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Accueil - Information professionnelle sur Visipaque 150 mg/mL - Changements - 10.10.2023
154 Changements de l'information professionelle Visipaque 150 mg/mL
  • -On utilise en général les mêmes quantités et les mêmes concentrations d’iode que pour d’autres produits de contraste radio-opaques iodés courants. Certaines études sur les injections d’iodixanol montrent qu’une concentration d’iode un peu plus faible donne également de bons résultats diagnostiques. En cas de fonction rénale réduite, d'insuffisance cardiovasculaire ou de mauvais état général, la dose de produit de contraste doit être maintenue aussi faible que possible (voir «Mises en garde et précautions»). Chez ces patients, il est conseillé de surveiller la fonction rénale pendant au moins trois jours après l’examen.
  • +On utilise en général les mêmes quantités et les mêmes concentrations d’iode que pour d’autres produits de contraste radio-opaques iodés courants. Certaines études sur les injections d’iodixanol montrent qu’une concentration d’iode un peu plus faible donne également de bons résultats diagnostiques. En cas de fonction rénale réduite, dinsuffisance cardiovasculaire ou de mauvais état général, la dose de produit de contraste doit être maintenue aussi faible que possible (voir «Mises en garde et précautions»). Chez ces patients, il est conseillé de surveiller la fonction rénale pendant au moins trois jours après l’examen.
  • -Les recommandations posologiques s'appliquent également aux patients âgés, en faisant preuve d’une attention particulière.
  • +Les recommandations posologiques sappliquent également aux patients âgés, en faisant preuve d’une attention particulière.
  • -Myélographie lombaire et thoracique (injection lombaire) 270 mg l/ml ou 320 mg l/ml 10-12 ml(3) 10 ml(3)
  • +Myélographie lombaire et thoracique (injection lombaire) 270 mg l/mg ou 320 mg l/ml 10-12 ml(3) 10 ml(3)
  • - > 7 kg 270/320 mg l/ml 2-3 ml/kg de poids corporel Toutes les doses dépendent de lâge, du poids et de la pathologie (dose max. de 50 ml).
  • + > 7 kg 270/320 mg l/ml 2-3 ml/kg de poids corporel Toutes les doses dépendent de lâge, du poids et de la pathologie (dose max. de 50 ml).
  • -Des réactions anaphylactoïdes, le cas échéant associées à des symptômes cardiovasculaires (choc) ou respiratoires (œdème du larynx, bronchospasme) menaçant le pronostic vital, ainsi qu’à des symptômes abdominaux, de l’urticaire, un angiœdème ou des symptômes neurologiques, peuvent survenir et d’autres manifestations d’hypersensibilité peuvent être provoquées lors de l’administration de produits de contraste iodés (voir les rubriques «Posologie/Mode d’emploi», «Effets indésirables»).
  • -·Une hydratation adéquate avant et après l’administration du produit de contraste doit être garantie. Un équilibre hydrique et électrolytique perturbé doit être compensé avant de débuter l’examen. Si nécessaire, une hydratation intraveineuse doit être administrée jusqu’à l’élimination complète du produit de contraste. Ceci est particulièrement important pour les patients atteints de myélome multiple, de diabète sucré et de troubles de la fonction rénale, mais également pour les nourrissons, les enfants en bas âge et les patients âgés. Les enfants en bas âge (< 1 an) et surtout les nouveau-nés réagissent de façon particulièrement sensible aux troubles électrolytiques et aux variations de la pression artérielle.
  • -·Réduire la posologie à un minimum. L’apport en produit de contraste doit être interrompu immédiatement et, si nécessaire, un traitement ciblé doit être mis en œuvre avec un accès veineux.
  • -·Une surcharge des reins, p. ex. par l’administration de préparations néphrotoxiques, de préparations orales pour une cholécystographie, la pose de clamps artériels, une angioplastie artérielle rénale ou des interventions chirurgicales importantes, doit être évitée jusqu’à ce que le produit de contraste soit éliminé par voie rénale; un nouvel examen avec produit de contraste sera différé jusqu’à ce que la fonction rénale soit revenue à sa valeur initiale.
  • -·Durée d’observation: Après l’administration du produit de contraste, le patient doit rester sous surveillance pendant au moins 30 à 60 minutes, étant donné que la majorité des effets indésirables graves se manifestent dans ce délai (voir la rubrique «Effets indésirables»). L’expérience a montré que des réactions d’hypersensibilité tardives peuvent survenir encore plusieurs heures voire plusieurs jours après l’injection. Le patient doit être informé de manière adéquate des symptômes et des mesures à prendre en cas d’apparition de réactions tardives.
  • -·Extravasation: En cas d’extravasation, on peut supposer qu’en raison de son isotonie au sang, Visipaque entraîne des douleurs locales et des œdèmes extravasculaires moins importants que l’administration de produits de contraste hyperosmolaires par rapport au sang. Une injection paravasale accidentelle se résorbe généralement sans causer de dommages permanents. La plupart du temps, un traitement standard est suffisant. Néanmoins, on a déjà observé des inflammations et même des nécroses tissulaires. La zone atteinte doit alors être surélevée et refroidie avec les mesures habituelles. En cas de syndrome des loges, une décompression chirurgicale peut s’avérer nécessaire.
  • -Réactions d’hypersensibilité
  • -Une prudence particulière s’impose en cas d’allergie connue, d’asthme ou de réactions aux produits de contraste iodés difficiles à traiter. Dans ces cas, un traitement préalable par des corticostéroïdes et/ou des antihistaminiques doit être envisagé.
  • -Des symptômes atypiques de réactions d’hypersensibilité, susceptibles d’être interprétés à tort comme étant une réaction vagale, peuvent se manifester chez les patients traités par des bêtabloquants. Chez les patients atteints d’asthme bronchique, le risque de survenue de bronchospasmes est particulièrement accru. L’utilisation de bêtabloquants peut abaisser le seuil de sensibilité des réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes et en particulier des bronchospasmes chez les asthmatiques après l’administration de produit de contraste. La gravité des réactions déclenchées peut augmenter, en particulier chez les asthmatiques. Une réponse à un traitement par l’adrénaline peut être diminuée.
  • +Préparation aux situations d’urgence: Des réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes fatales, le cas échéant associées à de sévères symptômes cardiovasculaires (choc) ou respiratoires (œdème du larynx, bronchospasme) menaçant le pronostic vital, ainsi qu’à des symptômes abdominaux, de l’urticaire, un angiœdème ou des symptômes neurologiques, peuvent survenir et d’autres manifestations d’hypersensibilité peuvent être provoquées lors de l’administration de produits de contraste iodés (voir «Posologie/Mode d’emploi» et «Effets indésirables»). Indépendamment de la quantité et du mode d’administration, des symptômes allergoïdes même mineurs peuvent être les premiers signes d’une réaction anaphylactoïde grave nécessitant un traitement. Il est recommandé d’utiliser une canule souple à demeure ou un cathéter (pour un accès intraveineux rapide) pendant toute la durée de l’examen radiologique.
  • +Un équipement pour des mesures avancées de maintien des fonctions vitales doit être disponible à tout moment.
  • +Une hydratation adéquate avant et après l’administration du produit de contraste doit être garantie. Un équilibre hydrique et électrolytique perturbé doit être compensé avant de débuter l’examen. Si nécessaire, une hydratation intraveineuse doit être administrée jusqu’à l’élimination complète du produit de contraste. Ceci est particulièrement important pour les patients atteints de myélome multiple, de diabète sucré, d’hyperuricémie et de troubles de la fonction rénale, mais également pour les nourrissons, les enfants en bas âge et les patients âgés. Les enfants en bas âge (< 1 an) et surtout les nouveau-nés réagissent de façon particulièrement sensible aux troubles électrolytiques et aux variations de la pression artérielle.
  • +Réduire la posologie à un minimum.
  • +Une surcharge des reins, p. ex. par l’administration de préparations néphrotoxiques, de préparations orales pour une cholécystographie, la pose de clamps artériels, une angioplastie artérielle rénale ou des interventions chirurgicales importantes, doit être évitée jusqu’à ce que le produit de contraste soit éliminé par voie rénale; un nouvel examen avec produit de contraste sera différé jusqu’à ce que la fonction rénale soit revenue à sa valeur initiale.
