114 Änderungen an Fachinfo Klacid 250 mg |
-Vanillium; Color.: E104; Conserv.: Ac. Sorbicum (E200); Excipiens pro compr. obduct.
- +Vanillium; color.: E104; conserv.: acidum sorbicum (E200); excipiens pro compresso obducto.
-Klacid est indiqué dans les infections suivantes provoquées par des agents sensibles à la clarithromycine:
- +Klacid est indiqué dans les infections suivantes provoquées par des agents sensibles à la clarithromycine.
-Comme par ex. bronchite aiguë et chronique, broncho-pneumonie, pneumonie, pneumonie atypique, pneumonie due à Legionella pneumophila, pour autant que la gravité de l'état ne nécessite pas un traitement parentéral (en ce qui concerne la détermination de la sensibilité, voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacodynamique»).
- +Comme p.ex. bronchite aiguë et chronique, broncho-pneumonie, pneumonie, pneumonie atypique, pneumonie due à Legionella pneumophila, pour autant que la gravité de l'état ne nécessite pas un traitement parentéral (en ce qui concerne la détermination de la sensibilité, voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacodynamique»).
-Comme par ex. pharyngite, sinusite. En ce qui concerne l'otite, on ne dispose pas d'expériences chez des adultes.
- +Comme p.ex. pharyngite, sinusite. En ce qui concerne l'otite, on ne dispose pas d'expériences chez des adultes.
-Infections légères et superficielles, comme par exemple impétigo, érysipèle, folliculite, furonculose, abcès, infections de plaies circonscrites, phlegmons . (en ce qui concerne la détermination de la sensibilité, voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacodynamique»).
- +Infections légères et superficielles, comme p.ex. impétigo, érysipèle, folliculite, furonculose, abcès, infections de plaies circonscrites, phlegmons (en ce qui concerne la détermination de la sensibilité, voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacodynamique»).
-Traitement d'infections disséminées à Mycobacterium avium ou intracellulare.
-Prévention d'infections à Mycobacterium avium ou intracellulare chez les patients infectés par le VIH dont le nombre de lymphocytes CD4 est inférieur à 100/mm³.
- +Traitement d'infections disséminées à Mycobacterium avium ou intracellulaire.
- +Prévention d'infections à Mycobacterium avium ou intracellulaire chez les patients infectés par le VIH dont le nombre de lymphocytes CD4 est inférieur à 100/mm³.
-A titre préventif: la posologie recommandée est de 500 mg 2 fois par jour.
- +A titre préventif: La posologie recommandée est de 500 mg 2 fois par jour.
-Normalement, la clarithromycine ne traverse pas la barrière hématoencéphalique; Klacid n'est donc pas indiqué en cas d'infection du système nerveux central.
-L'administration concomitante de clarithromycine avec des alcaloïdes de l'ergot de seigle (par ex. ergotamine ou dihydroergotamine) est contre-indiquée parce que pouvant entraîner une intoxication ergotaminique aiguë (voir «Mises en garde et précautions», «Interactions»).
- +L'administration concomitante de clarithromycine avec des alcaloïdes de l'ergot de seigle (p.ex. ergotamine ou dihydroergotamine) est contre-indiquée parce que pouvant entraîner une intoxication ergotaminique aiguë (voir «Mises en garde et précautions», «Interactions»).
-L'administration concomitante de clarithromycine et de ticagrélor ou de ranolazine est contre-indiquée.
- +L'administration concomitante de clarithromycine et de ticagrélor, de ranolazine ou d'ivabradine est contre-indiquée.
-Une résistance croisée entre la clarithromycine et d'autres macrolides est possible. L'emploi d'une thérapie antimicrobienne, telle que p. ex., la clarythromycine, pour le traitement d'une infection à H. pylori peut entraîner la sélection d'organismes résistants aux médicaments.
- +Une résistance croisée entre la clarithromycine et d'autres macrolides est possible. L'emploi d'une thérapie antimicrobienne, telle que p.ex. la clarythromycine, pour le traitement d'une infection à H. pylori peut entraîner la sélection d'organismes résistants aux médicaments.
-Sous traitement par les macrolides, y compris la clarithromycine, une prolongation de la repolarisation cardiaque et un allongement de l'intervalle QT ont été observés, ce qui peut entraîner des troubles du rythme cardiaque et des torsades de pointes (voir «Contre-indications», «Effets indésirables»). Etant donné que les situations suivantes peuvent aussi augmenter le risque de troubles du rythme cardiaque (y compris des torsades de pointes), la clarithromycine doit être utilisée avec prudence chez les patients suivants:
- +Sous traitement par les macrolides, y compris la clarithromycine, une prolongation de la repolarisation cardiaque et un allongement de l'intervalle QT ont été observés, ce qui peut entraîner des troubles du rythme cardiaque et des torsades de pointes (voir «Contre-indications», «Effets indésirables»). Etant donné que les situations suivantes peuvent aussi augmenter le risque de troubles du rythme cardiaque (y compris des torsades de pointes), la clarithromycine doit être utilisée avec prudence uniquement chez les patients suivants:
-·Patients qui prennent concomitamment d'autres médicaments associés à un allongement du QT (voir «Interactions»).
- +·Patients qui prennent concomitamment d'autres médicaments associés à un allongement du QT, à l'exception de ceux qui sont contre-indiqués (voir «Interactions»).
