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Accueil - Information professionnelle sur Minitran 5 - Changements - 04.07.2017
40 Changements de l'information professionelle Minitran 5
  • -Dose moyenne libérée en 24 heures: 5 mg resp. 10 mg.
  • -Minitran 5 possède une surface de 6,7 cm2 et contient 18 mg de nitroglycérine. La dose moyenne libérée en 24 heures est de 5 mg (correspondant à 0,2 mg/h).
  • -Minitran 10 possède une surface de 13,2 cm2 et contient 36 mg de nitroglycérine. La dose moyenne libérée en 24 heures est de 10 mg (correspondant à 0,4 mg/h).
  • +Minitran 5 possède une surface de 6,7 cm2 et contient 18 mg de nitroglycérine (trinitrate de glycéryle). La dose moyenne libérée en 24 heures est de 5 mg (correspondant à 0,2 mg/h).
  • +Minitran 10 possède une surface de 13,2 cm2 et contient 36 mg de nitroglycérine (trinitrate de glycéryle). La dose moyenne libérée en 24 heures est de 10 mg (correspondant à 0,4 mg/h).
  • -La réponse au traitement par des dérivés nitrés est variable selon les individus. Dans tous les cas, il est conseillé de démarrer le traitement avec la plus faible dose efficace. Pour cette raison, il est opportun de commencer le traitement par une application par jour de Minitran 5 et d'augmenter la dose progressivement, si nécessaire. Le patch doit être renouvelé une fois par jour. Lors de l'administration des dérivés nitrés retard, il a été noté une perte de sensibilité de l'organisme à l'action de ces produits. Des intervalles sans médication nitrée sont recommandés lors d'un traitement par Minitran. Les résultats d'études récentes laissent supposer que l'intervalle devrait être au moins de 8 heures. Le patch devrait être appliqué le matin et retiré pendant la nuit.
  • +Adultes
  • +La réponse au traitement par des dérivés nitrés est variable selon les individus. Dans tous les cas, il est conseillé de prescrire la plus faible dose efficace. Pour cette raison, il est opportun de commencer le traitement par une application par jour de Minitran 5 et d'augmenter la dose quotidienne progressivement, si nécessaire. La dose quotidienne maximale de Minitran ne doit pas dépasser 15 mg de nitroglycérine.
  • +Le patch doit être renouvelé une fois par jour. Lors de l'administration des dérivés nitrés retard, une atténuation de l'effet thérapeutique peut être observée. Pour cette raison, des intervalles sans médication nitrée sont recommandés lors d'un traitement par Minitran. Les résultats d'études récentes laissent supposer que l'intervalle devrait être au moins de 8 heures. Le patch devrait être appliqué le matin et retiré pendant la nuit.
  • -Le patch est à appliquer sur la peau en un endroit sain, sec et propre où la pilosité est rare: thorax ou bras.
  • +Le patch est à appliquer sur la peau en un endroit sain, sec, propre et sans poils: thorax ou bras.
  • -Jeter un patch utilisé de telle sorte qu'un enfant ne puisse pas le trouver.
  • -
  • +Instructions spéciales pour la posologie
  • +Patients âgés
  • +De manière générale, Minitran doit être utilisé avec prudence chez les patients âgés, car ils peuvent être plus sensibles aux traitements par la nitroglycérine.
