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Accueil - Information professionnelle sur Sevredol 10 mg - Changements - 24.12.2020
82 Changements de l'information professionelle Sevredol 10 mg
  • -Principe actif: morphini sulfas pentahydricus.
  • +Principes actifs
  • +Morphini sulfas pentahydricus.
  • -Comprimés filmés
  • -Sevredol 10 mg: lactosum monohydricum, color.: E 133 (bleu brillant FCF), excip. pro compresso obducto.
  • -Sevredol 20 mg: lactosum monohydricum, color.: E 110 (jaune orangé S), E 127 (érythrosine), excip. pro compresso obducto.
  • -Suppositoires
  • -Excipiens pro suppositorio.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Sevredol 10 mg (sécable): comprimé filmé bleu, biconvexe, en forme de capsule, avec une rainure de fragmentation et portant la mention «IR» et «10» sur une face, contient 10 mg de sulfate de morphine pentahydraté, équivalant à 7,5 mg de morphine.
  • -Sevredol 20 mg (sécable): comprimé filmé rose, biconvexe, en forme de capsule, avec une rainure de fragmentation et portant la mention «IR» et «20» sur une face, contient 20 mg de sulfate de morphine pentahydraté, équivalant à 15 mg de morphine.
  • -Sevredol suppositoires contient 10 mg, 20 mg ou 30 mg de sulfate de morphine pentahydraté, équivalant à 7,5 mg, 15 mg ou 22,5 mg de morphine.
  • -
  • +Sevredol 10 mg: lactose (207,50 mg par comprimé filmé), amidon de maïs prégélatinisé, povidone K25, talc, stéarate de magnésium, hypromellose, dioxyde de titane (E 171), macrogol 400, bleu brillant FCF (E 133).
  • +Sevredol 20 mg: lactose (197,50 mg par comprimé filmé), amidon de maïs prégélatinisé, povidone K25, talc, stéarate de magnésium, alcool polyvinylique partiellement hydrolysé, dioxyde de titane (E 171), macrogol 3350, érythrosine (E 127), jaune orangé S (E 110) (0,02 mg par comprimé filmé).
  • +
  • +
  • -Mode d'administration
  • -Les comprimés filmés peuvent être pris pendant ou entre les repas, avec un volume suffisant de liquide.
  • -Les comprimés filmés disposent d'une rainure de fragmentation et peuvent être divisés pour ajuster la dose.
  • -Les suppositoires sont introduits par voie rectale.
  • -Posologie
  • +Posologie usuelle
  • -La dose initiale chez les patients qui n'ont jamais été traités par des opioïdes est généralement de 10 mg toutes les 4 heures.
  • +La dose initiale habituelle chez les patients qui n'ont jamais été traités par des opioïdes est de 10 mg toutes les 4 heures.
  • -La dose journalière sera augmentée progressivement jusqu'à atteindre une analgésie suffisante avec deux administrations maximum du médicament de réserve.
  • +La dose journalière est progressivement augmentée jusqu'à atteindre une analgésie suffisante avec un maximum de deux administrations de réserve.
  • -Une alternative consiste à corriger tous les jours la dose journalière sur base de la réserve utilisée la veille. Les doses unitaires toutes les 4 heures s'obtiennent à partir de la dose journalière nouvellement calculée, répartie en 6 doses unitaires toutes les 4 heures.
  • -La dose d'entretien est alors atteinte lorsque la dose journalière reste constante pendant 2-3 jours (c'est-à-dire avec maximum 2 prises de réserve).
  • +Une alternative consiste à corriger tous les jours la dose journalière sur base de la réserve utilisée la veille. Les doses unitaires toutes les 4 heures s'obtiennent à partir de la dose journalière nouvellement calculée, divisée en 6 doses unitaires toutes les 4 heures.
  • +La dose d'entretien est atteinte lorsque la dose journalière reste constante pendant 2-3 jours (c'est-à-dire avec maximum 2 prises de réserve).
