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Accueil - Information professionnelle sur Depakine - Changements - 30.03.2017
52 Changements de l'information professionelle Depakine
  • -Excipients
  • +Excipients:
  • +Jeunes filles, adolescentes, femmes en âge de procréer et femmes enceintes
  • +Le traitement par valproate doit être initié et supervisé par un médecin expérimenté dans la prise en charge de l'épilepsie. Le traitement par valproate doit seulement être initié en cas d'inefficacité ou d'intolérance aux autres alternatives médicamenteuses (voir les rubriques «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»). Le rapport bénéfice/risque du traitement par valproate doit être réévalué attentivement lors de chaque contrôle au cours du suivi régulier du traitement. Le traitement par valproate doit être préférentiellement prescrit en monothérapie à la dose minimale efficace et en privilégiant le recours aux formes à libération prolongée afin d'éviter des pics plasmatiques élevés. La dose journalière devra être répartie en au moins deux prises.
  • -Jeunes filles, adolescentes, femmes en âge de procréer et femmes enceintes
  • -Le traitement par valproate doit être initié et supervisé par un médecin expérimenté dans la prise en charge de l'épilepsie ou des troubles bipolaires. Le traitement par valproate doit seulement être initié en cas d'inefficacité ou d'intolérance aux autres alternatives médicamenteuses (voir les rubriques «Mises en garde et précautions» et «Effets indésirables»). Le rapport bénéfice/risque du traitement par valproate doit être réévalué attentivement lors de chaque contrôle au cours du suivi régulier du traitement. Le traitement par valproate doit être préférentiellement prescrit en monothérapie à la dose minimale efficace et en privilégiant le recours aux formes à libération prolongée afin d'éviter des pics plasmatiques élevés. La dose journalière devra être répartie en au moins deux prises.
  • -La seringue-doseuse fournie avec la solution buvable n'est pas adaptée à la mesure des doses inférieures à 150 mg. Pour ces doses, il est nécessaire d'utiliser une seringue validée pour la mesure des faibles volumes et possédant la graduation appropriée (par exemple, seringue à insuline graduée en 10ème de ml).
  • +La seringue-doseuse fournie avec la solution buvable est graduée de 50 à 400 mg. Pour des doses inférieures à 50 mg (0,166 ml) , il est nécessaire d'utiliser une seringue validée pour la mesure des faibles volumes et possédant la graduation appropriée (par exemple, seringue à insuline graduée en 10ème de ml).
  • -Préparation de la solution injectable:
  • -Le solvant (4 ml) est injecté dans le flacon-ampoule; après dissolution complète du lyophilisat, la dose à administrer est prélevée; la concentration en valproate de sodium est de 95 mg/ml.
  • +Préparation de la solution injectable: le solvant (4 ml) est injecté dans le flacon-ampoule; après dissolution complète du lyophilisat, la dose à administrer est prélevée; la concentration en valproate de sodium est de 95 mg/ml.
  • -Des pancréatites sévères, parfois d'évolution fatale, ont été très rarement rapportées. Les jeunes enfants sont particulièrement à risque. Le risque diminue avec l'âge. De graves crises épileptiques, un déficit neurologique ou une poly-thérapie anti-convulsivante pourraient être des facteurs de risque. Une insuffisance hépatique associée à la pancréatite augmente le risque d'évolution fatale.
  • +Des pancréatites sévères, parfois d'évolution fatale, ont été très rarement rapportées. Les jeunes enfants sont particulièrement à risque. Le risque diminue avec l'âge. De graves crises épileptiques, un déficit neurologique ou une polythérapie anti-convulsivante pourraient être des facteurs de risque. Une insuffisance hépatique associée à la pancréatite augmente le risque d'évolution fatale.
