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Accueil - Information professionnelle sur Demogripal C - Changements - 01.05.2025
34 Changements de l'information professionelle Demogripal C
  • -Instructions générales
  • -La dose quotidienne maximale de 4000 mg de paracétamol ne doit pas être dépassée. Afin d'éviter tout risque de surdose, il faut s'assurer que les médicaments pris simultanément ne contiennent pas de paracétamol.
  • +Instructions générales: La dose quotidienne maximale de 4000 mg de paracétamol ne doit pas être dépassée. Afin d'éviter tout risque de surdosage, il faut s'assurer que les médicaments pris simultanément ne contiennent pas de paracétamol.
  • -Demogripal C ne convient pas aux enfants de moins de 12 ans.
  • -Adultes: 1 sachet, 3 à 4×/jour.
  • +Demogripal C ne convient pas aux enfants de moins de 12 ans.Adultes: 1 sachet, 3 à 4×/jour.
  • -Chez les patients ayant une maladie hépatique chronique ou compensée active, en particulier insuffisance hépatocellulaire, alcoolisme chronique, malnutrition chronique (faibles réserves de glutathion hépatique) ou déshydratation, la dose quotidienne pour les adultes ne doit pas dépasser 3 g (cf. aussi «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • +Chez les patients ayant une maladie hépatique chronique ou compensée active, en particulier insuffisance hépatocellulaire, alcoolisme chronique, déficit d'alimentation chronique (faibles réserves de glutathion hépatique) ou déshydratation ainsi que chez les patients adultes souffrant de cachexie la dose doit être réduite ou l'intervalle entre les doses étendu. La dose quotidienne pour les adultes ne doit pas dépasser 2 g (cf. aussi «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • +Demogripal C est contre-indiqué chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (cf. «Contre-indications»).
  • +
  • -Chez les patients atteints de troubles graves de la fonction rénale, l'intervalle minimal entre les prises doit être adapté conformément au tableau suivant:
  • +Chez les patients atteints de troubles de la fonction rénale, l'intervalle minimal entre les prises doit être adapté conformément au tableau suivant:
  • -Hypersensibilité au paracétamol et aux substances apparentées ou à l'un des excipients selon la composition.
  • -Troubles sévères de la fonction hépatique (cirrhose hépatique et ascite)/hépatite aiguë ou maladie hépatique décompensée active.
  • -Hyperbilirubinémie constitutionnelle héréditaire (maladie de Gilbert).
  • -Lithiase rénale avec oxalurie.
  • +·Hypersensibilité au paracétamol et aux substances apparentées (p.ex. propacétamol) ou à l'un des excipients selon la composition.
  • +·Troubles fonctionnels hépatiques graves (cirrhose hépatique et ascite)/hépatite aiguë ou maladie hépatique décompensée active.
  • +·Hyperbilirubinémie constitutionnelle héréditaire (maladie de Gilbert).
  • +·Lithiase rénale avec oxalurie.
  • -·insuffisance rénale (clairance de la créatinine <50 ml/min)
  • -·insuffisance hépatique
  • -·carence en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (peut entraîner une anémie hémolytique).
  • +·insuffisance rénale (clairance de la créatinine <50 ml/min, voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»)
  • +·insuffisance hépatique légère à modérée (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»)
  • +·déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (peut entraîner une anémie hémolytique).
  • -La prudence est de rigueur en cas de consommation excessive d'alcool. Celui-ci peut potentialiser l'hépatotoxicité du paracétamol, en particulier en cas de carence alimentaire concomitante. Dans ces cas, une dose thérapeutique de paracétamol peut déjà provoquer une lésion hépatique.
  • +·anorexie, boulimie, cachexie, malnutrition chronique, carence alimentaire, septicémie (faibles réserves de glutathion hépatique) voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»;
  • +·déshydratation, hypovolémie.
