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Accueil - Information professionnelle sur Clexane 20 mg/0.2 ml - Changements - 12.08.2024
90 Changements de l'information professionelle Clexane 20 mg/0.2 ml
  • -Principe actif: énoxaparine sodique.
  • +Principe actif: Enoxaparinum natricum.
  • -·Insuffisance cardiaque de stade III ou IV de la classification NYHA.
  • -·Insuffisance respiratoire aiguë.
  • -·Un épisode d'infection aiguë ou d'affection rhumatologique aiguë associé à au moins un autre facteur de risque thrombo-embolique.
  • +·Insuffisance cardiaque de stade III ou IV de la classification NYHA;
  • +·Insuffisance respiratoire aiguë;
  • +·Un épisode d'infection aiguë ou d'affection rhumatologique aiguë, associé à au moins un autre facteur de risque thrombo-embolique.
  • -En cas de thrombose des veines pelviennes, chez les patients avec une anamnèse d'embolies pulmonaires récidivantes et chez les patients présentant un risque accru d'hémorragie, le traitement se fera par voie intraveineuse avec de l'héparine non fractionnée, jusqu'à ce que l'on dispose de données supplémentaires.
  • -Prévention de la coagulation du circuit de circulation extra-corporelle dans l'hémodialyse.
  • +En cas de thrombose des veines pelviennes, chez les patients avec une anamnèse d'embolies pulmonaires récidivantes et chez les patients présentant un risque accru d'hémorragie, le traitement se fera par administration intraveineuse avec de l'héparine non fractionnée, jusqu'à ce que l'on dispose de données supplémentaires.
  • +Prévention des caillots dans le circuit de circulation extra-corporelle dans l'hémodialyse.
  • -Chez les patients ne présentant pas de risque thromboembolique majeur, la prévention efficace de la maladie thrombo-embolique est obtenue par une injection quotidienne d'une dose de 20 mg (0,2 ml = 2000 U.I. anti-Xa) sous-cutanée (SC). En chirurgie générale, la première injection sera effectuée environ deux heures avant l'intervention.
  • +Chez les patients présentant un risque thromboembolique modéré, la prévention efficace de la maladie thrombo-embolique est obtenue par une injection quotidienne d'une dose de 20 mg (0,2 ml = 2000 U.I. anti-Xa) sous-cutanée (SC). En chirurgie générale, la première injection sera effectuée environ deux heures avant l'intervention.
  • -La posologie recommandée d'énoxaparine est de 40 mg SC à raison d'une injection quotidienne par voie sous-cutanée. Le traitement est maintenu pendant 6 jours au minimum et il doit être poursuivi jusqu'à la mobilisation complète du malade, au maximum 14 jours.
  • +La posologie recommandée d'énoxaparine est de 40 mg, à raison d'une injection quotidienne par voie sous-cutanée. Le traitement est maintenu pendant 6 jours au minimum et il doit être poursuivi jusqu'à la mobilisation complète du malade, au maximum 14 jours.
  • -La dose recommandée est de 30 mg d'énoxaparine en un seul bolus IV plus une dose de 1 mg/kg SC, puis une injection de 1 mg/kg SC toutes les 12 heures (maximum 100 mg pour chacune des 2 premières doses SC, puis 1 mg/kg pour les doses SC suivantes). Pour les patients âgés de 75 ans ou plus, voir la section «Posologie spéciale, patients âgés».
  • +La dose recommandée est de 30 mg d'énoxaparine en un seul bolus IV plus une dose de 1 mg/kg SC, puis une injection de 1 mg/kg SC toutes les 12 heures (maximum 100 mg pour chacune des 2 premières doses sous-cutanées, puis 1 mg/kg pour les doses sous-cutanées suivantes). Pour les patients âgés de 75 ans ou plus, voir la section «Posologie spéciale, patients âgés».
  • -Pour les patients devant subir une intervention coronaire percutanée (PCI): si la dernière administration SC d'énoxaparine a été faite moins de 8 heures avant le gonflement du ballon, aucune administration supplémentaire n'est nécessaire. Si la dernière administration sous-cutanée remonte à plus de 8 heures avant le gonflement du ballon, une dose de 0,3 mg/kg d'énoxaparine devrait être administrée en bolus IV.
  • +Pour les patients devant subir une intervention coronaire percutanée (PCI): si la dernière administration SC d'énoxaparine a été faite moins de 8 heures avant le gonflement du ballon, aucune administration supplémentaire n'est nécessaire. Si la dernière administration sous-cutanée remonte à plus de 8 heures avant le gonflement du ballon, une dose de 0,3 mg/kg d'énoxaparine IV devrait être administrée en bolus.