  • -Femmes en âge de procréer (voir «Grossesse/Allaitement»)
  • -Depakine ne devrait pas être utilisé chez les filles, les adolescentes, les femmes en âge de procréer ou les femmes enceintes sauf en cas de nécessité (c'est-à-dire quand les autres traitements sont inefficaces ou non tolérés) du fait de son potentiel tératogène élevé et du risque de troubles de développement du fœtus exposé au valproate in utero. Le rapport bénéfice/risque doit être réévalué lors des contrôles réguliers du traitement, au moment de la puberté et immédiatement lorsqu'une femme en âge de procréer et traitée avec Depakine envisage ou débute une grossesse.
  • +Jeunes filles, adolescentes, femmes en âge de procréer et femmes enceintes (voir «Grossesse/Allaitement»)
  • +Depakine ne devrait pas être utilisé chez les jeunes filles, les adolescentes, les femmes en âge de procréer et les femmes enceintes sauf en cas de nécessité (c'est-à-dire quand les autres traitements sont inefficaces ou non tolérés) du fait de son potentiel tératogène élevé et du risque de troubles de développement du fœtus exposé au valproate in utero. Le rapport bénéfice/risque doit être réévalué lors des contrôles réguliers du traitement, au moment de la puberté et immédiatement lorsqu'une femme en âge de procréer et traitée avec Depakine envisage ou débute une grossesse.
  • -Le traitement par valproate devrait seulement être poursuivi après une réévaluation du rapport bénéfices/risques chez la patiente par un médecin expérimenté dans la prise en charge de l'épilepsie ou des troubles bipolaires
  • -Troubles du développement cognitif après une exposition intra-utérine à Dépakine (voir «Grossesse/Allaitement» et «Effets indésirables»).
  • +Le traitement par valproate devrait seulement être poursuivi après une réévaluation du rapport bénéfices/risques chez la patiente par un médecin expérimenté dans la prise en charge de l'épilepsie.
  • +Troubles du développement cognitif après une exposition intra-utérine à Depakine (voir «Grossesse/Allaitement» et «Effets indésirables»)
  • -Le valproate peut déclencher ou aggraver les signes cliniques de maladies mitochondriales sous-jacentes causées par des mutations de l'ADN mitochondrial ainsi que du gène nucléaire codant pour la polymérase gamma (POLG). Notamment, des cas d'insuffisance hépatique aiguë et de décès liés à une maladie hépatique ont été associés au traitement par le valproate à un niveau plus élevé chez les patients atteints de syndromes neurométaboliques héréditaires causés par des mutations du gène de l'enzyme mitochondriale polymérase gamma (POLG; par exemple le syndrome d'Alpers-Huttenlocher). Des maladies liées au gène POLG doivent être suspectées chez les patients ayant des antécédents familiaux ou présentant des symptômes évoquant une maladie liée au gène POLG y compris, mais sans s'y limiter, une encéphalopathie inexpliquée, une épilepsie réfractaire (focale, myoclonique), un état de mal épileptique, des retards de développement, une régression psychomotrice, une neuropathie axonale sensorimotrice, une myopathie, une ataxie cérébelleuse, une ophthalmoplégie, ou une migraine compliquée avec aura au niveau de la région occipitale. Un test à la recherche des mutations du gène POLG doit être effectué selon la pratique clinique actuelle pour l'évaluation diagnostique de tels troubles (voir la section «Contre-indications»).
  • +Le valproate peut déclencher ou aggraver les signes cliniques de maladies mitochondriales sous-jacentes causées par des mutations de l'ADN mitochondrial ainsi que du gène nucléaire codant pour la polymérase gamma (POLG). Notamment, des cas d'insuffisance hépatique aiguë et de décès liés à une maladie hépatique ont été associés au traitement par le valproate à un niveau plus élevé chez les patients atteints de syndromes neurométaboliques héréditaires causés par des mutations du gène de l'enzyme mitochondriale polymérase gamma (POLG; par exemple le syndrome d'Alpers-Huttenlocher). Des maladies liées au gène POLG doivent être suspectées chez les patients ayant des antécédents familiaux ou présentant des symptômes évoquant une maladie liée au gène POLG y compris, mais sans s'y limiter, une encéphalopathie inexpliquée, une épilepsie réfractaire (focale, myoclonique), un état de mal épileptique, des retards de développement, une régression psychomotrice, une neuropathie axonale sensorimotrice, une myopathie, une ataxie cérébelleuse, une ophthalmoplégie, ou une migraine compliquée avec aura au niveau de la région occipitale. Un test à la recherche des mutations du gène POLG doit être effectué selon la pratique clinique actuelle pour l'évaluation diagnostique de tels troubles (voir chapitre «Contre-indications»).
