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Accueil - Information professionnelle sur Etomidat-Lipuro - Changements - 24.04.2025
47 Changements de l'information professionelle Etomidat-Lipuro
  • +Ne pas dépasser la quantité totale de 3 ampoules (60 mg / 30 ml).
  • -Eviter les injections intraartérielles, vu le risque de provoquer des nécroses.
  • -Des injections paraveineuses provoquent de violentes douleurs.
  • -Avant l’emploi d’Etomidat-Lipuro, il faudrait administrer une prémédication afin d’éviter des myoclonies possibles. Nous recommandons l’administration d’une benzodiazépine, p.ex. du Diazépam, qui est administrée par voie intramusculaire 1 heure avant ou par voie intraveineuse 10 minutes avant l’administration dEtomidat-Lipuro.
  • +Eviter les injections intraartérielles, vu le risque de provoquer des nécroses. Des injections paraveineuses provoquent de violentes douleurs.
  • +Avant l’emploi d’Etomidat-Lipuro, il faudrait administrer une prémédication afin d’éviter des myoclonies possibles. Nous recommandons l’administration de faibles doses d'opioïdes en association avec une benzodiazépine 1 à 2 minutes avant l'utilisation d'Etomidat-Lipuro.
  • -En particulier lors de l’emploi de doses élevées et en combinaison avec des médicaments agissant sur le système nerveux central, des apnées peuvent occasionnellement survenir dans un bref délai.
  • +En particulier lors de l’emploi de doses élevées et en combinaison avec des médicaments agissant sur le système nerveux central, des apnées de courte durée peuvent occasionnellement survenir.
  • -L’étomidate n’a pas d’effet analgésique. Lors d’emploi comme hypnotique de courte durée d’action, il faut effectuer une prémédication en tenant compte des incompatibilités, de même que lors d’emploi simultané avec un analgésique puissant, p.ex. du Fentanyl.
  • +Chez les patients affaiblis, chez lesquels une hypotension peut être dangereuse, le médicament doit être injecté lentement (par exemple 10 ml en 1 minute).
  • +L’étomidate n’a pas d’effet analgésique. Lors d’emploi comme hypnotique de courte durée d’action, il faut effectuer une prémédication en tenant compte des incompatibilités, de même que lors d’emploi simultané avec un analgésique puissant, p.ex. du fentanyl. Afin de réduire le risque de douleurs locales, il est recommandé d’effectuer l’injection dans des veines plus grosses.
  • +Afin de minimiser le risque de douleurs locales, il est recommandé d’effectuer l’injection dans des veines de gros calibre.
  • +En raison du point d’impact périphérique de l’étomidate, il n’est pas possible de faire remonter le taux de cortisol par stimulation avec une préparation analogue d’ACTH dans les 24 heures qui suivent une administration de courte durée; pour obtenir un taux de cortisol plus élevé, il faut administrer une dose unique de corticoïdes. Lors de l’utilisation d’étomidate pour l’induction, l’élévation postopératoire du taux sérique de cortisol observée après l’induction par le thiopental est retardée d’environ 3 à 6 heures. Des effets cliniques d’une induction de courte durée par l’étomidate ne sont pas attendus.
  • +En cas de doutes chez des patients soumis à un stress important, en particulier ceux souffrant d’un dysfonctionnement cortico-surrénalien, une administration de cortisol exogène doit être envisagée. Dans ce cas, la stimulation des glandes surrénales à l’ACTH n’est pas pertinente.
  • +L’administration répétée ou la perfusion continue d’Etomidat-Lipuro peut avoir pour conséquence directe une suppression prolongée du cortisol et de l’aldostérone endogènes. L’utilisation d’Etomidat-Lipuro pour le maintien de l’anesthésie doit donc être évitée. Dans ce cas, la stimulation des glandes surrénales à l’ACTH n’est pas pertinente.
  • +Etomidat-Lipuro doit être utilisé avec prudence chez les patients dont l’état est critique, y compris ceux présentant un sepsis.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Chez les patients atteints de cirrhose du foie, la dose d’Etomidat-Lipuro doit être diminuée (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • +Patients âgés
  • +Etomidat-Lipuro doit être utilisé avec prudence chez les patients âgés, car il existe un risque de diminution du débit cardiaque, qui a été rapporté à des doses supérieures à celles recommandées.
