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Accueil - Information professionnelle sur Zoloft - Changements - 16.01.2023
126 Changements de l'information professionelle Zoloft
  • -Calcii hydrogenophosphas dihydricus, cellulosum microcristallinum, hydroxypropylcellulosum, carboxymethylamilum natricum A (corresp. 1.49 mg natrium), magnesii stearas, hypromellosum, titanii dioxidum [E171], macrogolum 400, macrogolum 8000, polysorbatum 80.
  • -Teneur totale en sodium par comprimé pelliculé: 1.49 mg.
  • +Glycerolum (E 422) 1011 mg, ethanolum 96 per centum 151 mg, levomentholum, butylhydroxytoluenum (E 321) pro 1 ml.
  • +Teneur en alcool: 18% vol.
  • -Zoloft doit être pris une fois par jour, soit le matin, soit le soir, pendant ou en dehors des repas. Les comprimés pelliculés présentent une rainure et peuvent être divisés pour réduire la posologie de moitié.
  • +Zoloft doit être pris une fois par jour, soit le matin, soit le soir, pendant ou en dehors des repas. Zoloft solution à diluer pour solution buvable doit être dilué avant la prise (voir «Remarques particulières, Remarques concernant la manipulation»).
  • -Une dose de sertraline de 50 mg/jour (1 comprimé pelliculé) est recommandée au début du traitement de la dépression, ainsi que comme dose thérapeutique usuelle. Si la réponse est insuffisante, mais le médicament bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
  • -Dans le cadre d'études cliniques sur la dépression, des doses journalières allant jusqu'à 200 mg ont été administrées. L'effet d'une dose quotidienne de 50 mg était cependant similaire à celui de doses journalières plus élevées.
  • +Une dose de sertraline de 50 mg/jour (2.5 ml de solution à diluer pour solution buvable) est recommandée au début du traitement de la dépression, ainsi que comme dose thérapeutique usuelle. Si la réponse est insuffisante, mais le médicament bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
  • +Dans le cadre d'études cliniques sur la dépression, des doses journalières allant jusqu'à 200 mg ont été administrées. L'effet d'une dose quotidienne de 50 mg était cependant analogue à celui de doses journalières plus élevées.
  • -La dose initiale usuelle est de 50 mg/jour (1 comprimé pelliculé). Si la réponse est insuffisante, mais le médicament bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
  • +La dose initiale usuelle est de 50 mg/jour (2.5 ml de solution à diluer pour solution buvable). Si la réponse est insuffisante, mais le médicament bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
  • -Le traitement doit débuter par une dose de 25 mg/jour (½ comprimé pelliculé) qui sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine. Si la réponse est insuffisante, mais le médicament bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
  • +Le traitement doit débuter par une dose de 25 mg/jour (1.25 ml de solution à diluer pour solution buvable) qui sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine. Si la réponse est insuffisante, mais le médicament bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
  • -Le traitement doit débuter par une dose de 25 mg/jour (½ comprimé pelliculé) qui sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine. Si la réponse est insuffisante, mais le médicament bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
  • +Le traitement doit débuter par une dose de 25 mg/jour (1.25 ml de solution à diluer pour solution buvable) qui sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine. Si la réponse est insuffisante, mais le médicament bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
  • -Le traitement devra débuter par une dose de 25 mg/jour (½ comprimé pelliculé) qui sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine. Si la réponse est insuffisante, mais le médicament bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
  • +Le traitement doit débuter par une dose de 25 mg/jour (1.25 ml de solution à diluer pour solution buvable) qui sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine. Si la réponse est insuffisante, mais le médicament bien toléré, la dose pourra être augmentée par paliers ne dépassant pas 50 mg par semaine, jusqu'à la dose maximale de 200 mg par jour.
  • -Chez les patients présentant une insuffisance hépatique ou rénale, Zoloft doit être administré avec prudence (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère à modérée (Child Pugh Class A+B), la posologie doit être réduite de moitié au moins. Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère (Child Pugh Class C), l'administration de Zoloft est contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
  • +Chez les insuffisants rénaux ou hépatiques, Zoloft doit être administré avec prudence (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère à modérée (Child Pugh Class A+B), la posologie doit être réduite de moitié au moins. Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh Class C), l'administration de Zoloft est contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
  • -Chez les adolescents de 13 à 17 ans atteints de troubles obsessionnels compulsifs, la dose initiale recommandée est de 50 mg/jour (1 comprimé pelliculé). Chez les enfants de 6 à 12 ans atteints de troubles obsessionnels compulsifs, la dose initiale recommandée est de 25 mg/jour (½ comprimé pelliculé). Celle-ci sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine. Si la réponse à une dose de 50 mg/jour est insuffisante, la dose peut être augmentée par palier de 50 mg pour atteindre 200 mg par jour. Lorsque la dose est augmentée à plus de 50 mg/jour, il convient cependant de tenir compte du poids corporel des enfants, inférieur à celui des adultes, afin d'éviter une posologie trop élevée. Compte tenu de la demi-vie d'élimination qui est d'environ 24 heures, l'intervalle entre les augmentations de la dose ne doit pas être inférieur à une semaine.
  • -La sécurité d'emploi et l'efficacité n'ont été étudiées en pédiatrie que chez des patients présentant des troubles obsessionnels compulsifs. Le risque potentiel doit être évalué par rapport au bénéfice clinique avant l'administration de Zoloft chez les enfants ou les adolescents (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Chez les adolescents de 13 à 17 ans atteints de troubles obsessionnels compulsifs, la dose initiale recommandée est de 50 mg/jour (2.5 ml de solution à diluer pour solution buvable). Chez les enfants de 6 à 12 ans atteints de troubles obsessionnels compulsifs, la dose initiale recommandée est de 25 mg/jour (1.25 ml de solution à diluer pour solution buvable). Celle-ci sera augmentée à 50 mg/jour après une semaine. Si la réponse à une dose de 50 mg/jour est insuffisante, la dose peut être augmentée par palier de 50 mg pour atteindre 200 mg par jour. Lorsque la dose est augmentée à plus de 50 mg/jour, il convient cependant de tenir compte du poids corporel des enfants, inférieur à celui des adultes, afin d'éviter une posologie trop élevée. Compte tenu de la demi-vie d'élimination qui est d'environ 24 heures, l'intervalle entre les augmentations de la dose ne doit pas être inférieur à une semaine.
  • +La sécurité d'emploi et l'efficacité n'ont été étudiées en pédiatrie que chez des patients ayant des troubles obsessionnels compulsifs. Le risque potentiel doit être évalué par rapport au bénéfice clinique avant l'administration de Zoloft chez les enfants ou les adolescents (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Il est recommandé de ne pas arrêter le traitement brutalement, mais de diminuer progressivement la dose, si possible (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Il est recommandé de ne pas arrêter le traitement brutalement, mais de diminuer, autant que possible, la dose progressivement (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Insuffisance hépatique sévère (Child Pugh Class C).
  • +Insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh Class C).
  • +Compte tenu de sa teneur en alcool, la prise de Zoloft solution à diluer pour solution buvable est contre-indiquée lors de l'utilisation simultanée de disulfirame (voir «Interactions»).
  • +
  • -Après mise sur le marché, des cas d'allongement de l'intervalle QTc et de torsades de pointes (TdP) ont été observés lors d'un traitement par la sertraline. La majorité des cas est survenue chez des patients présentant d'autres facteurs de risques d'allongement de l'intervalle QTc/de TdP. La sertraline ne doit de ce fait être utilisée qu'avec prudence chez les patients présentant des facteurs de risques d'un allongement de l'intervalle QTc (par ex., syndrome du QT long congénital, hypokaliémie). Le risque d'un allongement de l'intervalle QTc et/ou d'arythmie ventriculaire (par ex. TdP) est également accru en cas de prise simultanée d'autres médicaments qui peuvent provoquer un allongement de l'intervalle QTc (par ex. certains antipsychotiques et antibiotiques). Voir «Propriétés/Effets – Efficacité clinique».
