234 Changements de l'information professionelle Botox 100 Allergan-Einheiten |
-Un flacon de BOTOX® 50 unités Allergan contient 0,18 mg de sodium.
-Un flacon de BOTOX® 100 unités Allergan contient 0,35 mg de sodium.
- +Un flacon de BOTOX 50 unités Allergan contient 0,18 mg de sodium.
- +Un flacon de BOTOX 100 unités Allergan contient 0,35 mg de sodium.
-BOTOX® est indiqué pour:
- +BOTOX est indiqué pour:
-•traitement symptomatique du blépharospasme, de l'hémispasme facial et des dystonies focales associées, ainsi que pour la correction du strabisme chez les patients de plus de 12 ans.
-•traitement symptomatique de la dystonie cervicale (torticolis spasmodique) chez l'adulte.
-•Traitement symptomatique de la spasticité focale des membres supérieurs et inférieurs chez l'adulte
-•Traitement symptomatique de la spasticité focale des membres supérieurs et inférieurs chez les adolescents et les enfants à partir de 2 ans.
- +·traitement symptomatique du blépharospasme, de l'hémispasme facial et des dystonies focales associées, ainsi que pour la correction du strabisme chez les patients de plus de 12 ans.
- +·traitement symptomatique de la dystonie cervicale (torticolis spasmodique) chez l'adulte.
- +·traitement symptomatique de la spasticité focale des membres supérieurs et inférieurs chez l'adulte.
- +·traitement symptomatique de la spasticité focale des membres supérieurs et inférieurs chez les adolescents et les enfants à partir de 2 ans.
- +·Prophylaxie des céphalées chez les patients adultes atteints de migraine chronique.
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-•traitement de la vessie hyperactive accompagnée des symptômes suivants: incontinence urinaire, mictions impérieuses et mictions fréquentes, chez le patient adulte qui ne répond pas suffisamment aux anticholinergiques ou qui présente une intolérance à ces médicaments.
-•traitement de l'incontinence urinaire causée par l'hyperactivité neurogène du détrusor associée à une affection neurologique (p.ex. lésion médullaire, sclérose en plaques) chez l'adulte.
- +·traitement de la vessie hyperactive accompagnée des symptômes suivants: incontinence urinaire, mictions impérieuses et mictions fréquentes, chez le patient adulte qui ne répond pas suffisamment aux anticholinergiques ou qui présente une intolérance à ces médicaments.
- +·traitement de l'incontinence urinaire causée par l'hyperactivité neurogène du détrusor associée à une affection neurologique (p.ex. lésion médullaire, sclérose en plaques) chez l'adulte.
-•traitement de l'hyperhidrose axillaire primaire chez l'adulte.
- +·traitement de l'hyperhidrose axillaire primaire chez l'adulte.
-Il n'existe pas d'étude sur la sécurité et l'efficacité de BOTOX® dans le traitement du blépharospasme, de l'hémispasme facial et du strabisme chez l'enfant de moins de 12 ans.
-La sécurité et l'efficacité de BOTOX® pour le traitement de la dystonie cervicale, de l'hyperhidrose axillaire primaire et une vessie hyperactive ou de l'incontinence urinaire causée par l'hyperactivité neurogène du détrusor n'ont pas été établies chez les enfants et les adolescents (âgés de moins de 18 ans). Aucune donnée n'est disponible.
- +Il n'existe pas d'étude sur la sécurité et l'efficacité de BOTOX dans le traitement du blépharospasme, de l'hémispasme facial et du strabisme chez l'enfant de moins de 12 ans.
- +La sécurité et l'efficacité de BOTOX dans le traitement de la dystonie cervicale, des céphalées en cas de migraine chronique, de l'hyperhidrose axillaire primaire et de la vessie hyperactive ou de l'incontinence urinaire causée par l'hyperactivité neurogène du détrusor n'ont pas été établies chez les enfants et les adolescents (âgés de moins de 18 ans). Aucune donnée n'est disponible.
-BOTOX® doit seulement être administré par des médecins possédant la qualification et les connaissances professionnelles adéquates dans le traitement et l'utilisation de l'équipement nécessaire. En fonction de l'indication, le diagnostic et l'administration de BOTOX® doivent être effectués dans la mesure du possible en collaboration avec un neurologue, un ophtalmologiste, un pédiatre, un orthopédiste pédiatrique, un dermatologue ou un urologue.
- +BOTOX doit seulement être administré par des médecins possédant la qualification et les connaissances professionnelles adéquates dans le traitement et l'utilisation de l'équipement nécessaire. En fonction de l'indication, le diagnostic et l'administration de BOTOX doivent être effectués dans la mesure du possible en collaboration avec un neurologue, un ophtalmologiste, un pédiatre, un orthopédiste pédiatrique, un dermatologue ou un urologue.
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-En général, l'effet initial des injections s'observe dans les trois jours suivants et atteint un maximum une à deux semaines après le traitement. L'effet de chaque traitement persiste environ 3 mois, après quoi les injections peuvent être répétées sans limitation. Lors des nouvelles séances de traitement, la dose peut être augmentée jusqu'à être doublée, si la réponse au traitement initial est jugée insuffisante. Toutefois, l'injection de plus de 5,0 unités par site d'injection semble peu bénéfique. De même, un intervalle inférieur à trois mois entre deux traitements n'apporte aucun bénéfice supplémentaire. Les patients atteints d'hémispasme facial ou de troubles du nerf facial (VII) doivent être traités comme pour un blépharospasme unilatéral et les autres muscles faciaux touchés doivent être traités par des injections de BOTOX® en fonction du degré de spasme.
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- +En général, l'effet initial des injections s'observe dans les trois jours suivants et atteint un maximum une à deux semaines après le traitement. L'effet de chaque traitement persiste environ 3 mois, après quoi les injections peuvent être répétées sans limitation. Lors des nouvelles séances de traitement, la dose peut être augmentée jusqu'à être doublée, si la réponse au traitement initial est jugée insuffisante.
- +Toutefois, l'injection de plus de 5,0 unités par site d'injection semble peu bénéfique. De même, un intervalle inférieur à trois mois entre deux traitements n'apporte aucun bénéfice supplémentaire.
- +Les patients atteints d'hémispasme facial ou de troubles du nerf facial (VII) doivent être traités comme pour un blépharospasme unilatéral et les autres muscles faciaux touchés doivent être traités par des injections de BOTOX en fonction du degré de spasme.
-Instruction d'administration: Une solution de BOTOX® contenant 2,5 unités par 0,1 ml (voir «Remarques concernant la manipulation» et «Élimination» sous «Remarques particulières»). BOTOX® est destiné à être injecté dans les muscles extra-oculaires en utilisant un guidage électromyographique. Afin de préparer l'œil à l'injection de BOTOX®, quelques gouttes d'un anesthésique local et d'une solution oculaire décongestionnante doivent être administrées quelques minutes avant l'injection.
-Dose recommandée: Initialement, les doses les plus faibles doivent être utilisées pour le traitement des légères divergences et des doses plus élevées pour les divergences plus marquées. Les doses initiales suivantes en unités sont recommandées (la dose la plus faible est prévue pour des angles de strabisme plus petits):
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-opour les muscles verticaux et un strabisme horizontal de moins de 20 dioptries prismatiques: 1,25 unités à 2,5 unités (0,05 à 0,10 ml) dans chaque muscle.
-opour un strabisme horizontal de 20 à 50 dioptries prismatiques: 2,5 unités à 5,0 unités (0,10 à 0,20 ml) dans chaque muscle.
-opour une paralysie du nerf oculomoteur externe, qui perdure depuis un mois ou plus: 1,25 unités à 2,5 unités dans le muscle rectus medialis.
-Dose totale maximale: La dose maximale recommandée pour une injection unique dans un muscle de l'œil est de 25 unités. Le volume d'injection recommandé de BOTOX® à administrer pour le traitement du strabisme est de 0,05 à 0,15 ml par muscle.
-Informations complémentaires: Les doses initiales de BOTOX® dilué provoquent habituellement une paralysie des muscles injectés un à deux jours après l'injection. L'intensité de la paralyse augmente pendant la première semaine. Cette paralysie dure 2 à 6 semaines et se résorbe progressivement pendant une période à peu près équivalente. Les sur-corrections durant plus de 6 mois sont rares. Environ la moitié des patients traités nécessitent des doses supplémentaires en raison d'une paralysie insuffisante du muscle après la dose initiale ou à cause de facteurs mécaniques tels que des divergences marquées ou une limitation ou en raison du manque de fusion binoculaire motrice afin de stabiliser l'adaptation. Doses consécutives en cas de strabisme résiduel ou de récidive:
- Il est recommandé de réexaminer les patients 7 à 14 jours après chaque injection pour évaluer l'effet de la dose. Les doses consécutives chez les patients présentant une paralysie suffisante du muscle cible doivent être identiques à la dose initiale. Chez les patients présentent une paralysie incomplète du muscle cible, les doses consécutives peuvent aller jusqu'au double de la dose précédente. Il convient de n'effectuer aucune administration consécutive tant que l'effet de la dose précédente ne s'est pas résorbé, c'est-à-dire tant que les fonctions du muscle injecté et des muscles voisins ne sont pas rétablies.
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- +Instruction d'administration: Une solution de BOTOX contenant 2,5 unités par 0,1 ml (voir «Remarques concernant la manipulation» et «Élimination» sous «Remarques particulières»).
- +BOTOX est destiné à être injecté dans les muscles extra-oculaires en utilisant un guidage électromyographique.
- +Afin de préparer l'œil à l'injection de BOTOX, quelques gouttes d'un anesthésique local et d'une solution oculaire décongestionnante doivent être administrées quelques minutes avant l'injection.
- +Dose recommandée: Initialement, les doses les plus faibles doivent être utilisées pour le traitement des légères divergences et des doses plus élevées pour les divergences plus marquées.
- +Les doses initiales suivantes en unités sont recommandées (la dose la plus faible est prévue pour des angles de strabisme plus petits):
- +·pour les muscles verticaux et un strabisme horizontal de moins de 20 dioptries prismatiques: 1,25 unités à 2,5 unités (0,05 à 0,10 ml) dans chaque muscle.
- +·pour un strabisme horizontal de 20 à 50 dioptries prismatiques: 2,5 unités à 5,0 unités (0,10 à 0,20 ml) dans chaque muscle.
- +·pour une paralysie du nerf oculomoteur externe, qui perdure depuis un mois ou plus: 1,25 unités à 2,5 unités dans le muscle rectus medialis.
- +Dose totale maximale: La dose maximale recommandée pour une injection unique dans un muscle de l'œil est de 25 unités. Le volume d'injection recommandé de BOTOX à administrer pour le traitement du strabisme est de 0,05 à 0,15 ml par muscle.
- +Informations complémentaires: Les doses initiales de BOTOX dilué provoquent habituellement une paralysie des muscles injectés un à deux jours après l'injection. L'intensité de la paralyse augmente pendant la première semaine. Cette paralysie dure 2 à 6 semaines et se résorbe progressivement pendant une période à peu près équivalente. Les sur-corrections durant plus de 6 mois sont rares.
- +Environ la moitié des patients traités nécessitent des doses supplémentaires en raison d'une paralysie insuffisante du muscle après la dose initiale ou à cause de facteurs mécaniques tels que des divergences marquées ou une limitation ou en raison du manque de fusion binoculaire motrice afin de stabiliser l'adaptation.
- +Doses consécutives en cas de strabisme résiduel ou de récidive:
- +Il est recommandé de réexaminer les patients 7 à 14 jours après chaque injection pour évaluer l'effet de la dose. Les doses consécutives chez les patients présentant une paralysie suffisante du muscle cible doivent être identiques à la dose initiale.
- +Chez les patients présentent une paralysie incomplète du muscle cible, les doses consécutives peuvent aller jusqu'au double de la dose précédente. Il convient de n'effectuer aucune administration consécutive tant que l'effet de la dose précédente ne s'est pas résorbé, c'est-à-dire tant que les fonctions du muscle injecté et des muscles voisins ne sont pas rétablies.
-Adultes seulement
- +Adultes seulement
-Instruction d'administration: Dans les études cliniques sur le traitement de la dystonie cervicale, BOTOX® a été habituellement injecté dans les muscles suivants: sterno-cléido-mastoïdien, élévateur de l'omoplate, scalène, splénius de la tête, semi-épineux, longissimus et/ou trapèze. Cette liste n'est pas exhaustive, car tout muscle qui contrôle la position de la tête peut être atteint et dès lors nécessiter un traitement. Chez les femmes, on observe plus fréquemment des effets secondaires dose-dépendants. Il convient donc de prendre en compte la masse musculaire et le degré d'hypertrophie ou d'atrophie du muscle à traiter lors de la sélection de la dose appropriée. Le schéma d'activation musculaire de la dystonie cervicale peut changer spontanément sans que le tableau clinique de la dystonie en soit modifié. En cas de difficulté pour identifier clairement le muscle touché, les injections doivent être effectuées avec une assistance électromyographique.
-Dose recommandée: Lors de la première séance de traitement, la dose totale injectée ne doit pas dépasser 200 unités. Lors des séances suivantes, la dose sera ajustée en fonction de la réponse initiale. Dans les premières études cliniques contrôlées visant à prouver l'innocuité et l'efficacité du produit pour le traitement de la dystonie cervicale, les doses de BOTOX® reconstitué allaient de 140 à 280 unités. Dans des études plus récentes, les doses allaient de 95 à 360 unités (avec une moyenne de 240 unités environ). L'administration initiale chez un patient jamais traité auparavant doit commencer à la dose minimale efficace. Il ne faut pas administrer plus de 50 unités dans un même site. Le sterno-cléido-mastoïdien ne doit pas recevoir plus de 100 unités. Afin de minimiser le risque de dysphagie, les injections dans le sterno-cléido-mastoïdien ne doivent pas être bilatérales.
- +Instruction d'administration: Dans les études cliniques sur le traitement de la dystonie cervicale, BOTOX a été habituellement injecté dans les muscles suivants: sterno-cléido-mastoïdien, élévateur de l'omoplate, scalène, splénius de la tête, semi-épineux, longissimus et/ou trapèze. Cette liste n'est pas exhaustive, car tout muscle qui contrôle la position de la tête peut être atteint et dès lors nécessiter un traitement.
- +Chez les femmes, on observe plus fréquemment des effets secondaires dose-dépendants. Il convient donc de prendre en compte la masse musculaire et le degré d'hypertrophie ou d'atrophie du muscle à traiter lors de la sélection de la dose appropriée. Le schéma d'activation musculaire de la dystonie cervicale peut changer spontanément sans que le tableau clinique de la dystonie en soit modifié.
- +En cas de difficulté pour identifier clairement le muscle touché, les injections doivent être effectuées avec une assistance électromyographique.
- +Dose recommandée: Lors de la première séance de traitement, la dose totale injectée ne doit pas dépasser 200 unités. Lors des séances suivantes, la dose sera ajustée en fonction de la réponse initiale.
- +Dans les premières études cliniques contrôlées visant à prouver l'innocuité et l'efficacité du produit pour le traitement de la dystonie cervicale, les doses de BOTOX reconstitué allaient de 140 à 280 unités. Dans des études plus récentes, les doses allaient de 95 à 360 unités (avec une moyenne de 240 unités environ).
- +L'administration initiale chez un patient jamais traité auparavant doit commencer à la dose minimale efficace. Il ne faut pas administrer plus de 50 unités dans un même site. Le sterno-cléido-mastoïdien ne doit pas recevoir plus de 100 unités. Afin de minimiser le risque de dysphagie, les injections dans le sterno-cléido-mastoïdien ne doivent pas être bilatérales.
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-Adultes
- +Adultes
-Instruction d'administration: Pour localiser les muscles concernés, le recours à un guidage électromyographique ou à la stimulation nerveuse peut être utile. Un contact plus uniforme avec les régions d'innervation du muscle peut être obtenu par l'administration de BOTOX® à plusieurs sites d'injection. Cela peut être utile en particulier chez les muscles grands.
-Dose recommandée: La posologie exacte doit être déterminée individuellement. La dose et le nombre des sites d'injection dépendent de la grosseur, du nombre et de l'emplacement des muscles impliqués, de la présence d'une faiblesse musculaire locale et de la réponse au traitement antérieur chez le patient. De fortes doses peuvent entraîner une réduction plus durable de la tonicité musculaire. La sévérité de la spasticité musculaire et les groupes musculaires impliqués peuvent varier au cours du temps et il peut être nécessaire d'envisager une modification de la dose de BOTOX® et des muscles à traiter.
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- +Instruction d'administration: Pour localiser les muscles concernés, le recours à un guidage électromyographique ou à la stimulation nerveuse peut être utile. Un contact plus uniforme avec les régions d'innervation du muscle peut être obtenu par l'administration de BOTOX à plusieurs sites d'injection. Cela peut être utile en particulier chez les muscles grands.
- +Dose recommandée: La posologie exacte doit être déterminée individuellement. La dose et le nombre des sites d'injection dépendent de la grosseur, du nombre et de l'emplacement des muscles impliqués, de la présence d'une faiblesse musculaire locale et de la réponse au traitement antérieur chez le patient.
- +De fortes doses peuvent entraîner une réduction plus durable de la tonicité musculaire. La sévérité de la spasticité musculaire et les groupes musculaires impliqués peuvent varier au cours du temps et il peut être nécessaire d'envisager une modification de la dose de BOTOX et des muscles à traiter.
- Muscle Posologie totale; nombre de sites d'injection
- Biceps brachii 50 à 200 unités; jusqu'à 4 sites
- Flexor digitorum profundus 7,5 à 30 unités; 1 à 2 sites
- Flexor digitorum sublimis 7,5 à 30 unités; 1 à 2 sites
- Flexor carpi radialis 15 à 60 unités; 1 à 2 sites
- Flexor carpi ulnaris 10 à 40 unités; 1 à 2 sites
- +Muscle Posologie totale; nombre de sites d'injection
- +Biceps brachii 50 à 200 unités; jusqu'à 4 sites
- +Flexor digitorum profundus 7,5 à 30 unités; 1 à 2 sites
- +Flexor digitorum sublimis 7,5 à 30 unités; 1 à 2 sites
- +Flexor carpi radialis 15 à 60 unités; 1 à 2 sites
- +Flexor carpi ulnaris 10 à 40 unités; 1 à 2 sites
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-Instructions d'administration: Le guidage par EMG, la stimulation nerveuse ou l'échographie sont recommandés pour la localisation des muscles impliqués.
- +Instructions d'administration: Le guidage par EMG, la stimulation nerveuse ou l'échographie sont recommandés pour la localisation des muscles impliqués.
-Dose totale maximale: La dose totale de BOTOX® par traitement des membres supérieurs ne doit pas dépasser 6 unités/kg de poids corporel ou 200 unités, selon la valeur la plus faible. Si le médecin traitant le juge approprié, un renouvellement du traitement doit être envisagé chez le patient lorsque l'effet clinique de l'injection précédente a diminué, mais pas avant 12 semaines après l'injection précédente. Lors du traitement simultané des membres supérieurs et inférieurs, la dose totale dans un intervalle de 12 semaines ne doit pas dépasser la limite inférieure de 10 unités/kg de poids corporel ou 340 unités.
