54 Changements de l'information professionelle Insulin Lilly Huminsulin Basal cartouches 3,0 ml |
-Cartouches de 3,0 ml pour Pen 3,0 ml.
-Seringues préremplies de 3,0 ml Huminsulin Kwikpen.
- +Cartouches de 3,0 ml pour stylo 3,0 ml.
- +Seringues préremplies de 3,0 ml Huminsulin Kwikpen
-La posologie quotidienne devra être répartie sur deux injections selon un rapport de 2:1 environ (deux tiers le matin, un tiers le soir). Ne doit pas être injecté par voie intraveineuse.
-Changer le site d'administration à chaque injection et ne pas masser la zone d'injection.
- +La dose quotidienne devra être répartie sur deux injections selon un rapport de 2:1 environ (deux tiers le matin, un tiers le soir). Ne doit pas être injecté par voie intraveineuse.
- +Le site d'injection doit être changé à chaque administration et ne doit pas être massé.
-Le passage d'une insuline d'origine animale à une insuline humaine biosynthétique peut nécessiter chez certains diabétiques une réduction posologique, en particulier si le diabète était équilibré très précisément, c'est-à-dire avec une glycémie relativement faible. La posologie peut alors être réduite immédiatement après le passage à la nouvelle insuline ou progressivement sur plusieurs semaines. Si les besoins en insuline diminuent, il existe un risque d'hypoglycémie dont aussi bien le médecin que le patient devront être conscients. Si la posologie quotidienne est inférieure à 40 U.I., le risque est minime.
- +Le passage d'une insuline d'origine animale à une insuline humaine biosynthétique peut nécessiter chez certains diabétiques une réduction de la dose, en particulier si le diabète était équilibré très précisément, c'est-à-dire avec une glycémie relativement basse. La dose peut alors être réduite immédiatement après le passage à la nouvelle insuline ou progressivement sur plusieurs semaines. Si les besoins en insuline diminuent, il existe un risque d'hypoglycémie dont aussi bien le médecin que le patient devront être conscients. Si la posologie quotidienne est inférieure à 40 U.I., le risque est minime.
-Lors d'une hypersensibilité aux conservateurs ou à la protamine, il faudra passer à des insulines ne comportant pas ces additifs.
-Lors d'une allergie à une insuline spécifique d'une espèce animale, la tolérance des produits à base d'insuline humaine devra être contrôlée par des tests cutanés (intradermiques).
-Une allergie sévère à l'insuline de type immédiat doit donner lieu à une révision complète des modalités de traitement du diabète.
-Une réaction immunologique croisée entre les insulines humaines et les insulines d'origine animales est possible.
- +En cas d'hypersensibilité aux conservateurs ou à la protamine, il faudra passer à des insulines ne comportant pas ces additifs.
- +En cas d'allergie à une insuline spécifique d'une espèce animale, la tolérance des produits à base d'insuline humaine devra être contrôlée par des tests cutanés (intradermiques).
- +Une grave allergie à l'insuline (de type immédiat) doit susciter une nouvelle conception de la thérapie du diabète.
- +Une réaction immunologique croisée entre l'insuline humaine et animale est possible.
-Dans certaines situations, entre autres également après le passage d'une insuline d'origine animale à une insuline humaine, les signes d'alerte de l'hypoglycémie peuvent être atténués, si bien que celle-ci peut survenir de façon inattendue (voir «Effets indésirables»). Certaines conditions, comme un diabète de longue durée, une insulinothérapie intensive, une neuropathie diabétique ou un traitement par bêtabloquants, peuvent modifier ou atténuer l'apparition des premiers symptômes d'alerte d'une hypoglycémie.
- +Dans certaines situations, entre autres également après le passage d'une insuline d'origine animale à une insuline humaine, les signes d'alerte de l'hypoglycémie peuvent être atténués, si bien que celle-ci peut survenir de façon inattendue (voir «Effets indésirables»). Certaines circonstances telles qu'un diabète présent depuis longtemps, une insulinothérapie intensive, une neuropathie diabétique ou un traitement par des bêtabloquants peuvent faire en sorte que les symptômes annonciateurs précoces d'une hypoglycémie prennent un aspect différent ou moins prononcé.
-·Les bêtabloquants peuvent affaiblir ou masquer les signaux d'alerte habituels de l'hypoglycémie.
