82 Changements de l'information professionelle Depakine |
-Natrii valproas.
- +Acidum valproicum ut natrii valproas.
-Préparation injectable: solvens: aqua ad iniectabilia 4 ml.
-Sirop: sorbitolum, saccharinum, saccharum, aromatica, color.: E 124, conserv.: E 216, E 218, excipiens ad solutionem pro 5 ml.
-Solution: arom.: bergamottae aetheroleum, saccharinum natricum et alia, conserv.: alcohol benzylicus, excipiens ad solutionem pro 1 ml.
- +Poudre et solvant pour solution injectable/pour perfusion: solvant: aqua ad iniectabile.
- +Teneur totale en sodium: 55,4 mg par flacon.
- +Sirop: sorbitolum (E420) 100 mg/ml, saccharinum natricum, saccharum 700 mg/ml, aromatica cerise (cum ethanolum et alcohol benzylicus), E124 (0,2 mg/ml), propylis parahydroxybenzoas (E216) 0,2 mg/ml, methylis parahydroxybenzoas (E218) 1 mg/ml, aqua purificata.
- +Teneur totale en sodium: 8,36 mg par 1 ml (41,8 mg par mesurette de 5 ml).
- +Solution buvable: saccharinum natricum, aromatica orange (cum ethanolum et alcohol benzylicus), natrii hydroxidum (pH agent), aqua purificata.
- +Teneur totale en sodium: 43,2 mg par 1 ml.
-Instructions spéciales pour le dosage
-Voie orale: la solution sera prise avec un demi-verre d'eau du robinet, de lait ou autre boisson non alcoolisée.
-La seringue-doseuse fournie avec la solution buvable est graduée de 50 à 400 mg. Pour des doses inférieures à 50 mg (0,166 ml), il est nécessaire d'utiliser une seringue validée pour la mesure des faibles volumes et possédant la graduation appropriée (par exemple, seringue à insuline graduée en 10ème de ml).
-Voie injectable: préparation de la solution injectable: le solvant (4 ml) est injecté dans le flacon-ampoule; après dissolution complète du lyophilisat, la dose à administrer est prélevée; la concentration en valproate de sodium est de 95 mg/ml.
-La préparation qui est à utiliser en une seule fois se prête à l'injection intraveineuse lente ou peut être ajoutée à des solutions pour perfusions telles que le chlorure de sodium à 0,9%, le glucose à 5% ou les mélanges glucose/chlorure de sodium.
- +Mode d'administration
- +Voie orale: la solution buvable sera prise avec un demi-verre d'eau du robinet, de lait ou autre boisson non alcoolisée. Administrer la solution buvable avec la seringue-doseuse présente dans la boîte (voir «Remarques particulières/Remarques concernant la manipulation»).
- +Voie injectable: préparation de la solution injectable/pour perfusion voir «Remarques particulières/Remarques concernant la manipulation».
-Selon les données cliniques, le valproate entraîne un risque élevé de malformations congénitales majeures (incidence d'environ 11 % chez les enfants exposés in utero au valproate). Par ailleurs, lorsque valproate est administré en monothérapie, les enfants qui ont été exposés au valproate in utero présentent un risque élevé de troubles neuro-développementaux (incidence pouvant aller jusqu'à 30 – 40 %) (voir «Grossesse, allaitement» et «Effets indésirables»).
- +Selon les données cliniques, le valproate entraîne un risque élevé de malformations congénitales majeures (incidence d'environ 11 % chez les enfants exposés in utero au valproate).
- +Par ailleurs, lorsque valproate est administré en monothérapie, les enfants qui ont été exposés au valproate in utero présentent un risque élevé de troubles neuro-développementaux (incidence pouvant aller jusqu'à 30 – 40 %) (voir «Grossesse, allaitement» et «Effets indésirables»).
-Une étude observationnelle rétrospective indique un risque accru de troubles neuro-développementaux (TND) chez les enfants dont les pères ont été traités par valproate dans les 3 mois avant et/ou au moment de la conception comparativement aux enfants dont les pères ont étés traités par lamotrigine ou lévétiracétam (voir « Grossesse, allaitement »).
-Le risque pour les enfants conçus par des pères arrêtant le valproate plus de 3 mois avant la conception (notamment pour permettre une nouvelle spermatogenèse complète sans exposition au valproate) n'est pas connu.
- +Une étude observationnelle rétrospective indique un risque accru de troubles neuro-développementaux (TND) chez les enfants dont les pères ont été traités par valproate dans les 3 mois avant et/ou au moment de la conception comparativement aux enfants dont les pères ont été traités par lamotrigine ou lévétiracétam (voir « Grossesse, allaitement »). Le risque pour les enfants conçus par des pères arrêtant le valproate plus de 3 mois avant la conception (notamment pour permettre une nouvelle spermatogenèse complète sans exposition au valproate) n'est pas connu.