  • -Prévention de la coagulation du circuit de circulation extra-corporelle dans l'hémodialyse
  • +Prévention des caillots dans le circuit de circulation extra-corporelle dans l'hémodialyse
  • -Chez les patients bénéficiant de séances d'hémodialyse itératives, la prévention de la coagulation dans le circuit de circulation extracorporelle, sera obtenue en injectant une dose de 1 mg (= 100 U.I. anti-Xa)/kg dans la ligne artérielle du circuit de dialyse, en début de séance. Cette dose est en général suffisante pour une séance d'hémodialyse d'une durée de 4 heures. En cas d'apparition d'anneaux de fibrine (par exemple, lors d'une séance plus longue que d'habitude) on pratiquera une nouvelle injection de 0,5 à 1 mg (= 50-100 U.I. anti-Xa)/kg en fonction du délai jusqu' à la fin de la dialyse.
  • +Chez les patients bénéficiant de séances d'hémodialyse itératives, la prévention des caillots dans le circuit de circulation extracorporelle, sera obtenue en injectant une dose de 1 mg (= 100 U.I. anti-Xa)/kg dans la ligne artérielle du circuit de dialyse, en début de séance. Cette dose est en général suffisante pour une séance d'hémodialyse d'une durée de 4 heures. En cas d'apparition d'anneaux de fibrine (par exemple, lors d'une séance plus longue que d'habitude) on pratiquera une nouvelle injection de 0,5 à 1 mg (= 50-100 U.I. anti-Xa)/kg en fonction du délai jusqu' à la fin de la dialyse.
  • -·Pour le traitement de l'infarctus du myocarde aigu avec élévation du segment ST (STEMI):
  • -Chez les patients âgés de 75 ans ou plus, ne pas donner de bolus IV initial. Administrer 0,75 mg/kg SC toutes les 12 heures (maximum 75 mg pour chacune des 2 premières doses SC, puis 0,75 mg/kg pour les doses SC restantes).
  • -·Pour les autres indications:
  • +Pour le traitement de l'infarctus du myocarde aigu avec élévation du segment ST (STEMI):
  • +Chez les patients âgés de 75 ans ou plus, ne pas donner de bolus IV initial. Administrer 0,75 mg/kg SC toutes les 12 heures (maximum 75 mg pour chacune des 2 premières doses sous-cutanées, puis 0,75 mg/kg pour les doses sous-cutanées restantes).
  • +Pour les autres indications:
  • -Une surveillance soigneuse est indiquée en cas d'insuffisance rénale faible à modérée (clairance de la créatinine comprise entre 30 et 80 ml/min). Un ajustement posologique est nécessaire en cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min), en raison de l'exposition à l'énoxaparine significativement plus élevée:
  • +Une surveillance soigneuse est indiquée en cas d'insuffisance rénale faible à modérée (clairance de la créatinine comprise entre 30 et 80 ml/min). Un ajustement posologique est nécessaire en cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min), en raison de l'exposition à l'énoxaparine significativement plus élevée:
  • -30 mg en un seul bolus IV + 1 mg/kg SC, puis 1 mg/kg SC 2× par jour (Max 100 mg pour chacune des deux premières doses SC) 30 mg en un seul bolus IV + 1 mg/kg SC, puis 1 mg/kg SC 1× par jour (Max 100 mg pour la première dose SC seulement)
  • +30 mg en un seul bolus IV + 1 mg/kg SC, puis 1 mg/kg SC 2× par jour (Max 100 mg pour chacune des 2 premières doses sous-cutanées) 30 mg en un seul bolus IV + 1 mg/kg SC, puis 1 mg/kg SC 1× par jour (Max 100 mg pour la première dose sous-cutanée seulement)
  • -0.75 mg/kg SC 2× par jour, sans bolus initial (Max 75 mg pour chacune des deux premières doses SC) 1 mg/kg SC 1× par jour, sans bolus initial (Max 100 mg pour la première dose SC seulement)
  • +0.75 mg/kg SC 2× par jour, sans bolus IV initial (Max 75 mg pour chacune des 2 premières doses sous-cutanées) 1 mg/kg SC 1× par jour, sans bolus IV initial (Max 100 mg pour la première dose sous-cutanée seulement)
  • -40 mg SC 1× par jour 20 mg SC 1× par jour
  • -20 mg SC 1× par jour 20 mg SC 1× par jour
  • +40 mg sous-cutanée 1× par jour 20 mg sous-cutanée 1× par jour
  • +20 mg sous-cutanée 1× par jour 20 mg sous-cutanée 1× par jour
  • -Ces ajustements posologiques recommandés ne sont pas utilisables pour la prophylaxie antithrombotique lors de l'hémodialyse.