  • +Durée d’observation: Après l’administration du produit de contraste, le patient doit rester sous surveillance pendant au moins 30 à 60 minutes, étant donné que la majorité des effets indésirables graves se manifestent dans ce délai (voir «Effets indésirables»). L’expérience a montré que des réactions d’hypersensibilité tardives peuvent survenir encore plusieurs heures voire plusieurs jours après l’injection. Le patient doit être informé de manière adéquate des symptômes et des mesures à prendre en cas d’apparition de réactions tardives.
  • +Extravasation: En cas d’extravasation, on peut supposer qu’en raison de son isotonie au sang, Visipaque entraîne des douleurs locales et des œdèmes extravasculaires moins importants que l’administration de produits de contraste hyperosmolaires par rapport au sang. Une injection paravasale accidentelle se résorbe généralement sans causer de dommages permanents. La plupart du temps, un traitement standard est suffisant. Néanmoins, on a déjà observé des inflammations et même des nécroses tissulaires. La zone atteinte doit alors être surélevée et refroidie avec les mesures habituelles. En cas de syndrome des loges, une décompression chirurgicale peut s’avérer nécessaire.
  • +Réactions allergoïdes ou d’hypersensibilité
  • +La possibilité de réactions anaphylactiques ou anaphylactoïdes, indépendantes de la dose, de gravité variable et de symptomatologie hétérogène (y compris des réactions mettant en jeu le pronostic vital et des décès) doit toujours être prise en considération. Ces réactions se manifestent généralement sous la forme de symptômes respiratoires non sévères ou de symptômes cutanés, tels que des difficultés respiratoires légères, une rougeur de la peau (érythème), de l’urticaire, un prurit ou un œdème de la face. Les réactions graves, telles que l’angiœdème, l’œdème sousglottique, le bronchospasme et le choc, sont rares. En général, ces réactions se produisent dans l’heure qui suit l’administration du produit de contraste. Dans de rares cas, des réactions tardives peuvent survenir (des heures ou des jours après l’administration). Il convient d’informer le patient des symptômes des réactions d’hypersensibilité retardées et des mesures comportementales à adopter en cas de survenue de tels symptômes. Une prudence particulière s’impose en cas d’allergie connue, d’asthme ou de réactions aux produits de contraste iodés difficiles à traiter. Dans ces cas, un traitement préalable par des corticostéroïdes et/ou des antihistaminiques doit être envisagé.
  • +Des symptômes atypiques de réactions d’hypersensibilité, susceptibles d’être interprétés à tort comme étant des prodromes de syncope, peuvent se manifester chez les patients traités par des βbloquants. Chez les patients atteints d’asthme bronchique, le risque de survenue de bronchospasmes est particulièrement accru. L’utilisation de βbloquants peut abaisser le seuil de sensibilité des réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes et en particulier des bronchospasmes chez les asthmatiques après l’administration de produit de contraste. La gravité des réactions déclenchées peut augmenter, en particulier chez les asthmatiques. Une réponse à un traitement par l’adrénaline peut être diminuée. Une hypersensibilité peut se produire indépendamment de la quantité et du mode d’administration et peut être le signe avant-coureur d’une réaction anaphylactoïde grave/du début d’un état de choc. L’administration du produit de contraste doit être immédiatement interrompue et, si nécessaire, un traitement ciblé doit être mis en œuvre avec un accès veineux.
  • -Hyperthyroïdie
  • -Les produits de contraste iodés influencent la fonction thyroïdienne en raison de leur teneur en iodure libre. Ils peuvent conduire à une hyperthyroïdie chez les patients prédisposés. Pour éviter de tels troubles métaboliques, il est nécessaire d’identifier les éventuels facteurs de risque thyroïdiens. Parmi les patients à risque figurent les personnes présentant une hyperthyroïdie latente ou une autonomie fonctionnelle. Chez les patients potentiellement à risque, il faut contrôler la fonction thyroïdienne et exclure une hyperthyroïdie avant l’examen. Une prudence particulière est de rigueur chez les patients souffrant d’hyperthyroïdie. Chez les patients avec un goitre multinodulaire, le développement d’une hyperthyroïdie à la suite de l’injection d’un produit de contraste iodé est possible.
  • -Hypothyroïdie
  • +·Hyperthyroïdie
  • +Les produits de contraste iodés influencent la fonction thyroïdienne en raison de leur teneur en iodure libre. Ils peuvent conduire à une hyperthyroïdie chez les patients prédisposés. Pour éviter de tels troubles métaboliques, il est nécessaire d’identifier les éventuels facteurs de risque thyroïdiens. Chez les patients potentiellement à risque, il faut contrôler la fonction thyroïdienne et exclure une hyperthyroïdie avant l’examen.
  • +Les patients présentant un goitre multinodulaire risquent de développer une hyperthyroïdie à la suite de l’injection d’un produit de contraste iodé.
  • +Les patients avec une hyperthyroïdie manifeste, mais pas encore diagnostiquée, les patients avec une hyperthyroïdie latente (p. ex. goitre nodulaire) et les patients avec une autonomie fonctionnelle (souvent, p. ex., les patients âgés, en particulier dans les zones de carence en iode) présentent un risque plus élevé de thyrotoxicose aiguë après l’administration de produits de contraste iodés. Il convient d’évaluer le risque supplémentaire chez ces patients avant l’administration d’un produit de contraste iodé. Chez les patients chez lesquels une hyperthyroïdie est présumée, un examen de la fonction thyroïdienne avant l’administration du produit de contraste et/ou une médication préventive avec des antithyroïdiens peuvent être envisagés. Les patients à risque doivent être surveillés dans les semaines qui suivent l’injection afin de détecter le développement éventuel d’une thyrotoxicose.
  • +·Hypothyroïdie
  • -Hémostase
  • -Les produits de contraste non ioniques ont un effet in vitro plus faible sur le système de coagulation que les produits de contraste ioniques.
  • +Coagulopathie
  • +In vitro, l’effet des produits de contraste non ioniques est plus faible sur le système de coagulation que celui des produits de contraste ioniques.
  • -Des événements thromboemboliques graves, rarement fatals, et déclenchant un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral ont été signalés lors d’examens angiographiques avec des produits de contrastes ioniques et non ioniques. Par conséquent, pour minimiser le risque d’événements thromboemboliques liés à l’angiographie, il faut veiller à adopter une technique d’administration intravasculaire minutieuse. Outre le produit de contraste, de nombreux autres facteurs peuvent également influencer la survenue d’événements thromboemboliques. On compte parmi eux la durée de la procédure d’examen, le nombre d’injections, le type de matériau du cathéter et des seringues, les maladies sous-jacentes préexistantes et la médication concomitante. Pour minimiser le risque de thromboembolie liée à un examen, il faut veiller à soigner le plus possible la technique angiographique employée, ce qui comprend un soin particulier lors de la manipulation du fil de guidage et du cathéter, l’utilisation de systèmes multiples et/ou de robinets à 3 voies ainsi qu’un rinçage fréquent des cathéters utilisés, p. ex. avec une solution saline contenant de l’héparine, et l’examen doit être effectué le plus rapidement possible. La prudence est également de mise chez les patients atteints d’homocystéinurie (risque d’induction de thromboembolies).
  • +Des événements thromboemboliques graves, rarement fatals, et déclenchant un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral ont été signalés lors d’examens angio-cardiographiques avec des produits de contrastes ioniques et non ioniques. Pour minimiser le risque de thromboembolie liée à un examen, il faut veiller à soigner le plus possible la technique angiographique employée, ce qui comprend un soin particulier lors de la manipulation du fil de guidage et du cathéter, l’utilisation de systèmes multiples et/ou de robinets à 3 voies ainsi qu’un rinçage fréquent des cathéters utilisés, p. ex. avec une solution saline physiologique contenant de l’héparine, et l’examen doit être effectué le plus rapidement possible. Outre le produit de contraste, de nombreux autres facteurs peuvent également influencer la survenue d’événements thromboemboliques. On compte parmi eux la durée de la procédure d’examen, le nombre d’injections, le type de matériau du cathéter et des seringues, les maladies sous-jacentes préexistantes et la médication concomitante.
  • +La prudence est également de mise chez les patients atteints d’homocystéinurie (risque d’induction de thromboembolies). Un équipement permettant de prendre des mesures avancées de maintien des fonctions vitales doit être disponible.