-L'administration de valproate peut entraîner l'apparition d'un déficit en carnitine ou l'aggraver. Ce déficit peut provoquer une hyperammoniémie (pouvant conduire à une encéphalopathie hyperammoniémique) (voir «Effets indésirables» et «Surdosage»). D'autres symptômes tels qu'une toxicité hépatique, une hypoglycémie hypocétosique, une myopathie, une cardiomyopathie, une rhabdomyolyse et/ou un syndrome Fanconi ont été rapportés, en particulier chez les patients présentant des facteurs de risque pour un déficit en carnitine et/ou avec un déficit en carnitine préexistant.
-Les patients présentant un risque accru d'un déficit en carnitine symptomatique en cas de traitement par le valproate comprennent les patients atteints de troubles métaboliques dont les troubles mitochondriaux liés à la carnitine (voir «Mises en garde et précautions/Patients ayant une maladie mitochondriale connue ou suspectée et /Trouble du cycle de l'urée et risque d'hyperammoniémie»), un déficit en carnitine dû à un défaut d'apport alimentaire, les patients âgés de moins de 10 ans, l'utilisation concomitante de médicaments conjugués au pivalate, ou une polythérapie avec d'autres antiépileptiques (voir «Interactions» et «Surdosage»).
- +L'administration de valproate peut entraîner l'apparition d'un déficit en carnitine ou l'aggraver. Ce déficit peut provoquer une hyperammoniémie (pouvant conduire à une encéphalopathie hyperammoniémique) (voir «Effets indésirables» et «Surdosage»). D'autres symptômes tels qu'une toxicité hépatique, une hypoglycémie hypocétosique, une myopathie, une cardiomyopathie, une rhabdomyolyse et/ou un syndrome Fanconi ont été rapportés, en particulier chez les patients présentant des facteurs de risque pour un déficit en carnitine et/ou avec un déficit en carnitine préexistant. Les patients présentant un risque accru d'un déficit en carnitine symptomatique en cas de traitement par le valproate comprennent les patients atteints de troubles métaboliques dont les troubles mitochondriaux liés à la carnitine (voir «Mises en garde et précautions/Patients ayant une maladie mitochondriale connue ou suspectée et /Trouble du cycle de l'urée et risque d'hyperammoniémie»), un déficit en carnitine dû à un défaut d'apport alimentaire, les patients âgés de moins de 10 ans, l'utilisation concomitante de médicaments conjugués au pivalate, ou une polythérapie avec d'autres antiépileptiques (voir «Interactions» et «Surdosage»).
-Un examen hématologique (NFS incluant les plaquettes, temps de saignement et bilan de coagulation avec fibrinogène, temps de céphaline activée (TCA), dosage du facteur VIII et ses facteurs associés) est recommandé préalablement au traitement et après 3 et 6 mois de traitement, ainsi qu'avant une intervention chirurgicale, notamment si la dose est supérieure 30 mg/kg/jour et en cas d'hématomes ou de saignements spontanés (voir «Effets indésirables/Troubles de la circulation sanguine et lymphatique et /Investigations»).
- +Un examen hématologique (NFS incluant les plaquettes, temps de saignement et bilan de coagulation avec fibrinogène, temps de céphaline activée (TCA), dosage du facteur VIII et ses facteurs associés) est recommandé préalablement au traitement et après 3 et 6 mois de traitement, ainsi qu'avant une intervention chirurgicale, notamment si la dose est supérieure 30 mg/kg/jour et en cas d'hématomes ou de saignements spontanés (voir «Effets indésirables/Troubles de la circulation sanguine et lymphatique et /Investigations »).
- +Excipients
- +Ethanol
- +Sirop: ce médicament contient 19,3 mg d'alcool (éthanol) par 5 ml de sirop, équivalent à 3,9 mg/ml. La quantité en ml de ce médicament équivaut à moins de 1 ml de bière ou 1 ml de vin. La faible quantité d'alcool contenue dans ce médicament n'est pas susceptible d'entraîner d'effet notable.
- +Solution buvable: ce médicament contient 32,7 mg d'alcool (éthanol) par 1 ml de solution. La quantité en ml de ce médicament équivaut à moins de 8 ml de bière ou 3 ml de vin. La faible quantité d'alcool contenue dans ce médicament n'est pas susceptible d'entraîner d'effet notable.
- +Alcool benzylique
- +Sirop : ce médicament contient moins de 0,05 mg d'alcool benzylique par 5 ml de sirop.
- +Solution buvable : ce médicament contient au maximum 0,4 mg d'alcool benzylique par 1 ml de solution.
- +Ne pas utiliser chez le nouveau-né (jusqu'à 4 semaines). L'alcool benzylique peut provoquer des réactions allergiques. Les volumes élevés doivent être utilisés avec prudence et en cas de nécessité uniquement, en particulier chez les personnes atteintes d'insuffisance hépatique ou rénale ainsi que pendant la grossesse et l'allaitement en raison du risque d'accumulation et de toxicité (acidose métabolique).
