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Accueil - Information professionnelle sur Deroxat - Changements - 13.11.2017
102 Changements de l'information professionelle Deroxat
  • -Excipients: Excipiens pro compresso obducto.
  • +Excipients:
  • +Comprimé enrobé: Excipiens pro compresso obducto.
  • +Suspension: Conserv.: E 218, E 216; Color.: E 110; Vanillinum, Bergamottae aetheroleum, Saccharinum; Aromatica; Excipiens ad suspensionem.
  • +Suspension (avec gobelet doseur) à 20 mg/10 mL.
  • +
  • -Maladies dépressives:
  • -Dépressions endogènes et non endogènes, en phase aiguë et comme traitement d'entretien chez les patients présentant des récidives.
  • +Traitement d'un épisode dépressif (Major Depressive Disorder, MDD):
  • +Traitement des épisodes dépressifs (traitement aigu) ainsi que traitement d'entretien chez les patients présentant des récidives.
  • -Dépressions:
  • -La posologie initiale recommandée est de 20 mg par jour, en une seule prise, le matin. Dans certains cas, il peut être nécessaire d'augmenter la dose.
  • +Épisodes dépressifs:
  • +La posologie initiale recommandée est de 20 mg par jour (1 comprimé à 20 mg ou 10 mL de suspension), en une seule prise, le matin. Dans certains cas, il peut être nécessaire d'augmenter la dose.
  • -Il est recommandé de prendre Deroxat en une seule fois, le matin, avec des aliments. Il faut avaler les comprimés sans les croquer.
  • -Si le médicament est pris le matin, il n'y a pas de perturbation de la qualité ou de la durée du sommeil. De plus, le sommeil s'améliore généralement avec la réponse au traitement.
  • +Il est recommandé de prendre Deroxat en une seule fois, le matin, avec des aliments.
  • +Deroxat comprimés enrobés: Il faut avaler les comprimés sans les croquer. Les comprimés comportent une rainure permettant de partager les comprimés en deux si une dose de 10 mg est nécessaire.
  • +Deroxat suspension: Agiter le flacon avant l'emploi.
  • -Si des symptômes entraînant une gêne réelle pour le patient devaient survenir lors de la diminution de la dose ou à l'arrêt du traitement, la reprise de la dose précédemment prescrite pourra être envisagée; puis la dose pourra ensuite être réduite de manière encore plus progressive.
  • -Posologies spéciales
  • -Sujets âgés:
  • +Si des symptômes entraînant une gêne importante pour le patient devaient survenir lors de la diminution de la dose ou à l'arrêt du traitement, la reprise de la dose précédemment prescrite pourra être envisagée; puis la dose pourra ensuite être réduite de manière encore plus progressive.
  • +Instructions spéciales pour la posologie Sujets âgés:
  • -En cas de perturbation grave de la fonction rénale (clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/min) ou de la fonction hépatique, les concentrations plasmatiques sont augmentées. C'est pourquoi, chez de tels patients, il faut prescrire la dose minimale recommandée.
  • +En cas de perturbation grave de la fonction rénale (clairance de la créatinine inférieure à 30 mL/min) ou de la fonction hépatique, les concentrations plasmatiques sont augmentées. C'est pourquoi, chez de tels patients, il faut prescrire la dose minimale recommandée.
  • -Le traitement par antidépresseurs des enfants et adolescents souffrant d'un épisode dépressif selon ICD-10 (ou Major Depressive Disorder, MDD, selon la classification DSM-IV) et d'autres troubles psychiatriques est lié à un risque accru de pensées et de comportements suicidaires. La paroxétine ne doit pas être utilisée chez l'enfant et l'adolescent de moins de 18 ans. Au cours d'essais cliniques chez l'enfant et l'adolescent, des comportements suicidaires (tentatives de suicide et pensées suicidaires) et hostiles (plus particulièrement agressivité, comportement d'opposition et colère) ont été plus fréquemment observés chez les patients traités par la paroxétine que chez ceux traités par placebo. De plus, dans ces essais, l'efficacité n'a pas été suffisamment démontrée et les données de tolérance à long terme concernant la croissance, la maturation, ainsi que le développement cognitif et comportemental manquent chez l'enfant (cf. «Effets indésirables»).
  • +Le traitement par antidépresseurs des enfants et adolescents souffrant d'un épisode dépressif selon ICD-10 (ou Major Depressive Disorder, MDD, selon la classification DSM-IV) et d'autres troubles psychiatriques est lié à un risque accru de pensées et de comportements suicidaires. La paroxétine ne doit pas être utilisée chez l'enfant et l'adolescent de moins de 18 ans. Au cours d'essais cliniques chez l'enfant et l'adolescent, des comportements suicidaires (tentatives de suicide et pensées suicidaires) et hostiles (plus particulièrement agressivité, comportement d'opposition et colère) ont été plus fréquemment observés chez les patients traités par la paroxétine que chez ceux traités par placebo. De plus, dans ces essais, l'efficacité n'a pas été suffisamment démontrée et les données à long terme concernant la croissance, la maturation, ainsi que le développement cognitif et comportemental manquent chez l'enfant (cf. «Effets indésirables»).