  • +Ces ajustements posologiques recommandés ne sont pas utilisables pour la prévention des caillots dans le circuit de circulation extra-corporelle lors de l'hémodialyse.
  • -Les patients âgés de 75 ans et plus ne reçoivent pas le bolus initial (voir «Posologies spéciales»).
  • +Les patients âgés de 75 ans et plus ne reçoivent pas le bolus IV initial (voir «Posologies spéciales»).
  • -Pour la prévention de la coagulation du circuit de circulation extra-corporelle durant l'hémodialyse, l'énoxaparine est administrée dans la ligne artérielle du circuit de dialyse.
  • +Pour la prévention des caillots dans le circuit de circulation extra-corporelle durant l'hémodialyse, l'énoxaparine est administrée dans la ligne artérielle du circuit de dialyse.
  • -Des taux d'anti-Xa sont encore détectables à ces instants, et les délais préconisés ne sont pas une garantie que l'hématome neuraxial sera évité. Les patients recevant la dose biquotidienne de 0,75 mg / kg ou la dose biquotidienne de 1 mg / kg ne doivent pas recevoir la deuxième dose d'énoxaparine pour augmenter le délai avant la pose ou le retrait du cathéter. De même et bien qu'une recommandation spécifique pour l'administration de la dose suivante d'énoxaparine suite au retrait du cathéter ne peut pas être faite, il faudrait retarder la dose suivante d'au moins quatre heures, basé sur une évaluation du rapport bénéfice - risque en tenant compte à la fois du risque de thrombose et du risque de saignement dans le contexte de la procédure et des facteurs de risque du patient. Pour les patients dont la clairance de la créatinine <30 ml/minute, des considérations supplémentaires sont nécessaires car l'élimination de l'énoxaparine est prolongée; envisager de doubler le temps de retrait d'un cathéter, au moins 24 heures pour la plus faible dose prescrite d'énoxaparine (30 mg 1 fois par jour) et 48 heures au moins pour la plus forte dose (1 mg/kg/jour).
  • +Des taux d'anti-Xa sont encore détectables à ces instants, et les délais préconisés ne sont pas une garantie que l'hématome neuraxial sera évité. Les patients recevant la dose biquotidienne de 0,75 mg / kg ou la dose biquotidienne de 1 mg / kg ne doivent pas recevoir la deuxième dose d'énoxaparine pour augmenter le délai avant la pose ou le retrait du cathéter. De même et bien qu'une recommandation spécifique pour l'administration de la dose suivante d'énoxaparine suite au retrait du cathéter ne peut pas être faite, il faudrait retarder la dose suivante d'au moins quatre heures, basé sur une évaluation du rapport bénéfice - risque en tenant compte à la fois du risque de thrombose et du risque de saignement dans le contexte de la procédure et des facteurs de risque du patient. Pour les patients dont la clairance de la créatinine < 30 ml/minute, des considérations supplémentaires sont nécessaires car l'élimination de l'énoxaparine est prolongée; envisager de doubler le temps de retrait d'un cathéter, au moins 24 heures pour la plus faible dose prescrite d'énoxaparine (30 mg 1 fois par jour) et 48 heures au moins pour la plus haute dose (1 mg/kg/jour).
  • -Afin de limiter le risque d'hémorragies après une intervention vasculaire durant le traitement d'une angine de poitrine instable, d'un infarctus du myocarde sans onde Q ou d'un infarctus du myocarde aigu avec élévation du segment ST, il convient de respecter précisément les intervalles recommandés pour les injections d'énoxaparine. Il est important d'atteindre l'hémostase au site de ponction après intervention coronaire percutanée (PCI). Si un système de fermeture est utilisé, la voie vasculaire peut être retirée immédiatement. Si une méthode de compression manuelle est utilisée, la voie vasculaire devrait être retirée 6 heures après la dernière injection IV ou SC d'énoxaparine. Si le traitement à l'énoxaparine doit être poursuivi, la dose subséquente ne devrait pas être administrée moins de 6 à 8 heures après le retrait de la voie vasculaire. Le site de ponction devrait être surveillé quant-à des signes de saignement ou de formation d'hématomes.