  • +Enfants et adolescents
  • +
  • -·Hypersensibilité connue au principe actif, aux dérivés nitrés ou à un des excipients,
  • -·anémie grave,
  • -·tension intraoculaire élevée,
  • -·hypertension intracrânienne,
  • -·hypotension artérielle prononcée,
  • -·insuffisance cardiaque aiguë due à une sténose de la valvule aortique ou mitrale, ou à une péricardite constrictive,
  • -·l'administration de Minitran en association avec un inhibiteur de la phosphodiestérase de type 5 (p.ex. sildénafil, vardénafil ou tadalafil) est contre-indiquée car elle risquerait de renforcer l'effet vasodilatateur de l'inhibiteur de la PDE5 et donc entraîner une hypotension sérieuse, souvent réfractaire au traitement (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
  • +·Hypersensibilité connue au principe actif, à d'autres dérivés nitrés ou à l'un des excipients selon la composition,
  • +·Insuffisance circulatoire aigüe (choc, collapsus cardiovasculaire),
  • +·Infarctus du myocarde aigu avec des pressions de remplissage basses (à l'exception des soins intensifs et de la surveillance cardiovasculaire continue),
  • +·Hypotension (pression artérielle systolique inférieure à 90 mmHg),
  • +·Hypovolémie grave,
  • +·Anémie grave,
  • +·Insuffisance cardiaque aigüe suite à une obstruction, telle qu'une sténose aortique ou mitrale ou une péricardite constrictive,
  • +·Insuffisance cardiaque gauche aigüe avec des pressions de remplissage basses (à l'exception des soins intensifs et de la surveillance cardiovasculaire continue),
  • +·Crises aigües d'angor,
  • +·Tension intraoculaire élevée,
  • +·États s'accompagnant d'une hypertension intracrânienne,
  • +·L'administration concomitante de nitroglycérine avec les principes actifs suivants est contre-indiquée (cf. «Mises en garde et précautions» et «Interactions»):
  • +·inhibiteurs de la phosphodiestérase (p.ex. sildénafil, tadalafil, vardénafil),
  • +·riociguat, un stimulateur de la guanylate cyclase soluble.
  • -Prudence: En cas d'inarctus du myocarde récent, n'utiliser Minitran que sous surveillance strict et contrôle médical sévère.
  • -Minitran n'est pas indiqué dans le traitement d'une crise aiguë d'angine de poitrine nécessitant la sédation immédiate de la douleur. A n'utiliser en situation de post-infarctus récent ou en cas d'insuffisance cardiaque congestive que sous surveillance médicale stricte.
  • -Le principe actif peut provoquer une hypotension orthostatique. Il est conseillé d'en informer le patient afin qu'il évite de brusques changements de position au cours du traitement. La prudence s'impose également lors de la conduite de véhicule ou de machines.
  • +Utilisation de Minitran en cas d'infarctus du myocarde récent ou d'insuffisance cardiaque aigüe
  • +En cas d'infarctus du myocarde récent ou d'insuffisance cardiaque aigüe, le traitement par des patchs de nitroglycérine ne doit être utilisé que sous surveillance médicale et/ou hémodynamique clinique étroite en unité de soins intensifs avec surveillance cardiovasculaire continue (cf. «Contre-indications»).
  • +En cas de passage à une autre médication chez les patients traités au long cours par la nitroglycérine, il faut, comme avec les autres médicaments contenant des dérivés nitrés, arrêter progressivement la nitroglycérine et donner transitoirement les deux médicaments à la fois.
  • +En raison de la vasodilatation cérébrale, la nitroglycérine provoque des céphalées dose-dépendantes. Celles-ci disparaissent souvent au bout de quelques jours, même si le traitement est poursuivi. Si les céphalées persistent dans le cadre d'un traitement intermittent, il convient de les traiter avec un analgésique faible. Si les maux de tête ne disparaissent pas, il est nécessaire de réduire la dose de nitroglycérine ou d'arrêter le traitement.
  • +Une légère augmentation réflexe de la fréquence cardiaque peut être évitée par l'administration concomitante d'un bêtabloquant si nécessaire.
  • +Étant donné que les patchs à base de nitroglycérine ne contiennent pas d'aluminium ni d'autres éléments métalliques, il est inutile de les retirer avant la réalisation d'une IRM, d'une diathermie ou d'une cardioversion.
  • +Le principe actif peut provoquer une hypotension orthostatique. Il est conseillé d'en informer le patient afin qu'il évite de brusques changements de position au début du traitement.
  • -L'application de substances à action locale et en particulier de celles à action prolongée, peut provoquer une sensibilisation de la peau. Dans ce cas, il convient d'interrompre le traitement et de prendre les mesures thérapeutiques adéquates.