  • -Les patients (et le personnel soignant) devront être avertis de la nécessité d'une surveillance en cas d'aggravation de l'état (y compris développement de nouveaux symptômes) et/ou d'apparition d'idées ou de comportements suicidaires, de pensées d'auto-agression et demander immédiatement une assistance médicale si ces symptômes surviennent. Il faut ici tenir compte du fait que la survenue de certains symptômes tels qu'agitation, acathisie ou manie, peut être imputable aussi bien à l'état de santé sous-jacent qu'au traitement médicamenteux (cf. «Acathisie» et «Episode maniaque et trouble bipolaire»; «Effets indésirables»).
  • +Les patients (et leurs aidants) devront être avertis de la nécessité d'une surveillance afin de détecter toute aggravation de l'état (y compris développement de nouveaux symptômes) et/ou l'apparition d'idées ou de comportements suicidaires, de pensées d'auto-agression et demander immédiatement une assistance médicale si ces symptômes surviennent. Il faut ici tenir compte du fait que la survenue de certains symptômes tels qu'agitation, acathisie ou manie, peut être imputable aussi bien à l'état de santé sous-jacent qu'au traitement médicamenteux (cf. «Acathisie» et «Episode maniaque et trouble bipolaire»; «Effets indésirables»).
  • -Avant d'initier un traitement avec un antidépresseur, il convient de réaliser un dépistage adéquat des patients pour déterminer s'ils sont susceptibles de présenter des troubles bipolaires. Dans ce contexte, Il convient de noter que l'utilisation de la paroxétine n'est pas approuvée dans le traitement de la dépression bipolaire. Comme tous les antidépresseurs, la paroxétine doit être utilisée avec précaution chez les patients présentant des antécédents d'épisode maniaque. La paroxétine devra être arrêtée chez les patients entrant dans une phase maniaque.
  • +Avant d'initier un traitement avec un antidépresseur, il convient de réaliser un dépistage adéquat des patients pour déterminer s'ils sont susceptibles de présenter des troubles affectifs bipolaires. Dans ce contexte, il convient de noter que l'utilisation de la paroxétine n'est pas approuvée dans le traitement de la dépression bipolaire. Comme tous les antidépresseurs, la paroxétine doit être utilisée avec précaution chez les patients présentant des antécédents d'épisode maniaque. La paroxétine devra être arrêtée chez les patients entrant dans une phase maniaque.
  • -Des cas d'hyponatrémie, réversibles après l'arrêt du Deroxat, sont survenus (principalement chez des patients âgés). Une attention particulière devra être portée aux patients présentant un risque d'hyponatrémie, par exemple à cause de la prise en association d'autres médicaments ou de l'existence d'une cirrhose hépatique. L'hyponatrémie est généralement réversible à l'arrêt de la paroxétine.
  • +Des rares cas d'hyponatrémie, réversibles après l'arrêt du Deroxat, sont survenus (principalement chez des patients âgés). Une attention particulière devra être portée aux patients présentant un risque d'hyponatrémie, par exemple à cause de la prise en association d'autres médicaments ou de l'existence d'une cirrhose hépatique. L'hyponatrémie est généralement réversible à l'arrêt de la paroxétine.
  • -Il existe des rapports faisant état d'hémorragies cutanées ou des muqueuses (y compris des hémorragies gastro-intestinales) ainsi que dhémorragies gynécologiques au cours du traitement par Deroxat. Le risque peut être plus élevé chez les patients âgés.
  • +Il existe des rapports faisant état d'hémorragies cutanées ou des muqueuses (y compris des hémorragies gastro-intestinales) ainsi que d'hémorragies gynécologiques au cours du traitement par Deroxat. Le risque peut être plus élevé chez les patients âgés.
  • -Symptômes de sevrage à l'arrêt du traitement par paroxétine:
  • -A l'arrêt du traitement par Deroxat, des symptômes de sevrage peuvent survenir, en particulier si l'arrêt de paroxétine est brutal (cf. «Effets indésirables»). Dans les essais cliniques chez l'adulte, les effets indésirables observés lors de l'arrêt du traitement sont survenus chez 30% des patients traités par la paroxétine contre 20% des patients ayant reçu un placebo. La survenue de symptômes de sevrage liés à l'arrêt du traitement doit être distinguée de l'addiction ou de la dépendance médicamenteuse comparable à celle observée avec une drogue.