  • +Aggravation des convulsions
  • +Comme avec les autres antiépileptiques, certains patients peuvent ressentir, au lieu d'une amélioration, une aggravation réversible de la fréquence et de la sévérité de leurs convulsions (y compris le status epilepticus), ou une apparition de nouvelles formes de convulsions avec le valproate. En cas d'aggravation des convulsions, les patients doivent être informés de consulter immédiatement leur médecin (voir chapitre «Effets indésirables»).
  • -·Lithium: Depakine n'a pas d'effets sur les taux sériques de Lithium.
  • +·Lithium: Depakine n'a pas d'effets sur les taux sériques du lithium.
  • -·Phénytoïne: Depakine diminue les concentrations plasmatiques totales de phénytoïne. Il augmente surtout la fraction libre de phénytoïne, pouvant entraîner des signes de surdosage (l'acide valproïque déplace la phénytoïne de ses sites de fixation protéique plasmatiques et ralentit son catabolisme hépatique). Une surveillance clinique est donc recommandée. En cas de dosage plasmatique de phénytoïne, c'est surtout la forme libre qui doit être prise en compte.
  • +·Phénytoïne: Depakine diminue les concentrations plasmatiques totales de phénytoïne. Il augmente surtout la fraction libre de phénytoïne, pouvant entraîner des signes de surdosage (l'acide valproïque déplace la phénytoïne de ses sites de fixation protéique plasmatiques et ralentit son catabolisme hépatique).Une surveillance clinique est donc recommandée. En cas de dosage plasmatique de phénytoïne, c'est surtout la forme libre qui doit être prise en compte.
  • -·Quetiapine: L'association de valproate de sodium/acide valproïque et de quetiapine peut augmenter le risque de neutropénie/leucopénie.
  • -·Propofol: lacide valproïque peut conduire à une augmentation du taux plasmatique du propofol. En cas de co-administration avec le valproate, une diminution de la dose du propofol devra être envisagée.
  • +·Quétiapine: L'association de valproate de sodium/acide valproïque et de quétiapine peut augmenter le risque de neutropénie/leucopénie.
  • +·Propofol: l'acide valproïque peut conduire à une augmentation du taux plasmatique du propofol. En cas de co-administration avec le valproate, une diminution de la dose du propofol devra être envisagée.
  • +·Nimodipine: l'association de la nimodipine avec l'acide valproïque peut augmenter la concentration plasmatique de la nimodipine de 50%.
  • +
  • -Depakine ne devrait pas être utilisé chez les filles, les adolescentes, les femmes en âge de procréer ou les femmes enceintes sauf en cas de nécessité (c'est-à-dire quand les autres traitements sont inefficaces ou non tolérés) du fait de son potentiel tératogène élevé et du risque de troubles de développement du fœtus exposé au valproate in utero.
  • +Depakine ne devrait pas être utilisé chez les jeunes filles, les adolescentes, les femmes en âge de procréer ou les femmes enceintes sauf en cas de nécessité (c'est-à-dire quand les autres traitements sont inefficaces ou non tolérés) du fait de son potentiel tératogène élevé et du risque de troubles de développement du fœtus exposé au valproate in utero.