  • -Fonction rénale
  • -Le présence d’une affection rénale constitue l’un des facteurs de risque principaux d’une néphropathie induite par les produits de contraste. Le diabète sucré, l’administration de produits de contraste à hautes doses, la déshydratation, une mauvaise perfusion rénale, un âge supérieur à 60 ans, l’exposition à d’autres facteurs de toxicité rénale (p. ex. la prise de certains médicaments ou un état après une intervention chirurgicale majeure), une sclérose vasculaire avancée, une insuffisance cardiaque décompensée, des injections multiples, l’administration directe de produit de contraste dans l’artère rénale, une hypertension sévère et chronique, l’hyperuricémie et la paraprotéinémie (p. ex. plasmocytome, macroglobulinémie de Waldenström) constituent d’autres facteurs prédisposants.
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Dans de rares cas, une insuffisance rénale réversible peut survenir après l’administration intravasculaire d’un produit de contraste. La présence d’une affection rénale constitue l’un des facteurs de risque principaux d’une néphropathie induite par les produits de contraste. Le diabète sucré, l’administration de produits de contraste à hautes doses, la déshydratation, une mauvaise perfusion rénale, des antécédents d’insuffisance rénale après l’administration d’un produit de contraste, un âge supérieur à 60 ans, l’exposition à d’autres facteurs de toxicité rénale (p. ex. la prise de certains médicaments ou un état après une intervention chirurgicale majeure), une sclérose vasculaire avancée, une insuffisance cardiaque décompensée, des doses élevées de produit de contraste et des injections multiples, l’administration directe de produit de contraste dans l’artère rénale, une hypertension sévère et chronique, l’hyperuricémie et la paraprotéinémie (p. ex. plasmocytome, macroglobulinémie de Waldenström) constituent d’autres facteurs prédisposants.
  • -Identifier les patients à haut risque, garantir un apport hydrique suffisant avant et également après l’administration du produit de contraste, si nécessaire par perfusion intravasculaire jusqu’à l’élimination rénale du produit de contraste, éviter tout stress supplémentaire sur les reins jusqu’à élimination du produit de contraste (médicaments néphrotoxiques, produits pour cholécystographie orale, clampage artériel, angioplastie artérielle rénale, intervention chirurgicale majeure, etc.), réduire la dose au strict nécessaire. Le réexamen avec produit de contraste ne doit être effectué que lorsque la fonction rénale est revenue à son niveau initial.
  • +·identifier les patients à haut risque;
  • +·garantir un apport hydrique suffisant avant et également après l’administration du produit de contraste, si nécessaire par perfusion intravasculaire jusqu’à l’élimination rénale du produit de contraste;
  • +·éviter tout facteur de stress supplémentaire sur les reins jusqu’à élimination du produit de contraste (médicaments néphrotoxiques, préparations pour cholécystographie orale, clampage artériel, angioplastie artérielle rénale, intervention chirurgicale majeure, etc.);
  • +·réduire la dose au strict nécessaire.
  • +·Le réexamen avec produit de contraste ne doit être effectué que lorsque la fonction rénale est revenue à son niveau initial.
  • -Diabète sucré traité par la metformine
  • -L’administration de produits de contraste iodés peut entraîner des troubles transitoires de la fonction rénale, ce qui peut entraîner une acidose lactique chez les diabétiques traités par la metformine.
  • -Afin de prévenir une acidose, il est conseillé de mesurer le taux de créatinine sérique chez les diabétiques recevant de la metformine avant toute administration intravasculaire de produits de contraste iodés.
  • -·Chez les patients présentant un taux de filtration glomérulaire estimé (TFGe) d’au moins 60 ml/min/1,73 m2 (stades 1 et 2 de l’IRC), le traitement par la metformine peut être poursuivi normalement.
  • +Patients présentant un diabète sucré recevant de la metformine
  • +Les examens de contraste intravasculaires au moyen de produits de contraste iodés peuvent provoquer des troubles transitoires de la fonction rénale, ce qui peut entraîner une acidose lactique chez les diabétiques traités par la metformine.
  • +Afin de prévenir une telle situation chez ces patients, il est conseillé, avant toute administration intravasculaire de produits de contraste iodés, de mesurer le taux de créatinine sérique et de prendre les mesures de précaution suivantes:
  • +·Chez les patients présentant un taux de filtration glomérulaire estimé (TFGe) égal ou supérieur à 60 ml/min/1,73 m2 (stades 1 et 2 de l’IRC), le traitement par la metformine peut être poursuivi normalement.
  • --Lors de l’administration intraveineuse de produit de contraste prévue et avec un TFGe d’au moins 45 ml/min/1,73 m2, le traitement par la metformine peut être poursuivi normalement.
  • +-Lors de l’administration intraveineuse prévue de produit de contraste et avec un TFGe égal ou supérieur à 45 ml/min/1,73 m2, le traitement par la metformine peut être poursuivi normalement.
  • -·En cas d’urgence, lorsque la fonction rénale est altérée ou inconnue, le médecin doit évaluer le rapport bénéfices/risques de l’examen avec produit de contraste et veiller aux mesures de précaution suivantes: stopper le traitement par la metformine au moment de l’administration du produit de contraste; après l’administration: surveiller le patient et rechercher les signes cliniques éventuels d’acidose lactique. Si la créatinine sérique/le TFGe sont inchangés par rapport à la valeur initiale, le traitement par la metformine peut être repris 48 heures après l’administration du produit de contraste.
  • +·En cas d’urgence, lorsque la fonction rénale est altérée ou inconnue, le médecin doit évaluer le rapport bénéfices/risques de l’examen avec produit de contraste et veiller aux mesures de précaution suivantes: stopper le traitement par la metformine au moment de l’administration du produit de contraste; hydrater le patient. Après l’administration: surveiller le patient et rechercher les signes cliniques éventuels d’acidose lactique. Si la créatinine sérique/le TFGe sont inchangés par rapport à la valeur initiale, le traitement par la metformine peut être repris 48 heures après l’administration du produit de contraste.
  • -Fonction rénale et hépatique altérées
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale et hépatique
  • -La déshydratation du patient avant l’administration du produit de contraste doit absolument être évitée. Les produits de contraste iodés peuvent être éliminés par dialyse. Les patients sous dialyse peuvent recevoir des produits de contraste iodés pour un examen radiologique, à condition que les mesures de précaution correspondantes soient appliquées. Il n’est pas nécessaire de coordonner l’administration du produit de contraste et l’hémodialyse.
  • +La déshydratation du patient avant l’administration du produit de contraste doit absolument être évitée. Les patients sous hémodialyse peuvent recevoir des produits de contraste pour un examen radiologique. Les produits de contraste iodés peuvent être éliminés par dialyse. Il n’est pas nécessaire de coordonner l’administration du produit de contraste et l’hémodialyse.
  • -Une encéphalopathie a été rapportée lors de l’utilisation de l’iodixanol (voir rubrique « Effets indésirables«). Une encéphalopathie induite par le produit de contraste peut se manifester par des symptômes et des signes de dysfonctionnement neurologique tels que céphalées, troubles de la vision, cécité corticale, confusion, convulsions, perte de coordination, hémiparésie, aphasie, perte de conscience, coma et œdème cérébral dans les minutes ou heures suivant l’administration d’iodixanol, et se résout généralement en quelques jours.
  • -Le produit doit être utilisé avec prudence chez les patients présentant des maladies qui perturbent l’intégrité de la barrière hémato-encéphalique (BHE), entraînant ainsi potentiellement une augmentation de la perméabilité de la BHE aux produits de contraste, et qui augmentent le risque d’encéphalopathie. Les patients présentant des antécédents de pathologies cérébrales aiguës, de tumeurs intracrâniennes, de métastases ou d’épilepsie sont prédisposés aux crises convulsives et requièrent une attention particulière. Les symptômes neurologiques causés par des maladies cérébrovasculaires, des tumeurs ou métastases intracrâniennes, des processus dégénératifs ou inflammatoires peuvent être aggravés par l’administration d’un produit de contraste. Les personnes alcooliques et toxicomanes présentent également un risque accru de crises convulsives et de réactions neurologiques. La prudence est également de mise chez les personnes alcooliques et les toxicomanes car le seuil de sensibilité peut éventuellement être abaissé.
  • +Une encéphalopathie a été rapportée lors de l’utilisation de produits de contraste iodés tels que l’Iodixanolum (voir «Effets indésirables»). Une encéphalopathie induite par le produit de contraste peut se manifester par des symptômes et des signes de dysfonctionnement neurologique tels que céphalées, troubles de la vision, cécité corticale, confusion, convulsions, perte de coordination, hémiparésie, aphasie, perte de conscience, coma et œdème cérébral dans les minutes ou heures suivant l’administration d’Iodixanolum, et se résout généralement en quelques jours.