  • +Symptômes de sevrage observés à l'arrêt du traitement par la paroxétine:
  • +A l'arrêt du traitement par Deroxat, des symptômes de sevrage peuvent survenir, en particulier si l'arrêt de la paroxétine est brutal (cf. «Effets indésirables»). Dans les essais cliniques chez l'adulte, les effets indésirables observés lors de l'arrêt du traitement sont survenus chez 30% des patients traités par la paroxétine contre 20% des patients ayant reçu un placebo. La survenue de symptômes de sevrage liés à l'arrêt du traitement doit être distinguée de l'addiction ou de la dépendance médicamenteuse comparable à celle observée avec une drogue.
  • -Les symptômes suivants ont été rapportés: vertiges, troubles sensoriels (incluant paresthésies, sensations à type de décharge électrique et bourdonnements d'oreille), troubles du sommeil (incluant rêves intenses), agitation ou anxiété, nausées, tremblement, confusion, hypersudation, céphalées, diarrhée, palpitations, instabilité émotionnelle, irritabilité et troubles visuels. Généralement, ces symptômes sont d'intensité légère à modérée, peuvent cependant être d'intensité plus sévère chez certains patients. Ils surviennent habituellement dans les premiers jours suivant l'arrêt du traitement et peuvent ainsi être distingués des symptômes récidivants de la maladie qui apparaissent plus tardivement et lentement. Dans quelques très rares cas, de tels symptômes ont été rapportés chez des patients ayant accidentellement omis de prendre une dose. Généralement, ces symptômes sont limités et disparaissent en l'espace de 2 semaines même si, chez certaines personnes, ils peuvent se prolonger (2 à 3 mois, voire plus, après l'arrêt du traitement). Il est donc recommandé d'interrompre le traitement en diminuant progressivement la dose de paroxétine sur une période de plusieurs semaines ou plusieurs mois, selon les besoins du patient (cf. «Symptômes de sevrage observés à l'arrêt du traitement par la paroxétine» «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Les symptômes suivants ont été rapportés: vertiges, troubles sensoriels (incluant paresthésies, sensations de décharge électrique et acouphènes), troubles du sommeil (incluant rêves intenses), agitation ou anxiété, nausées, tremblement, confusion, hypersudation, céphalées, diarrhée, palpitations, instabilité émotionnelle, irritabilité et troubles visuels. Généralement, ces symptômes sont d'intensité légère à modérée, ils peuvent cependant être d'intensité plus sévère chez certains patients. Ils surviennent habituellement dans les premiers jours suivant l'arrêt du traitement et peuvent ainsi être distingués des symptômes récidivants de la maladie qui apparaissent plus tardivement et lentement. Dans quelques très rares cas, de tels symptômes ont été rapportés chez des patients ayant accidentellement omis de prendre une dose. Généralement, ces symptômes sont limités et disparaissent en l'espace de 2 semaines même si, chez certaines personnes, ils peuvent se prolonger (2 à 3 mois, voire plus, après l'arrêt du traitement). Il est donc recommandé d'interrompre le traitement en diminuant progressivement la dose de paroxétine sur une période de plusieurs semaines ou plusieurs mois, selon les besoins du patient (cf. «Symptômes de sevrage observés à l'arrêt du traitement par la paroxétine» - «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Passage des comprimés enrobés de Deroxat à la suspension de Deroxat
  • +Conservateurs:
  • +La suspension contient comme conservateurs l'hydroxybenzoate de propyle et l'hydroxybenzoate de méthyle (parabènes), qui sont susceptibles de déclencher des réactions d'hypersensibilité telles qu'une urticaire, une dermatite de contact et, dans de rares cas, des réactions d'hypersensibilité immédiate avec des bronchospasmes. La suspension contient également le colorant azoïque jaune orangé S (E 110). Elle doit être utilisée avec précaution chez les patients souffrant d'une hypersensibilité aux colorants azoïques, à l'acide acétylsalicylique et à d'autres inhibiteurs des prostaglandines.
  • +Absorption dépendante du pH gastrique (Deroxat suspension)
  • +Chez les patients prenant la préparation sous forme de suspension orale, le pH gastrique peut avoir une influence sur la concentration plasmatique de paroxétine.
  • -Des taux élevés de pimozide ont été mis en évidence lors d'une étude avec le pimozide à une dose unique faible (2 mg) et coadministration avec la paroxétine (élévation de l'AUC de 2,5 fois et de la Cmax de 1,6 fois). Cette interaction est due aux propriétés connues inhibitrices du CYP2D6 de la paroxétine. L'utilisation concomitante du pimozide et de la paroxétine est contre-indiquée en raison de l'index thérapeutique étroit du pimozide et de sa capacité bien connue à prolonger l'intervalle QT (cf. «Contre-indications»).