  • +Après mise sur le marché, des cas d'allongement de l'intervalle QTc et de torsades de pointes (TdP) ont été observés lors d'un traitement par la sertraline. La majorité des cas est survenue chez des patients présentant d'autres facteurs de risques d'allongement de l'intervalle QTc/de TdP. La sertraline ne doit de ce fait être utilisée qu'avec prudence chez les patients présentant des facteurs de risques d'un allongement de l'intervalle QTc (par ex. syndrome du QT long congénital, hypokaliémie). Le risque d'un allongement de l'intervalle QTc et/ou d'arythmie ventriculaire (par ex. TdP) est également accru en cas de prise simultanée d'autres médicaments qui peuvent provoquer un allongement de l'intervalle QTc (par ex. certains antipsychotiques et antibiotiques). Voir «Propriétés/Effets – Efficacité clinique».
  • -Des cas de développement d'un syndrome d'issue potentiellement fatale tel que le syndrome sérotoninergique (SS) ou le syndrome neuroleptique malin (SNM) ont été rapportés avec les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), y compris la sertraline. Le risque de SS ou de SNM sous ISRS est augmenté en cas d'utilisation concomitante d'autres médicaments sérotoninergiques (par ex., les amphétamines, le méthylphénidate, le dextrométhorphane, le fentanyl, la méthadone, le tapentadol, le tramadol, la buprénorphine ou les triptans), de médicaments influençant le métabolisme de la sérotonine (tels que le millepertuis, les inhibiteurs de la MAO, voir la rubrique s'y rapportant), d'antipsychotiques ou d'autres antagonistes de la dopamine. Les symptômes de SS peuvent comprendre des modifications de l'état psychique (par ex., agitation, hallucinations, coma), une instabilité autonome (par ex., tachycardie, labilité de la tension artérielle, hyperthermie), des anomalies neuromusculaires (par ex., hyperréflexie, manque de coordination) et/ou des symptômes gastro-intestinaux (par ex., nausées, vomissements, diarrhées). Certains signes d'un SS, tels que l'hyperthermie, la raideur musculaire, l'instabilité végétative avec de possibles variations rapides des signes vitaux et des modifications de l'état psychique, ressemblent à ceux d'un SNM. Les patients doivent être surveillés afin de détecter la survenue de signes ou de symptômes de SS ou de SNM.
  • +Des cas de développement d'un syndrome potentiellement fatal tel que le syndrome sérotoninergique (SS) ou le syndrome neuroleptique malin (SNM) ont été rapportés avec les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), y compris la sertraline. Le risque de SS ou de SNM sous ISRS est augmenté en cas d'utilisation concomitante d'autres médicaments sérotoninergiques (par ex. les amphétamines, le méthylphénidate, le dextrométhorphane, le fentanyl, la méthadone, le tapentadol, le tramadol, la buprénorphine ou les triptans), de médicaments influençant le métabolisme de la sérotonine (tels que le millepertuis, les inhibiteurs de la MAO, voir la rubrique s'y rapportant), d'antipsychotiques ou d'autres antagonistes de la dopamine. Les symptômes de SS peuvent comprendre des modifications de l'état psychique (par ex. agitation, hallucinations, coma), une instabilité autonome (par ex. tachycardie, labilité de la pression artérielle, hyperthermie), des anomalies neuromusculaires (par ex. hyperréflexie, manque de coordination) et/ou des symptômes gastro-intestinaux (par ex. nausées, vomissements, diarrhées). Certains signes d'un SS, comme l'hyperthermie, la raideur musculaire, l'instabilité végétative avec de possibles variations rapides des signes vitaux et des modifications de l'état psychique, ressemblent à ceux d'un SNM. Les patients doivent être surveillés afin de détecter la survenue de signes ou de symptômes de SS ou de SNM.
  • -Des réactions graves, parfois d'issue fatale, ont été observées chez des patients recevant simultanément de la sertraline et des IMAO, y compris la sélégiline, un IMAO-B sélectif, le moclobémide, un IMAO-A réversible, et d'autres IMAO (par ex. le linézolide [un antibiotique qui est un IMAO réversible non sélectif] ou le bleu de méthylène). Dans quelques cas sont apparus des signes de syndrome sérotoninergique dont les symptômes regroupent hyperthermie, rigidité, crampes musculaires, labilité végétative avec d'éventuelles variations rapides des signes vitaux, modifications de l'état de conscience, y compris états confusionnels, irritabilité et agitation extrême susceptible de progresser vers le délire et le coma. En conséquence, la sertraline ne doit pas être administrée en même temps que des IMAO, ni dans les 14 jours qui suivent l'arrêt d'un traitement par des IMAO. De même, un délai d'au moins 14 jours devra être respecté entre l'arrêt d'un traitement par la sertraline et le début du traitement par IMAO (voir «Contre-indications»).
  • +Des réactions graves, parfois fatales, ont été observées chez des patients recevant simultanément de la sertraline et des IMAO, y compris la sélégiline, un IMAO-B sélectif, le moclobémide, un IMAO-A réversible, et d'autres IMAO (par ex. linézolide [un antibiotique qui est un IMAO réversible non sélectif] ou le bleu de méthylène). Dans quelques cas sont apparus des signes de syndrome sérotoninergique dont les symptômes regroupent hyperthermie, rigidité, crampes musculaires, labilité végétative avec d'éventuelles variations rapides des signes vitaux, modifications de l'état de conscience, y compris états confusionnels, irritabilité et agitation extrême susceptible de progresser vers le délire et le coma. En conséquence, la sertraline ne doit pas être administrée en même temps que des IMAO ni dans les 14 jours qui suivent l'arrêt d'un traitement par des IMAO. De même, un délai d'au moins 14 jours doit être respecté entre l'arrêt d'un traitement par la sertraline et le début du traitement par IMAO (voir «Contre-indications»).
  • -L'attention des patients et des personnes qui les prennent en charge doit être attirée sur la survenue d'une éventuelle suicidalité dans le cadre d'un traitement antidépresseur. Ils doivent être informés du fait qu'en cas de constatation de tout signe d'une détérioration clinique et de modifications inhabituelles du comportement ainsi qu'en particulier en cas de survenue d'idées suicidaires ou de comportement suicidaire, le médecin traitant doit être contacté.
  • -Compte tenu de la comorbidité prouvée entre la dépression, les troubles obsessionnels compulsifs, les troubles paniques, le stress post-traumatique et la phobie sociale, il est recommandé, lors du traitement des patients présentant ces troubles d'appliquer les mêmes mesures de précaution que lors du traitement de patients atteints de dépression.
  • -Pour réduire le risque de surdosage dans une intention suicidaire, une quantité aussi réduite que possible de comprimés pelliculés, mais toutefois adaptée au patient, doit être prescrite.
  • +L'attention des patients et des personnes qui les prennent en charge doit être attirée sur la survenue d'une éventuelle suicidalité dans le cadre d'un traitement antidépresseur. Il doivent être informés du fait qu'en cas de constatation de tout signe d'une détérioration clinique et de modifications inhabituelles du comportement ainsi qu'en particulier en cas d'apparition d'idées suicidaires ou de comportement suicidaire, le médecin traitant doit être contacté.
  • +Compte tenu de la comorbidité prouvée entre la dépression, les troubles obsessionnels compulsifs, les troubles paniques, les stress posttraumatiques et la phobie sociale, il est recommandé, lors du traitement des patients présentant ces troubles d'appliquer les mêmes mesures de précaution que lors du traitement de patients atteints de dépression.
  • +Pour réduire le risque de surdosage dans une intention suicidaire, une quantité aussi réduite que possible de solution à diluer pour solution buvable, mais toutefois adaptée au patient, doit être prescrite.
  • -La sertraline n'est pas recommandée pour le traitement d'une dépression chez les patients de moins de 18 ans. Dans des études cliniques menées avec des antidépresseurs, une suicidalité (tentatives de suicide et idées suicidaires) ainsi qu'une attitude d'hostilité (principalement un comportement agressif et oppositionnel ainsi que des accès de colère) ont été observées plus fréquemment chez les enfants et les adolescents sous traitement par des antidépresseurs que sous placebo. Une telle attitude d'hostilité a été également rapportée de manière isolée chez des enfants présentant des troubles obsessionnels compulsifs.
