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Accueil - Information professionnelle sur Pulmofor retard - Changements - 11.08.2020
42 Changements de l'information professionelle Pulmofor retard
  • -Toux dorigine diverse, particulièrement la toux sèche irritative.
  • +Toux d'origine diverse, particulièrement la toux sèche irritative.
  • -Durée du traitement: si, après 7 jours de traitement, la toux n’a pas cessé ou ne s’est pas atténuée de façon substantielle ou si elle s’est encore aggravée, le traitement doit être réévalué par le médecin.
  • +Durée du traitement: En cas d'automédication, il convient de limiter la prise à 4 jours. Même sous prescription médicale, il convient de ne pas prendre Pulmofor retard plus de deux à trois semaines.
  • -Intolérance au fructose, p.ex. en cas de déficit héréditaire de fructose-1,6-diphosphatase (la dégradation de lédulcorant saccharose contenu dans Pulmofor retard produit du fructose).
  • +Intolérance au fructose, p.ex. en cas de déficit héréditaire de fructose-1,6-diphosphatase (la dégradation de l'édulcorant saccharose contenu dans Pulmofor retard produit du fructose).
  • -Si la cause de la toux nest pas élucidée, un antitussif ne devrait être pris que pendant une durée limitée à quelques jours.
  • -En cas dasthme bronchique, dobstruction pulmonaire chronique ou dautres états dinsuffisance respiratoire ou encore dune sécrétion bronchique augmentée, Pulmofor retard doit être utilisé avec précautions.
  • -Le dextrométhorphane étant un substrat et le métabolite 3-méthoxymorphinone un inhibiteur du CYP2D6, ladministration simultanée dinhibiteurs du CYP2D6 ou dautres médicaments dont le métabolisme est catalysé par cet isoenzyme doit être évitée. Ceci concerne plus particulièrement certains antidépresseurs, anorexigènes, β-bloquants et antihistaminiques (voir «Contre-indications», «Interactions» et «Surdosage»).
  • -Eviter la combinaison avec d’autres opiacés.
  • +Si la cause de la toux n'est pas élucidée, un antitussif ne devrait être pris que pendant une durée limitée à quelques jours.
  • +En cas d'asthme bronchique, d'obstruction pulmonaire chronique ou d'autres états d'insuffisance respiratoire ou encore d'une sécrétion bronchique augmentée, Pulmofor retard doit être utilisé avec précaution.
  • +Le dextrométhorphane présente un potentiel d'accoutumance. Le dextrométhorphane ne doit pas être utilisé à des doses supérieures ou pendant des périodes plus longues que celles recommandées. En cas d'utilisation prolongée, une tolérance avec surdosage ainsi qu'une dépendance psychique et physique peuvent se développer.
  • +Des cas d'utilisation abusive du dextrométhorphane par des adolescents mais aussi des personnes adultes ont été rapportés. La prudence est particulièrement recommandée chez les adolescents et les jeunes adultes ainsi que chez les patients ayant des antécédents d'abus de drogues ou de substances psychoactives.
  • +Le dextrométhorphane étant un substrat et le métabolite 3-méthoxymorphinone un inhibiteur du CYP2D6, l'administration simultanée d'inhibiteurs du CYP2D6 ou d'autres médicaments dont le métabolisme est catalysé par cet isoenzyme doit être évitée. Ceci concerne plus particulièrement certains antidépresseurs, anorexigènes, β-bloquants et antihistaminiques (voir «Contre-indications», «Interactions» et «Surdosage»).
  • +Eviter la combinaison avec d'autres opiacés.
  • +Syndrome sérotoninergique
  • +Des effets sérotoninergiques, incluant le développement d'un syndrome sérotoninergique pouvant mettre en jeu le pronostic vital, ont été rapportés avec le dextrométhorphane lors d'administration concomitante d'agents sérotoninergiques, tels que des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (IRS), des médicaments qui altèrent le métabolisme de la sérotonine (dont les inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO)) et les inhibiteurs du CYP2D6.
  • +Le syndrome sérotoninergique peut inclure des modifications de l'état mental, une instabilité du système nerveux autonome, des anomalies neuromusculaires et/ou des symptômes gastro-intestinaux.
  • +En cas de suspicion de syndrome sérotoninergique, le traitement par Pulmofor retard doit être interrompu.
