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Accueil - Information professionnelle sur Zofran 4 mg - Changements - 25.06.2020
78 Changements de l'information professionelle Zofran 4 mg
  • -Principe actif:
  • -Comprimés filmés/Sirop/Concentré pour perfusion/Solution Injectable: Ondansetronum (ut Ondansetroni hydrochloridum dihydricum).
  • +Principes actifs
  • +Comprimés filmés / Sirop / Concentré pour perfusion / Solution injectable: Ondansetronum (ut Ondansetroni hydrochloridum dihydricum).
  • -Excipients:
  • +Excipients
  • -Concentré pour perfusion/Solution injectable: Natrii chloridum, Natrii citras, Aqua ad iniectabilia q.s. ad solutionem.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Comprimés filmés à 4 mg et 8 mg.
  • -Zydis Comprimés linguaux à 4 mg et 8 mg.
  • -Sirop à 4 mg/5 mL.
  • -Solution parentérale à 2 mg/mL.
  • +Concentré pour perfusion / Solution injectable: Natrii chloridum, Natrii citras, Aqua ad iniectabilia q.s. ad solutionem.
  • -·16 mg (dilués dans 50 à 100 mL) immédiatement avant le début de la chimiothérapie, sous forme de perfusion de 15 minutes au moins; poursuivre le traitement soit par l'administration de deux autres doses parentérales de 8 mg chacune (perfusion de 15 minutes au moins) à un intervalle de 4 heures, soit par l'administration d'une perfusion continue de 1 mg/h pouvant aller jusqu'à 24 h. La dose unique administrée ne doit pas dépasser 16 mg (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Les doses intraveineuses de plus de 8 mg et jusqu'à 16 mg maximum doivent être diluées dans des solutés pour perfusion de 50 mL à 100 mL avant l'administration et doivent être perfusées sur au moins 15 minutes. Voir «Remarques particulières».
  • +·Jusqu'à 16 mg (dilués dans 50 à 100 ml) immédiatement avant le début de la chimiothérapie, sous forme de perfusion de 15 minutes au moins; poursuivre le traitement soit par l'administration de deux autres doses parentérales de 8 mg chacune (perfusion de 15 minutes au moins) à un intervalle de 4 heures, soit par l'administration d'une perfusion continue de 1 mg/h pouvant aller jusqu'à 24 h. La dose unique administrée ne doit pas dépasser 16 mg (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Les doses intraveineuses de plus de 8 mg et jusqu'à 16 mg maximum doivent être diluées dans des solutés pour perfusion de 50 ml à 100 ml avant l'administration et doivent être perfusées sur au moins 15 minutes. Voir «Remarques particulières».
  • -Chez les enfants âgés de 6 mois à 17 ans, la posologie est de 3 doses i.v. de 0,15 mg/kg d'ondansétron. La première dose est administrée 30 minutes avant une chimiothérapie moyennement à hautement émétisante et est suivie de deux autres doses parentérales (0,15 mg/kg) 4 et 8 heures après la première dose (perfusion sur au moins 15 minutes).
  • +Chez les enfants âgés de 6 mois à 17 ans, la posologie est de trois doses i.v. de 0,15 mg/kg d'ondansétron. La première dose est administrée 30 minutes avant une chimiothérapie moyennement à hautement émétisante et est suivie de deux autres doses parentérales (0,15 mg/kg) 4 et 8 heures après la première dose (perfusion sur au moins 15 minutes).
  • -Enfants 0,6-1,2 m2: 4 mg per os toutes les 8 heures.
  • -Enfants >1,2 m2: 8 mg per os toutes les 8 heures.
  • +Enfants 0,61,2 m2: 4 mg par voie orale toutes les 8 heures.
  • +Enfants >1,2 m2: 8 mg par voie orale toutes les 8 heures.
  • -Etant donné que la clairance est réduite chez les nourrissons (<4 mois) en comparaison à celle chez les enfants plus âgés et que l'administration répétée (par exemple, pour le traitement de PONV) n'a pas été étudiée chez ce groupe d'âge, l'administration de Zofran ne doit pas être répétée dans ce groupe d'âge (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Étant donné que la clairance est réduite chez les nourrissons (<4 mois) en comparaison à celle chez les enfants plus âgés et que l'administration répétée (par exemple, pour le traitement de PONV) n'a pas été étudiée chez ce groupe d'âge, l'administration de Zofran ne doit pas être répétée dans ce groupe d'âge (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Posologie dans des situations cliniques particulières
  • +Instructions posologiques particulières
  • -Chez les patients à partir d'un âge de 65 ans, toutes les doses i.v. doivent être diluées dans 50 à 100 mL de solution de NaCl à 0,9% ou d'autres solutions compatibles (voir «Remarques particulières») et perfusées 15 minutes; dans le cas de perfusions répétées, celles-ci doivent être espacées d'au moins 4 heures.