  • +La sertraline n'est pas recommandée pour le traitement d'une dépression chez les patients de moins de 18 ans. Dans des études cliniques menées avec des antidépresseurs, une suicidalité (tentatives de suicide et idées suicidaires) ainsi qu'une attitude d'hostilité (principalement un comportement agressif et oppositionnel ainsi que des accès de colère) ont été observées plus fréquemment chez les enfants et les adolescents sous antidépresseurs que sous placebo. Une telle attitude d'hostilité a été également rapportée de manière isolée chez des enfants ayant des troubles obsessionnels compulsifs.
  • -Durant les études portant sur la dépression, une crise d'épilepsie a été rapportée chez trois patients sur environ 4'000 (environ 0.08%). Aucune crise d'épilepsie n'a été observée chez les patients sous sertraline inclus dans le programme de développement clinique pour le traitement du trouble panique. Dans le cadre du programme de développement clinique pour le traitement des troubles obsessionnels compulsifs, quatre patients sur environ 1'800 exposés à la sertraline (environ 0.2%) ont présenté des crises d'épilepsie. Trois de ces patients étaient des adolescents, dont deux souffraient d'épilepsie, et un patient présentait une anamnèse familiale de crises d'épilepsie. Aucun de ces patients n'était traité par des antiépileptiques.
  • -Les patients dont l'épilepsie est contrôlée doivent être étroitement surveillés. Le traitement par la sertraline doit impérativement être arrêté dès la survenue d'une crise épileptique.
  • +Durant les études portant sur la dépression, une crise d'épilepsie a été rapportée chez trois patients sur environ 4'000 (environ 0.08%). Aucune crise d'épilepsie n'a été observée chez les patients sous sertraline inclus dans le programme de développement clinique pour le traitement du trouble panique. Dans le cadre du programme de développement clinique pour le traitement des troubles obsessionnels compulsifs, quatre patients sur environ 1'800 exposés à la sertraline (environ 0.2%) ont présenté des crises d'épilepsie. Trois de ces patients étaient des adolescents, dont deux souffraient de crises, et un patient présentait une anamnèse familiale de crises d'épilepsie. Aucun de ces patients n'était traité par des antiépileptiques.
  • +Les patients dont l'épilepsie est contrôlée doivent être surveillés soigneusement. Le traitement par la sertraline doit impérativement être arrêté dès la survenue d'une crise épileptique.
  • -Une hyponatrémie peut être la conséquence d'un traitement par les ISRS (y compris par la sertraline) ou par les IRSN. Dans de nombreux cas, l'hyponatrémie semble être due au syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique (Syndrome of inappropriate antidiuretic hormone secretion, SIADH). Des cas présentant un taux sérique inférieur à 110 mmol/l ont été signalés. Chez les patients âgés, le risque d'hyponatrémie peut être augmenté sous ISRS ou IRSN. Ce risque est également augmenté chez les patients qui prennent des diurétiques ou qui présentent une réduction du volume extracellulaire d'autre origine. Chez les patients présentant une hyponatrémie symptomatique, l'arrêt du traitement par la sertraline doit être envisagé et des mesures médicales adéquates doivent être mises en œuvre. Les symptômes de l'hyponatrémie sont les céphalées, les difficultés de concentration, les troubles de la mémoire, la confusion mentale et une sensation de faiblesse pouvant être à l'origine de chutes. Dans les cas sévères ou aigus, des hallucinations, des syncopes, des crises convulsives, un coma, un arrêt respiratoire ou un décès peuvent survenir.
  • +Une hyponatrémie peut être la conséquence d'un traitement par les ISRS (y compris par la sertraline) ou par les IRSN. Dans bien des cas, l'hyponatrémie semble être due au syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique (Syndrome of inappropriate antidiuretic hormone secretion, SIADH). Des cas présentant un taux sérique inférieur à 110 mmol/l ont été signalés. Chez les patients âgés, le risque d'hyponatrémie peut être augmenté sous ISRS ou IRSN. Ce risque est également augmenté chez les patients qui prennent des diurétiques ou qui présentent une réduction du volume extracellulaire d'autre origine. Chez les patients présentant une hyponatrémie symptomatique, l'arrêt du traitement par la sertraline doit être envisagé et des mesures médicales adéquates doivent être mises en œuvre. Les symptômes de l'hyponatrémie sont les céphalées, les difficultés de concentration, les troubles de la mémoire, la confusion mentale et une sensation de faiblesse pouvant être à l'origine de chutes. Dans les cas sévères ou aigus, des hallucinations, des syncopes, des crises convulsives, un coma, un arrêt respiratoire ou le décès peuvent survenir.
  • -Des cas de saignements anormaux, allant des ecchymoses et purpura à des événements d'issue potentiellement fatale, en passant par des saignements gastro-intestinaux et gynécologiques, ont été rapportés sous ISRS. La prudence est de rigueur chez les patients prenant des ISRS, surtout en cas d'utilisation concomitante de médicaments connus pour leurs effets sur la fonction plaquettaire (tels que les antipsychotiques atypiques et les phénothiazines, la plupart des antidépresseurs tricycliques, l'acide acétylsalicylique et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)) ainsi que chez les patients présentant des antécédents de troubles de la coagulation.
  • +Des cas de saignements anormaux, allant des ecchymoses et purpura à des événements potentiellement fatals, en passant par des saignements gastro-intestinaux et gynécologiques, ont été rapportés sous ISRS. La prudence est de rigueur chez les patients prenant des ISRS, surtout en cas d'utilisation concomitante de médicaments connus pour leurs effets sur la fonction plaquettaire (par ex. antipsychotiques atypiques et phénothiazines, la plupart des antidépresseurs tricycliques, l'acide acétylsalicylique et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)) ainsi que chez les patients présentant des antécédents de troubles de la coagulation.
  • -Des nouveaux cas de diabète sucré ont été rapportés chez les patients traités par des ISRS, y compris par la sertraline. En outre, une tolérance au glucose déréglée, y compris une hyperglycémie ou une hypoglycémie, a été rapportée chez certains patients, indépendamment du fait qu'ils aient été ou non atteints d'un diabète préexistant. Les patients doivent donc être surveillés pour déceler les signes potentiels de fluctuations de la glycémie. Les patients diabétiques doivent étroitement surveiller leur glycémie, car la posologie de l'insuline et/ou des antidiabétiques oraux doit éventuellement être ajustée.
  • +Des nouveaux cas de diabète sucré ont été rapportés chez des patients traités par des ISRS, y compris par la sertraline. En outre, une tolérance au glucose déréglée, y compris une hyperglycémie ou une hypoglycémie, a été rapportée chez certains patients, indépendamment du fait qu'ils aient été ou non atteints d'un diabète préexistant. Les patients doivent donc être surveillés pour déceler les signes potentiels de fluctuations de la glycémie. Les patients diabétiques doivent étroitement surveiller leur glycémie, car la posologie de l'insuline et/ou des antidiabétiques oraux doit éventuellement être ajustée.
  • -Au cours des études épidémiologiques, réalisées principalement chez des patients âgés de 50 ans ou plus, un risque accru de fractures osseuses a été observé chez les patients traités par des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), y compris la sertraline, ou par des antidépresseurs tricycliques (ADT). Le mécanisme à l'origine de ce risque est inconnu.
  • +Au cours des études épidémiologiques, réalisées principalement chez des patients âgés de 50 ans ou plus, un risque accru de fractures osseuses a été observé chez des patients traités par des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), y compris la sertraline, ou par des antidépresseurs tricycliques (ADT). Le mécanisme à l'origine de ce risque est inconnu.
  • -La sertraline est largement métabolisée par le foie. Une étude de pharmacocinétique a montré que, lors d'administration de doses répétées de sertraline à des insuffisants hépatiques des classes Child Pugh A et B, la demi-vie d'élimination était prolongée, et l'ASC ainsi que la Cmax étaient environ trois fois plus élevées en comparaison des valeurs observées chez les volontaires sains. La liaison aux protéines plasmatiques n'était pas significativement différente entre les deux groupes. La sertraline doit être administrée avec prudence aux patients atteints de troubles de la fonction hépatique. Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère à modérée (Child Pugh Class A+B), la posologie doit être réduite de moitié au moins (voir «Posologie/Mode d'emploi, Instructions posologiques particulières»). Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère (Child Pugh Class C), la sertraline ne doit pas être utilisée (voir «Contre-indications»).
