour, administrés en perfusion continue (2,1–500 µg/h) ou par voie sous-cutanée (50100 µg). Le seul effet indésirable déclaré a été une hyperglycémie légère.
  • -Aucun effet indésirable inattendu na été déclaré chez les patients cancéreux qui avaient reçu Sandostatine à des doses de 3’000–30’000 µg/j par voie sous-cutanée, administrés en doses partielles.
  • +Un nombre limité de cas de surdosages accidentels de Sandostatine chez l'adulte et l'enfant a été rapporté. Chez l'adulte, les doses allaient de 2'400 à 6'000 µg/jour, administrés en perfusion continue (100-250 µg/h) ou par voie sous-cutanée (1'500 µg/3×d). Les symptômes annoncés ont été: arythmie, hypotension, arrêt cardiaque, hypoxie cérébrale, pancréatite, stéatose hépatique, diarrhée, faiblesse, léthargie, amaigrissement, hépatomégalie, acidose lactique.
  • +Chez l'enfant, les doses allaient de 50 à 3'000 µg/jour, administrés en perfusion continue (2.1-500 µg/h) ou par voie sous-cutanée (50-100 µg).Le seul effet indésirable déclaré a été une hyperglycémie légère.
  • +Aucun effet indésirable inattendu n'a été déclaré chez les patients cancéreux qui avaient reçu Sandostatine à des doses de 3'000-30'000 µg/d par voie sous-cutanée, administrés en doses partielles.
  • -Mécanisme daction/Pharmacodynamie
  • -Sandostatine est un octapeptide de synthèse dont les effets pharmacologiques sont comparables à ceux de la somatostatine naturelle mais dont la durée daction est nettement prolongée. Elle inhibe la sécrétion pathologiquement augmentée de peptides du système endocrinien gastroentéro-pancréatique et de lhormone somatotrope (GH).
  • -Chez lanimal, Sandostatine inhibe la sécrétion de GH, de glucagon et dinsuline de façon plus marquée que la somatostatine et avec une plus grande sélectivité pour la GH et le glucagon.
  • -Chez le sujet sain, les effets suivants ont été observés sous Sandostatine
  • -inhibition de la libération de GH stimulée par différents facteurs (arginine, exercice ou hypoglycémie provoquée par linsuline);
  • -inhibition de la libération postprandiale dinsuline, de glucagon, de gastrine et dautres peptides du système gastroentéropancréatique ainsi que la libération dinsuline et de glucagon provoquée par larginine;
  • -inhibition de la libération dhormone thyréotrope (TSH) provoquée par la protiréline (TRH).
  • -Contrairement à la Somatostatine, loctréotide inhibe la sécrétion de GH prioritairement par linsuline et son administration ne provoque pas dhypersécrétion hormonale de rebond (p.ex. de GH chez les patients acromégales).
  • -Chez les patients acromégaliques, Sandostatine diminue les taux plasmatiques de GH et de IGF-1. Une diminution dau moins 50% des taux sériques, et dans la moitié des cas une réduction jusquà <5 ng/ml des taux sériques de GH, ont été observés chez jusquà 90% des patients.
  • -Dans la plupart des cas, Sandostatine améliore notablement les symptômes tels que céphalées, tuméfaction de la peau ou des parties molles, hyperhydrose, arthralgies et paresthésies. Chez les patients porteurs dun gros adénome hypophysaire, le traitement par Sandostatine peut entraîner une certaine diminution de la masse tumorale.
  • -En raison de ses divers effets endocriniens, Sandostatine modifie plusieurs paramètres cliniques chez les patients porteurs de tumeurs fonctionnelles du système endocrinien gastroentéropancréatique. Une amélioration considérable a été observée chez les patients présentant des symptômes graves dus à leurs tumeurs, et ce en dépit de traitements antérieurs (chirurgie, embolisation de lartère hépatique et diverses chimiothérapies telles que la streptozocine et le fluoro-uracile).
  • +Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
  • +Sandostatine est un octapeptide de synthèse dont les effets pharmacologiques sont comparables à ceux de la somatostatine naturelle mais dont la durée d'action est nettement prolongée. Elle inhibe la sécrétion pathologiquement augmentée de peptides du système endocrinien gastroentéro-pancréatique et de l'hormone somatotrope (GH).
  • +Chez l'animal, Sandostatine inhibe la sécrétion de GH, de glucagon et d'insuline de façon plus marquée que la somatostatine et avec une plus grande sélectivité pour la GH et le glucagon.