-Informations
-complémentaires: En règle générale, l'amélioration du tonus musculaire se produit dans les 7 jours suivant le traitement. Le traitement au BOTOX® ne remplace pas les traitements de rééducation standard habituels.
- +Dose totale maximale: La dose totale de BOTOX par traitement des membres supérieurs ne doit pas dépasser 6 unités/kg de poids corporel ou 200 unités, selon la valeur la plus faible. Si le médecin traitant le juge approprié, un renouvellement du traitement doit être envisagé chez le patient lorsque l'effet clinique de l'injection précédente a diminué, mais pas avant 12 semaines après l'injection précédente. Lors du traitement simultané des membres supérieurs et inférieurs, la dose totale dans un intervalle de 12 semaines ne doit pas dépasser la limite inférieure de 10 unités/kg de poids corporel ou 340 unités.
- +Informations complémentaires: En règle générale, l'amélioration du tonus musculaire se produit dans les 7 jours suivant le traitement. Le traitement au BOTOX ne remplace pas les traitements de rééducation standard habituels.
-Aiguille recommandée: Aiguille stérile de calibre 25, 27 ou 30. La longueur de l'aiguille doit être choisie en fonction de la localisation et de la profondeur du muscle.
-Instructions d'administration: Le guidage par EMG, la stimulation nerveuse ou l'échographie peuvent être utiles pour localiser les muscles concernés. L'application de BOTOX® sur plusieurs sites d'injection permet d'obtenir un contact plus uniforme avec les zones d'innervation des muscles, ce qui est particulièrement utile pour les gros muscles.
- +Aiguille recommandée: Aiguille stérile de calibre 25, 27 ou 30. La longueur de l'aiguille doit être choisie en fonction de la localisation et de la profondeur du muscle.
- +Instructions d'administration: Le guidage par EMG, la stimulation nerveuse ou l'échographie peuvent être utiles pour localiser les muscles concernés. L'application de BOTOX sur plusieurs sites d'injection permet d'obtenir un contact plus uniforme avec les zones d'innervation des muscles, ce qui est particulièrement utile pour les gros muscles.
-Dose recommandée: La dose recommandée pour le traitement des membres inférieurs, y compris la cheville et le pied, est de 300 à 400 unités réparties entre les muscles concernés énumérés dans le tableau ci-dessous. La dose totale maximale par traitement est de 400 unités. Le degré et le profil de la spasticité musculaire au moment de la réinjection peuvent nécessiter des modifications de la dose de BOTOX® et des muscles à injecter.
- +Dose recommandée: La dose recommandée pour le traitement des membres inférieurs, y compris la cheville et le pied, est de 300 à 400 unités réparties entre les muscles concernés énumérés dans le tableau ci-dessous. La dose totale maximale par traitement est de 400 unités. Le degré et le profil de la spasticité musculaire au moment de la réinjection peuvent nécessiter des modifications de la dose de BOTOX et des muscles à injecter.
-Informations
-complémentaires: Le médecin traitant est libre d'envisager une réinjection si l'effet clinique de l'injection précédente s'estompe, mais pas avant 12 semaines après l'injection précédente.
- +Informations complémentaires: Le médecin traitant est libre d'envisager une réinjection si l'effet clinique de l'injection précédente s'estompe, mais pas avant 12 semaines après l'injection précédente.
-Instructions d'administration: Le guidage par EMG, la stimulation nerveuse ou l'échographie sont recommandés pour la localisation des muscles impliqués.
- +Instructions d'administration: Le guidage par EMG, la stimulation nerveuse ou l'échographie sont recommandés pour la localisation des muscles impliqués.
-Dose totale maximale: La dose totale de BOTOX® par traitement des membres inférieurs ne doit pas dépasser 8 unités/kg de poids corporel ou 300 unités, selon la valeur la plus faible. Le médecin traitant est libre d'envisager une réinjection si l'effet clinique de l'injection précédente s'estompe, mais pas avant 12 semaines après l'injection précédente. Lors du traitement simultané des membres supérieurs et inférieurs, la dose totale dans un intervalle de 12 semaines ne doit pas dépasser la limite inférieure de 10 unités/kg de poids corporel ou 340 unités.
-Informations
-complémentaires: En règle générale, l'amélioration du tonus musculaire se produit dans les 7 jours suivant le traitement. Le traitement au BOTOX® ne remplace pas les traitements de rééducation standard habituels.
- +Dose totale maximale: La dose totale de BOTOX par traitement des membres inférieurs ne doit pas dépasser 8 unités/kg de poids corporel ou 300 unités, selon la valeur la plus faible. Le médecin traitant est libre d'envisager une réinjection si l'effet clinique de l'injection précédente s'estompe, mais pas avant 12 semaines après l'injection précédente. Lors du traitement simultané des membres supérieurs et inférieurs, la dose totale dans un intervalle de 12 semaines ne doit pas dépasser la limite inférieure de 10 unités/kg de poids corporel ou 340 unités.
- +Informations complémentaires: En règle générale, l'amélioration du tonus musculaire se produit dans les 7 jours suivant le traitement. Le traitement au BOTOX ne remplace pas les traitements de rééducation standard habituels.
- +Prophylaxie des céphalées chez les patients adultes atteints de migraine chronique
- +Aiguille recommandée: Une aiguille de 30 gauges/13 mm est utilisée.
- +Instructions d'administration: Les injections doivent être réparties sur sept zones musculaires spécifiques de la tête et de la nuque, comme décrit dans le tableau ci-dessous. À l'exception du muscle procérus, qui doit être injecté sur un site (ligne médiane), tous les muscles doivent être injectés bilatéralement avec la dose minimale par muscle indiquée ci-après, la moitié des sites d'injection se situant donc du côté gauche et l'autre moitié du côté droit de la tête et de la nuque. Si un ou plusieurs points douloureux prédominent, des injections supplémentaires peuvent être administrées unilatéralement ou bilatéralement dans un maximum de 3 groupes musculaires spécifiques (occipital, temporal et trapèze), jusqu'à la dose maximale par muscle indiquée dans le tableau ci-dessous.
- +Le calendrier recommandé pour le renouvellement du traitement est de 12 semaines. Les points d'injection sont représentés dans les illustrations ci-dessous:
- +(image)
- +Les groupes de muscles recommandés pour les injections supplémentaires facultatives sont représentés dans les illustrations ci-dessous:
- +(image)
- +Dose recommandée: La dose recommandée est comprise entre 155 et 195 unités administrées par voie intramusculaire (i.m.) sous forme d'injections de 0,1 ml (5 unités) chacune, pratiquées dans 31 à 39 sites.
- +BOTOX - Posologie selon le muscle en cas de migraine chronique:
- + Dose recommandée
- +Zone de la tête et de la nuque Dose totale (nombre de points d'injectiona)
- +Corrugatorb 10 unités (2 sites)
- +Procérus 5 unités (1 site)
- +Frontalb 20 unités (4 sites)
- +Temporalb 40 unités (8 sites) jusqu'à 50 unités (jusqu'à 10 sites)
- +Occipitalb 30 unités (6 sites) jusqu'à 40 unités (jusqu'à 8 sites)
- +Groupe musculaire cervical paraspinalb 20 unités (4 sites)
- +Trapèzeb 30 unités (6 sites) jusqu'à 50 unités (jusqu'à 10 sites)
- +Plage de dose totale: 155 unités jusqu'à 195 unités 31 à 39 sites
- +
- +a Chaque point d'injection i.m. = 0,1 ml = 5 unités BOTOX
- +b Dose répartie des deux côtés
- +Informations complémentaires: L'amélioration survient généralement au cours des 3 premières semaines après l'injection. En règle générale, l'effet persiste pendant 12 semaines après l'injection.
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-Instruction d'administration: Au moment du traitement, les patients ne doivent pas être atteints d'une infection urinaire aiguë. Un traitement antibiotique prophylactique doit être administré 1 à 3 jours avant le traitement, le jour du traitement et 1 à 3 jours après le traitement. Il est conseillé aux patients de cesser le traitement anti-agrégation plaquettaire au moins 3 jours avant l'injection. Les patients sous traitement anticoagulant doivent être pris en charge de façon appropriée pour réduire le risque d'hémorragie.
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- +Instruction d'administration: Au moment du traitement, les patients ne doivent pas être atteints d'une infection urinaire aiguë.
- +Un traitement antibiotique prophylactique doit être administré 1 à 3 jours avant le traitement, le jour du traitement et 1 à 3 jours après le traitement.
- +Il est conseillé aux patients de cesser le traitement anti-agrégation plaquettaire au moins 3 jours avant l'injection. Les patients sous traitement anticoagulant doivent être pris en charge de façon appropriée pour réduire le risque d'hémorragie.
-Aiguille recommandée: Un cystoscope flexible ou rigide peut être utilisé. Avant de commencer les injections, il faut remplir (préparer) l'aiguille d'injection stérile par environ 1 ml de BOTOX® reconstitué (selon la longueur de l'aiguille) pour en retirer totalement l'air.
-Instruction d'administration: Une instillation intravésicale avec un anesthésique local dilué avec ou sans sédation peut être utilisée avant l'injection, selon les pratiques locales. Si une instillation d'anesthésique locale est effectuée, la vessie doit être vidangée et rincée avec une solution de chlorure de sodium stérile avant les étapes suivantes du processus d'injection. La solution de BOTOX® reconstituée (100 unités /10 ml) est injectée dans le muscle détrusor au moyen d'un cystoscope souple ou rigide en évitant le trigone. La vessie doit être instillée avec suffisamment de solution de chlorure de sodium afin d'obtenir une visualisation suffisante pour l'injection. Une dilatation exagérée doit cependant être évitée. L'aiguille doit être introduite sur environ 2 mm dans le muscle détrusor et 20 injections de 0,5 ml (volume total de 10 ml) doivent être effectuées à une distance d'environ 1 cm (voir illustration ci-dessous). Comme injection finale, environ 1 ml de solution de chlorure de sodium physiologique stérile sera injecté afin que la dose totale soit administrée. Après administration des injections, la solution de chlorure de sodium utilisée pour la visualisation de la paroi vésicale ne sera pas drainée afin que le patient puisse démontrer sa capacité d'uriner avant sa sortie de la clinique. Le patient sera surveillé pendant au moins 30 minutes après l'injection et jusqu'à ce qu'une vidange spontanée de la vessie ait eu lieu.
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- +Aiguille recommandée: Un cystoscope flexible ou rigide peut être utilisé. Avant de commencer les injections, il faut remplir (préparer) l'aiguille d'injection stérile par environ 1 ml de BOTOX reconstitué (selon la longueur de l'aiguille) pour en retirer totalement l'air.
- +Instruction d'administration: Une instillation intravésicale avec un anesthésique local dilué avec ou sans sédation peut être utilisée avant l'injection, selon les pratiques locales. Si une instillation d'anesthésique locale est effectuée, la vessie doit être vidangée et rincée avec une solution de chlorure de sodium stérile avant les étapes suivantes du processus d'injection.
- +La solution de BOTOX reconstituée (100 unités /10 ml) est injectée dans le muscle détrusor au moyen d'un cystoscope souple ou rigide en évitant le trigone. La vessie doit être instillée avec suffisamment de solution de chlorure de sodium afin d'obtenir une visualisation suffisante pour l'injection. Une dilatation exagérée doit cependant être évitée.
- +L'aiguille doit être introduite sur environ 2 mm dans le muscle détrusor et 20 injections de 0,5 ml (volume total de 10 ml) doivent être effectuées à une distance d'environ 1 cm (voir illustration ci-dessous). Comme injection finale, environ 1 ml de solution de chlorure de sodium physiologique stérile sera injecté afin que la dose totale soit administrée. Après administration des injections, la solution de chlorure de sodium utilisée pour la visualisation de la paroi vésicale ne sera pas drainée afin que le patient puisse démontrer sa capacité d'uriner avant sa sortie de la clinique. Le patient sera surveillé pendant au moins 30 minutes après l'injection et jusqu'à ce qu'une vidange spontanée de la vessie ait eu lieu.
-Dose recommandée: La dose recommandée est de 100 unités de BOTOX® sous forme d'injections de 0,5 ml (5 unités), réparties sur 20 endroits du muscle détrusor.
-Informations complémentaires: Une amélioration clinique peut se manifester dans un délai de 2 semaines. Une nouvelle injection devrait être envisagée pour les patients chez lesquels l'effet clinique de l'injection précédente a diminué (la durée médiane dans les études cliniques de phase III était de 166 jours [~24 semaines]). La nouvelle injection ne devrait cependant pas être effectuée dans les 3 mois qui suivent l'injection vésicale précédente.
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- +Dose recommandée: La dose recommandée est de 100 unités de BOTOX sous forme d'injections de 0,5 ml (5 unités), réparties sur 20 endroits du muscle détrusor.
- +Informations complémentaires: Une amélioration clinique peut se manifester dans un délai de 2 semaines. Une nouvelle injection devrait être envisagée pour les patients chez lesquels l'effet clinique de l'injection précédente a diminué (la durée médiane dans les études cliniques de phase 3 était de 166 jours [~24 semaines]). La nouvelle injection ne devrait cependant pas être effectuée dans les 3 mois qui suivent l'injection vésicale précédente.
-Instruction d'administration: Il est possible d'instiller par voie intravésicale un anesthésique dilué, avec ou sans sédation, ou recourir à une anesthésie générale avant l'injection, selon les pratiques locales. Si un anesthésique local est instillé, la vessie doit être drainée et rincée à l'aide d'une solution saline stérile avant de poursuivre la procédure d'injection. La solution reconstituée de BOTOX® (200 unités /30 ml) est injectée dans le détrusor à l'aide d'un cystoscope flexible ou rigide, en évitant le trigone. Il faut instiller dans la vessie une quantité suffisante de solution saline pour une bonne visualisation des injections. Une dilatation exagérée doit cependant être évitée. L'aiguille doit être introduite sur environ 2 mm à l'intérieur du détrusor et 30 injections de 1 ml chacune (volume total de 30 ml) doivent être effectuées avec un espace d'environ 1 cm (voir la figure ci-dessus). Pour la dernière injection, environ 1 ml de solution physiologique stérile doit être injecté pour que la dose complète puisse être administrée. Une fois les injections réalisées, la solution saline injectée dans la vessie pour permettre d'en voir les parois doit être drainée. Le patient doit être gardé en observation pendant au moins 30 minutes après l'intervention.
-Dose recommandée: La dose recommandée est de 200 unités unités de BOTOX® réparties en 30 injections d'un volume de 1 ml (~6,7 unités) dans le détrusor.
-Informations complémentaires: Une amélioration clinique se produit en général dans les 2 semaines suivant l'intervention. De nouvelles injections sont envisageables chez le patient lorsque l'effet clinique des injections précédentes a diminué (la durée médiane dans les essais cliniques de phase III était de 256 à 295 jours (~36-42 semaines) pour BOTOX® (à raison de 200 unités)), mais ces nouvelles injections ne doivent pas être faites moins de 3 mois après la dernière injection vésicale.
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- +Instruction d'administration: Il est possible d'instiller par voie intravésicale un anesthésique dilué, avec ou sans sédation, ou recourir à une anesthésie générale avant l'injection, selon les pratiques locales. Si un anesthésique local est instillé, la vessie doit être drainée et rincée à l'aide d'une solution saline stérile avant de poursuivre la procédure d'injection.
- +La solution reconstituée de BOTOX (200 unités /30 ml) est injectée dans le détrusor à l'aide d'un cystoscope flexible ou rigide, en évitant le trigone. Il faut instiller dans la vessie une quantité suffisante de solution saline pour une bonne visualisation des injections. Une dilatation exagérée doit cependant être évitée.
- +L'aiguille doit être introduite sur environ 2 mm à l'intérieur du détrusor et 30 injections de 1 ml chacune (volume total de 30 ml) doivent être effectuées avec un espace d'environ 1 cm (voir la figure ci-dessus). Pour la dernière injection, environ 1 ml de solution physiologique stérile doit être injecté pour que la dose complète puisse être administrée. Une fois les injections réalisées, la solution saline injectée dans la vessie pour permettre d'en voir les parois doit être drainée. Le patient doit être gardé en observation pendant au moins 30 minutes après l'intervention.
- +Dose recommandée: La dose recommandée est de 200 unités de BOTOX réparties en 30 injections d'un volume de 1 ml (~6,7 unités) dans le détrusor.
- +Informations complémentaires: Une amélioration clinique se produit en général dans les 2 semaines suivant l'intervention. De nouvelles injections sont envisageables chez le patient lorsque l'effet clinique des injections précédentes a diminué (la durée médiane dans les essais cliniques de phase 3 était de 256 à 295 jours (~36-42 semaines) pour BOTOX (à raison de 200 unités)), mais ces nouvelles injections ne doivent pas être faites moins de 3 mois après la dernière injection vésicale.
-Adultes seulement
- +Adultes seulement
-Dose recommandée: 50 unités de BOTOX® (100 unités /4,0 ml) sont injectés par voie intradermique, réparties équitablement entre plusieurs sites distants d'environ 1 à 2 cm, dans la zone hyperhidrotique de chaque aisselle atteinte.
- +Dose recommandée: 50 unités de BOTOX (100 unités /4,0 ml) sont injectés par voie intradermique, réparties équitablement entre plusieurs sites distants d'environ 1 à 2 cm, dans la zone hyperhidrotique de chaque aisselle atteinte.
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-•Vérification clinique, pouvant inclure un examen électromyographique dans un centre spécialisé, de l'action de la toxine sur le(s) muscle(s) traités).
-•Analyse des causes de l'échec thérapeutique, p.ex. mauvaise sélection des muscles à traiter, dose insuffisante, technique d'injection inadaptée, apparition d'une contracture fixée, muscles antagonistes trop faibles, formation d'anticorps.
-•Réévaluation de la pertinence du traitement par la toxine botulique de type A.
- +·Vérification clinique, pouvant inclure un examen électromyographique dans un centre spécialisé, de l'action de la toxine sur le(s) muscle(s) traités).
- +·Analyse des causes de l'échec thérapeutique, p.ex. mauvaise sélection des muscles à traiter, dose insuffisante, technique d'injection inadaptée, apparition d'une contracture fixée, muscles antagonistes trop faibles, formation d'anticorps.
- +·Réévaluation de la pertinence du traitement par la toxine botulique de type A.
-•Hypersensibilité connue à la substance active, à savoir la toxine botulique de type A, ou à l'un des excipients selon la composition.
-•Présence d'une infection au niveau du (des) site(s) d'injection prévu(s).
-Les injections de BOTOX® dans le muscle détrusor sont également contre-indiquées:
-•Chez les patients qui souffrent d'une infection urinaire au moment du traitement.
-•Chez les patients qui présentent une rétention urinaire aiguë au moment du traitement et qui n'utilisent pas régulièrement un sondage vésical.
-•Chez les patients qui ne veulent pas et/ou ne peuvent pas, en cas de besoin, recourir au sondage après le traitement.
- +·Hypersensibilité connue à la substance active, à savoir la toxine botulique de type A, ou à l'un des excipients selon la composition.
- +·Présence d'une infection au niveau du (des) site(s) d'injection prévu(s).
- +Les injections de BOTOX dans le muscle détrusor sont également contre-indiquées:
- +·Chez les patients qui souffrent d'une infection urinaire au moment du traitement.