  • +Des taux élevés de pimozide ont été mis en évidence lors d'une étude avec le pimozide à une dose unique faible (2 mg) et co-administration avec la paroxétine (élévation de l'AUC de 2,5 fois et de la Cmax de 1,6 fois). Cette interaction est due aux propriétés connues inhibitrices du CYP2D6 de la paroxétine. L'utilisation concomitante du pimozide et de la paroxétine est contre-indiquée en raison de l'index thérapeutique étroit du pimozide et de sa capacité bien connue à prolonger l'intervalle QT (cf. «Contre-indications»).
  • +Des données in vitro ont montré que la libération de paroxétine de la suspension orale est pH-dépendante. Par conséquent, les médicaments modifiant le pH gastrique (p.ex. inhibiteurs de la pompe à protons ou antagonistes des récepteurs H2 de l'histamine) peuvent avoir une influence sur les concentrations plasmatiques de paroxétine chez les patients prenant la préparation sous forme de suspension orale (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +
  • -Deroxat n'affecte pas ou très peu la pharmacocinétique de nombreux médicaments, y compris la digoxine, le propranolol et la warfarine.
  • +Deroxat n'affecte pas ou peu la pharmacocinétique de nombreux médicaments, y compris la digoxine, le propranolol et la warfarine.
  • -Grossesse
  • +Grossesse:
  • -Deroxat ne devrait pas être nouvellement prescrit chez les femmes qui envisagent prochainement de devenir enceintes ou celles qui sont déjà enceintes. Le médecin devra envisager l'option de traitements alternatifs chez les femmes enceintes et déjà traitées avec la paroxétine et ne continuera à prescrire la paroxétine que si cela est absolument nécessaire. Si une décision est prise en faveur de l'arrêt du traitement par la paroxétine chez une femme enceinte, le médecin devra consulter les paragraphes «Posologie/Mode d'emploi Symptômes de sevrage observés à l'arrêt du traitement par la paroxétine» et «Mises en garde et précautions Symptômes de sevrage à l'arrêt du traitement par paroxétine». Une interruption brutale du traitement doit également être évitée lors de la grossesse.
  • +Deroxat ne devrait pas être nouvellement prescrit chez les femmes qui envisagent prochainement de devenir enceintes ou celles qui sont déjà enceintes. Le médecin devra envisager l'option de traitements alternatifs chez les femmes enceintes et déjà traitées avec la paroxétine et ne continuera à prescrire la paroxétine que si cela est absolument nécessaire. Si une décision est prise en faveur de l'arrêt du traitement par la paroxétine chez une femme enceinte, le médecin devra consulter les paragraphes «Posologie/Mode d'emploi - Symptômes de sevrage observés à l'arrêt du traitement par la paroxétine» et «Mises en garde et précautions - Symptômes de sevrage observés à l'arrêt du traitement par la paroxétine». Une interruption brutale du traitement doit également être évitée lors de la grossesse.
  • -Les nouveau-nés doivent rester sous observation si l'utilisation de la paroxétine est poursuivie jusque dans les derniers mois de grossesse (surtout au troisième trimestre). Les symptômes suivants peuvent survenir chez le nouveau-né après administration de la paroxétine à la mère pendant le troisième trimestre de grossesse: détresse respiratoire, cyanose, apnée, convulsions, instabilité de la température corporelle, difficultés d'alimentation, vomissements, hypoglycémie, hypertonie ou hypotonie musculaire, hyperréflexie, tremblements, tremblements nerveux/anxieux, irritabilité, léthargie, somnolence, troubles du sommeil et pleurs permanents. Ces symptômes peuvent être dus soit à des effets sérotoninergiques, soit à des symptômes de sevrage. Dans la majorité des cas, ces complications sont observées immédiatement ou juste après l'accouchement (en moins de 24 h).
  • +Les nouveau-nés doivent rester sous observation si l'utilisation de la paroxétine est poursuivie jusque dans les derniers mois de grossesse (surtout au troisième trimestre). Les symptômes suivants peuvent survenir chez le nouveau-né après administration de la paroxétine à la mère pendant le troisième trimestre de grossesse: détresse respiratoire, cyanose, apnée, convulsions, instabilité de la température corporelle, difficultés d'alimentation, vomissements, hypoglycémie, hypertonie ou hypotonie musculaire, hyperréflexie, tremblements, tremblements nerveux/anxieux, irritabilité, léthargie, somnolence, troubles du sommeil et pleurs permanents. Ces symptômes peuvent être dus soit à des effets sérotoninergiques, soit à des symptômes de sevrage. Dans la majorité des cas, ces complications sont observées immédiatement ou juste après l'accouchement (en moins de 24h).