  • +Chez le sujet sain, les effets suivants ont été observés sous Sandostatine:
  • +·inhibition de la libération de GH stimulée par différents facteurs (arginine, exercice ou hypoglycémie provoquée par l'insuline);
  • +·inhibition de la libération postprandiale d'insuline, de glucagon, de gastrine et d'autres peptides du système gastroentéropancréatique ainsi que la libération d'insuline et de glucagon provoquée par l'arginine;
  • +·inhibition de la libération d'hormone thyréotrope (TSH) provoquée par la protiréline (TRH).
  • +Contrairement à la somatostatine, l'octréotide inhibe la sécrétion de GH prioritairement par l'insuline et son administration ne provoque pas d'hypersécrétion hormonale de rebond (p.ex. de GH chez les patients acromégales).
  • +Chez les patients acromégaliques, Sandostatine diminue les taux plasmatiques de GH et de IGF-1. Une diminution d'au moins 50% des taux sériques, et dans la moitié des cas une réduction jusqu'à <5 ng/ml des taux sériques de GH, ont été observés chez jusqu'à 90% des patients.
  • +Dans la plupart des cas, Sandostatine améliore notablement les symptômes tels que céphalées, tuméfaction de la peau ou des parties molles, hyperhydrose, arthralgies et paresthésies. Chez les patients porteurs d'un gros adénome hypophysaire, le traitement par Sandostatine peut entraîner une certaine diminution de la masse tumorale.
  • +En raison de ses divers effets endocriniens, Sandostatine modifie plusieurs paramètres cliniques chez les patients porteurs de tumeurs fonctionnelles du système endocrinien gastroentéropancréatique. Une amélioration considérable a été observée chez les patients présentant des symptômes graves dus à leurs tumeurs, et ce en dépit de traitements antérieurs (chirurgie, embolisation de l'artère hépatique et diverses chimiothérapies telles que la streptozocine et le 5-fluoro-uracile).
  • -Sandostatine peut entraîner une amélioration des symptômes, notamment du flush et de la diarrhée, accompagnée dans certains cas dune baisse du taux plasmatique de sérotonine et dune réduction de lexcrétion urinaire dacide 5-hydroxy-indolacétique.
  • -Si ce traitement reste inefficace, il est recommandé de ne pas le poursuivre au-delà dune semaine.
  • +Sandostatine peut entraîner une amélioration des symptômes, notamment du flush et de la diarrhée, accompagnée dans certains cas d'une baisse du taux plasmatique de sérotonine et d'une réduction de l'excrétion urinaire d'acide 5-hydroxy-indolacétique. Si ce traitement reste inefficace, il est recommandé de ne pas le poursuivre au-delà d'une semaine.
  • -Le traitement par Sandostatine permet, dans la plupart des cas, de diminuer les diarrhées dhypersécrétion qui en sont la manifestation typique, ce qui se traduit par une amélioration de la qualité de vie. Cet effet saccompagne dune diminution des troubles hydro-électrolytiques liés à la diarrhée (p.ex. de lhypokaliémie), ce qui permet darrêter lapport hydro-électrolytique par voie entérale et parentérale. Chez certains patients, lexamen par scanner suggère que lévolution tumorale a été ralentie ou stoppée, et lon a même observé une réduction de la masse tumorale, notamment de métastases hépatiques. Lamélioration clinique saccompagne généralement dune réduction du taux plasmatique de VIP, qui peut même se normaliser.
  • +Le traitement par Sandostatine permet, dans la plupart des cas, de diminuer les diarrhées d'hypersécrétion qui en sont la manifestation typique, ce qui se traduit par une amélioration de la qualité de vie. Cet effet s'accompagne d'une diminution des troubles hydro-électrolytiques liés à la diarrhée (p.ex. de l'hypokaliémie), ce qui permet d'arrêter l'apport hydro-électrolytique par voie entérale et parentérale. Chez certains patients, l'examen par scanner suggère que l'évolution tumorale a été ralentie ou stoppée, et l'on a même observé une réduction de la masse tumorale, notamment de métastases hépatiques. L'amélioration clinique s'accompagne généralement d'une réduction du taux plasmatique de VIP, qui peut même se normaliser.