- +·Chez les patients qui présentent une rétention urinaire aiguë au moment du traitement et qui n'utilisent pas régulièrement un sondage vésical.
- +·Chez les patients qui ne veulent pas et/ou ne peuvent pas, en cas de besoin, recourir au sondage après le traitement.
-Les posologies recommandées et la fréquence d'administration de BOTOX® ne doivent pas être dépassées, sous peine de causer un surdosage, une augmentation de la faiblesse musculaire, une diffusion de la toxine à distance du site d'administration et la formation d'anticorps neutralisants. La dose initiale chez des patients non traités auparavant doit être la dose recommandée la plus faible pour l'indication correspondante.
- +Les posologies recommandées et la fréquence d'administration de BOTOX ne doivent pas être dépassées, sous peine de causer un surdosage, une augmentation de la faiblesse musculaire, une diffusion de la toxine à distance du site d'administration et la formation d'anticorps neutralisants. La dose initiale chez des patients non traités auparavant doit être la dose recommandée la plus faible pour l'indication correspondante.
-Le médecin traitant doit être familiarisé avec la technique électromyographique lorsqu'il injecte BOTOX® pour traiter un strabisme. L'effet de BOTOX® n'est pas assuré en présence d'écart supérieur à 50 dioptries en cas de strabisme de type restrictif, de syndrome de Duane ou de strabisme secondaire résultant d'une sur-correction chirurgicale antérieure du muscle antagoniste. Plusieurs cycles de traitement peuvent éventuellement être nécessaires.
- +Le médecin traitant doit être familiarisé avec la technique électromyographique lorsqu'il injecte BOTOX pour traiter un strabisme. L'effet de BOTOX n'est pas assuré en présence d'écart supérieur à 50 dioptries en cas de strabisme de type restrictif, de syndrome de Duane ou de strabisme secondaire résultant d'une sur-correction chirurgicale antérieure du muscle antagoniste. Plusieurs cycles de traitement peuvent éventuellement être nécessaires.
-Avant le début du traitement par BOTOX®, les bénéfices et les risques individuels doivent être évalués.
- +Avant le début du traitement par BOTOX, les bénéfices et les risques individuels doivent être évalués.
-BOTOX® ne doit être administré qu'avec une extrême prudence et sous contrôle strict chez les patients atteints d'un trouble de la conduction neuromusculaire subclinique ou clinique avéré, comme p.ex. en cas de myasthénie grave ou de syndrome de Eaton-Lambert, chez les patients souffrant de maladies motrices neuropathiques périphériques (p.ex. sclérose latérale amyotrohique ou neuropathie motrice) et chez les patients avec des maladies neurologiques de base. Ces patients peuvent présenter une sensibilité accrue aux principes actifs tels que BOTOX®, également aux doses thérapeutiques, ce qui peut entraîner une faiblesse musculaire prononcée et un risque accru d'effets systémiques cliniquement significatifs, y compris de dysphagie sévère et de trouble respiratoire. La préparation de toxine botulique ne doit, chez ces patients, être utilisée que sous la surveillance par un spécialiste et seulement lorsque les bénéfices du traitement dépassent les risques associés. Les patients avec des antécédents de dysphagie et d'aspiration doivent être traités avec la plus grande prudence.
- +BOTOX ne doit être administré qu'avec une extrême prudence et sous contrôle strict chez les patients atteints d'un trouble de la conduction neuromusculaire subclinique ou clinique avéré, comme p.ex. en cas de myasthénie grave ou de syndrome de Eaton-Lambert, chez les patients souffrant de maladies motrices neuropathiques périphériques (p.ex. sclérose latérale amyotrophique ou neuropathie motrice) et chez les patients avec des maladies neurologiques de base. Ces patients peuvent présenter une sensibilité accrue aux principes actifs tels que BOTOX, également aux doses thérapeutiques, ce qui peut entraîner une faiblesse musculaire prononcée et un risque accru d'effets systémiques cliniquement significatifs, y compris de dysphagie sévère et de trouble respiratoire. La préparation de toxine botulique ne doit, chez ces patients, être utilisée que sous la surveillance par un spécialiste et seulement lorsque les bénéfices du traitement dépassent les risques associés. Les patients avec des antécédents de dysphagie et d'aspiration doivent être traités avec la plus grande prudence.
-Avant d'utiliser BOTOX®, le médecin doit se familiariser avec l'anatomie du patient et avec les changements anatomiques dus à des interventions chirurgicales. Il faut éviter les injections dans des structures anatomiques fragiles.
-Après l'utilisation de BOTOX® à proximité du thorax, un pneumothorax en relation avec l'injection a été rapporté. Il convient d'être prudent en cas d'injection à proximité des poumons (en particulier l'apex) ou dans d'autres structures fragiles.
-Des effets indésirables sévères, comprenant des effets avec issue fatale, ont été rapportés chez des patients ayant reçu BOTOX® directement dans les glandes salivaires, la sphère orolinguale, l'œsophage ou l'estomac (indications non autorisées (off-label)). Certains patients souffraient déjà d'une dysphagie ou étaient dans un état de faiblesse avancé.
-De rares réactions d'hypersensibilité graves et/ou immédiates y compris choc anaphylactique, maladie sérique, urticaire, œdème des parties molles et dyspnée ont été rapportées. Quelques-unes de ces réactions sont survenues soit après utilisation de BOTOX® seul, soit après utilisation de BOTOX® combiné à d'autres préparations dont l'utilisation s'accompagne de réactions similaires. Si une telle réaction survient, il faut renoncer à une autre injection de BOTOX® et instaurer immédiatement un traitement médical adéquat, p.ex. adrénaline. Dans un cas, une anaphylaxie avec issue fatale a été rapportée chez un patient ayant reçu une injection de BOTOX® reconstituée par inadvertance dans 5 ml d'une solution de lidocaïne à 1%.
- +Avant d'utiliser BOTOX, le médecin doit se familiariser avec l'anatomie du patient et avec les changements anatomiques dus à des interventions chirurgicales. Il faut éviter les injections dans des structures anatomiques fragiles.
- +Après l'utilisation de BOTOX à proximité du thorax, un pneumothorax en relation avec l'injection a été rapporté. Il convient d'être prudent en cas d'injection à proximité des poumons (en particulier l'apex) ou dans d'autres structures fragiles.
- +Des effets indésirables sévères, comprenant des effets avec issue fatale, ont été rapportés chez des patients ayant reçu BOTOX directement dans les glandes salivaires, la sphère orolinguale, l'œsophage ou l'estomac (indications non autorisées (off-label)). Certains patients souffraient déjà d'une dysphagie ou étaient dans un état de faiblesse avancé.
- +De rares réactions d'hypersensibilité graves et/ou immédiates y compris choc anaphylactique, maladie sérique, urticaire, œdème des parties molles et dyspnée ont été rapportées. Quelques-unes de ces réactions sont survenues soit après utilisation de BOTOX seul, soit après utilisation de BOTOX combiné à d'autres préparations dont l'utilisation s'accompagne de réactions similaires. Si une telle réaction survient, il faut renoncer à une autre injection de BOTOX et instaurer immédiatement un traitement médical adéquat, p.ex. adrénaline. Dans un cas, une anaphylaxie avec issue fatale a été rapportée chez un patient ayant reçu une injection de BOTOX reconstituée par inadvertance dans 5 ml d'une solution de lidocaïne à 1%.
-La prudence s'impose lorsque BOTOX® est utilisé en présence d'une inflammation au(x) site(s) d'injection proposé(s) ou lorsque le muscle cible présente une faiblesse excessive ou une atrophie. La prudence s'impose également lorsque BOTOX® est utilisé pour le traitement de patients atteints de maladies motrices neuropathies périphériques (p.ex. sclérose latérale amyotrophique ou neuropathie motrice).
-Des effets indésirables touchant le système cardiovasculaire comme l'arythmie et l'infarctus du myocarde, parfois avec issue fatale, ont été rapportés après l'utilisation de BOTOX®. Certains de ces patients présentaient des facteurs de risque comme des maladies cardiovasculaires.
- +La prudence s'impose lorsque BOTOX est utilisé en présence d'une inflammation au(x) site(s) d'injection proposé(s) ou lorsque le muscle cible présente une faiblesse excessive ou une atrophie. La prudence s'impose également lorsque BOTOX est utilisé pour le traitement de patients atteints de maladies motrices neuropathies périphériques (p.ex. sclérose latérale amyotrophique ou neuropathie motrice).
- +Des effets indésirables touchant le système cardiovasculaire comme l'arythmie et l'infarctus du myocarde, parfois avec issue fatale, ont été rapportés après l'utilisation de BOTOX. Certains de ces patients présentaient des facteurs de risque comme des maladies cardiovasculaires.
-La formation d'anticorps neutralisants dirigés contre la toxine botulique de type A peut réduire l'efficacité d'un traitement par BOTOX® en bloquant l'activité biologique de la toxine. Des résultats de quelques études laissent supposer que l'administration d'injections de BOTOX® à intervalles plus fréquents ou à des doses plus élevées peut conduire à une augmentation de l'incidence de la formation d'anticorps. Le cas échéant, la formation d'anticorps potentielle peut être réduite par l'administration de la dose efficace la plus faible et par le maintien d'un intervalle le plus long possible tout en restant cliniquement approprié entre les injections.
-Lors de l'utilisation répétée de BOTOX® (comme avec toutes les toxines botuliques), des variations cliniques peuvent survenir en raison des différences entre les procédures de reconstitution des flacons, des intervalles d'injection, des muscles traités et de légères différences d'activité de la toxine qui sont dues aux essais biologiques utilisés.
-Après un contact de BOTOX® avec la peau, la zone de peau concernée doit d'abord être nettoyée avec une solution diluée d'hypochlorite, puis rincée abondamment à l'eau courante. Dans le cas d'une piqûre accidentelle, la zone de peau concernée doit également être nettoyée immédiatement et le patient doit être surveillé comme recommandé dans la rubrique «Surdosage». En cas de contact avec les yeux, l'œil concerné doit être rincé abondamment à l'eau courante ou avec une solution appropriée.
- +La formation d'anticorps neutralisants dirigés contre la toxine botulique de type A peut réduire l'efficacité d'un traitement par BOTOX en bloquant l'activité biologique de la toxine. Des résultats de quelques études laissent supposer que l'administration d'injections de BOTOX à intervalles plus fréquents ou à des doses plus élevées peut conduire à une augmentation de l'incidence de la formation d'anticorps. Le cas échéant, la formation d'anticorps potentielle peut être réduite par l'administration de la dose efficace la plus faible et par le maintien d'un intervalle le plus long possible tout en restant cliniquement approprié entre les injections.
- +Lors de l'utilisation répétée de BOTOX (comme avec toutes les toxines botuliques), des variations cliniques peuvent survenir en raison des différences entre les procédures de reconstitution des flacons, des intervalles d'injection, des muscles traités et de légères différences d'activité de la toxine qui sont dues aux essais biologiques utilisés.
- +Après un contact de BOTOX avec la peau, la zone de peau concernée doit d'abord être nettoyée avec une solution diluée d'hypochlorite, puis rincée abondamment à l'eau courante. Dans le cas d'une piqûre accidentelle, la zone de peau concernée doit également être nettoyée immédiatement et le patient doit être surveillé comme recommandé dans la rubrique «Surdosage». En cas de contact avec les yeux, l'œil concerné doit être rincé abondamment à l'eau courante ou avec une solution appropriée.
-L'innocuité et l'efficacité de BOTOX® ne sont pas prouvées pour des indications autres que celles mentionnées pour les enfants et les adolescents dans la rubrique «Indications/Possibilités d'emploi». Des cas de diffusion éventuelle de la toxine dans des zones éloignées du site d'injection ont été très rarement rapportés après la commercialisation du produit chez des enfants et des adolescents présentant une maladie supplémentaire. Ces cas concernaient surtout des patients présentant des parésies cérébrales infantiles. En général, la posologie utilisée dans ces cas était supérieure à celle recommandée (voir «Effets indésirables»).
- +L'innocuité et l'efficacité de BOTOX ne sont pas prouvées pour des indications autres que celles mentionnées pour les enfants et les adolescents dans la rubrique «Indications/Possibilités d'emploi». Des cas de diffusion éventuelle de la toxine dans des zones éloignées du site d'injection ont été très rarement rapportés après la commercialisation du produit chez des enfants et des adolescents présentant une maladie supplémentaire. Ces cas concernaient surtout des patients présentant des parésies cérébrales infantiles. En général, la posologie utilisée dans ces cas était supérieure à celle recommandée (voir «Effets indésirables»).
-BOTOX® est inefficace dans le traitement du strabisme paralytique chronique, sauf pour réduire une contracture du muscle antagoniste en relation avec une correction chirurgicale. Lors de l'utilisation de BOTOX® pour traiter le strabisme, un saignement rétrobulbaire ou une perforation du bulbe peuvent se produire.
- +BOTOX est inefficace dans le traitement du strabisme paralytique chronique, sauf pour réduire une contracture du muscle antagoniste en relation avec une correction chirurgicale. Lors de l'utilisation de BOTOX pour traiter le strabisme, un saignement rétrobulbaire ou une perforation du bulbe peuvent se produire.
-En cas de dystonie cervicale, des injections de BOTOX® peuvent causer une dysphagie très légère à sévère. Consécutivement à la dysphagie, une aspiration et une dyspnée sont possibles et peuvent entraîner dans des cas très rares la nécessité d'une alimentation artificielle. On a signalé de rares cas de dysphagies associée à une pneumonie d'aspiration et la mort. La dysphagie peut durer pendant 2 à 3 semaines après l'injection mais des cas de dysphagie durant jusqu'à 5 mois ont été rapportés.
-La fréquence des dysphagies est dose-dépendante et il est possible de la réduire en maintenant la dose injectée dans le muscle sterno-cléido-mastoïdien inférieure à 100 unités. Les patients présentant une faible masse musculaire au niveau du cou ou ayant reçu une injection bilatérale dans le muscle sterno-cléido-mastoïdien présentent un risque de dysphagie plus élevé. La dysphagie est imputable à la diffusion de la toxine dans la musculature œsophagienne. Les patients souffrant de dystonie cervicale doivent être informés du risque de dysphagie en tant qu'effet indésirable.
- +En cas de dystonie cervicale, des injections de BOTOX peuvent causer une dysphagie très légère à sévère. Consécutivement à la dysphagie, une aspiration et une dyspnée sont possibles et peuvent entraîner dans des cas très rares la nécessité d'une alimentation artificielle. On a signalé de rares cas de dysphagies associée à une pneumonie d'aspiration et la mort. La dysphagie peut durer pendant 2 à 3 semaines après l'injection mais des cas de dysphagie durant jusqu'à 5 mois ont été rapportés.
- +La fréquence des dysphagies est dose-dépendante et il est possible de la réduire en maintenant la dose injectée dans le muscle sterno-cléido-mastoïdien inférieure à 100 unités. Les patients présentant une faible masse musculaire au niveau de la nuque ou ayant reçu une injection bilatérale dans le muscle sterno-cléido-mastoïdien présentent un risque de dysphagie plus élevé. La dysphagie est imputable à la diffusion de la toxine dans la musculature œsophagienne. Les patients souffrant de dystonie cervicale doivent être informés du risque de dysphagie en tant qu'effet indésirable.
-Une dysphagie peut contribuer à une diminution de la prise de nourriture et d'eau, ce qui conduit à une perte de poids et à une déshydratation. Les patients avec une dysphagie subclinique peuvent présenter un risque accru de dysphagie sévère après une injection de BOTOX®.
- +Une dysphagie peut contribuer à une diminution de la prise de nourriture et d'eau, ce qui conduit à une perte de poids et à une déshydratation. Les patients avec une dysphagie subclinique peuvent présenter un risque accru de dysphagie sévère après une injection de BOTOX.
-BOTOX® est un traitement des spasticités focales étudié seulement en association avec des traitements standards qu'il ne vise pas à remplacer.
- +BOTOX est un traitement des spasticités focales étudié seulement en association avec des traitements standards qu'il ne vise pas à remplacer.
-BOTOX® ne doit pas être utilisé pour le traitement de la spasticité focale de la cheville et du pied chez les adultes ayant subi un AVC si l'on ne s'attend pas à une amélioration de la fonction (p. ex., amélioration de la marche) ou à un soulagement des symptômes (p. ex., soulagement de la douleur) ou à une facilitation des soins en raison de la réduction du tonus musculaire.
- +BOTOX ne doit pas être utilisé pour le traitement de la spasticité focale de la cheville et du pied chez les adultes ayant subi un AVC si l'on ne s'attend pas à une amélioration de la fonction (p. ex., amélioration de la marche) ou à un soulagement des symptômes (p. ex., soulagement de la douleur) ou à une facilitation des soins en raison de la réduction du tonus musculaire.
-BOTOX® doit être utilisé avec prudence en cas de spasticité focale de la cheville et du pied chez les patients âgés ayant été victimes d'un AVC et présentant une comorbidité marquée. Le traitement ne doit être initié que si l'on considère que les bénéfices du traitement l'emportent sur les risques éventuels.
-BOTOX® ne doit être utilisé pour le traitement de la spasticité des membres inférieurs après un AVC qu'après évaluation par des médecins expérimentés dans la gestion de la rééducation des patients victimes d'un AVC.
-Il existe des rapports post-commercialisation signalant des cas de décès suite à un traitement par la toxine botulique (dans certains cas dus à une pneumonie d'aspiration) et une diffusion possible de la toxine dans des zones éloignées du site d'application chez des enfants souffrant de maladies supplémentaires, en particulier d'infirmité motrice cérébrale. Voir les mises en garde concernant «l'utilisation chez les enfants et les adolescents» dans la rubrique «Mises en garde et précautions». Un rapport causal avec BOTOX® n'a pas été démontré dans les cas mentionnés.
-DYSFONCTIONS VÉSICALES:
- +BOTOX doit être utilisé avec prudence en cas de spasticité focale de la cheville et du pied chez les patients âgés ayant été victimes d'un AVC et présentant une comorbidité marquée. Le traitement ne doit être initié que si l'on considère que les bénéfices du traitement l'emportent sur les risques éventuels.
- +BOTOX ne doit être utilisé pour le traitement de la spasticité des membres inférieurs après un AVC qu'après évaluation par des médecins expérimentés dans la gestion de la rééducation des patients victimes d'un AVC.
- +Il existe des rapports post-commercialisation signalant des cas de décès suite à un traitement par la toxine botulique (dans certains cas dus à une pneumonie d'aspiration) et une diffusion possible de la toxine dans des zones éloignées du site d'application chez des enfants souffrant de maladies supplémentaires, en particulier d'infirmité motrice cérébrale. Voir les mises en garde concernant «l'utilisation chez les enfants et les adolescents» dans la rubrique «Mises en garde et précautions». Un rapport causal avec BOTOX n'a pas été démontré dans les cas mentionnés.
- +Céphalées en cas de migraine chronique:
- +La sécurité et l'efficacité n'ont pas été établies à ce jour dans la prophylaxie des céphalées chez les patients atteints de migraine épisodique (céphalées pendant < 15 jours par mois) ou de céphalées de tension chroniques. DYSFONCTIONS VÉSICALES:
-BOTOX® doit être utilisé avec précautions chez les patients atteints d'obstructions dans la région du col vésical (p.ex. obstructions des voies urinaires chez les patients atteints d'une hyperplasie de la prostate).