-L'utilisation concomitante de clarithromycine et d'antidiabétiques oraux (par ex. sulfonylurées) et/ou d'insuline peut conduire à une hypoglycémie sérieuse (voir «Interactions»). Un contrôle étroit de la glycémie est recommandé.
- +L'utilisation concomitante de clarithromycine et d'antidiabétiques oraux (p.ex. sulfonylurées) et/ou d'insuline peut conduire à une hypoglycémie sérieuse (voir «Interactions»). Un contrôle étroit de la glycémie est recommandé.
-Il existe un risque d'hémorragies sévères et d'augmentation significative de l'INR et du temps de prothrombine, lorsque la clarithromycine est utilisée en même temps que la warfarine. Il faut contrôler et surveiller fréquemment l'INR et le temps de prothrombine chez les patients qui prennent en même temps de la clarithromycine et des anticoagulants oraux.
-La prudence est de mise lors de l'utilisation concomitante de clarithromycine et d'anticoagulants oraux tels que le dabigatran, le rivaroxaban et l'apixaban, en particulier chez les patients présentant un risque accru de saignements (voir «Interactions»).
- +Il existe un risque d'hémorragies sévères et d'augmentation significative de l'International Normalized Ratio (INR) et du temps de prothrombine, lorsque la clarithromycine est utilisée en même temps que la warfarine. Il faut contrôler et surveiller fréquemment l'INR et le temps de prothrombine chez les patients qui prennent en même temps de la clarithromycine et des anticoagulants oraux.
- +La prudence est de mise lors de l'utilisation concomitante de clarithromycine et d'anticoagulants oraux tels que le dabigatran, le rivaroxaban, l'apixaban et l'édoxaban, en particulier chez les patients présentant un risque accru de saignements (voir «Interactions»).
-L'utilisation d'une statine non métabolisée par la CYP3A (par exemple la fluvastatine) peut être envisagée (voir «Interactions»).
- +L'utilisation d'une statine non métabolisée par la CYP3A (p.ex. la fluvastatine) peut être envisagée (voir «Interactions»).
-Cisapride, pimozide, dompéridone et terfénadine
-Les taux sériques de ces substances sont plus élevés lors de l'utilisation simultanée de clarithromycine, ce qui peut provoquer un allongement de l'intervalle QT et des arythmies, y compris tachycardie ventriculaire, fibrillation ventriculaire et torsades de pointe. C'est pourquoi l'association de cisapride, pimozide ou terfénadine et de clarithromycine est contre-indiquée (voir aussi «Contre-indications»).
- +Astémizole, cisapride, pimozide, dompéridone et terfénadine
- +Les taux sériques de ces substances sont plus élevés lors de l'utilisation simultanée de clarithromycine, ce qui peut provoquer un allongement de l'intervalle QT et des arythmies, y compris tachycardie ventriculaire, fibrillation ventriculaire et torsades de pointe. C'est pourquoi l'association d'astémizole, cisapride, pimozide ou terfénadine et de clarithromycine est contre-indiquée (voir aussi «Contre-indications»).
-Ticagrélor, ranolazine
-L'administration concomitante de clarithromycine avec les substrats du CYP3A4 ticagrélor ou ranolazine est contre-indiquée car une telle utilisation simultanée peut entraîner une augmentation considérable de l'exposition au ticagrélor ou à la ranolazine (voir «Interactions» et «Contre-indications»).
- +Ticagrélor, ranolazine, ivabradine
- +L'administration concomitante de clarithromycine avec les substrats du CYP3A4 ticagrélor, ivabradine ou ranolazine est contre-indiquée car une telle utilisation simultanée peut entraîner une augmentation considérable de l'exposition au ticagrélor, à la ranolazine ou à l'ivabradine (voir «Interactions» et «Contre-indications»).
-Lors de l'administration concomitante de midazolam oral et de comprimés de clarithromycine (500 mg deux fois par jour), l'ASC du midazolam a augmenté de 7 fois. (voir «Mises en garde et précautions»). L'administration concomittante de midazolam oral et de clarithromycine est contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
- +Lors de l'administration concomitante de midazolam oral et de comprimés de clarithromycine (500 mg deux fois par jour), l'ASC du midazolam a augmenté de 7 fois. L'administration concomitante de midazolam oral et de clarithromycine est contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
-Les inducteurs puissants du système métabolique du cytochrome P450 – par exemple éfavirenz, névirapine, rifampicine, rifabutine et rifapentine – peuvent accélérer la métabolisation de la clarithromycine et baisser de cette façon le taux plasmatique de clarithromycine tout en augmentant le taux plasmatique de 14-OH-clarithromycine (dérivé également microbiologiquement actif). Étant donné que la clarithromycine et la 14-OH-clarithromycine n'ont pas la même activité microbiologique contre les différentes bactéries, le succès thérapeutique souhaité peut être compromis par l'administration d'inducteurs des enzymes.
- +Les inducteurs puissants du système métabolique du cytochrome P450 – p.ex. éfavirenz, névirapine, rifampicine, rifabutine et rifapentine – peuvent accélérer la métabolisation de la clarithromycine et baisser de cette façon le taux plasmatique de clarithromycine tout en augmentant le taux plasmatique de 14-OH-clarithromycine (dérivé également microbiologiquement actif). Étant donné que la clarithromycine et la 14-OH-clarithromycine n'ont pas la même activité microbiologique contre les différentes bactéries, le succès thérapeutique souhaité peut être compromis par l'administration d'inducteurs des enzymes.