  • +Une sensibilisation de la peau peut se produire avec des préparations à usage topique, notamment avec celles à libération retardée. Dans ce cas, il convient d'interrompre le traitement et de prendre les mesures thérapeutiques adéquates.
  • +Le patch doit être retiré chez les patients développant une hypotension significative.
  • +Enfants et adolescents
  • +Hypoxémie, déséquilibre du rapport ventilation/perfusion
  • +Le traitement doit être effectué avec prudence chez les patients présentant une hypoxémie d'origine anémique (y compris les formes dues à un déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase), car ces patients présentent une biotransformation diminuée de la nitroglycérine.
  • +La prudence est de rigueur chez les patients présentant une hypoxémie et/ou un déséquilibre du rapport ventilation/perfusion pulmonaire dus à une affection cardiaque ou pulmonaire. Chez ces patients, l'administration de nitroglycérine peut aggraver encore l'hypoxémie et le rapport ventilation/perfusion. En cas de cardiopathie coronaire préexistante, ceci peut provoquer une ischémie myocardique.
  • +Les patients atteints d'angor, d'infarctus du myocarde ou d'ischémie cérébrale souffrent souvent d'anomalies des petites voies aériennes (en particulier d'hypoxie alvéolaire). Dans ce cas, une vasoconstriction intra-pulmonaire se produit afin de dévier la perfusion des zones d'hypoxie alvéolaire vers des régions mieux ventilées du poumon (mécanisme d'Euler–Liljestrand). La nitroglycérine étant un vasodilatateur puissant, elle pourrait inverser cette vasoconstriction protectrice et, par conséquent, se traduire par une perfusion accrue de zones mal ventilées. Ceci aggraverait alors le déséquilibre du rapport ventilation/perfusion et entraînerait une diminution supplémentaire de la pression partielle en oxygène dans le sang artériel.
  • +Cardiomyopathie hypertrophique (CMH)
  • +L'utilisation de dérivés nitrés lors de symptômes d'angor dus à une CMH peut aggraver ceux-ci ou provoquer une hypotension et des syncopes.
  • +Crises d'angor
  • +Il faut tenir compte du fait que la fréquence des crises d'angor peut augmenter pendant les périodes de retrait du patch. Dans ce cas, le recours à un traitement antiangineux concomitant sans dérivés nitrés est recommandé.
  • +Développement d'une tolérance à la nitroglycérine sublinguale
  • +En cas de développement d'une tolérance aux patchs de nitroglycérine, l'effet de la nitroglycérine sublinguale peut être partiellement diminué.
  • -L'administration concomitante de Minitran et d'autres substances ayant une action vasodilatatrice, tels que inhibiteurs calciques, bêta-bloquants, neuroleptiques, diurétiques, antihypertenseurs, antidépresseurs tricycliques, dihydroergotamine et alcool, peut provoquer une baisse de la tension artérielle.
  • -L'action de Minitran peut se trouver diminuée par l'administration concomitante d'acide acétylsalicylique ou d'autres anti-inflammatoires non-stéroïdiens.
  • -Les effets hypotenseurs d'un traitement aigu ou chronique avec des dérivés nitrés ou d'autres donneurs de NO sont renforcés par les inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 (p.ex. sildénafil, vardénafil ou tadalafil). L'administration d'inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 est donc contre-indiquée pendant le traitement par Minitran. Si des inhibiteurs de la PDE5 ont néanmoins été administrés, l'utilisation de Minitran est contre-indiquée durant les 24 heures suivant leur prise.
  • +L'effet hypotenseur des dérivés nitrés et d'autres donneurs de NO en traitement aigu et chronique est renforcé par les inhibiteurs de la phosphodiestérase (p.ex. sildénafil (Viagra®), vardénafil (Levitra®), tadalafil (Cialis®)). De ce fait, la prise d'inhibiteurs de la phosphodiestérase est contre-indiquée pendant le traitement par Minitran. Si des inhibiteurs de la phosphodiestérase ont néanmoins été administrés, l'utilisation de Minitran est contre-indiquée durant les 24 h suivant leur prise.