  • +Neurotoxicité pédiatrique
  • +Des études précliniques montrent que l’utilisation d’anesthésiques ou de sédatifs qui inhibent les récepteurs NMDA ou potentialisent la transmission GABA-ergique pendant la période de croissance rapide du cerveau ou de synaptogenèse entraîne une perte de cellules dans le cerveau en développement, pouvant être associée à des déficits cognitifs persistants. La signification clinique de ces résultats n’est pas connue (voir «Grossesse/Allaitement» et «Données précliniques»).
  • +L’induction par l’étomidate peut provoquer une légère diminution passagère de la résistance vasculaire périphérique, ce qui peut renforcer l’effet des autres médicaments diminuant la pression artérielle.
  • +Alfentanil
  • +Une diminution de la demi-vie terminale de l’étomidate jusqu’à environ 29 minutes a été rapportée lors de l’administration concomitante d’étomidate et d’alfentanil. La prudence est de rigueur lors de l’administration concomitante de ces deux médicaments, car la concentration d’étomidate peut baisser en deçà du seuil hypnotique.
  • +Fentanyl
  • +La clairance plasmatique totale et le volume de distribution de l’étomidate sont diminués d’un facteur 2 à 3 sans modification de la demi-vie lors d’une administration concomitante de fentanyl IV. En cas d’administration concomitante d’étomidate et de fentanyl IV, il peut être nécessaire de diminuer la dose.
  • +Kétamine
  • +L’administration concomitante d’étomidate et de kétamine ne semble pas avoir d’effet significatif sur les concentrations plasmatiques ou les paramètres pharmacocinétiques de la kétamine ou de son métabolite principal, la norkétamine.
  • +Alpha-bloquants
  • +L’association avec des anesthésiques généraux entraîne une augmentation de l’effet hypotenseur de ces substances.
  • +Inhibiteurs calciques
  • +L’association avec des anesthésiques généraux entraîne une augmentation de l’effet hypotenseur ainsi qu'à un retard de la conduction auriculo-ventriculaire.
  • +Inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO)
  • +Le traitement par des IMAO doit habituellement être interrompu 2 semaines avant la chirurgie en raison des interactions dangereuses entre les anesthésiques et les IMAO.
  • -Des études contrôlées chez la femme enceinte ou chez l’animal ne sont pas disponibles. Dans ces circonstances, le médicament ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, à moins que cela ne soit clairement nécessaire.
  • +La sécurité de l’utilisation d’Etomidat-Lipuro pendant la grossesse n’a pas encore été établie. Les études expérimentales animales ont mises en évidence une toxicité sur la reproduction (voir «Données précliniques»). Des études expérimentales publiées menées chez des animaux ayant reçu des anesthésiques/sédatifs ont révélé des effets indésirables sur le développement du cerveau à un stade précoce (voir «Mises en garde et précautions» et «Données précliniques»).
  • +Etomidat-Lipuro ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • +Lors d’une anesthésie obstétricale, l’étomidate peut traverser la barrière placentaire. Les scores d’Apgar de nouveau-nés de mères ayant reçu de l’étomidate sont comparables à ceux d’enfants nés après l’utilisation d’autres hypnotiques.
  • +Une diminution passagère du taux de cortisol d’une durée d’environ 6 heures a été observée chez les nouveau-nés dont la mère a reçu de l’étomidate. Le taux diminué reste toutefois dans les limites de la normale.
  • -Aussi lors de l’administration d’étomidate conformément aux prescriptions, la conduite d’un véhicule et l’emploi de machines ne sont pas possibles pendant au minimum 24 heures.
  • +Etomidat-Lipuro a une influence importante sur l’aptitude à la conduite ou l’utilisation de machines Aussi lors de l’administration d’étomidate conformément aux prescriptions, la conduite d’un véhicule et l’emploi de machines ne sont pas possibles pendant au minimum 24 heures.