  • +Chez les patients à partir d'un âge de 65 ans, toutes les doses i.v. doivent être diluées dans 50 à 100 ml de solution saline physiologique ou d'autres solutions compatibles (voir «Remarques particulières») et perfusées 15 minutes; dans le cas de perfusions répétées, celles-ci doivent être espacées d'au moins 4 heures.
  • -Insuffisance hépatique
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • -Etant donné que la clairance est réduite chez les nourrissons (<4 mois) en comparaison à celle chez les enfants plus âgés et que l'administration répétée (par exemple, pour le traitement de PONV) n'a pas été étudiée chez ce groupe d'âge, l'administration de Zofran ne doit pas être répétée dans ce groupe d'âge (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Étant donné que la clairance est réduite chez les nourrissons (<4 mois) en comparaison à celle chez les enfants plus âgés et que l'administration répétée (par exemple, pour le traitement de PONV) n'a pas été étudiée chez ce groupe d'âge, l'administration de Zofran ne doit pas être répétée dans ce groupe d'âge (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Plusieurs enzymes hépatiques du cytochrome P450 interviennent dans le métabolisme de l'ondansétron: CYP3A4, CYP2D6 et CYP1A2. Etant donné que le métabolisme de l'ondansétron peut donc être effectué par plusieurs enzymes du métabolisme, il faut s'attendre à ce qu'une inhibition ou une activité réduite de l'une de ces enzymes (par ex. déficit génétique en CYP2D6) soit compensée dans des conditions normales par d'autres enzymes et n'entraîne qu'une modification faible ou non significative de la clairance totale de l'ondansétron ou de la dose requise.
  • +Plusieurs enzymes hépatiques du cytochrome P450 interviennent dans le métabolisme de l'ondansétron: CYP3A4, CYP2D6 et CYP1A2. Étant donné que le métabolisme de l'ondansétron peut donc être effectué par plusieurs enzymes du métabolisme, il faut s'attendre à ce qu'une inhibition ou une activité réduite de l'une de ces enzymes (par ex. déficit génétique en CYP2D6) soit compensée dans des conditions normales par d'autres enzymes et n'entraîne qu'une modification faible ou non significative de la clairance totale de l'ondansétron ou de la dose requise.
  • -Médicaments sérotoninergiques (p.ex. ISRS et IRSNa)
  • +Médicaments sérotoninergiques (p.ex. ISRS et IRSNa):
  • -La sécurité d'emploi de l'ondansétron n'a pas été démontrée chez la femme enceinte.
  • -Les données relatives à la sécurité de l'ondansetron pendant la grossesse sont limitées et les résultats des études pharmaco-épidémiologiques disponibles sont incohérents.
  • -Des rapports issus de l'utilisation après la commercialisation décrivent des cas de malformations congénitales lors de l'utilisation de Zofran pendant la grossesse; ces rapports ne sont pas suffisants pour établir un lien de causalité.
  • +Résumé des risques
  • +Au cours d'études épidémiologiques humaines, une augmentation de fentes labiopalatines a été observée chez les nouveau-nés de femmes auxquelles l'ondansétron avait été administré au cours du premier trimestre de la grossesse. En ce qui concerne des malformations cardiaques, les études épidémiologiques ont montré des résultats contradictoires (voir ci-après «Données humaines»).
  • +L'utilisation de l'ondansétron pendant la grossesse n'est pas recommandée.
  • +Données humaines
  • +Dans le cadre de trois études épidémiologiques réalisées aux États-Unis, le risque de malformations congénitales spécifiques incluant les fentes labiopalatines et les malformations cardiaques a été examiné chez des enfants dont les mères avaient été traitées par l'ondansétron au cours du premier trimestre de la grossesse.
  • +Une étude de cohorte incluant 88 467 femmes enceintes ayant été traitées par l'ondansétron a révélé un risque accru de fentes labiopalatines (3 cas supplémentaires par 10 000 femmes traitées, risque relatif (RR) ajusté 1,24 (IC à 95% 1,03–1,48)) sans augmentation évidente du risque de malformations cardiaques. Dans une analyse de sous-groupe publiée séparément avec 23 877 femmes enceintes, l'utilisation de l'ondansétron par voie intraveineuse n'a été associée ni à un risque accru de fentes labiopalatines ni à un risque accru de malformations cardiaques.