  • +L'utilisation de la nitroglycérine avec du riociguat, un stimulateur de la guanylate cyclase soluble, est contre-indiquée (cf. «Contre-indications»), car les effets hypotenseurs des médicaments peuvent se renforcer mutuellement.
  • +La prise concomitante d'autres vasodilatateurs, d'antihypertenseurs (p.ex. antagonistes du calcium, inhibiteurs de l'ECA, bêtabloquants), d'antidépresseurs tricycliques, de neuroleptiques, de diurétiques, de tranquillisants et d'alcool peut renforcer l'effet hypotenseur de Minitran.
  • +Lors d'une administration concomitante de dihydroergotamine (DHE), la nitroglycérine peut provoquer une élévation de la concentration de DHE et, par conséquent, renforcer l'effet de celle-ci.
  • +Une prudence particulière est requise, car la DHE antagonise l'effet de la nitroglycérine et peut entraîner un rétrécissement des vaisseaux coronaires.
  • +Il n'est pas exclu que la prise d'anti-rhumatismaux (p.ex. indométacine) diminue l'effet de la nitroglycérine.
  • +Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), sauf l'acide acétylsalicylique, peuvent diminuer l'effet thérapeutique de Minitran.
  • +L'administration concomitante de Minitran et d'amifostine et d'acide acétylsalicylique peut renforcer l'effet hypotenseur de Minitran.
  • +La saproptérine (tétrahydrobioptérine, BH4) est un co-facteur de la synthétase du monoxyde d'azote. La prudence est de rigueur lors de l'administration concomitante de médicaments contenant de la saproptérine et de principes actifs vasodilatateurs qui agissent sur le métabolisme ou sur l'effet du monoxyde d'azote (NO) (y compris les donneurs de NO classiques nitroglycérine, dinitrate d'isosorbide (ISDN), 5-mononitrate d'isosorbide (ISMN) et autres).
  • -Les études contrôlées chez la femme enceinte ou chez l'animal ne sont pas disponibles. Le médicament ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • -Il n'y a pas de données sur le passage du principe actif dans le lait maternel.
  • +Grossesse
  • +Aucune étude contrôlée n'est disponible chez la femme enceinte ou chez l'animal. Le médicament ne doit pas être administré pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité manifeste.
  • +Allaitement
  • +On ignore si le principe actif passe dans le lait maternel. Un risque pour l'enfant allaité ne peut pas être exclu. Il ne faut pas allaiter pendant le traitement par Minitran. La décision d'arrêter l'allaitement ou de suspendre le traitement par Minitran impose une évaluation minutieuse du rapport bénéfice/risque qui tient compte du bénéfice de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice du traitement médicamenteux pour la femme.
  • -Aucune étude correspondante n'a été effectuée.
  • -Les conducteurs de véhicules ou ceux travaillant régulièrement sur des machines et qui doivent être en pleine possession de leur capacité motrice doivent être informés de l'apparition possible de vertiges.
  • +Même en cas d'utilisation conformément aux recommandations, ce médicament peut modifier les réactions au point d'affecter l'aptitude à la conduite et à l'utilisation de machines. Ceci est particulièrement valable en début de traitement et en association avec l'alcool.
  • -La fréquence des effets indésirables est définie comme suit: «très fréquemment» (≥1/10), «fréquemment» (<1/10, ≥1/100), «occasionnellement» (<1/100, ≥1/1000), «rarement» (<1/1000, ≥1/10'000), «très rarement» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (fréquence non évaluable à partir des données disponibles).
  • -Troubles du système nerveux
  • -Fréquemment: céphalées, en particulier après administration de doses élevées (vasodilatation cérébrale). Ces effets disparaissent en règle générale en quelques jours malgré la poursuite du traitement. En cas de céphalées particulièrement intenses, une réduction de la dose ou un arrêt total du traitement peut s'avérer nécessaire. Si les céphalées se manifestent au cours du traitement intermittent, elles doivent être traitées par l'administration d'analgésiques légers. Une non-réponse à ce traitement est un indice en faveur d'une réduction de la dose de nitroglycérine ou d'un arrêt du traitement.