  • -Ladministration de Sandostatine entraîne dans la plupart des cas une amélioration notable de lérythème nécrolytique migrateur qui caractérise ces tumeurs. Sandostatine ninfluence guère le léger état de diabète souvent observé chez les patients atteints de glucagonomes et ne réduit pas, en règle générale, les besoins en insuline ou en antidiabétiques oraux. Sandostatine entraîne une amélioration des diarrhées chez les patients qui en souffrent et, par voie de conséquence, une augmentation pondérale. Bien quelle provoque souvent une baisse immédiate du taux plasmatique de glucagon, cette baisse ne se maintient généralement pas pendant une période dadministration prolongée, malgré lamélioration persistante des symptômes.
  • +L'administration de Sandostatine entraîne dans la plupart des cas une amélioration notable de l'érythème nécrolytique migrateur qui caractérise ces tumeurs. Sandostatine n'influence guère le léger état de diabète souvent observé chez les patients atteints de glucagonomes et ne réduit pas, en règle générale, les besoins en insuline ou en antidiabétiques oraux. Sandostatine entraîne une amélioration des diarrhées chez les patients qui en souffrent et, par voie de conséquence, une augmentation pondérale. Bien qu'elle provoque souvent une baisse immédiate du taux plasmatique de glucagon, cette baisse ne se maintient généralement pas pendant une période d'administration prolongée, malgré l'amélioration persistante des symptômes.
  • -Le traitement par les inhibiteurs de la pompe à protons ou les inhibiteurs des récepteurs H2 ne permet pas toujours de prévenir la maladie ulcéreuse récurrente due à lhypersécrétion chronique dacide gastrique stimulée par la gastrine; de plus, il reste sans effet sur la diarrhée, qui est parfois très prononcée. Dans ces cas-là, Sandostatine peut, seule ou en association avec un inhibiteur de la pompe à protons ou dinhibiteurs des récepteurs H2, réduire lhypersécrétion dacide gastrique et améliorer les symptômes, y compris la diarrhée, chez 50% des patients. Elle peut aussi améliorer dautres symptômes éventuellement liés à la production peptidique par la tumeur, tel le flush.
  • +Le traitement par les inhibiteurs de la pompe à protons ou les inhibiteurs des récepteurs H2 ne permet pas toujours de prévenir la maladie ulcéreuse récurrente due à l'hypersécrétion chronique d'acide gastrique stimulée par la gastrine; de plus, il reste sans effet sur la diarrhée, qui est parfois très prononcée. Dans ces cas-là, Sandostatine peut, seule ou en association avec un inhibiteur de la pompe à protons ou d'inhibiteurs des récepteurs H2, réduire l'hypersécrétion d'acide gastrique et améliorer les symptômes, y compris la diarrhée, chez 50% des patients. Elle peut aussi améliorer d'autres symptômes éventuellement liés à la production peptidique par la tumeur, tel le flush.
  • -Sandostatine provoque une baisse de linsuline immunoréactive circulante, mais cette baisse est en général de brève durée (2 h env.). Chez les patients porteurs de tumeurs opérables, Sandostatine peut contribuer à rétablir et à maintenir la normoglycémie avant lintervention. Chez les patients porteurs de tumeurs bénignes ou malignes inopérables, le contrôle de la glycémie peut être amélioré dans un nombre limité de cas sans que lon observe simultanément une baisse durable des taux dinsuline circulante.
  • +Sandostatine provoque une baisse de l'insuline immunoréactive circulante, mais cette baisse est en général de brève durée (2 h env.). Chez les patients porteurs de tumeurs opérables, Sandostatine peut contribuer à rétablir et à maintenir la normoglycémie avant l'intervention. Chez les patients porteurs de tumeurs bénignes ou malignes inopérables, le contrôle de la glycémie peut être amélioré dans un nombre limité de cas sans que l'on observe simultanément une baisse durable des taux d'insuline circulante.
  • -Ces tumeurs, qui sont rares, produisent du GRF (Growth Hormone Releasing Factor, somatolibérine) seul ou associé à dautres peptides actifs. Sandostatine a provoqué, dans un des deux cas étudiés, une amélioration des symptômes de lacromégalie, affection qui en résulte. Cet effet sexplique probablement par une inhibition du GRF et de la sécrétion de GH, ce qui peut entraîner une régression de lhypertrophie hypophysaire.