  • +Les dosages dépassant la posologie recommandée présentent le risque d'endommager très gravement le foie. Les symptômes cliniques d'une lésion hépatique surviennent généralement 1 à 2 jours après le surdosage de paracétamol. Une lésion hépatique maximale s'observe généralement après 3 à 4 jours. Le traitement avec un antidote doit débuter dès que possible (cf. «Surdosage»).
  • +En cas d'administration concomitante de paracétamol et flucloxacilline la prudence s'impose en raison du risque accru d'acidose métabolique à trou anionique augmenté (AMTAA). Les patients présentant un risque accru d'acidose métabolique à trou anionique augmenté sont en particulier ceux qui sont atteints de troubles graves de la fonction rénale, de sepsis ou de malnutrition, notamment en cas d'utilisation des doses maximales journalières de paracétamol.
  • +Après administration concomitante de paracétamol et flucloxacilline, une étroite surveillance est recommandée, afin de mettre en évidence l'apparition d'irrégularités de l'équilibre acido-basique, en particulier une acidose métabolique à trou anionique augmenté. Une analyse de la 5-oxoproline dans l'urine devrait également être effectuée.
  • +En cas de poursuite de l'emploi de flucloxacilline après arrêt du paracétamol, il est conseillé de s'assurer de l'absence de signe d'une acidose métabolique à trou anionique augmenté, car il est possible que la flucloxacilline maintienne le tableau clinique de l'acidose métabolique à trou anionique augmenté (voir rubrique «Interactions»).
  • +Le paracétamol peut entraîner des réactions cutanées graves comme une pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG), un syndrome de Stevens-Johnson (SJS) et une nécrolyse épidermique toxique (NET), qui peuvent entraîner le décès. Les patients doivent être informés des symptômes des réactions cutanées graves, et l'utilisation du médicament doit être interrompue dès la première apparition de réactions cutanées ou d'autres signes d'hypersensibilité.
  • +Il est déconseillé de consommer de l'alcool au cours du traitement. L'alcool peut accroître la toxicité hépatique du paracétamol, en particulier lors de carence alimentaire simultanée ou de la malnutrition. Dans ces cas, une dose thérapeutique de paracétamol peut déjà provoquer une lésion hépatique.
  • +Il faut signaler aux parents d'enfants qu'il ne faut pas prendre des analgésiques de manière prolongée sans prescription médicale et que si l'enfant présente une forte fièvre ou une détérioration de son état de santé, il est nécessaire de consulter rapidement un médecin.
  • +
  • -Il faut également signaler au patient que la prise chronique d'analgésiques peut induire l'apparition de maux de tête, qui peuvent entraîner à leur tour une nouvelle prise et contribuer ainsi à l'entretien des maux de tête (céphalées dues aux analgésiques).
  • +Lorsque des analgésiques sont utilisés pendant une période prolongée (> 3 mois) chez des patients souffrant de céphalées chroniques et que l'utilisation a lieu tous les deux jours ou plus, des céphalées peuvent apparaître ou des céphalées déjà existantes peuvent s'aggraver. Les céphalées provoquées par une utilisation excessive d'analgésiques ne doivent pas être traitées par une augmentation de la dose. Dans de tels cas, la prise d'analgésiques doit être arrêtée en concertation avec le médecin.
  • -Les médicaments inducteurs d'enzymes, comme le phénobarbital, la phénytoïne, la carbamazépine, l'hydrazide de l'acide isonicotinique (isoniazide, HIN) et la rifampicine aggravent l'hépatotoxicité du paracétamol.
  • +Les médicaments inducteurs d'enzymes, comme le phénobarbital, la carbamazépine, l'hydrazide de l'acide isonicotinique (isoniazide, HIN) et la rifampicine aggravent l'hépatotoxicité du paracétamol. Faire preuve de prudence en cas d'administration concomitante de paracétamol.
  • +Phénytoïne: la prise concomitante peut réduire l'efficacité du paracétamol et, par une augmentation des métabolites toxiques du paracétamol, augmenter le risque d'hépatotoxicité. Les patients traités par phénytoïne doivent éviter une prise excessive et/ou chronique de paracétamol. Les patients doivent être surveillés pour déceler d'éventuels signes d'hépatotoxicité.
