56 Changements de l'information professionelle Botox 100 Allergan-Einheiten |
-·traitement de l'incontinence urinaire causée par l'hyperactivité neurogène du détrusor Neurogenic Detrusor Overactivity (NDO)) associée à une affection neurologique (p.ex. lésion médullaire, sclérose en plaques) chez l'adulte.
- +·traitement de l'incontinence urinaire causée par l'hyperactivité neurogène du détrusor associée à une affection neurologique (p.ex. lésion médullaire, sclérose en plaques) chez l'adulte.
-Aucun ajustement spécifique de la posologie est nécessaire pour l'utilisation chez les patients âgés. Le dosage initial doit commencer à la dose minimale recommandé pour l'indication spécifique. Pour les injections répétées, il est recommandé d'administrer la plus faible dose efficace en respectant entre les injections l'intervalle le plus long possible qui est cliniquement indiqué. Les patients âgés présentant une anamnèse médicale importante et des médicaments concomitants doivent être traités avec précautions (pour des informations supplémentaires voir la rubrique «Effets indésirables» et «Propriétés/Effets»).
- +Aucun ajustement spécifique de la posologie n'est nécessaire pour l'utilisation chez les patients âgés. Le dosage initial doit commencer à la dose minimale recommandée pour l'indication spécifique. Pour les injections répétées, il est recommandé d'administrer la plus faible dose efficace en respectant entre les injections l'intervalle le plus long possible qui est cliniquement indiqué. Les patients âgés présentant une anamnèse médicale importante et des médicaments concomitants doivent être traités avec précautions (pour des informations supplémentaires voir les rubriques «Effets indésirables» et «Propriétés/Effets»).
-La sécurité et l'efficacité du BOTOX dans le traitement de l'hyperactivité neurogène du détrusor chez les enfants de moins de 5 ans n'ont pas été étudiées. La sécurité et l'efficacité de BOTOX dans le traitement de la dystonie cervicale, des céphalées en cas de migraine chronique, et de l'hyperhidrose axillaire primaire n'ont pas été démontrées chez les enfants et les adolescents (de moins de 18 ans).
- +La sécurité et l'efficacité du BOTOX dans le traitement de l'hyperactivité neurogène du détrusor chez les enfants de moins de 5 ans n'ont pas été étudiées.
- +La sécurité et l'efficacité de BOTOX pour le traitement de l'hyperactivité vésicale n'ont pas été démontrées chez les patients de moins de 18 ans (voir « Efficacité clinique» pour plus d'informations).
- +La sécurité et l'efficacité de BOTOX pour le traitement de la dystonie cervicale, la prophylaxie des céphalées en cas de migraine chronique et le traitement de l'hyperhidrose axillaire primaire n'ont pas été étudiées chez les enfants et les adolescents (âgés de moins de 18 ans).
-Informations complémentaires: Les injections à proximité du muscle releveur de la paupière supérieure sont à éviter pour éviter le risque de ptose. En raison de la diffusion de la solution de toxine botulique de type A dans le muscle oblique inférieur, une diplopie peut se manifester. Cet effet indésirable peut être réduit en évitant les injections médiales dans la paupière inférieure. Les sites d'injection possibles Figure 1 sont représentés ci-après:
- +Informations complémentaires: Les injections à proximité du muscle releveur de la paupière supérieure sont à éviter pour éviter le risque de ptose. En raison de la diffusion de la solution de toxine botulique de type A dans le muscle oblique inférieur, une diplopie peut se manifester. Cet effet indésirable peut être réduit en évitant les injections médiales dans la paupière inférieure. Les sites d'injection possibles sont représentés ci-après:
-·pour les muscles verticaux et un strabisme horizontal de moins de 20 dioptries prismatiques: 1,25 unités à 2,5 unités (0,05 à 0,10 ml) dans chaque muscle.
- +·pour les muscles verticaux et un strabisme horizontal de moins de 20 dioptries prismatiques: 1,25 unité à 2,5 unités (0,05 à 0,10 ml) dans chaque muscle.