  • +Afin de réduire le risque d'hémorragies après une intervention vasculaire durant le traitement d'une angine de poitrine instable, d'un infarctus du myocarde sans onde Q ou d'un infarctus du myocarde aigu avec élévation du segment ST, il convient de respecter précisément les intervalles recommandés pour les injections d'énoxaparine. Il est important d'atteindre l'hémostase au site de ponction après intervention coronaire percutanée (PCI). Si un système de fermeture est utilisé, la voie vasculaire peut être retirée immédiatement. Si une méthode de compression manuelle est utilisée, la voie vasculaire devrait être retirée 6 heures après la dernière injection IV ou SC d'énoxaparine. Si le traitement à l'énoxaparine doit être poursuivi, la dose subséquente ne devrait pas être administrée moins de 6 à 8 heures après le retrait de la voie vasculaire. Le site de ponction devrait être surveillé quant-à des signes de saignement ou de formation d'hématomes.
  • -Chez les patients insuffisants rénaux, l'exposition à l'énoxaparine et le risque d'hémorragie augmentent. En cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min), l'exposition à l'énoxaparine est significativement augmentée et un ajustement posologique est indiqué pour l'administration thérapeutique et prophylactique (voir «Pharmacocinétique»). En cas d'insuffisance rénale légère à modérée (30-80 ml/min), un ajustement posologique est inutile, mais l'administration doit être surveillée soigneusement (voir «Pharmacocinétique» et «Posologie»).
  • +Chez les patients insuffisants rénaux, l'exposition à l'énoxaparine et le risque d'hémorragie augmentent. En cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min), l'exposition à l'énoxaparine est significativement augmentée et un ajustement posologique est indiqué pour l'administration thérapeutique et prophylactique (voir «Pharmacocinétique»). En cas d'insuffisance rénale légère à modérée (30-80 ml/min), un ajustement posologique est inutile, mais l'administration doit être surveillée soigneusement (voir «Pharmacocinétique» et «Posologie»).
  • -Une élévation de l'exposition à l'énoxaparine a été observée chez les femmes en sous-poids (<45 kg) et les hommes en sous-poids (<57 kg) aux doses prophylactiques. Ceci peut entraîner un risque accru de saignements. Une surveillance soigneuse et éventuellement une réduction de la dose sont recommandées chez ces patients.
  • +Une élévation de l'exposition à l'énoxaparine a été observée chez les femmes en sous-poids (< 45 kg) et les hommes en sous-poids (< 57 kg) aux doses prophylactiques. Ceci peut entraîner un risque accru de saignements. Une surveillance soigneuse et éventuellement une réduction de la dose sont recommandées chez ces patients.
  • -Le risque d'accidents thromboemboliques est plus élevé chez les patients obèses. L'innocuité et l'efficacité de doses prophylactiques chez les patients obèses (IMC >30 kg/m2) n'a pas été entièrement déterminées et il n'y a actuellement pas de consensus sur l'ajustement de la dose. Les signes et symptômes de la maladie thromboembolique doivent être étroitement surveillés chez cette catégorie de patients.
  • +Le risque d'accidents thromboemboliques est plus élevé chez les patients obèses. L'innocuité et l'efficacité de doses prophylactiques chez les patients obèses (IMC > 30 kg/m2) n'a pas été entièrement déterminées et il n'y a actuellement pas de consensus sur l'ajustement de la dose. Les signes et symptômes de la maladie thromboembolique doivent être étroitement surveillés chez cette catégorie de patients.
  • -Aux dosages utilisés pour la prophylaxie de la thrombose veineuse, l'énoxaparine n'influence pas de façon significative le temps de saignement ni l'ensemble des tests de coagulation sanguine; elle ne perturbe ni l'agrégation des plaquettes, ni la fixation du fibrinogène aux plaquettes.
  • -Aux dosages plus élevés, il peut se produire une augmentation de l'aPTT (temps partiel de thromboplastine activée) et de l'ACT (activated coagulation time). Etant donné que l'élévation de l'aPTT et de l'ACT ne correspondent pas de façon linéaire avec l'augmentation de l'activité antithrombique de l'énoxaparine, ces paramètres, non fiables, ne sauraient être utilisés pour la surveillance de l'activité de l'énoxaparine.
  • +Aux dosages utilisés pour la prophylaxie de la thrombose veineuse, l'énoxaparine n'influence pas de façon significative le temps de saignement ni l'ensemble des tests de coagulation sanguine; elle ne perturbe ni l'agrégation des thrombocytes, ni la fixation du fibrinogène aux thrombocytes.
  • +Aux dosages plus élevés, il peut se produire une augmentation de l'aPTT (temps partiel de thromboplastine activée) et de l'ACT (temps de coagulation activé). Etant donné que l'élévation de l'aPTT et de l'ACT ne correspondent pas de façon linéaire avec l'augmentation de l'activité antithrombique de l'énoxaparine, ces paramètres, non fiables, ne sauraient être utilisés pour la surveillance de l'activité de l'énoxaparine.