  • -Allaitement
  • -De faibles quantités de paroxétine sont excrétées dans le lait maternel. Dans les études publiées, les concentrations sériques chez les nourrissons allaités étaient indétectables (<2 ng/ml) ou très faibles (<4 ng/ml). Aucun signe d'un effet médicamenteux n'a été observé chez ces nourrissons. Néanmoins, la paroxétine ne devrait pas être administrée pendant l'allaitement. Si l'administration du médicament est indispensable, la mère ne doit pas allaiter.
  • +Allaitement:
  • +De faibles quantités de paroxétine sont excrétées dans le lait maternel. Dans les études publiées, les concentrations sériques chez les nourrissons allaités étaient indétectables (<2 ng/mL) ou très faibles (<4 ng/mL). Aucun signe d'un effet médicamenteux n'a été observé chez ces nourrissons. Néanmoins, la paroxétine ne devrait pas être administrée pendant l'allaitement. Si l'administration du médicament est indispensable, la mère ne doit pas allaiter.
  • +La suspension contient le colorant azoïque jaune orangé S (E 110) qui peut déclencher des réactions d'hypersensibilité au niveau de la peau et des organes respiratoires, en particulier chez les patients souffrant d'asthme, d'urticaire chronique ou d'hypersensibilité aux anti-inflammatoires non stéroïdiens.
  • +
  • -Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
  • -Occasionnel: Saignements anormaux, principalement cutanéo-muqueux.
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Occasionnel: Saignements anormaux, principalement cutanéo-muqueux
  • -Troubles du système immunitaire
  • +Affections du système immunitaire
  • -Troubles endocriniens
  • +Affections endocriniennes
  • -Troubles psychiatriques
  • +Affections psychiatriques
  • -Troubles du système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Rare: Convulsions cloniques, acathisie, syndrome des jambes sans repos (Restless-Legs-Syndrome, RLS).
  • +Rare: Convulsions cloniques, acathisie, syndrome des jambes sans repos (Restless Legs Syndrome, RLS).
  • -Des troubles extrapyramidaux incluant des dystonies oro-faciales ont été rarement rapportés. La plupart de ces phénomènes ont été observés chez des patients ayant parfois des troubles moteurs préexistants ou chez des patients traités par des neuroleptiques.
  • +Des troubles extrapyramidaux incluant des dystonies oro-faciales ont été rarement rapportés. La plupart de ces phénomènes ont été observés chez des patients ayant de réels troubles moteurs préexistants ou chez des patients traités par des neuroleptiques.
  • -Troubles oculaires
  • +Affections oculaires
  • -Troubles cardiaques
  • +Affections cardiaques
  • -Troubles vasculaires
  • +Affections vasculaires
  • -Organes respiratoires (troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux)
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Troubles hépatobiliaires
  • +Affections hépatobiliaires
  • -Rarement, des cas d'élévation passagère des enzymes hépatiques ont été rapportés. Depuis la mise sur le marché du produit, les rapports faisant état d'affections hépatiques, comme l'hépatite, parfois associée à un ictère et/ou une insuffisance hépatique, chez les patients ayant pris de la paroxétine sont très rares (<0,01%). Bien qu'aucun rapport causal n'ait pu être démontré, l'arrêt de Deroxat doit être envisagé dès l'apparition de troubles de la fonction hépatique.
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • +Rarement, des cas d'élévation passagère des enzymes hépatiques ont été rapportés. Depuis la mise sur le marché du produit, les rapports faisant état d'affections hépatiques, comme l'hépatite, parfois associée à un ictère et/ou une insuffisance hépatique, chez les patients ayant pris de la paroxétine sont très rares (<0,01%). Bien qu'aucun rapport causal n'ait pu être démontré, Deroxat doit être arrêté dès l'apparition de troubles de la fonction hépatique.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Très rare: réactions cutanées graves (y compris érythème multiforme, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique et syndrome DRESS (Drug Rash with Eosinophilia and Systemic Symptoms)), urticaire, réactions de photosensibilité.
  • -Troubles musculosquelettiques
  • +Très rare: Réactions cutanées graves (y compris érythème multiforme, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique et syndrome DRESS (Drug Rash with Eosinophilia and Systemic Symptoms)), urticaire, réactions de photosensibilité.
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Troubles des organes de reproduction et du sein
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • -Troubles généraux
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Très rare: Oedème périphérique.
  • +Très rare: Œdème périphérique.