  • +Ces tumeurs, qui sont rares, produisent du GRF (Growth Hormone Releasing Factor, somatolibérine) seul ou associé à d'autres peptides actifs. Sandostatine a provoqué, dans un des deux cas étudiés, une amélioration des symptômes de l'acromégalie, affection qui en résulte. Cet effet s'explique probablement par une inhibition du GRF et de la sécrétion de GH, ce qui peut entraîner une régression de l'hypertrophie hypophysaire.
  • -Chez les patients devant subir une opération chirurgicale du pancréas, ladministration péri- et post-opératoire de Sandostatine réduit lincidence des complications typiques post-opératoires (comme p.ex. fistule pancréatique, abcès et infection subséquente, pancréatite aiguë).
  • -Hémorragies des varices gastro-oesophagiennes
  • -Chez des patients présentant des hémorragies de varices oesophagiennes dues à une cirrhose, une étude clinique a montré que lutilisation concomitante de Sandostatine avec la sclérothérapie permettait de mieux contrôler les hémorragies et les récidives précoces, de diminuer les besoins en transfusions et daméliorer le taux de survie à 5 jours. Le mécanisme daction exact dans cette indication nest pas connu; cependant, on suppose que Sandostatine inhibe la circulation sanguine splanchnique par linhibition dhormones vaso-actives (p.ex. VIP, glucagon).
  • +Chez les patients devant subir une opération chirurgicale du pancréas, l'administration péri- et post-opératoire de Sandostatine réduit l'incidence des complications typiques post-opératoires (comme p.ex. fistule pancréatique, abcès et infection subséquente, pancréatite aiguë).
  • +Hémorragies des varices gastro-œsophagiennes
  • +Chez des patients présentant des hémorragies de varices œsophagiennes dues à une cirrhose, une étude clinique a montré que l'utilisation concomitante de Sandostatine avec la sclérothérapie permettait de mieux contrôler les hémorragies et les récidives précoces, de diminuer les besoins en transfusions et d'améliorer le taux de survie à 5 jours. Le mécanisme d'action exact dans cette indication n'est pas connu; cependant, on suppose que Sandostatine inhibe la circulation sanguine splanchnique par l'inhibition d'hormones vaso-actives (p.ex. VIP, glucagon).
  • -Loctréotide est complètement et rapidement absorbé suite à une injection s.c. La Cmax est atteinte après 30 min.
  • +L'octréotide est complètement et rapidement absorbé suite à une injection s.c. La Cmax est atteinte après 30 min.
  • -Le volume de distribution est de 0,27 l/kg et la clairance totale de 160 ml/min. La fixation aux protéines plasmatiques sélève à 65%. Loctréotide ne se lie que dans une faible proportion aux cellules sanguines.
  • +Le volume de distribution est de 0.27 l/kg et la clairance totale de 160 ml/min. La fixation aux protéines plasmatiques s'élève à 65%. L'octréotide ne se lie que dans une faible proportion aux cellules sanguines.
  • -Après administration sous-cutanée, la demi-vie délimination est de 100 min. Après injection intraveineuse, lélimination est biphasique, avec une demi-vie de 10 et 90 min respectivement. La majeure partie du peptide est éliminée par les fèces et env. 32% sous forme inchangée dans lurine.
  • +Après administration sous-cutanée, la demi-vie d'élimination est de 100 min. Après injection intraveineuse, l'élimination est biphasique, avec une demi-vie de 10 et 90 min respectivement. La majeure partie du peptide est éliminée par les fèces et env. 32% sous forme inchangée dans l'urine.
  • -Insuffisance rénale: une fonction rénale diminuée na pas eu dinfluence sur lexposition totale (AUC) de loctréotide administré par voie s.c.
  • -Insuffisance hépatique: une cirrhose hépatique, mais pas la stéatose hépatique, entraîne une diminution de lélimination de loctréotide (30%).
  • +Insuffisance rénale: une fonction rénale diminuée n'a pas eu d'influence sur l'exposition totale (AUC) de l'octréotide administré par voie s.c.
  • +Insuffisance hépatique: une cirrhose hépatique, mais pas la stéatose hépatique, entraîne une diminution de l'élimination de l'octréotide (30%).
  • -Mutagénicité: l’octréotide et ses métabolites nont montré aucun potentiel mutagène in-vitro.
  • -In-vivo, les recherches nont montré aucune activité clastogène sur la moelle osseuse de souris qui ont été traitées avec loctréotide par voie i.v. (Test micronucleus) ni dévidence de génotoxicité chez les souris mâles (Test ADN).