-·La consommation d'alcool peut augmenter le danger d'une hypoglycémie (inhibition de la gluconéogenèse hépatique).
- +·Les bêtabloquants peuvent affaiblir ou masquer les signaux annonciateurs habituels de l'hypoglycémie.
- +·La consommation d'alcool peut augmenter le risque d'hypoglycémie (inhibition de la gluconéogenèse hépatique)
-Les informations concernant l'effet d'autres substances illégales sur la glycémie sont limitées. Pour les autres interactions, voir paragraphe «Interactions»!.
- +On ne possède que peu d'informations sur l'effet d'autres substances illégales sur la glycémie. Pour les autres interactions, voir paragraphe «Interactions»!
-Thiazolidinediones (TZDs) combinées avec l'insuline:
-Les TZDs combinées avec l'insuline sont associées à un risque accru d'oedème et d'insuffisance cardiaque, particulièrement chez les patients présentant une maladie cardiaque sous-jacente.
- +Thiazolidinediones (TZD) combinées avec l'insuline:
- +les TZDs combinées avec l'insuline sont associées à un risque accru d'œdème et d'insuffisance cardiaque, particulièrement chez les patients présentant une maladie cardiaque sous-jacente.
-1. Les besoins en insuline peuvent diminuer en présence de substances qui améliorent l'effet de l'insuline (élévation de la sensibilité à l'insuline), qui augmentent la sécrétion d'insuline, qui inhibent la gluconéogenèse hépatique ou qui influencent la résorption intestinale du glucose. Ainsi, pour une quantité constante d'insuline, un risque accru d'hypoglycémie existe lors de la prise simultanée des produits suivants:
-Antidiabétiques oraux; alcool; inhibiteurs de l'ECA (par ex. captopril et énalapril); antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II; substances antiarythmiques comme le disopyramide; alphabloquants et clonidine; ISRS; fenfluramine; inhibiteurs de la MAO; antidépresseurs tricycliques; salicylés et (rarement) autres AINS; fibrates; tétracyclines; pentamidine (hypoglycémie; parfois suivie d'une hyperglycémie); antipaludiques (quinine, chloroquine, méfloquine); sulfamides (par ex. co-trimoxazole); cimétidine et ranitidine.
-2. Les besoins en insuline peuvent augmenter lors de l'administration simultanée des substances et groupes de substances suivants:
- +1. Les besoins en insuline peuvent être diminués en présence de substances qui potentialisent l'effet de l'insuline (élévation de la sensibilité à l'insuline), augmentent la sécrétion d'insuline, inhibent la gluconéogenèse hépatique ou affectent l'absorption intestinale du glucose. Ainsi, pour une quantité constante d'insuline, il y a un risque accru d'hypoglycémie en cas de prise simultanée de:
- +Antidiabétiques oraux; alcool; inhibiteurs de l'ECA (par exemple captopril et énalapril); antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II; antiarythmiques comme le disopyramide; alphabloquants et clonidine; inhibiteurs spécifiques de la recapture de la sérotonine (ISRS); fenfluramine; inhibiteurs de la MAO; antidépresseurs tricycliques; salicylates et (rarement) autres AINS; fibrates; tétracyclines; pentamidine (hypoglycémie; parfois suivie d'une hyperglycémie); antipaludiques (quinine, chloroquine, méfloquine); sulfamides (par exemple co-trimoxazole); cimétidine et ranitidine.
- +2. Les besoins en insuline peuvent être accrus en cas d'administration simultanée des substances et groupes de substances suivants:
-Les bêtabloquants peuvent entraîner une augmentation de la résistance à l'insuline, mais aussi, dans certains cas, une hypoglycémie. En outre, les symptômes d'alerte de l'hypoglycémie peuvent être atténués ou masqués.
- +Les bêtabloquants peuvent entraîner une augmentation de la résistance à l'insuline, mais aussi, dans certains cas, une hypoglycémie. En outre, les symptômes annonciateurs de l'hypoglycémie peuvent être atténués ou masqués.
-Il est capital de bien équilibrer les femmes diabétiques insulinodépendantes pendant toute la grossesse. Leurs besoins en insuline diminuent habituellement pendant le premier trimestre et s'accroissent pendant le deuxième et le troisième trimestre. Ils diminuent de nouveau après la naissance.