- +Sorbitol
- +Sirop : ce médicament contient 500 mg de sorbitol par 5 ml.
- +L'effet additif des produits administrés concomitamment contenant du sorbitol (ou du fructose) et l'apport alimentaire de sorbitol (ou de fructose) doit être pris en compte. La teneur en sorbitol dans les médicaments à usage oral peut affecter la biodisponibilité d'autres médicaments à usage oral administrés de façon concomitante. Les patients présentant une intolérance héréditaire au fructose (IHF) ne doivent pas prendre/recevoir ce médicament.
- +Saccharose
- +Sirop : les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
- +Sodium
- +Préparation injectable : ce médicament contient 55,4 mg de sodium par 4 ml, ce qui équivaut à 2,7% de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte.
- +Sirop: ce médicament contient 41,8 mg de sodium par 5 ml de valproate de sodium, ce qui équivaut à 2,1% de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte.
- +Solution buvable: ce médicament contient 43,2 mg de sodium par ml, ce qui équivaut à 2,2 % de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte.
- +Parahydroxy-benzoates et colorant azoïque
- +Sirop: ce médicament contient du parahydroxybenzoate de méthyle (E218), du parahydroxybenzoate de propyle (E216) et du rouge cochenille A (E124) qui peuvent provoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées).
- +
-Effets du valproate sur les autres médicaments
- +Effets du valproate sur d'autres médicaments
-·Carbamazépine: Une toxicité clinique a été rapportée en cas d'association de valproate de sodium/acide valproïque et de carbamazépine, puisque le valproate de sodium/acide valproïque peuvent potentialiser la toxicité de la carbamazépine. Une surveillance clinique est donc recommandée tout particulièrement en début de traitement par l'association et la posologie sera éventuellement ajustée.
- +·Carbamazépine: une toxicité clinique a été rapportée en cas d'association de valproate de sodium/l'acide valproïque et de carbamazépine, puisque le valproate de sodium/l'acide valproïque peuvent potentialiser la toxicité de la carbamazépine. Une surveillance clinique est donc recommandée tout particulièrement en début de traitement par l'association et la posologie sera éventuellement ajustée.
-·Zidovudine: le valproate de sodium/acide valproïque peuvent augmenter la concentration plasmatique de zidovudine avec majoration des risques de toxicité de celle-ci.
- +·Zidovudine: le valproate de sodium/l'acide valproïque peuvent augmenter la concentration plasmatique de zidovudine avec majoration des risques de toxicité de celle-ci.
-·Carbapénèmes: en cas de co-administration, les carbapénèmes (panipénème, méropénème, imipénème par exemple) entraînent une diminution des concentrations sanguines d'acide valproïque de 60-100 % en deux jours, avec parfois des convulsions. En raison du déclenchement rapide et de la chute brutale de la concentration en acide valproïque, l'on considère que les conséquences d'une interaction éventuelle entre l'acide valproïque et les carbapénèmes sont incontrôlables chez les patients dont l'état de santé était stable sous acide valproïque. La co-administration de carbapénèmes chez des patients stabilisés avec l'acide valproïque devrait être évitée (voir «Mises en garde et précautions»). Si le traitement avec ces antibiotiques ne peut pas être évité, un contrôle accru des taux plasmatiques d'acide valproïque doit être effectué.
- +·Carbapénèmes: en cas de co-administration, les carbapénèmes (panipénème, méropénème, imipénème par exemple) entraînent une diminution des concentrations sanguines d'acide valproïque de 60-100 % en deux jours, avec parfois des convulsions.
- +En raison du déclenchement rapide et de la chute brutale de la concentration en acide valproïque, l'on considère que les conséquences d'une interaction éventuelle entre l'acide valproïque et les carbapénèmes sont incontrôlables chez les patients dont l'état de santé était stable sous acide valproïque. La co-administration de carbapénèmes chez des patients stabilisés avec l'acide valproïque devrait être évitée (voir «Mises en garde et précautions»). Si le traitement avec ces antibiotiques ne peut pas être évité, un contrôle accru des taux plasmatiques d'acide valproïque doit être effectué.
-·Produits contenant des oestrogènes: le valproate ne diminue pas l'efficacité des contraceptifs hormonaux, parce que la substance n'a pas d'effet inducteur d'enzyme. Cependant, les œstrogènes et les produits contenant des œstrogènes ont induit une activité enzymatique UGT in vitro et in vivo. Les enzymes UGT1A6, UGT1A9 et UGT2B7 contribuent à 40% de la biotransformation de l'acide valproïque. Des études pharmacocinétiques et des publications littéraires ainsi que des études post-commercialisation ont montré que les produits contenant des œstrogènes, notamment certains contraceptifs hormonaux, peuvent augmenter la clairance du valproate, ce qui peut entraîner une diminution de la concentration de valproate dans le sérum et potentiellement une réduction de l'efficacité de valproate. (Voir «Posologie/Mode d'emploi», «Mises en garde et précautions» et «Grossesse, allaitement»).