  • +Population pédiatrique
  • +Chez les enfants, des effets indésirables graves, y compris des troubles neurologiques, peuvent survenir en cas de surdosage, aussi. Ne pas dépasser la dose recommandée
  • -Le dextrométhorphane est un substrat et le métabolite 3-méthoxymorphinone un inhibiteur du CYP2D6. La prise simultanée dautres inhibiteurs du CYP2D6 ou de médicaments dont le métabolisme est catalysé par cet isoenzyme peut conduire à une augmentation réciproque des taux plasmatiques des principes actifs et à un retard de leur élimination. Ceci concerne en particulier les antidépresseurs (inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, inhibiteurs de la MAO, antidépresseurs tricycliques, lithium), les β-bloquants (p.ex. métoprolol, timolol), les antagonistes de récepteurs H2 (cimétidine et ranitidine) et les antihistaminiques dits non sédatifs (notamment astémizol, terfénadine) (voir aussi «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • -Lalcool peut accentuer les effets indésirables du dextrométhorphane.
  • +Le dextrométhorphane est un substrat et le métabolite 3-méthoxymorphinone un inhibiteur du CYP2D6. La prise simultanée d'autres inhibiteurs du CYP2D6 ou de médicaments dont le métabolisme est catalysé par cet isoenzyme peut conduire à une augmentation réciproque des taux plasmatiques des principes actifs et à un retard de leur élimination. Ceci concerne en particulier les antidépresseurs (inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, inhibiteurs de la MAO, antidépresseurs tricycliques, lithium), les β-bloquants (p.ex. métoprolol, timolol), les antagonistes de récepteurs H2 (cimétidine et ranitidine) et les antihistaminiques dits non sédatifs (notamment astémizol, terfénadine) (voir aussi «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • +L'alcool peut accentuer les effets indésirables du dextrométhorphane.
  • -Grossesse/Allaitement
  • -Il nexiste pas des données cliniques concernant lemploi chez la femme enceinte.
  • -Lors détudes chez lanimal, un effet tératogène na pas été mis en évidence pour le dextrométhorphane. Il est toutefois connu que dautres substances du type dextrométhorphane peuvent avoir une influence sur le développement cérébral du foetus. Par ailleurs, une utilisation chronique de dextrométhorphane pendant les trois derniers mois de la grossesse peut entraîner un syndrome de sevrage chez le nourrisson. En cas dadministration prénatale de dextrométhorphane, un effet de dépression respiratoire ne peut être exclu chez le nouveau-né. Pulmofor retard ne doit donc être utilisé au cours de la grossesse quaprès une évaluation critique du bénéfice et des risques et uniquement sous surveillance médicale.
  • -Allaitement: On a constaté que le dextrométhorphane et son métabolite, le dextrorphane, passent en infimes quantités dans le lait maternel et quelques cas dhypotonie et de pauses respiratoires ont été observés chez des nouveaux-nés. Aussi convient-il déviter de prendre Pulmofor retard en période dallaitement.
  • +Grossesse, allaitement
  • +Il n'existe pas des données cliniques concernant l'emploi chez la femme enceinte.
  • +Lors d'études chez l'animal, un effet tératogène n'a pas été mis en évidence pour le dextrométhorphane. Il est toutefois connu que d'autres substances du type dextrométhorphane peuvent avoir une influence sur le développement cérébral du foetus. Par ailleurs, une utilisation chronique de dextrométhorphane pendant les trois derniers mois de la grossesse peut entraîner un syndrome de sevrage chez le nourrisson. En cas d'administration prénatale de dextrométhorphane, un effet de dépression respiratoire ne peut être exclu chez le nouveau-né. Pulmofor retard ne doit donc être utilisé au cours de la grossesse qu'après une évaluation critique du bénéfice et des risques et uniquement sous surveillance médicale.
  • +Allaitement: On a constaté que le dextrométhorphane et son métabolite, le dextrorphane, passent en infimes quantités dans le lait maternel et quelques cas d'hypotonie et de pauses respiratoires ont été observés chez des nouveaux-nés. Aussi convient-il d'éviter de prendre Pulmofor retard en période d'allaitement.
  • -Pulmofor retard, même utilisé conformément aux prescriptions, peut modifier la capacité de réaction au point de réduire laptitude à conduire un véhicule ou à utiliser des machines. Cela vaut à plus forte raison lors dune utilisation prolongée de la préparation et en cas dabsorption simultanée de boissons alcooliques.
  • +Pulmofor retard, même utilisé conformément aux prescriptions, peut modifier la capacité de réaction au point de réduire l'aptitude à conduire un véhicule ou à utiliser des machines. Cela vaut à plus forte raison lors d'une utilisation prolongée de la préparation et en cas d'absorption simultanée de boissons alcooliques.
  • -Rarement: réactions allergiques telles que réactions cutanées, oedème au visage, dyspnée, bronchospasmes, transpiration, chute de la tension artérielle pouvant aller jusquau choc.