  • -L’étomidate inhibe de façon variable les systèmes enzymatiques dépendant du cytochrome P-450, et celà en fonction de l’organe concerné. L’étomidate inhibe durant environ 6 heures la synthèse de cortisol et d’aldostérone par les cortico-surrénales. Cela abaisse de 40 à 50% les taux plasmatiques de ces hormones. Vu son point d’impact périphérique, il n’est pas possible de faire remonter dans les 24 heures qui suivent l’administration de brève durée d’étomidate les taux de cortisol par stimulation avec une préparation analogue d’ATCH. Pour obtenir une cortisolémie plus élevée, il faut administrer une dose unique de stéroïde. Il ne faut pas s'attendre à des effets cliniques d'une induction à l'étomidate de courte durée.
  • +L’étomidate inhibe de façon variable les systèmes enzymatiques dépendant du cytochrome P-450, et celà en fonction de l’organe concerné. L’étomidate inhibe durant environ 6 heures la synthèse de cortisol et d’aldostérone par les cortico-surrénales. Cela abaisse de 40 à 50% les taux plasmatiques de ces hormones (voir « Mises en garde et précautions »).
  • -Très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), occasionnel (≥1/1000, <1/100), rare (≥1/10'000, <1/1000), très rare (<1/10'000).
  • +Très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100, <1/10), occasionnel (≥1/1000, <1/100), rare (≥1/10'000, <1/1000), très rare (<1/10'000), non connus (fréquence ne pouvant pas être déterminée sur la base des données disponibles).
  • +.
  • -Très rares: On a observé des réactions allergiques, des bronchospasmes et des réactions anaphylactoïdes. L'administration d'étomidate a entraîné une libération d'histamine.
  • +Très rare: Réactions allergiques1, bronchospasmes et des réactions anaphylactoïdes.
  • -Très fréquents: L’étomidate inhibe la synthèse des stéroides par les cortico-surrénales. Lors d’une application unique, la réactivité des cortico-surrénales aux facteurs de stress est fortement diminuée pendant 4 à 6 heures.
  • +Très fréquent: L’étomidate inhibe la synthèse des stéroides par les cortico-surrénales (voir « Mises en garde et précautions »).
  • +Non connu: Insuffisance surènale.
  • -Très fréquents: Lors d’administration unique d’étomidate on observe fréquemment des mouvements spontanés de muscles (myoclonies) chez des patients n’ayant pas reçu de prémédication. Ils correspondent à une désinhibition de processus physiologiques d’impulsions diencéphaliques tels que myoclonies hypnogènes et peuvent être évitées en administrant des opiacés ou des benzodiazépines.
  • -Occasionnels: Frissons.
  • -Très rares: Convulsions.
  • +Très fréquent: Dyskinésie. Lors d’administration unique d’étomidate on observe des mouvements spontanés de muscles (myoclonies) chez des patients n’ayant pas reçu de prémédication. Ils correspondent à une désinhibition de processus physiologiques d’impulsions diencéphaliques tels que myoclonies hypnogènes et peuvent être évitées en administrant des opiacés ou des benzodiazépines.
  • +Occasionnel: Augmentation du tonus musculaire, contractions musculaires involontaires, nystagmus, frissons.
  • +Très rare: Convulsions.
  • -Rares: Troubles du rythme cardiaque.
  • +Occasionnel: Bradycardie, extrasystoles, extrasystoles ventriculaires.
  • +Non connu. Arrêt cardiaque, bloc auriculo-ventriculaire complet.
  • -Fréquents: Une légère chute de pression passagère peut survenir suite à une diminution de la résistance périphérique des vaisseaux sanguins.
  • +Fréquent: Hypotension.
  • +Occasionnel: Hypertension.
  • +Non connu: Choc.
  • -Fréquents: Une dépression respiratoire et des apnées peuvent survenir en particulier lors de l’administration de fortes doses d’étomidate en combinaisons avec d’autres médicaments provoquant une sédation centrale.
  • -Rares: Laryngospasme, toux.
  • +Fréquent: Une dépression respiratoire et des apnées peuvent survenir en particulier lors de l’administration de fortes doses d’étomidate en combinaisons avec d’autres médicaments provoquant une sédation centrale. Hyperventilation, Stridor.
  • +Occasionnel; : Hypoventilation, toux.
  • +Rare: Laryngospasme.
  • +Non connu: Dépression respiratoire2, bronchospasme (y compris des cas d'issue fatale).
  • -Fréquents: L’administration d’étomidate peut provoquer des nausées, des vomissements, dus en premier lieu à l’administration concomitante d’un opiacé.
  • -Rares: Singultus.