  • -Carcinognicité/toxicité chronique: des tumeurs (spécifiques à lespèce) locales ont été observées au lieu dinjection chez le rat. Leur apparition a été attribuée à une dysfonction de la fibroplasie provoquée par leffet irritant constant au point dinjection, renforcé par les constituants.
  • -Dans une étude de carcinogénicité chez les rates, des adénocarcinomes utérins de lendomètre ont été observés. Les données disponibles montrent que les tumeurs observées sont endocrino-dépendantes et spécifiques à lespèce et sans relevance pour lutilisation du médicament chez lhomme.
  • -Reproduction: des études de fertilité, comme des études de la pré-, peri- et post-natalité, sur des rates auxquelles des doses journalières s.c. de 1 mg/kg de poids corporel ont été administrées, n’ont pas montré d’effets indésirables sur la fécondité et le développement des descendants. Un certain retard de la croissance physiologique, constaté chez les petits, était de nature passagère et a pu être attribué à une inhibition de la GH, due à un effet pharmacodynamique supérieur à la norme.
  • +Mutagénicité
  • +L'octréotide et ses métabolites n'ont montré aucun potentiel mutagène in-vitro.
  • +In-vivo, les recherches n'ont montré aucune activité clastogène sur la moelle osseuse de souris qui ont été traitées avec l'octréotide par voie i.v. (Test micronucleus) ni d'évidence de génotoxicité chez les souris mâles (Test ADN).
  • +Carcinognicité/toxicité chronique
  • +Des tumeurs (spécifiques à l'espèce) locales ont été observées au lieu d'injection chez le rat. Leur apparition a été attribuée à une dysfonction de la fibroplasie provoquée par l'effet irritant constant au point d'injection, renforcé par les constituants.
  • +Dans une étude de carcinogénicité chez les rates, des adénocarcinomes utérins de l'endomètre ont été observés. Les données disponibles montrent que les tumeurs observées sont endocrino-dépendantes et spécifiques à l'espèce et sans relevance pour l'utilisation du médicament chez l'homme.
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +Des analyses de la toxicité sur la reproduction et le développement ont été menées sur des rats et des lapins moyennant des doses allant jusqu'à 1 mg/kg et par jour. L'octréotide ne compromettait pas la fertilité chez les rats mâles et femelles. Aucun signe d'effets tératogènes embryonnaires/ou fœtals, ni d'autres effets sur la reproduction n'ont été constatés avec l'octréotide. Chez la jeune progéniture de rats, un certain retard de la croissance physiologique a été constaté, celui-ci étant passager et très vraisemblablement dû à l'inhibition des hormones de croissance en raison de l'important effet pharmacodynamique. Une descente tardive des testicules a été observée dans des études pré- et postnatales sur la progéniture mâle des mères traitées pendant la gestation et l'allaitement. La fertilité des jeunes animaux F1 concernés était néanmoins normale. Nous supposons que ces observations sont dues à l'inhibition de la croissance sous l'effet de l'octréotide.
  • -Le médicament ne peut être utilisé au-delà de la date imprimée sur l’emballage avec la mention «EXP».
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Le médicament doit être conservé au réfrigérateur (28 °C) et à labri du gel et de la lumière.
  • -Pour lutilisation quotidienne, les ampoules, resp. les flacons peuvent être gardés à une température ne dépassant pas 30 °C, resp. 25 °C, pendant 2 semaines.
  • +Le médicament doit être conservé au réfrigérateur (2-8 °C) et à l'abri du gel et de la lumière.
  • +Pour l'utilisation quotidienne, les ampoules, resp. les flacons peuvent être gardés à une température ne dépassant pas 30 °C, resp. 25 °C, pendant 2 semaines.
  • -Administration sous-cutanée: Les patients qui doivent procéder eux-mêmes à linjection s.c. du médicament recevront des instructions précises de la part de l’infirmière ou du médecin.
  • -Pour réduire à un minimum la douleur au site dinjection, il est recommandé dattendre que la solution ait atteint la température ambiante avant de procéder à ladministration. Éviter dinjecter plusieurs fois de suite au même endroit.
  • -Les ampoules ne devraient être ouvertes très peu de temps avant lutilisation. Un reste de solution non utilisé doit être jeté.
  • -Afin déviter une contamination, il est recommandé de ne pas piquer le bouchon du flacon-ampoule plus de 10×.