  • +La sertraline est largement métabolisée par le foie. Une étude de pharmacocinétique a montré que, lors d'administration de doses répétées de sertraline à des insuffisants hépatiques des classes Child-Pugh A et B, la demi-vie d'élimination était prolongée, et l'ASC ainsi que la Cmax étaient environ trois fois plus élevées en comparaison des valeurs observées chez les volontaires sains. La liaison aux protéines plasmatiques n'était pas significativement différente entre les deux groupes. La sertraline doit être administrée avec prudence aux patients atteints de troubles de la fonction hépatique. Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère à modérée (Child-Pugh Class A+B), la posologie sera réduite au moins à la moitié (voir «Posologie/Mode d'emploi, Instructions posologiques particulières»). Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh Class C), la sertraline ne doit pas être utilisée (voir «Contre-indications»).
  • -La prudence s'impose toutefois chez les insuffisants rénaux (voir également «Pharmacocinétique, Cinétique pour certains groupes de patients»).
  • +La prudence s'impose toutefois chez les insuffisants rénaux (voir également «Pharmacocinétique - Cinétique pour certains groupes de patients»).
  • -Dans une étude randomisée en double aveugle contre placebo, dont l'objectif était de comparer le risque de pharmacodépendance à la sertraline, l'alprazolam et la D-amphétamine, la sertraline n'a pas induit, contrairement aux deux autres substances, d'effets subjectivement positifs, tels que l'euphorie, susceptibles de suggérer un risque d'abus. Avant la mise sur le marché de la sertraline, l'expérience clinique n'a montré aucune tendance en faveur d'un syndrome de sevrage ou d'un besoin impérieux du médicament également nommé «drug seeking behavior» (qui consiste par ex. à se faire établir des prescriptions par plusieurs médecins). Dans des études réalisées chez l'animal, la sertraline n'a pas montré non plus de risque d'abus semblable à celui des stimulants ou des barbituriques (sédatifs).
  • -Tout comme pour les autres médicaments agissant sur le SNC, le médecin doit soigneusement étudier les antécédents des patients en ce qui concerne l'abus de médicaments et, le cas échéant, surveiller les patients afin de détecter des signes d'abus de sertraline (par ex., augmentation de la tolérance, augmentation de la dose, «drug seeking behavior»).
  • +Dans une étude randomisée en double aveugle contre placebo, dont l'objectif était de comparer le risque de pharmacodépendance à la sertraline, l'alprazolam et la D-amphétamine, la sertraline n'a pas induit, contrairement aux deux autres substances, d'effets subjectivement positifs tels que l'euphorie, susceptibles de suggérer un risque d'abus. Avant la mise sur le marché de la sertraline, l'expérience clinique n'a montré aucune tendance en faveur d'un syndrome de sevrage ou d'un besoin impérieux du médicament aussi nommé «drug seeking behavior» (par ex. se faire établir des prescriptions par plusieurs médecins). Dans des études réalisées chez l'animal, la sertraline n'a pas montré non plus de risque d'abus semblable à celui des stimulants ou des barbituriques (sédatifs).
  • +Tout comme pour les autres médicaments agissant sur le SNC, le médecin doit soigneusement étudier les antécédents des patients en ce qui concerne l'abus de médicaments et, le cas échéant, surveiller les patients afin de détecter des signes d'abus de sertraline (par ex. augmentation de la tolérance, augmentation de la dose, «drug seeking behavior»).
  • -La durée de la période intermédiaire sans traitement éventuellement nécessaire lors du passage d'un traitement par un autre ISRS à la sertraline n'a pas été établie.
  • +La durée de la période intermédiaire sans traitement éventuellement nécessaire lors du passage d'un autre ISRS à la sertraline n'a pas été établie.
  • -Des réactions allergiques aiguës (par ex., urticaire, bronchospasme, angioœdème) ont été rapportées après utilisation d'ISRS.
  • +Des réactions allergiques aiguës (par ex. urticaire, bronchospasme, angioœdème) ont été rapportées après utilisation d'ISRS.
  • -La sécurité à long terme en ce qui concerne la maturation cognitive, émotionnelle, corporelle et pubertaire des enfants et adolescents âgés de 6 à 16 ans a été examinée dans une étude d'observation à long terme sur une durée allant jusqu'à 3 ans (voir «Propriétés/Effets – Efficacité clinique»). Les patients pédiatriques doivent être surveillés sur le plan des anomalies de la croissance et du développement en cas d'utilisation à long terme.
  • +La sécurité à long terme en ce qui concerne la maturation cognitive, émotionnelle, corporelle et pubertaire des enfants et adolescents âgés de 6 à 16 ans a été examinée dans une étude d'observation au long cours sur une durée allant jusqu'à 3 ans (voir «Propriétés/Effets – Efficacité clinique»). Les patients pédiatriques doivent être surveillés sur le plan des anomalies de la croissance et du développement en cas d'utilisation au long cours.
  • -Plus de 500 patients âgés (> 65 ans) ont été traités dans le cadre d'études cliniques, au cours desquelles l'efficacité de la sertraline dans ce groupe de patients a aussi pu être démontrée.
  • +Plus de 500 patients âgés (>65 ans) ont été traités dans le cadre d'études cliniques, au cours desquelles l'efficacité de la sertraline dans ce groupe de patients a aussi pu être démontrée.
  • -Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +Éthanol
  • +Zoloft solution à diluer pour solution buvable contient 360 mg d'alcool (éthanol) par dose normale pour l'adulte ou dose journalière maximale pour l'enfant de 50 mg de sertraline (2.5 ml). La quantité dans 2.5 ml de Zoloft solution à diluer pour solution buvable est équivalente à 9 ml de bière ou 4 ml de vin.
  • +Zoloft solution à diluer pour solution buvable contient 1'450 mg d'alcool (éthanol) par dose journalière maximale pour l'adulte de 200 mg de sertraline (10 ml). La quantité dans 10 ml de Zoloft solution à diluer pour solution buvable est équivalente à 37 ml de bière ou 16 ml de vin. Une dose maximale de 200 mg (10 ml) de ce médicament administrée à un adulte de 70 kg entraînerait une exposition à 20.7 mg/kg/PC d'éthanol susceptible de provoquer une augmentation de l'alcoolémie d'environ 3.5 mg/100 ml. À titre de comparaison, pour un adulte buvant un verre de vin ou 500 ml de bière, le taux d'alcoolémie est d'environ 50 mg/100 ml.
  • +La quantité d'alcool contenue dans ce médicament n'est pas susceptible d'avoir d'effets sur les adultes et les adolescents, ou est peu susceptible d'avoir des effets notables chez les enfants. Chez les jeunes enfants, certains effets tels qu'une envie de dormir peuvent survenir.
  • +L'alcool contenu dans ce médicament peut modifier les effets d'autres médicaments.
  • +La co-administration de médicaments contenant par exemple du propylène glycol ou de l'éthanol peut entraîner une accumulation d'éthanol et induire des effets secondaires, en particulier chez les jeunes enfants ayant une capacité métabolique faible ou immature.
  • +Glycérol
  • +Zoloft solution à diluer pour solution buvable contient du glycérol (voir «Composition»). Des doses plus élevées, atteintes lors de la prise de 200 mg de sertraline (10 ml de solution à diluer pour solution buvable), peuvent causer céphalées, maux d'estomac et diarrhée.
  • -Influence d'autres substances sur la pharmacocinétique de la sertraline
  • +Influence d'autres médicaments sur la pharmacocinétique de la sertraline
  • -Lors de l'administration concomitante de cimétidine et de sertraline, l'ASC de la sertraline a augmenté de 50% en moyenne, la Cmax de 24% et la demi-vie t½ de 26%. La signification clinique de cette interaction pharmacocinétique n'est pas connue.
  • +Lors de l'administration concomitante de cimétidine et de sertraline, l'ASC de la sertraline a augmenté de 50% en moyenne, la Cmax de 24% et la demi-vie t1/2 de 26%. La signification clinique de cette interaction pharmacocinétique n'est pas connue.