- +BOTOX doit être utilisé avec précautions chez les patients atteints d'obstructions dans la région du col vésical (p.ex. obstructions des voies urinaires chez les patients atteints d'une hyperplasie de la prostate).
- +Excipients pharmaceutiques revêtant un intérêt particulier
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par flacon, c'est-à-dire qu'il est essentiellement «sans sodium».
- +
-Théoriquement l'effet de la toxine botulique de type A peut-être potentialisé par la co-administration de BOTOX® avec des antibiotiques aminoglycosides, la spectinomycine ou d'autres agents pouvant interférer avec la transmission neuromusculaire (p.ex. relaxants musculaires).
- +Théoriquement l'effet de la toxine botulique de type A peut-être potentialisé par la co-administration de BOTOX avec des antibiotiques aminoglycosides, la spectinomycine ou d'autres agents pouvant interférer avec la transmission neuromusculaire (p.ex. relaxants musculaires).
-Le risque potentiel pour l'homme est inconnu. BOTOX® ne doit pas être utilisé pendant la grossesse ou chez des femmes en âge de procréer qui n'utilisent pas de méthode de contraception, sauf en cas de nécessité absolue. Si la patiente tombe enceinte pendant le traitement, elle doit être informée des risques potentiels de fausse couche et de malformation congénitale.
- +Le risque potentiel pour l'homme est inconnu. BOTOX ne doit pas être utilisé pendant la grossesse ou chez des femmes en âge de procréer qui n'utilisent pas de méthode de contraception, sauf en cas de nécessité absolue. Si la patiente tombe enceinte pendant le traitement, elle doit être informée des risques potentiels de fausse couche et de malformation congénitale.
-On ne sait pas si BOTOX® passe dans le lait maternel. L'utilisation de BOTOX® pendant l'allaitement ne peut pas être recommandée.
- +On ne sait pas si BOTOX passe dans le lait maternel. L'utilisation de BOTOX pendant l'allaitement ne peut pas être recommandée.
-Aucune étude concernant les effets sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation des machines n'a été effectuée. BOTOX® peut cependant provoquer une asthénie, une faiblesse musculaire, des vertiges et des troubles visuels pouvant influencer l'aptitude à participer activement au trafic routier et à utiliser des machines.
- +Aucune étude concernant les effets sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation des machines n'a été effectuée. BOTOX peut cependant provoquer une asthénie, une faiblesse musculaire, des vertiges et des troubles visuels pouvant influencer l'aptitude à participer activement au trafic routier et à utiliser des machines.
-Des effets indésirables, qui, de l'avis des médecins investigateurs étaient en rapport avec BOTOX®, ont été rapportés dans des études cliniques contrôlées: chez 35% des patients avec blépharospasme, chez 28% des patients avec dystonie cervicale, chez 8% des patients avec spasticité infantile, chez 11% des patients avec hyperhidrose axillaire primaire, chez 16% des patients adultes avec spasticité des membres supérieurs et chez 11% des patients adultes atteints de spasticité des membres inférieurs. Dans des études cliniques portant sur la vessie hyperactive, la fréquence était de 26% lors du premier traitement et de 22% lors du second traitement. Dans des études cliniques relatives à l'incontinence urinaire causée par l'hyperactivité neurogène du détrusor, la fréquence était de 32% après le premier traitement, puis de 18% après le second traitement.
- +Des effets indésirables, qui, de l'avis des médecins investigateurs étaient en rapport avec BOTOX, ont été rapportés dans des études cliniques contrôlées: chez 35% des patients avec blépharospasme, chez 28% des patients avec dystonie cervicale, chez 8% des patients avec spasticité infantile, chez 11% des patients avec hyperhidrose axillaire primaire, chez 16% des patients adultes avec spasticité des membres supérieurs et chez 11% des patients adultes atteints de spasticité des membres inférieurs. Dans des études cliniques portant sur la vessie hyperactive, la fréquence était de 26% lors du premier traitement et de 22% lors du second traitement. Dans des études cliniques relatives à l'incontinence urinaire causée par l'hyperactivité neurogène du détrusor, la fréquence était de 32% après le premier traitement, puis de 18% après le second traitement. Dans les études cliniques conduites dans la migraine chronique, la fréquence était de 26 % après le premier traitement et diminuait à 11 % après le deuxième traitement.
-Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels ( ≥1/1000 à <1/100); rares (≥1/10 000 à <1/1000); très rares (<1/10 000).
- +Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels ( ≥1/1000 à <1/100); rares (≥1/10 000 à <1/1000); très rares (<1/10 000), fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Affections gastro-intestinales
- +Affections gastrointestinales
- +Céphalées en cas de migraine chronique
- +Affections du système nerveux
- +Fréquents: céphalées, migraine, parésie faciale.
- +Affections oculaires
- +Fréquents: ptose de la paupière supérieure.
- +Affections gastro-intestinales
- +Occasionnels: dysphagie.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Fréquents: prurit, éruption cutanée.
- +Occasionnels: douleurs cutanées.
- +Affections musculosquelettiques et du tissus conjonctif
- +Fréquents: douleur cervicale, myalgie, douleurs de l'appareil locomoteur, raideur de l'appareil locomoteur, spasmes musculaires, contractures musculaires, faiblesse musculaire
- +Occasionnels: douleurs dans la mâchoire.
- +Fréquence inconnue: signe de Méphisto (élévation latérale des sourcils).
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Fréquents: douleurs au site d'injection.
- +Une migraine, y compris une aggravation de la migraine, a été rapportée chez 3,8 % des patients sous BOTOX et 2,6 % des patients sous placebo, survenant généralement au cours du premier mois suivant le traitement.
- +Ces réactions ne se sont pas reproduites systématiquement lors des cycles de traitement suivants et l'incidence globale a diminué lors de traitements répétés.
- +Le taux d'arrêt du traitement en raison d'événements indésirables, dans ces études de phase 3, était de 3,8 % sous BOTOX contre 1,2% sous placebo.
-Un cathétérisme intermittent propre a été instauré chez 6,5% des patients après le traitement par 100 unités unités de BOTOX® contre 0,4% dans le groupe placebo.
-Parmi les 1'242 patients participant à des études cliniques contrôlées contre placebo, 41,4% (n = 514) avaient ≥65 ans et 14,7% (n = 182) ≥75 ans. Dans l'ensemble, aucune différence sur le plan du profil de la sécurité n'a été constatée après le traitement par BOTOX® entre les patients de 65 ans et plus et les patients de moins de 65 ans, à l'exception du fait que les infections des voies urinaires se sont manifestées plus fréquemment chez les patients plus âgés, tant dans le groupe placebo que dans le groupe BOTOX®, que chez les patients plus jeunes.
- +Un cathétérisme intermittent propre a été instauré chez 6,5% des patients après le traitement par 100 unités de BOTOX contre 0,4% dans le groupe placebo.
- +Parmi les 1'242 patients participant à des études cliniques contrôlées contre placebo, 41,4% (n = 514) avaient ≥65 ans et 14,7% (n = 182) ≥75 ans. Dans l'ensemble, aucune différence sur le plan du profil de la sécurité n'a été constatée après le traitement par BOTOX entre les patients de 65 ans et plus et les patients de moins de 65 ans, à l'exception du fait que les infections des voies urinaires se sont manifestées plus fréquemment chez les patients plus âgés, tant dans le groupe placebo que dans le groupe BOTOX, que chez les patients plus jeunes.
-Dans les études cliniques, des infections des voies urinaires ont été rapportées chez 49,2% des patients ayant été traités par 200 unités unités de BOTOX® et chez 35,7% des patients ayant été traités par un placebo (53,0% des patients avec sclérose en plaques (SEP) ayant reçu 200 unités unités contre 29,3% dans le groupe placebo; 45,4% des patients atteints de lésions médullaires ayant été traités par 200 unités unités contre 41,7% de ceux ayant été traités par placebo). Des rétentions urinaires ont été rapportées chez 17,2% des patients ayant été traités par 200 unités unités de BOTOX®, ainsi que chez 2,9% de ceux traités par placebo (28,8% des patients avec sclérose en plaques ayant reçu 200 unités unités contre 4,5% dans le groupe placebo; 5,4% des patients atteints de lésions médullaires ayant été traités par 200 unités unités contre 1,4% de ceux ayant été traités par placebo).
- +Dans les études cliniques, des infections des voies urinaires ont été rapportées chez 49,2% des patients ayant été traités par 200 unités de BOTOX et chez 35,7% des patients ayant été traités par un placebo (53,0% des patients avec sclérose en plaques (SEP) ayant reçu 200 unités contre 29,3% dans le groupe placebo; 45,4% des patients atteints de lésions médullaires ayant été traités par 200 unités contre 41,7% de ceux ayant été traités par placebo). Des rétentions urinaires ont été rapportées chez 17,2% des patients ayant été traités par 200 unités de BOTOX, ainsi que chez 2,9% de ceux traités par placebo (28,8% des patients avec sclérose en plaques ayant reçu 200 unités contre 4,5% dans le groupe placebo; 5,4% des patients atteints de lésions médullaires ayant été traités par 200 unités contre 1,4% de ceux ayant été traités par placebo).
-Chez les patients avec SEP ayant participé aux études pivots, aucune modification du taux annuel de poussée de SEP (c.-à-d. le nombre de poussées de SEP par année-patient) n'a été observée (BOTOX® = 0,23; placebo = 0,20).
-Parmi les patients qui n'avaient pas recours à un sondage vésical au début de l'étude, avant le traitement, un sondage a été instauré dans 38,9% des cas après le traitement par BOTOX® 200 unités contre 17,3% des cas chez les patients recevant le placebo.
-Effets indésirables à l'issue de l'étude réalisée après l'autorisation de mise sur le marché avec 100 unités unités de BOTOX® sur des patients SEP non cathétérisés en début d'étude
- +Chez les patients avec SEP ayant participé aux études pivots, aucune modification du taux annuel de poussée de SEP (c.-à-d. le nombre de poussées de SEP par année-patient) n'a été observée (BOTOX = 0,23; placebo = 0,20).
- +Parmi les patients qui n'avaient pas recours à un sondage vésical au début de l'étude, avant le traitement, un sondage a été instauré dans 38,9% des cas après le traitement par BOTOX 200 unités contre 17,3% des cas chez les patients recevant le placebo.
- +Effets indésirables à l'issue de l'étude réalisée après l'autorisation de mise sur le marché avec 100 unités de BOTOX sur des patients SEP non cathétérisés en début d'étude
-Un sondage a été instauré chez 15,2% des patients après le traitement avec 100 unités de BOTOX® par rapport à 2,6% des patients recevant le placebo.
- +Un sondage a été instauré chez 15,2% des patients après le traitement avec 100 unités de BOTOX par rapport à 2,6% des patients recevant le placebo.
-Une patiente a développé une plexopathie brachiale deux jours après avoir reçu par injection 120 unités de BOTOX® pour le traitement d'une dystonie cervicale, la guérison intervenant cinq mois après.
-Chez des patients atteints de spasticité des extrémités supérieures après un AVC, on a réalisé des mesures de spirométrie pulmonaire indiquant une diminution de 15% de la fonction pulmonaire. L'incidence de cet effet indésirable a été plus importante parmi le groupe de patients ayant reçu BOTOX® que dans le groupe ayant reçu un placebo, même si les différences n'étaient ni cliniquement, ni statistiquement, significatives.
- +Une patiente a développé une plexopathie brachiale deux jours après avoir reçu par injection 120 unités de BOTOX pour le traitement d'une dystonie cervicale, la guérison intervenant cinq mois après.
- +Chez des patients atteints de spasticité des extrémités supérieures après un AVC, on a réalisé des mesures de spirométrie pulmonaire indiquant une diminution de 15% de la fonction pulmonaire. L'incidence de cet effet indésirable a été plus importante parmi le groupe de patients ayant reçu BOTOX que dans le groupe ayant reçu un placebo, même si les différences n'étaient ni cliniquement, ni statistiquement, significatives.
-Le surdosage de BOTOX® est un terme relatif et dépend de la dose, du site d'injection et des propriétés tissulaires sous-jacentes. Aucun cas de toxicité systémique résultant d'une injection accidentelle de solution de BOTOX® n'a été observé. Des surdosages peuvent causer des paralysies neuromusculaires locales ou éloignées, générales et profondes. Aucun cas d'ingestion de BOTOX® n'a été rapporté.
- +Le surdosage de BOTOX est un terme relatif et dépend de la dose, du site d'injection et des propriétés tissulaires sous-jacentes. Aucun cas de toxicité systémique résultant d'une injection accidentelle de solution de BOTOX n'a été observé. Des surdosages peuvent causer des paralysies neuromusculaires locales ou éloignées, générales et profondes. Aucun cas d'ingestion de BOTOX n'a été rapporté.
-Après l'injection, il se produit une liaison initiale rapide et de haute affinité entre la toxine et des récepteurs cellulaires de surface spécifiques. Celle-ci est suivie du transfert de la toxine à travers la membrane plasmique par endocytose médiée par les récepteurs. Enfin, la toxine est libérée dans le cytoplasme. Ce processus est accompagné d'une inhibition progressive de la libération d'acétylcholine. Les signes cliniques se manifestent dans un délai de 2 à 3 jours, avec un effet maximal constaté 5 à 6 semaines après l'injection. Au niveau des neurones sensoriels, BOTOX® inhibe la libération des neurotransmetteurs sensoriels (p.ex. substance P, CGRP) et réduit l'expression des récepteurs de surface cellulaire (p.ex. TRPV1). BOTOX® empêche également la sensibilisation des neurones sensoriels nociceptifs et l'inverse.
- +Après l'injection, il se produit une liaison initiale rapide et de haute affinité entre la toxine et des récepteurs cellulaires de surface spécifiques. Celle-ci est suivie du transfert de la toxine à travers la membrane plasmique par endocytose médiée par les récepteurs. Enfin, la toxine est libérée dans le cytoplasme. Ce processus est accompagné d'une inhibition progressive de la libération d'acétylcholine. Les signes cliniques se manifestent dans un délai de 2 à 3 jours, avec un effet maximal constaté 5 à 6 semaines après l'injection. Au niveau des neurones sensoriels, BOTOX inhibe la libération des neurotransmetteurs sensoriels (p.ex. substance P, CGRP) et réduit l'expression des récepteurs de surface cellulaires (p.ex. TRPV1). De plus, BOTOX empêche et inverse la sensibilisation des neurones sensoriels nociceptifs, ce qui peut donc éventuellement aussi inhiber la sensibilisation centrale.
-En utilisant BOTOX® pour traiter le strabisme, on suppose que ce produit agit sur des paires de muscles dans lesquelles le muscle traité est soumis à un étirement atrophique et le muscle antagoniste correspondant est raccourci.
-Après injection dans la musculature de la nuque, BOTOX® améliore les signes objectifs et les symptômes subjectifs de la dystonie cervicale. Cette amélioration se manifeste par une réduction de la torsion latérale de la tête, un moindre soulèvement des épaules, un volume et une force plus faibles des muscles hypertrophiés, ainsi qu'une atténuation de la douleur.
-Chez l'adulte atteint de spasticité focale des extrémités supérieures après un AVC, BOTOX® améliore de façon importante la mobilité (coude et poignet).
-Chez les enfants présentant une déformation dynamique du pied en équin sans rétraction et sans atrophie importante, l'injection de BOTOX® entraîne, grâce à la dénervation partielle du muscle gastrocnémien, une modification de la position de la cheville et par conséquent une amélioration importante de la démarche.
-Après injection dans le détrusor, BOTOX® inhibe le message efférent contrôlant l'activité motrice du détrusor en bloquant la libération d'acétylcholine. De plus, BOTOX® inhibe les neurotransmetteurs afférents et les voies sensitives.
- +En utilisant BOTOX pour traiter le strabisme, on suppose que ce produit agit sur des paires de muscles dans lesquelles le muscle traité est soumis à un étirement atrophique et le muscle antagoniste correspondant est raccourci.
- +Après injection dans la musculature de la nuque, BOTOX améliore les signes objectifs et les symptômes subjectifs de la dystonie cervicale. Cette amélioration se manifeste par une réduction de la torsion latérale de la tête, un moindre soulèvement des épaules, un volume et une force plus faibles des muscles hypertrophiés, ainsi qu'une atténuation de la douleur.
- +Chez l'adulte atteint de spasticité focale des extrémités supérieures après un AVC, BOTOX améliore de façon importante la mobilité (coude et poignet).
- +Chez les enfants présentant une déformation dynamique du pied en équin sans rétraction et sans atrophie importante, l'injection de BOTOX entraîne, grâce à la dénervation partielle du muscle gastrocnémien, une modification de la position de la cheville et par conséquent une amélioration importante de la démarche.
- +Après injection dans le détrusor, BOTOX inhibe le message efférent contrôlant l'activité motrice du détrusor en bloquant la libération d'acétylcholine. De plus, BOTOX inhibe les neurotransmetteurs afférents et les voies sensitives.
-Au cours d'une étude ouverte, 56 patients souffrant d'hémispasme facial ont reçu une injection initiale de 10 à 50 unités de BOTOX®, ils ont été ensuite observés pendant 22 semaines. Les patients sans amélioration à la semaine 4 ont reçu une nouvelle injection (5 à 50 unités). Les patients ont été contrôlés aux semaines 2, 4 (si un nouveau traitement s'avérait nécessaire), 6, 14 et 22. A chaque contrôle, l'effet clinique a été évalué pour les divers muscles inférieurs et supérieurs du visage.
- +Au cours d'une étude ouverte, 56 patients souffrant d'hémispasme facial ont reçu une injection initiale de 10 à 50 unités de BOTOX, ils ont été ensuite observés pendant 22 semaines. Les patients sans amélioration à la semaine 4 ont reçu une nouvelle injection (5 à 50 unités). Les patients ont été contrôlés aux semaines 2, 4 (si un nouveau traitement s'avérait nécessaire), 6, 14 et 22. A chaque contrôle, l'effet clinique a été évalué pour les divers muscles inférieurs et supérieurs du visage.
-Une étude supplémentaire, randomisée et multicentrique à double insu avec groupes parallèles, a été effectuée chez des patients avec blépharospasme essentiel bénin pour comparer la sécurité et l'efficacité de deux formulations de BOTOX® (la substance active provenait de diverses banques de cellules primaires - dont l'une correspond à la formulation actuelle de BOTOX®). Les participants à l'étude avaient déjà été traités par BOTOX®. Le traitement consistait en un cycle unique d'injections dans les muscles orbiculaires des deux yeux. Le médecin examinateur déterminait la dose (maximum admissible: 100 unités) et les sites d'injection en fonction de la réponse du patient aux précédents traitements au BOTOX®. Les patients sont restés sous observation pendant 12 semaines après le traitement. L'étude comprenait 98 patients (48 dans le groupe traité par la formulation BOTOX® actuelle).