  • +Dans une étude cas-témoins utilisant des registres de population sur les malformations congénitales comptant 23 200 cas issus de deux enregistrements, un risque accru de fente palatine a été constaté dans un enregistrement et aucun risque n'a été constaté dans l'autre enregistrement. Un risque accru de malformations cardiaques n'a pas été établi dans cette étude.
  • +Dans la deuxième étude de cohorte incluant 3 733 femmes enceintes, l'utilisation de l'ondansétron a été associée à un risque accru de communication interventriculaire (RR ajusté 1,7 (IC à 95% 1,0–2,9)). Cependant, aucune augmentation statistiquement significative du risque de malformations cardiaques n'a été établie.
  • -On ne sait pas si Zofran passe dans le lait maternel. Il n'existe pas de données concernant l'incidence de Zofran sur l'enfant allaité ou l'incidence de Zofran sur la production de lait. Cependant, dans les études chez l'animal, l'ondansetron a été détecté dans le lait maternel. Les mères qui allaitent ne doivent donc pas être traitées par Zofran ou doivent procéder au sevrage.
  • +On ne sait pas si Zofran passe dans le lait maternel. Il n'existe pas de données concernant l'incidence de Zofran sur l'enfant allaité ou l'incidence de Zofran sur la production de lait. Cependant, dans les études chez l'animal, l'ondansétron a été détecté dans le lait maternel. Les mères qui allaitent ne doivent donc pas être traitées par Zofran ou doivent procéder au sevrage.
  • -Les effets indésirables sont listés ci-dessous par système d'organe et fréquence. Les fréquences sont définies selon les catégories suivantes: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100 et <1/10), occasionnel (≥1/1'000 et <1/100), rare (≥1/10'000 et <1/1'000), très rare (<1/10'000).
  • +Les effets indésirables sont listés ci-dessous par système d'organe et fréquence. Les fréquences sont définies selon les catégories suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10 000 à <1/1000), très rares (<1/10 000).
  • -Troubles du système immunitaire
  • -Rare: Réactions allergiques de type 1, y compris urticaire, œdème angioneurotique, bronchospasme, dyspnée, anaphylaxie.
  • -Troubles du système nerveux
  • -Très fréquent: Céphalées.
  • -Occasionnel: Troubles locomoteurs (y compris réactions extrapyramidales telles que crises oculogyres ou dystonies et dyskinésies sans aucun indice évoquant des séquelles cliniques permanentes, crises convulsives).
  • -Rare: Vertiges principalement lors d'injection intraveineuse rapide.
  • -Troubles oculaires
  • -Rare: Troubles visuels passagers (p.ex. vue brouillée), surtout lors d'injection intraveineuse.
  • -Très rare: Amaurose transitoire, surtout lors d'injection intraveineuse.
  • -La plupart des cas d'amaurose rapportés se sont résolus en l'espace de 20 minutes. La majorité des patients avaient préalablement reçu des agents chimiothérapiques dont le cisplatine. Certains de ces cas ont été attribués à une origine corticale.
  • -Troubles cardiaques
  • -Occasionnel: Arythmies, angine de poitrine associée ou non à un sous-décalage du segment ST, bradycardie.
  • -Rare: Allongement de l'intervalle QT (y compris torsades de pointes).
  • -Troubles vasculaires
  • -Fréquent: Sensation de chaleur ou bouffées de chaleur.
  • -Occasionnel: Hypotension.
  • -Troubles respiratoires
  • -Occasionnel: Hoquet.
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Occasionnel: Constipation consécutive à un allongement de la durée du transit intestinal.
  • -Troubles hépatobiliaires
  • -Occasionnel: Elévation asymptomatique des paramètres hépatiques (le plus souvent chez les patients maintenus sous chimiothérapie par le cisplatine).
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • -Très rare: nécrolyse épidermique toxique (NET).
  • -Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
  • -Fréquent: Réactions d'hypersensibilité à la suite d'une application i.v. au site d'injection (telles que rougeurs, prurit, urticaire), plus rarement avec extension le long des veines, voire même sous forme de réaction généralisée. Des cas de phlébites et de thrombophlébites ont également été signalés.
  • +Affections du système immunitaire
  • +Rares: Réactions allergiques de type 1, y compris urticaire, angioedème, bronchospasme, dyspnée, anaphylaxie.
  • +Affections du système nerveux
  • +Très fréquents: Céphalées.
