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Accueil - Information professionnelle sur Omniscan - Changements - 17.12.2019
88 Changements de l'information professionelle Omniscan
  • -Principe actif : Gadodiamide (GdDTPA-BMA).
  • -Excipients : Caldiamidum natricum, Natrii hydroxidum ou Acid. hydrochloricum ad pH 6,0 - 7,0, Aqua ad iniectabilia.
  • +Principe actif: Gadodiamide (GdDTPA-BMA).
  • +Excipients: Caldiamidum natricum, Natrii hydroxidum ou Acid. hydrochloricum ad pH 6,0 - 7,0, Aqua ad iniectabilia.
  • -1 ml de solution injectable contient : 287 mg de gadodiamide (corr. à 0,5 mmol de gadodiamide/ml ou 78,67 mg de Gd/ml).
  • -Teneur en produit de contraste (g) :
  • -par flacon en verre/seringue prête à l’emploi de 10 ml 2,870 g;
  • -par flacon en verre/seringue prête à l’emploi de 15 ml 4,305 g ;
  • -par flacon en verre/seringue prête à l’emploi de 20 ml 5,740 g ;
  • -par flacon en polypropylène de 50 ml 14,350 g ;
  • -par flacon en polypropylène de 100 ml 28,7 g.
  • -Omniscan 0,5 mmol/ml est un produit de contraste aux propriétés paramagnétiques sous forme de chélate de gadolinium non-ionique, qui est éliminé par voie rénale.
  • +1 ml de solution injectable contient: 287 mg de gadodiamide (correspondant à 0,5 mmol de gadodiamide/ml ou 78,67 mg de Gd/ml).
  • +Teneur en produit de contraste (g):
  • +par flacon en verre/seringue préremplie de 10 ml 2,870 g
  • +par flacon en verre/seringue préremplie de 15 ml 4,305 g
  • +par flacon en verre/seringue préremplie de 20 ml 5,740 g
  • +par flacon en polypropylène de 50 ml 14,350 g
  • +par flacon en polypropylène de 100 ml 28,7 g
  • +
  • +Omniscan 0,5 mmol/ml est un produit de contraste paramagnétique à base de gadolinium (AC-Gd) de structure linéaire non ionique, qui est éliminé par voie rénale.
  • -Osmolalité (mOsm/kg H2O) à 37 °C : 780.
  • -Viscosité (mPa•s) à 20 °C : 2,8.
  • -Viscosité (mPa•s) à 37 °C : 1,9.
  • -Densité à 20 °C (g/ml) : 1,15.
  • +Osmolalité (mOsm/kg H2O) à 37°C: 780
  • +Viscosité (mPa•s) à 20°C: 2,8
  • +Viscosité (mPa•s) à 37°C: 1,9
  • +Densité à 20°C (g/ml): 1,15
  • -r1 (mM-1•s-1) à 20 MHz et 37 °C : 3,9.
  • -r1 (mM-1•s-1) à 10 MHz et 37 °C : 4,6.
  • -r2 (mM-1•s-1) à 10 MHz et 37 °C : 5,1.
  • -pH : 6,0–7,0.
  • +r1 (mM-1•s-1) à 20 MHz et 37°C: 3,9
  • +r1 (mM-1•s-1) à 10 MHz et 37°C: 4,6
  • +r2 (mM-1•s-1) à 10 MHz et 37°C: 5,1
  • +pH: 6,0 – 7,0
  • -Indications/possibilités d’emploi
  • -Imagerie par résonance magnétique (IRM) crânienne et spinale et imagerie par résonance magnétique du corps, angiographie du corps entier comprise.
  • -Omniscan est utilisé pour rehausser le contraste et, donc, améliorer la représentation de structures anormales ou tumeurs dans les différentes régions du corps, y compris du système nerveux central.
  • +Indications/Possibilités d’emploi
  • +Ce médicament est un produit de diagnostic.
  • +Omniscan (gadodiamide) ne doit être utilisé que lorsque l’information diagnostique attendue de l’examen est indispensable pour le patient et ne peut pas être obtenue par une imagerie par résonance magnétique (IRM) non rehaussée, un agent de contraste à base de gadolinium macrocyclique ou toute autre méthode.
  • +Avant l’administration d’Omniscan il convient de s’assurer que le patient ou son représentant légal est informé des possibles accumulations de gadolinium, qu’il dispose d’un degré adéquat de compréhension des risques associés et donne son consentement à l’examen (voir aussi rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Imagerie par résonance magnétique (IRM) crânienne et spinale et imagerie par résonance magnétique générale du corps, angiographie du corps entier comprise.
  • +Omniscan est utilisé pour rehausser le contraste et, donc améliorer la représentation de structures anormales ou de tumeurs dans les différentes régions du corps, y compris le système nerveux central (SNC).