-Chez 21 sujets sains traités au fluconazole 200 mg par jour en association avec de clarithromycine 500 mg deux fois par jour, la concentration minimale de clarithromycine a augmenté de 33 % et l'AUC0-12 a augmenté de 18 %. Les taux de 14-OH clarithromycine à l'état d'équilibre n'ont pas été significativement modifiés. Un ajustement de la dose de clarithromycine n'est pas nécessaire.
- +Chez 21 sujets sains traités au fluconazole 200 mg par jour en association avec de clarithromycine 500 mg deux fois par jour, la concentration minimale de clarithromycine a augmenté de 33% et l'AUC0-12 a augmenté de 18%. Les taux de 14-OH clarithromycine à l'état d'équilibre n'ont pas été significativement modifiés. Un ajustement de la dose de clarithromycine n'est pas nécessaire.
-Chez les patients avec une insuffisance rénale, des adaptations similaires de la dose doivent être considérées si le ritonavir est utilisé comme renforçateur pharmacocinétique avec d'autres inhibiteurs de la protéase VIH, atazanavir et saquinavir inclus (Voir ci-dessous sous «Interactions bidirectionnelles»).
- +Chez les patients avec une insuffisance rénale, des adaptations similaires de la dose doivent être considérées si le ritonavir est utilisé comme renforçateur pharmacocinétique avec d'autres inhibiteurs de la protéase VIH, atazanavir et saquinavir inclus (voir ci-dessous sous «Interactions bidirectionnelles»).
-La prudence est de mise lors d'une utilisation de clarithromycine chez les patients traités par un autre médicament dont on sait qu'il s'agit d'un substrat du CYP3A, surtout si ce substrat du CYP3A présente une marge thérapeutique étroite (comme par exemple la carbamazépine) et/ou est très fortement métabolisé par voie de cette enzyme.
- +La prudence est de mise lors d'une utilisation de clarithromycine chez les patients traités par un autre médicament dont on sait qu'il s'agit d'un substrat du CYP3A, surtout si ce substrat du CYP3A présente une marge thérapeutique étroite (p.ex. la carbamazépine) et/ou est très fortement métabolisé par voie de cette enzyme.
- +Hydroxychloroquine ou chloroquine
- +Des études observationnelles ont montré que l'administration concomitante d'azithromycine et d'hydroxychloroquine chez des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde est associée à un risque accru d'événements cardiovasculaires et de mortalité cardiovasculaire. En raison de l'existence possible d'un risque semblable avec d'autres macrolides lors d'un emploi en association avec l'hydroxychloroquine ou la chloroquine, il convient de soigneusement évaluer le rapport bénéfice-risque avant de prescrire de la clarithromycine à des patients sous hydroxychloroquine ou chloroquine.
- +
-Il existe des rapports postcommercialisation d'hypoglycémie (dans certains cas sérieuse) lors d'une administration concomitante de clarithromycine et de disopyramide. La glycémie doit par conséquent être surveillée étroitement lors d'une co-administration de clarithromycine et de disopyramide.
-Hypoglycémiants oraux / insuline
-L'administration concomitante de clarithromycine, de sulfonylurée et/ou d'une insuline peut entraîner une hypoglycémie sévère. À cause des effets inhibiteurs de la clarithromycine sur l'enzyme CYP3A, une administration concomitante de clarithromycine et de médicaments hypoglycémiants métabolisés par l'enzyme CYP3A (par exemple natéglinide ou répaglinide) peut entraîner une hypoglycémie. Un contrôle étroit de la glycémie est recommandé.
- +Il existe des rapports post commercialisation d'hypoglycémie (dans certains cas sérieuse) lors d'une administration concomitante de clarithromycine et de disopyramide. La glycémie doit par conséquent être surveillée étroitement lors d'une co-administration de clarithromycine et de disopyramide.
- +Hypoglycémiants oraux/insuline
- +L'administration concomitante de clarithromycine, de sulfonylurée et/ou d'une insuline peut entraîner une hypoglycémie sévère. À cause des effets inhibiteurs de la clarithromycine sur l'enzyme CYP3A, une administration concomitante de clarithromycine et de médicaments hypoglycémiants métabolisés par l'enzyme CYP3A, p.ex. natéglinide ou répaglinide, peut entraîner une hypoglycémie. Un contrôle étroit de la glycémie est recommandé.
-L'utilisation d'une statine métabolisée indépendamment du CYP3A (par exemple la fluvastatine) peut être envisagée (voir «Mises en garde et précautions»).
- +L'utilisation d'une statine métabolisée indépendamment du CYP3A (p.ex. la fluvastatine) peut être envisagée (voir «Mises en garde et précautions»).
-L'AOD dabigatran est un subtrat du transporteur d'efflux P-gp. Le rivaroxaban et l'apixaban sont métabolisés par le CYP3A4 et sont également des substrats de la P-gp. La prudence est de mise lors de l'utilisation de clarithromycine en association avec ces principes actifs, en particulier chez les patients présentant un risque accru de saignements (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Les AOD dabigatran et édoxaban sont des substrats du transporteur d'efflux P-gp. Le rivaroxaban et l'apixaban sont métabolisés par le CYP3A4 et sont également des substrats de la P-gp. La prudence est de mise lors de l'utilisation de clarithromycine en association avec ces principes actifs, en particulier chez les patients présentant un risque accru de saignements (voir «Mises en garde et précautions»).