  • +Occasionnels: Troubles locomoteurs (y compris réactions extrapyramidales telles que crises oculogyres/dystonies et dyskinésies sans aucun indice évoquant des séquelles cliniques permanentes, crises convulsives).
  • +Rares: Sensation vertigineuse principalement lors d'injection intraveineuse rapide.
  • +Affections oculaires
  • +Rares: Troubles visuels passagers (p.ex. vue brouillée), surtout lors d'injection intraveineuse.
  • +Très rares: Amaurose transitoire, surtout lors d'injection intraveineuse.
  • +La plupart des cas d'amaurose rapportés se sont résolus en l'espace de 20 minutes. La majorité des patients avaient préalablement reçu des agents chimiothérapiques, dont le cisplatine. Certains de ces cas ont été attribués à une origine corticale.
  • +Affections cardiaques
  • +Occasionnels: Arythmies, angine de poitrine associée ou non à un sous-décalage du segment ST, bradycardie.
  • +Rares: Allongement de l'intervalle QT (y compris torsades de pointes).
  • +Affections vasculaires
  • +Fréquents: Sensation de chaleur ou bouffées de chaleur.
  • +Occasionnels: Hypotension.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Occasionnels: Hoquet.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Occasionnels: Constipation consécutive à un allongement de la durée du transit intestinal.
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Occasionnels: Élévation asymptomatique des paramètres hépatiques (le plus souvent chez les patients maintenus sous chimiothérapie par le cisplatine).
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Très rares: Nécrolyse épidermique toxique (NET).
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Fréquents: Réactions d'hypersensibilité à la suite d'une application i.v. au site d'injection (telles que rougeurs, prurit, urticaire), plus rarement avec extension le long des veines, voire même sous forme de réaction généralisée. Des cas de phlébites et de thrombophlébites ont également été signalés.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Symptômes:
  • +Symptômes
  • -Code ATC: A04AA01
  • +Code ATC
  • +A04AA01
  • -L'ondansétron ne modifie pas les taux plasmatiques de prolactine.
  • +Pharmacodynamique
  • +L'ondansétron ne modifie pas les taux plasmatiques de prolactine.
  • +Efficacité clinique
  • +Voir «Pharmacocinétique»
  • +
  • -Après une perfusion de 4 mg d'ondansétron sur 5 minutes, la Cmax est de 65 ng/mL.
  • +Après une perfusion de 4 mg d'ondansétron sur 5 minutes, la Cmax est de 65 ng/ml.
  • -La liaison aux protéines plasmatiques est de 70-76%.
  • +La liaison aux protéines plasmatiques est de 7076%.
  • -Dans le cadre d'études in vitro, il a été démontré que l'ondansétron représente un substrat des enzymes hépatiques du cytochrome P450, entre autres CYP1A2, CYP2D6 et CYP3A4, chez l'homme. Pour la transformation totale de l'ondansétron, le CYP3A4 s'est avéré le plus significatif. Etant donné que le métabolisme de l'ondansétron peut emprunter la voie métabolique de plusieurs enzymes, il faut s'attendre à ce qu'une inhibition ou l'absence d'une enzyme (par exemple, déficit génétique en CYP2D6) soit compensée par d'autres enzymes et que le taux total de l'élimination d'ondansétron n'en soit guère influencé.
  • +Dans le cadre d'études in vitro, il a été démontré que l'ondansétron représente un substrat des enzymes hépatiques du cytochrome P450, entre autres CYP1A2, CYP2D6 et CYP3A4, chez l'homme. Pour la transformation totale de l'ondansétron, le CYP3A4 s'est avéré le plus significatif. Étant donné que le métabolisme de l'ondansétron peut emprunter la voie métabolique de plusieurs enzymes, il faut s'attendre à ce qu'une inhibition ou l'absence d'une enzyme (par exemple, déficit génétique en CYP2D6) soit compensée par d'autres enzymes et que le taux total de l'élimination d'ondansétron n'en soit guère influencé.
  • -Elimination
  • -Après administration intraveineuse de 10 mg sur 10 minutes, l'ondansétron est presque entièrement métabolisé (73-93%) et éliminé aussi bien dans les urines (51-63%) que les fèces (21-31%). L'excrétion rénale s'effectue rapidement: 44-53% de la dose administrée sont éliminés dans les urines dans les 24 heures. Les métabolites principaux de l'élimination rénale sont des conjugués de l'acide glucuronique (45%) et de l'acide sulfurique (20%). Moins de 5% du principe actif sont éliminés dans les urines sous forme inchangée. La demi-vie est d'environ 3 heures pour les formes orales et parentérales.