-·pour une paralysie du nerf oculomoteur externe, qui perdure depuis un mois ou plus: 1,25 unités à 2,5 unités dans le muscle rectus medialis.
-Dose totale maximale: La dose maximale recommandée pour une injection unique dans un muscle de l'œil est de 25 unités.
-Le volume d'injection recommandé de BOTOX à administrer pour le traitement du strabisme est de 0,05 à 0,15 ml par muscle.
- +·pour une paralysie du nerf oculomoteur externe, qui perdure depuis un mois ou plus: 1,25 unité à 2,5 unités dans le muscle rectus medialis.
- +Dose totale maximale: La dose maximale recommandée pour une injection unique dans un muscle de l'œil est de 25 unités. Le volume d'injection recommandé de BOTOX à administrer pour le traitement du strabisme est de 0,05 à 0,15 ml par muscle.
-Chez les patients présentent une paralysie incomplète du muscle cible, les doses consécutives peuvent aller jusqu'au double de la dose précédente. Il convient de n'effectuer aucune administration consécutive tant que l'effet de la dose précédente ne s'est pas résorbé, c'est-à-dire tant que les fonctions du muscle injecté et des muscles voisins ne sont pas rétablies.
- +Chez les patients présentant une paralysie incomplète du muscle cible, les doses consécutives peuvent aller jusqu'au double de la dose précédente. Il convient de n'effectuer aucune administration consécutive tant que l'effet de la dose précédente ne s'est pas résorbé, c'est-à-dire tant que les fonctions du muscle injecté et des muscles voisins ne sont pas rétablies.
-L'administration initiale chez un patient jamais traité auparavant doit commencer à la dose minimale efficace. Il ne faut pas administrer plus de 50 unités dans un même site. Le sterno-cléidomastoïdien ne doit pas recevoir plus de 100 unités. Afin de minimiser le risque de dysphagie, les injections dans le sterno-cléido-mastoïdien ne doivent pas être bilatérales.
- +L'administration initiale chez un patient jamais traité auparavant doit commencer à la dose minimale efficace. Il ne faut pas administrer plus de 50 unités dans un même site. Le sterno-cléido-mastoïdien ne doit pas recevoir plus de 100 unités. Afin de minimiser le risque de dysphagie, les injections dans le sterno-cléido-mastoïdien ne doivent pas être bilatérales.
-Pour tous les groupes d'âge, il convient au moins d'envisager l'instillation intra-vésicale d'un anesthésique local dilué. Si une instillation d'anesthésique locale est réalisée, la vessie doit être vidangée et rincée avec une solution de chlorure de sodium stérile avant les étapes suivantes de la procédure d'injection.
- +Pour tous les groupes d'âge, il convient au moins d'envisager l'instillation intra-vésicale d'un anesthésique local dilué. Si une instillation d'anesthésique locale est réalisée, la vessie doit être vidangée et rincée avec une solution de chlorure de sodium stérile avant les étapes suivantes de la procédure d'injection.
-L'aiguille doit être introduite sur environ 2 mm dans le muscle détrusor et 20 injections de 0,5 ml chacune (volume total: 10 ml) doivent être réalisées avec une espace d'environ 1 cm (voir Figure 5). Comme injection finale, environ 1 ml de solution de chlorure de sodium physiologique stérile doit être injecté pour que le reste de BOTOX passe de l'aiguille au muscle détrusor et que la dose totale soit administrée. Après administration de toutes les injections, la solution de chlorure de sodium utilisée pour la visualisation de la paroi vésicale doit être vidée. Le patient doit être surveillé pendant encore au moins 30 minutes après la fin des injections.
- +L'aiguille doit être introduite sur environ 2 mm dans le muscle détrusor et 20 injections de 0,5 ml chacune (volume total: 10 ml) doivent être réalisées avec une espace d'environ 1 cm (voir Figure 5). Comme injection finale, environ 1 ml de solution de chlorure de sodium physiologique stérile doit être injecté pour que le reste de BOTOX passe de l'aiguille au muscle détrusor et que la dose totale soit administrée. Après administration de toutes les injections, la solution de chlorure de sodium utilisée pour la visualisation de la paroi vésicale doit être vidée. Le patient doit être surveillé pendant encore au moins 30 minutes après la fin des injections.