  • -Sevredol ne doit pas être administré plus longtemps qu'absolument nécessaire. Si un traitement prolongé de la douleur est nécessaire, en raison de la nature et de la sévérité de la maladie, une surveillance attentive et régulière doit être mise en place pour déterminer dans quelle mesure il faut poursuivre le traitement. Quand le recours aux opioïdes n'est plus indiqué, le traitement doit être arrêté de manière progressive (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Instructions spéciales pour la posologie
  • +Sevredol ne doit pas être administré plus longtemps qu'absolument nécessaire. Si un traitement prolongé de la douleur est nécessaire, en raison de la nature et de la sévérité de la maladie, une surveillance attentive et régulière doit être mise en place pour déterminer dans quelle mesure il faut poursuivre le traitement. Quand le recours aux opioïdes n'est plus indiqué, le traitement doit être arrêté de manière progressive (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Chez les patients ayant une insuffisance hépatique sévère, la dose doit être réduite et augmentée avec une prudence particulière (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Chez les patients ayant une insuffisance rénale, la dose doit être réduite et augmentée avec une prudence particulière (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Patients âgés
  • +La posologie doit être adaptée en fonction de la situation individuelle de chaque patient et du ressenti subjectif (voir «Phamacocinétique»).
  • -Sevredol 10 mg comprimés filmés
  • -La sécurité et l'efficacité de Sevredol comprimés ne sont pas encore suffisamment documentées pour les enfants de moins de 3 ans. Les données disponibles sont limitées (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • -Sevredol suppositoires
  • -La sécurité et l'efficacité de Sevredol suppositoires ne sont pas encore suffisamment documentées pour les enfants de moins de 12 ans. Les données disponibles sont limitées.
  • -Patients âgés
  • -La posologie doit être adaptée en fonction de la situation individuelle de chaque patient et du ressenti subjectif (voir rubrique «Phamacocinétique»).
  • -Insuffisance hépatique et rénale
  • -Chez les patients ayant une insuffisance hépatique sévère ou une insuffisance rénale, la dose doit être réduite, puis augmentée avec une prudence particulière (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • +La sécurité et l'efficacité de Sevredol comprimés ne sont pas suffisamment documentées pour les enfants de moins de 3 ans. Les données disponibles sont limitées (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Mode d'administration
  • +Les comprimés filmés peuvent être pris pendant ou entre les repas, avec un volume suffisant de liquide.
  • +Les disposent d'une rainure de fragmentation et peuvent être coupés en deuxpour ajuster la dose.
  • -Tout comme pour d'autres médicaments opioïdes, la survenue d'une dépression respiratoire constitue le principal risque en cas de surdosage (voir rubrique «Surdosage»).
  • +Tout comme pour d'autres médicaments opioïdes, la survenue d'une dépression respiratoire constitue le principal risque en cas de surdosage (voir «Surdosage»).
  • -·prise concomitante de substances à effet dépresseur central ou d'inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) (voir rubrique «Interactions»),
  • -·allaitement (voir rubrique «Grossesse/Allaitement»).
  • +·prise concomitante de substances à effet dépresseur central ou d'inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) (voir «Interactions»),
  • +·allaitement (voir «Grossesse, Allaitement»).
  • +L'utilisation concomitante de morphine et de médicaments sédatifs tels que des benzodiazépines ou des médicaments apparentés peut entraîner une sédation, une dépression respiratoire, un coma et le décès. Du fait de ces risques, la prescription concomitante de morphine avec ces médicaments sédatifs est uniquement indiquée pour les patients pour lesquels on ne dispose d'aucune autre alternative. Lorsqu'une telle prescription est néanmoins jugée nécessaire, il convient d'utiliser la dose efficace la plus faible et de limiter autant que possible la durée du traitement.
  • +Les patients doivent faire l'objet d'une surveillance étroite afin de détecter les signes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation. Dans ce contexte, il est instamment recommandé d'informer les patients et leurs proches de ces symptômes (voir «Interactions»).