  • -Salicylamide: Le salicylamide allonge la demi-vie d'élimination du paracétamol et accroît la formation de métabolites hépatotoxiques.
  • -Chlorzoxazone: L'administration concomitante de paracétamol et de chlorzoxazone majore l'hépatotoxicité des deux substances.
  • +Salicylamide: Le salicylamide allonge la demi-vie d'élimination du paracétamol et accroît la formation de métabolites hépatotoxiques.Chlorzoxazone: L'administration concomitante de paracétamol et de chlorzoxazone majore l'hépatotoxicité des deux substances.
  • -Probénécide: le probénécide inhibe la conjugaison du paracétamol à l'acide glucuronique, d'où une clairance réduite du paracétamol. En cas d'administration concomitante de ces deux produits, la dose de paracétamol doit être diminuée.
  • +Probénécide: le probénécide inhibe la conjugaison du paracétamol à l'acide glucuronique, ce qui réduit environ de moitié la clairance du paracétamol. En cas d'administration concomitante de ces deux produits, la dose de paracétamol doit être diminuée.
  • -L'effet anticoagulant de la warfarine et des autres coumarines peut être renforcé en cas d'utilisation quotidienne prolongée de paracétamol et ainsi augmenter le risque de saignements. Des prises occasionnelles n'ont pas d'effet significatif. Il n'existe pas de données concernant l'interaction entre le paracétamol et les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran, rivaroxaban, apixaban).
  • +Anticoagulants: L'effet anticoagulant de la warfarine et des autres coumarines peut être renforcé en cas d'utilisation quotidienne prolongée de paracétamol et ainsi augmenter le risque de saignements. Il faut surveiller de près l'INR (international normalized ratio) en cas de prise concomitante, et 1 semaine après la fin du traitement par paracétamol. Des prises occasionnelles n'ont pas d'effet significatif. Il n'existe pas de données concernant l'interaction entre le paracétamol et les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran, rivaroxaban, apixaban).
  • +Flucloxacilline: En cas d'administration concomitante de paracétamol (principalement à des doses élevées et/ou pendant une longue durée) et de flucloxacilline, la prudence est recommandée car la prise concomitante de ce médicament a été associée à une acidose métabolique à trou anionique élevé, en particulier chez les patients présentant des facteurs de risque (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Interactions avec les examens paramédicaux
  • +Le paracétamol peut fausser les valeurs d'uricémie obtenues par la méthode à l'acide phosphotungstique.
  • +
  • -La prudence est de mise en cas d'utilisationde Demogripal C durant la grossesse et l'allaitement.
  • -Grossesse:
  • -Les études de reproduction chez l'animal n'ont pas mis en évidence de risque fœtal ni pour le paracétamol ni pour l'acide ascorbique. On ne dispose toutefois pas d'études contrôlées avec l'association fixe paracétamol/acide ascorbique chez la femme enceinte, et l'expérience avec Demogripal C chez celle-ci est insuffisante. Par principe, il ne faut dès lors utiliser Demogripal C pendant la grossesse, en particulier au cours du premier trimestre, qu'avec circonspection et seulement pendant une courte durée.
  • -Le risque lié à une prise de paracétamol à la dose correcte au cours de la grossesse est actuellement considéré comme minime en termes de troubles fonctionnels et de lésions organiques, de malformations et de troubles de l'adaptation.
  • +La prudence est de mise en cas d'utilisation de Demogripal C durant la grossesse et l'allaitement.
  • +Grossesse
  • +Les études de reproduction chez l'animal n'ont pas mis en évidence de risque fœtal ni pour le paracétamol ni pour l'acide ascorbique. On ne dispose toutefois pas d'études contrôlées avec l'association fixe paracétamol/acide ascorbique chez la femme enceinte, et l'expérience avec Demogripal C chez celle-ci est insuffisante.