  • +Le produit doit être utilisé avec prudence chez les patients présentant des maladies qui perturbent l’intégrité de la barrière hémato-encéphalique (BHE), entraînant ainsi potentiellement une augmentation de la perméabilité de la BHE aux produits de contraste, et qui augmentent le risque d’encéphalopathie. Les patients présentant des antécédents de pathologies cérébrales aiguës, de tumeurs intracrâniennes, de métastases ou d’épilepsie sont prédisposés aux crises convulsives et requièrent une attention particulière. Les symptômes neurologiques causés par des maladies cérébrovasculaires, des tumeurs ou métastases intracrâniennes, des processus dégénératifs ou inflammatoires peuvent être aggravés par l’administration d’un produit de contraste.
  • -Si une encéphalopathie induite par le produit de contraste est suspectée, l’administration d’iodixanol doit être interrompue et une prise en charge médicale adaptée doit être instaurée.
  • +Si une encéphalopathie induite par le produit de contraste est suspectée, l’administration d’Iodixanolum doit être interrompue et une prise en charge médicale adaptée doit être instaurée.
  • +Alcoolisme/toxicomanie
  • +L’alcoolisme aigu ou chronique peut augmenter la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique, ce qui peut donc entraîner des réactions du SNC et des convulsions liées au produit de contraste. La prudence est de mise chez les personnes atteintes d’alcoolisme ou de toxicomanie, qui sont également susceptibles de présenter un seuil de tolérance plus bas.
  • +
  • -Les patients atteints de phéochromocytome doivent recevoir une prémédication par des α-bloquants avant l’administration de produits de contraste pour éviter une crise hypertensive. Une prudence particulière est de rigueur chez les patients en cas de suspicion de celle-ci.
  • +Les patients atteints de phéochromocytome doivent recevoir une prémédication par des αbloquants avant l’administration de produits de contraste pour éviter une crise hypertensive. Une prudence particulière est de rigueur chez les patients en cas de suspicion de celle-ci.
  • -Une hystérosalpingographie est contre-indiquée lors d’une grossesse ou en cas de maladie inflammatoire pelvienne aigüe (voir la rubrique «Contre-indications»).
  • +Une hystérosalpingographie est contre-indiquée lors d’une grossesse ou en cas de maladie inflammatoire pelvienne aigüe (voir «Contre-indications»).
  • -En principe, avant toute urographie intraveineuse, le remplacement de l’examen par une échographie doit être envisagé. En raison de l’immaturité de la fonction rénale chez les nouveau-nés, l’urographie dans les premiers jours de vie n’offre souvent pas une qualité d’image suffisante avec un dosage normal. Dans ce groupe d’âge, l’urographie intraveineuse doit donc être évitée. Les nourrissons de moins d’un an, et en particulier les nouveau-nés, sont sensibles aux perturbations de l’équilibre électrolytique et aux altérations hémodynamiques. La prudence est donc de mise en ce qui concerne la dose de produit de contraste, la mise en œuvre de l’examen et l’état du patient. L’administration de produits de contraste iodés peut déclencher une hypothyroïdie chez les nouveau-nés, et plus particulièrement chez les prématurés. Par conséquent, les taux de TSH et de T4 doivent être contrôlés 7 à 10 jours ainsi qu’un mois après l’administration du produit de contraste. Une substitution des hormones thyroïdiennes peut être nécessaire. On tiendra également compte du fait qu’une hypothyroïdie transitoire peut survenir chez un prématuré et chez un nouveau-né avec un faible poids à la naissance.
  • -La fonction thyroïdienne de l’enfant doit être surveillée après exposition, même in utero. Chez les nouveau-nés, la fonction thyroïdienne doit être contrôlée durant les premières semaines de vie si la mère a reçu un produit de contraste iodé lors de la grossesse. Un contrôle répété de la fonction thyroïdienne est recommandé entre la deuxième et la sixième semaine de vie, en particulier chez les nouveau-nés avec un faible poids à la naissance et chez les prématurés.
  • +En principe, avant toute urographie intraveineuse, le remplacement de l’examen par une échographie doit être envisagé. En raison de l’immaturité de la fonction rénale chez les nouveau-nés, l’urographie dans les premiers jours de vie n’offre souvent pas une qualité d’image suffisante avec un dosage normal. Dans ce groupe d’âge, l’urographie intraveineuse doit donc être évitée. Les nourrissons de moins d’un an, et en particulier les nouveau-nés, sont sensibles aux perturbations de l’équilibre électrolytique et aux altérations hémodynamiques. La prudence est donc de mise en ce qui concerne la dose de produit de contraste, la mise en œuvre de l’examen et l’état du patient.
  • +Une hypothyroïdie ou une suppression thyroïdienne temporaire peut être observée après une exposition à des produits de contraste iodés.
  • +Les patients pédiatriques âgés de moins de 3 ans doivent faire l’objet d’une attention particulière, car l’apparition d’une hypothyroïdie au début de la vie peut perturber le développement moteur, auditif et cognitif et nécessiter un traitement de substitution temporaire de la T4. L’incidence de l’hypothyroïdie chez les patients âgés de moins de 3 ans ayant reçu des produits de contraste iodés varie de 1,3% à 15,4% en fonction de l’âge des personnes examinées et de la dose de produit de contraste iodé; on l’observe par ailleurs plus fréquemment chez les nouveau-nés et les prématurés. Les nouveau-nés peuvent également avoir été exposés par l’intermédiaire de leur mère pendant la grossesse. La fonction thyroïdienne doit être évaluée chez tous les patients pédiatriques âgés de moins de 3 ans après une exposition à des produits de contraste iodés. Si une hypothyroïdie est détectée, un traitement doit être envisagé et la fonction thyroïdienne doit être surveillée jusqu’à ce qu’elle redevienne normale.
  • +Des cas d’hypothyroïdie transitoire nécessitant une substitution chez des nourrissons allaités ont également été rapportés après l’exposition de leurs mères à des produits de contraste iodés. Il est donc nécessaire de surveiller étroitement la fonction thyroïdienne du nourrisson, même en cas d’exposition de la mère pendant la grossesse ou la période d’allaitement. L’indication d’un examen réalisé au moyen d’un produit de contraste chez la mère doit être posée de manière stricte. Le cas échéant, l’allaitement doit être interrompu.
  • -Chez des enfants âgés de moins de 2 mois, une élimination différée de l’iodixanol a été observée (voir la rubrique «Pharmacocinétique»). La tolérance à Visipaque à des concentrations sériques > 200 µmol/l n’a pas été étudiée.
  • +Chez des enfants âgés de moins de 2 mois, une élimination différée de l’Iodixanolum a été observée (voir la rubrique «Pharmacocinétique»). La tolérance à Visipaque à des concentrations sériques > 200 µmol/l n’a pas été étudiée.
  • -Patients souffrant d’une insuffisance rénale ou d’une néphropathie: Veuillez tenir compte des paragraphes «Fonction rénale» et «Mesures de précaution d’ordre général pour l’emploi de produits de contraste non ioniques» figurant à la rubrique «Mises en garde et précautions».
  • +Patients présentant une insuffisance rénale ou une néphropathie: voir «Troubles de la fonction rénale» et /«Mesures de précaution d’ordre général pour l’emploi de produits de contraste non ioniques» figurant à la rubrique «Mises en garde et précautions».
  • -Teneur totale en sodium (mg) / unité (flacon), voir rubrique «Composition».
  • +Teneur totale en sodium (mg) / unité (flacon), voir «Composition».
  • -L’administration de produits de contraste iodés peut entraîner des troubles transitoires de la fonction rénale, ce qui peut déclencher une acidose lactique chez les diabétiques traités par la metformine (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +L’administration de produits de contraste iodés peut entraîner des troubles transitoires de la fonction rénale, ce qui peut déclencher une acidose lactique chez les diabétiques traités par la metformine (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Concernant l’influence sur les tests de la fonction thyroïdienne et les tests de laboratoire in vitro, voir la rubrique «Remarques particulières».
  • -Certains éléments indiquent que la prise de bêtabloquants représente un facteur de risque de réactions d’hypersensibilité/anaphylactoïdes avec le produit de contraste, telles qu’une grave diminution de la pression artérielle (une grave diminution de la pression artérielle a pu être observée avec des produits de contraste radioopaques lors d’un traitement par des bêtabloquants) en particulier en présence d’asthme bronchique. De plus, il est à noter que les patients recevant des β-bloquants peuvent ne pas répondre au traitement standard des réactions d’hypersensibilité aux β-agonistes.