  • +Élimination
  • +Après administration intraveineuse de 10 mg sur 10 minutes, l'ondansétron est presque entièrement métabolisé (7393%) et éliminé aussi bien dans les urines (5163%) que les fèces (2131%). L'excrétion rénale s'effectue rapidement: 4453% de la dose administrée sont éliminés dans les urines dans les 24 heures. Les métabolites principaux de l'élimination rénale sont des conjugués de l'acide glucuronique (45%) et de l'acide sulfurique (20%). Moins de 5% du principe actif sont éliminés dans les urines sous forme inchangée. La demi-vie est d'environ 3 heures pour les formes orales et parentérales.
  • -Chez des enfants âgés de 3 à 12 ans ayant dû subir une intervention chirurgicale sous anesthésie générale, tant la clairance que le volume de distribution étaient nettement diminués après l'administration d'une dose unique d'ondansétron de 2 mg (enfants de 3 à 7 ans) ou de 4 mg (enfants de 8 à 12 ans) par rapport aux valeurs observées chez des patients adultes. Les 2 paramètres augmentaient en fonction du poids corporel et s'approchèrent à l'âge de 12 ans des valeurs observées chez les jeunes adultes. Après ajustement de la clairance et du volume de distribution au poids corporel, les valeurs pour ces paramètres étaient semblables entre les différents groupes d'âge. Ces variations peuvent être compensées et l'exposition systémique peut être normalisée chez les patients pédiatriques par un dosage ramené au poids corporel (0,1 mg/kg jusqu'à maximum 4 mg).
  • -Une étude pharmacocinétique a été effectuée dans une population de 74 patients âgés de 6 à 48 mois, qui ont reçu chaque fois 3 doses i.v. de 0,15 mg/kg d'ondansétron toutes les 4 heures pour le traitement de nausées et vomissements induits par la chimiothérapie, ainsi que dans une population de 41 patients en chirurgie âgés de 1 à 24 mois suite à l'administration d'une dose unique i.v. de 0,1 mg/kg ou bien 0,2 mg/kg d'ondansétron. L'analyse des paramètres pharmacocinétiques de la population de patients âgés de 1 à 48 mois suite à l'administration de 3 doses i.v. de 0,15 mg/kg d'ondansétron à intervalles de 4 heures a montré que l'exposition systémique (AUC) est comparable à celle observée chez les patients chirurgiques âgés de 5 à 24 mois, ainsi qu'à celle obtenue lors de précédentes études pédiatriques réalisées à des doses similaires chez des patients en oncologie (âgés de 4 à 18 ans) et des patients en chirurgie (âgés de 3 à 12 ans).
  • +Chez des enfants âgés de 3 à 12 ans ayant dû subir une intervention chirurgicale sous anesthésie générale, tant la clairance que le volume de distribution étaient nettement diminués après l'administration d'une dose unique d'ondansétron de 2 mg (enfants de 3 à 7 ans) ou de 4 mg (enfants de 8 à 12 ans) par rapport aux valeurs observées chez des patients adultes. Les deux paramètres augmentaient en fonction du poids corporel et s'approchèrent à l'âge de 12 ans des valeurs observées chez les jeunes adultes. Après ajustement de la clairance et du volume de distribution au poids corporel, les valeurs pour ces paramètres étaient semblables entre les différents groupes d'âge. Ces variations peuvent être compensées et l'exposition systémique peut être normalisée chez les patients pédiatriques par un dosage ramené au poids corporel (0,1 mg/kg jusqu'à maximum 4 mg).
  • +Une étude pharmacocinétique a été effectuée dans une population de 74 patients âgés de 6 à 48 mois, qui ont reçu chaque fois trois doses i.v. de 0,15 mg/kg d'ondansétron toutes les 4 heures pour le traitement de nausées et vomissements induits par la chimiothérapie, ainsi que dans une population de 41 patients en chirurgie âgés de 1 à 24 mois suite à l'administration d'une dose unique i.v. de 0,1 mg/kg ou bien 0,2 mg/kg d'ondansétron. L'analyse des paramètres pharmacocinétiques de la population de patients âgés de 1 à 48 mois suite à l'administration de 3 doses i.v. de 0,15 mg/kg d'ondansétron à intervalles de 4 heures a montré que l'exposition systémique (AUC) est comparable à celle observée chez les patients chirurgiques âgés de 5 à 24 mois, ainsi qu'à celle obtenue lors de précédentes études pédiatriques réalisées à des doses similaires chez des patients en oncologie (âgés de 4 à 18 ans) et des patients en chirurgie (âgés de 3 à 12 ans).