  • +Les études épidémiologiques sur le neurodéveloppement des enfants exposés au paracétamol in utero ne montrent pas de résultats probants. Le risque de lésions fonctionnelles et organiques, de malformations et de troubles de l'adaptation lors de la prise de paracétamol pendant la grossesse à la posologie appropriée est actuellement considéré comme faible. Aucune étude contrôlée chez les femmes enceintes n'est disponible. Les études animales n'ont montré aucune toxicité sur la reproduction {voir «Données précliniques»).
  • +Par principe, il ne faut dès lors utiliser Demogripal C pendant la grossesse, en particulier au cours du premier trimestre, qu'avec circonspection et seulement pendant une courte durée.
  • +Si cela s'avère nécessaire d'un point de vue clinique, le paracétamol peut être utilisé pendant la grossesse: cependant, il devra être utilisé à la dose efficace la plus faible, pendant la durée la plus courte possible et à la fréquence la plus réduite possible.
  • -Le paracétamol passe dans le lait maternel. La concentration dans le lait maternel est à peu près équivalente à la concentration momentanée dans le plasma de la mère. Des cas de rashs cutanés chez les nourrissons allaités ont été rapportés. Cependant, il n'y a pas d'indices suggérant un risque pour le nourrisson.
  • +Le paracétamol passe dans le lait maternel. La concentration dans le lait maternel est à peu près équivalente à la concentration momentanée dans le plasma de la mère. Des cas de rashs cutanés chez les nourrissons allaités ont été rapportés. Cependant, il n'y a pas d'indices suggérant un risque pour le nourrisson. Bien que l'utilisation du paracétamol soit considérée comme compatible avec l'allaitement, la prudence est de mise lors de l'utilisation du Demogripal C pendant l'allaitement.
  • +Fertilité
  • +Aucune donnée clinique sur la fertilité n'est disponible. Dans les études menées sur le paracétamol chez l'animal, un effet sur la fertilité a été observé (voir «Données précliniques»).
  • -Après la prise orale de 7,5 à 10 g de paracétamol chez l'adulte et de 140 à 200 mg/kg de poids corporel chez l'enfant (déjà à faible doses chez les patients prédisposés, tels ceux dont la consommation d'alcool est excessive ou dont la réserve de glutathion est réduite du fait d'une carence alimentaire), des symptômes d'intoxication aiguë des cellules du foie et des tubules rénaux se manifestent sous la forme de nécroses cellulaires menaçant le pronostic vital.
  • +Après la prise orale de 7,5 à 10 g de paracétamol chez l'adulte et de 140 à 200 mg/kg de poids corporel chez l'enfant (déjà à faible doses chez les patients prédisposés, tels ceux dont la consommation d'alcool est excessive ou dont la réserve de glutathion est réduite du fait d'une carence alimentaire), des symptômes d'intoxication aiguë des cellules du foie et des tubules rénaux se manifestent sous la forme de nécroses cellulaires menaçant le pronostic vital. Ces nécroses peuvent entraîner une insuffisance hépatocellulaire, une acidose métabolique (qui peut dans certains cas provenir de l'acide lactique ou de l'acide pyroglutamique) et une encéphalopathie, qui peuvent entraîner le coma et le décès.
  • +Les événements suivants ont été observés à la suite d'un surdosage de paracétamol:
  • +·Nécrose hépatique
  • +·Insuffisance rénale aiguë,
  • +·Coagulation intravasculaire disséminée,
  • +·Rares cas de pancréatite aiguë
  • -Les études toxicologiques n'ont montré aucun effet sur la reproduction ni aucun effet tératogène chez les animaux traités par le paracétamol.
  • +Il n'existe pas d'études conventionnelles utilisant les normes actuellement acceptées pour l'évaluation de la toxicité sur la reproduction et le développement. Cependant, les études toxicologiques n'ont montré aucun effet sur la reproduction ni aucun effet tératogène chez les animaux traités par le paracétamol.
  • -Février 2021.
  • +Mars 2025.
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