  • -Ce médicament ne devrait pas être utilisé chez les jeunes filles, les adolescentes, les femmes en âge de procréer et les femmes enceintes sauf en cas de nécessité (par exemple quand les autres traitements sont inefficaces ou mal tolérés). Cette décision doit être prise après avoir consulté un spécialiste et analysé avec soin le ratio bénéfice-risque avant la première prescription de Depakine ou bien quand une femme en âge de procréer et traitée avec Dépakine prévoit une grossesse. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement. Lorsqu'une femme envisage une grossesse, tous les efforts devraient être faits afin de remplacer le valproate par un traitement alternatif si possible avant la conception.
  • -Les femmes en âge de procréer doivent être informées en détail des risques et des bénéfices de l'utilisation de valproate pendant la grossesse. Si une femme projette une grossesse ou tombe enceinte, le traitement par Depakine devrait être ré-évalué quelle que soit l'indication.
  • -·En cas de troubles bipolaires, l'arrêt du traitement devrait être considéré.
  • -·En cas d'épilepsie, le traitement ne devrait pas être interrompu sans une ré-évaluation approfondie du rapport bénéfice/risque.
  • +Ce médicament ne devrait pas être utilisé chez les jeunes filles, les adolescentes, les femmes en âge de procréer et les femmes enceintes sauf en cas de nécessité (par exemple quand les autres traitements sont inefficaces ou mal tolérés). Cette décision doit être prise après avoir consulté un spécialiste et analysé avec soin le ratio bénéfice-risque avant la première prescription de Depakine ou bien quand une femme en âge de procréer et traitée avec Depakine prévoit une grossesse. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement. Lorsqu'une femme envisage une grossesse, tous les efforts devraient être faits afin de remplacer le valproate par un traitement alternatif si possible avant la conception.
  • +Les femmes en âge de procréer doivent être informées en détail des risques et des bénéfices de l'utilisation de valproate pendant la grossesse. Si une femme envisage une grossesse ou tombe enceinte, le traitement par Depakine devrait être réévalué:
  • +En cas d'épilepsie, le traitement ne devrait pas être interrompu sans une réévaluation approfondie du rapport bénéfice/risque.
  • -·De plus, une supplémentation précoce en acide folique devra être instaurée avant la grossesse au dosage approprié (5 mg/jour) pour réduire au minimum le risque d'anomalie de fermeture du tube neural. Cependant, les preuves disponibles ne suggèrent pas que cette supplémentation prévienne les malformations congénitales dues à l'exposition au valproate.
  • -·Une surveillance anténatale spécialisée doit être mise en route afin de déceler l'éventuelle survenue d'une anomalie de fermeture du tube neural ou d'autres malformations.
  • +De plus, une supplémentation précoce en acide folique devra être instaurée avant la grossesse au dosage approprié (5 mg/jour) pour réduire au minimum le risque d'anomalie de fermeture du tube neural. Cependant, les preuves disponibles ne suggèrent pas que cette supplémentation prévienne les malformations congénitales dues à l'exposition au valproate.
  • +Une surveillance anténatale spécialisée doit être mise en route afin de déceler l'éventuelle survenue d'une anomalie de fermeture du tube neural ou d'autres malformations.
  • -Troubles congénitaux, familiaux et génétiques (voir chapitre «Grossesse/Allaitement»)
  • -Néoplasmes bénins et malins (y compris kystes et polypes)
  • -Rare: syndrome myélodysplasique.
  • -Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Investigations
  • -Rare: diminution du nombre de facteurs de coagulation, anomalie des tests de coagulation (telle qu'un allongement du temps de prothrombine, du temps de céphaline activée, du temps de thrombine ou de l'INR).
  • -L'administration de Depakine peut entraîner une chute de 10'000 à 30'000/mm³ du nombre de plaquettes, souvent dose-dépendante et temporaire. Une numération des plaquettes est conseillée avant l'introduction de la médication et après 3 et 6 mois de traitement, ainsi qu'avant toute intervention chirurgicale, en particulier si la posologie dépasse 30 mg/kg/jour.
  • -Rare: carence en biotine/biotinidase.