-La voie de métabolisation primaire de la toltérodine s'effectue au niveau de l'isoenzyme 2D6 du cytochrome P450 (CYP2D6). Dans un sous-groupe de la population sans CYP2D6, la métabolisation s'effectue essentiellement par voie du CYP3A. Dans cette population, l'inhibition du CYP3A entraîne une augmentation significative des concentrations sériques de toltérodine. Une réduction de la dose de toltérodine dans ce sous-groupe peut devenir nécessaire en cas d'administration concomitante d'inhibiteurs du CYP3A tels que par exemple la clarithromycine.
- +La voie de métabolisation primaire de la toltérodine s'effectue au niveau de l'isoenzyme 2D6 du cytochrome P450 (CYP2D6). Dans un sous-groupe de la population sans CYP2D6, la métabolisation s'effectue essentiellement par voie du CYP3A. Dans cette population, l'inhibition du CYP3A entraîne une augmentation significative des concentrations sériques de toltérodine. Une réduction de la dose de toltérodine dans ce sous-groupe peut devenir nécessaire en cas d'administration concomitante d'inhibiteurs du CYP3A tels que p.ex. la clarithromycine.
-Benzodiazépines de type triazolam (par exemple alprazolam, midazolam, triazolam)
-Lors d'une administration concomitante de midazolam et de comprimés de clarithromycine (500 mg deux fois par jour), l'AUC du midazolam a augmenté de 2.7 fois après une administration intraveineuse. Lors d'une administration intraveineuse de midazolam au cours du traitement à la clarithromycine, le patient doit être surveillé étroitement pour que la dose puisse être adaptée au besoin (voir «Mises en garde et précautions»). En raison de l'éviction éventuelle de l'élimination présystémique, la résorption du midazolam par la muqueuse buccale entraîne probablement plutôt des réactions semblables à celles observées suite à une administration intraveineuse que celles observées après administration orale.
- +Benzodiazépines de type triazolam (p.ex. alprazolam, midazolam, triazolam)
- +Lors d'une administration concomitante de midazolam et de comprimés de clarithromycine (500 mg deux fois par jour), l'AUC du midazolam a augmenté de 2,7 fois après une administration intraveineuse. Lors d'une administration intraveineuse de midazolam au cours du traitement à la clarithromycine, le patient doit être surveillé étroitement pour que la dose puisse être adaptée au besoin (voir «Mises en garde et précautions»). En raison de l'éviction éventuelle de l'élimination présystémique, la résorption du midazolam par la muqueuse buccale entraîne probablement plutôt des réactions semblables à celles observées suite à une administration intraveineuse que celles observées après administration orale.
-Il existe des rapports post-marketing signalant des interactions et des perturbations du système nerveux central (par exemple somnolence et désorientation) dans le cadre d'une administration concomitante de clarithromycine et de triazolam. Il est donc recommandé d'observer les patients pour détecter d'éventuels effets pharmacologiques accrus sur le SNC.
- +Il existe des rapports post-marketing signalant des interactions et des perturbations du système nerveux central (p.ex. somnolence et désorientation) dans le cadre d'une administration concomitante de clarithromycine et de triazolam. Il est donc recommandé d'observer les patients pour détecter d'éventuels effets pharmacologiques accrus sur le SNC.
- +Corticostéroïdes
- +La prudence est de rigueur lors de l'administration concomitante de clarithromycine et de corticostéroïdes systémiques et inhalés, principalement métabolisés par CYP3A, car cela peut entraîner une exposition systémique accrue aux corticostéroïdes. Lors de l'administration concomitante, les patients doivent être étroitement surveillés afin de détecter tout effet indésirable des corticostéroïdes systémiques.
- +
-Aussi bien la clarithromycine que le saquinavir sont des substrats et inhibiteurs du CYP3A et peuvent interagir dans le sens d'une réaction pharmacocinétique bidirectionnelle. L'administration concomitante de clarithromycine (500 mg 2 x par jour) et de saquinavir (capsule de gélatine molle, 1200 mg 3 x par jour) chez 12 sujets sains a résulté en une disponibilité systémique (AUC) du saquinavir augmentée à 177 % à l'état d'équilibre et à une concentration maximale (Cmax) du saquinavir augmentée à 187 % en comparaison avec le saquinavir en monothérapie. Les valeurs de l'AUC et de la Cmax de la clarithromycine ont été augmentées d'environ 40 % en comparaison avec la clarithromycine en monothérapie. Aucune adaptation de la dose n'est nécessaire si les deux médicaments sont pris de façon concomitante pour une durée limitée dans le cadre des puissances de dosage et formes galéniques examinées. Les observations faites dans les études d'interactions médicamenteuses avec les capsules de gélatine molle ne sont pas forcément applicables à l'utilisation du saquinavir sous forme de capsules de gélatine rigide. Les observations faites dans les études d'interactions médicamenteuses avec le saquinavir non boosté ne sont pas forcément applicables aux effets obtenus avec l'association saquinavir/ritonavir. Si le saquinavir est administré en association avec le ritonavir, il faut tenir compte des effets éventuels du ritonavir sur la clarithromycine (voir la section sur le «Ritonavir»).