  • -Influence de la sertraline sur la pharmacocinétique d'autres substances
  • -Médicaments métabolisés par le CYP2D6: de nombreux antidépresseurs, par ex., les ISRS (y compris la sertraline) et la plupart des antidépresseurs tricycliques inhibent l'activité biochimique de l'isoenzyme CYP2D6 métabolisant les médicaments (débrisoquine-hydroxylase). Cet effet peut entraîner une élévation des concentrations plasmatiques des médicaments administrés de façon concomitante et qui sont métabolisés essentiellement par le CYP2D6. L'ampleur de l'inhibition de l'isoenzyme CYP2D6 est variable selon les différents antidépresseurs. Sa signification clinique dépend du degré de l'inhibition et de l'index thérapeutique du médicament co-administré. Dans le cas des antidépresseurs tricycliques tels que la clomipramine et la désipramine comme dans celui des antiarythmiques de classe 1C tels que la propafénone et le flécaïnide, il s'agit de substrats du CYP2D6 dont l'index thérapeutique est étroit.
  • -Dans des études d'interaction, on n'a observé qu'une faible augmentation de 23 à 37% des concentrations plasmatiques à l'état d'équilibre de désipramine (un marqueur de l'activité de l'isoenzyme CYP2D6) chez des volontaires qui avaient pris 50 mg/jour de sertraline pendant une période prolongée.
  • +Influence de la sertraline sur la pharmacocinétique d'autres médicaments
  • +Médicaments métabolisés par le CYP2D6: de nombreux antidépresseurs, par ex. les ISRS (y compris la sertraline) et la plupart des antidépresseurs tricycliques, inhibent l'activité biochimique de l'isoenzyme CYP2D6 métabolisant les médicaments (débrisoquine-hydroxylase). Cet effet peut entraîner une élévation des concentrations plasmatiques des médicaments administrés de façon concomitante et qui sont métabolisés essentiellement par le CYP2D6. L'ampleur de l'inhibition de l'isoenzyme CYP2D6 est variable selon les différents antidépresseurs. Sa signification clinique dépend du degré de l'inhibition et de l'index thérapeutique du médicament administré simultanément. Dans le cas des antidépresseurs tricycliques tels que la clomipramine et la désipramine comme dans celui des antiarythmiques de classe 1C tels que la propafénone et le flécaïnide, il s'agit de substrats du CYP2D6 dont l'index thérapeutique est étroit.
  • +Dans des études d'interaction, on n'a observé qu'une faible augmentation de 23-37% des concentrations plasmatiques à l'état d'équilibre de désipramine (un marqueur de l'activité de l'isoenzyme CYP2D6) chez des volontaires qui avaient pris 50 mg/jour de sertraline pendant une longue période.
  • -Substrats du CYP2C9: l'absence de manifestations cliniques significatives lors de l'administration à long terme de 200 mg de sertraline par jour sur la concentration plasmatique de la phénytoïne suggère que la sertraline n'entraîne pas d'inhibition cliniquement significative de CYP2C9.
  • +Substrats du CYP2C9: l'absence de manifestations cliniques significatives lors de l'administration au long cours de 200 mg de sertraline par jour sur la concentration plasmatique de la phénytoïne suggère que la sertraline n'entraîne pas d'inhibition cliniquement significative de CYP2C9.
  • -Sumatriptan: dans le cadre de la surveillance après la mise sur le marché, de rares cas de faiblesse, d'hyperréflexie, de diminution des capacités de coordination, de confusion mentale, d'anxiété et d'agitation ont été rapportés par des patients après la prise concomitante de sertraline et de sumatriptan. Cette symptomatique est révélatrice d'un syndrome sérotoninergique. Lorsque l'utilisation concomitante de sertraline et de sumatriptan se justifie sur le plan clinique, une surveillance appropriée du patient est recommandée (voir «Mises en garde et précautions, Autres médicaments sérotoninergiques»).
  • -Autres médicaments sérotoninergiques: d'autres médicaments sérotoninergiques (par ex., d'autres ISRS, les IRSN, le lithium, les triptans, le L-tryptophane, la buprénorphine, le millepertuis (Hypericum perforatum)) ne doivent être administrés en même temps que la sertraline qu'avec prudence. Chaque fois que c'est possible, il convient de renoncer à une telle association (voir «Mises en garde et précautions - Syndrome sérotoninergique ou syndrome neuroleptique malin et autres médicaments sérotoninergiques»).
  • -Lithium: dans une étude contrôlée contre placebo réalisée chez des volontaires sains, l'administration concomitante de sertraline et de lithium n'a pas modifié de manière significative les paramètres pharmacocinétiques du lithium. En revanche, en comparaison du groupe placebo, les tremblements étaient plus fréquents dans le groupe sertraline, ce qui suggère une éventuelle interaction pharmacodynamique. Comme pour les autres ISRS, la prudence est de rigueur et les patients doivent être surveillés en conséquence lors de l'administration concomitante de sertraline et de médicaments susceptibles d'agir par des mécanismes sérotoninergiques, comme le lithium (voir «Mises en garde et précautions, Autres médicaments sérotoninergiques»).
  • +Sumatriptan: dans le cadre de la surveillance post-commercialisation, de rares cas de faiblesse, d'hyperréflexie, de diminution des capacités de coordination, de confusion mentale, d'anxiété et d'agitation ont été notifiés par des patients après la prise concomitante de sertraline et de sumatriptan. Cette symptomatique est révélatrice d'un syndrome sérotoninergique. Lorsque l'utilisation concomitante de sertraline et de sumatriptan se justifie sur le plan clinique, une surveillance appropriée du patient est recommandée (voir «Mises en garde et précautions, Autres médicaments sérotoninergiques»).
  • +Autres médicaments sérotoninergiques: d'autres médicaments sérotoninergiques (par ex. d'autres ISRS, les IRSN, le lithium, les triptans, le L-tryptophane, la buprénorphine, le millepertuis (Hypericum perforatum)) ne doivent être administrés en même temps que la sertraline qu'avec prudence. Chaque fois que c'est possible, il convient de renoncer à une telle association (voir «Mises en garde et précautions - Syndrome sérotoninergique ou syndrome neuroleptique malin et autres médicaments sérotoninergiques»).
  • +Lithium: dans une étude contrôlée contre placebo réalisée chez des volontaires sains, l'administration concomitante de sertraline et de lithium n'a pas modifié de manière significative les paramètres pharmacocinétiques du lithium. Par contre, en comparaison du groupe placebo, les tremblements étaient plus fréquents dans le groupe sertraline, ce qui suggère une éventuelle interaction pharmacodynamique. Comme pour les autres ISRS, la prudence est de rigueur et les patients doivent être surveillés en conséquence lors de l'administration concomitante de sertraline et de médicaments susceptibles d'agir par des mécanismes sérotoninergiques, comme le lithium (voir «Mises en garde et précautions, Autres médicaments sérotoninergiques»).
  • -Dérivés coumariniques: l'administration concomitante de sertraline (200 mg par jour) et de warfarine a entraîné une élévation légère, mais statistiquement significative du temps de prothrombine (environ 7.9%). La signification clinique de cet effet est inconnue. Le temps de prothrombine doit être scrupuleusement surveillé au début ou à la fin d'un traitement par la sertraline.
  • +Dérivés coumariniques: l'administration concomitante de sertraline (200 mg par jour) et de warfarine a entraîné une élévation légère mais statistiquement significative du temps de prothrombine (environ 7.9%). La signification clinique de cet effet est inconnue. Le temps de prothrombine doit être scrupuleusement surveillé au début ou à la fin d'un traitement par la sertraline.
  • +Zoloft solution à diluer pour solution buvable et disulfirame: aussi longtemps qu'il reste du disulfirame dans le sérum ou que l'activité de l'acétaldéhyde déshydrogénase est réduite, la prise d'éthanol déclenche une réaction indésirable. Suivant l'état de la fonction hépatique du patient, l'effet peut persister jusqu'à deux semaines après la prise de la dernière dose de disulfirame, bien que la durée d'action des doses habituelles soit plus généralement d'une semaine. Par conséquent, étant donné qu'il contient de l'alcool, Zoloft solution à diluer pour solution buvable ne doit pas être utilisé en association au disulfirame ou dans les 14 jours qui suivent son arrêt (voir «Contre-indications»).