  • -Troubles endocriniens
  • -Occasionnel: syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique (SIADH), hyperandrogénisme (hirsutisme, virilisme, acné, alopécie androgénique, et/ou augmentation du taux d'androgènes).
  • -Rare: hypothyroïdisme.
  • -Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • -Fréquent: augmentation pondérale (5 à 10% des cas), notamment chez les adolescents et les femmes jeunes.
  • -La prise de poids pouvant aggraver les symptômes cliniques du syndrome des ovaires poly-kystiques, elle doit être surveillée attentivement.
  • -Fréquent: hyponatrémie.
  • -Rare: hyperammoniémie, obésité.
  • -Des cas d'hyperammoniémie isolée et modérée, sans altération significative des tests habituels des fonctions hépatiques, ont été rapportés. En l'absence de manifestations cliniques, ils n'imposent pas l'arrêt du traitement. Par contre, si cette hyperammoniémie est accompagnée de symptômes neurologiques, des investigations complémentaires sont nécessaires (voir aussi chapitre «Mises en garde et précautions»).
  • -Troubles psychiatriques
  • -Fréquent: état confusionnel, agressivité, agitation, troubles de l'attention.
  • -Occasionnel: confusion, hallucinations.
  • -Rare: comportement anormal, hyperactivité psychomotrice, troubles d'apprentissage.
  • -Ces effets indésirables sont principalement observés dans la population pédiatrique.
  • -Troubles du système nerveux
  • -Très fréquent: tremblement.
  • -Fréquent: désordres extrapyramidaux (parfois irréversibles), stupeur, somnolence, convulsion, troubles de la mémoire, maux de tête, nystagmus, étourdissement (en cas d'injection intraveineuse, l'étourdissement survient quelques minutes après et se résout généralement spontanément au bout de quelques minutes).
  • -Occasionnel: coma, encéphalopathie, léthargie, syndrome de Parkinson réversible, ataxie, paresthésie.
  • -Rare: démence réversible avec atrophie cérébrale, troubles cognitifs.
  • -Quelques cas d'hyperactivité ou d'irritabilité ont été rapportés en début du traitement, surtout chez l'enfant.
  • -Des effets neurologiques de type obnubilation, en général facilement réversibles, ont été rapportés exceptionnellement chez des patients pour lesquels le valproate de sodium a été associé, sans mise en route progressive, à d'autres antiépileptiques, notamment le phénobarbital.
  • -Stupeur et léthargie aboutissant parfois à un coma transitoire/encéphalopathie; ils étaient isolés ou associés à une recrudescence des crises sous traitement, régressant à l'arrêt du traitement ou à la diminution des doses. Ces cas sont survenus le plus souvent lors de polythérapies (phénobarbital ou topiramate en particulier) ou après l'augmentation brusque des doses de valproate de sodium.
  • -Troubles de l'oreille et du conduit auditif
  • +Affections congénitales, familiales et génétiques (voir chapitre «Grossesse»)
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • -Troubles vasculaires
  • -Fréquent: hémorragie.
  • -Occasionnel: vascularites
  • -Organes respiratoires
  • -Occasionnel: épanchement pleural.
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections endocriniennes
  • +Occasionnel: syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique (SIADH), hyperandrogénisme (hirsutisme, virilisme, acné, alopécie androgénique, et/ou augmentation du taux d'androgènes).
  • +Rare: hypothyroïdisme.
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Troubles hépato-biliaires
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Occasionnel: œdème périphérique non graves, hypothermie.
  • +Affections hépatobiliaires
  • -Dans la grande majorité des cas rapportés, ces atteintes hépatiques ont été observées pendant les 6 premiers mois de traitement, le plus souvent entre la 2ème et la 12ème semaine, et généralement au cours de poly-thérapie antiépileptique.
  • +Dans la grande majorité des cas rapportés, ces atteintes hépatiques ont été observées pendant les 6 premiers mois de traitement, le plus souvent entre la 2ème et la 12ème semaine, et généralement au cours de polythérapie antiépileptique.