  • -Avant la thérapie avec énoxaparine il est recommandé d'interrompre un traitement à base de substances influençant l'hémostase (la coagulation sanguine), sauf sous indication stricte. Ces substances comprennent des médicaments tels que les salicylés administrés par voie systémique, l'acide acétylsalicylique et les anti-inflammatoires non stéroïdiens y inclus ketorolac, dextrane, ticlopidine et clopidogrel, les glucocorticoïdes administrés par voie systémique, les thrombolytiques et les anticoagulants, les autres inhibiteurs de l'agrégation plaquettaire y inclus les antagonistes des récepteurs de la glycoprotéine IIb/IIIa. Si une telle combinaison est indiquée, l'énoxaparine doit être utilisée avec prudence, avec une surveillance clinique et des contrôles de laboratoires appropriés.
  • +Avant la thérapie avec énoxaparine il est recommandé d'interrompre un traitement à base de substances influençant l'hémostase (la coagulation sanguine), sauf sous indication stricte. Ces substances comprennent des médicaments tels que les salicylés administrés par voie systémique, l'acide acétylsalicylique et les anti-inflammatoires non stéroïdiens y inclus ketorolac, dextrane, ticlopidine et clopidogrel, les glucocorticoïdes administrés par voie systémique, les thrombolytiques et les anticoagulants, les autres inhibiteurs de l'agrégation thrombocytaire y inclus les antagonistes des récepteurs de la glycoprotéine IIb/IIIa. Si une telle combinaison est indiquée, l'énoxaparine doit être utilisée avec prudence, avec une surveillance clinique et des contrôles de laboratoires appropriés.
  • -Une grande étude rétrospective a analysé 624 grossesses chez 604 femmes résultant en 693 naissances, au cours de laquelle l'énoxaparine a été administrée pour le traitement de la TEV aiguë avec une dose de 1 mg/kg deux fois par jour et administrée pour la thromboprophylaxie à une dose quotidienne de 20 mg ou 40 mg. En outre, cinq études prospectives sur le traitement de la TEV et quatre études prospectives sur la prophylaxie de la TEV pendant la grossesse ayant permis de recueillir des données sur 285 grossesses ont été publiées. Les doses utilisées sont similaires à celles rapportées dans l'étude rétrospective.
  • +Une grande étude rétrospective a analysé 624 grossesses chez 604 femmes résultant en 693 naissances, au cours de laquelle l'énoxaparine a été administrée pour le traitement de la thrombo-embolie veineuse (TEV) aiguë avec une dose de 1 mg/kg deux fois par jour et administrée pour la thromboprophylaxie à une dose quotidienne de 20 mg ou 40 mg. En outre, cinq études prospectives sur le traitement de la TEV et quatre études prospectives sur la prophylaxie de la TEV pendant la grossesse ayant permis de recueillir des données sur 285 grossesses ont été publiées. Les doses utilisées sont similaires à celles rapportées dans l'étude rétrospective.
  • -Les hémorragies ont été les réactions le plus souvent rapportées en essais cliniques. Parmi elles, des hémorragies majeures observées chez 4,2% des patients au maximum dont certaines avec issue fatale (patients chirurgicaux: chez les patients chirurgicaux, les complications hémorragiques ont été jugées majeures: (1) si l'hémorragie provoquait un événement clinique significatif ou (2) si elle s'accompagnait d'une perte d'hémoglobine ≥2 g/dl ou nécessitait la transfusion de 2 unités ou plus de produits sanguins. Les hémorragies rétropéritonéales et intracrâniennes ont toujours été jugées majeures).
  • +Les hémorragies ont été l'effet indésirable le plus fréquemment rapporté lors des essais cliniques. Parmi elles, des hémorragies majeures observées chez 4,2 % des patients au maximum dont certaines avec issue fatale (patients chirurgicaux: chez les patients chirurgicaux, les complications hémorragiques ont été jugées majeures: (1) si l'hémorragie provoquait un événement clinique significatif ou (2) si elle s'accompagnait d'une perte d'hémoglobine ≥2 g/dl ou nécessitait la transfusion de 2 unités ou plus de produits sanguins. Les hémorragies rétropéritonéales et intracrâniennes ont toujours été jugées majeures).