-·Métamizole : Métamizole est un inducteur de certains isoenzymes du cytochrome P450 et un inducteur potentiel des uridine diphosphate-glucuronyltransférases (UGTs) impliqués dans la biotransformation du valproate. Donc, le métamizole peut augmenter la métabolisation et diminuer les taux sériques du valproate, ce qui peut potentiellement entraîner une réduction de l'efficacité thérapeutique du valproate. Durant le traitement combiné par valproate et métamizole, les prescripteurs doivent surveiller la réponse clinique (contrôle des convulsions ou des épisodes maniaques) et initier un contrôle régulier et approprié des taux sériques de valproate. En cas de baisse des taux sériques, récurrence des crises épileptiques ou des épisodes maniaques, il faut adapter le traitement en fonction de la réponse clinique et des dosages sériques.
-·Méthotrexate : des rapports de cas décrivent une diminution significative des taux sériques de valproate et l'apparition des symptômes cliniques comme des crises épileptiques dès quelques heures après l'administration de méthotrexate. Durant le traitement combiné par valproate et méthotrexate, les prescripteurs doivent surveiller la réponse clinique (contrôle des convulsions ou des épisodes maniaques) et initier un contrôle étroit, régulier et approprié des taux sériques de valproate.
- +·Produits contenant des oestrogènes: le valproate ne diminue pas l'efficacité des contraceptifs hormonaux, parce que la substance n'a pas d'effet inducteur d'enzyme. Cependant, les œstrogènes et les produits contenant des œstrogènes ont induit une activité enzymatique UGT in vitro et in vivo. Les enzymes UGT1A6, UGT1A9 et UGT2B7 contribuent à 40 % de la biotransformation de l'acide valproïque. Des études pharmacocinétiques et des publications littéraires ainsi que des études post-commercialisation ont montré que les produits contenant des œstrogènes, notamment certains contraceptifs hormonaux, peuvent augmenter la clairance du valproate, ce qui peut entraîner une diminution de la concentration de valproate dans le sérum et potentiellement une réduction de l'efficacité de valproate. (Voir «Posologie/Mode d'emploi», «Mises en garde et précautions» et «Grossesse, allaitement»).
- +·Métamizole: le métamizole est un inducteur de certains isoenzymes du cytochrome P450 et un inducteur potentiel des uridine diphosphate-glucuronyltransférases (UGTs) impliqués dans la biotransformation du valproate. Donc, le métamizole peut augmenter la métabolisation et diminuer les taux sériques du valproate, ce qui peut potentiellement entraîner une réduction de l'efficacité thérapeutique du valproate. Durant le traitement combiné par valproate et métamizole, les prescripteurs doivent surveiller la réponse clinique (contrôle des convulsions) et initier un contrôle régulier et approprié des taux sériques de valproate. En cas de baisse des taux sériques ou récurrence des crises épileptiques, il faut adapter le traitement en fonction de la réponse clinique et des dosages sériques.
- +·Méthotrexate: des rapports de cas décrivent une diminution significative des taux sériques de valproate et l'apparition des symptômes cliniques comme des crises épileptiques dès quelques heures après l'administration de méthotrexate. Durant le traitement combiné par valproate et méthotrexate, les prescripteurs doivent surveiller la réponse clinique (contrôle des convulsions) et initier un contrôle étroit, régulier et approprié des taux sériques de valproate.
-Risque de lésions hépatiques : une utilisation concomitante de dérivés salicylés doit être évitée chez les enfants, en raison du risque de toxicité hépatique. L'administration concomitante de valproate et de plusieurs anticonvulsivants augmente le risque de lésions hépatiques, surtout chez les jeunes enfants. Durant le traitement combiné par valproate et d'autres traitements anticonvulsivants potentiellement hépatotoxiques, les prescripteurs doivent surveiller la fonction hépatique par examens cliniques et biologiques et doivent réduire ou arrêter le traitement avec valproate et/ou les médicaments concomitants potentiellement hépatotoxiques en cas d'anomalies significatives des paramètres hépatiques.
- +Risque de lésions hépatiques: une utilisation concomitante de dérivés salicylés doit être évitée chez les enfants, en raison du risque de toxicité hépatique. L'administration concomitante de valproate et de plusieurs anticonvulsivants augmente le risque de lésions hépatiques, surtout chez les jeunes enfants. Durant le traitement combiné par valproate et d'autres traitements anticonvulsivants potentiellement hépatotoxiques, les prescripteurs doivent surveiller la fonction hépatique par examens cliniques et biologiques et doivent réduire ou arrêter le traitement avec valproate et/ou les médicaments concomitants potentiellement hépatotoxiques en cas d'anomalies significatives des paramètres hépatiques.