-·Vérification clinique, pouvant inclure un examen électromyographique dans un centre spécialisé, de l'action de la toxine sur le(s) muscle(s) traités).
- +·Vérification clinique, pouvant inclure un examen électromyographique dans un centre spécialisé, de l'action de la toxine sur le(s) muscle(s) traité(s).
-·Hypersensibilité connue à la substance active, à savoir la toxine botulique de type A, ou à l'un des excipients selon la composition.
- +·Hypersensibilité connue à la substance active, à savoir la toxine botulique de type A, ou à l'un des excipients selon la composition.
-En cas de dystonie cervicale, des injections de BOTOX peuvent causer une dysphagie très légère à sévère. Consécutivement à la dysphagie, une aspiration et une dyspnée sont possibles et peuvent entraîner dans des cas très rares la nécessité d'une alimentation artificielle. On a signalé de rares cas de dysphagies associée à une pneumonie d'aspiration et la mort. La dysphagie peut durer pendant 2 à 3 semaines après l'injection mais des cas de dysphagie durant jusqu'à 5 mois ont été rapportés.
-La fréquence des dysphagies est dose-dépendante et il est possible de la réduire en maintenant la dose injectée dans le muscle sterno-cléido-mastoïdien inférieure à 100 unités. Les patients présentant une faible masse musculaire au niveau de la nuque ou ayant reçu une injection bilatérale dans le muscle sternocléido-mastoïdien présentent un risque de dysphagie plus élevé. La dysphagie est imputable à la diffusion de la toxine dans la musculature œsophagienne. Les patients souffrant de dystonie cervicale doivent être informés du risque de dysphagie en tant qu'effet indésirable.
- +En cas de dystonie cervicale, des injections de BOTOX peuvent causer une dysphagie très légère à sévère. Consécutivement à la dysphagie, une aspiration et une dyspnée sont possibles et peuvent entraîner dans des cas très rares la nécessité d'une alimentation artificielle. On a signalé de rares cas de dysphagies associées à une pneumonie d'aspiration et la mort. La dysphagie peut durer pendant 2 à 3 semaines après l'injection mais des cas de dysphagie durant jusqu'à 5 mois ont été rapportés.
- +La fréquence des dysphagies est dose-dépendante et il est possible de la réduire en maintenant la dose injectée dans le muscle sterno-cléido-mastoïdien inférieure à 100 unités. Les patients présentant une faible masse musculaire au niveau de la nuque ou ayant reçu une injection bilatérale dans le muscle sterno-cléido-mastoïdien présentent un risque de dysphagie plus élevé. La dysphagie est imputable à la diffusion de la toxine dans la musculature œsophagienne. Les patients souffrant de dystonie cervicale doivent être informés du risque de dysphagie en tant qu'effet indésirable.
-Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels ( ≥1/1000 à <1/100); rares (≥1/10 000 à <1/1000); très rares (<1/10 000), fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
- +Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels ( ≥1/1000 à <1/100); rares (≥1/10'000 à <1/1000); très rares (<1/10'000), fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Fréquents: kératite ponctuée, lagophthalmie, sécheresse oculaire, irritation oculaire, photophobie, larmoiement augmenté.
- +Fréquents: kératite ponctuée, lagophtalmie, sécheresse oculaire, irritation oculaire, photophobie, larmoiement augmenté.
- +Hyperactivité vésicale chez les enfants et les adolescents
- +Infections et infestations
- +Fréquents: infection des voies urinaires.
- +Affections des reins et des voies urinaires
- +Fréquents: dysurie*, douleur urétrale*.
- +*Effets indésirables liés à la procédure
- +Affections gastro-intestinales
- +Fréquents: douleurs abdominales, douleurs au niveau du bas-ventre.