  • -L'emploi préopératoire de Sevredol n'est pas recommandé. La prudence est de rigueur lors de l'utilisation de Sevredol pendant les premières 24 heures après l'opération. Après une intervention abdominale, Sevredol ne doit être instauré qu'après normalisation de la motilité gastro-intestinale. Le moment de la première prise de Sevredol après l'intervention chirurgicale est déterminé à partir d'une évaluation approfondie des bénéfices et des risques pour chaque patient et dépend du type et de l'étendue de l'intervention chirurgicale, des moyens anesthésiques utilisés, des traitements concomitants et de l'état général du patient.
  • -Les opioïdes, tels que la morphine, peuvent influer sur l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien ou gonadique. Certaines modifications peuvent être observées telles qu’une élévation de la prolactine sérique et une diminution du taux plasmatique de cortisol et de testostérone. Ces modifications hormonales peuvent se manifester par des symptômes cliniques.
  • +L'emploi préopératoire de Sevredol n'est pas recommandé. La prudence est de rigueur lors de l'utilisation de Sevredol pendant les premières 24 heures après l'opération. Après une intervention abdominale, Sevredol ne doit être instauré qu'après normalisation de la motilité gastrointestinale. Le moment de la première prise de Sevredol après l'intervention chirurgicale est déterminé à partir d'une évaluation approfondie des bénéfices et des risques pour chaque patient et dépend du type et de l'étendue de l'intervention chirurgicale, des moyens anesthésiques utilisés, des traitements concomitants et de l'état général du patient.
  • +La prudence est de mise en cas de changement de traitement vers une autre forme pharmaceutique et/ou un autre médicament contenant le même principe actif. Le patient doit alors faire l'objet d'une surveillance adaptée (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Les opioïdes, tels que la morphine, peuvent influer sur l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien ou gonadique. Certaines modifications peuvent être observées telles qu'une élévation de la prolactine sérique et une diminution du taux plasmatique de cortisol et de testostérone. Ces modifications hormonales peuvent se manifester par des symptômes cliniques.
  • -Les comprimés filmés de Sevredol contiennent du lactose. Leur prise est déconseillée chez les patients présentant une rare intolérance héréditaire au galactose, un déficit en lactase ou une malabsorption du glucose-galactose.
  • -Les comprimés filmés à 20 mg de Sevredol contiennent le colorant azoïque jaune orangé S (E 110). Les comprimés filmés à 20 mg de Sevredol doivent être utilisés avec précaution chez les patients souffrant d'une hypersensibilité aux colorants azoïques, à l'acide acétylsalicylique et à d'autres inhibiteurs des prostaglandines.
  • +Les comprimés filmés de Sevredol contiennent du lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne devraient pas prendre Sevredol.
  • +Les comprimés filmés à 20 mg de Sevredol contiennent le colorant azoïque jaune orangé S (E 110). Les comprimés filmés à 20 mg de Sevredol doivent être utilisés avec précaution chez les patients souffrant d'une hypersensibilité aux colorants azoïques, à l'acide acétylsalicylique et à d'autres inhibiteurs des prostaglandines.
  • -Les substances à effet dépresseur central telles que benzodiazépines, barbituriques, autres opioïdes, alcool, neuroleptiques (phénothiazines), antidépresseurs tricycliques, antihistaminiques H1 sédatifs, antiémétiques à action centrale, gabapentine, prégabaline, anesthésiques, sédatifs, hypnotiques ou anxiolytiques peuvent augmenter le risque de dépression respiratoire, d'hypotension et de déficit d'attention. Dans les cas graves, une sédation prononcée, le coma et la mort peuvent survenir.
  • -Si un traitement en association est envisagé, il convient de prendre en considération une réduction de la dose d'une des substances ou des deux et de surveiller régulièrement les patients pour repérer les signes de dépression respiratoire, de sédation et d'hypotension.