  • -Très rarement: vertiges.
  • -Troubles cardiaques
  • -Rarement: tachycardie. Une légère augmentation réflexe de la fréquence cardiaque peut être évitée, si nécessaire, par l'utilisation d'un bêtabloquant.
  • +La fréquence des effets indésirables est définie comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10'000), «très rares» (<1/10'000), «cas isolés» (fréquence non évaluable à partir des données disponibles).
  • +Affections du système nerveux
  • +Fréquents: céphalées.
  • +Très rares: vertiges.
  • +Cas isolés: syncopes.
  • +Affections cardiaques
  • +Rares: tachycardie.
  • -Troubles vasculaires
  • -Rarement: hypotension orthostatique, sensation de chaleur.
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Très fréquemment: nausées, vomissements.
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • -Occasionnellement: dermatite de contact.
  • -Cas isolés: éruption cutanée généralisée.
  • -Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
  • -Occasionnellement: érythème, prurit, sensation de brûlure, irritation cutanée.
  • -Les légères rougeurs de la peau disparaissent généralement en l'espace de quelques heures après le retrait du patch. Pour éviter les irritations locales, il est recommandé de changer régulièrement le site d'application du patch.
  • +Affections vasculaires
  • +Rares: hypotension orthostatique, sensation de chaleur, rougeurs cutanées fugaces (flush), collapsus (souvent accompagné de troubles du rythme cardiaque, de ralentissement du pouls et d'une perte de connaissance soudaine).
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Très fréquents: nausées, vomissements.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Occasionnels: réactions cutanées allergiques, dermatite de contact.
  • +Cas isolés: éruption cutanée généralisée, dermatite exfoliative.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Occasionnels: érythème au site d'application, prurit, sensation de brûlure, irritation cutanée.
  • +Les légères rougeurs de la peau disparaissent généralement en l'espace de quelques heures après le retrait du patch. Pour limiter les irritations locales, il est recommandé de changer régulièrement le site d'application du patch.
  • -Rarement: fréquence cardiaque accrue.
  • +Rares: fréquence du pouls accrue.
  • -A doses élevées, la nitroglycérine peut parfois provoquer une chute brutale de la tension artérielle allant jusqu'au collapsus. Grâce à la libération contrôlée de nitroglycérine du patch Minitran, un surdosage est très peu probable. Retirer le patch Minitran en cas de suspicion d'un surdosage; en cas d'une éventuelle chute de la tension artérielle avec menace de collapsus, des mesures thérapeutiques adéquates doivent être prises.
  • +Un surdosage n'est possible qu'en cas d'utilisation concomitante de plusieurs patchs de Minitran ou d'application d'un patch de Minitran sur une surface cutanée fortement inflammatoire ou une plaie.
  • +De même, un surdosage est théoriquement possible si le patch est utilisé par des enfants (jeu). Il faut alors ôter le patch immédiatement.
  • +Les principaux symptômes d'un surdosage sont des céphalées et une baisse de la pression artérielle avec tendance au collapsus. En cas de doses très élevées, il faut s'attendre à une tachycardie, un collapsus, une syncope, la formation de méthémoglobine (réversible), une cyanose et une tachypnée.
  • +Mesures thérapeutiques
  • +Les mesures thérapeutiques doivent principalement viser à faire remonter la pression artérielle. Dans les cas bénins, l'installation du patient en position horizontale avec les jambes surélevées et la mise en place d'un bandage de compression au niveau des jambes permettent généralement la disparition des symptômes.
  • +En l'absence d'un antidote spécifique, une intoxication grave exige l'application des directives générales relatives au traitement des intoxications et du choc (hospitalisation).
  • +Une méthémoglobinémie est traitée, le cas échéant, par des substances d'oxydoréduction (bleu de toluidine à 4%).