- +Dans une étude en double aveugle, randomisée et multi-centrique à groupes parallèles portant sur 55 patients âgés de 12 à 17 ans, les effets indésirables étaient comparables au profil de tolérance connu chez les patients adultes présentant une hyperactivité vésicale, mais des douleurs urétrales et abdominales ont également été identifiées lors de cette petite étude de l'hyperactivité vésicale pédiatrique.
- +
-* Effets indésirables liées à la procédure
- +* Effets indésirables liés à la procédure
-* Effets indésirables liées à la procédure
- +* Effets indésirables liés à la procédure
-Très fréquents: Hématurie ou ou présence de sang dans les urines (cycle 1 = 4,4 %, cycle 2 = 10,0 %, cycle 3 = 16,4 %, cycle 4 = 54,5%).
- +Très fréquents: Hématurie ou présence de sang dans les urines (cycle 1 = 4,4 %, cycle 2 = 10,0 %, cycle 3 = 16,4 %, cycle 4 = 54,5%).
-Moyenne des semaines 4 et 6 1 88 1 87 1 66
- +Moyenne des semaines 4 et 6 1,88 1,87 1,66
-L'efficacité et l'innocuité de BOTOX pour le traitement de la spasticité des membres inférieurs chez les patients pédiatriques à partir de 2 ans ont été évaluées dans le cadre d'une étude randomisée, multicentrique, en double aveugle, contrôlée par placebo. L'étude a porté sur 384 patients pédiatriques (128 BOTOX 8 unités/kg, 126 BOTOX 4 unités/kg et 128 placebo) présentant une spasticité des membres inférieurs due à une infirmité motrice cérébrale (score ASM pour la cheville d'au moins 2). Une dose totale de 4 unités/kg (maximum 150 unités) ou 8 unités/kg (maximum 300 unités) ou un placebo a été injectée par voie intramusculaire, répartie entre le gastrocnémien, le soleus et le tibialis posterior. L'utilisation d'un contrôle par électromyogramme (EMG), d'une stimulation nerveuse ou d'une technologie à ultrasons était nécessaire pour aider à localiser correctement le muscle à injecter. Les patients ont été suivis pendant 12 semaines. Le critère primaire d'évaluation était le changement moyen par rapport à la valeur initiale du score ASM pour la cheville lors des semaines 4 et 6, et le critère d'évaluation secondaire principal était le CGI moyen lors des semaines 4 et 6. Les critères d'évaluation secondaires lors des semaines 8 et 12 comprenaient le GAS par le médecin et la Edinburgh Visual Gait (EVG) (chez un sous-ensemble de patients).
- +L'efficacité et l'innocuité de BOTOX pour le traitement de la spasticité des membres inférieurs chez les patients pédiatriques à partir de 2 ans ont été évaluées dans le cadre d'une étude randomisée, multicentrique, en double aveugle, contrôlée par placebo. L'étude a porté sur 384 patients pédiatriques (128 BOTOX 8 unités/kg, 126 BOTOX 4 unités/kg et 128 placebo) présentant une spasticité des membres inférieurs due à une infirmité motrice cérébrale (score ASM pour la cheville d'au moins 2). Une dose totale de 4 unités/kg (maximum 150 unités) ou 8 unités/kg (maximum 300 unités) ou de placebo a été injectée par voie intramusculaire, répartie entre le gastrocnémien, le soleus et le tibialis posterior. L'utilisation d'un contrôle par électromyogramme (EMG), d'une stimulation nerveuse ou d'une technologie à ultrasons était nécessaire pour aider à localiser correctement le muscle à injecter. Les patients ont été suivis pendant 12 semaines. Le critère primaire d'évaluation était le changement moyen par rapport à la valeur initiale du score ASM pour la cheville lors des semaines 4 et 6, et le critère d'évaluation secondaire principal était le CGI moyen lors des semaines 4 et 6. Les critères d'évaluation secondaires lors des semaines 8 et 12 comprenaient le GAS par le médecin et la Edinburgh Visual Gait (EVG) (chez un sous-ensemble de patients).