- +Aussi bien la clarithromycine que le saquinavir sont des substrats et inhibiteurs du CYP3A et peuvent interagir dans le sens d'une réaction pharmacocinétique bidirectionnelle. L'administration concomitante de clarithromycine (500 mg 2x par jour) et de saquinavir (capsule de gélatine molle, 1200 mg 3x par jour) chez 12 sujets sains a résulté en une disponibilité systémique (AUC) du saquinavir augmentée à 177% à l'état d'équilibre et à une concentration maximale (Cmax) du saquinavir augmentée à 187% en comparaison avec le saquinavir en monothérapie. Les valeurs de l'AUC et de la Cmax de la clarithromycine ont été augmentées d'environ 40% en comparaison avec la clarithromycine en monothérapie. Aucune adaptation de la dose n'est nécessaire si les deux médicaments sont pris de façon concomitante pour une durée limitée dans le cadre des puissances de dosage et formes galéniques examinées. Les observations faites dans les études d'interactions médicamenteuses avec les capsules de gélatine molle ne sont pas forcément applicables à l'utilisation du saquinavir sous forme de capsules de gélatine rigide. Les observations faites dans les études d'interactions médicamenteuses avec le saquinavir non boosté ne sont pas forcément applicables aux effets obtenus avec l'association saquinavir/ritonavir. Si le saquinavir est administré en association avec le ritonavir, il faut tenir compte des effets éventuels du ritonavir sur la clarithromycine (voir la section sur le «Ritonavir»).
-Aussi bien la clarithromycine que l'atazanavir sont des substrats et inhibiteurs du CYP3A et peuvent interagir dans le sens d'une réaction pharmacocinétique bidirectionnelle. L'administration concomitante de clarithromycine (500 mg 2 x par jour) et d'atazanavir (400 mg 1 x par jour) a entraîné un doublement de l'exposition à la clarithromycine et une réduction de 70 % de l'exposition à la 14(R)-hydroxyclarithromycine, avec une augmentation de 28 % de l'AUC de l'atazanavir. En raison de la grande marge thérapeutique de la clarithromycine, une réduction de la dose ne devrait pas être nécessaire chez les patients dont la fonction rénale est normale. Chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine de 30 à 60 ml/min), la dose de clarithromycine doit être réduite de 50 %. Chez les patients présentant une clairance de la créatinine < 30 ml/min, la dose de clarithromycine doit être réduite de 75 % à l'aide de formes galéniques appropriées (par exemple suspension). La dose journalière maximale de 1 g de clarithromycine ne doit pas être dépassée lors d'une prise concomitante d'inhibiteurs de la protéase.
- +Aussi bien la clarithromycine que l'atazanavir sont des substrats et inhibiteurs du CYP3A et peuvent interagir dans le sens d'une réaction pharmacocinétique bidirectionnelle. L'administration concomitante de clarithromycine (500 mg 2x par jour) et d'atazanavir (400 mg 1x par jour) a entraîné un doublement de l'exposition à la clarithromycine et une réduction de 70% de l'exposition à la 14(R)-hydroxyclarithromycine, avec une augmentation de 28% de l'AUC de l'atazanavir. En raison de la grande marge thérapeutique de la clarithromycine, une réduction de la dose ne devrait pas être nécessaire chez les patients dont la fonction rénale est normale. Chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine de 30 à 60 ml/min), la dose de clarithromycine doit être réduite de 50%. Chez les patients présentant une clairance de la créatinine <30 ml/min, la dose de clarithromycine doit être réduite de 75% à l'aide de formes galéniques appropriées (p.ex. suspension). La dose journalière maximale de 1 g de clarithromycine ne doit pas être dépassée lors d'une prise concomitante d'inhibiteurs de la protéase.
-La prudence est de rigueur lors de l'administration concomitante de clarithromycine et d'antagonistes calciques métabolisés par la CYP3A4 (par ex. vérapamil, amlodipine, diltiazem), étant donné qu'il existe un risque d'hypotension. Les concentrations plasmatiques de la clarithromycine et des antagonistes calciques peuvent être augmentées par l'interaction.
- +La prudence est de rigueur lors de l'administration concomitante de clarithromycine et d'antagonistes calciques métabolisés par la CYP3A4 (p.ex. vérapamil, amlodipine, diltiazem), étant donné qu'il existe un risque d'hypotension. Les concentrations plasmatiques de la clarithromycine et des antagonistes calciques peuvent être augmentées par l'interaction.
-De plus, des interactions se traduisant par une augmentation des taux sériques des substances suivantes ont été signalées: alfentanil, bromocriptine, ciclosporine, cilostazol, hexobarbital, méthylprednisolone, phénytoïne, tacrolimus, acide valproïque, vinblastine.
- +De plus, des interactions se traduisant par une augmentation des taux sériques des substances suivantes ont été signalées: alfentanil, bromocriptine, ciclosporine, cilostazol, hexobarbital, tacrolimus, vinblastine.