-Cannabidiol : des élévations des taux ALT et AST dépassant 3 fois la limite supérieure de la normale, ont été rapportées chez des patients de tout âge traités par cannabidiol aux doses de 10 à 25 mg/kg et valproate de manière concomitante durant des études cliniques et dans la littérature. Le risque d'élévation des transaminases dépend de l'âge du patient (les jeunes enfants sont plus vulnérables), de la dose de cannabidiol et les valeurs de base des transaminases. De plus, la co-administration de clobazam semble être un facteur de risque supplémentaire pour l'élévation des transaminases. En outre, il a été décrit que l'utilisation simultanée de valproate et cannabidiol accroit l'incidence de thrombocytopénie, de diarrhée et de perte d'appétit. Durant le traitement combiné par valproate et le cannabidiol, les prescripteurs doivent surveiller la fonction hépatique (en particulier lors de coadministration de clobazam) et la numération plaquettaire (voir « Mises en garde et précautions ») par examens cliniques et/ou biologiques et doivent réduire ou arrêter le traitement avec valproate et/ou le cannabidiol en cas d'anomalies significatives (voir «Mises en garde et précautions/Troubles sévères de la fonction hépatique et /Enfants»).
- +Cannabidiol: des élévations des taux ALT et AST dépassant 3 fois la limite supérieure de la normale, ont été rapportées chez des patients de tout âge traités par cannabidiol aux doses de 10 à 25 mg/kg et valproate de manière concomitante durant des études cliniques et dans la littérature. Le risque d'élévation des transaminases dépend de l'âge du patient (les jeunes enfants sont plus vulnérables), de la dose de cannabidiol et les valeurs de base des transaminases. De plus, la co-administration de clobazam semble être un facteur de risque supplémentaire pour l'élévation des transaminases. En outre, il a été décrit que l'utilisation simultanée de valproate et cannabidiol accroit l'incidence de thrombocytopénie, de diarrhée et de perte d'appétit. Durant le traitement combiné par valproate et le cannabidiol, les prescripteurs doivent surveiller la fonction hépatique (en particulier lors de coadministration de clobazam) et la numération plaquettaire (voir «Mises en garde et précautions») par examens cliniques et/ou biologiques et doivent réduire ou arrêter le traitement avec valproate et/ou le cannabidiol en cas d'anomalies significatives (voir «Mises en garde et précautions/Troubles sévères de la fonction hépatique et /Enfants »).
-Médicaments conjugués au pivalate : l'administration concomitante de valproate et de médicaments conjugués au pivalate qui diminuent les taux de carnitine (par ex. céfditoren pivoxil, adéfovir dipivoxil, pivmécillinam) n'est pas recommandée car elle peut entraîner une hypocarnitinémie (voir «Mises en garde et précautions/Patients à risque d'une déficience en carnitine»). Les patients chez lesquels l'administration concomitante ne peut être évitée doivent être attentivement surveillés pour détecter tout signe et symptôme d'hypocarnitinémie.
- +Médicaments conjugués au pivalate: l'administration concomitante de valproate et de médicaments conjugués au pivalate qui diminuent les taux de carnitine (par ex. céfditoren pivoxil, adéfovir dipivoxil, pivmécillinam) n'est pas recommandée car elle peut entraîner une hypocarnitinémie (voir «Mises en garde et précautions/Patients à risque d'une déficience en carnitine»). Les patients chez lesquels l'administration concomitante ne peut être évitée doivent être attentivement surveillés pour détecter tout signe et symptôme d'hypocarnitinémie.
-Lorsque valproate est administré en monothérapie, les études chez les jeunes enfants (préscolaires) exposés au valproate in utero montrent que jusqu'à 30 à 40% d'entre eux présentent des retards dans les premières phases de leur développement tels que retard dans l'acquisition de la parole et/ou de la marche, des capacités intellectuelles et verbales limitées (pour parler et comprendre) ainsi que des problèmes de mémoire.
- +Lorsque valproate est administré en monothérapie, les études chez les jeunes enfants (préscolaires) exposés au valproate in utero montrent que jusqu'à 30 à 40 % d'entre eux présentent des retards dans les premières phases de leur développement tels que retard dans l'acquisition de la parole et/ou de la marche, des capacités intellectuelles et verbales limitées (pour parler et comprendre) ainsi que des problèmes de mémoire.