  • -Perfusion intraveineuse: avant dêtre administrées, les préparations parentérales doivent être contrôlées visuellement au niveau de la coloration et des particules.
  • -Sandostatine (acétate doctréotide) dilué dans une solution physiologique stérile de NaCl 0,9% ou de glucose 5% glucose est physiquement et chimiquement stable pendant 24 h. Comme Sandostatine peut influencer lhoméostasie du glucose, il est préférable dutiliser une solution de NaCl 0,9% plutôt quune solution de glucose. Les solutions diluées sont physiquement et chimiquement stables pendant 24 h à une température au-dessous de 25 °C, cependant, pour des raisons de pureté microbienne, il est recommandé de les utiliser immédiatement. Au cas où la solution ne serait pas utilisée immédiatement, lutilisateur est tenu de la conserver à 28 °C. Avant ladministration il faut à nouveau amener la solution à température ambiante. La durée entre la reconstitution, dilution avec solution de perfusion, entreposage au réfrigérateur et finalisation de ladministration ne doit pas dépasser 24 h.
  • -Généralement, lors dadministration intraveineuse de Sandostatine, le contenu dune ampoule à 0,5 mg est dilué dans 60 ml de solution physiologique de NaCl 0,9% et la solution ainsi obtenue est perfusée au moyen dune pompe. Cette procédure est maintenue pendant toute la durée de traitement prescrite. Sandostatine a aussi été perfusé à des concentrations inférieures.
  • +Administration sous-cutanée: Les patients qui doivent procéder eux-mêmes à l'injection s.c. du médicament recevront des instructions précises de la part du médecin ou du/de la spécialiste médicale.
  • +Pour réduire à un minimum la douleur au site d'injection, il est recommandé d'attendre que la solution ait atteint la température ambiante avant de procéder à l'administration. Éviter d'injecter plusieurs fois de suite au même endroit.
  • +Les ampoules ne devraient être ouvertes très peu de temps avant l'utilisation. Un reste de solution non utilisé doit être jeté.
  • +Afin d'éviter une contamination, il est recommandé de ne pas piquer le bouchon du flacon plus de 10×.
  • +Perfusion intraveineuse: avant d'être administrées, les préparations parentérales doivent être contrôlées visuellement au niveau de la coloration et des particules.
  • +Sandostatine (acétate d'octréotide) dilué dans une solution physiologique stérile de NaCl 0.9% ou de glucose 5% glucose est physiquement et chimiquement stable pendant 24 h. Comme Sandostatine peut influencer l'homéostasie du glucose, il est préférable d'utiliser une solution de NaCl 0.9% plutôt qu'une solution de glucose. Les solutions diluées sont physiquement et chimiquement stables pendant 24 h à une température au-dessous de 25 °C, cependant, pour des raisons de pureté microbienne, il est recommandé de les utiliser immédiatement. Au cas où la solution ne serait pas utilisée immédiatement, l'utilisateur est tenu de la conserver à 2-8 °C. Avant l'administration il faut à nouveau amener la solution à température ambiante. La durée entre la reconstitution, dilution avec solution de perfusion, entreposage au réfrigérateur et finalisation de l'administration ne doit pas dépasser 24 h.
  • +Généralement, lors d'administration intraveineuse de Sandostatine, le contenu d'une ampoule à 0.5 mg est dilué dans 60 ml de solution physiologique de NaCl 0.9% et la solution ainsi obtenue est perfusée au moyen d'une pompe. Cette procédure est maintenue pendant toute la durée de traitement prescrite. Sandostatine a aussi été perfusé à des concentrations inférieures.
  • -Ampoules (1 ml) 0,05 mg/ml: 5.
  • -Ampoules (1 ml) 0,1 mg/ml: 5.
  • -Ampoules (1 ml) 0,5 mg/ml: 5.
  • -Flacons (5ml) 0,2 mg/ml: 1. [A]
  • +Ampoules (1 ml) 0.05 mg/ml: 5. [A]
  • +Ampoules (1 ml) 0.1 mg/ml: 5. [A]
  • +Ampoules (1 ml) 0.5 mg/ml: 5. [A]
  • +Flacons (5 ml) 0.2 mg/ml: 1. [A]
  • -Novartis Pharma Schweiz AG, Risch; Domicile: 6343 Rotkreuz
  • +Novartis Pharma Schweiz AG, Risch; Domicile: 6343 Rotkreuz.
  • -Décembre 2008.
  • +Novembre 2015.
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