  • +Fréquent: Nausées, vomissement dus en premier lieu à l’administration concomitante d’un opiacé.
  • +Occasionnel: Singultus, hypersalivation.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Fréquent: Eruption cutanée.
  • +Occasionnel: Erythème.
  • +Non connu: Syndrome de Stevens-Johnson, urticaire.
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Occasionnel: Rigidité musculaire.
  • +Non connu: Trismus.
  • -Fréquents: Douleurs pendant l’injection, si l’Etomidat-Lipuro est injecté dans de petites veines sans adjonction de Fentanyl. Afin de réduire le risque de douleurs locales, il est recommandé d’effectuer l’injection dans des veines plus grosses.
  • +Fréquent: Douleurs pendant l’injection, si l’Etomidat-Lipuro est injecté dans de petites veines sans adjonction de fentanyl (voir « Mises en garde et précautions »).
  • +Lésions, intoxications et complications d’interventions
  • +Occasionnel: Complication lors de l’anesthésie, retard de réveil après l’anesthésie, analgésie inadéquate, nausées liées à une procédure.
  • +Description d’effets indésirables spécifiques et informations complémentaires
  • +1) Une libération d’histamine après l’administration d’étomidate a été observée.
  • +2) Une dépression respiratoire et des apnées peuvent survenir particulièrement après l’administration de doses plus élevées d’étomidate en association avec des dépresseurs du système nerveux central. Chez les patients âgés de 55 ans et plus, la dépression respiratoire et les apnées peuvent survenir particulièrement après l’administration de doses dépassant la dose maximale recommandée de 0,2 mg d’étomidate par kg de poids corporel.
  • -Lors de surdosage, en particulier en combinaison avec des anesthésiques par inhalation, on peut observer un sommeil de longue durée ainsi que des apnées dans un bref délai. Lors de l’application d’Etomidat-Lipuro, le matériel technique et médicamenteux doit être préparé comme lors de toute narcose.
  • +Symptomes
  • +En cas de surdosage, en particulier en combinaison avec des anesthésiques par inhalation, un sommeil plus profond et plus long ainsi que des apnées et des arrêts respiratoires de courte durée peuvent survenir. Une hypotension a également été observée dans de tels cas. Un surdosage peut réduire la sécrétion corticale. Cela peut s'accompagner de troubles de l'orientation et d'un retard de réveil.
  • +Traitement
  • +Le traitement et, le cas échéant, l’assistance respiratoire dépendent de la nature et de la sévérité des symptômes. En plus des mesures de soutien (p. ex. ventilation artificielle), l’administration d’hydrocortisone (et non d’ACTH) peut être nécessaire.
  • +En cas d’utilisation d’Etomidat-Lipuro, l’équipement et les médicaments habituels pour les anesthésies doivent être disponibles.
  • -Le début d’action survient très rapidement, la durée d’action hypnotique est très courte vu sa distribution et son catabolisme. Une dose unique de 0,3 mg/kg de poids corporel conduit à une hypnose profonde (3–4 min.) en l’espace de 10 secondes, suivie du sommeil.
  • +Le début d’action survient très rapidement, la durée d’action hypnotique est très courte vu sa distribution et son catabolisme. Une dose unique de 0,3 mg/kg de poids corporel conduit à une hypnose profonde (3–4 min.) en l’espace de 30-60 secondes, suivie du sommeil.
  • -La première étape de la biotransformation consiste en une hydrolyse de l’ester éthylique dans le foie. En outre, une Ndéalkylation oxydative intervient dans une moindre mesure. Tous les métabolites trouvés sont pharmacologiquement inactifs.
  • +La première étape de la biotransformation consiste en une hydrolyse de l’ester éthylique dans le foie. En outre, une N-déalkylation oxydative intervient dans une moindre mesure. Tous les métabolites trouvés sont pharmacologiquement inactifs.
  • -Après administration intraveineuse de 15 mg d’étomidate base (marqué radioactivement), on trouve après 24 h environ 75% de la radioactivité totale dans les urines. Environ 50% de la dose apparaissent dans les 4 premières heures qui suivent l’injection. Par extrapolation, on peut estimer qu’après une période suffisamment longue environ 87% sont éliminés par l’urine, les autres voies d’élimination sont donc de moindre importance. Le principal métabolite dans l’urine est un produit d’hydrolyse de l’étomidate, l’acide R- (+)-1-(αmethylbenzyl)-5-imidazolcarbonique, qui est présent en partie aussi sous forme glucuronée et qui représente env. 80% de la radioactivité dans l’urine; d’où 55–59% sont éliminés sous forme acide et 21–24% sous forme glucuronée.