  • +
  • -Toutefois, les études cliniques n'ont pas mis en évidence d'effets cliniquement significatifs sur les concentrations plasmatiques de la phénytoïne suite à l'administration à long terme de 200 mg/jour de sertraline (voir ci-dessus) et ont montré l'absence d'interaction entre l'administration de 200 mg/jour de sertraline et la digoxine.
  • +Toutefois, les études cliniques n'ont pas mis en évidence d'effets cliniquement significatifs sur les concentrations plasmatiques de la phénytoïne suite à l'administration au long cours de 200 mg/jour de sertraline (voir ci-dessus) et ont montré l'absence d'interaction entre l'administration de 200 mg/jour de sertraline et la digoxine.
  • -La sertraline ne doit être utilisée qu'en cas d'indication impérative chez les femmes en âge de procréer, et doit être accompagnée d'une méthode de contraception appropriée.
  • -Il n'existe pas d'études cliniques contrôlées chez la femme enceinte. Des études de reproduction chez le rat et chez le lapin n'ont mis en évidence aucun indice suggérant un effet tératogène; toutefois, un retard de l'ossification a été observé chez le fœtus. Ces troubles sont probablement dus à des effets toxiques chez la mère.
  • +La sertraline ne doit être utilisée qu'en cas d'indication impérieuse chez les femmes en âge de procréer, et doit être accompagnée d'une méthode de contraception appropriée.
  • +Il n'existe pas d'études cliniques contrôlées chez la femme enceinte. Des études de reproduction chez le rat et le lapin n'ont mis en évidence aucun indice suggérant un effet tératogène; toutefois, un retard de l'ossification a été observé chez le fœtus. Ces troubles sont probablement dus à des effets toxiques chez la mère.
  • -Une exposition à un ISRS lors de la phase tardive de la grossesse peut augmenter le risque d'hypertension artérielle pulmonaire persistante (HTAPP) chez le nouveau-né. Dans la population générale, une HTAPP survient lors de 1 à 2 naissances d'enfants vivants sur 1'000 et est associée à une morbidité et une mortalité néonatales importantes. Au cours d'une étude cas-témoins rétrospective sur 377 femmes ayant accouché d'un enfant atteint d'HTAPP et 836 femmes ayant accouché d'un enfant en bonne santé, le risque d'HTAPP était environ 6 fois plus élevé chez les nourrissons dont les mères avaient pris des ISRS après les 20 premières semaines de la grossesse que chez ceux dont les mères n'avaient pas pris d'antidépresseurs. Au cours d'une étude de population prospective incluant 831'324 nourrissons nés en Suède entre 1997 et 2005, le risque relatif (RR) d'une HTAPP était de 2.4 (IC 95% 1.2-4.3) en cas d'utilisation maternelle d'ISRS au «stade précoce» de la grossesse. Dans l'analyse de sous-groupes comparant la prise d'un ISRS au «stade précoce» de la grossesse et la prescription d'un ISRS au «stade tardif» de la grossesse, le risque relatif (RR) d'une HTAPP était de 3.6 (IC 95% 1.2-8.3).
  • +Une exposition à un ISRS lors de la phase tardive de la grossesse peut augmenter le risque d'hypertension artérielle pulmonaire persistante (HTAPP) chez le nouveau-né. Dans la population générale, une HTAPP survient lors de 1 à 2 naissances d'enfants vivants sur 1'000 et est associée à une morbidité et une mortalité néonatales importantes. Au cours d'une étude cas-témoins rétrospective sur 377 femmes ayant accouché d'un enfant atteint d'HTAPP et 836 femmes ayant accouché d'un enfant en bonne santé, le risque d'HTAPP était environ 6 fois plus élevé chez les nourrissons dont les mères avaient pris des ISRS après les 20 premières semaines de la grossesse que chez ceux dont les mères n'avaient pas pris d'antidépresseurs. Au cours d'une étude de population prospective incluant 831'324 nourrissons nés en Suède entre 1997 et 2005, le risque relatif (RR) d'une HTAPP était de 2.4 (IC 95% 1.2-4.3) en cas d'utilisation maternelle d'ISRS au «stade précoce» de la grossesse. Dans l'analyse de sous-groupes comparant la prise d'un ISRS au «stade précoce» de la grossesse et la prescription d'un ISRS lors de la «phase tardive» de la grossesse, le risque relatif (RR) d'une HTAPP était de 3.6 (IC 95% 1.2-8.3).
  • -Des études pharmacodynamiques ont montré qu'en règle générale, la sertraline n'altérait pas les capacités psychomotrices. Cependant, la sertraline pouvant provoquer une envie de dormir et des vertiges, la prudence est recommandée lors de la conduite d'un véhicule ou de l'utilisation de machines. L'attention des patients doit être attirée sur ce danger.
  • +Des études pharmacodynamiques ont montré qu'en règle générale, la sertraline n'altérait pas les capacités psychomotrices. Cependant, la sertraline pouvant provoquer une envie de dormir et et des vertiges, la prudence est recommandée lors de la conduite d'un véhicule ou de l'utilisation de machines. L'attention des patients doit être attirée sur ce danger.
  • -Ci-dessous figure la liste des effets indésirables survenus dans le cadre du programme d'étude clinique, indépendamment de leur causalité, classés par systèmes d'organes et fréquence (très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1'000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1'000), très rares (<1/10'000)).
  • +Ci-dessous figure la liste des effets indésirables survenus dans le cadre du programme d'étude clinique, indépendamment de leur causalité, classés par système d'organes et fréquence (très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1'000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1'000), très rares (<1/10'000)).
  • -Rares: hyponatrémie* (dans certains cas associée à des symptômes d'un œdème cérébral lors de SIADH), hyperglycémie*, augmentation des triglycérides sanguins*, hypoglycémie, diabète sucré, hypercholestérolémie.
  • +Rares: hyponatrémie* (dans certains cas associée à des symptômes d'œdème cérébral lors de SIADH), hyperglycémie*, augmentation des triglycérides sanguins*, hypoglycémie, diabète sucré, hypercholestérolémie.
  • -Rares: crises convulsives. Des symptômes en rapport avec un syndrome sérotoninergique* ont également été rapportés, dans certains cas liés à la prise concomitante de médicaments sérotoninergiques: agitation, état confusionnel, diaphorèse, diarrhée, fièvre, hypertension, rigidité et tachycardie, coma (parfois associé à une hyponatrémie et un SIADH).
  • +Rares: crises convulsives. Des symptômes en rapport avec un syndrome sérotoninergique* ont également été rapportés, dans certains cas liés à la prise concomitante de médicaments sérotoninergiques: agitation, état confusionnel, diaphorèse, diarrhée, fièvre, hypertension, rigidité et tachycardie. Coma (parfois associé à une hyponatrémie et un SIADH).
  • -Fréquents: troubles de l'éjaculation (y compris éjaculation impossible et éjaculation retardée), dysfonctionnement sexuel (voir «Mises en garde et précautions»), perturbations du cycle menstruel.
  • -Rares: galactorrhée, gynécomastie*, priapisme.
  • +Fréquents: troubles de l'éjaculation (y compris éjaculation impossible et éjaculation retardée), dysfonctionnement sexuel, (voir «Mises en garde et précautions»), perturbations du cycle menstruel.
  • +Rares: galactorrhées, gynécomastie*, priapisme.
  • -La standardisation des principaux critères cibles basés sur les normes d'âge et de sexe a montré que les résultats coïncident dans l'ensemble avec un développement normal. On n'a constaté aucune différence statistiquement significative pour ce qui est des principaux critères cibles, à l'exception du poids. Un résultat statistiquement significatif en ce qui concerne le poids standardisé a été trouvé dans des analyses comparatives (prise de poids plus importante chez les patients traités par la sertraline: après 3 ans de traitement, prise de poids moyenne de 13.8 kg sous sertraline comparée à 12.3 kg chez les patients non traités par pharmacothérapie).
  • +La standardisation des principaux critères cibles basés sur les normes d'âge et de sexe a montré que les résultats coïncident dans l'ensemble avec un développement normal. On n'a constaté aucune différence statistiquement significative pour ce qui est des principaux critères cibles, à l'exception du poids. Un résultat statistiquement significatif en ce qui concerne le poids standardisé a été trouvé dans des analyses comparatives (plus forte prise de poids chez les patients traités par la sertraline: après 3 ans de traitement prise de poids moyenne de 13.8 kg sous sertraline comparée à 12.3 kg chez les patients non traités par pharmacothérapie.