  • -La consommation concomitante d'alcool est à proscrire (voir également rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Après la prise concomitante de péthidine et d'un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), des cas graves d'interactions affectant le système nerveux central et les fonctions respiratoire et circulatoire ont été observés. On ne peut exclure un potentiel d'interaction semblable avec Sevredol. Sevredol n'est pas indiqué en association avec des IMAO ou dans un intervalle de 14 jours après l'arrêt d'un tel traitement (voir également rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +L'utilisation concomitante d'opioïdes avec des médicaments sédatifs tels que des benzodiazépines ou médicaments apparentés augmente le risque de sédation, dépression respiratoire, coma et décès en raison d'un effet dépresseur supplémentaire sur le SNC.
  • +Les substances ayant un effet dépresseur sur le SNC sont notamment les autres opioïdes, l'alcool, les antipsychotiques, les neuroleptiques (phénothiazines), les antidépresseurs tricycliques, les antihistaminiques H1 avec effet sédatif, les antiémétiques avec action centrale, les gabapentinoïdes (gabapentine, prégabaline), les anesthésiques (p.ex. barbituriques), les sédatifs (y compris benzodiazépines), les hypnotiques ou les anxiolytiques.
  • +Lorsqu'une telle association est indiquée, il convient de réduire la posologie d'une des substances ou des deux, de limiter la durée du traitement et de surveiller régulièrement les patients pour repérer les signes de dépression respiratoire, de sédation et d'hypotension (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +La consommation concomitante d'alcool est à proscrire (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • +Après la prise concomitante de péthidine et d'un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), des cas graves d'interactions affectant le système nerveux central et les fonctions respiratoire et circulatoire ont été observés. On ne peut exclure un potentiel d'interaction semblable avec Sevredol. Sevredol n'est pas indiqué en association avec des IMAO ou dans un intervalle de 14 jours après l'arrêt d'un tel traitement (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, allaitement
  • -La morphine passe la barrière placentaire. Des signes d'atteinte de l'embryon et du fÅ“tus dans l'utérus (voir rubrique «Données précliniques») ont été constatés lors d'essais réalisés chez l'animal avec de la morphine administrée à haute dose. On ne dispose pas de données suffisantes chez l'être humain qui permettraient d'évaluer de manière concluante un risque tératogène possible. L'existence d'une relation possible avec une augmentation de la fréquence des hernies inguinales a toutefois été rapportée.
  • +La morphine passe la barrière placentaire. Des signes d'atteinte de l'embryon et du fÅ“tus dans l'utérus (voir «Données précliniques») ont été constatés lors d'essais réalisés chez l'animal avec de la morphine administrée à haute dose. On ne dispose pas de données suffisantes chez l'être humain qui permettraient d'évaluer de manière concluante un risque tératogène possible. L'existence d'une relation possible avec une augmentation de la fréquence des hernies inguinales a toutefois été rapportée.
  • -Une aménorrhée, une baisse de la libido et des troubles de l'érection ont été décrits comme des effets indésirables possibles de la morphine (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient d'expliquer au patient qu'un risque de grossesse existe même en cas d'aménorrhée et qu'une contraception efficace est par conséquent nécessaire.
  • -Les expérimentations animales ont montré que la morphine peut altérer la fertilité (voir rubrique «Données précliniques»).
  • +Une aménorrhée, une baisse de la libido et des troubles de l'érection ont été décrits comme des effets indésirables possibles de la morphine (voir «Effets indésirables»). Il convient d'expliquer au patient qu'un risque de grossesse existe même en cas d'aménorrhée et qu'une contraception efficace est par conséquent nécessaire.
  • +Les expérimentations animales ont montré que la morphine peut altérer la fertilité (voir «Données précliniques»).
  • -Les fréquences sont définies comme suit: «très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (≥1/100, <1/10), «occasionnel» (≥1/1000, <1/100), «rare» (≥1/10 000, <1/1000), «très rare» (<1/10 000), «fréquence inconnue» (ne peut être estimée à partir des données disponibles).
  • -Troubles du système immunitaire
  • +Les fréquences sont définies comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100), «rares» (≥1/10 000 à <1/1000), «très rares» (<1/10 000), «fréquence inconnue» (ne peut être estimée à partir des données disponibles).