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • -Fréquent: hypersensibilité, alopécie passagère et/ou dose-dépendant, altérations des ongles et du lit unguéal.
  • -Occasionnel: angio-œdème, rash.
  • -Rare: syndrome de Lyell, syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe, syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse ou DRESS (Drug Rash with Eosinophilia and Systemic Symptoms
  • -Troubles capillaires (texture anormale, changement de couleur de cheveux, croissance capillaire anormale).
  • -Troubles musculosquelettiques, des tissus conjonctifs et des os
  • -Occasionnel: diminution de la densité osseuse, ostéopénie,ostéoporose, fractures pathologiques chez des patients qui avaient pris de l'acide valproïque pendant une longue durée. Mais le mécanisme d'action de l'acide valproïque sur le métabolisme osseux n'est pas connu (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Investigations
  • +Rare: diminution du nombre de facteurs de coagulation, anomalie des tests de coagulation (telle qu'un allongement du temps de prothrombine, du temps de céphaline activée, du temps de thrombine ou de l'INR).
  • +L'administration de Depakine peut entraîner une chute de 10'000 à 30'000/mm³ du nombre de plaquettes, souvent dose-dépendante et temporaire. Une numération des plaquettes est conseillée avant l'introduction de la médication et après 3 et 6 mois de traitement, ainsi qu'avant toute intervention chirurgicale, en particulier si la posologie dépasse 30 mg/kg/jour.
  • +Rare: carence en biotine/biotinidase.
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • +Fréquent: augmentation pondérale (5 à 10% des cas), notamment chez les adolescents et les femmes jeunes.
  • +La prise de poids pouvant aggraver les symptômes cliniques du syndrome des ovaires poly-kystiques, elle doit être surveillée attentivement.
  • +Fréquent: hyponatrémie.
  • +Rare: hyperammoniémie, obésité.
  • +Des cas d'hyperammoniémie isolée et modérée, sans altération significative des tests habituels des fonctions hépatiques, ont été rapportés. En l'absence de manifestations cliniques, ils n'imposent pas l'arrêt du traitement. Par contre, si cette hyperammoniémie est accompagnée de symptômes neurologiques, des investigations complémentaires sont nécessaires (voir aussi chapitre «Mises en garde et précautions»).
  • +Troubles musculo-squelettiques et systémiques
  • +Occasionnel: diminution de la densité osseuse, ostéopénie, ostéoporose, fractures pathologiques chez des patients qui avaient pris de l'acide valproïque pendant une longue durée. Mais le mécanisme d'action de l'acide valproïque sur le métabolisme osseux n'est pas connu (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl. kystes et polypes)
  • +Rare: syndrome myélodysplasique.
  • +Affections du système nerveux
  • +Très fréquent: tremblement.
  • +Fréquent: désordres extrapyramidaux (parfois irréversibles), stupeur, somnolence, convulsion, troubles de la mémoire, maux de tête, nystagmus, étourdissement (en cas d'injection intraveineuse, l'étourdissement survient quelques minutes après et se résout généralement spontanément au bout de quelques minutes).
  • +Occasionnel: coma, encéphalopathie, léthargie, syndrome de Parkinson réversible, ataxie, paresthésie, aggravation des convulsions (voir chapitre «Mises en garde et précautions»).
  • +Rare: démence réversible avec atrophie cérébrale, troubles cognitifs.
  • +Quelques cas d'hyperactivité ou d'irritabilité ont été rapportés en début du traitement, surtout chez l'enfant.
  • +Des effets neurologiques de type obnubilation, en général facilement réversibles, ont été rapportés exceptionnellement chez des patients pour lesquels le valproate de sodium a été associé, sans mise en route progressive, à d'autres antiépileptiques, notamment le phénobarbital.