-En fonction de leur fréquence, les effets indésirables sont classés dans les catégories suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (entre ≥1/100 et <1/10), occasionnels (entre ≥1/1000 et <1/100), rares (entre ≥1/10'000 et <1/1000), très rares (<1/10'000), et fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
- +Les effets indésirables sont rangés par classe de système d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante: « très fréquents » (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100), «rares» (≥1/10 000 à <1/1000), « très rares » (<1/10 000). Fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Fréquent: anémie, thrombocytopénie. L'administration de valproate peut entraîner une chute du nombre de plaquettes, souvent dose-dépendante et temporaire (voir «Mises en garde et précautions/Examen hématologique et bilan de coagulation»).
-Occasionnel: pancytopénie, leucopénie.
-Rare: insuffisance médullaire, y compris érythroblastopénie, agranulocytose, anémie macrocytaire, macrocytose (voir «Mises en garde et précautions/Examen hématologique et bilan de coagulation»).
- +Fréquents : anémie, thrombocytopénie. L'administration de valproate peut entraîner une chute du nombre de plaquettes, souvent dose-dépendante et temporaire (voir «Mises en garde et précautions/ Examen hématologique et bilan de coagulation»).
- +Occasionnels : pancytopénie, leucopénie.
- +Rares : insuffisance médullaire, y compris érythroblastopénie, agranulocytose, anémie macrocytaire, macrocytose (voir «Mises en garde et précautions/ Examen hématologique et bilan de coagulation»).
-Fréquent: surdité (parfois irréversible).
-Fréquence pas connue: Tinnitus.
- +Fréquents : surdité (parfois irréversible).
- +Fréquence inconnue : Tinnitus.
-Occasionnel: syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique (SIADH), chez les femmes hyperandrogénisme (hirsutisme, virilisme, acné, alopécie androgénique, et/ou augmentation du taux d'androgènes).
-Rare: hypothyroïdisme.
- +Occasionnels: syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique (SIADH), chez les femmes hyperandrogénisme (hirsutisme, virilisme, acné, alopécie androgénique, et/ou augmentation du taux d'androgènes).
- +Rares : hypothyroïdisme.
-Très fréquent: nausées.
-Fréquent: vomissements, troubles gingivaux (principalement hyperplasie gingivale), stomatite. Douleur de la partie supérieure de l'abdomen, diarrhée qui cèdent en général au bout de quelques jours sans interruption du traitement. Ces troubles ont vu leur incidence diminuer fortement par l'introduction très progressive de Depakine et l'administration en début de repas. Dans ces cas, la prescription de thérapeutiques symptomatiques est appropriée.
-Occasionnel : pancréatite, parfois d'évolution fatale (voir «Mises en garde et précautions/Pancréatite et /Enfants»).
- +Très fréquents : nausées.
- +Fréquents : vomissements, troubles gingivaux (principalement hyperplasie gingivale), stomatite. Douleur de la partie supérieure de l'abdomen, diarrhée qui cèdent en général au bout de quelques jours sans interruption du traitement. Ces troubles ont vu leur incidence diminuer fortement par l'introduction très progressive de Depakine et l'administration en début de repas. Dans ces cas, la prescription de thérapeutiques symptomatiques est appropriée.
- +Occasionnels: pancréatite, parfois d'évolution fatale (voir «Mises en garde et précautions/Pancréatite et /Enfants»).
-Occasionnel: œdème périphérique non graves, hypothermie.
- +Occasionnels : œdème périphérique non graves, hypothermie.
-Rare: diminution du nombre de facteurs de coagulation, anomalie des tests de coagulation (telle qu'un allongement du temps de prothrombine, du temps de céphaline activée, du temps de thrombine ou de l'INR). Un trouble de la coagulation, correspondant à la maladie de Willebrand type I a été rapporté dans la littérature (voir «Mises en garde et précautions/Examen hématologique et bilan de coagulation»).
-Rare: carence en biotine/biotinidase.
- +Rares : diminution du nombre de facteurs de coagulation, anomalie des tests de coagulation (telle qu'un allongement du temps de prothrombine, du temps de céphaline activée, du temps de thrombine ou de l'INR). Un trouble de la coagulation, correspondant à la maladie de Willebrand type I a été rapporté dans la littérature (voir «Mises en garde et précautions/Examen hématologique et bilan de coagulation»).
- +Rares: carence en biotine/biotinidase.
-Fréquent: augmentation pondérale (5 à 10% des cas), notamment chez les adolescents et les femmes jeunes.
- +Fréquents : augmentation pondérale (5 à 10% des cas), notamment chez les adolescents et les femmes jeunes.
-Fréquent: hyponatrémie.
-Rare: hyperammoniémie, obésité.
-Des cas d'hyperammoniémie isolée et modérée, sans altération significative des tests habituels des fonctions hépatiques, ont été rapportés. En l'absence de manifestations cliniques, ils n'imposent pas l'arrêt du traitement. Par contre, si cette hyperammoniémie est accompagnée de symptômes neurologiques, des investigations complémentaires sont nécessaires (voir aussi «Mises en garde et précautions/Trouble du cycle de l'urée et risque d'hyperammoniémie, et /Patients à risque d'une déficience en carnitine»).