-Le taux de succès du traitement a été noté de 0 à 4 sur une échelle de 5 points. Le score 0 signifiait «aucun» spasme des paupières et le 4 un spasme «sérieux» invalidant pouvant éventuellement affecter d'autres muscles du visage. En cas de diminution du score ≤2 aux deux yeux, le traitement était considéré comme un succès. Le critère primaire d'évaluation se situait à la semaine 4. Les patients ont reçu une dose moyenne de 33 unités par œil, injectée dans 3 à 15 sites. Le taux de succès de la formulation BOTOX® actuelle s'est élevé à environ 90% à la semaine 4, ce qui est comparable avec l'ancienne formulation BOTOX®.
- +Une étude supplémentaire, randomisée et multicentrique à double insu avec groupes parallèles, a été effectuée chez des patients avec blépharospasme essentiel bénin pour comparer la sécurité et l'efficacité de deux formulations de BOTOX (la substance active provenait de diverses banques de cellules primaires - dont l'une correspond à la formulation actuelle de BOTOX). Les participants à l'étude avaient déjà été traités par BOTOX. Le traitement consistait en un cycle unique d'injections dans les muscles orbiculaires des deux yeux. Le médecin examinateur déterminait la dose (maximum admissible: 100 unités) et les sites d'injection en fonction de la réponse du patient aux précédents traitements au BOTOX. Les patients sont restés sous observation pendant 12 semaines après le traitement. L'étude comprenait 98 patients (48 dans le groupe traité par la formulation BOTOX actuelle).
- +Le taux de succès du traitement a été noté de 0 à 4 sur une échelle de 5 points. Le score 0 signifiait «aucun» spasme des paupières et le 4 un spasme «sérieux» invalidant pouvant éventuellement affecter d'autres muscles du visage. En cas de diminution du score ≤2 aux deux yeux, le traitement était considéré comme un succès. Le critère primaire d'évaluation se situait à la semaine 4. Les patients ont reçu une dose moyenne de 33 unités par œil, injectée dans 3 à 15 sites. Le taux de succès de la formulation BOTOX actuelle s'est élevé à environ 90% à la semaine 4, ce qui est comparable avec l'ancienne formulation BOTOX.
-Une étude multicentrique randomisée à double insu et contrôlée contre placebo a été effectuée auprès de patients adultes souffrant de dystonie cervicale (DC) qui avaient répondu positivement à un traitement antérieur par BOTOX®. Cette étude comprenait 2 phases de traitement, à savoir une phase ouverte où tous les patients étaient traités par BOTOX®, le dosage et les sites d'injection étant déterminés individuellement par le médecin examinateur, et une phase à double insu dans laquelle BOTOX® ou le placebo étaient administrés à tous les patients ayant répondu durant la phase ouverte. Un intervalle de jusqu'à 6 semaines séparait ces deux phases. Les patients ont reçu jusqu'à 360 unités BOTOX® au total.
-Dans la phase d'étude ouverte, 214 patients ont été évalués, dont 170 ont participé à la phase d'étude randomisée en double insu, soit 88 dans le groupe BOTOX® et 82 dans le groupe placebo. Par la suite, les patients ont été contrôlés toutes les 2 semaines pendant une période allant jusqu'à 10 semaines après le traitement. Les variables primaires d'efficacité étaient la modification de la position de la tête (mesurée sur l'échelle d'évaluation de la sévérité de la DC) et le pourcentage des patients présentant une amélioration de leur DC, mesurée six semaines après le traitement au moyen d'une échelle d'évaluation médicale. Les douleurs, symptôme important de la DC, ont été évaluées par les patients quant à leur fréquence et leur intensité. En outre, médecins et patients ont apprécié le degré de handicap fonctionnel.
-BOTOX® s'est avéré significativement supérieur au placebo après 6 semaines selon les deux variables primaires d'efficacité, tant cliniquement que statistiquement. BOTOX® a également permis une diminution significativement meilleure au niveau statistique de l'intensité et de la fréquence des douleurs que le placebo. Des améliorations significatives ont aussi été observées à la semaine 6 lors de l'évaluation du handicap fonctionnel par le médecin et le patient.
-Une étude supplémentaire, randomisée à double insu en essai croisé, a été effectuée chez des patients souffrant de dystonie cervicale pour analyser la sécurité et l'efficacité de deux formulations de BOTOX® (la substance active provenait de diverses banques de cellules primaires – dont l'une correspond à la formulation actuelle de BOTOX®). Les participants à l'étude avaient déjà été traités par BOTOX® avec des résultats satisfaisants; le traitement comprenait 2 injections séparées par une période de «lavage» de 8 à 16 semaines. Après chaque traitement, les patients ont observé pendant 8 à 16 semaines, le critère primaire d'évaluation étant déterminé à la semaine 6 après chaque traitement.
-Cette étude comprenait 135 patients. La variable primaire d'efficacité était l'évaluation globale de la gravité sur la «Toronto Western Spasmodic Torticollis Rating Scale» (TWSTRS). Les variables secondaires d'efficacité étaient le score d'infirmité/douleur selon la TWSTRS modifiée et l'évaluation globale de la dystonie cervicale par le médecin et le patient. Les résultats ont confirmé qu'une amélioration clinique maximale après l'injection de BOTOX® a été atteinte à la semaine 6. La diminution moyenne du score total sur la TWSTRS a correspondu à une amélioration de 35% par rapport aux valeurs initiales; la plus forte diminution moyenne du score d'infirmité/douleurs a correspondu à une amélioration de 50% par rapport à la valeur initiale à ce moment.
-L'évaluation globale faite par les médecins et les patients a indiqué également un effet positif du traitement avec un taux de succès noté à la semaine 6 pour la nouvelle formulation de BOTOX® de plus de 85% resp. 80% des cas.
- +Une étude multicentrique randomisée à double insu et contrôlée contre placebo a été effectuée auprès de patients adultes souffrant de dystonie cervicale (DC) qui avaient répondu positivement à un traitement antérieur par BOTOX. Cette étude comprenait 2 phases de traitement, à savoir une phase ouverte où tous les patients étaient traités par BOTOX, le dosage et les sites d'injection étant déterminés individuellement par le médecin examinateur, et une phase à double insu dans laquelle BOTOX ou le placebo étaient administrés à tous les patients ayant répondu durant la phase ouverte. Un intervalle de jusqu'à 6 semaines séparait ces deux phases. Les patients ont reçu jusqu'à 360 unités BOTOX au total.
- +Dans la phase d'étude ouverte, 214 patients ont été évalués, dont 170 ont participé à la phase d'étude randomisée en double insu, soit 88 dans le groupe BOTOX et 82 dans le groupe placebo. Par la suite, les patients ont été contrôlés toutes les 2 semaines pendant une période allant jusqu'à 10 semaines après le traitement. Les variables primaires d'efficacité étaient la modification de la position de la tête (mesurée sur l'échelle d'évaluation de la sévérité de la DC) et le pourcentage des patients présentant une amélioration de leur DC, mesurée six semaines après le traitement au moyen d'une échelle d'évaluation médicale. Les douleurs, symptôme important de la DC, ont été évaluées par les patients quant à leur fréquence et leur intensité. En outre, médecins et patients ont apprécié le degré de handicap fonctionnel.
- +BOTOX s'est avéré significativement supérieur au placebo après 6 semaines selon les deux variables primaires d'efficacité, tant cliniquement que statistiquement. BOTOX a également permis une diminution significativement meilleure au niveau statistique de l'intensité et de la fréquence des douleurs que le placebo. Des améliorations significatives ont aussi été observées à la semaine 6 lors de l'évaluation du handicap fonctionnel par le médecin et le patient.
- +Une étude supplémentaire, randomisée à double insu en essai croisé, a été effectuée chez des patients souffrant de dystonie cervicale pour analyser la sécurité et l'efficacité de deux formulations de BOTOX (la substance active provenait de diverses banques de cellules primaires – dont l'une correspond à la formulation actuelle de BOTOX). Les participants à l'étude avaient déjà été traités par BOTOX avec des résultats satisfaisants; le traitement comprenait 2 injections séparées par une période de «lavage» de 8 à 16 semaines. Après chaque traitement, les patients ont observé pendant 8 à 16 semaines, le critère primaire d'évaluation étant déterminé à la semaine 6 après chaque traitement.
- +Cette étude comprenait 135 patients. La variable primaire d'efficacité était l'évaluation globale de la gravité sur la «Toronto Western Spasmodic Torticollis Rating Scale» (TWSTRS). Les variables secondaires d'efficacité étaient le score d'infirmité/douleur selon la TWSTRS modifiée et l'évaluation globale de la dystonie cervicale par le médecin et le patient. Les résultats ont confirmé qu'une amélioration clinique maximale après l'injection de BOTOX a été atteinte à la semaine 6. La diminution moyenne du score total sur la TWSTRS a correspondu à une amélioration de 35% par rapport aux valeurs initiales; la plus forte diminution moyenne du score d'infirmité/douleurs a correspondu à une amélioration de 50% par rapport à la valeur initiale à ce moment.
- +L'évaluation globale faite par les médecins et les patients a indiqué également un effet positif du traitement avec un taux de succès noté à la semaine 6 pour la nouvelle formulation de BOTOX de plus de 85% resp. 80% des cas.
-Une étude multicentrique à double insu et contrôlée contre placebo concernant l'efficacité et la sécurité de BOTOX® a été réalisée chez des patients avec spasticité des membres supérieurs suivant un AVC. Les patients étaient des adultes n'ayant jamais été traités par BOTOX®, dont l'AVC remontait à ≥6 semaines et qui présentaient des scores d'échelle Ashworth élargie (EAE) de ≥3 au poignet et ≥2 au coude. 91 patients ont été randomisés en quatre groupes de traitement (BOTOX® 90, 180 ou 360 unités, ou placebo). Le critère primaire d'évaluation, soit la spasticité du fléchisseur du carpe, a été mesuré à la semaine 6 sur l'échelle EAE. Les variables secondaires d'efficacité étaient la spasticité des fléchisseurs au coude et aux doigts, mesurée sur l'EAE et selon l'évaluation globale du médecin.
-L'étude comprenait 91 patients, dont 65 reçurent BOTOX® à raison de 90, 180 ou 360 unités. La diminution moyenne du score EAE des fléchisseurs du poignet s'est avérée à la semaine 12 supérieure dans tous les groupes BOTOX® à celle du groupe placebo.
-Dans tous les groupes de traitement par BOTOX®, le tonus du fléchisseur du carpe, mesuré sur l'EAE, a été plus efficacement diminué que sous placebo. Les fléchisseurs du coude ont présenté un type d'amélioration analogue. Concernant les fléchisseurs des doigts, une certaine variabilité a été globalement observée (améliorations significatives seulement dans les semaines 1 et 3), mais les données indiquent des relations de dose/efficacité comparables. L'échelle d'évaluation médicale montre également un avantage significatif des doses de 180 et 360 unités.
- +Une étude multicentrique à double insu et contrôlée contre placebo concernant l'efficacité et la sécurité de BOTOX a été réalisée chez des patients avec spasticité des membres supérieurs suivant un AVC. Les patients étaient des adultes n'ayant jamais été traités par BOTOX, dont l'AVC remontait à ≥6 semaines et qui présentaient des scores d'échelle Ashworth élargie (EAE) de ≥3 au poignet et ≥2 au coude. 91 patients ont été randomisés en quatre groupes de traitement (BOTOX 90, 180 ou 360 unités, ou placebo). Le critère primaire d'évaluation, soit la spasticité du fléchisseur du carpe, a été mesuré à la semaine 6 sur l'échelle EAE. Les variables secondaires d'efficacité étaient la spasticité des fléchisseurs au coude et aux doigts, mesurée sur l'EAE et selon l'évaluation globale du médecin.
- +L'étude comprenait 91 patients, dont 65 reçurent BOTOX à raison de 90, 180 ou 360 unités. La diminution moyenne du score EAE des fléchisseurs du poignet s'est avérée à la semaine 12 supérieure dans tous les groupes BOTOX à celle du groupe placebo.
- +Dans tous les groupes de traitement par BOTOX, le tonus du fléchisseur du carpe, mesuré sur l'EAE, a été plus efficacement diminué que sous placebo. Les fléchisseurs du coude ont présenté un type d'amélioration analogue. Concernant les fléchisseurs des doigts, une certaine variabilité a été globalement observée (améliorations significatives seulement dans les semaines 1 et 3), mais les données indiquent des relations de dose/efficacité comparables. L'échelle d'évaluation médicale montre également un avantage significatif des doses de 180 et 360 unités.
-Cette étude comprenait 126 patients randomisés et recevant BOTOX® (n = 64) ou un placebo (n = 62). La dose de BOTOX® injectée se situait entre 200 et 240 unités, répartie entre les muscles atteints du poignet et des doigts. Il est apparu que BOTOX® avait amélioré le score EA du poignet et des doigts lors de tous les contrôles après injection. A la semaine 6, 88% des patients présentaient une amélioration sur l'EA sous BOTOX® contre 34% dans le groupe placebo.
- +Cette étude comprenait 126 patients randomisés et recevant BOTOX (n = 64) ou un placebo (n = 62). La dose de BOTOX injectée se situait entre 200 et 240 unités, répartie entre les muscles atteints du poignet et des doigts. Il est apparu que BOTOX avait amélioré le score EA du poignet et des doigts lors de tous les contrôles après injection. A la semaine 6, 88% des patients présentaient une amélioration sur l'EA sous BOTOX contre 34% dans le groupe placebo.
-L'efficacité et l'innocuité de BOTOX® pour le traitement de la spasticité des membres supérieurs ont été évaluées chez des patients pédiatriques à partir de 2 ans dans le cadre d'une étude randomisée, multicentrique, en double aveugle, contrôlée par placebo. 234 patients pédiatriques (77 BOTOX® 6 unités/kg de poids corporel, 78 BOTOX® 3 unités/kg de poids corporel, 79 placebo) souffrant de spasticité due à une «paralysie cérébrale ou un AVC» (score AS modifié pour le coude ou le poignet d'au moins 2) ont été inclus dans l'étude. La dose totale de 3 unités/kg de poids corporel (maximum 100 unités) ou 6 unités/kg de poids corporel (maximum 200 unités) ou placebo a été injectée par voie intramusculaire, répartie entre les muscles du coude ou du poignet et des doigts. Les patients ont été suivis pendant 12 semaines après l'injection. L'utilisation d'un contrôle par électromyogramme (EMG), d'une stimulation nerveuse ou d'une technologie à ultrasons était nécessaire pour aider à localiser correctement le muscle à injecter.
- +L'efficacité et l'innocuité de BOTOX pour le traitement de la spasticité des membres supérieurs ont été évaluées chez des patients pédiatriques à partir de 2 ans dans le cadre d'une étude randomisée, multicentrique, en double aveugle, contrôlée par placebo. 234 patients pédiatriques (77 BOTOX 6 unités/kg de poids corporel, 78 BOTOX 3 unités/kg de poids corporel, 79 placebo) souffrant de spasticité due à une «paralysie cérébrale ou un AVC» (score AS modifié pour le coude ou le poignet d'au moins 2) ont été inclus dans l'étude. La dose totale de 3 unités/kg de poids corporel (maximum 100 unités) ou 6 unités/kg de poids corporel (maximum 200 unités) ou placebo a été injectée par voie intramusculaire, répartie entre les muscles du coude ou du poignet et des doigts. Les patients ont été suivis pendant 12 semaines après l'injection. L'utilisation d'un contrôle par électromyogramme (EMG), d'une stimulation nerveuse ou d'une technologie à ultrasons était nécessaire pour aider à localiser correctement le muscle à injecter.
-Une amélioration significative par rapport au placebo du score ASM pour la cheville par rapport à la valeur initiale a été observée à tous les moments pour les patients traités par BOTOX® dans les deux groupes de traitement. Des résultats similaires ont été observés dans les deux groupes de dose de BOTOX avec une proportion statistiquement significative de répondeurs ASM (définis comme une amélioration d'au moins 1 point) par rapport au placebo dans la plupart des moments.
- +Une amélioration significative par rapport au placebo du score ASM pour la cheville par rapport à la valeur initiale a été observée à tous les moments pour les patients traités par BOTOX dans les deux groupes de traitement. Des résultats similaires ont été observés dans les deux groupes de dose de BOTOX avec une proportion statistiquement significative de répondeurs ASM (définis comme une amélioration d'au moins 1 point) par rapport au placebo dans la plupart des moments.
- BOTOX® 3 unités/kg (n=78) BOTOX® 6 unités/kg (n=77) Placebo (n=79)
- + BOTOX 3 unités/kg (n=78) BOTOX 6 unités/kg (n=77) Placebo (n=79)
-*Significativement différent du placebo (p< 0.05)
-**L'ASM est une échelle en 6 points (0 [pas d'augmentation du tonus musculaire], 1, 1+, 2, 3 et 4 [membre rigide en flexion ou en extension]), qui mesure la force nécessaire pour déplacer un membre autour d'une articulation, une diminution du score représentant une amélioration de la spasticité.
- +* Significativement différent du placebo (p< 0.05)
- +** L'ASM est une échelle en 6 points (0 [pas d'augmentation du tonus musculaire], 1, 1+, 2, 3 et 4 [membre rigide en flexion ou en extension]), qui mesure la force nécessaire pour déplacer un membre autour d'une articulation, une diminution du score représentant une amélioration de la spasticité.
-L'efficacité et l'innocuité de BOTOX® pour le traitement de la spasticité des membres inférieurs ont été évaluées dans le cadre d'une étude randomisée, multicentrique, en double aveugle, contrôlée par placebo, qui a inclus 468 patients suite à un AVC (233 BOTOX® et 235 placebo) présentant une spasticité de la cheville (score ASM de la cheville d'au moins 3) et dont l'AVC s'est produit au moins 3 mois auparavant. Pour l'étude, 300 à 400 unités de BOTOX® ou un placebo ont été injectées par voie intramusculaire dans les muscles M. gastrocnemius, M. soleus et M. tibialis posterior, ainsi que dans des muscles facultatifs, notamment les M. flexor hallucis longus, M. flexor digitorum longus, M. flexor digitorum brevis, M. extensor hallucis et M. rectus femoris. L'utilisation d'un contrôle par électromyogramme (EMG), d'une stimulation nerveuse ou d'une technologie à ultrasons était nécessaire pour aider à localiser correctement le muscle à injecter. Les patients ont été suivis pendant 12 semaines.
-Le critère primaire d'évaluation était la variation moyenne du score AMS pour la cheville par rapport à la valeur initiale aux semaines 4 et 6. Un critère secondaire important était le score moyen CGI (évaluation par le médecin de l'impression clinique globale) aux semaines 4 et 6. Des différences statistiquement et cliniquement significatives entre les groupes pour BOTOX® par rapport au placebo ont été montrées pour le paramètre d'efficacité primaire ASM et le paramètre clé secondaire CGI et sont présentées dans le tableau ci-dessous. En ce qui concerne le critère primaire d'évaluation du score moyen ASM pour la cheville aux semaines 4 et 6, aucune amélioration par rapport à la valeur initiale n'a été observée chez les patients âgés de 65 ans et plus dans le groupe BOTOX® par rapport au placebo, probablement en raison du petit nombre de patients.