- +Il est capital de bien équilibrer les femmes diabétiques insulinodépendantes pendant toute la grossesse. Leurs besoins en insuline diminuent habituellement pendant le premier trimestre et s'accroissent pendant le deuxième et le troisième trimestre; ils diminuent de nouveau après la naissance.
-Un épisode hypoglycémique peut diminuer les facultés de concentration et de réaction du patient, ce qui peut représenter un risque dans les situations dans lesquelles ces capacités sont importantes (par ex. lors de la conduite d'un véhicule ou de machines).
-Le patient sera prié de prendre des mesures de précaution pour éviter les hypoglycémies lors de la conduite de véhicules. Ces précautions sont particulièrement importantes chez les patients qui ont de fréquents épisodes hypoglycémiques ou chez ceux qui présentent des signes annonciateurs de l'hypoglycémie atténués ou imperceptibles. Dans de tels cas, on évaluera si la conduite de véhicules est encore judicieuse.
- +Une hypoglycémie peut diminuer les capacités de concentration et de réaction d'un patient. Ceci peut présenter un risque dans des situations où ces capacités jouent un rôle très important (par exemple, dans la conduite d'une automobile ou l'utilisation de machines).
- +On conseillera au patient de prendre les mesures nécessaires pour éviter de tomber en hypoglycémie en conduisant des véhicules utilitaires. Ceci est particulièrement important pour des patients qui ont de fréquents épisodes d'hypoglycémie ou chez ceux qui ont des signes annonciateurs d'une hypoglycémie atténués ou imperceptibles. Dans de tels cas, on évaluera si la conduite de véhicules est encore judicieuse.
-Les effets indésirables lors des essais cliniques et les données post-marketing sont présentés ci-dessous selon le système de classe d'organe MedDRA, et classés par ordre décroissant de gravité.Classification des fréquences: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), occasionnel (≥1/1000, <1/100), rare (≥1/10000, <1/1000), très rare (<1/10000).
-Troubles du système immunitaire
- +Les effets indésirables lors des essais cliniques et les données post-marketing sont présentés ci-dessous selon le système de classe d'organe MedDRA, et classés par ordre décroissant de gravité.
- +Classification des fréquences: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), occasionnel (≥1/1000, <1/100), rare (≥1/10000, <1/1000), très rare (<1/10000).
- +Affections du système immunitaire
-Très rare: réactions allergiques systémiques généralisées.
-Des réactions allergiques systémiques généralisées peuvent se développer envers l'insuline. Elles peuvent provoquer des éruptions cutanées sur tout le corps (urticaire), un essoufflement (dyspnée), un râle, une chute de la tension artérielle (hypotension artérielle), une accélération du pouls (tachycardie) ou une sudation.
-Des réactions allergiques sévères (de type immédiat) peuvent nécessiter une interruption du traitement ou d'autres mesures appropriées. Dans les cas graves, des réactions allergiques généralisées peuvent mettre le pronostic vital en danger.
- +Très rares: réactions allergiques systémiques généralisées.
- +Des réactions allergiques systémiques généralisées peuvent se développer envers l'insuline. Elles peuvent provoquer des éruptions cutanées sur tout le corps (urticaire), de l'essoufflement (dyspnée), des râles, une chute de tension (hypotension artérielle), un pouls accéléré (tachycardie) ou des sudations.
- +Des réactions allergiques sévères (de type immédiat) peuvent nécessiter une interruption du traitement ou d'autres mesures appropriées. Dans les cas graves, des réactions allergiques généralisées peuvent engager le pronostic vital.
-L'hypoglycémie (chute de la glycémie <2–3 mmol/l) est comme pour toutes les insulines l'effet indésirable qui apparaît le plus fréquemment. Les signes précurseurs sont:
-a) signes neurovégétatifs: sueurs, sensation de faim, tremblements, pâleur, palpitations cardiaques, céphalées.
-b) signes neuroglycopéniques: troubles de la concentration, comportement inhabituel (agitation, irritabilité, agressivité, confusion, etc.), troubles de la conscience, troubles de la coordination, de la vision et du langage. Ces signes peuvent aller de la torpeur et la somnolence jusqu'à la perte de connaissance et même le coma. L'hypoglycémie peut également déclencher des crises d'épilepsie ou même une attaque cérébrale, avec par ex. hémiparésie (le plus souvent passagère), aphasie, signe de Babinski positif.