  • -A l'arrêt du traitement par la paroxétine (particulièrement quand il est brutal), les symptômes suivants peuvent survenir: vertiges, troubles sensoriels (incluant paresthésies, sensations à type de décharge électrique et bourdonnements d'oreille), troubles du sommeil (incluant rêves intenses), agitation ou anxiété, nausées, céphalées, tremblements, confusion, diarrhée, sudation, palpitations, instabilité émotionnelle, irritabilité et troubles visuels. Chez la majorité des patients concernés, ces événements sont d'intensité légère à modérée et spontanément résolutifs. Chez certains patients, ils peuvent être sévères et persister plus longtemps. Il est donc recommandé de diminuer progressivement les doses de Deroxat lorsque le traitement n'est plus nécessaire (cf. «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions»).
  • +A l'arrêt du traitement par la paroxétine (particulièrement quand il est brutal), les symptômes suivants peuvent survenir: vertiges, troubles sensoriels (incluant paresthésies, sensations de décharge électrique et acouphènes), troubles du sommeil (incluant rêves intenses), agitation ou anxiété, nausées, céphalées, tremblements, confusion, diarrhée, sudation, palpitations, instabilité émotionnelle, irritabilité et troubles visuels. Chez la majorité des patients concernés, ces événements sont d'intensité légère à modérée et spontanément résolutifs. Chez certains patients, ils peuvent être sévères et persister plus longtemps. Il est donc recommandé de diminuer progressivement les doses de Deroxat dès que le traitement n'est plus nécessaire (cf. «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions»).
  • -Au cours d'essais cliniques à court terme (jusqu'à 10-12 semaines) chez l'enfant et l'adolescent, les effets indésirables suivants ont été observés chez au moins 2% des patients traités par la paroxétine et sont survenus au moins deux fois plus fréquemment dans le groupe de patients traités par la paroxétine comparativement au groupe placebo: augmentation des comportements suicidaires (incluant tentatives de suicide et pensées suicidaires), comportements d'auto-agression et augmentation de l'hostilité. Pensées suicidaires et tentatives de suicide ont été principalement observées au cours des essais cliniques chez des adolescents pendant un épisode dépressif selon la classification ICD-10 (ou Major Depressive Disorder, MDD, selon la classification DSM-IV). L'augmentation de l'hostilité a notamment été observée chez les enfants souffrant de troubles obsessionnels compulsifs (Obsessive-Compulsive Disorder, OCD), particulièrement chez les enfants de moins de 12 ans. Ont été également observés plus souvent dans le groupe paroxétine comparativement au groupe placebo: diminution de l'appétit, tremblement, sudation, hyperkinésie, agitation, labilité émotionnelle (incluant pleurs et fluctuations de l'humeur).
  • +Au cours d'essais cliniques à court terme (jusqu'à 10-12 semaines) chez l'enfant et l'adolescent, les effets indésirables suivants ont été observés chez au moins 2% des patients traités par la paroxétine et sont survenus au moins deux fois plus fréquemment dans le groupe de patients traités par la paroxétine comparativement au groupe placebo: augmentation des comportements suicidaires (incluant tentatives de suicide et pensées suicidaires), comportements d'auto-agression et augmentation de l'hostilité. Pensées suicidaires et tentatives de suicide ont été principalement observées au cours des essais cliniques chez des adolescents pendant un épisode dépressif selon la classification ICD-10 (ou Major Depressive Disorder, MDD, selon la classification DSM-IV). L'augmentation de l'hostilité a surtout été observée chez les enfants souffrant de troubles obsessionnels compulsifs (Obsessive-Compulsive Disorder, OCD), particulièrement chez les enfants de moins de 12 ans. Ont été également observés plus souvent dans le groupe paroxétine comparativement au groupe placebo: diminution de l'appétit, tremblements, sudation, hyperkinésie, agitation, labilité émotionnelle (incluant pleurs et fluctuations de l'humeur).
  • -Des expériences cliniques montrent une sécurité relative lors d'un surdosage de Deroxat. Les expériences portant sur les cas d'intoxication par la paroxétine ont montré qu'en plus des événements décrits au paragraphe «Effets indésirables», les symptômes suivants ont été décrits: fièvre, modifications de la pression artérielle et contractions musculaires involontaires.
  • +Des expériences cliniques montrent une sécurité relative lors d'un surdosage de Deroxat. Les expériences portant sur les cas de surdosage par la paroxétine ont montré qu'en plus des événements décrits au paragraphe «Effets indésirables», les symptômes suivants ont été décrits: fièvre, modifications de la pression artérielle et contractions musculaires involontaires.
  • -Comme avec d'autres antidépresseurs, l'amélioration de la maladie apparaît généralement au bout d'une semaine. La supériorité par rapport à un placebo est décelable pendant la deuxième semaine.