  • +Malgré un taux élevé d'extraction hépatique, la demi-vie d'élimination est relativement longue (demi-vie d'élimination terminale de 2 à 5 heures).Après administration intraveineuse de 15 mg d’étomidate base (marqué radioactivement), on trouve après 24 h environ 75% de la radioactivité totale dans les urines. Environ 50% de la dose apparaissent dans les 4 premières heures qui suivent l’injection. Par extrapolation, on peut estimer qu’après une période suffisamment longue environ 87% sont éliminés par l’urine, les autres voies d’élimination sont donc de moindre importance. Le principal métabolite dans l’urine est un produit d’hydrolyse de l’étomidate, l’acide R- (+)-1-(α-methylbenzyl)-5-imidazolcarbonique, qui est présent en partie aussi sous forme glucuronée et qui représente env. 80% de la radioactivité dans l’urine; d’où 55–59% sont éliminés sous forme acide et 21–24% sous forme glucuronée.
  • +Une accumulation d'étomidate n'a pas été observée.
  • +Enfants
  • +Dans une étude menée chez 12 enfants (âge: 7 à 13 ans, poids: 22 à 48 kg), le volume de distribution initial ramené au poids dans le compartiment central était 2,4 fois plus élevé que chez les adultes (0,66 par rapport à 0,27 l/kg). La clairance a été 58 % plus élevée chez les enfants par rapport aux adultes. Ces données suggèrent la nécessité d’administrer une dose plus élevée chez les enfants par rapport aux adultes.
  • +Insuffisance hépatique
  • +
  • -Chez les enfants et les patients âgés, il faut s’attendre à un effet plus prononcé, la substance doit donc être dosée avec prudence dans ces cas-là.
  • +Patients âgés
  • +Par rapport aux patients plus jeunes, la clairance de l’étomidate est diminuée chez les patients âgés (> 65 ans). En raison du volume de distribution initial plus faible chez les patients âgés, les taux plasmatiques initiaux sont plus élevés par rapport aux patients plus jeunes. Par conséquent, la dose doit être diminuée chez les patients âgés.
  • -Aucune donnée relevante concernant l’application clinique n’est disponible.
  • +Les études expérimentales publiées menées chez l’animal (y compris le primate) à des doses entraînant une anesthésie légère à modérée ont montré que l’utilisation d’anesthésiques (flurane) ou de sédatifs (propofol, kétamine) qui inhibent les récepteurs NMDA et/ou potentialisent la transmission GABA-ergique pendant la période de croissance rapide du cerveau ou de synaptogenèse entraîne une perte de cellules dans le cerveau en développement, pouvant être associée à des déficits cognitifs persistants. La signification clinique de ces résultats n’est pas connue.
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +Dans des études sur la fertilité et le développement embryofœtal chez le rat, aucun effet sur la fertilité ou les paramètres généraux de la grossesse n’a été observé à des doses d’étomidate allant jusqu’à 5 mg/kg/jour (soit 2,7 fois la dose de 0,3 mg/kg chez l’être humain), ni aucun signe d’embryotoxicité ou de tératogénicité. Chez le lapin, des effets sur la survie de la progéniture ont été observés à des doses toxiques pour la mère d’étomidate de 1,5 et 4,5 mg/kg/jour (soit 1,6 et 4,8 fois la dose de 0,3 mg/kg chez l’être humain).
  • +Chez le rat, l’administration de doses d’étomidate de 0,31, 1,25 ou 5 mg/kg/jour (soit 0,17 à 2,7 fois la dose de 0,3 mg/kg chez l’être humain) pendant la période périnatale et postnatale a entraîné une toxicité maternelle dose-dépendante et un taux réduit de survie de la progéniture.
  • -Etomidat-Lipuro emuls inj amp 10 × 10 ml. (B)
  • +Etomidat-Lipuro ampoules 10 × 10 ml. (B)
  • -Juin 2024
  • +Janvier 2025
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