-Tableau 1:
-Résultats combinés des critères d'évaluation de l'efficacité dans les deux études pivotales à la semaine 24 (critère d'évaluation principal)
- +Résultats groupés des principaux critères d'évaluation d'efficacité lors des deux études pivots réalisées la semaine 24 (critère d'évaluation principal)
-Vessie hyperactive
- +Vessie hyperactive chez les adultes
- +Hyperactivité vésicale chez les enfants et adolescents
- +Des données à efficacité limitée sont issues d'une étude multi-centrique en double aveugle à groupes parallèles (191622 137), menée auprès de patients âgés de 12 à 17 ans présentant une hyperactivité vésicale et des symptômes d'incontinence urinaire. Les patients n'ayant pas répondu de manière adéquate ou étant intolérants à au moins un médicament anti-cholinergique ont été inclus dans cette étude. En raison de problèmes de recrutement, seulement 55 des 108 patients prévus ont été inclus, ce qui signifie que le nombre de cas était insuffisant pour pouvoir se prononcer sur une efficacité pour cette population. Ces patients ont été randomisés pour recevoir 25 unités, 50 unités ou 100 unités, la dose de 6 unités/kg de poids corporel ne devant pas être dépassée; BOTOX 25 unités N = 18, BOTOX 50 unités N = 17 et BOTOX 100 unités N = 20. Avant utilisation, les patients ont reçu une anesthésie conformément à la pratique locale. Tous les patients ont reçu une anesthésie générale ou une légère sédation.
- +En ce qui concerne le critère d'évaluation principal à la semaine 12, «Fréquence quotidienne des épisodes d'incontinence urinaire diurne», ainsi que d'autres critères tels que la fréquence des épisodes quotidiens de miction, la fréquence des épisodes quotidiens de besoin impérieux d'uriner ou une réponse positive au traitement, des différences numériques sans aucune différence statistiquement significative ont pu parfois être constatées entre les groupes de traitement.
- +Sur les 55 patients pédiatriques qui présentaient une valeur initiale négative pour les anticorps de liaison ou les anticorps neutralisants, et après le début de l'étude au moins une valeur évaluable par rapport à la valeur initiale issue d'une étude randomisée en double aveugle, aucun n'a développé d'anticorps neutralisants après traitement avec 25–100 unités de BOTOX.
-BOTOX s'est révélé négatif dans les essais de mutation inverse sur bactéries, les essais de micronoyaux sur cultures de cellules de mammifères et les analyses chromosomiques. BOTOX s'est révélé négatif dans un test du micronoyau in vivo chez les rongeurs.
- +BOTOX s'est révélé négatif lors de tests de mutation bactérienne inverse, de tests du micro-nucleus sur des cultures de cellules de mammifères et des analyses chromosomiques. BOTOX s'est révélé négatif lors d'un test de micro-nucleus in vivo chez des rongeurs.
-Aucune étude de cancérogénicité n'a été menée avec BOTOX.
- +Aucune étude de cancérogénicité n'a été effectuée avec BOTOX.
-Il est recommandé d'effectuer la reconstitution de la solution et la préparation de la seringue sur des serviettes en papiers doublées de plastique afin d'absorber toute quantité renversée. Reconstituer BOTOX avec une solution saline normale sans conservateur (chlorure de sodium à 0,9% pour préparations injectables).
- +Il est recommandé d'effectuer la reconstitution de la solution et la préparation de la seringue sur des serviettes en papier doublées de plastique afin d'absorber toute quantité renversée. Reconstituer BOTOX avec une solution saline normale sans conservateur (chlorure de sodium à 0,9% pour préparations injectables).
-Instructions pour la dilution de quatre flacons de 50 unités de BOTOX :
- +Instructions pour la dilution de quatre flacons de 50 unités de BOTOX:
-·Terminer la reconstitution en ajoutant 6 ml de solution saline à 0,9% sans conservateur dans chacune des seringues de 10 ml et agiter-les doucement.
- +·Terminer la reconstitution en ajoutant 6 ml de solution saline à 0,9% sans conservateur dans chacune des seringues de 10 ml et agitez-les doucement.
-Mai 2023
- +Février 2025
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