  • +Rarement: réactions allergiques telles que réactions cutanées, oedème au visage, dyspnée, bronchospasmes, transpiration, chute de la tension artérielle pouvant aller jusqu'au choc.
  • -Rarement: perte dappétit, diarrhée.
  • +Rarement: perte d'appétit, diarrhée.
  • -Un surdosage peut se produire directement (surdosage aigu) mais également à la suite d’une prise dépassant 3 à 4 jours de doses élevées, ainsi qu’en cas d’élimination retardée. Un surdosage peut produire les symptômes suivants: accentuation des effets indésirables mentionnés ci-dessus, notamment des effets centraux et une dépression respiratoire, ainsi que tachycardie, augmentation de la pression sanguine, vision floue, nystagmus, ataxie, crises convulsives, hyperexcitabilité, hallucinations et psychoses.
  • -Dans de rares cas, un surdosage peut entraîner le coma. Certains cas de surdosage chez des jeunes enfants et des adolescents ont été fatals.
  • +Une surdose de dextrométhorphane peut être associée à des nausées, des vomissements, de la dystonie, de l'agitation, de la confusion, de la somnolence, des étourdissements, du nystagmus, de la cardiotoxicité (rythme cardiaque rapide, ECG anormal incluant allongement du QTc), de l'ataxie, à une psychose toxique avec hallucinations et de l'excitabilité.
  • +Une surdose massive peut causer les symptômes suivants: coma, dépression respiratoire, crampes. Certains cas de surdosage chez des jeunes enfants et des adolescents ont été fatals.
  • -La naloxone s’est avérée constituer un antidote efficace du dextrométhorphane, en particulier en cas d’une dépression respiratoire, et les benzodiazépines en cas de convulsions.
  • +·Le charbon actif peut être administré aux patients asymptomatiques qui ont pris une surdose de dextrométhorphane au cours de la dernière heure.
  • +·Pour les patients qui ont pris du dextrométhorphane et qui sont sous sédation ou comateux, la naloxone peut être envisagée aux doses habituelles, comme pour le traitement du surdosage aux opiacés. Les benzodiazépines peuvent être utilisées contre les convulsions et le refroidissement externe contre l'hyperthermie due au syndrome sérotoninergique.
  • -Le dextrométhorphane est un dérivé de la morphine. Le dextrométhorphane et son métabolite actif dextrorphane atténuent le réflexe tussigène par augmentation du seuil dexcitation centrale.
  • +Le dextrométhorphane est un dérivé de la morphine. Le dextrométhorphane et son métabolite actif dextrorphane atténuent le réflexe tussigène par augmentation du seuil d'excitation centrale.
  • -Le dextrométhorphane et le dextrorphane peuvent saccumuler au niveau du SNC, notamment chez les sujets déficients en CYP2D6, lors dun traitement continu de plusieurs jours ou lors de ladministration de doses supérieures aux posologies recommandées. La durée de leffet dépend par conséquent du dosage et de la durée du traitement (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Le phénomène daccumulation centrale peut conduire à un renforcement excessif des effets indésirables lors dun traitement prolongé.
  • -Aux doses thérapeutiques le dextrométhorphane na pas deffet prouvé sur lactivité ciliaire.
  • +Le dextrométhorphane et le dextrorphane peuvent s'accumuler au niveau du SNC, notamment chez les sujets déficients en CYP2D6, lors d'un traitement continu de plusieurs jours ou lors de l'administration de doses supérieures aux posologies recommandées. La durée de l'effet dépend par conséquent du dosage et de la durée du traitement (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Le phénomène d'accumulation centrale peut conduire à un renforcement excessif des effets indésirables lors d'un traitement prolongé.
  • +Aux doses thérapeutiques le dextrométhorphane n'a pas d'effet prouvé sur l'activité ciliaire.
  • -Après administration dune capsule de Pulmofor retard toutes les 12 h à des métaboliseurs lents, les concentrations plasmatiques de dextrométhorphane sont maintenues en plateau et limprégnation médicamenteuse demeure constante pendant le traitement sans fluctuations des concentrations plasmatiques.
  • +Après administration d'une capsule de Pulmofor retard toutes les 12 h à des métaboliseurs lents, les concentrations plasmatiques de dextrométhorphane sont maintenues en plateau et l'imprégnation médicamenteuse demeure constante pendant le traitement sans fluctuations des concentrations plasmatiques.
  • -Aucune donnée quantitative nest disponible au sujet de la distribution du dextrométhorphane et du dextrorphane, mais il est connu que ces deux substances sont absorbées au niveau du SNC. Une liaison aux protéines plasmatiques na pas été mise en évidence à ce jour. Le dextrométhorphane et ses métabolites passent en faibles quantités dans le lait maternel mais on ignore sils franchissent la barrière placentaire.