  • +Le traitement d'une méthémoglobinémie par du bleu de méthylène est contre-indiqué chez les patients souffrant d'un déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase ou d'un déficit en méthémoglobine réductase (cf. «Mises en garde et précautions»). Dans les cas où ces méthodes thérapeutiques sont contre-indiquées ou inefficaces, une exsanguino-transfusion et/ou une transfusion de concentrés érythrocytaires sont recommandées.
  • -La nitroglycérine dilate la musculature lisse. Le mécanisme du relâchement qui s'ensuit n'est pas connu. La nitroglycérine ne possède aucune propriété inotrope ou chronotrope sur l'activité cardiaque. Son effet sur le volume-minute du coeur est uniquement le résultat de son action sur la capacité veineuse et sur la résistance des vaisseaux artériolaires. Ces effets sur la précharge et la postcharge conduisent à une diminution de la consommation en oxygène du myocarde et sont principalement responsables du méchanisme permettant à la nitroglycérine d'améliorer les symptômes de l'angine de poitrine.
  • -Les effets indésirables comme céphalées, sensation de chaleur, vertige, hypotension posturale et tachycardie sont également le résultat de l'effet relâchant sur la musculature lisse.
  • -Pharmacodynamie
  • +La nitroglycérine dilate la musculature lisse. Le mécanisme du relâchement qui s'ensuit n'est pas connu. La nitroglycérine ne possède aucune propriété inotrope ou chronotrope sur l'activité cardiaque. Son effet sur le volume-minute du cœur est uniquement le résultat de son action sur la capacité veineuse et sur la résistance des vaisseaux artériolaires. Ces effets sur la précharge et la postcharge conduisent à une diminution de la consommation en oxygène du myocarde et sont principalement responsables du mécanisme permettant à la nitroglycérine d'améliorer les symptômes de l'angine de poitrine.
  • +Les effets indésirables tels que céphalées, sensation de chaleur, vertige, hypotension posturale et tachycardie sont également le résultat de l'effet de relâchement produit sur la musculature lisse.
  • +Pharmacodynamique
  • -La distribution de la nitroglycérine dans le corps est bonne. Chez l'homme adulte, la nitroglycérine montre un volume de distribution de 200 l. Il n'y a pas de données sur le passage de la nitroglycérine dans le lait maternel. A des concentrations plasmatiques de 50–500 ng/ml la liaison aux protéines de la nitroglycérine est de l'ordre de 60% environ. Les métabolites actifs, le 1,3-glycéryldinitrate et le 1,2-glycéryldinitrate, sont liés à respectivement 60% et 30% aux protéines plasmatiques.
  • +La distribution de la nitroglycérine dans le corps est bonne. Chez l'homme adulte, la nitroglycérine montre un volume de distribution de 200 l. On ignore si la nitroglycérine passe dans le lait maternel. A des concentrations plasmatiques de 50–500 ng/ml la liaison aux protéines de la nitroglycérine est de l'ordre de 60% environ. Les métabolites actifs, le 1,3-glycéryldinitrate et le 1,2-glycéryldinitrate, sont liés à respectivement 60% et 30% aux protéines plasmatiques.
  • -La nitroglycérine est métabolisée en 1,3-glycéryldinitrate, 1,2-glycéryldinitrate et glycérylmononitrate. Le principal métabolite, glycérylmononitrate, est inactif.
  • +La nitroglycérine est métabolisée en 1,3-glycéryldinitrate, 1,2-glycéryldinitrate et glycérylmononitrate. Le principal métabolite, le glycérylmononitrate, est inactif.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Conserver à température ambiante (ne dépassant pas 25 °C), à l'abri de la lumière et de l'humidité.
  • -Tenir hors de la portée des enfants.
  • +Ne pas conserver au-dessus de 25 °C. Conserver à l'abri de la lumière et au sec.
  • +Tenir hors de portée des enfants.
  • -Août 2013.
  • +Avril 2017.
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