  • +Affections du système immunitaire
  • -Troubles psychiatriques
  • +Affections psychiatriques
  • -Troubles du système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Troubles oculaires
  • +Affections oculaires
  • -Troubles de l'oreille et du conduit auditif
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • -Troubles cardiaques
  • +Affections cardiaques
  • -Troubles vasculaires
  • +Affections vasculaires
  • -Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Troubles hépato-biliaires
  • +Affections hépatobiliaires
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Troubles des organes de reproduction et du sein
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Symptômes
  • +Signes et symptômes
  • -Il convient de surveiller la respiration et l'état de conscience. En cas de dépression respiratoire ou du SNC cliniquement significative, pratiquer la respiration artificielle, stabiliser la circulation et administrer la naloxone.
  • +Il convient de surveiller la respiration et l'état de conscience. En cas de dépression respiratoire ou du SNC cliniquement significative, pratiquer la respiration artificielle, stabiliser la circulation et administrer de la naloxone.
  • -Dans des cas spécifiques, on peut envisager une désintoxication primaire avec du charbon actif ou une vidange rectale en cas d'administration rectale.
  • +Dans des cas spécifiques, on peut envisager une désintoxication primaire avec du charbon actif.
  • -Code ATC: N02AA01
  • +Code ATC
  • +N02AA01
  • +Mécanisme d'action
  • +Pharmacodynamique
  • +
  • -Par l'intermédiaire des récepteurs aux opioïdes périphériques, la morphine soutient l'action analgésique, entraîne une réduction de la motilité et une augmentation du tonus des muscles lisses du tractus gastro-intestinal (constipation spastique), une contraction des sphincters des voies biliaires, une augmentation du tonus de la musculature de la vessie et du sphincter vésical, un ralentissement de la vidange gastrique par constriction du pylore, une rougeur du visage, un urticaire et un prurit par libération d'histamine, des bronchospasmes chez les asthmatiques ou des changements hormonaux (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Par l'intermédiaire des récepteurs aux opioïdes périphériques, la morphine soutient l'action analgésique, entraîne une réduction de la motilité et une augmentation du tonus des muscles lisses du tractus gastro-intestinal (constipation spastique), une contraction des sphincters des voies biliaires, une augmentation du tonus de la musculature de la vessie et du sphincter vésical, un ralentissement de la vidange gastrique par constriction du pylore, une rougeur du visage, un urticaire et un prurit par libération d'histamine, des bronchospasmes chez les asthmatiques ou des changements hormonaux (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Efficacité clinique
  • +Aucune information spécifique.
  • +
  • -La biodisponibilité absolue de la morphine après administration rectale est d'environ 30 à 70%.
  • -Deux études pharmacocinétiques (à chaque fois, n=6) ont examiné l'administration unique de Sevredol 20 mg comprimés filmés et de Sevredol 10 mg suppositoires. Pour les deux formes galéniques, les concentrations maximales de morphine dans le plasma sont atteintes après environ 1 heure. Les valeurs consignées sont présentées ci-après.
  • - Sevredol 20 mg comprimés filmés à jeun Sevredol 10 mg suppositoires
  • -Cmax [ng/ml] Moyenne (écart-type) 23,5 (7,3) 15,3 (9,9)
  • -tmax [h] Médiane (fourchette) 1,1 (0,8-2,0) 0,8 (0,5-0,8)
  • -AUC0–t [ng/ml × h] Moyenne géométrique (écart-type) 64,7 (1,24) 47,4 (1,46)
  • +Une étude pharmacocinétique (à chaque fois, n=6) ont examiné l'administration unique de Sevredol 20 mg comprimés filmés.Les concentrations maximales de morphine dans le plasma sont atteintes après environ 1 heure. Les valeurs consignées sont présentées ci-après.