- +Fréquents : hyponatrémie.
- +Rares: hyperammoniémie, obésité.
- +Des cas d'hyperammoniémie isolée et modérée, sans altération significative des tests habituels des fonctions hépatiques, ont été rapportés. En l'absence de manifestations cliniques, ils n'imposent pas l'arrêt du traitement. Par contre, si cette hyperammoniémie est accompagnée de symptômes neurologiques, des investigations complémentaires sont nécessaires (voir aussi «Mises en garde et précautions/Trouble du cycle de l'urée et risque d'hyperammoniémie et /Patients à risque d'une déficience en carnitine»).
-Troubles musculo-squelettiques et systémiques
-Occasionnel: diminution de la densité osseuse, ostéopénie, ostéoporose, fractures pathologiques chez des patients qui avaient pris de l'acide valproïque pendant une longue durée. Mais le mécanisme d'action de l'acide valproïque sur le métabolisme osseux n'est pas connu (voir «Mises en garde et précautions»).
-Rare: lupus érythémateux systémique, rhabdomyolyse.
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
- +Occasionnels : diminution de la densité osseuse, ostéopénie, ostéoporose, fractures pathologiques chez des patients qui avaient pris de l'acide valproïque pendant une longue durée. Mais le mécanisme d'action de l'acide valproïque sur le métabolisme osseux n'est pas connu (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Rares : lupus érythémateux systémique, rhabdomyolyse.
-Rare: syndrome myélodysplasique.
- +Rares: syndrome myélodysplasique.
-Très fréquent: tremblement.
-Fréquent: désordres extrapyramidaux (parfois irréversibles), stupeur, somnolence, convulsion, troubles de la mémoire, maux de tête, nystagmus, étourdissement (en cas d'injection intraveineuse, l'étourdissement survient quelques minutes après et se résout généralement spontanément au bout de quelques minutes).
-Occasionnel: coma, encéphalopathie, léthargie, syndrome de Parkinson réversible, ataxie, paresthésie, aggravation des convulsions (voir «Mises en garde et précautions»).
-Rare: démence réversible avec atrophie cérébrale, troubles cognitifs.
- +Très fréquents : tremblement.
- +Fréquents : désordres extrapyramidaux (parfois irréversibles), stupeur, somnolence, convulsion, troubles de la mémoire, maux de tête, nystagmus, étourdissement (en cas d'injection intraveineuse, l'étourdissement survient quelques minutes après et se résout généralement spontanément au bout de quelques minutes).
- +Occasionnels : coma, encéphalopathie, léthargie, syndrome de Parkinson réversible, ataxie, paresthésie, aggravation des convulsions (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Rares : démence réversible avec atrophie cérébrale, troubles cognitifs.
-Stupeur et léthargie aboutissant parfois à un coma transitoire / encéphalopathie; ils étaient isolés ou associés à une recrudescence des crises sous traitement, régressant à l'arrêt du traitement ou à la diminution des doses. Ces cas sont survenus le plus souvent lors de polythérapies (phénobarbital ou topiramate en particulier) ou après l'augmentation brusque des doses de valproate de sodium.
- +Stupeur et léthargie aboutissant parfois à un coma transitoire/encéphalopathie; ils étaient isolés ou associés à une recrudescence des crises sous traitement, régressant à l'arrêt du traitement ou à la diminution des doses. Ces cas sont survenus le plus souvent lors de polythérapies (phénobarbital ou topiramate en particulier) ou après l'augmentation brusque des doses de valproate de sodium.
-Fréquent: état confusionnel, hallucinations, agressivité*, agitation*, troubles de l'attention*.
-Rare: comportement anormal*, hyperactivité psychomotrice*, troubles d'apprentissage*.
- +Fréquents : état confusionnel, hallucinations, agressivité*, agitation*, troubles de l'attention*.
- +Rares : comportement anormal*, hyperactivité psychomotrice*, troubles d'apprentissage*.
-Fréquent: incontinence urinaire.
-Occasionnel: insuffisance rénale.
-Rare: néphrite tubulointerstitielle, énurésie, syndrome de Fanconi, mais le mécanisme physiopathologique n'est pas encore élucidé.
- +Fréquents: incontinence urinaire.
- +Occasionnels : insuffisance rénale.
- +Rares : néphrite tubulointerstitielle, énurésie, syndrome de Fanconi, mais le mécanisme physiopathologique n'est pas encore élucidé.
-Fréquent: dysménorrhées.
-Occasionnel: aménorrhées (voir «Grossesse, allaitement/Fertilité», «Effets indésirables/Affections endocriniennes» et «Données précliniques»).