  • -Imagerie par résonance magnétique (IRM) crânienne et spinale en cas d’indication vitale.
  • -Posologie/mode d’emploi
  • -Les patients ne nécessitent aucune préparation préalable. Le produit de contraste doit être aspiré dans la seringue immédiatement avant l’injection intraveineuse.
  • +IRM crânienne et spinale en cas d’indication vitale.
  • +Posologie/Mode d’emploi
  • +Les patients ne nécessitent aucune préparation spéciale. Le produit de contraste doit être aspiré dans la seringue immédiatement avant l’injection intraveineuse.
  • +Il convient d’utiliser la dose minimale efficace. Celle-ci est calculée en fonction du poids corporel du patient et la posologie par kilogramme de poids corporel recommandée ne doit pas être dépassée.
  • +
  • -La posologie recommandée est de 0,1 mmol/kg pc jusqu’à un poids corporel de 100 kg (correspondant à 0,2 ml/kg pc). Pour obtenir un contraste approprié au diagnostic, 20 ml sont en principe suffisants lors d’un poids supérieur à 100 kg.
  • -Pour adultes seulement
  • -Si l’on soupçonne des métastases dans le cerveau, une dose de 0,3 mmol/kg pc (correspondant à 0,6 ml/kg pc) peut être administrée jusqu’à un poids corporel de 100 kg. En cas de poids corporel supérieur à 100 kg, 60 ml sont normalement suffisants. Chez les patients, pour lesquels il n’a pas été possible d’établir un diagnostic clair après l’administration de 0,1 mmol/kg pc, une seconde injection en bolus de 0,2 mmol/kg pc (correspondant à 0,4 ml/kg pc) peut compléter le diagnostic, si cette administration est réalisée dans les 20 minutes suivant la première injection.
  • +La posologie recommandée est de 0,1 mmol/kg PC jusqu’à un poids corporel de 100 kg (correspondant à 0,2 ml/kg PC). Pour un poids corporel supérieur à 100 kg, 20 ml sont généralement suffisants pour obtenir le contraste adapté au diagnostic.
  • +Uniquement pour les adultes
  • +En cas de suspicion de métastases cérébrales une dose de 0,3 mmol/kg PC (correspondant à 0,6 ml/kg PC) peut être administrée jusqu’à un poids corporel de 100 kg. Pour un poids corporel supérieur à 100 kg, 60 ml sont normalement suffisants. Chez les patients pour lesquels il n’a pas été possible d’établir un diagnostic clair après l’administration de 0,1 mmol/kg PC, une seconde injection en bolus de 0,2 mmol/kg PC (correspondant à 0,4 ml/kg PC) peut compléter le diagnostic, si cette administration est réalisée dans les 20 minutes suivant la première injection.
  • -La posologie recommandée est généralement de 0,1 mmol/kg pc (correspondant à 0,2 ml/kg pc) jusqu’à un poids corporel de 100 kg. Si le poids corporel est supérieur à 100 kg, 20 ml sont généralement suffisants pour obtenir un contraste approprié au diagnostic.
  • -Chez les patients, pour lesquels il n’a pas été possible d’établir un diagnostic clair après l’administration de 0,1 mmol/kg pc, une seconde injection en bolus de 0,2 mmol/kg pc (correspondant à 0,4 ml/kg pc) peut compléter le diagnostic, si cette administration est réalisée dans les 20 minutes suivant la première injection. En cas de poids corporel supérieur à 100 kg, une dose totale de 60 ml est en principe suffisante.
  • +La posologie recommandée est généralement de 0,1 mmol/kg PC (correspondant à 0,2 ml/kg PC) jusqu’à un poids corporel de 100 kg. Pour un poids corporel supérieur à 100 kg, 20 ml sont généralement suffisants pour obtenir le contraste souhaité pour le diagnostic.
  • +Chez les patients pour lesquels il n’a pas été possible d’établir un diagnostic clair après l’administration de 0,1 mmol/kg PC, une seconde injection en bolus de 0,2 mmol/kg PC(correspondant à 0,4 ml/kg PC) peut compléter le diagnostic, si cette administration est réalisée dans les 20 minutes suivant la première injection. Pour un poids corporel supérieur à 100 kg, une dose totale de 60 ml est généralement suffisante.
  • -La posologie recommandée est de 0,1 mmol/kg pc (correspondant à 0,2 ml/kg pc).
  • -Mode d’emploi pour l’IRM du système nerveux central et du corps entier
  • -Chez les enfants comme chez les adultes, la dose nécessaire doit être administrée par injection intraveineuse en bolus (durée : 30 à 60 sec.). Afin de garantir une injection complète du produit de contraste, la canule peut être rincée avec 5 ml de solution physiologique de chlorure de sodium.