-c) Signes annonciateurs atténués/modifiés: L'équilibrage vers des taux particulièrement bas de sucre sanguin (par ex. injections répétées sur le principe de basal-bolus), mais également un diabète prolongé (entre autres avec neuropathie), un changement de produit, peuvent modifier les symptômes annonciateurs de l'hypoglycémie et atténuer les symptômes neurovégétatifs ou retarder leur apparition. Certains patients ont également fait cette observation lors du passage de l'insuline animale à l'insuline humaine, ou même quelquefois lors d'une substitution de produit.
-Un surdosage en insuline, des activités physiques inhabituelles, la suppression d'un repas, des vomissements ou une diarrhée, maladies endocriniennes telles qu'insuffisance surrénale et hypothyroïdie peuvent entraîner une hypoglycémie sévère.
- +L'hypoglycémie (chute de la glycémie <2-3 mmol/l) est comme pour toutes les insulines l'effet indésirable qui apparaît le plus fréquemment. Les signes précurseurs sont:
- +a) Signes neurovégétatifs: sueurs, sensation de faim, tremblements, pâleur, palpitations cardiaques, céphalées.
- +b) Signes neuroglycopéniques: troubles de la concentration, comportement inhabituel (agitation, irritabilité, agressivité, confusion, etc.), troubles de la conscience, troubles de la coordination, de la vision et du langage. Ces signes peuvent aller de la torpeur et la somnolence jusqu'à la perte de connaissance et même le coma. L'hypoglycémie peut également déclencher des crises d'épilepsie ou même une attaque cérébrale, avec par ex. hémiparésie (le plus souvent passagère), aphasie, signe de Babinski positif.
- +c) Signes annonciateurs atténués/modifiés: L'équilibrage vers des taux particulièrement bas de sucre sanguin (par ex. injections répétées sur le principe de basal- bolus), mais également un diabète prolongé (éventuellement avec neuropathie), un changement de produit, peuvent modifier les symptômes annonciateurs de l'hypoglycémie et atténuer les symptômes neurovégétatifs ou retarder leur apparition. Certains patients ont également fait cette observation lors du passage de l'insuline animale à l'insuline humaine, ou même quelquefois lors d'une substitution de produit.
- +Un surdosage en insuline, des activités physiques inhabituelles, la suppression d'un repas, des vomissements ou une diarrhée, des maladies endocriniennes telles qu'insuffisance surrénalienne et hypothyroïdie peuvent entraîner une hypoglycémie sévère.
-Le passage à une autre préparation d'insuline doit se faire uniquement sous contrôle médical scrupuleux et selon des instructions sévères. La dose et l'horaire d'injection ne doivent être modifiés qu'après discussion avec le médecin ou sur sa prescription.
-On recommandera au patient d'informer son entourage proche (amis, collègues de travail) de son diabète ainsi que des règles de comportement à suivre, entre autres comment injecter Glucagon par voie sous-cutanée.
- +Le passage à une autre préparation d'insuline doit se faire uniquement sous contrôle médical scrupuleux et selon des instructions sévères. De même, la dose et l'horaire d'injection ne doivent être modifiés qu'après discussion avec le médecin ou sur sa prescription.
- +Il faut recommander au patient d'informer son entourage (amis, collègues de travail) de son diabète ainsi que de la conduite à tenir; en particulier comment injecter du glucagon par voie sous-cutanée.
-Un coma diabétique peut être dû à une glycémie excessive. Parmi les causes on peut trouver une omission ou une réduction des injections d'insuline ou des besoins accrus en insuline dus à une infection ou à d'autres maladies. Le coma diabétique s'installe lentement en quelques heures à jours. Les premiers signes en sont une soif, l'émission de grandes quantités d'urines, une perte de l'appétit, une asthénie, une sécheresse de la peau, une respiration ample et rapide et la présence d'une quantité élevée de glucose et d'acétone dans les urines. Le patient sera informé qu'il doit également contacter immédiatement son médecin dans ces cas.