  • -Des mesures plus récentes des concentrations plasmatiques d'ondansétron ainsi que des modèles étudiant le rapport exposition-effets chez les patients âgés de ≥75 en comparaison avec les adultes plus jeunes ont conduit à la prédiction d'un impact plus important sur l'intervalle QTc a été prédit. Des recommandations posologiques parentérales spécifiques s'appliquent chez les patients âgés de plus de 65 ans ou de plus de 75 ans (voir «Posologie/Mode d'emploi – Nausées et vomissements induits par la chimiothérapie ou la radiothérapie – Patients âgés»).
  • -Insuffisance hépatique
  • -Chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique, la demi-vie d'élimination est prolongée et ceci est dépendant du degré de gravité des lésions (15-32 h), la clairance systémique est nettement diminuée et la biodisponibilité orale s'approche de 100% du fait d'un métabolisme ralenti.
  • +Des mesures plus récentes des concentrations plasmatiques d'ondansétron ainsi que des modèles étudiant le rapport exposition-effets chez les patients âgés de ≥75 en comparaison avec les adultes plus jeunes ont conduit à la prédiction d'un impact plus important sur l'intervalle QTc. Des recommandations posologiques parentérales spécifiques s'appliquent chez les patients âgés de plus de 65 ans ou de plus de 75 ans (voir «Posologie/Mode d'emploi – Nausées et vomissements induits par la chimiothérapie ou la radiothérapie – Patients âgés»).
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique, la demi-vie d'élimination est prolongée et ceci est dépendant du degré de gravité des lésions (1532 h), la clairance systémique est nettement diminuée et la biodisponibilité orale s'approche de 100% du fait d'un métabolisme ralenti.
  • -Chez le rat, une élévation faible et passagère des ALT a également été retrouvée. Chez le chien, des irritations dose-dépendantes ont été observées au site d'injection; celles-ci sont cependant survenues uniquement à une forte concentration d'ondansétron de 6,75 mg/mL.
  • +Chez le rat, une élévation faible et passagère des ALT a également été retrouvée. Chez le chien, des irritations dose-dépendantes ont été observées au site d'injection; celles-ci sont cependant survenues uniquement à une forte concentration d'ondansétron de 6,75 mg/ml.
  • -Dans des études sur le développement embryonnaire et fœtal avec le rat et le lapin, les animaux gestants ont reçu pendant l'organogénèse une dose orale d'ondansetron allant respectivement jusqu'à 15 mg/kg/jour et 30 mg/kg/jour. À l'exception d'une légère diminution de la prise de poids corporel chez les mères, il n'y a pas eu chez le lapin d'incidence significative de l'ondansetron sur les mères ou sur le développement de leur progéniture: à des doses de 15 mg/kg/jour chez le rat et de 30 mg/kg/jour chez le lapin, la dose maternelle était environ 6 et 24 fois plus importante que la dose orale maximale recommandée de 24 mg/jour pour l'être humain se référant à la surface corporelle. Dans une étude sur la toxicité concernant le développement prénatal et postnatal, les rattes gestantes ont reçu à partir du jour 17 et jusqu'au jour 21 de la gestation de l'ondansetron par voie orale à des dosages allant jusqu'à 15 mg/kg/jour. À l'exception d'une légère diminution de la prise de poids corporel chez la mère, aucune incidence sur les rattes gestantes et le développement prénatal et postnatal de leur progéniture, y compris de la performance reproductive de la génération F1 accouplée, n'a été constatée. À des dosages de 15 mg/kg/jour chez le rat, la dose maternelle était 6 fois plus importante que la dose orale maximale recommandée de 24 mg/jour pour l'être humain sur la base de la surface corporelle.
  • +Dans des études sur le développement embryonnaire et fœtal avec le rat et le lapin, les animaux gestants ont reçu pendant l'organogénèse une dose orale d'ondansétron allant respectivement jusqu'à 15 mg/kg/jour et 30 mg/kg/jour. À l'exception d'une légère diminution de la prise de poids corporel chez les mères, il n'y a pas eu chez le lapin d'incidence significative de l'ondansétron sur les mères ou sur le développement de leur progéniture: à des doses de 15 mg/kg/jour chez le rat et de 30 mg/kg/jour chez le lapin, la dose maternelle était environ 6 et 24 fois plus importante que la dose orale maximale recommandée de 24 mg/jour pour l'être humain se référant à la surface corporelle. Dans une étude sur la toxicité concernant le développement prénatal et postnatal, les rattes gestantes ont reçu à partir du jour 17 et jusqu'au jour 21 de la gestation de l'ondansétron par voie orale à des dosages allant jusqu'à 15 mg/kg/jour. À l'exception d'une légère diminution de la prise de poids corporel chez la mère, aucune incidence sur les rattes gestantes et le développement prénatal et postnatal de leur progéniture, y compris de la performance reproductive de la génération F1 accouplée, n'a été constatée. À des dosages de 15 mg/kg/jour chez le rat, la dose maternelle était 6 fois plus importante que la dose orale maximale recommandée de 24 mg/jour pour l'être humain sur la base de la surface corporelle.