  • +Certains éléments indiquent que la prise de βbloquants représente un facteur de risque de réactions d’hypersensibilité/anaphylactoïdes avec le produit de contraste, telles qu’une grave diminution de la pression artérielle (une grave diminution de la pression artérielle a pu être observée avec des produits de contraste radioopaques lors d’un traitement par des βbloquants) en particulier en présence d’asthme bronchique. De plus, il est à noter que les patients recevant des βbloquants peuvent ne pas répondre au traitement standard des réactions d’hypersensibilité aux βagonistes.
  • -Les produits de contraste radio-opaques substitués par de l’iode peuvent réduire la capacité de la thyroïde à absorber les radio-isotopes utilisés pour le diagnostic et le traitement des maladies thyroïdiennes pendant une période pouvant aller jusqu’à deux semaines, voire plus dans certains cas.
  • +Concernant l’influence sur les tests de la fonction thyroïdienne et les tests de laboratoire in vitro, voir «Remarques particulières».
  • +Tous les produits de contraste radio-opaques substitués par de l’iode peuvent réduire la capacité de la thyroïde à absorber les radio-isotopes utilisés pour le diagnostic et le traitement des maladies thyroïdiennes pendant une période pouvant aller jusqu’à deux semaines, voire plus dans certains cas.
  • -Grossesse, Allaitement
  • +Grossesse/Allaitement
  • -L’innocuité de l’administration de Visipaque pendant la grossesse n’a, à ce jour, pas été démontrée dans des études cliniques contrôlées. Une évaluation des études expérimentales sur l’animal ne montre pas d’effet nocif direct ou indirect sur la reproduction, le développement de l’embryon ou du fœtus, l’évolution de la grossesse ou le développement périnatal ou postnatal. Dans la mesure où une exposition aux rayons X doit être de toute façon évitée pendant la grossesse, on renoncera aux examens radiologiques (avec ou sans Visipaque) pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Dans de tels cas, il faut contrôler la fonction thyroïdienne du nouveau-né (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +L’innocuité de l’administration de Visipaque pendant la grossesse n’a, à ce jour, pas été démontrée dans des études cliniques contrôlées. Une évaluation des études expérimentales sur l’animal ne montre pas d’effet nocif direct ou indirect sur la reproduction, le développement de l’embryon ou du fœtus, l’évolution de la grossesse ou le développement périnatal ou postnatal. Dans la mesure où une exposition aux rayons X doit être de toute façon évitée pendant la grossesse, on renoncera aux examens radiologiques (avec ou sans Visipaque) pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue. Chez les nouveau-nés exposés in utero à des produits de contraste iodés, il est recommandé de surveiller la fonction thyroïdienne, voir «Mises en garde et précautions».
  • -Les produits de contraste iodés sont excrétés dans une moindre mesure dans le lait maternel et des quantités minimes sont absorbées par le tractus gastro-intestinal. Une mère ayant reçu un produit de contraste iodé peut poursuivre l’allaitement normalement.
  • +Les produits de contraste iodés sont excrétés dans une moindre mesure dans le lait maternel et des quantités minimes sont absorbées par le tractus gastro-intestinal.
  • +Des cas d’hypothyroïdie transitoire nécessitant une substitution chez des nourrissons allaités ont également été rapportés après l’exposition de leurs mères à des produits de contraste iodés. Il est donc nécessaire de surveiller étroitement la fonction thyroïdienne du nourrisson, même en cas d’exposition de la mère pendant l’allaitement. L’indication d’un examen réalisé au moyen d’un produit de contraste chez la mère doit être posée de manière stricte. Le cas échéant, l’allaitement doit être interrompu.
  • +Fertilité
  • +Les études d’expérimentations animales menées avec Visipaque n’ont pas montré d’effet sur la fertilité (voir «Données précliniques»).
  • -Résumé du profil de sécurité
  • +Résumé du profil de sécurité (à prendre en compte pour tous les types d’utilisation de produits de contraste iodés)
  • -Des réactions sévères ainsi que des décès, pouvant inclure une insuffisance rénale potentiellement aiguë et chronique, une insuffisance rénale aiguë, un choc anaphylactique et anaphylactoïde, une réaction d’hypersensibilité suivie de réactions cardiaques (syndrome de Kounis), un arrêt cardiaque ou cardio-respiratoire et un infarctus du myocarde, ont été observés dans de rares cas. Des réactions cardiaques peuvent être favorisées par une maladie sous-jacente ou l’examen.
  • +Des réactions sévères ainsi que des décès, pouvant inclure une insuffisance rénale potentiellement aiguë et chronique, un choc anaphylactique et anaphylactoïde, des réactions d’hypersensibilité suivies de réactions cardiaques (syndrome de Kounis), un arrêt cardiaque ou cardio-respiratoire et un infarctus du myocarde, ont été observés dans de rares cas. Des réactions cardiaques peuvent être favorisées par une maladie sous-jacente ou l’examen.
  • -Des symptômes atypiques de réactions d’hypersensibilité, susceptibles d’être interprétés à tort comme étant une réaction vagale, peuvent se manifester chez les patients traités par des bêtabloquants.
  • +Des symptômes atypiques d’hypersensibilité, susceptibles d’être interprétés à tort comme étant des prodromes de syncope, peuvent se manifester chez les patients traités par des βbloquants.
  • -Les effets indésirables sont rangés par classe de système d’organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante:
  • -«très fréquents» (≥ 1/10), «fréquents» (≥ 1/100 à < 1/10), «occasionnels» (≥ 1/1000 à < 1/100), «rares» (≥ 1/10 000 à < 1/1000) et «très rares» (< 1/10 000). Les fréquences indiquées s’appuient sur la documentation clinique interne et sur des études publiées, partiellement non contrôlées, qui comprennent plus de 57 705 patients au total. La fréquence des réactions observées au cours de l’expérience acquise après commercialisation ne peut pas être estimée avec certitude en raison de l’imprécision du nombre de patients exposés. Elle est indiquée comme «Fréquence inconnue».
  • -Après administration intravasculaire
  • +Les effets indésirables survenus lors de l’utilisation de Visipaque sont classés ici selon les classifications par discipline médicale (SOC) du système MedDRA et listés dans les catégories suivantes en fonction de leur fréquence: «très fréquents» (≥ 1/10), «fréquents» (≥ 1/100 à < 1/10), «occasionnels» (≥ 1/1000 à < 1/100), «rares» (≥ 1/10 000 à < 1/1000), «très rares» (< 1/10 000) et «fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • +Les fréquences indiquées s’appuient sur la documentation clinique interne et sur des études publiées, partiellement non contrôlées, qui comprennent plus de 57 705 patients au total. La fréquence des réactions observées au cours de l’expérience acquise après commercialisation ne peut pas être estimée avec certitude en raison de l’imprécision du nombre de patients exposés.
  • +Après administration intravasculaire (intraveineuse et intraartérielle)
  • -Fréquence inconnue: thrombopénie
  • +Fréquence inconnue: thrombopénie.
  • -Fréquents: réactions d’hypersensibilité retardées (1,4%), c’est-à-dire une heure ou jusqu’à plusieurs jours après l’administration. Des réactions d’hypersensibilité retardées après administration intravasculaire ont été observées plus fréquemment avec des produits de contraste non ioniques dimères qu’avec des produits de contraste non ioniques monomères (effet de classe); elles sont rarement graves
  • -Occasionnels: réactions d’hypersensibilité (symptômes respiratoires ou cutanés légers tels que dyspnée, frissons, fièvre, sécrétion de sueur, céphalée, douleur mammaire, douleur intestinale, étourdissement, pâleur, faiblesse, haut-le-cœur et sensation de suffocation, augmentation ou diminution de la pression artérielle, crampes, tremblements musculaires, éternuement, larmoiement, exanthème, érythème, urticaire, prurit et angiœdème). Dans certains cas, ces symptômes, en particulier les réactions cutanées, peuvent survenir de manière retardée (c’est-à-dire une heure ou jusqu’à plusieurs jours après l’administration). En général, très peu de ces réactions retardées sont graves. Ces symptômes, qui peuvent survenir indépendamment de la quantité et du type d’administration, peuvent être les précurseurs d’une réaction anaphylactoïde grave/du début d’un état de choc. L’apport en produit de contraste doit être interrompu immédiatement et, si nécessaire, un traitement ciblé doit être mis en œuvre avec un accès veineux
  • -Rares: graves réactions d’hypersensibilité retardées (0,06%), y compris des réactions cutanées pustuleuses ou bulleuses
  • -Fréquence inconnue: choc anaphylactoïde/anaphylactique, réaction anaphylactique/ anaphylactoïde, y compris anaphylaxie menaçant le pronostic vital ou mortelle, réactions graves menaçant le pronostic vital et nécessitant un traitement d’urgence. Affectent les fonctions vitales du système cardiovasculaire, généralement en association avec des réactions respiratoires et nerveuses centrales. Les réactions anaphylactoïdes sous forme de choc nécessitant un traitement d’urgence peuvent se manifester sous la forme d’une réaction circulatoire associée à une vasodilatation périphérique et à une chute consécutive de la pression artérielle, ainsi qu’à une tachycardie réflexe, un essoufflement et une cyanose, qui peuvent conduire à une perte de conscience
  • +Fréquents: réactions d’hypersensibilité retardées (1,4%), c’est-à-dire une heure ou jusqu’à plusieurs jours après l’administration. Des réactions d’hypersensibilité retardées après administration intravasculaire ont été observées plus fréquemment avec des produits de contraste non ioniques dimères qu’avec des produits de contraste non ioniques monomères (effet de classe); elles sont rarement graves.