  • -L’IRM avec contraste rehaussé devra commencer peu après l’administration du produit de contraste.
  • -Un rehaussement optimal du contraste est généralement observé dans les premières minutes et jusqu’à 45 minutes après l’administration du produit (selon le type du résultat/du tissu).
  • -Les séquences pondérées en T1 sont particulièrement indiquées pour les examens avec contraste rehaussé par Omniscan. L’évaluation des zones d’intensité du champ a montré que le contraste de l’image était relativement indépendant de l’intensité du champ appliqué dans l’intervalle de 0,15–1,5 Tesla.
  • +La posologie recommandée est de 0,1 mmol/kg PC (correspondant à 0,2 ml/kg PC).
  • +Mode d’emploi pour l’IRM du SNC et du corps entier
  • +Chez les enfants comme chez les adultes, la dose nécessaire doit être administrée par injection intraveineuse en bolus (durée: 30 à 60 sec.). Afin de garantir une injection complète du produit de contraste, la canule peut être rincée avec 5 ml de solution physiologique de chlorure de sodium.
  • +L’IRM avec rehaussement de contraste devra débuter peu après l’administration du produit de contraste.
  • +Un rehaussement optimal du contraste est généralement observé dans les premières minutes (selon le type de lésion/tissu) et jusqu’à 45 minutes après l’administration du produit.
  • +Les séquences pondérées en T1 conviennent particulièrement bien aux examens avec rehaussement de contraste par Omniscan. L’évaluation des zones d’intensité du champ a montré que le contraste de l’image était relativement indépendant de l’intensité du champ appliqué dans l’intervalle de 0,15 – 1,5 tesla.
  • -La posologie recommandée est de 0,1 mmol/kg pc (correspondant à 0,2 ml/kg pc). Pour le diagnostic de sténose abdominale et iliaque, une posologie de 0,3 mmol/kg pc (correspondant à 0,6 ml/kg pc) a permis d’obtenir de plus amples informations pour le diagnostic.
  • -Afin d’optimiser le contraste, nous recommandons de procéder à l’examen immédiatement après l’administration du produit de contraste ou pendant l’injection (selon la technique de résonance magnétique).
  • +La posologie recommandée est de 0,1 mmol/kg PC (correspondant à 0,2 ml/kg PC). Pour le diagnostic de sténose abdominale et iliaque, une posologie de 0,3 mmol/kg PC (correspondant à 0,6 ml/kg PC) a permis d’obtenir de plus amples informations diagnostiques.
  • +Afin d’optimiser le contraste, nous recommandons de procéder à l’examen immédiatement après l’administration du produit de contraste ou pendant l’injection (selon l’appareil d’IRM).
  • -Les mesures de sécurité usuelles à l’IRM sont à observer par ex. stimulateur cardiaque, implants ferromagnétiques.
  • -Le gadodiamide est contre-indiqué chez les patients ayant une insuffisance rénale sévère (TFG <30 ml/min/1,73 m2) y compris patients dialysés et patients souffrant insuffisance rénale aiguë. De même, il est contre-indiqué chez les patients porteurs d’un foie transplanté ou qui doivent se soumettre à une transplantation du foie, ainsi que chez les nouveau-nés âgés de 4 semaines ou moins (voir chapitre « Mises en garde et précautions »).
  • +Les règles de sécurité usuelles de l’IRM sont à observer, par ex. stimulateur cardiaque, implants ferromagnétiques.
  • +Le gadodiamide est contre-indiqué chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (TFG < 30 ml/min/1,73 m2), y compris les patients dialysés et/ou en cas de défaillance rénale aiguë. Il est également contre-indiqué chez les patients ayant subi une greffe du foie ou devant en subir une, ainsi que chez les nouveau-nés âgés de 4 semaines ou moins (voir rubrique «Mises en garde et précautions»). Omniscan est contre-indiqué chez les femmes enceintes (voir rubrique «Grossesse, Allaitement»).
  • -Respecter les règles de sécurité habituelles de l’IRM.
  • -La possibilité d’une réaction grave, y compris des réactions menaçant la vie, létales, anaphylactoïdes, cardio-vasculaires ou autres idiosyncrasies doivent toujours être considérées, en particulier chez les patients souffrant d’une hypersensibilité connue ou d’asthme ou ayant des antécédents d’autres affections allergiques des voies respiratoires. Un plan d’action doit être prévu à l’avance. Les médicaments et appareils nécessaires à un traitement immédiat doivent être à disposition et le médecin et le personnel familiarisés avec les mesures d’urgence à prendre, si de telles réactions apparaissent.