-Hydroxychloroquine ou chloroquine
-Des études observationnelles ont montré que l'administration concomitante d'azithromycine et d'hydroxychloroquine chez des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde est associée à un risque accru d'événements cardiovasculaires et de mortalité cardiovasculaire. En raison de l'existence possible d'un risque semblable avec d'autres macrolides lors d'un emploi en association avec l'hydroxychloroquine ou la chloroquine, il convient de soigneusement évaluer le rapport bénéfice-risque avant de prescrire de la clarithromycine à des patients sous hydroxychloroquine ou chloroquine.
-Les taux sériques des substances suivantes, administrées en même temps, peuvent être augmentés:
- +Les taux sériques des substances suivantes, administrées en même temps, peuvent être augmentés.
-Les expériences sur l'utilisation de la clarithromycine pendant la grossesse ne sont pas suffisantes. Des indices issus de l'expérimentation animale suggèrent des effets délétères sur le foetus (effets embryo- et foetotoxiques après administration orale de clarithromycine). En raison d'expériences chez l'homme, d'éventuels effets négatifs sur le développement embryofְœtal ne peuvent en outre pas être exclus.
-Certaines études d'observation évaluant l'exposition à la clarithromycine au cours des premier et deuxième trimestres de la grossesse ont rapporté un risque accru de fausse couche par rapport à l'absence d'utilisation d'antibiotiques ou à l'utilisation d'autres antibiotiques pendant la même période. Les études épidémiologiques disponibles sur le risque de malformations congénitales graves associé à l'utilisation de macrolides, y compris la clarithromycine, pendant la grossesse ont fourni des résultats contradictoires.
-C'est pourquoi Klacid ne doit pas être administré, sauf nécessité absolue. Lorsqu'une grossesse débute pendant un traitement par Klacid, la patiente doit être informée des dangers potentiels encourus par le foetus (voir «Données précliniques»).
- +Les expériences sur l'utilisation de la clarithromycine pendant la grossesse ne sont pas suffisantes. Des indices issus de l'expérimentation animale suggèrent des effets délétères sur le fœtus (effets embryo- et fœtotoxiques après administration orale de clarithromycine). En raison d'expériences chez l'homme, d'éventuels effets négatifs sur le développement embryofְœtal ne peuvent en outre pas être exclus.
- +Certaines études d'observation évaluant l'exposition à la clarithromycine au cours des premier et deuxième trimestre de la grossesse ont rapporté un risque accru de fausse couche par rapport à l'absence d'utilisation d'antibiotiques ou à l'utilisation d'autres antibiotiques pendant la même période. Les études épidémiologiques disponibles sur le risque de malformations congénitales graves associé à l'utilisation de macrolides, y compris la clarithromycine, pendant la grossesse ont fourni des résultats contradictoires.
- +C'est pourquoi Klacid ne doit pas être administré, sauf nécessité absolue. Lorsqu'une grossesse débute pendant un traitement par Klacid, la patiente doit être informée des dangers potentiels encourus par le fœtus (voir «Données précliniques»).
-Au cours d'études cliniques contrôlées portant sur Klacid en comprimés filmés (études de phase III pour toutes les indications, [n = 3437]), les effets indésirables suivants ont été rapportés chez plus de 1% des patients inclus aux études. Les effets indésirables sont énumérés dans le tableau ci-dessous par classe d'organe et par fréquence en pourcentage (très fréquent ≥1/10; fréquent ≥1/100 et <1/10; occasionnel ≥1/1000 <1/100).
- +Au cours d'études cliniques contrôlées portant sur Klacid en comprimés filmés (études de phase III pour toutes les indications, [n=3437]), les effets indésirables suivants ont été rapportés chez plus de 1% des patients inclus aux études. Les effets indésirables sont énumérés dans le tableau ci-dessous par classe d'organe et par fréquence en pourcentage (très fréquent ≥1/10; fréquent ≥1/100 et <1/10; occasionnel ≥1/1000<1/100).
- Occasionnel Etats anxieux.
- +Occasionnel Etats anxieux.
-Affections gastro-intestinales Fréquent Nausées (3%), diarrhée (3%), dyspepsie (2%), douleurs abdominales (2%). Vomissements (1%)
- +Affections gastro-intestinales Fréquent Nausées (3%), diarrhée (3%), dyspepsie (2%), douleurs abdominales (2%). Vomissements (1%).
-Affections hépatobiliaires Fréquent Augmentation des taux d'alanine aminotransférase (ALAT) et d'aspartate aminotransférase (ASAT) (1%)
- +Affections hépatobiliaires Fréquent Augmentation des taux d'alanine aminotransférase (ALAT) et d'aspartate aminotransférase (ASAT) (1%).
- Occasionnel malaise, douleurs thoraciques, frissons, fatigue.
- +Occasionnel Malaise, douleurs thoraciques, frissons, fatigue.
-Affections du système immunitaire Réactions allergiques comme urticaire, prurit et manifestations cutanées modérées (éruption, éruption maculo-papillaire) (1.1%) jusqu'à anaphylaxie et syndrome de Stevens-Johnson / nécrolyse épidermique toxique (sous clarithromycine par voie orale), Angiœdème.
- +Affections du système immunitaire Réactions allergiques comme urticaire, prurit et manifestations cutanées modérées (éruption, éruption maculo-papillaire) (1,1%) jusqu'à anaphylaxie et syndrome de Stevens-Johnson/nécrolyse épidermique toxique (sous clarithromycine par voie orale), angiœdème.
-Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif Myalgie, rhabdomyolyse (quelques cas de rhabdomyolyse ont été rapportés lorsque la clarithromycine avait été administrée en même temps que d'autres médicaments associés à un risque de rhabdomyolyse (par exemple statines, fibrates, colchicine ou allopurinol)), myopathie.
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif Myalgie, rhabdomyolyse (quelques cas de rhabdomyolyse ont été rapportés lorsque la clarithromycine avait été administrée en même temps que d'autres médicaments associés à un risque de rhabdomyolyse (p.ex. statines, fibrates, colchicine ou allopurinol)), myopathie.
-* IC50 dans le modèle du hamster: 0.02 µg/ml.
- +* IC50 dans le modèle du hamster: 0,02 µg/ml.
-*** Les concentrations critiques pour les macrolides et autres antibiotiques apparentés ont été adaptées de sorte à classer la souche sauvage de H. influenzae parmi les germes de sensibilité intermédiaire
- +*** Les concentrations critiques pour les macrolides et autres antibiotiques apparentés ont été adaptées de sorte à classer la souche sauvage de H. influenzae parmi les germes de sensibilité intermédiaire.
-La sensibilité est généralement déterminée par le test de dilution indiquant la CMI ou par le test de diffusion selon la technique de Kirby-Bauer.L'EUCAST (European Committee on Antimicrobial Susceptibility Testing) a défini pour la clarithromycine les seuils de sensibilité corrélés suivants pour la CMI et le diamètre de la zone d'inhibition:
- +La sensibilité est généralement déterminée par le test de dilution indiquant la CMI ou par le test de diffusion selon la technique de Kirby-Bauer. L'EUCAST (European Committee on Antimicrobial Susceptibility Testing) a défini pour la clarithromycine les seuils de sensibilité corrélés suivants pour la CMI et le diamètre de la zone d'inhibition.
- S1 ≤ R1 > Contenu des bandelettes (μg d'érithromycine2) S1 ≥ R1 <
- +S1 ≤ R1 > Contenu des bandelettes (μg d'érithromycine2) S1 ≥ R1 <
-Streptococcus spp. (groupes A, B, C, G) 0.25 0.5 152 212 182
-Streptococcus pneumoniae 0.25 0.5 152 222 192
- +Streptococcus spp. (groupes A, B, C, G) 0,25 0,5 152 212 182
- +Streptococcus pneumoniae 0,25 0,5 152 222 192
-Moraxella catarrhalis 0.25 0.5 152 232 202
-Helicobacter pylori3 0.25 0.5 –4 –4 –4
- +Moraxella catarrhalis 0,25 0,5 152 232 202
- +Helicobacter pylori3 0,25 0,5 –4 –4 –4
-1 S = Sensible; R = Résistant; la catégorie «Intermédiaire» n'est pas indiquée, elle est interprétée comme correspondant aux valeurs situées entre les seuils de sensibilité des catégories S et R.
- +1 S=sensible; R=résistant; la catégorie intermédiaire n'est pas indiquée, elle est interprétée comme correspondant aux valeurs situées entre les seuils de sensibilité des catégories S et R.
-A la posologie de 250 mg 2 fois par jour, les concentrations sériques maximales à l'état d'équilibre, au bout de 2-3 jours, sont d'environ 1 µg/ml pour la clarithromycine et de 0.6 µg/ml pour le métabolite actif (14-OH-clarithromycine). Ces concentrations sont atteintes environ 2 heures après la prise. Sous traitement par 500 mg 2 fois par jour, les concentrations maximales sont respectivement de 2.8 et 0.85 µg/ml; sous traitement par 1000 mg 2 fois par jour, elles sont respectivement de 5-10 et 1.5-2 µg/ml. On a comparé la cinétique de 3x 500 mg de Klacid par jour à celle de 2x 500 mg. Sous traitement par 3x 500 mg de Klacid par jour, les valeurs de Cmax, de Cmin et de la SSC0-24 h à l'état d'équilibre étaient augmentées respectivement de 31%, 119% et 65%. Cette étude n'a pas montré de différence notable sur le plan de Tmax ou de la demi-vie d'élimination. La biodisponibilité absolue de la clarithromycine est d'environ 55%.
- +A la posologie de 250 mg 2 fois par jour, les concentrations sériques maximales à l'état d'équilibre, au bout de 2-3 jours, sont d'environ 1 µg/ml pour la clarithromycine et de 0,6 µg/ml pour le métabolite actif (14-OH-clarithromycine). Ces concentrations sont atteintes environ 2 heures après la prise. Sous traitement par 500 mg 2 fois par jour, les concentrations maximales sont respectivement de 2,8 et 0,85 µg/ml; sous traitement par 1000 mg 2 fois par jour, elles sont respectivement de 5-10 et 1,5-2 µg/ml. On a comparé la cinétique de 3x 500 mg de Klacid par jour à celle de 2x 500 mg. Sous traitement par 3x 500 mg de Klacid par jour, les valeurs de Cmax, de Cmin et de la SSC0-24 h à l'état d'équilibre étaient augmentées respectivement de 31%, 119% et 65%. Cette étude n'a pas montré de différence notable sur le plan de Tmax ou de la demi-vie d'élimination. La biodisponibilité absolue de la clarithromycine est d'environ 55%.