-Troubles oculaires
- +Un taux trop élevé de sucre dans le sang peut déclencher un coma diabétique. Les causes éventuelles peuvent en être: l'omission ou la réduction des injections d'insuline ou un besoin accru d'insuline suite à une infection ou à une autre maladie. Le coma diabétique évolue très lentement, sur des heures et des jours. Les signes annonciateurs sont: soif, urines abondantes, manque d'appétit, fatigue, peau sèche, respiration rapide et profonde, ainsi que des taux élevés de glucose et d'acétone dans l'urine. Le patient sera informé qu'il doit également contacter immédiatement son médecin dans ces cas.
- +Affections oculaires
-On peut observer en début de traitement une modification passagère de l'acuité visuelle. Cet effet indésirable régresse généralement de lui-même avec la poursuite du traitement.
-Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
- +On peut observer en début de traitement une modification passagère de l'acuité visuelle. Mais, la plupart du temps, ces effets indésirables disparaissent d'eux-mêmes au fil du traitement.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Le surdosage provoque une hypoglycémie et doit être traité en premier lieu par l'administration orale de dextrose ou de sucre lorsque l'épisode hypoglycémique est léger. Une hypoglycémie modérément sévère peut être corrigée par l'administration intramusculaire ou sous-cutanée de Glucagon. Si le patient présente toutefois un coma, il convient d'administrer Glucagon par voie intraveineuse.
- +Le surdosage provoque une hypoglycémie et doit être traité en premier lieu par l'administration orale de dextrose ou de sucre lorsque l'épisode hypoglycémique est léger. Une hypoglycémie modérément sévère peut être contrôlée par l'administration intramusculaire ou sous-cutanée de glucagon. Si le patient présente toutefois un coma, il convient d'administrer du glucagon ou du glucose par voie intraveineuse.
-De plus, les insulines ont de nombreux effets anaboliques et anti-cataboliques dans un grand nombre de tissus différents. Dans le tissu musculaire, ces effets regroupent l'augmentation de la synthèse du glycogène, des acides gras, du glycérol et des protéines, ainsi que l'augmentation de la résorption des acides aminés; on observe en même temps une réduction de la glycogénolyse, de la gluconéogenèse, de la cétogenèse, de la lipolyse, du catabolisme des protéines et du transport des acides aminés hors de la cellule.
- +De plus, les insulines ont de nombreux effets anaboliques et anti-cataboliques dans un grand nombre de tissus différents. Dans le tissu musculaire, ces effets regroupent l'augmentation de la synthèse du glycogène, des acides gras, du glycérol et des protéines, ainsi que l'augmentation de l'absorption des acides aminés; on observe en même temps une réduction de la glycogénolyse, de la gluconéogenèse, de la cétogenèse, de la lipolyse, du catabolisme des protéines et du transport des acides aminés hors de la cellule.
- +L'effet d'un mélange d'insulines humaines provenant de divers fabricants n'a pas été étudié.
- +
-Stabilité
- +Conservation
-Attention! Cette insuline contient 100 U.I./ml. Les cartouches ont été conçues et testées uniquement pour être utilisées avec les Pens Lilly.
-Après l'installation d'une cartouche d'insuline dans le Pen, la durée de conservation de l'insuline à température ambiante (15-25 °C) est de 4 semaines pour les cartouches de 3,0 ml (éviter l'exposition directe aux rayons du soleil). Passé ce délai, la cartouche ne doit plus être utilisée, même si elle contient encore de l'insuline.
- +Attention! Cette insuline contient 100 U.I./ml. Les cartouches ont été exclusivement développées et testées pour être utilisées avec un Pen Lilly.
- +Après l'installation d'une cartouche d'insuline dans le Pen, la durée de conservation de l'insuline à température ambiante (15°-25 °C) est de 4 semaines pour les cartouches de 3,0 ml (éviter l'exposition directe aux rayons du soleil). Passé ce délai, la cartouche ne doit plus être utilisée, même si elle contient encore de l'insuline.
-Après la première utilisation des seringues préremplies, la durée de conservation de l'insuline à température ambiante (15-25 °C) est de 4 semaines (éviter l'exposition directe aux rayons du soleil). Passé ce délai, l'Huminsulin Kwikpen, ne doit plus être utilisé, même s'il contient encore de l'insuline.Ne plus utiliser les conditionnements au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage. .
-Remarques concernant l'utilisation
-Afin de prévenir la transmission éventuelle de maladies, chaque KwikPen ou cartouche ne doit être utilisé que par un seul patient même si l'aiguille a été changée.