  • +Occasionnels: réactions d’hypersensibilité (symptômes respiratoires ou cutanés légers tels que dyspnée, frissons, fièvre, hyperhidrose, céphalée, douleur mammaire, douleurs gastrointestinales, sensation vertigineuse, pâleur, asthénie, haut-le-cœur et sensation de suffocation, augmentation ou diminution de la pression artérielle, contractures musculaires, tremblements musculaires, éternuement, sécrétion lacrymale, rash, érythème, urticaire, prurit et angiœdème). Dans certains cas, ces symptômes, en particulier les réactions cutanées, peuvent survenir de manière retardée (c’est-à-dire une heure ou jusqu’à plusieurs jours après l’administration). En général, très peu de ces réactions retardées sont graves. Ces symptômes, qui peuvent survenir indépendamment de la quantité et du type d’administration, peuvent être les précurseurs d’une réaction anaphylactoïde grave/du début d’un état de choc. L’administration du produit de contraste doit être immédiatement interrompue et, si nécessaire, un traitement ciblé doit être mis en œuvre avec un accès veineux.
  • +Rares: graves réactions d’hypersensibilité retardées (0,06%), y compris des réactions cutanées pustuleuses ou bulleuses.
  • +Fréquence inconnue: choc anaphylactoïde/anaphylactique, y compris des réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes menaçant le pronostic vital, voire fatales, qui nécessitent un traitement d’urgence, qui affectent les fonctions vitales du système cardiovasculaire, et sont généralement associées à des réactions respiratoires et nerveuses centrales. Les réactions anaphylactoïdes sous forme de choc nécessitant un traitement d’urgence peuvent se manifester sous la forme d’une réaction circulatoire associée à une vasodilatation périphérique et à une chute consécutive de la pression artérielle, ainsi qu’à une tachycardie, une dyspnée et une cyanose, qui peuvent conduire à une perte de conscience.
  • -Fréquence inconnue: hyperthyroïdie, hypothyroïdie transitoire
  • +Fréquence inconnue: hyperthyroïdie, hypothyroïdie transitoire. Enfants Une hypothyroïdie transitoire a été rapportée chez des prématurés, des nouveau-nés et d’autres enfants après l’administration de produits de contraste iodés. Les prématurés sont particulièrement sensibles aux effets de l’iode. Des cas d’hypothyroïdie transitoire nécessitant une substitution chez des nourrissons allaités ont également été rapportés après l’exposition de leurs mères à des produits de contraste iodés (voir «Mises en garde et précautions» et «Grossesse/Allaitement»).
  • -Très rares: anxiété, agitation
  • -Fréquence inconnue: confusion transitoire
  • +Très rares: anxiété, agitation.
  • +Fréquence inconnue: confusion mentale transitoire.
  • -Occasionnels: céphalée
  • -Rares: étourdissement, anomalies sensorielles, y compris désordre du goût, paresthésie, parosmie. L’angiographie cérébrale et les autres procédures au cours desquelles le produit de contraste pénètre dans le cerveau à des concentrations élevées en passant par le sang artériel peuvent entraîner des complications neurologiques transitoires telles qu’une confusion mentale et une somnolence transitoires, une parésie, une pertubation visuelle ou une faiblesse faciale transitoires ainsi que des crises épileptiques et un coma
  • -Très rares: accident vasculaire cérébral, évanouissement, syncope, tremblement (transitoire), hypoesthésie
  • -Fréquence inconnue: coma, convulsions, troubles moteurs, troubles de la conscience, crampes, encéphalopathie transitoire induite par le produit de contraste, pouvant se manifester sous forme de dysfonction sensorielle, motrice ou neurologique globale (y compris amnésie, hallucinations, paralysie, parésie, désorientation, aphasie, trouble du language transitoire, dysarthrie)
  • +Occasionnels: céphalée.
  • +Rares: sensation vertigineuse, anomalies sensorielles, y compris désordre du goût, paresthésie, parosmie. L’angiographie cérébrale et les autres procédures au cours desquelles le produit de contraste pénètre dans le cerveau à des concentrations élevées en passant par le sang artériel peuvent entraîner des complications neurologiques transitoires telles qu’une confusion mentale et une somnolence transitoires, une parésie, une perturbation visuelle ou une faiblesse faciale transitoires ainsi qu’une épilesie et un coma.
  • +Très rares: accident vasculaire cérébral, syncope, tremblement (transitoire), hypoesthésie.
  • +Fréquence inconnue: coma, convulsions cérébrales, troubles moteurs, altération de l’état de conscience, crampes, encéphalopathie transitoire induite par le produit de contraste provoquée par l’extravasation du produit de contraste, pouvant se manifester sous forme de dysfonction sensorielle, motrice ou neurologique globale (y compris amnésie, hallucinations, paralysie, parésie, désorientation, trouble transitoire de la parole, aphasie, dysarthrie).
  • -Très rares: cécité corticale (passagère), trouble visuel (y compris diplopie, vision trouble), œdème palpébral
  • +Très rares: cécité corticale (passagère), trouble visuel transitoire (y compris diplopie, vision trouble), œdème palpébral.
  • -Rares: arythmie (y compris bradycardie et tachycardie), infarctus du myocarde
  • -Très rares: arrêt cardiaque, accélération cardiaque
  • -Fréquence inconnue: insuffisance cardiaque, arrêt cardiaque ou respiratoire, infarctus du myocarde, troubles de la conduction, hypokinésie ventriculaire, thrombose des vaisseaux coronaires, angine de poitrine, spasmes des vaisseaux coronaires
  • +Rares: arythmie (y compris bradycardie et tachycardie), infarctus du myocarde.
  • +Très rares: arrêt cardiaque, palpitations.
  • +Fréquence inconnue: insuffisance cardiaque, arrêt cardiaque ou respiratoire, infarctus du myocarde, troubles de la conduction, hypokinésie ventriculaire, thrombose des vaisseaux coronaires, angine de poitrine, spasmes des vaisseaux coronaires, syndrome de Kounis.
  • -Occasionnels: bouffée de chaleur
  • -Rares: hypotension
  • -Très rares: hypertension, ischémie
  • -Fréquence inconnue: choc, spasmes artériels, thrombose, thrombophlébite
  • +Occasionnels: bouffée de chaleur.
  • +Rares: hypotension.
  • +Très rares: hypertension, ischémie.
  • +Fréquence inconnue: choc, spasmes artériels, thrombose, thrombophlébite.
  • -Rares: modification transitoire de la fréquence respiratoire, essoufflement, toux, éternuement
  • -Très rares: dyspnée, irritation de la gorge, œdème du pharynx, œdème laryngé
  • -Fréquence inconnue: œdème pulmonaire non cardiogénique, arrêt respiratoire, arrêt cardiaque, défaillance pulmonaire, bronchospasme, sensation de gorge serrée
  • +Rares: modification transitoire de la fréquence respiratoire, dyspnée, toux, éternuement.
  • +Très rares: irritation de la gorge, œdème laryn, œdème pharyngé.
  • +Fréquence inconnue: œdème pulmonaire non cardiogénique, arrêt respiratoire, arrêt cardiaque, insuffisance respiratoire, bronchospasme, sensation de gorge serrée.