-A une concentration de 0.45 µg/ml, la clarithromycine se lie aux protéines plasmatiques à environ 72%; ce taux diminue avec l'augmentation de la concentration. Le volume de distribution est de 286 litres après administration unique et de 176 litres après administrations multiples.
-Les études expérimentales et celles menées chez l'homme démontrent la bonne diffusion tissulaire de la clarithromycine. Les concentrations atteintes dans tous les tissus animaux sont plusieurs fois supérieures aux taux plasmatiques, sauf dans le système nerveux central (chez le singe, les concentrations dans le liquide céphalo-rachidien représentent environ 5% des concentrations sériques). Chez l'homme, les concentrations maximales de clarithromycine sont atteintes après 4 heures environ dans le tissu pulmonaire, les amygdales et la muqueuse nasale où elles s'élèvent à respectivement 7 fois, 5.9 fois et 6.2 fois les concentrations sériques.
-Dans la muqueuse gastrique et dans les tissus de l'estomac respectivement, la concentration à l'état d'équilibre, deux heures après la prise de 3x 500 mg de Klacid, s'élève à 4.2 et 20.8 µg/g respectivement; lors de l'administration simultanée d'oméprazole, les concentrations s'élèvent à 39.3 et à 24.3 µg/g respectivement.
- +A une concentration de 0,45 µg/ml, la clarithromycine se lie aux protéines plasmatiques à environ 72%; ce taux diminue avec l'augmentation de la concentration. Le volume de distribution est de 286 litres après administration unique et de 176 litres après administrations multiples.
- +Les études expérimentales et celles menées chez l'homme démontrent la bonne diffusion tissulaire de la clarithromycine. Les concentrations atteintes dans tous les tissus animaux sont plusieurs fois supérieures aux taux plasmatiques, sauf dans le système nerveux central (chez le singe, les concentrations dans le liquide céphalo-rachidien représentent environ 5% des concentrations sériques). Chez l'homme, les concentrations maximales de clarithromycine sont atteintes après 4 heures environ dans le tissu pulmonaire, les amygdales et la muqueuse nasale où elles s'élèvent à respectivement 7 fois, 5,9 fois et 6,2 fois les concentrations sériques.
- +Dans la muqueuse gastrique et dans les tissus de l'estomac respectivement, la concentration à l'état d'équilibre, deux heures après la prise de 3x 500 mg de Klacid, s'élève à 4,2 et 20,8 µg/g respectivement; lors de l'administration simultanée d'oméprazole, les concentrations s'élèvent à 39,3 et à 24,3 µg/g respectivement.
-La demi-vie d'élimination est dose-dépendante; à la posologie de 250 mg 2 fois par jour, la demi-vie d'élimination, à l'état d'équilibre, est de 3-4 heures pour la clarithromycine et de 5-6 heures pour le métabolite. La demi-vie d'élimination augmente en fonction de la dose: sous traitement par 500 mg 2 fois par jour, elle est respectivement de 4.5-4.8 heures et de 6.9-8.7 heures. L'excrétion rénale est dose-dépendante et comprise entre 20 et 40% (Q0 = 0.6-0.7).
- +La demi-vie d'élimination est dose-dépendante; à la posologie de 250 mg 2 fois par jour, la demi-vie d'élimination, à l'état d'équilibre, est de 3-4 heures pour la clarithromycine et de 5-6 heures pour le métabolite. La demi-vie d'élimination augmente en fonction de la dose: sous traitement par 500 mg 2 fois par jour, elle est respectivement de 4,5-4,8 heures et de 6,9-8,7 heures. L'excrétion rénale est dose-dépendante et comprise entre 20 et 40% (Q0 = 0,6-0,7).
-En cas d'insuffisance rénale grave, les concentrations sanguines maximales, la demi-vie d'élimination ainsi que l'ASC de la clarithromycine comme de la 14-OH-clarithromycine sont accrues. Il faut donc diminuer la dose de moitié si la clairance de la créatinine est <30 ml/min/1.73 m2. La durée du traitement ne doit pas excéder 14 jours (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +En cas d'insuffisance rénale grave, les concentrations sanguines maximales, la demi-vie d'élimination ainsi que l'ASC de la clarithromycine comme de la 14-OH-clarithromycine sont accrues. Il faut donc diminuer la dose de moitié si la clairance de la créatinine est <30 ml/min/1,73 m2. La durée du traitement ne doit pas excéder 14 jours (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Conserver le médicament à l'abri de la lumière, à température ambiante (15 – 25 °C) et hors de la portée des enfants.
- +Conserver le médicament à l'abri de la lumière, à température ambiante (15-25 °C) et hors de portée des enfants.
-50469 (Swissmedic)
- +50469 (Swissmedic).
-Comprimés pelliculés à 250 mg: 14, 20, et 70 (emballage clinique) [A]
-Comprimés pelliculés à 500 mg: 14, 20 et 30 [A]
- +Comprimés pelliculés à 250 mg: 14, 20, et 70 (emballage clinique). [A]
- +Comprimés pelliculés à 500 mg: 14, 20 et 30. [A]
-Viatris Pharma GmbH, 6312 Steinhausen
- +Viatris Pharma GmbH, 6312 Steinhausen.
-Mars 2023
- +Novembre 2024.
- +[Version 117 F]
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