  • -Dans une étude sur la prévention des rechutes chez des patients ayant répondu à un traitement initial d'une durée de 12 semaines avec la paroxétine, aucune différence quant aux taux de rechutes observés chez les patients sous paroxétine et chez ceux sous placebo n'a été mise en évidence pendant les 24 semaines supplémentaires sous traitement de l'étude. L'efficacité de la paroxétine au-delà d'une durée de traitement initiale de 12 semaines n'est par conséquent pas établie.
  • -Dans une étude épidémiologique rétrospective récente des Etats-Unis, réalisée chez 5956 nourrissons dont les mères avaient reçu pendant le premier trimestre de grossesse la paroxétine ou un autre antidépresseur, un risque plus élevé de malformations congénitales majeures de tous types a été mis en évidence pour la paroxétine par rapport aux autres antidépresseurs (odds ratio 1,8; intervalle de confiance à 95% 1,2-2,8). De plus, un risque plus élevé de malformations cardiovasculaires a été déterminé pour la paroxétine par rapport aux autres antidépresseurs (odds ratio 1,5; intervalle de confiance à 95% 0,8-2,9). Ces données ne tiennent pas compte des femmes qui avaient reçu en plus des antidépresseurs des médicaments tératogènes. Les anomalies du septum interventriculaire constituaient la plus grande partie des malformations cardiovasculaires.
  • -La prévalence des malformations congénitales de tous types et celle des malformations cardiovasculaires chez ces nourrissons étaient de 4% resp. 1,5% dans le cas de la paroxétine et de 2% resp. 1% pour les autres antidépresseurs. Dans la population totale, ces fréquences s'élèvent à 3% (malformations congénitales de tous types) resp. 1% (malformations cardiovasculaires) [Centers for Disease Control and Prevention, USA, et Metropolitan Atlanta Birth Congenital Defects Program Data (MACDP)].
  • -Les nourrissons de 6896 femmes ayant été en contact avec des antidépresseurs en début de grossesse (5123 femmes exposées à des ISRS dont 815 femmes exposées à la paroxétine) ont été examinés dans une étude se basant sur les données du registre de déclaration suédois. Un risque plus élevé de malformations cardiovasculaires a été mis en évidence chez les nourrissons ayant été exposés à la paroxétine par rapport au collectif total du registre (odds ratio 1,8; intervalle de confiance à 95% 1,1-2,8). La fréquence des malformations cardiovasculaires à la suite d'une exposition à la paroxétine en début de grossesse était de 2% par rapport à 1% pour le collectif total du registre. Aucune augmentation du risque global de malformations congénitales n'a été mise en évidence chez les nourrissons ayant été exposés à la paroxétine.
  • +Dans une étude sur la prévention des rechutes chez des patients ayant répondu à un traitement initial d'une durée de 12 semaines avec la paroxétine, aucune différence quant aux taux de rechutes observés chez les patients randomisés pour recevoir de la paroxétine et chez ceux sous placebo n'a été mise en évidence pendant les 24 semaines supplémentaires sous traitement de l'étude. L'efficacité de la paroxétine au-delà d'une durée de traitement initiale de 12 semaines n'est par conséquent pas établie.
  • +Dans une étude épidémiologique rétrospective récente des Etats-Unis, réalisée chez 5956 jeunes enfants dont les mères avaient reçu pendant le premier trimestre de grossesse la paroxétine ou un autre antidépresseur, un risque plus élevé de malformations congénitales majeures de tous types a été mis en évidence pour la paroxétine par rapport aux autres antidépresseurs (odds ratio 1,8; intervalle de confiance à 95% 1,2-2,8). De plus, un risque plus élevé de malformations cardiovasculaires a été déterminé pour la paroxétine par rapport aux autres antidépresseurs (odds ratio 1,5; intervalle de confiance à 95% 0,8-2,9). Ces données ne tiennent pas compte des femmes qui avaient reçu en plus des antidépresseurs des médicaments tératogènes. Les anomalies du septum interventriculaire constituaient la plus grande partie des malformations cardiovasculaires.
  • +La prévalence des malformations congénitales de tous types et celle des malformations cardiovasculaires chez ces jeunes enfants étaient de 4% resp. 1,5% dans le cas de la paroxétine et de 2% resp. 1% pour les autres antidépresseurs. Dans la population totale, ces fréquences s'élèvent à 3% (malformations congénitales de tous types) resp. 1% (malformations cardiovasculaires) [Centers for Disease Control and Prevention, USA, et Metropolitan Atlanta Birth Congenital Defects Program Data (MACDP)].