  • -Occasionnels: nausée, vomissement
  • -Très rares: douleurs abdominales, diarrhée, malaise
  • -Fréquence inconnue: pancréatite aiguë, aggravation d’une pancréatite, augmentation du volume des glandes salivaires
  • +Occasionnels: nausée, vomissement.
  • +Très rares: douleur abdominale, diarrhée, malaise.
  • +Fréquence inconnue: pancréatite aiguë, aggravation d’une pancréatite, augmentation du volume des glandes salivaires.
  • -Occasionnels: rash cutané ou exanthème médicamenteux, prurit, urticaire
  • -Rares: érythème
  • -Très rares: angiœdème, hyperhidrose
  • -Fréquence inconnue: dermatite bulleuse ou exfoliative, syndrome de Steven-Johnson, érythème en cocarde, syndrome de Debré-Lamy-Lamotte, pustulose exanthématique aiguë généralisée, éruption cutanée due à un médicament avec éosinophilie et symptômes systémiques, dermatite allergique, desquamation de la peau
  • +Occasionnels: rash ou exanthème médicamenteux, prurit, urticaire.
  • +Rares: érythème.
  • +Très rares: angiœdème, hyperhidrose.
  • +Fréquence inconnue: réaction cutanée sévère: dermatite bulleuse ou exfoliatrice, syndrome de Steven-Johnson, érythème en cocarde, syndrome de Debré-Lamy-Lamotte, pustulose exanthématique aiguë généralisée, éruption cutanée due à un médicament avec éosinophilie et symptômes systémiques, dermatite allergique, exfoliation cutanée.
  • -Très rares: dorsalgie, crampe musculaire
  • -Fréquence inconnue: arthralgie
  • +Très rares: dorsalgie, contractures musculaires.
  • +Fréquence inconnue: arthralgie.
  • -Occasionnels: détérioration de la fonction rénale, y compris insuffisance rénale aiguë ou néphropathie toxique (néphropathie induite par le produit de contraste)
  • -Fréquence inconnue: détérioration aiguë de la fonction rénale en cas d’insuffisance rénale chronique préexistante, taux de créatinine sanguin accru
  • +Occasionnels: insuffisance rénale aiguë ou néphropathie toxique (CIN/néphropathie induite par le produit de contraste).
  • +Fréquence inconnue: détérioration aiguë de la fonction rénale en cas d’insuffisance rénale chronique préexistante, taux de créatinine sanguin accru.
  • -Occasionnels: sensation de chaleur, douleur mammaire
  • -Rares: douleurs, malaise, frissons, fièvre, réactions au site d’injection, y compris extravasation, sensation de froid
  • -Très rares: états asthéniques (par ex., malaise, fatigue), œdème de la face, œdèmes locaux, accès de sueurs, réactions vasovagales
  • -Fréquence inconnue: tuméfaction, les réactions locales surviennent principalement lors d’angiographie périphérique
  • +Occasionnels: sensation de chaud, douleur thoracique.
  • +Rares: douleurs, malaise, frissons, fièvre, réactions au site d’injection, y compris extravasation, sensation de froid.
  • +Très rares: états asthéniques (par ex., malaise, fatigue), œdème de la face, œdèmes locaux, accès de sueurs, prodromes de syncope.
  • +Fréquence inconnue: tuméfaction, les réactions locales surviennent principalement lors d’angiographie périphérique.
  • -Très rares: élévation de la créatinine sérique
  • +Très rares: élévation de la créatinine sérique.
  • -Fréquence inconnue: iodisme
  • +Fréquence inconnue: intoxication à l’iode.
  • -Fréquence inconnue: hypersensibilité, y compris réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes
  • +Fréquence inconnue: hypersensibilité, y compris réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes.
  • -Occasionnels: céphalée (peut être grave et persistante)
  • -Fréquence inconnue: étourdissement, encéphalopathie transitoire induite par le produit de contraste, pouvant se manifester sous forme de dysfonction sensorielle, motrice ou neurologique globale (y compris amnésie, hallucinations, confusion, paralysie, parésie, désorientation, aphasie, trouble du language transitoire, dysarthrie)
  • +Occasionnels: céphalée (peut être grave et persistante).
  • +Fréquence inconnue: sensation vertigineuse, encéphalopathie transitoire liée au produit de contraste, provoquée par le passage du produit de contraste à travers une barrière hémato-encéphalique altérée, pouvant se manifester sous forme de dysfonction sensorielle, motrice ou neurologique globale (y compris amnésie, hallucinations, confusion, paralysie, parésie, désorientation, aphasie, trouble du langage transitoire, dysarthrie).
  • -Occasionnels: vomissement
  • -Fréquence inconnue: nausée
  • +Occasionnels: vomissement.
  • +Fréquence inconnue: nausée.
  • -Fréquence inconnue: contractures musculaires
  • +Fréquence inconnue: contractures musculaires.
  • -Fréquence inconnue: douleurs au site d’injection, frissons
  • +Fréquence inconnue: douleurs au site d’injection, frissons.
  • -Fréquence inconnue: hypersensibilité, y compris réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes
  • +Fréquence inconnue: hypersensibilité, y compris réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes.
  • -Fréquents: céphalée
  • +Fréquents: céphalée.
  • -Très fréquents: douleurs abdominales basses
  • -Fréquents: nausée
  • -Occasionnels: vomissement
  • +Très fréquents: douleurs abdominales basses.
  • +Fréquents: nausée.
  • +Occasionnels: vomissement.
  • -Très fréquents: hémorragie vaginale
  • +Très fréquents: hémorragie vaginale.
  • -Fréquents: fièvre
  • -Fréquence inconnue: frissons, réactions au site d’injection
  • +Fréquents: fièvre.
  • +Fréquence inconnue: frissons, réactions au site d’injection.
  • -Fréquents: douleurs au site d’injection
  • -Fréquence inconnue: frissons
  • +Fréquents: douleurs au site d’injection.
  • +Fréquence inconnue: frissons.
  • -Fréquence inconnue: réactions d’hypersensibilité, y compris réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes
  • +Fréquence inconnue: hypersensibilité, y compris réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes.
  • -Fréquents: diarrhée, douleur abdominale, nausée
  • -Occasionnels: vomissement
  • +Fréquents: diarrhée, douleur abdominale, nausée.
  • +Occasionnels: vomissement.
  • -Un surdosage provoquant des symptômes est improbable chez les patients dont la fonction rénale est normale. La durée de l’examen est importante pour la tolérance rénale de doses élevées de produits de contraste (t½β env. 2 heures). En cas de surdosage, toutes les pertes en eau et en électrolytes doivent être compensées par perfusion. La fonction rénale doit être surveillée durant les trois jours suivants. En cas de besoin, l’iodixanol peut être éliminé par hémodialyse. Il n’existe pas d’antidote spécifique.
  • +Un surdosage provoquant des symptômes est improbable chez les patients dont la fonction rénale est normale. La durée de l’examen est importante pour la tolérance rénale de doses élevées de produits de contraste (t½β env. 2 heures). En cas de surdosage, toutes les pertes en eau et en électrolytes doivent être compensées par perfusion. La fonction rénale doit être surveillée durant les trois jours suivants. En cas de besoin, l’Iodixanolum peut être éliminé par hémodialyse. Il n’existe pas d’antidote spécifique.
  • -Visipaque n’a que des effets légers (c’est-à-dire une réduction transitoire de la clairance) sur la fonction rénale des patients. Chez 64 patients diabétiques avec des taux de créatinine sérique compris entre 1,3 et 3,5 mg/dl, l’administration de Visipaque a entraîné chez 3% des patients une augmentation de la créatinine ≥ 0,5 mg/dl et chez 0% des patients une augmentation ≥ 1,0 mg/dl. Après l’administration de Visipaque, la libération des marqueurs enzymatiques (phosphatase alcaline et N-acétyle-βglucosaminidase) par les cellules tubulaires proximales est inférieure à celle constatée après l’administration de produits de contraste non ioniques monomères et de produits de contraste ioniques dimères (voir «Mises en garde et précautions/Fonction rénale»).