  • + Sevredol 20 mg comprimés filmés à jeun
  • +Cmax [ng/ml] Moyenne (écart-type) 23,5 (7,3)
  • +tmax [h] Médiane (fourchette) 1,1 (0,8-2,0)
  • +AUC0–t [ng/ml×h] Moyenne géométrique (écart-type) 64,7 (1,24)
  • -Après application rectale, la formation de métabolites glucuronidés est plus faible qu'après application orale du fait de l'absence de métabolisme de premier passage.
  • -Elimination
  • -La demi-vie d'élimination de la morphine après une administration orale, rectale et intraveineuse est de 2-4 heures et la clairance plasmatique totale est de 15-30 ml/min/kg. La morphine est principalement éliminée par les reins sous forme de morphine-glucuronide. Environ 7 à 10% de la morphine administrée sont excrétés par la bile avec les fèces.
  • +Ãlimination
  • +La demi-vie d'élimination de la morphine après une administration orale et intraveineuse est de 2-4 heures et la clairance plasmatique totale est de 15-30 ml/min/kg. La morphine est principalement éliminée par les reins sous forme de morphine-glucuronide. Environ 7 à 10% de la morphine administrée sont excrétés par la bile avec les fèces.
  • -Pédiatrie
  • -La clairance est fortement réduite chez les nouveau-nés et s'élève à environ 5 ml/kg/min. La clairance de la morphine atteint chez les jeunes enfants âgés de 6 à 30 mois des taux semblables à ceux observés chez les adultes. Le volume de distribution est indépendant de l'âge. En raison des fortes différences interindividuelles, une titration de la dose s'impose dans tous les cas.
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Les patients atteints de cirrhose hépatique montrent des modifications au niveau de la pharmacocinétique de la morphine. De ce fait, la demi-vie plasmatique de la morphine est prolongée du fait d'une réduction de la glucurono-conjugaison et de la clairance. De même, le rapport M3G et M6G / morphine dans le plasma est abaissé, ce qui suggère une activité métabolique réduite.
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Les patients atteints d'insuffisance rénale présentent des modifications au niveau de la pharmacocinétique de la morphine. L'AUC plasmatique est augmentée et la clairance est réduite. Par rapport aux personnes ayant une fonction rénale normale, les patients atteints d'insuffisance rénale sévère présentent également des concentrations plasmatiques significativement accrues de M3G et de M6G.
  • -Insuffisance hépatique
  • -Les patients atteints de cirrhose hépatique montrent des modifications au niveau de la pharmacocinétique de la morphine. De ce fait, la demi-vie plasmatique de la morphine est prolongée du fait d'une réduction de la glucurono-conjugaison et de la clairance. De même, le rapport M3G et M6G/morphine dans le plasma est abaissé, ce qui suggère une activité métabolique réduite.
  • -Insuffisance rénale
  • -Les patients atteints d'insuffisance rénale présentent des modifications au niveau de la pharmacocinétique de la morphine. L'AUC plasmatique est augmentée et la clairance est réduite. Par rapport aux personnes ayant une fonction rénale normale, les patients atteints d'insuffisance rénale sévère présentent également des concentrations plasmatiques significativement accrues de M3G et de M6G.
  • +Enfants et adolescents
  • +La clairance est fortement réduite chez les nouveau-nés et s'élève à environ 5 ml/kg/min. La clairance de la morphine atteint chez les jeunes enfants âgés de 6 à 30 mois des taux semblables à ceux observés chez les adultes. Le volume de distribution est indépendant de l'âge. En raison des fortes différences interindividuelles, une titration de la dose s'impose dans tous les cas.
  • -Conservation
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Comprimés filmés: ne pas conserver au-dessus de 30 °C. Tenir hors de portée des enfants.
  • -Suppositoires: conserver à température ambiante (15–25 °C) et hors de portée des enfants.
  • +Stabilité
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Ne pas conserver au-dessus de 30°.
  • +Conserver hors de portée des enfants.
  • -52076 (comprimés filmés), 51590 (suppositoires) (Swissmedic).
  • +52076 (Swissmedic).
  • -Sevredol 10 mg, 20 mg et 30 mg, suppositoires: 12 [A+]
  • -Septembre 2019.
  • +Juillet 2020.
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