  • -Mutagénicité/Cancérogénicité
  • +Mutagénicité/Carcinogénicité
  • -Dans une étude approfondie de l'intervalle QT («Thorough QT study») auprès de volontaires sains, un allongement dose-dépendant du QT a été observé (cf. «Propriétés/Effets», Allongement du QT).
  • +Dans une étude approfondie de l'intervalle QT («Thorough QT study») auprès de volontaires, un allongement dose-dépendant du QT a été observé (cf. «Propriétés/Effets», Allongement du QT).
  • -Il est recommandé de préparer les mélanges juste avant l'emploi. Toutefois, à température ambiante (<25 °C) sous lumière fluorescente ou au réfrigérateur (2-8 °C), la stabilité «in use» chimique et physique est documentée pour une durée de 7 jours. Du point de vue microbiologique, la préparation extemporanée doit être utilisée immédiatement après la dilution. Le reste inutilisé de solution est à jeter.
  • +Il est recommandé de préparer les mélanges juste avant l'emploi. Toutefois, à température ambiante (<25 °C) sous lumière fluorescente ou au réfrigérateur (28 °C), la stabilité «in use» chimique et physique est documentée pour une durée de 7 jours. Du point de vue microbiologique, la préparation extemporanée doit être utilisée immédiatement après la dilution. Le reste inutilisé de solution est à jeter.
  • +Incompatibilités
  • +
  • -Toutefois, les substances répertoriées ci-dessous peuvent être administrées simultanément à l'aide d'une pièce en Y pour perfusion. Ceci est valable pour des solutions de perfusion avec une concentration en ondansétron comprise entre 16 µg/mL et 160 µg/mL (c'est-à-dire 8 mg dans 500 mL resp. 8 mg dans 50 mL):
  • -Cisplatine: concentrations jusqu'à 0,48 mg/mL (240 mg dans 500 mL) avec une durée de perfusion de 1 à 8 heures.
  • -Carboplatine: concentrations de 0,18 mg à 9,9 mg/mL (90 mg dans 500 mL jusqu'à 990 mg dans 100 mL) avec une durée de perfusion de 10 minutes jusqu'à 1 heure.
  • -Etoposide: concentrations de 0,14 mg à 0,25 mg/mL (72 mg dans 500 mL jusqu'à 250 mg dans 1 L) avec une durée de perfusion de 30 minutes jusqu'à 1 heure.
  • -Cyclophosphamide: solutions aqueuses de 100 mg à 1 g (100 mg/5 mL) administrées en bolus i.v. sur 5 minutes environ.
  • -Doxorubicine: solutions aqueuses de 10 à 100 mg (10 mg/5 mL) administrées en bolus i.v. sur 5 minutes environ.
  • -Ceftazidime: solutions aqueuses de 250 mg à 2 g (250 mg/2,5 mL, 500 mg/5 mL, 1 g/10 mL, 2 g/10 mL) administrées en bolus i.v. sur 5 minutes environ.
  • -Dexaméthasone: 20 mg de phosphate sodique de dexaméthasone peuvent être perfusés sur 2 à 5 minutes par une pièce en Y pour perfusion, par laquelle 8 ou 32 mg d'ondansétron dilués dans 50-100 mL d'un soluté pour perfusion compatible (voir plus haut) sont également administrés sur 15 minutes.
  • +Toutefois, les substances répertoriées ci-dessous peuvent être administrées simultanément à l'aide d'une pièce en Y pour perfusion. Ceci est valable pour des solutions de perfusion avec une concentration en ondansétron comprise entre 16 µg/ml et 160 µg/ml (c'est-à-dire 8 mg dans 500 ml resp. 8 mg dans 50 ml):
  • +Cisplatine: concentrations jusqu'à 0,48 mg/ml (240 mg dans 500 ml) avec une durée de perfusion de 1 à 8 heures.
  • +Carboplatine: concentrations de 0,18 à 9,9 mg/ml (90 mg dans 500 ml jusqu'à 990 mg dans 100 ml) avec une durée de perfusion de 10 minutes jusqu'à 1 heure.