  • -La sertraline présente une marge de sécurité en cas de surdosage qui dépend des caractéristiques des patients ainsi que du traitement d'accompagnement. Des rapports font état d'un surdosage allant jusqu'à 13.5 g sans symptômes d'intoxication graves. Cependant, des patients ayant présenté des crises convulsives après l'ingestion d'une dose de 500-1'000 mg ont également été rapportés dans la littérature. Des décès sont survenus après la prise d'une surdose de sertraline seule ou en association avec d'autres médicaments et/ou de l'alcool. Une prudence particulière est de rigueur en cas d'intoxications mixtes avec d'autres substances à action sérotoninergique (par ex. antidépresseurs tricycliques), car des évolutions sévères s'inscrivant dans le cadre d'un syndrome sérotoninergique sont alors possibles.
  • +La sertraline présente une marge de sécurité en cas de surdosage qui dépend des caractéristiques des patients ainsi que du traitement d'accompagnement. Des rapports font état d'un surdosage allant jusqu'à 13.5 g, sans symptômes d'intoxication graves. Cependant, des patients ayant présenté des crises convulsives après l'ingestion d'une dose de 500-1'000 mg ont également été rapportés dans la littérature. Des décès sont survenus après la prise d'une surdose de sertraline seule ou en association avec d'autres médicaments et/ou de l'alcool. Une prudence particulière est de rigueur en cas d'intoxications mixtes avec d'autres substances à action sérotoninergique (par ex. antidépresseurs tricycliques), car des évolutions sévères s'inscrivant dans le cadre d'un syndrome sérotoninergique sont alors possibles.
  • -Les symptômes d'intoxication possibles sont bouche sèche, nausées, vomissements, mydriase, étourdissements, vertiges, tremblements, somnolence, agitation, crises convulsives, symptômes extrapyramidaux ainsi que tachycardie, hypotension ou hypertension et modifications de l'ECG (allongement de l'intervalle QT, torsades de pointes) (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets – Efficacité clinique»). Hallucinations, hyperthermie, augmentation du taux de CK, hyponatrémie et coma ont été décrits dans de rares cas.
  • +Les symptômes d'intoxication possibles sont bouche sèche, nausées, vomissements, mydriase, obnubilation, vertiges, tremblements, somnolence, agitation, crises convulsives, symptômes extrapyramidaux ainsi que tachycardie, hypotension ou hypertension et modifications de l'ECG (allongement de l'intervalle QT, torsades de pointes) (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets – Efficacité clinique»). Hallucinations, hyperthermie, augmentation du taux de CK, hyponatrémie et coma ont été décrits dans de rares cas.
  • -Il n'existe pas d'antidote spécifique pour la sertraline. Il est recommandé de surveiller la vigilance, les fonctions cardiovasculaires et la température corporelle, et aussi de mettre en œuvre des mesures symptomatiques et de soutien générales. Les voies respiratoires doivent être dégagées, un apport d'oxygène approprié doit être assuré et, si nécessaire, il convient de ventiler le patient. Si des symptômes sévères sont attendus, 1 g de charbon actif par kg de poids corporel doit être administré aux patients éveillés dans l'heure qui suit. Il n'est pas recommandé de provoquer un vomissement. Le bipéridène peut être utilisé comme mesure spécifique en cas de symptômes extrapyramidaux.
  • +Il n'existe pas d'antidote spécifique pour la sertraline. Il est recommandé de surveiller la vigilance, les fonctions cardiovasculaires et la température corporelle, et aussi de mettre en œuvre des mesures symptomatiques et de soutien générales. Les voies respiratoires doivent être dégagées, un apport d'oxygène approprié doit être assuré et, si nécessaire, il convient de ventiler le patient. Si des symptômes sévères sont escomptés, 1 g de charbon actif par kg de poids corporel doit être administré aux patients éveillés dans l'heure qui suit. Il n'est pas recommandé de provoquer un vomissement. Le bipéridène peut être utilisé comme mesure spécifique en cas de symptômes extrapyramidaux.
  • -In vitro, la sertraline ne présente aucune affinité pour les récepteurs cholinergiques, sérotoninergiques, dopaminergiques, adrénergiques, histaminergiques, de l'acide gamma-aminobutyrique (GABA)-ergiques ou des benzodiazépines.
  • +In vitro, la sertraline ne présente aucune affinité pour les récepteurs cholinergiques, sérotoninergiques, dopaminergiques, adrénergiques, histaminergiques, de l'acide gamma-aminobutyrique (GABA) ou des benzodiazépines.
  • -La nourriture n'a pas d'influence notable sur la biodisponibilité des comprimés pelliculés.
  • +La nourriture n'a pas d'influence notable sur la biodisponibilité de la solution à diluer pour solution buvable.
  • -Chez les patients jeunes et âgés (hommes et femmes), la demi-vie d'élimination terminale moyenne de la sertraline varie de 22 à 36 heures.
  • -La demi-vie d'élimination plasmatique terminale de la Ndesméthylsertraline se situe entre 62 et 104 heures. Les métabolites qui en résultent sont excrétés en quantités égales dans les selles et les urines. Moins de 0.2% de la dose administrée est excrétée par voie rénale sous forme de sertraline inchangée.
  • +Chez les sujets jeunes et les sujets âgés (hommes et femmes), la demi-vie d'élimination moyenne de la sertraline varie de 22 à 36 heures.
  • +La demi-vie d'élimination plasmatique terminale de la Ndesméthylsertraline se situe entre 62 et 104 heures. Les métabolites qui en résultent sont excrétés en quantités égales dans les selles et les urines. Moins de 0.2% de la dose appliquée est excrété par le rein sous forme de sertraline inchangée.
  • -La sertraline est largement métabolisée par le foie. Une étude de pharmacocinétique a montré que des doses répétées de sertraline administrées à des patients atteints d'une cirrhose stable légère, prolongeaient la demi-vie d'élimination et augmentaient l'ASC, en comparaison des valeurs observées chez des volontaires sains (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +La sertraline est largement métabolisée par le foie. Une étude de pharmacocinétique a montré que des doses répétées de sertraline administrées à des patients atteints d'une cirrhose stable de nature légère, prolongeaient la demi-vie d'élimination et augmentaient l'ASC, en comparaison des valeurs observées chez des volontaires sains (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Dans une étude contrôlée menée chez 42 patients atteints d'insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine 30-60 ml/min) ou modérée à sévère (clairance de la créatinine 10-29 ml/min), les paramètres pharmacocinétiques (ASC0-24 et Cmax) observés après administrations répétées n'étaient pas significativement augmentés par rapport au groupe témoin, et les demi-vies d'élimination étaient semblables. En revanche, chez les patients hémodialysés, une diminution de ces paramètres a été observée. En comparaison du groupe témoin, aucune différence quant à la liaison aux protéines plasmatiques n'a été observée dans tous les groupes étudiés.
  • +Dans une étude contrôlée réalisée sur un échantillon de 42 patients atteints d'insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine 30-60 ml/min) ou modérée à grave (clairance de la créatinine 10-29 ml/min), les paramètres pharmacocinétiques (ASC0-24 et Cmax) observés après administrations répétées n'étaient pas significativement augmentés par rapport au groupe témoin, et les demi-vies d'élimination étaient semblables. Par contre, chez les patients dialysés, une diminution de ces paramètres a été observée. En comparaison du groupe témoin, aucune différence quant à la liaison aux protéines plasmatiques n'a été observée dans tous les groupes étudiés.
  • -Enfants (6 à 12 ans)
  • +Enfants (6-12 ans)
  • -Adolescents (13 à 17 ans)
  • +Adolescents (13-17 ans)
  • -Des études de reproduction chez le rat et chez le lapin n'ont mis en évidence aucun indice suggérant un effet tératogène; toutefois, à des doses (en mg/kg) environ 2.5 à 10 fois supérieures à la dose journalière maximale recommandée chez l'être humain, un retard de l'ossification fœtale a été observé sous sertraline. Ces troubles sont probablement dus à des effets toxiques chez la mère.