- +Après la première utilisation des seringues préremplies, la durée de conservation de l'insuline à température ambiante (15°-25 °C) est de 4 semaines (éviter l'exposition directe aux rayons du soleil). Passé ce délai, le Huminsulin KwikPen ne doit plus être utilisé, même s'il contient encore de l'insuline.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +Remarques sur la manipulation
- +Afin d'éviter une éventuelle transmission de maladies, chaque KwikPen ou cartouche ne doit être utilisé que par une seule personne, même si l'aiguille a été changée.
-L'insuline est injectée par voie sous-cutanée à l'aide d'un Pen Lilly approprié. Avant l'emploi, s'assurer que le mode d'emploi fourni avec le Pen mentionne bien les produits «Huminsulin» ou «Lilly cartouches». A chaque injection, le site d'injection sera changé et le site ne sera pas massé.
-Le produit ne devra pas être injecté par voie intraveineuse. Respecter exactement le mode d'emploi du Pen. Une fois toute l'insuline utilisée, les cartouches ne peuvent pas être remplies de nouveau.
- +L'insuline est injectée par voie sous-cutanée à l'aide d'un Pen Lilly approprié. Avant l'emploi, s'assurer que le mode d'emploi fourni avec le Pen mentionne bien les produits «Huminsulin» ou «cartouches Lilly».
- +Le produit ne devra pas être injecté par voie intraveineuse. A chaque injection, le site d'injection sera changé et le site ne sera pas massé.
- +Avant l'utilisation, on roulera lentement la cartouche entre les paumes des mains et on la retournera une dizaine de fois de 180°, afin de faire rouler la petite bille de verre contenue dans la cartouche d'une extrémité à l'autre de la cartouche. Après avoir été soigneusement mélangée, l'insuline doit présenter un aspect nuageux ou laiteux homogène. Si cela n'est pas le cas, répétez cette opération jusqu'à ce que le contenu soit bien mélangé. Les cartouches contenues dans le Pen doivent être contrôlées régulièrement; en présence de grumeaux ou de particules solides blanches sur le fond ou les parois de la cartouche qui lui confèrent un aspect «givré», elle ne sera plus utilisée. Les cartouches sont construites de façon à empêcher tout mélange avec d'autres insulines dans la cartouche.
- +Une fois toute l'insuline utilisée, les cartouches ne peuvent pas être remplies de nouveau.
- +Le mode d'emploi du Pen concernant l'insertion de la cartouche, la fixation de l'aiguille et l'injection d'insuline doit être exactement suivi.
- +
-Les Huminsulin KwikPen sont des seringues prêtes à l'emploi pour l'application sous-cutanée d'insuline. L'Huminsulin KwikPen ne doit pas être utilisé pour l'injection intraveineuse. A chaque injection, le site d'injection sera changé et le site ne sera pas massé.
-Respecter exactement le mode d'emploi de l'Huminsulin KwikPen.
- +Les Huminsulin KwikPen sont des seringues prêtes à l'emploi pour l'application sous-cutanée d'insuline. L'Huminsulin KwikPen ne doit pas être utilisé pour l'injection intraveineuse. Le point d'injection doit être changé lors de chaque injection et ne doit pas être massé. Avant l'utilisation, on roulera lentement le KwikPen entre les paumes des mains et on la retournera une dizaine de fois de 180°, afin de faire rouler la petite bille de verre contenue dans la cartouche d'une extrémité à l'autre de la cartouche. Après avoir été soigneusement mélangée, l'insuline doit présenter un aspect nuageux ou laiteux homogène. Si cela n'est pas le cas, répétez cette opération jusqu'à ce que le contenu soit bien mélangé. Le KwikPen doit être contrôlée régulièrement; en présence de grumeaux ou de particules solides blanches sur le fond ou les parois de la cartouche qui lui confèrent un aspect «givré», il ne sera plus utilisé.
- +Pour des instructions sur l'administration de l'injection d'insuline, le mode d'emploi de l'Huminsulin KwikPen doit être strictement suivi.
-Cartouches (3,0 ml) pour Pen 3,0 ml: 5 (B)
- +Cartouches (3,0 ml) pour stylo de 3,0 ml. 5 (B)
-Mai 2016.
- +Novembre 2018.
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