  • +Les jeunes enfants issus de 6896 femmes ayant été en contact avec des antidépresseurs en début de grossesse (5123 femmes exposées à des ISRS dont 815 femmes exposées à la paroxétine) ont été examinés dans une étude se basant sur les données du registre de déclaration suédois. Un risque plus élevé de malformations cardiovasculaires a été mis en évidence chez les jeunes enfants ayant été exposés à la paroxétine par rapport au collectif total du registre (odds ratio 1,8; intervalle de confiance à 95% 1,1-2,8). La fréquence des malformations cardiovasculaires à la suite d'une exposition à la paroxétine en début de grossesse était de 2% par rapport à 1% pour le collectif total du registre. Aucune augmentation du risque global de malformations congénitales n'a été mise en évidence chez les jeunes enfants ayant été exposés à la paroxétine.
  • -Absorption:
  • +Absorption
  • -Après des prises quotidiennes de 20 mg, on a trouvé, à l'état d'équilibre, des concentrations maximales de 12 à 90 ng/ml (en moyenne 41 ng/ml) atteintes au bout de 3 à 7 heures (en moyenne 5 heures).
  • -Distribution:
  • +Après des prises quotidiennes de 20 mg, on a trouvé, à l'état d'équilibre, des concentrations maximales de 12 à 90 ng/mL (en moyenne 41 ng/mL) atteintes au bout de 3 à 7 heures (en moyenne 5 heures).
  • +Distribution
  • -Elimination:
  • +Elimination
  • -La paroxétine est partiellement métabolisée par l'enzyme 2D6 du cytochrome P450, qui est en rapport avec le polymorphisme spartéine/débrisoquine (environ 10% de la population de race blanche sont «de mauvais métaboliseurs» de la spartéine et de la débrisoquine). Comme cette enzyme est saturable et que de ce fait la quantité de paroxétine contenue dans l'organisme augmente après administration répétée, la clearance est diminuée. Du fait de la saturation enzymatique, les concentrations plasmatiques de paroxétine augmentent de façon disproportionnée pendant la période où l'on s'approche de l'état d'équilibre. Ce phénomène n'est toutefois marqué que chez les personnes présentant initialement des concentrations plasmatiques particulièrement faibles. A l'état d'équilibre, où l'enzyme 2D6 du cytochrome P450 est pratiquement saturée, la clearance de la paroxétine dépend d'autres enzymes du cytochrome P450, qui, contrairement à l'isoenzyme 2D6 du cytochrome P450, ne sont pas saturables. En résumé: les éventuelles modifications non linéaires des concentrations plasmatiques lors d'une augmentation de la dose une fois que l'état d'équilibre est atteint sont généralement discrètes et s'observent seulement chez les personnes présentant des concentrations plasmatiques faibles aux doses plus faibles.
  • +La paroxétine est partiellement métabolisée par l'enzyme 2D6 du cytochrome P450, qui est en rapport avec le polymorphisme spartéine/débrisoquine (environ 10% de la population de race blanche sont «des métaboliseurs lents» de la spartéine et de la débrisoquine). Comme cette enzyme est saturable et que de ce fait la quantité de paroxétine contenue dans l'organisme augmente après administration répétée, la clairance est diminuée. Du fait de la saturation enzymatique, les concentrations plasmatiques de paroxétine augmentent de façon disproportionnée pendant la période où l'on s'approche de l'état d'équilibre. Ce phénomène n'est toutefois marqué que chez les personnes présentant initialement des concentrations plasmatiques particulièrement faibles. A l'état d'équilibre, où l'enzyme 2D6 du cytochrome P450 est pratiquement saturée, la clairance de la paroxétine dépend d'autres enzymes du cytochrome P450, qui, contrairement à l'isoenzyme 2D6 du cytochrome P450, ne sont pas saturables. En résumé: les éventuelles modifications non linéaires des concentrations plasmatiques lors d'une augmentation de la dose une fois que l'état d'équilibre est atteint sont généralement discrètes et s'observent seulement chez les personnes présentant des concentrations plasmatiques faibles aux doses plus faibles.
  • -Cinétique dans des situations cliniques particulières:
  • +Cinétique pour certains groupes de patients:
  • -Une étude sur deux ans chez la souris et le rat n'a pas montré de potentiel carcinogène de la paroxétine.
  • +Des études sur deux ans chez la souris et le rat n'ont pas montré de potentiel carcinogène de la paroxétine.
  • +La suspension doit être utilisée dans le mois qui suit l'ouverture du flacon.
  • +Ne pas conserver la suspension de Deroxat au-dessus de 25 °C. Tenir hors de portée des enfants.
  • +Suspension: 54355 (Swissmedic).
  • +
  • -Comprimés enrobés (sécables) à 20 mg: 14, 28 et 98 (B)
  • +Comprimés enrobés (sécables) à 20 mg: 14, 28 et 98 B
  • +Suspension 20 mg/10 mL: flacon de 150 mL (avec gobelet doseur) B
  • -Avril 2015.
  • +Septembre 2017.
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