-Fréquence inconnue: stérilité masculine, anomalies du spermiogramme, ovaires polykystiques. Des cas de volumes testiculaires réduits ont été observés pour lesquels une relation avec le valproate n'a pas clairement pu être établie (voir «Grossesse, allaitement/ Fertilité», «Effets indésirables/Affections endocriniennes» et «Données précliniques»).
- +Fréquents : dysménorrhées.
- +Occasionnels : aménorrhées (voir «Grossesse, allaitement/Fertilité», «Effets indésirables/Affections endocriniennes» et «Données précliniques»).
- +Fréquence inconnue : stérilité masculine, anomalies du spermiogramme, ovaires polykystiques. Des cas de volumes testiculaires réduits ont été observés pour lesquels une relation avec le valproate n'a pas clairement pu être établie (voir «Grossesse, allaitement/Fertilité», «Effets indésirables/Affections endocriniennes» et «Données précliniques»).
-Occasionnel: épanchement pleural.
-Affections de la peau et des tissus sous-cutanés
-Fréquent: hypersensibilité, alopécie passagère et/ou dose-dépendant, altérations des ongles et du lit unguéal.
-Occasionnel: angio-œdème, éruption cutanée.
-Rare: syndrome de Lyell, syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe, syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse ou DRESS (Drug Rash with Eosinophilia and Systemic Symptoms), troubles capillaires (texture anormale, changement de couleur de cheveux, croissance capillaire anormale).
- +Occasionnels : épanchement pleural.
- +Affections de la peau et du tissus sous-cutané
- +Fréquents : hypersensibilité, alopécie passagère et/ou dose-dépendant, altérations des ongles et du lit unguéal.
- +Occasionnels : angio-œdème, éruption cutanée.
- +Rares : syndrome de Lyell, syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe, syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse ou DRESS (Drug Rash with Eosinophilia and Systemic Symptoms), troubles capillaires (texture anormale, changement de couleur de cheveux, croissance capillaire anormale).
-Fréquent: hémorragie.
-Occasionnel: vascularites.
- +Fréquents: hémorragie.
- +Occasionnels: vascularites.
-Ne pas utiliser au-delà de la date indiquée sur l'emballage avec la mention «EXP».
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Les solutions pour perfusion contenant la préparation injectable Depakine sont à utiliser dans les 24 heures (température de stockage entre 2 à 8 °C); d'éventuels restes sont à jeter.
- +La solution reconstituée pour perfusion contenant la préparation Depakine injectable doit être administrée dans les 24 heures (conserver au réfrigérateur(2-8 °C); d'éventuels restes sont à jeter.
-Depakine Sirop et Depakine Solution: ne pas conserver au-dessus de 25°C et tenir hors de portée des enfants.
- +Depakine Sirop et Depakine Solution buvable: ne pas conserver au-dessus de 25°C et tenir hors de portée des enfants.
-Voie injectable: préparation de la solution injectable: le solvant (4 ml) est injecté dans le flacon-ampoule; après dissolution complète du lyophilisat, la dose à administrer est prélevée; la concentration en valproate de sodium est de 95 mg/ml.
-La préparation injectable est compatible avec des récipients en PVC, polyéthylène et verre.
- +Voie injectable : pour la préparation de la solution injectable/pour perfusion: l'ampoule de solvant contient un surremplissage permettant d'obtenir 4 ml d'une solution reconstituée à 100 mg/ml. Il faut introduire le solvant (4 ml) dans le flacon de lyophilisat et le dissoudre avant de prélever la dose à administrer. Il est important pour obtenir une dissolution complète du lyophilisat de prélever la totalité du contenu de l'ampoule de solvant (eau pour préparation injectable). La concentration en valproate de sodium de la solution reconstituée est de 100 mg/ml.
- +La préparation qui est à utiliser en une seule fois se prête à l'injection intraveineuse lente ou peut être ajoutée à des solutions pour perfusions telles que le chlorure de sodium à 0,9%, le glucose à 5% ou les mélanges glucose/chlorure de sodium.
- +La solution intraveineuse est compatible avec des récipients en PVC, polyéthylène et verre.
- +Voie orale : la seringue-doseuse fournie avec la solution buvable est graduée de 50 à 400 mg. Pour des doses inférieures à 50 mg (0,166 ml), il est nécessaire d'utiliser une seringue validée pour la mesure des faibles volumes et possédant la graduation appropriée (par exemple, seringue à insuline graduée en 10ème de ml).
- +
-Préparation injectable : 1 flacon-ampoule à 400 mg + ampoule-solvant à 4 ml (B)
- +Poudre et solvant pour solution injectable/pour perfusion :
- +1 flacon à 400 mg de poudre + 1 ampoule à 4 ml de solvant (B)
-Solution à 300 mg/ml: 60 ml (avec seringue-doseuse) (B)
- +Solution buvable à 300 mg/ml: 60 ml (avec seringue-doseuse) (B)
-Novembre 2023
- +Mai 2024
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