- +L'efficacité et l'innocuité de BOTOX pour le traitement de la spasticité des membres inférieurs ont été évaluées dans le cadre d'une étude randomisée, multicentrique, en double aveugle, contrôlée par placebo, qui a inclus 468 patients suite à un AVC (233 BOTOX et 235 placebo) présentant une spasticité de la cheville (score ASM de la cheville d'au moins 3) et dont l'AVC s'est produit au moins 3 mois auparavant. Pour l'étude, 300 à 400 unités de BOTOX ou un placebo ont été injectées par voie intramusculaire dans les muscles M. gastrocnemius, M. soleus et M. tibialis posterior, ainsi que dans des muscles facultatifs, notamment les M. flexor hallucis longus, M. flexor digitorum longus, M. flexor digitorum brevis, M. extensor hallucis et M. rectus femoris. L'utilisation d'un contrôle par électromyogramme (EMG), d'une stimulation nerveuse ou d'une technologie à ultrasons était nécessaire pour aider à localiser correctement le muscle à injecter. Les patients ont été suivis pendant 12 semaines.
- +Le critère primaire d'évaluation était la variation moyenne du score AMS pour la cheville par rapport à la valeur initiale aux semaines 4 et 6. Un critère secondaire important était le score moyen CGI (évaluation par le médecin de l'impression clinique globale) aux semaines 4 et 6. Des différences statistiquement et cliniquement significatives entre les groupes pour BOTOX par rapport au placebo ont été montrées pour le paramètre d'efficacité primaire ASM et le paramètre clé secondaire CGI et sont présentées dans le tableau ci-dessous. En ce qui concerne le critère primaire d'évaluation du score moyen ASM pour la cheville aux semaines 4 et 6, aucune amélioration par rapport à la valeur initiale n'a été observée chez les patients âgés de 65 ans et plus dans le groupe BOTOX par rapport au placebo, probablement en raison du petit nombre de patients.
- BOTOX® 300 à 400 unités (n=233) Placebo (n=235)
-Changement moyen des fléchisseurs plantaires de la cheville par rapport à la valeur initiale sur l'échelle AMS
- + BOTOX 300 à 400 unités (n=233) Placebo (n=235)
- +Changement moyen des fléchisseurs plantaires de la cheville par rapport à la valeur initiale sur l'échelle AMS
-Valeur moyenne de l'impression clinique globale du médecin investigateur
- +Valeur moyenne de l'impression clinique globale du médecin investigateur
-Changement moyen des fléchisseurs des orteils sur l'échelle AMS
- +Changement moyen des fléchisseurs des orteils sur l'échelle AMS
-L'efficacité et l'innocuité de BOTOX® pour le traitement de la spasticité des membres inférieurs chez les patients pédiatriques à partir de 2 ans ont été évaluées dans le cadre d'une étude randomisée, multicentrique, en double aveugle, contrôlée par placebo. L'étude a porté sur 384 patients pédiatriques (128 BOTOX® 8 unités/kg, 126 BOTOX® 4 unités/kg et 128 placebo) présentant une spasticité des membres inférieurs due à une infirmité motrice cérébrale (score ASM pour la cheville d'au moins 2). Une dose totale de 4 unités/kg (maximum 150 unités) ou 8 unités/kg (maximum 300 unités) ou un placebo a été injectée par voie intramusculaire, répartie entre le gastrocnémien, le soleus et le tibialis posterior. L'utilisation d'un contrôle par électromyogramme (EMG), d'une stimulation nerveuse ou d'une technologie à ultrasons était nécessaire pour aider à localiser correctement le muscle à injecter. Les patients ont été suivis pendant 12 semaines. Le critère primaire d'évaluation était le changement moyen par rapport à la valeur initiale du score ASM pour la cheville lors des semaines 4 et 6, et le critère d'évaluation secondaire principal était le CGI moyen lors des semaines 4 et 6. Les critères d'évaluation secondaires lors des semaines 8 et 12 comprenaient le GAS par le médecin et la Edinburgh Visual Gait (EVG) (chez un sous-ensemble de patients).
- +L'efficacité et l'innocuité de BOTOX pour le traitement de la spasticité des membres inférieurs chez les patients pédiatriques à partir de 2 ans ont été évaluées dans le cadre d'une étude randomisée, multicentrique, en double aveugle, contrôlée par placebo. L'étude a porté sur 384 patients pédiatriques (128 BOTOX 8 unités/kg, 126 BOTOX 4 unités/kg et 128 placebo) présentant une spasticité des membres inférieurs due à une infirmité motrice cérébrale (score ASM pour la cheville d'au moins 2). Une dose totale de 4 unités/kg (maximum 150 unités) ou 8 unités/kg (maximum 300 unités) ou un placebo a été injectée par voie intramusculaire, répartie entre le gastrocnémien, le soleus et le tibialis posterior. L'utilisation d'un contrôle par électromyogramme (EMG), d'une stimulation nerveuse ou d'une technologie à ultrasons était nécessaire pour aider à localiser correctement le muscle à injecter. Les patients ont été suivis pendant 12 semaines. Le critère primaire d'évaluation était le changement moyen par rapport à la valeur initiale du score ASM pour la cheville lors des semaines 4 et 6, et le critère d'évaluation secondaire principal était le CGI moyen lors des semaines 4 et 6. Les critères d'évaluation secondaires lors des semaines 8 et 12 comprenaient le GAS par le médecin et la Edinburgh Visual Gait (EVG) (chez un sous-ensemble de patients).
-Une amélioration statistiquement significative du critère primaire par rapport au placebo a été observée chez les patients traités avec 4 et 8 unités/kg de BOTOX® pendant la semaine 12 (voir graphique 4). Des résultats similaires ont été observés dans les deux groupes de dose de BOTOX avec une proportion plus élevée de répondeurs ASM (définis comme une amélioration d'au moins 1 point) par rapport au placebo dans la plupart des moments.
- +Une amélioration statistiquement significative du critère primaire par rapport au placebo a été observée chez les patients traités avec 4 et 8 unités/kg de BOTOX pendant la semaine 12 (voir graphique 4). Des résultats similaires ont été observés dans les deux groupes de dose de BOTOX avec une proportion plus élevée de répondeurs ASM (définis comme une amélioration d'au moins 1 point) par rapport au placebo dans la plupart des moments.
- BOTOX® 4 unités/kg (n = 125) BOTOX® 8 unités/kg (n=127) Placebo (n=129)
-Changement moyen de la valeur initiale ASM des fléchisseurs plantaires
- + BOTOX 4 unités/kg (n = 125) BOTOX 8 unités/kg (n=127) Placebo (n=129)
- +Changement moyen de la valeur initiale ASM des fléchisseurs plantaires
-Valeur moyenne CGI
- +Valeur moyenne CGI
-Une amélioration statistiquement significative par rapport au placebo a été démontrée avec 4 et 8 unités/kg de BOTOX® pour le critère primaire d'évaluation du score ASM pour la cheville lors des semaines 4 et 6, en tant que changement par rapport à la valeur initiale, et avec 8 unités/kg de BOTOX® pour le critère secondaire principal, le CGI moyen lors des semaines 4 et 6. Une amélioration statistiquement significative par rapport au placebo a été observée pour le CGI par le médecin sur une moyenne de 4 et 6 semaines pour BOTOX 8 unités/kg. Des améliorations statistiquement significatives de la réalisation des objectifs fonctionnels actifs et passifs (GAS) ont été observées lors des semaines 8 et 12 pour BOTOX® 8 unités/kg et lors de la semaine 8 mais pas lors de la semaine 12 pour BOTOX® 4 unités/kg. L'amélioration de la marche dépendait de la dose, avec des améliorations statistiquement significatives de l'EVG à la semaine 8 pour BOTOX® 8 unités/kg.
- +Une amélioration statistiquement significative par rapport au placebo a été démontrée avec 4 et 8 unités/kg de BOTOX pour le critère primaire d'évaluation du score ASM pour la cheville lors des semaines 4 et 6, en tant que changement par rapport à la valeur initiale, et avec 8 unités/kg de BOTOX pour le critère secondaire principal, le CGI moyen lors des semaines 4 et 6. Une amélioration statistiquement significative par rapport au placebo a été observée pour le CGI par le médecin sur une moyenne de 4 et 6 semaines pour BOTOX 8 unités/kg. Des améliorations statistiquement significatives de la réalisation des objectifs fonctionnels actifs et passifs (GAS) ont été observées lors des semaines 8 et 12 pour BOTOX 8 unités/kg et lors de la semaine 8 mais pas lors de la semaine 12 pour BOTOX 4 unités/kg. L'amélioration de la marche dépendait de la dose, avec des améliorations statistiquement significatives de l'EVG à la semaine 8 pour BOTOX 8 unités/kg.
-Chez les patients pédiatriques atteints de spasticité des membres inférieurs dont les échantillons ont été analysés dans le cadre d'une étude de phase 3 et de l'étude Open Label, 2 patients sur 264 (0,8%) ont développé des anticorps neutralisants lorsqu'ils ont été traités par BOTOX® pendant un maximum de 5 cycles de traitement. Les deux patients ont ensuite continué à bénéficier des avantages cliniques du traitement par BOTOX®.
- +Chez les patients pédiatriques atteints de spasticité des membres inférieurs dont les échantillons ont été analysés dans le cadre d'une étude de phase 3 et de l'étude Open Label, 2 patients sur 264 (0,8%) ont développé des anticorps neutralisants lorsqu'ils ont été traités par BOTOX pendant un maximum de 5 cycles de traitement. Les deux patients ont ensuite continué à bénéficier des avantages cliniques du traitement par BOTOX.
- +Prophylaxie des céphalées chez les patients adultes atteints de migraine chronique
- +BOTOX a été évalué dans le cadre de deux études multinationales multicentriques de 56 semaines, qui comprenaient les éléments suivants: une phase en double aveugle de 24 semaines, avec 2 cycles d'injections comparant BOTOX à un placebo, suivie d'une phase en ouvert de 32 semaines, avec 3 cycles d'injection de BOTOX. Au total, 1 384 adultes atteints de migraine chronique qui n'avaient encore jamais reçu de traitement prophylactique concomitant pour les céphalées, ou qui ne l'avaient pas pris au cours d'une période de 28 jours avant le début de l'étude, et qui ont ≥15 jours de céphalées, dont 50 % migraine/migraine probable et ≥4 épisodes de céphalées, ont été évalués dans le cadre de deux études cliniques de phase 3. Ces patients ont été randomisés pour recevoir, toutes les 12 semaines, des injections avec un placebo ou 155 à 195 unités de BOTOX pour la phase en double aveugle avec 2 cycles d'injections. Ils pouvaient recevoir 3 cycles de BOTOX supplémentaires en ouvert, avec un total de 5 cycles d'injections maximum
- +Le traitement aigu des maux de tête était autorisé pour les patients (65,5 % d'entre eux avaient reçu un traitement aigu excessif pendant la phase de démarrage de l'étude).
- +Le traitement par BOTOX a montré, par rapport au placebo, une amélioration statistiquement significative (p < 0,001) et cliniquement pertinente par rapport à la valeur initiale en ce qui concerne la fréquence des jours de céphalées, la fréquence des jours de migraine/migraine probable, la fréquence des jours de céphalées modérées/sévères et le nombre total d'heures cumulées de céphalées les jours de céphalées.
- +Les résultats du test Headache Impact Test (HIT6) et du questionnaire de qualité de vie spécifique à la migraine (MSQ) ont indiqué une efficacité durable de BOTOX ainsi qu'une amélioration des capacités fonctionnelles, de la vitalité, de la charge psychique et globalement, de la qualité de vie.
- +Tableau 1: Résultats combinés des critères d'évaluation de l'efficacité dans les deux études pivotales à la semaine 24 (critère d'évaluation principal)
- +Efficacité sur 28 jours BOTOX (N = 688) Placebo (N = 696) Valeur p
- +Variation du nombre de jours avec céphalées par rapport à la valeur initiale -8,4 -6,6 < 0,001
- +Variation du nombre de jours de migraine/de migraine probable par rapport à la valeur initiale -8,2 -6,2 < 0,001
- +Variation du nombre de jours avec céphalées modérées/sévères par rapport à la valeur initiale -7,7 -5,8 < 0,001
- +Variation du nombre total d'heures avec céphalées pendant les jours avec céphalées par rapport à la valeur initiale -119,7 -80,5 < 0,001
- +Variation du nombre d'épisodes de céphalées par rapport à la valeur initiale -5,2 -4,9 0,009
- +Pourcentage de patients ayant au moins 50 % de céphalées en moins 47% 35% < 0,001
- +Proportion de patients ayant un score élevé dans les catégories de l'HIT-6 67,6 % 78,2 % < 0,001
- +Variation du score total HIT-6 par rapport à la valeur initiale -4,8 -2,4 < 0,001
- +
- +Bien que les études n'aient pas été conçues pour indiquer des différences concernant les sous-groupes, l'effet du traitement a semblé plus faible dans le sous-groupe des participants de sexe masculin (n = 188) et des participants qui n'étaient pas d'origine caucasienne (n = 137), par rapport à la population totale de l'étude.
-Deux études cliniques de phase III, multicentriques, randomisées, contrôlées contre placebo, menées en double aveugle sur une période de 24 semaines ont été effectuées auprès de patients atteints de vessie hyperactive accompagnée des symptômes suivants: incontinence urinaire, mictions impérieuses et mictions fréquentes. Au total, 1'105 patients dont les symptômes n'ont pas pu être contrôlés de façon adéquate par les anticholinergiques (réponse insuffisante ou effets secondaires inacceptables) ont été randomisés pour recevoir soit 100 unités BOTOX® (n = 557) ou un placebo (n = 548).
-Dans les deux études, des améliorations significatives par rapport au placebo ont été constatées pour BOTOX® (100 unités) en ce qui concerne la modification de la fréquence journalière des épisodes d'incontinence urinaire par rapport à la valeur initiale, y compris la proportion de patients continents, à la semaine 12 (critère primaire). La proportion des patients, mesurée au moyen de l'échelle pour le bénéfice du traitement, qui ont rapporté une réponse positive au traitement (leur état s'était «fortement amélioré» ou «amélioré») était, dans les deux études, significativement plus élevée dans le groupe BOTOX® que dans le groupe placebo.
- +Deux études cliniques de phase 3, multicentriques, randomisées, contrôlées contre placebo, menées en double aveugle sur une période de 24 semaines ont été effectuées auprès de patients atteints de vessie hyperactive accompagnée des symptômes suivants: incontinence urinaire, mictions impérieuses et mictions fréquentes. Au total, 1'105 patients dont les symptômes n'ont pas pu être contrôlés de façon adéquate par les anticholinergiques (réponse insuffisante ou effets secondaires inacceptables) ont été randomisés pour recevoir soit 100 unités BOTOX (n = 557) ou un placebo (n = 548).
- +Dans les deux études, des améliorations significatives par rapport au placebo ont été constatées pour BOTOX (100 unités) en ce qui concerne la modification de la fréquence journalière des épisodes d'incontinence urinaire par rapport à la valeur initiale, y compris la proportion de patients continents, à la semaine 12 (critère primaire). La proportion des patients, mesurée au moyen de l'échelle pour le bénéfice du traitement, qui ont rapporté une réponse positive au traitement (leur état s'était «fortement amélioré» ou «amélioré») était, dans les deux études, significativement plus élevée dans le groupe BOTOX que dans le groupe placebo.
-Par comparaison avec le placebo, le traitement par BOTOX® a été associé à des améliorations significatives de la qualité de vie liée à la santé, mesurée au moyen du questionnaire I-QOL (Incontinence Quality of Life) (avec les facteurs suivants: comportement d'éviction et restrictions, conséquences psychosociales et gêne sociale) et du questionnaire (King's Health Questionnaire) (avec les facteurs suivants: conséquences de l'incontinence, limitations des activités quotidiennes, limitations sociales, limitations corporelles, relations personnelles, état émotionnel, sommeil/énergie et degré de sévérité/contre-mesures).
-Dans l'ensemble, aucune différence au niveau de l'effet n'a été constatée entre les patients de 65 ans et plus et les patients de moins de 65 ans suite au traitement par BOTOX®.
- +Par comparaison avec le placebo, le traitement par BOTOX a été associé à des améliorations significatives de la qualité de vie liée à la santé, mesurée au moyen du questionnaire I-QOL (Incontinence Quality of Life) (avec les facteurs suivants: comportement d'éviction et restrictions, conséquences psychosociales et gêne sociale) et du questionnaire (King's Health Questionnaire) (avec les facteurs suivants: conséquences de l'incontinence, limitations des activités quotidiennes, limitations sociales, limitations corporelles, relations personnelles, état émotionnel, sommeil/énergie et degré de sévérité/contre-mesures).
- +Dans l'ensemble, aucune différence au niveau de l'effet n'a été constatée entre les patients de 65 ans et plus et les patients de moins de 65 ans suite au traitement par BOTOX.
- BOTOX®100 unités (n = 557) Placebo (n = 548) Valeur p
- + BOTOX 100 unités (n = 557) Placebo (n = 548) Valeur p
-Valeur moyenne au début de l'étude Modification moyenne à la semaine 2 Modification moyenne à la semaine 6 Modification moyenne à la semaine 12 5,49 -2,85 -3,11 -2,80 5,39 -1,21 -1,22 -0,95 <0,001 <0,001 <0,001
- +Valeur moyenne au début de l'étude 5,49 5,39
- +Modification moyenne à la semaine 2 Modification moyenne à la semaine 6 Modification moyenne à la semaine 12 -2,85 -3,11 -2,80 -1,21 -1,22 -0,95 <0,001 <0,001 <0,001
-Valeur moyenne au début de l'étude Modification moyenne à la semaine 2 Modification moyenne à la semaine 6 Modification moyenne à la semaine 12 11,99 -1,53 -2,18 -2,35 11,48 -0,78 -0,97 -0,87 <0,001 <0,001 <0,001
- +Valeur moyenne au début de l'étude 11,99 11,48
- +Modification moyenne à la semaine 2 Modification moyenne à la semaine 6 Modification moyenne à la semaine 12 -1,53 -2,18 -2,35 -0,78 -0,97 -0,87 <0,001 <0,001 <0,001
-Valeur moyenne au début de l'étude Modification moyenne à la semaine 2 Modification moyenne à la semaine 6 Modification moyenne à la semaine 12b 8,82 -2,89 -3,56 -3,30 8,31 -1,35 -1,40 -1,23 <0,001 <0,001 <0,001
- +Valeur moyenne au début de l'étude 8,82 8,31
- +Modification moyenne à la semaine 2 Modification moyenne à la semaine 6 Modification moyenne à la semaine 12b -2,89 -3,56 -3,30 -1,35 -1,40 -1,23 <0,001 <0,001 <0,001
-Valeur moyenne au début de l'étude Modification moyenne après la semaine 12bc 34,1 +22,5 34,7 +6,6 <0,001
-Questionnaire KHQ
-Limitation des activités Valeur moyenne au début de l'étude Modification moyenne après la semaine 12bc 65,4 -25,4 61,2 -3,7 <0,001
-Questionnaire KHQ: limitations sociales
- +Valeur moyenne au début de l'étude 34,1 34,7
- +Modification moyenne après la semaine 12bc +22,5 +6,6 <0,001
- +Questionnaire KHQ Limitation des activités
- +Valeur moyenne au début de l'étude 65,4 61,2
- +Modification moyenne après la semaine 12bc -25,4 -3,7 <0,001
- +Questionnaire KHQ: limitations sociales
-* Dans le groupe BOTOX®, la proportion de patients continents à la semaine 12 était de 27,1% et de 8,4% dans le groupe placebo. La proportion des patients atteignant une fréquence réduite d'au moins 75% ou 50% des épisodes d'incontinence par rapport à la valeur initiale était de 46,0 % ou 60,5 % dans le groupe BOTOX® et de 17,7% ou 31,0% dans le groupe placebo.