  • -Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1000 à <1/100); rares (≥1/10'000 à <1/1000); très rares (<1/10'000); fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • +Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à < 1/10); occasionnels (≥1/1000 à < 1/100); rares (≥1/10'000 à < 1/1000); très rares (< 1/10'000); fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Très fréquent: thrombocytose (taux de plaquettes augmenté, >400 G/l).
  • +Très fréquent: thrombocytose (taux de plaquettes augmenté, > 400 G/l).
  • -Rares: des cas d'hématome spinal ou épidural durant une anesthésie ou une ponction spinale/épidurale (avec divers degrés de lésions neurologiques, y compris une paralysie à long terme ou permanente).
  • +Rares: des cas d'hématome spinal ou épidural durant une anesthésie spinale/épidurale ou une ponction spinale/épidurale (avec divers degrés de lésions neurologiques, y compris une paralysie à long terme ou permanente).
  • -Affections de la peau et du tissus sous-cutané
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Le surdosage après administration intraveineuse ou sous-cutanée de doses d'énoxaparine pourrait entraîner des complications hémorragiques plus légères ou plus graves. En cas de surdosage, il est indiqué d'effectuer une neutralisation en administrant avec prudence de la protamine par voie i.v.
  • -Dans les 8 heures suivant l'administration d'énoxaparine, la dose (en mg) de protamine à administrer doit correspondre à celle d'énoxaparine administrée. Si entre 2 et 4 heures après l'infusion de protamine le temps de thromboplastine activée reste élevé/trop long, il est recommandé d'administrer une deuxième dose de protamine. Dans ce cas, la dose de protamine (en mg) doit être de 50% à celle d'énoxaparine administrée.
  • -Entre 8 et 12 heures après l'administration d'énoxaparine, la dose (en mg) de protamine à administrer doit correspondre à 50% de la dose d'énoxaparine administrée. Si plus de 12 heures se sont écoulées depuis l'administration de l'énoxaparine, l'administration de protamine n'est plus indiquée.
  • -Une neutralisation totale de l'activité anti-Xa n'est pas possible grâce à l'administration de protamine (max. 60%).
  • +Le surdosage après administration intraveineuse ou sous-cutanée de doses d'énoxaparine pourrait entraîner des complications hémorragiques plus légères ou plus graves. En cas de surdosage, il est indiqué d'effectuer une neutralisation en administrant avec prudence de la protamine par voie IV.
  • +Dans les 8 heures suivant l'administration d'énoxaparine, la dose (en mg) de protamine à administrer doit correspondre à celle d'énoxaparine administrée. Si entre 2 et 4 heures après l'infusion de protamine le temps de thromboplastine activée reste élevé/trop long, il est recommandé d'administrer une deuxième dose de protamine. Dans ce cas, la dose de protamine (en mg) doit être de 50 % à celle d'énoxaparine administrée.
  • +Entre 8 et 12 heures après l'administration d'énoxaparine, la dose (en mg) de protamine à administrer doit correspondre à 50 % de la dose d'énoxaparine administrée. Si plus de 12 heures se sont écoulées depuis l'administration de l'énoxaparine, l'administration de protamine n'est plus indiquée.
  • +Une neutralisation totale de l'activité anti-Xa n'est pas possible grâce à l'administration de protamine (max. 60 %).
  • -L'énoxaparine est une héparine de bas poids moléculaire dont le poids moléculaire moyen est de 4500 daltons environ (<2000 daltons ≤20%, 2000 à 8000 daltons ≥68%, >8000 daltons ≤18%).
  • -L'énoxaparine sodique est obtenue par dépolymérisation alcaline de l'ester benzylique d'héparine d'origine biologique. Sa structure est caractérisée par un groupe acide 2-O-sulfo-4-ènepyranosuronique à l'extrémité non réductrice de la chaîne et une 2-N,6-O-disulfo-D-glucosamine à l'extrémité réductrice de la chaîne. Environ 20% (de 15% à 25%) de la structure d'énoxaparine contient un dérivé 1,6 anhydro à l'extrémité non réductrice de la chaîne polysaccharidique.
  • +L'énoxaparine est une héparine de bas poids moléculaire dont le poids moléculaire moyen est de 4500 daltons environ (< 2000 daltons ≤20 %, 2000 à 8000 daltons ≥68 %, > 8000 daltons ≤18 %).
  • +L'énoxaparine sodique est obtenue par dépolymérisation alcaline de l'ester benzylique d'héparine d'origine biologique. Sa structure est caractérisée par un groupe acide 2-O-sulfo-4-ènepyranosuronique à l'extrémité non réductrice de la chaîne et une 2-N,6-O-disulfo-D-glucosamine à l'extrémité réductrice de la chaîne. Environ 20 % (de 15 % à 25 %) de la structure d'énoxaparine contient un dérivé 1,6 anhydro à l'extrémité non réductrice de la chaîne polysaccharidique.