  • +Etoposide: concentrations de 0,14 à 0,25 mg/ml (72 mg dans 500 ml jusqu'à 250 mg dans 1 l) avec une durée de perfusion de 30 minutes jusqu'à 1 heure.
  • +Cyclophosphamide: solutions aqueuses de 100 mg à 1 g (100 mg/5 ml) administrées en bolus i.v. sur 5 minutes environ.
  • +Doxorubicine: solutions aqueuses de 10 à 100 mg (10 mg/5 ml) administrées en bolus i.v. sur 5 minutes environ.
  • +Ceftazidime: solutions aqueuses de 250 mg à 2 g (250 mg/2,5 ml, 500 mg/5 ml, 1 g/10 ml, 2 g/10 ml) administrées en bolus i.v. sur 5 minutes environ.
  • +Dexaméthasone: 20 mg de phosphate sodique de dexaméthasone peuvent être perfusés sur 2 à 5 minutes par une pièce en Y pour perfusion, par laquelle 8 ou 32 mg d'ondansétron dilués dans 50100 ml d'un soluté pour perfusion compatible (voir plus haut) sont également administrés sur 15 minutes.
  • -Zofran Sirop contient du sorbitol comme édulcorant (35,7 kJ/8,4 kcal pro 5 mL), soit 0,21 équivalent pain (EP).
  • +Zofran Sirop contient du sorbitol comme édulcorant (35,7 kJ / 8,4 kcal pro 5 ml), soit 0,21 équivalent pain (EP).
  • -Les différentes formes galéniques de Zofran ne doivent pas être utilisées au-delà de la date indiquée sur l'emballage par la mention «EXP».
  • +Les différentes formes galéniques de Zofran ne doivent pas être utilisées au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • -Les mélanges de Zofran Concentré pour perfusion/Solution injectable avec les solutions recommandées pour perfusion ont une durée de conservation limitée (voir «Remarques particulières, compatibilité avec les solutés pour perfusion»).
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Comprimés filmés et comprimés linguaux Zydis: conserver en dessous de 30 °C.
  • -Sirop: conserver en dessous de 30 °C et en position verticale. Ne pas conserver au réfrigérateur.
  • -Ampoules: conserver en dessous de 30 °C et à l'abri de la lumière.
  • +Les mélanges de Zofran Concentré pour perfusion / Solution injectable avec les solutions recommandées pour perfusion ont une durée de conservation limitée (voir «Remarques particulières, compatibilité avec les solutés pour perfusion»).
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Comprimés filmés et comprimés linguaux Zydis: Ne pas conserver en dessus de 30 °C.
  • +Sirop: Ne pas conserver en dessus de 30 °C. Conserver en position verticale. Ne pas conserver au réfrigérateur.
  • +Ampoules: Ne pas conserver en dessus de 30 °C. Conserver à l'abri de la lumière.
  • -50710, 54157, 53591, 50709 (Swissmedic).
  • +50710, 54157, 53591, 50709 (Swissmedic)
  • -Comprimés filmés à 4 mg: 10, B
  • -Comprimés filmés à 8 mg: 6, B
  • -Comprimés linguaux Zydis à 4 mg: 10, B
  • -Comprimés linguaux Zydis à 8 mg: 6, B
  • -Sirop à 4 mg/5 mL: 50 mL, B
  • -Concentré pour perfusion/Solution injectable, ampoules en verre à 4 mg/2 mL: 5, B
  • -Concentré pour perfusion, ampoules en verre à 8 mg/4 mL: 5, B
  • +Comprimés filmés à 4 mg: 1 emballage à 10 comprimés filmés, B
  • +Comprimés filmés à 8 mg: 1 emballage à 6 comprimés filmés, B
  • +Comprimés linguaux Zydis à 4 mg: 1 emballage à 10 comprimés linguaux, B
  • +Comprimés linguaux Zydis à 8 mg: 1 emballage à 6 comprimés linguaux, B
  • +Sirop à 4 mg/5 ml: 50 ml, B
  • +Concentré pour perfusion/Solution injectable, ampoules en verre à 4 mg/2 ml: 5 ampoules, B
  • +Concentré pour perfusion, ampoules en verre à 8 mg/4 ml: 5 ampoules, B
  • -Novartis Pharma Schweiz AG, Risch; Domicile: 6343 Rotkreuz.
  • +Novartis Pharma Schweiz AG, Risch; Domicile: 6343 Rotkreuz
  • -Novembre 2019.
  • +Juin 2020
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