- +* Dans le groupe BOTOX, la proportion de patients continents à la semaine 12 était de 27,1% et de 8,4% dans le groupe placebo. La proportion des patients atteignant une fréquence réduite d'au moins 75% ou 50% des épisodes d'incontinence par rapport à la valeur initiale était de 46,0 % ou 60,5 % dans le groupe BOTOX et de 17,7% ou 31,0% dans le groupe placebo.
-La durée médiane de la réponse suite au traitement par BOTOX®, basée sur une demande de retraitement exprimée par les patients, était de 166 jours (~24 semaines).
-Chez les patients qui ont également participé à l'étude de prolongation ouverte et qui ont été traités uniquement avec 100 unités de BOTOX® (n = 438), la durée médiane de la réponse était de 212 jours (~30 semaines).
- +La durée médiane de la réponse suite au traitement par BOTOX, basée sur une demande de retraitement exprimée par les patients, était de 166 jours (~24 semaines).
- +Chez les patients qui ont également participé à l'étude de prolongation ouverte et qui ont été traités uniquement avec 100 unités de BOTOX (n = 438), la durée médiane de la réponse était de 212 jours (~30 semaines).
-Dans les études centrales, aucun des 615 patients chez lesquels des échantillons ont été analysés n'a développé d'anticorps neutralisants. Chez les patients dont les échantillons issus de l'étude pivot de phase III et des études de prolongation ouvertes ont été analysés, des anticorps neutralisants se sont développés dans les cas suivants: chez 0 patient sur 954 (0,0%) durant le traitement avec 100 unités de BOTOX® et chez 3 patients sur 260 (1,2%) après un traitement ultérieur avec au minimum une dose de 150 unités. L'un de ces trois patients a présenté un bénéfice clinique durable.
- +Dans les études centrales, aucun des 615 patients chez lesquels des échantillons ont été analysés n'a développé d'anticorps neutralisants. Chez les patients dont les échantillons issus de l'étude pivot de phase 3 et des études de prolongation ouvertes ont été analysés, des anticorps neutralisants se sont développés dans les cas suivants: chez 0 patient sur 954 (0,0%) durant le traitement avec 100 unités de BOTOX et chez 3 patients sur 260 (1,2%) après un traitement ultérieur avec au minimum une dose de 150 unités. L'un de ces trois patients a présenté un bénéfice clinique durable.
-Deux études cliniques de phase 3, multicentriques, randomisées, en double aveugle, contrôlées contre placebo, ont été réalisées chez des patients présentant une incontinence urinaire due à une hyperactivité neurogène du détrusor, soit avec miction spontanée, soit sondés. Au total, 691 patients présentant une lésion médullaire ou atteints de sclérose en plaques et qui n'étaient pas traités d'une manière satisfaisante par au moins un agent anticholinergique ont participé aux études. Les patients ont été randomisés pour recevoir soit 200 unités de BOTOX® (n = 227), soit 300 unités de BOTOX® (n = 223), soit un placebo (n = 241).
-Dans les deux études de phase III, des améliorations significatives ont été observées par rapport au placebo concernant le critère principal d'efficacité (modification de la fréquence hebdomadaire des épisodes d'incontinence, par rapport au début de l'étude): de meilleurs résultats ont été notés sous BOTOX® (200 unités et 300 unités) à la semaine 6 (temps d'évaluation du critère d'efficacité) y compris pour les patients chez lesquels l'incontinence urinaire avait disparu. Des améliorations significatives des paramètres urodynamiques ont également été observées, y compris une augmentation de la capacité cystométrique maximale et une diminution du pic de pression sur le muscle détrusor durant la première contraction involontaire de ce dernier. Par rapport au placebo, on a également observé des améliorations significatives de l'évaluation de la qualité de vie par le patient spécifiquement en rapport avec l'incontinence et la santé, déterminées au moyen d'un questionnaire I-QOL (incluant tactiques d'évitement, conséquences psychosociales et sentiments de honte restrictifs). Un bénéfice supplémentaire de BOTOX® 300 unités par rapport à 200 unités n'a pas pu être mis en évidence.
- +Deux études cliniques de phase 3, multicentriques, randomisées, en double aveugle, contrôlées contre placebo, ont été réalisées chez des patients présentant une incontinence urinaire due à une hyperactivité neurogène du détrusor, soit avec miction spontanée, soit sondés. Au total, 691 patients présentant une lésion médullaire ou atteints de sclérose en plaques et qui n'étaient pas traités d'une manière satisfaisante par au moins un agent anticholinergique ont participé aux études. Les patients ont été randomisés pour recevoir soit 200 unités de BOTOX (n = 227), soit 300 unités de BOTOX (n = 223), soit un placebo (n = 241).
- +Dans les deux études de phase 3, des améliorations significatives ont été observées par rapport au placebo concernant le critère principal d'efficacité (modification de la fréquence hebdomadaire des épisodes d'incontinence, par rapport au début de l'étude): de meilleurs résultats ont été notés sous BOTOX (200 unités et 300 unités) à la semaine 6 (temps d'évaluation du critère d'efficacité) y compris pour les patients chez lesquels l'incontinence urinaire avait disparu. Des améliorations significatives des paramètres urodynamiques ont également été observées, y compris une augmentation de la capacité cystométrique maximale et une diminution du pic de pression sur le muscle détrusor durant la première contraction involontaire de ce dernier. Par rapport au placebo, on a également observé des améliorations significatives de l'évaluation de la qualité de vie par le patient spécifiquement en rapport avec l'incontinence et la santé, déterminées au moyen d'un questionnaire I-QOL (incluant tactiques d'évitement, conséquences psychosociales et sentiments de honte restrictifs). Un bénéfice supplémentaire de BOTOX 300 unités par rapport à 200 unités n'a pas pu être mis en évidence.
- BOTOX® 200 unités (n = 227) Placebo (n = 241) Valeur p
- + BOTOX 200 unités (n = 227) Placebo (n = 241) Valeur p
-Valeur moyenne au début de l'étude Modification moyenne à la semaine 2 Modification moyenne à la semaine 6a Modification moyenne à la semaine 12 32,4 -17,7 -21,3 -20,6 31,5 -9,0 -10,5 -9,9 <0,001 <0,001 <0,001
- +Valeur moyenne au début de l'étude 32,4 31,5
- +Modification moyenne à la semaine 2 Modification moyenne à la semaine 6a Modification moyenne à la semaine 12 -17,7 -21,3 -20,6 -9,0 -10,5 -9,9 <0,001 <0,001 <0,001
-Valeur moyenne au début de l'étude Modification moyenne à la semaine 6b 250,2 +153,6 253,5 +11,9 <0,001
- +Valeur moyenne au début de l'étude 250,2 253,5
- +Modification moyenne à la semaine 6b +153,6 +11,9 <0,001
-Valeur moyenne au début de l'étude Modification moyenne à la semaine 6b 51,5 -32,4 47,3 +1,1 <0,001
- +Valeur moyenne au début de l'étude 51,5 47,3
- +Modification moyenne à la semaine 6b -32,4 +1,1 <0,001
-Valeur moyenne au début de l'étude Modification moyenne à la semaine 6b Modification moyenne à la semaine 12 35,37 +25,89 +28,89 35,32 +11,15 +8,86 <0,001 <0,001
- +Valeur moyenne au début de l'étude 35,37 35,32
- +Modification moyenne à la semaine 6b Modification moyenne à la semaine 12 +25,89 +28,89 +11,15 +8,86 <0,001 <0,001
-* Dans le groupe traité par 200 unités de BOTOX®, la proportion de patients continents était de 37% pendant toute la semaine 6 et de 9% dans le groupe sous placebo. La proportion atteignant une réduction de 75% au moins de la fréquence des épisodes d'incontinence par rapport au début de l'étude était de 63% et 24%. La proportion atteignant une réduction de 50% au moins de la fréquence des épisodes d'incontinence par rapport au début de l'étude était de 76% et 39%.
- +* Dans le groupe traité par 200 unités de BOTOX, la proportion de patients continents était de 37% pendant toute la semaine 6 et de 9% dans le groupe sous placebo. La proportion atteignant une réduction de 75% au moins de la fréquence des épisodes d'incontinence par rapport au début de l'étude était de 63% et 24%. La proportion atteignant une réduction de 50% au moins de la fréquence des épisodes d'incontinence par rapport au début de l'étude était de 76% et 39%.
-La durée médiane de l'effet du traitement dans les deux études pivots, basée sur une demande de retraitement exprimée par le patient, était de 256 à 295 jours (36 à 42 semaines) pour le groupe ayant reçu 200 unités de BOTOX® comparé à 92 jours (13 semaines) pour le groupe placebo. Chez les patients qui ont également participé à l'étude de prolongation ouverte et qui ont été traités uniquement avec 200 unités de BOTOX® (n = 174), la durée médiane de la réponse était de 253 jours (~36 semaines).
- +La durée médiane de l'effet du traitement dans les deux études pivots, basée sur une demande de retraitement exprimée par le patient, était de 256 à 295 jours (36 à 42 semaines) pour le groupe ayant reçu 200 unités de BOTOX comparé à 92 jours (13 semaines) pour le groupe placebo. Chez les patients qui ont également participé à l'étude de prolongation ouverte et qui ont été traités uniquement avec 200 unités de BOTOX (n = 174), la durée médiane de la réponse était de 253 jours (~36 semaines).
-Chez les patients dont les échantillons issus du programme de développement de nouveaux médicaments (y compris étude de prolongation ouverte) ont été analysés, des anticorps neutralisants se sont développés dans les cas suivants: chez 3 patients sur 300 (1,0%) traités uniquement avec 200 unités de BOTOX® et chez 5 patients sur 258 (1,9%) après un traitement avec au minimum une dose de 300 unités. Quatre de ces huit patients ont présenté un bénéfice clinique durable.
-Après l'autorisation de mise sur le marché, une étude a été réalisée en double aveugle et contre placebo sur des patients atteints de sclérose en plaques (SEP), lesquels présentaient une incontinence urinaire causée par une hyperactivité neurogène du détrusor et n'ont pas été traités de manière satisfaisante par au moins un agent anticholinergique et n'étaient pas cathétérisés en début d'étude. Ces patients ont été randomisés pour recevoir soit 100 unités de BOTOX® (n = 66) soit un placebo (n = 78).
-Des améliorations significatives du paramètre d'efficacité primaire, une modification dans la fréquence quotidienne des épisodes d'incontinence par rapport au début de l'étude, ont été observées pour BOTOX® (100 unités) à la période d'efficacité primaire en semaine 6 en comparaison avec un placebo. Cela englobait également le groupe de patients chez qui l'incontinence urinaire avait disparu. Des améliorations significatives des paramètres urodynamiques et du questionnaire I-QOL rempli par le patient ont été observées. Cela inclut les tactiques d'évitement, les conséquences psychosociales et les sentiments de honte restrictifs.
- +Chez les patients dont les échantillons issus du programme de développement de nouveaux médicaments (y compris étude de prolongation ouverte) ont été analysés, des anticorps neutralisants se sont développés dans les cas suivants: chez 3 patients sur 300 (1,0%) traités uniquement avec 200 unités de BOTOX et chez 5 patients sur 258 (1,9%) après un traitement avec au minimum une dose de 300 unités. Quatre de ces huit patients ont présenté un bénéfice clinique durable.
- +Après l'autorisation de mise sur le marché, une étude a été réalisée en double aveugle et contre placebo sur des patients atteints de sclérose en plaques (SEP), lesquels présentaient une incontinence urinaire causée par une hyperactivité neurogène du détrusor et n'ont pas été traités de manière satisfaisante par au moins un agent anticholinergique et n'étaient pas cathétérisés en début d'étude. Ces patients ont été randomisés pour recevoir soit 100 unités de BOTOX (n = 66) soit un placebo (n = 78).
- +Des améliorations significatives du paramètre d'efficacité primaire, une modification dans la fréquence quotidienne des épisodes d'incontinence par rapport au début de l'étude, ont été observées pour BOTOX (100 unités) à la période d'efficacité primaire en semaine 6 en comparaison avec un placebo. Cela englobait également le groupe de patients chez qui l'incontinence urinaire avait disparu. Des améliorations significatives des paramètres urodynamiques et du questionnaire I-QOL rempli par le patient ont été observées. Cela inclut les tactiques d'évitement, les conséquences psychosociales et les sentiments de honte restrictifs.
-Critères primaires et secondaires au début de l'étude et modification par rapport au début de l'étude après introduction sur le marché avec 100 unités de BOTOX® et dans le cas de patients SEP progressive non cathétérisés en début d'étude
- BOTOX® 100 unités (n=66) Placebo (n=78) Valeur p
- +Critères primaires et secondaires au début de l'étude et modification par rapport au début de l'étude après introduction sur le marché avec 100 unités de BOTOX et dans le cas de patients SEP progressive non cathétérisés en début d'étude
- + BOTOX 100 unités (n=66) Placebo (n=78) Valeur p
-Valeur moyenne au début de l'étude Modification moyenne à la semaine 2 Modification moyenne à la semaine 6a Modification moyenne à la semaine 12 4.2 -2.9 -3.3 -2.8 4.3 -1.2 -1.1 -1.1 p<0.001 p<0.001 p<0.001
- +Valeur moyenne au début de l'étude 4.2 4.3
- +Modification moyenne à la semaine 2 Modification moyenne à la semaine 6a Modification moyenne à la semaine 12 -2.9 -3.3 -2.8 -1.2 -1.1 -1.1 p<0.001 p<0.001 p<0.001
-Valeur moyenne au début de l'étude Modification moyenne à la semaine 6b 246.4 +127.2 245.7 -1.8 p<0.001
- +Valeur moyenne au début de l'étude 246.4 245.7
- +Modification moyenne à la semaine 6b +127.2 -1.8 p<0.001
-Valeur moyenne au début de l'étude Modification moyenne à la semaine 6b 35.9 -19.6 36.1 +3.7 p=0.007
-c,dScore global relatif à la qualité de vie spécifiquement en rapport avec l'incontinence
-Valeur moyenne au début de l'étude Modification moyenne à la semaine 6b Modification moyenne à la semaine 12 32.4 +40.4 +38.8 34.2 +9.9 +7.6 p<0.001 p<0.001
- +Valeur moyenne au début de l'étude 35.9 36.1
- +Modification moyenne à la semaine 6b -19.6 +3.7 p=0.007
- +Score global relatif à la qualité de vie spécifiquement en rapport avec l'incontinencec,d
- +Valeur moyenne au début de l'étude 32.4 34.2
- +Modification moyenne à la semaine 6b Modification moyenne à la semaine 12 +40.4 +38.8 +9.9 +7.6 p<0.001 p<0.001
-* Dans le groupe traité par 100 unités de BOTOX®, la proportion de patients continents était de 53% pendant toute la semaine 6 et de 10,3% dans le groupe sous placebo.
- +* Dans le groupe traité par 100 unités de BOTOX, la proportion de patients continents était de 53% pendant toute la semaine 6 et de 10,3% dans le groupe sous placebo.
-La durée médiane de la réponse dans cette étude, basée sur une demande de retraitement exprimée par les patients, était de 362 jours (~52 semaines) dans le groupe traité avec 100 unités de BOTOX® contre 88 jours (~13 semaines) pour le groupe ayant reçu un placebo.
- +La durée médiane de la réponse dans cette étude, basée sur une demande de retraitement exprimée par les patients, était de 362 jours (~52 semaines) dans le groupe traité avec 100 unités de BOTOX contre 88 jours (~13 semaines) pour le groupe ayant reçu un placebo.
-Une étude clinique multicentrique à double insu a été réalisée auprès de patients souffrant d'une hyperhidrose axillaire primaire bilatérale persistante. L'hyperhidrose axillaire primaire était présente lorsque la mesure initiale indiquait une production spontanée d'au moins 50 mg de sueur par aisselle en 5 minutes, au repos et à la température ambiante. L'étude comprenait 320 patients randomisés recevant 50 unités de BOTOX® (n = 242) ou un placebo (n = 78). La réponse au traitement était définie comme une diminution de la production de sueur d'au moins 50% par rapport à la valeur initiale. Au critère d'évaluation primaire, 4 semaines après l'injection, 93,8% des patients du groupe BOTOX® avaient répondu au traitement contre 35,9% du groupe placebo (p < 0,001). Lors de tous les contrôles durant les 16 semaines suivant l'injection, le taux de réponse dans le groupe BOTOX® s'est continuellement montré supérieur (p < 0,001) à celui du groupe placebo.
-Une étude ouverte a été ensuite réalisée auprès de 207 patients adéquats qui ont reçu jusqu'à 3 traitements par BOTOX®. Parmi ceux-ci, 174 ont terminé les 16 mois au total que duraient les deux études combinées (4 mois en double aveugle et 12 mois à la suite en étude ouverte). Le taux de réponse 16 semaines après le premier (n = 287), le deuxième (n = 123) et le troisième (n = 30) traitement s'est élevé à 85,0%, 86,2% et 80%. Au cours des deux études combinées, la durée moyenne de l'effet a été de 7,5 mois après le premier traitement, mais l'effet a persisté encore un an ou plus chez 27,5% des patients.
- +Une étude clinique multicentrique à double insu a été réalisée auprès de patients souffrant d'une hyperhidrose axillaire primaire bilatérale persistante. L'hyperhidrose axillaire primaire était présente lorsque la mesure initiale indiquait une production spontanée d'au moins 50 mg de sueur par aisselle en 5 minutes, au repos et à la température ambiante. L'étude comprenait 320 patients randomisés recevant 50 unités de BOTOX (n = 242) ou un placebo (n = 78). La réponse au traitement était définie comme une diminution de la production de sueur d'au moins 50% par rapport à la valeur initiale. Au critère d'évaluation primaire, 4 semaines après l'injection, 93,8% des patients du groupe BOTOX avaient répondu au traitement contre 35,9% du groupe placebo (p < 0,001). Lors de tous les contrôles durant les 16 semaines suivant l'injection, le taux de réponse dans le groupe BOTOX s'est continuellement montré supérieur (p < 0,001) à celui du groupe placebo.
- +Une étude ouverte a été ensuite réalisée auprès de 207 patients adéquats qui ont reçu jusqu'à 3 traitements par BOTOX. Parmi ceux-ci, 174 ont terminé les 16 mois au total que duraient les deux études combinées (4 mois en double aveugle et 12 mois à la suite en étude ouverte). Le taux de réponse 16 semaines après le premier (n = 287), le deuxième (n = 123) et le troisième (n = 30) traitement s'est élevé à 85,0%, 86,2% et 80%. Au cours des deux études combinées, la durée moyenne de l'effet a été de 7,5 mois après le premier traitement, mais l'effet a persisté encore un an ou plus chez 27,5% des patients.