  • +Stupeur et léthargie aboutissant parfois à un coma transitoire/encéphalopathie; ils étaient isolés ou associés à une recrudescence des crises sous traitement, régressant à l'arrêt du traitement ou à la diminution des doses. Ces cas sont survenus le plus souvent lors de polythérapies (phénobarbital ou topiramate en particulier) ou après l'augmentation brusque des doses de valproate de sodium.
  • +Affections gravidiques, puerpérales et périnatales
  • +Affections du développement cognitif après une exposition intra-utérine au valproate (voir les rubriques «Grossesse/Allaitement» et «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections psychiatriques
  • +Fréquent: état confusionnel, agressivité, agitation, troubles de l'attention.
  • +Occasionnel: confusion, hallucinations.
  • +Rare: comportement anormal, hyperactivité psychomotrice, troubles d'apprentissage.
  • +Ces effets indésirables sont principalement observés dans la population pédiatrique.
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Affections lors de la grossesse, puerpérales et périnatales
  • -Troubles du développement cognitif après une exposition intra-utérine au valproate (voir les rubriques «Grossesse/Allaitement» et «Mises en garde et précautions»).
  • -Troubles des organes de reproduction et des seins
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • -Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
  • -Occasionnel: œdème périphérique non graves, hypothermie.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Occasionnel: épanchement pleural.
  • +Affections de la peau et des tissus sous-cutanés
  • +Fréquent: hypersensibilité, alopécie passagère et/ou dose-dépendant, altérations des ongles et du lit unguéal.
  • +Occasionnel: angio-œdème, rash.
  • +Rare: syndrome de Lyell, syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe, syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse ou DRESS (Drug Rash with Eosinophilia and Systemic Symptoms), troubles capillaires (texture anormale, changement de couleur de cheveux, croissance capillaire anormale).
  • +Affections vasculaires
  • +Fréquent: hémorragie.
  • +Occasionnel: vascularites.
  • -Dans le plasma Depakine se retrouve sous la forme d'acide valproïque. La concentration plasmatique maximale (pic) d'acide valproïque est atteinte en moyenne 1 h à 1,5 h après l'ingestion des formes liquides.
  • +Dans le plasma Depakine se retrouve sous la forme d'acide valproïque. La concentration plasmatique maximale (pic) d'acide valproïque est atteinte en moyenne 1h à 1,5h après l'ingestion des formes liquides.
  • -Voie orale:
  • -La solution sera prise avec un demi-verre d'eau du robinet, de lait ou autre boisson non alcoolisée.
  • -La seringue-doseuse fournie avec la solution buvable n'est pas adaptée à la mesure des doses inférieures à 150 mg. Pour ces doses, il est nécessaire d'utiliser une seringue validée pour la mesure des faibles volumes et possédant la graduation appropriée (par exemple, seringue à insuline graduée en 10ème de ml).
  • -Voie injectable:
  • -Préparation de la solution injectable:
  • -Le solvant (4 ml) est injecté dans le flacon-ampoule; après dissolution complète du lyophilisat, la dose à administrer est prélevée; la concentration en valproate de sodium est de 95 mg/ml.
  • +Voie orale: la solution sera prise avec un demi-verre d'eau du robinet, de lait ou autre boisson non alcoolisée.
  • +La seringue-doseuse fournie avec la solution buvable est graduée de 50 à 400 mg. Pour des doses inférieures à 50 mg (0,166 ml) , il est nécessaire d'utiliser une seringue validée pour la mesure des faibles volumes et possédant la graduation appropriée (par exemple, seringue à insuline graduée en 10ème de ml).
  • +Voie injectable: préparation de la solution injectable: le solvant (4 ml) est injecté dans le flacon-ampoule; après dissolution complète du lyophilisat, la dose à administrer est prélevée; la concentration en valproate de sodium est de 95 mg/ml.
  • -50271, 40936, 34734 (Swissmedic).
  • +50271; 40936; 34734 (Swissmedic).
  • -Avril 2016.
  • +Février 2017.
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