  • -Clexane 1× par jour versus héparine (-3.0% - +3.5%)
  • -Clexane 2× par jour versus héparine (-4.2% - +1.7%)
  • -Clexane 1× par jour versus Clexane 2x par jour (-1.5% - +4.5%)
  • +Clexane 1× par jour versus héparine (-3.0 % - +3.5 %)
  • +Clexane 2× par jour versus héparine (-4.2 % - +1.7 %)
  • +Clexane 1× par jour versus Clexane 2x par jour (-1.5 % - +4.5 %)
  • -Dans une vaste étude multicentrique (EXTRACT), 20479 patients souffrant d'infarctus du myocarde aigu avec élévation du segment ST (STEMI) éligible pour une thérapie fibrinolytique ont été randomisés pour recevoir soit de l'énoxaparine (dose unique de 30 mg en bolus IV plus une dose de 1 mg/kg SC suivi d'injections SC de 1.0 mg/kg toutes les 12 heures), soit de l'héparine non fractionnée par IV (dose ajustée sur la base du temps partiel de thromboplastine activée (aPTT) sur 48 heures). Tous les patients ont également été traités avec de l'aspirine pendant un minimum de 30 jours. La dose d'énoxaparine a été ajustée pour les patients souffrant d'insuffisance rénale sévère et pour les patients âgés de 75 ans ou plus. Les injections SC d'énoxaparine ont été administrées jusqu'à la sortie de l'hôpital ou durant un maximum de 8 jours.
  • +Dans une vaste étude multicentrique (EXTRACT), 20479 patients souffrant d'infarctus du myocarde aigu avec élévation du segment ST (STEMI) éligible pour une thérapie fibrinolytique ont été randomisés pour recevoir soit de l'énoxaparine (dose unique de 30 mg en bolus IV plus une dose de 1 mg/kg SC suivi d'injections SC de 1.0 mg/kg toutes les 12 heures), soit de l'héparine non fractionnée par IV (dose ajustée sur la base du temps partiel de thromboplastine activée [aPTT] sur 48 heures). Tous les patients ont également été traités avec de l'aspirine pendant un minimum de 30 jours. La dose d'énoxaparine a été ajustée pour les patients souffrant d'insuffisance rénale sévère et pour les patients âgés de 75 ans ou plus. Les injections SC d'énoxaparine ont été administrées jusqu'à la sortie de l'hôpital ou durant un maximum de 8 jours.
  • -L'énoxaparine comparée à l'héparine non fractionnée a réduit significativement l'incidence du critère d'évaluation primaire, un taux combiné de décès (toute cause confondue) et de ré-infarctus du myocarde dans les 30 premiers jours suivant la randomisation [9,9% dans le groupe énoxaparine contre 12.0% dans le groupe héparine non-fractionnée] avec une réduction du risque de 17% par rapport à l'héparine non fractionnée (p <0,001).
  • +L'énoxaparine comparée à l'héparine non fractionnée (UFH) a réduit significativement l'incidence du critère d'évaluation primaire, un taux combiné de décès (toute cause confondue) et de ré-infarctus du myocarde dans les 30 premiers jours suivant la randomisation (9,9 % dans le groupe énoxaparine contre 12.0 % dans le groupe héparine non-fractionnée) avec une réduction du risque de 17 % par rapport à l'héparine non fractionnée (p < 0,001).
  • -Les avantages du traitement à l'énoxaparine sont évidents pour un certain nombre de résultats d'efficacité. A 48 heures, la réduction du risque de ré-infarctus du myocarde est de 35%, en comparaison avec un traitement à l'héparine non-fractionnée (p <0,001).
  • +Les avantages du traitement à l'énoxaparine sont évidents pour un certain nombre de résultats d'efficacité. A 48 heures, la réduction du risque de ré-infarctus du myocarde est de 35 %, en comparaison avec un traitement à l'héparine non-fractionnée (p < 0,001).
  • -L'incidence des cas combinés de décès, de ré-infarctus du myocarde ou d'ICH (mesure du bénéfice clinique net) était significativement plus faible (p <0,0001) dans le groupe énoxaparine (10,1%) que dans le groupe héparine non-fractionnée (12,2%), ce qui représente une réduction du risque relatif de 17% en faveur du traitement par Clexane.