-On pense que la distribution systémique des doses thérapeutiques de BOTOX® est faible. Des études cliniques utilisant des techniques électromyographiques à fibre unique ont mis en évidence une augmentation de l'activité électrophysiologique neuromusculaire dans les muscles distants du point d'injection, sans aucun signe ou symptôme clinique associé. L'ampleur de la diffusion et des effets secondaires associés dépend des caractéristiques anatomiques, ainsi que des volumes et de la dose injectés.
- +On pense que la distribution systémique des doses thérapeutiques de BOTOX est faible. Des études cliniques utilisant des techniques électromyographiques à fibre unique ont mis en évidence une augmentation de l'activité électrophysiologique neuromusculaire dans les muscles distants du point d'injection, sans aucun signe ou symptôme clinique associé. L'ampleur de la diffusion et des effets secondaires associés dépend des caractéristiques anatomiques, ainsi que des volumes et de la dose injectés.
-Outre les études de toxicité pour la reproduction, les études de sécurité précliniques suivantes ont été conduites avec BOTOX®: toxicité aiguë, toxicité chronique, tolérance locale, potentiel mutagène, pouvoir antigénique, compatibilité sanguine chez l'homme. Ces études n'ont révélé aucun risque particulier chez l'homme aux doses cliniquement significatives.
-Aucune toxicité systémique n'a été observée après une injection unique dans le détrusor de <50 unités /kg de BOTOX® chez le rat. Afin de simuler une injection accidentelle, une dose unique de BOTOX® (~7 unités /kg) a été administrée dans l'urètre prostatique et le rectum proximal, la vésicule séminale et la paroi vésicale ainsi que dans l'utérus (~3 unités /kg) de singes sans qu'aucun effet clinique indésirable n'ait été observé.
-Dans une étude d'administration répétée dans le détrusor de singes pendant 9 mois (4 injections), une ptose a été observée à la dose de 24 unités/kg. Des cas de mortalité ont été observés après une dose de 36 unités/kg après la première des quatre injections et chez un animal à la dose de 24 unités/kg après la deuxième injection. On a observé une activité motrice réduite et des difficultés respiratoires chez des animaux moribonds après administrations de doses ≥24 unités/kg. Aucun effet indésirable n'a été observé chez le singe à la dose de 12 unités/kg, qui correspond à une exposition 3 fois plus importante de BOTOX® que celle attendue avec la dose clinique recommandée de 200 unités dans le traitement de l'incontinence urinaire causée par une hyperactivité neurogène du détrusor (basée sur une personne de 50 kg).
- +Outre les études de toxicité pour la reproduction, les études de sécurité précliniques suivantes ont été conduites avec BOTOX: toxicité aiguë, toxicité chronique, tolérance locale, potentiel mutagène, pouvoir antigénique, compatibilité sanguine chez l'homme. Ces études n'ont révélé aucun risque particulier chez l'homme aux doses cliniquement significatives.
- +Aucune toxicité systémique n'a été observée après une injection unique dans le détrusor de <50 unités /kg de BOTOX chez le rat. Afin de simuler une injection accidentelle, une dose unique de BOTOX (~7 unités /kg) a été administrée dans l'urètre prostatique et le rectum proximal, la vésicule séminale et la paroi vésicale ainsi que dans l'utérus (~3 unités /kg) de singes sans qu'aucun effet clinique indésirable n'ait été observé.
- +Dans une étude d'administration répétée dans le détrusor de singes pendant 9 mois (4 injections), une ptose a été observée à la dose de 24 unités/kg. Des cas de mortalité ont été observés après une dose de 36 unités/kg après la première des quatre injections et chez un animal à la dose de 24 unités/kg après la deuxième injection. On a observé une activité motrice réduite et des difficultés respiratoires chez des animaux moribonds après administrations de doses ≥24 unités/kg. Aucun effet indésirable n'a été observé chez le singe à la dose de 12 unités/kg, qui correspond à une exposition 3 fois plus importante de BOTOX que celle attendue avec la dose clinique recommandée de 200 unités dans le traitement de l'incontinence urinaire causée par une hyperactivité neurogène du détrusor (basée sur une personne de 50 kg).
-Des souris, des rates et des lapines gravides ont reçu pendant la période d'organogenèse des injections de BOTOX® par voie intramusculaire. La dose sans effet toxique observé (NOAEL) au cours de la phase de développement était de 4, de 1 et de 0,125 unités/kg de poids corporel, respectivement. Les doses plus élevées ont entraîné une réduction du poids du fœtus et/ou un retard d'ossification. On a constaté des avortements chez le lapin.
- +Des souris, des rates et des lapines gravides ont reçu pendant la période d'organogenèse des injections de BOTOX par voie intramusculaire. La dose sans effet toxique observé (NOAEL) au cours de la phase de développement était de 4, de 1 et de 0,125 unités/kg de poids corporel, respectivement. Les doses plus élevées ont entraîné une réduction du poids du fœtus et/ou un retard d'ossification. On a constaté des avortements chez le lapin.
-Dans une étude où des rats juvéniles ont reçu une injection intramusculaire de BOTOX® à la dose de 8, 16 ou 24 unités/kg de poids corporel toutes les deux semaines à partir du 21e jour postnatal pendant 3 mois, on a observé des changements dans la taille/géométrie des os associés à une diminution de la densité et de la masse osseuse secondaire, à une lésion des membres, à un manque de contraction musculaire et à une diminution du gain de poids corporel. Les changements étaient moins graves à la plus faible dose testée et présentaient des signes de réversibilité à toutes les doses. Les animaux juvéniles semblent plus sensibles que les adultes. Dans une étude où des rats juvéniles ont reçu une injection intramusculaire de BOTOX® toutes les deux semaines pendant 12 semaines, la valeur NOAEL(No Observed Adverse Effect Level) était de 8 unités/kg, ce qui est comparable à la dose maximale proposée pour les patients pédiatriques de 10 unités/kg. La dose cumulée chez les rats juvéniles de 56 unités/kg (8 unités/kg administrées toutes les deux semaines pendant 12 semaines) est 5,6 fois supérieure à la dose cumulée maximale dans la population spastique pédiatrique sur la même période. La dose non efficace pour les effets indésirables sur le développement chez les jeunes animaux (8 unités/kg de poids corporel) est égale à la dose cumulative maximale chez les adultes (400 unités) sur la base du poids corporel (kg).
- +Dans une étude où des rats juvéniles ont reçu une injection intramusculaire de BOTOX à la dose de 8, 16 ou 24 unités/kg de poids corporel toutes les deux semaines à partir du 21e jour postnatal pendant 3 mois, on a observé des changements dans la taille/géométrie des os associés à une diminution de la densité et de la masse osseuse secondaire, à une lésion des membres, à un manque de contraction musculaire et à une diminution du gain de poids corporel. Les changements étaient moins graves à la plus faible dose testée et présentaient des signes de réversibilité à toutes les doses. Les animaux juvéniles semblent plus sensibles que les adultes. Dans une étude où des rats juvéniles ont reçu une injection intramusculaire de BOTOX toutes les deux semaines pendant 12 semaines, la valeur NOAEL(No Observed Adverse Effect Level) était de 8 unités/kg, ce qui est comparable à la dose maximale proposée pour les patients pédiatriques de 10 unités/kg. La dose cumulée chez les rats juvéniles de 56 unités/kg (8 unités/kg administrées toutes les deux semaines pendant 12 semaines) est 5,6 fois supérieure à la dose cumulée maximale dans la population spastique pédiatrique sur la même période. La dose non efficace pour les effets indésirables sur le développement chez les jeunes animaux (8 unités/kg de poids corporel) est égale à la dose cumulative maximale chez les adultes (400 unités) sur la base du poids corporel (kg).
-Préparation de la solution injectable de BOTOX®
-Il est recommandé d'effectuer la reconstitution de la solution et la préparation de la seringue sur des serviettes en papiers doublées de plastique afin d'absorber toute quantité renversée. Reconstituer BOTOX® avec une solution saline normale sans conservateur (chlorure de sodium à 0,9% pour préparations injectables).
- +Préparation de la solution injectable de BOTOX
- +Il est recommandé d'effectuer la reconstitution de la solution et la préparation de la seringue sur des serviettes en papiers doublées de plastique afin d'absorber toute quantité renversée. Reconstituer BOTOX avec une solution saline normale sans conservateur (chlorure de sodium à 0,9% pour préparations injectables).
-Tableau de dilution pour les flacons contenant BOTOX® 50 et 100 unités pour toutes les indications (sauf injections dans le muscle détrusor)
- +Tableau de dilution pour les flacons contenant BOTOX 50 et 100 unités pour toutes les indications (sauf injections dans le muscle détrusor)
-Instruction pour la dilution de deux flacons BOTOX® de 50 unités:
-•Reconstituer deux flacons de BOTOX® de 50 unités avec 5 ml chacun de solution de chlorure de sodium à 0,9% (sans agent conservateur) et mélanger le contenu du flacon avec précautions.
-•Aspirer 5 ml de chaque flacon dans une seringue de 10 ml.
-Il en résulte une seringue de 10 ml contenant au total 100 unités de BOTOX® reconstitué. Utiliser immédiatement après reconstitution dans la seringue. Jeter toute solution de chlorure de sodium non utilisée.
-Instructions pour la dilution d'un flacon BOTOX® de 100 unités:
-•Reconstituer un flacon BOTOX® de 100 unités avec 10 ml d'une solution de chlorure de sodium à 0,9% (sans agent conservateur) et mélanger le contenu du flacon avec précautions.
-•Aspirer 10 ml du flacon dans une seringue de 10 ml.
-Il en résulte une seringue de 10 ml contenant au total 100 unités de BOTOX® reconstitué. Utiliser immédiatement après reconstitution dans la seringue. Jeter toute solution de chlorure de sodium non utilisée.
- +Instruction pour la dilution de deux flacons BOTOX de 50 unités:
- +·Reconstituer deux flacons de BOTOX de 50 unités avec 5 ml chacun de solution de chlorure de sodium à 0,9% (sans agent conservateur) et mélanger le contenu du flacon avec précautions.
- +·Aspirer 5 ml de chaque flacon dans une seringue de 10 ml.
- +Il en résulte une seringue de 10 ml contenant au total 100 unités de BOTOX reconstitué. Utiliser immédiatement après reconstitution dans la seringue. Jeter toute solution de chlorure de sodium non utilisée.
- +Instructions pour la dilution d'un flacon BOTOX de 100 unités:
- +·Reconstituer un flacon BOTOX de 100 unités avec 10 ml d'une solution de chlorure de sodium à 0,9% (sans agent conservateur) et mélanger le contenu du flacon avec précautions.
- +·Aspirer 10 ml du flacon dans une seringue de 10 ml.
- +Il en résulte une seringue de 10 ml contenant au total 100 unités de BOTOX reconstitué. Utiliser immédiatement après reconstitution dans la seringue. Jeter toute solution de chlorure de sodium non utilisée.
-Instructions pour la dilution de quatre flacons de 50 unités de BOTOX® :
-•Reconstituer quatre flacons de 50 unités de BOTOX® avec 3 ml chacun d'une solution de chlorure de sodium à 0,9% (sans agent conservateur) et mélanger le contenu du flacon avec précautions.
-•Aspirer 3 ml du premier flacon et 1 ml du deuxième flacon dans une seringue de 10 ml.
-•Aspirer 3 ml du troisième flacon et 1 ml du quatrième flacon dans une deuxième seringue de 10 ml.
-•Aspirer les 2 ml restants des deuxième et quatrième flacons dans une troisième seringue de 10 ml.
-•Terminer la reconstitution en ajoutant 6 ml de solution saline à 0,9% sans conservateur dans chacune des trois seringues de 10 ml et agiter-les doucement.
-Il en résulte trois seringues de 10 ml contenant au total 200 unités de BOTOX® reconstitué. Utiliser immédiatement après reconstitution dans la seringue. Jeter toute solution de chlorure de sodium non utilisée.
-Instructions pour la dilution de deux flacons de 100 unités de BOTOX®:
-•Reconstituer deux flacons de 100 unités de BOTOX®, chacun à l'aide de 6 ml d'une solution de chlorure de sodium à 0,9% (sans agent conservateur) et mélanger le contenu du flacon avec précautions.
-•Aspirer 4 ml du contenu de chacun des flacons dans deux seringues de 10 ml chacune.
-•Aspirer les 2 ml restants du contenu de chaque flacon dans une troisième seringue de 10 ml.
-•Terminer la reconstitution en ajoutant 6 ml de solution saline à 0,9% sans conservateur dans chacune des seringues de 10 ml et agiter-les doucement.
-Il en résulte trois seringues de 10 ml contenant au total 200 unités de BOTOX® reconstitué. Utiliser immédiatement après reconstitution dans la seringue. Jeter toute solution de chlorure de sodium non utilisée.
-Il est possible d'obtenir une concentration de BOTOX® plus ou moins forte en ajoutant un volume de diluant plus ou moins important.
-BOTOX® étant susceptible d'être dénaturé par la formation de bulles ou une agitation vigoureuse, le diluant doit être injecté délicatement dans le flacon. Ne pas utiliser le flacon si un léger vide n'entraîne pas l'aspiration du diluant à l'intérieur du flacon. Une fois reconstitué, BOTOX® est une solution incolore ou légèrement jaune, exempte de particules en suspension. La solution reconstituée doit être contrôlée visuellement avant utilisation afin de vérifier qu'elle est claire et ne contient pas de particules.
-La solution reconstituée est à usage unique. La solution reconstituée de BOTOX®, qui est de nouveau diluée dans une seringue pour injection dans le muscle détrusor, doit être utilisée immédiatement. Toute solution non utilisée doit être éliminée de manière appropriée.
- +Instructions pour la dilution de quatre flacons de 50 unités de BOTOX :
- +·Reconstituer quatre flacons de 50 unités de BOTOX avec 3 ml chacun d'une solution de chlorure de sodium à 0,9% (sans agent conservateur) et mélanger le contenu du flacon avec précautions.
- +·Aspirer 3 ml du premier flacon et 1 ml du deuxième flacon dans une seringue de 10 ml.
- +·Aspirer 3 ml du troisième flacon et 1 ml du quatrième flacon dans une deuxième seringue de 10 ml.
- +·Aspirer les 2 ml restants des deuxième et quatrième flacons dans une troisième seringue de 10 ml.
- +·Terminer la reconstitution en ajoutant 6 ml de solution saline à 0,9% sans conservateur dans chacune des trois seringues de 10 ml et agiter-les doucement.
- +Il en résulte trois seringues de 10 ml contenant au total 200 unités de BOTOX reconstitué. Utiliser immédiatement après reconstitution dans la seringue. Jeter toute solution de chlorure de sodium non utilisée.
- +Instructions pour la dilution de deux flacons de 100 unités de BOTOX:
- +·Reconstituer deux flacons de 100 unités de BOTOX, chacun à l'aide de 6 ml d'une solution de chlorure de sodium à 0,9% (sans agent conservateur) et mélanger le contenu du flacon avec précautions.
- +·Aspirer 4 ml du contenu de chacun des flacons dans deux seringues de 10 ml chacune.
- +·Aspirer les 2 ml restants du contenu de chaque flacon dans une troisième seringue de 10 ml.
- +·Terminer la reconstitution en ajoutant 6 ml de solution saline à 0,9% sans conservateur dans chacune des seringues de 10 ml et agiter-les doucement.
- +Il en résulte trois seringues de 10 ml contenant au total 200 unités de BOTOX reconstitué. Utiliser immédiatement après reconstitution dans la seringue. Jeter toute solution de chlorure de sodium non utilisée.
- +Il est possible d'obtenir une concentration de BOTOX plus ou moins forte en ajoutant un volume de diluant plus ou moins important.
- +BOTOX étant susceptible d'être dénaturé par la formation de bulles ou une agitation vigoureuse, le diluant doit être injecté délicatement dans le flacon. Ne pas utiliser le flacon si un léger vide n'entraîne pas l'aspiration du diluant à l'intérieur du flacon. Une fois reconstitué, BOTOX est une solution incolore ou légèrement jaune, exempte de particules en suspension. La solution reconstituée doit être contrôlée visuellement avant utilisation afin de vérifier qu'elle est claire et ne contient pas de particules.
- +La solution reconstituée est à usage unique. La solution reconstituée de BOTOX, qui est de nouveau diluée dans une seringue pour injection dans le muscle détrusor, doit être utilisée immédiatement. Toute solution non utilisée doit être éliminée de manière appropriée.
-Si la poudre BOTOX® s'est répandue, elle doit être essuyée avec un linge absorbant imbibé de solution diluée d'hypochlorite (à 0,5%). Si la solution injectable BOTOX® s'est répandue, elle doit être essuyée avec un linge absorbant sec. Les surfaces souillées doivent être nettoyées avec un linge absorbant imbibé de solution diluée d'hypochlorite, puis séchées en frottant. Si un flacon-ampoule s'est brisé, les éclats de verre doivent être recueillis prudemment de sorte à éviter toute blessure de la peau.
- +Si la poudre BOTOX s'est répandue, elle doit être essuyée avec un linge absorbant imbibé de solution diluée d'hypochlorite (à 0,5%). Si la solution injectable BOTOX s'est répandue, elle doit être essuyée avec un linge absorbant sec. Les surfaces souillées doivent être nettoyées avec un linge absorbant imbibé de solution diluée d'hypochlorite, puis séchées en frottant. Si un flacon-ampoule s'est brisé, les éclats de verre doivent être recueillis prudemment de sorte à éviter toute blessure de la peau.
-Si le produit BOTOX® utilisé est authentique, des lignes horizontales aux couleurs de l'arc-en-ciel et le nom «Allergan» sont visibles sur l'étiquette (hologramme) en tournant le flacon à droite et à gauche sous une lampe de bureau ou un néon. Si cela n'est pas le cas et/ou si le scellé de sécurité laissant apparaître le logo argenté Allergan sur le rabat supérieur ou inférieur de la boîte n'est pas intact, alors le produit ne doit pas être utilisé et Allergan doit être contacté.
-En outre, l'autocollant avec le numéro de lot et la date d'expiration peut être détaché de l'étiquette du flacon de BOTOX® et collé dans le dossier du patient pour faciliter la traçabilité du lot. Après le décollement de l'autocollant de l'étiquette du flacon, la mention «Verwendet/Utilisé» apparaît.
- +Si le produit BOTOX utilisé est authentique, des lignes horizontales aux couleurs de l'arc-en-ciel et le nom «Allergan» sont visibles sur l'étiquette (hologramme) en tournant le flacon à droite et à gauche sous une lampe de bureau ou un néon. Si cela n'est pas le cas et/ou si le scellé de sécurité laissant apparaître le logo argenté Allergan sur le rabat supérieur ou inférieur de la boîte n'est pas intact, alors le produit ne doit pas être utilisé et Allergan doit être contacté.
- +En outre, l'autocollant avec le numéro de lot et la date d'expiration peut être détaché de l'étiquette du flacon de BOTOX et collé dans le dossier du patient pour faciliter la traçabilité du lot. Après le décollement de l'autocollant de l'étiquette du flacon, la mention «Verwendet/Utilisé» apparaît.
-BOTOX®
- +BOTOX
-AbbVie AG, 6330 Cham
- +AbbVie AG, Cham
-Septembre 2021
- +Mars 2023
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