  • -Une diminution de la survie néonatale a été observée suite à la prise maternelle péri- ou postnatale de doses moins élevées (environ 5 fois supérieures – en mg/kg – à la dose maximale recommandée chez l'être humain). Un effet similaire sur la survie néonatale a été décrit pour d'autres antidépresseurs également. La signification clinique de cet effet n'est pas connue.
  • +Des études de reproduction chez le rat et chez le lapin n'ont mis en évidence aucun indice suggérant un effet tératogène; toutefois, à des doses (en mg/kg) environ 2.5 à 10 fois supérieures à la dose journalière maximale chez l'humain, un retard de l'ossification fœtale a été observé sous sertraline. Ces troubles sont probablement dus à des effets toxiques chez la mère.
  • +Une diminution de la survie néonatale a été observée suite à la prise maternelle péri- ou postnatale de doses moins élevées (environ 5 fois supérieures – en mg/kg – à la dose maximale chez l'humain). Un effet similaire sur la survie néonatale a été décrit pour d'autres antidépresseurs également. La signification clinique de cet effet n'est pas connue.
  • -Des doses journalières de 0, 10, 40 ou 80 mg de sertraline par kg ont été administrées par voie orale à des rats Sprague-Dawley en phase de croissance du jour 21 au jour 56 postnatal, suivies d'une phase de récupération jusqu'au jour 196 postnatal. L'administration de 80 mg/kg/jour de sertraline a conduit à des cas isolés de décès, à une déshydratation, une chromorhinorrée, une diminution de la prise de poids moyenne et une diminution de la prise de nourriture. Les animaux mâles (sous 80 mg/kg/jour) comme les femelles (sous ≥10 mg/kg/jour) ont présenté un retard de la maturation sexuelle, sans que les critères d'évaluation concernant la reproduction tels que l'accouplement, la fertilité, les paramètres concernant le sperme, le cycle ovarien, ou les paramètres ovariens et utérins ne soient influencés par les effets liés à la sertraline. De plus, aucun effet lié à la sertraline n'a été observé sur les paramètres comportementaux (apprentissage, mémoire, réflexe de sursaut provoqué par le bruit et activité locomotrice) chez les animaux mâles alors qu'on a observé chez les animaux femelles, à partir de 40 mg/kg/jour, un ralentissement du réflexe de sursaut provoqué par le bruit. Aucun effet sur la longueur fémorale, le poids cérébral et les résultats de pathologie micro- et macroscopiques n'a été constaté. Tous les effets nommés ci-dessus étaient réversibles au cours de la phase de récupération sans médicament de l'étude. La valeur NOAEL (No Observed Adverse Effect Level) chez les animaux mâles était de 40 mg/kg/jour (correspondant à environ 10 fois la dose maximale thérapeutique, à une Cmax de 262 ng/ml et à une ASC0-t jusqu'à 3'170 ng h/ml au jour 56 postnatal), alors qu'aucune valeur NOAEL n'a pu être estimée chez les animaux femelles. Dans une autre étude menée chez des rats nouveau-nés, la sertraline administrée par voie sous-cutanée du jour 1 au jour 21 postnatal a déjà provoqué, dès les doses thérapeutiques, des ralentissements du développement physique et de certains réflexes. Une signification clinique de ces résultats n'est pas à exclure.
  • +Des doses journalières de 0, 10, 40 ou 80 mg de sertraline par kg ont été administrées à des rats Sprague-Dawley en phase de croissance du jour 21 au jour 56 postnatal, suivies d'une phase de récupération jusqu'au jour 196 postnatal. L'administration de 80 mg/kg/jour de sertraline a conduit à des cas isolés de mort, à une déshydratation, une chromorhinorrée, une diminution de la prise de poids moyenne et une diminution de la prise de nourriture. Les animaux mâles (sous 80 mg/kg/jour) comme les femelles (sous ≥10 mg/kg/jour) ont présenté un retard de la maturation sexuelle, sans que les critères d'évaluation concernant la reproduction tels que l'accouplement, la fertilité, les paramètres concernant le sperme, le cycle ovarien, ou les paramètres ovariens et utérins ne soient influencés par les effets liés à la sertraline. De plus, aucun effet lié à la sertraline n'a été observé sur les paramètres comportementaux (apprentissage, mémoire, reflexe de sursaut provoqué par le bruit et activité locomotrice) chez les animaux mâles alors qu'on a observé chez les animaux femelles, à partir de 40 mg/kg/jour, un ralentissement du réflexe de sursaut provoqué par le bruit. Aucun effet sur la longueur fémorale, le poids cérébral et les résultats de pathologie micro- et macroscopiques n'a été constaté. Tous les effets nommés ci-dessus étaient réversibles au cours de la phase de récupération sans médicament de l'étude. La valeur NOAEL (No Observed Adverse Effect Level) chez les animaux mâles était de 40 mg/kg/jour (correspondant à environ 10 fois la dose maximale thérapeutique, à une Cmax de 262 ng/ml et à une ASC0-t jusqu'à 3'170 ng h/ml au jour 56 postnatal), alors qu'aucun NOAEL n'a été pu être estimé chez les animaux femelles. Dans une autre étude menée chez des rats nouveau-nés, la sertraline administrée par voie sous-cutanée du jour 1 au jour 21 postnatal a provoqué, dès les doses thérapeutiques, des ralentissements du développement physique et de certains réflexes. Une signification clinique de ces résultats n'est pas à exclure.
  • -Une réduction significative de la fertilité a été observée dans une étude chez le rat à la dose de 80 mg/kg/j de sertraline, ce qui correspond à 4 fois la dose maximale thérapeutique en mg/m2. La cause de la réduction de fertilité est inconnue. Cependant, dans une autre étude de fertilité (également à une dose de 80 mg/kg/jour) chez des rats, aucune altération de la fertilité n'a été observée. On ignore la pertinence de ces résultats pour l'humain.
  • +Une réduction significative de la fertilité a été observée dans une étude chez le rat à la dose de 80 mg/kg/jour de sertraline, ce qui correspond à 4 fois la dose maximale thérapeutique en mg/m2. La cause de la réduction de fertilité est inconnue. Cependant, dans une autre étude de fertilité (également à une dose de 80 mg/kg/jour) chez des rats, aucune altération de la fertilité n'a été observée. On ignore la pertinence de ces résultats pour l'humain.
  • +Incompatibilités
  • +Zoloft solution à diluer pour solution buvable ne doit pas être dilué dans une autre boisson que de l'eau, du soda au gingembre, de la limonade au citron gazeuse ou plate, ou du jus d'orange.
  • +
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Stabilité après ouverture
  • +Zoloft solution à diluer pour solution buvable doit être utilisé dans les 48 jours après ouverture.
  • -Ne pas conserver au-dessus de 30 °C et tenir hors de portée des enfants.
  • +Conserver à température ambiante (15-25 °C) et hors de portée des enfants.
  • +Remarques concernant la manipulation
  • +Zoloft solution à diluer pour solution buvable doit être dilué avant la prise.
  • +Zoloft solution à diluer pour solution buvable contient 20 mg de sertraline par ml. La pipette graduée jointe au flacon permet de prélever la quantité nécessaire de Zoloft solution à diluer pour solution buvable pour le diluer dans environ 120 ml (un verre) d'eau, de soda au gingembre, de limonade au citron gazeuse ou plate, ou de jus d'orange. Zoloft solution à diluer pour solution buvable ne doit pas être mélangé à d'autres boissons que celles indiquées ci-dessus. La dose doit être prise immédiatement après dilution et ne doit pas être préparée à l'avance. Il arrive que la boisson se trouble légèrement après le mélange; c'est un phénomène normal.
  • -52251 (Swissmedic).
  • +55391 (Swissmedic).
  • -Zoloft comprimés pelliculés à 50 mg (avec rainure, sécables): 10, 30, 100. [B]
  • +Zoloft solution à diluer pour solution buvable 20 mg/ml (flacon avec pipette graduée): 60 ml. [B]
  • -Pfizer PFE Switzerland GmbH, Zürich.
  • +Viatris Pharma GmbH, Steinhausen.
  • -Août 2022
  • -LLD V023
  • +Août 2022.
  • +LLD V022
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