  • +L'incidence des cas combinés de décès, de ré-infarctus du myocarde ou d'ICH (mesure du bénéfice clinique net) était significativement plus faible (p < 0,0001) dans le groupe énoxaparine (10,1 %) que dans le groupe héparine non-fractionnée (12,2 %), ce qui représente une réduction du risque relatif de 17 % en faveur du traitement par Clexane.
  • -Si l'on se base sur l'activité anti-Xa, la biodisponibilité est proche de 100%.
  • +Si l'on se base sur l'activité anti-Xa, la biodisponibilité est proche de 100 %.
  • -Un bolus IV de 30 mg immédiatement suivi de 1 mg/kg SC toutes les 12 heures ont donné un pic initial de taux de facteur anti-Xa de 1.16 UI/ml (n=16) et une exposition moyenne correspondant à 88% des taux de steady-state. Le steady-state est atteint au second jour du traitement.
  • +Un bolus IV de 30 mg immédiatement suivi de 1 mg/kg SC toutes les 12 heures ont donné un pic initial de taux de facteur anti-Xa de 1.16 UI/ml (n=16) et une exposition moyenne correspondant à 88 % des taux de steady-state. Le steady-state est atteint au second jour du traitement.
  • -L'énoxaparine est une substance possédant une faible clairance de l'activité anti-Xa. Elle s'élève à environ 0,7-1 l/h après administration s.c. L'élimination est monophasique avec une demi-vie d'environ 4 h après une dose unique s.c. et d'environ 7 h après des doses multiples.
  • -L'énoxaparine est métabolisée principalement dans le foie par désulfatation et/ou dépolymérisation en sous-unités d'héparine de bas poids moléculaire dotées d'une activité biologique fortement réduite. La clairance rénale des fragments actifs représente environ 10% de la dose administrée.
  • -L'excrétion rénale des fragments actifs et inactifs s'élève à environ 40% de la dose administrée.
  • +L'énoxaparine est une substance possédant une faible clairance de l'activité anti-Xa. Elle s'élève à environ 0,7-1 l/h après administration sous-cutanée. L'élimination est monophasique avec une demi-vie d'environ 4 h après une dose unique sous-cutanée et d'environ 7 h après des doses multiples.
  • +L'énoxaparine est métabolisée principalement dans le foie par désulfatation et/ou dépolymérisation en sous-unités d'héparine de bas poids moléculaire dotées d'une activité biologique fortement réduite. La clairance rénale des fragments actifs représente environ 10 % de la dose administrée.
  • +L'excrétion rénale des fragments actifs et inactifs s'élève à environ 40 % de la dose administrée.
  • -Insuffisance rénale: Une relation linéaire entre la clairance plasmatique de l'activité anti-Xa et la clairance de la créatinine a été observée à l'état d'équilibre. Ceci signifie que l'excrétion de l'énoxaparine est diminuée lorsque la fonction rénale est réduite. Chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min), l'AUC augmente en moyenne de 65% à l'état d'équilibre, après une administration quotidienne répétée de 40 mg par voie s.c. (voir «Mises en garde et précautions» et «Posologie spéciale - insuffisance rénale»).
  • +Insuffisance rénale: Une relation linéaire entre la clairance plasmatique de l'activité anti-Xa et la clairance de la créatinine a été observée à l'état d'équilibre. Ceci signifie que l'excrétion de l'énoxaparine est diminuée lorsque la fonction rénale est réduite. Chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min), l'AUC augmente en moyenne de 65 % à l'état d'équilibre, après une administration quotidienne répétée de 40 mg par voie sous-cutanée (voir «Mises en garde et précautions» et «Posologie spéciale - insuffisance rénale»).
  • -Injection SC: ne pas mélanger avec d'autres médicaments.
  • -Injection IV (Bolus): pour l'indication STEMI uniquement: l'énoxaparine peut être administrée en toute sécurité avec une solution saline à 0.9% ou une solution de glucose à 5% mais ne doit être ni mélangée, ni co-administrée avec d'autres médicaments.
  • +Injection sous-cutanée: ne pas mélanger avec d'autres médicaments.
  • +Injection IV (Bolus): pour l'indication STEMI uniquement: l'énoxaparine peut être administrée en toute sécurité avec une solution saline à 0,9 % ou une solution de glucose à 5 % mais ne doit être ni mélangée, ni co-administrée avec d'autres médicaments.
  • -Voir la date de péremption (EXP.) sur l'emballage.
  • +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Clexane multi: flacon multi dose à 300 mg/3 ml: emballage avec 1 flacon. (B)
  • +Clexane multi: flacon multi dose à 300 mg / 3 ml: emballage avec 1 flacon multi dose. (B)
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