  • +Visipaque n’a que des effets légers (c’est-à-dire une réduction transitoire de la clairance) sur la fonction rénale des patients. Chez 64 patients diabétiques avec des taux de créatinine sérique compris entre 1,3 et 3,5 mg/dl, l’administration de Visipaque a entraîné chez 3% des patients une augmentation de la créatinine ≥ 0,5 mg/dl et chez 0% des patients une augmentation ≥ 1,0 mg/dl. Après l’administration de Visipaque, la libération des marqueurs enzymatiques (phosphatase alcaline et Nacétyle-βglucosaminidase) par les cellules tubulaires proximales est inférieure à celle constatée après l’administration de produits de contraste non ioniques monomères et de produits de contraste ioniques dimères (voir «Mises en garde et précautions/Fonction rénale»).
  • -Voir la rubrique «Mécanisme d’action»
  • +Pharmacodynamique
  • +Voir «Mécanisme d’action».
  • +Efficacité clinique
  • -L’iodixanol se répartit rapidement dans l’organisme, avec une demi-vie moyenne d’environ 21 minutes pour la phase de distribution (t½β). Le volume de distribution correspond à celui du liquide extracellulaire (0,26 l/kg), ce qui signifie que l’iodixanol ne se répartit que dans l’espace extracellulaire. Aucune étude n’a été effectuée ni chez l’animal, ni chez la femme qui allaite, afin de savoir si l’iodixanol est sécrété dans le lait maternel. Aucune cinétique plasmatique dose-dépendante n’a été constatée aux doses recommandées. La liaison aux protéines plasmatiques est inférieure à 2%.
  • +L’Iodixanolum se répartit rapidement dans l’organisme, avec une demi-vie moyenne d’environ 21 minutes pour la phase de distribution (t½β). Le volume de distribution correspond à celui du liquide extracellulaire (0,26 l/kg), ce qui signifie que l’Iodixanolum ne se répartit que dans l’espace extracellulaire. Aucune étude n’a été effectuée ni chez l’animal, ni chez la femme qui allaite, afin de savoir si l’Iodixanolum est sécrété dans le lait maternel. Aucune cinétique plasmatique dose-dépendante n’a été constatée aux doses recommandées. La liaison aux protéines plasmatiques est inférieure à 2%.
  • -Les études de toxicité après administration simple et répétée ont montré une toxicité généralement minime de l’iodixanol.
  • +Les études de toxicité après administration simple et répétée indiquent une toxicité généralement minime de l’Iodixanolum.
  • +Génotoxicité
  • +Les essais in vitro sur des bactéries et des cellules de mammifères, ainsi qu’un test in vivo (test du micronoyau) avec l’Iodixanolum n’ont montré aucun effet mutagène.
  • +Carcinogénicité
  • +Aucune étude de carcinogénicité n’a été réalisée.
  • -Les études toxicologiques sur la reproduction réalisées sur des rats et des lapins ne permettent pas de conclure à une réduction de la fertilité ou du taux de gestations, ni à une perturbation de l’élevage ou du développement de la descendance.
  • -Mutagénicité
  • -Les essais in vitro sur des bactéries et des cellules de mammifères, ainsi qu’un test in vivo (test du micronoyau) avec l’iodixanol n’ont montré aucun effet mutagène.
  • -
  • +Les études toxicologiques sur la reproduction réalisées sur des rats et des lapins ne permettent pas de conclure à une réduction de la fertilité ou du taux de gestation, ni à une perturbation de l’élevage ou du développement de la descendance.
  • -Aucune incompatibilité n’a été constatée à ce jour. Visipaque ne doit pas être mélangé à d’autres produits, il convient d’utiliser une seringue distincte.
  • +En l’absence d’études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé à d’autres médicaments. Il convient d’utiliser une seringue distincte.
  • -Tous les produits de contraste iodés peuvent altérer les tests de la fonction thyroïdienne. De plus, la capacité du tissu thyroïdien à fixer l’iode peut être abaissée pendant une période pouvant aller jusqu’à 2 semaines. Des concentrations élevées du produit de contraste dans le sérum et dans les urines peuvent affecter les tests de laboratoire in vitro de la bilirubine, de protéines ou de substances inorganiques (telles que le fer, le cuivre, le calcium et le phosphate). Par conséquent, il est déconseillé d’analyser ces substances le jour de l’administration de Visipaque.
  • +·Test de la fonction thyroïdienne: tous les produits de contraste iodés peuvent altérer les tests de la fonction thyroïdienne. De plus, la capacité du tissu thyroïdien à fixer l’iode peut être abaissée pendant une période pouvant aller jusqu’à 2 semaines.
  • +·Tests de laboratoire in vitro de la bilirubine, de protéines ou de substances inorganiques (telles que le fer, le cuivre, le calcium et le phosphate): des concentrations élevées du produit de contraste dans le sérum et dans les urines peuvent perturber les résultats. Par conséquent, il est déconseillé d’analyser ces substances le jour de l’utilisation de Visipaque.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
  • +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
  • +Stabilité après ouverture
  • +La préparation ne contient pas de conservateur. Sa stabilité chimique et physique «in use» a été démontrée pendant 24 heures entre 15 et 25 °C. Pour des raisons microbiologiques, la préparation prête à l’emploi doit être utilisée immédiatement après ouverture. Lors de l’utilisation, la durée et les conditions de stockage relèvent de la responsabilité de l’utilisateur.
  • +
  • -Le liquide se trouvant éventuellement dans le goulot des flacons en propylène doit en être évacué avant l’ouverture du récipient. Comme pour tous les produits administrés par voie parentérale, il faut vérifier visuellement que la solution injectable ne contienne pas de particules et n’ait pas changé de couleur. Le récipient doit être intact.
  • +La solution injectable stérile doit être inspectée visuellement avant toute utilisation afin de vérifier l’absence de particules et de modification de la couleur, ainsi que l’intégrité du récipient. Le liquide se trouvant éventuellement dans le goulot des flacons en propylène doit en être évacué avant l’ouverture du récipient.
  • -Autres remarques concernant le flacon de 500 ml
  • -Les flacons de perfusion de 500 ml permettent une administration intravasculaire répétée dans la même journée en cas d’utilisation d’un injecteur automatique homologué pour ce volume. Le bouchon en caoutchouc ne doit être percé qu’une seule fois. Tout le matériel en contact avec le patient ainsi que les instruments et tubulures correspondants doivent être remplacés après chaque examen afin d’éviter toute contamination d’un patient à l’autre. Les recommandations du fabricant doivent être respectées. Les restes de solution de perfusion non utilisée ainsi que les éléments à usage unique de l’injecteur automatique doivent être éliminés à la fin de la journée. La manipulation des différents systèmes est exclusivement réservée à un personnel spécialement formé et contrôlé.
  • +Autres remarques
  • +Si le médicament est administré à l’aide d’un système d’administration automatique, il faut démontrer que ce système est adéquat pour l’utilisation prévue. Les instructions d’utilisation des systèmes doivent être respectées. L’utilisation des différents systèmes est exclusivement réservée à un personnel spécialement formé.
  • +Les flacons de perfusion de 500 ml permettent une administration intravasculaire répétée dans la même journée, mais des flacons plus petits peuvent également être utilisés s’ils sont adaptés. Le bouchon en caoutchouc ne doit être percé qu’une seule fois. Tout le matériel en contact avec le patient ainsi que les instruments et tubulures correspondants doivent être remplacés après chaque examen afin d’éviter toute contamination d’un patient à l’autre. Les restes de solution de perfusion non utilisée ainsi que les éléments à usage unique de l’injecteur automatique doivent être éliminés à la fin de la journée.
  • -Flacons d’injection: 1 × 20 ml, 10 × 20 ml
  • -Flacons en PP: 1 × 50 ml, 10 × 50 ml, 1 × 100 ml, 10 × 100 ml, 1 × 200 ml, 10 × 200 ml, 1 × 500 ml, 6 × 500 ml
  • +Flacons d’injection: 1 × 20 ml, 10 × 20 ml
  • +Flacons en PP: 1 × 50 ml, 10 × 50 ml, 1 × 100 ml, 10 × 100 ml, 1 × 200 ml, 10 × 200 ml, 1 × 500 ml, 6 × 500 ml
  • -Flacons en PP: 1 × 50 ml, 10 × 50 ml, 1 × 100 ml, 10 × 100 ml, 1 × 200 ml, 10 × 200 ml, 1 × 500 ml, 6 × 500 ml
  • +Flacons en PP: 1 × 50 ml, 10 × 50 ml, 1 × 100 ml, 10 × 100 ml, 1 × 200 ml, 10 × 200 ml, 1 × 500 ml, 6 × 500 ml
  • -GE Healthcare AG, Opfikon
  • +GE Healthcare AG, 8152 Opfikon
  • -Septembre 2021
  • +Juin 2023
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