  • +Aucune donnée quantitative n'est disponible au sujet de la distribution du dextrométhorphane et du dextrorphane, mais il est connu que ces deux substances sont absorbées au niveau du SNC. Une liaison aux protéines plasmatiques n'a pas été mise en évidence à ce jour. Le dextrométhorphane et ses métabolites passent en faibles quantités dans le lait maternel mais on ignore s'ils franchissent la barrière placentaire.
  • -Le dextrométhorphane est sujet à un important premier passage hépatique. Le dextrométhorphane est métabolisé par lisoenzyme CYP2D6 du cytochrome P450 et le métabolisme est saturable. Les métabolites principaux issus de la O-déméthylation et de la N-déméthylation sont le dextrorphane ainsi que son glucuronide inactif et son ester sulfate. Dautres métabolites sont les méthoxyméthorphanes et les hydroxyméthorphanes.
  • +Le dextrométhorphane est sujet à un important premier passage hépatique. Le dextrométhorphane est métabolisé par l'isoenzyme CYP2D6 du cytochrome P450 et le métabolisme est saturable. Les métabolites principaux issus de la O-déméthylation et de la N-déméthylation sont le dextrorphane ainsi que son glucuronide inactif et son ester sulfate. D'autres métabolites sont les méthoxyméthorphanes et les hydroxyméthorphanes.
  • -Le dextrométhorphane et ses métabolites sont éliminés principalement par les urines. Les demi-vies délimination du dextrométhorphane et, par conséquent, du dextrorphane dépendent de la dose absorbée et du phénotype CYP2D6 du sujet (voir ci-dessous). De plus, ces demi-vies augmentent avec la durée du traitement. Il en résulte que la demi-vie délimination du dextrométhorphane varie fortement: dans une étude faite avec du dextrométhorphane non retardé chez des métaboliseurs rapides sans blocage métabolique, elle nétait pas mesurable, tandis que dans dautres études elle était de 40 heures et plus.
  • -La demi-vie délimination du dextrorphane varie entre 2,5 et 3,5 h.
  • +Le dextrométhorphane et ses métabolites sont éliminés principalement par les urines. Les demi-vies d'élimination du dextrométhorphane et, par conséquent, du dextrorphane dépendent de la dose absorbée et du phénotype CYP2D6 du sujet (voir ci-dessous). De plus, ces demi-vies augmentent avec la durée du traitement. Il en résulte que la demi-vie d'élimination du dextrométhorphane varie fortement: dans une étude faite avec du dextrométhorphane non retardé chez des métaboliseurs rapides sans blocage métabolique, elle n'était pas mesurable, tandis que dans d'autres études elle était de 40 heures et plus.
  • +La demi-vie d'élimination du dextrorphane varie entre 2,5 et 3,5 h.
  • -Le métabolisme et lélimination du dextrométhorphane sont considérablement retardés chez les sujets déficients en CYP2D6. En raison dun polymorphisme génétique, 10 à 15% de la population font partie des métaboliseurs dits lents (type débrisoquine).
  • -En cas dinsuffisance hépatique ou rénale, on doit sattendre également à une élimination retardée.
  • +Le métabolisme et l'élimination du dextrométhorphane sont considérablement retardés chez les sujets déficients en CYP2D6. En raison d'un polymorphisme génétique, 10 à 15% de la population font partie des métaboliseurs dits lents (type débrisoquine).
  • +En cas d'insuffisance hépatique ou rénale, on doit s'attendre également à une élimination retardée.
  • -Les études de toxicité chronique et subchronique menées chez des chiens et des rats nont pas mis en évidence deffet toxique du dextrométhorphane. Quant au bromhydrate de dextrométhorphane, son effet mutagène a été insuffisamment étudié et aucune étude à long terme sur son potentiel tumorigène na été réalisée.
  • +Les études de toxicité chronique et subchronique menées chez des chiens et des rats n'ont pas mis en évidence d'effet toxique du dextrométhorphane. Quant au bromhydrate de dextrométhorphane, son effet mutagène a été insuffisamment étudié et aucune étude à long terme sur son potentiel tumorigène n'a été réalisée.
  • -Conserver à température ambiante (15–25 °C) et hors de la portée des enfants, jusquà la date indiquée par «EXP» sur lemballage.
  • +Conserver à température ambiante (15–25 °C) et hors de la portée des enfants, jusqu'à la date indiquée par «EXP» sur l'emballage.
  • -Avril 2004.
  • +Janvier 2020.
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