  • -Chez certains patients, des modifications transitoires du fer sérique ont été constatées entre 8 et 48 heures après une injection d’Omniscan, généralement dans les limites de la norme. L’importance clinique n’est pas connue. Tous les patients chez qui de telles modifications des valeurs de laboratoire ont été constatées, n’ont pas présenté de symptôme.
  • -Chez les patients atteints d’une insuffisance rénale sévère (TFG <30 ml/min/1,73 m2) et chez les patients avec transplantation hépatique passée ou planifiée, des cas de fibrose systémique néphrogénique (FSN) ont été rapportés en association avec l’utilisation de gadodiamide et d’autres produits de contraste à base de gadolinium. Omniscan ne doit pas être utilisé chez ces patients (voir chapitre « Contre-indications »).
  • +Rétention de gadolinium
  • +De faibles quantités de gadolinium peuvent s’accumuler dans le cerveau (surtout dans le noyau dentelé et le globus pallidus) ainsi que dans d’autres tissus pendant plusieurs mois, voire des années après l’administration d’un produit de contraste à base de gadolinium. Dans le squelette humain, de plus fortes concentrations ont été détectées que dans la peau ou le cerveau.
  • +Des données précliniques indiquent que le degré de rétention de gadolinium après l’administration répétée de produits de contraste de type linéaire est plus élevé qu’après l'administration répétée de produits de contraste de type macrocyclique.
  • +Une intensité du signal accrue a été observée sur des images cérébrales pondérées en T1, non rehaussées, après l’administration répétée de produits de contraste à base de gadolinium, y compris chez des patients présentant une fonction rénale normale. L’importance clinique de la rétention de gadolinium dans le cerveau n'est pas connue.
  • +De rares cas d’altérations pathologiques de la peau, incluant des plaques cutanées associées au gadolinium, ont été signalés chez des patients présentant une fonction rénale normale.
  • +Il existe des rapports de post-commercialisation faisant état d’événements indésirables dans plusieurs systèmes d’organes chez des patients avec une fonction rénale normale. Un lien de causalité avec une rétention de gadolinium n’a pas été établi. Parmi ces événements figurent la fatigue, l’asthénie, des syndromes douloureux et des concentrations de symptômes hétérogènes dans les systèmes neurologique, cutané et musculo-squelettique.
  • +Alors que les conséquences cliniques de la rétention de gadolinium n’ont pas été prouvées chez les personnes avec une fonction rénale normale, certains patients peuvent être exposés à un risque accru, notamment ceux qui requièrent l'administration de doses fréquentes au long de leur vie, les femmes enceintes et les patients pédiatriques.
  • +Afin de minimiser les risques potentiels liés à une rétention de gadolinium, il est recommandé d’utiliser la dose minimale efficace (voir rubrique «Posologie/Mode d’emploi»).
  • +Avant l'utilisation d’Omniscan et l’administration de doses répétées il convient de procéder à une analyse soigneuse des risques et des bénéfices et de s’assurer que le patient ou son représentant légal est informé des possibles accumulations de gadolinium, qu’il dispose d’un degré adéquat de compréhension des risques associés et donne son consentement à l’examen.
  • +Les règles de sécurité usuelles de l’IRM sont à respecter.
  • +La possibilité d’une réaction grave, y compris des réactions menaçant la vie, létales, anaphylactoïdes, cardiovasculaires ou autres idiosyncrasies doivent toujours être considérées, en particulier chez les patients souffrant d’une hypersensibilité connue ou d’asthme ou ayant des antécédents d’autres affections allergiques des voies respiratoires. Un plan d’action doit être élaboré au préalable. Les médicaments et appareils nécessaires à un traitement immédiat doivent être à disposition et le médecin et le personnel familiarisés avec les mesures d’urgence à prendre, si de telles réactions apparaissent.
  • +Chez certains patients, des modifications transitoires du fer sérique ont été constatées entre 8 et 48 heures suivant une injection d’Omniscan, généralement dans les limites de la norme. La pertinence clinique n’est pas connue. Les patients chez qui cette modification des paramètres biologiques a été constatée sont tous restés asymptomatiques.
  • +Groupes de patients particuliers:
  • +Patients présentant une insuffisance rénale
  • -Patients atteints d’une insuffisance rénale
  • -En raison d’une expérience limitée en cas d’utilisation répétée, les injections d’Omniscan ne doivent pas être renouvelées, sauf si un délai de 7 jours est observé entre deux injections.
  • +En raison de l’absence d’expérience en cas d’utilisation répétée, les injections d’Omniscan ne doivent pas être renouvelées, sauf si un délai de 7 jours ou plus est observé entre deux injections.
  • +En association avec l’utilisation d’Omniscan et de certains autres produits de contraste à base de gadolinium, des cas de fibrose systémique néphrogénique (FSN) ont été rapportés chez des patients atteints d’une insuffisance rénale sévère, aiguë ou chronique (TFG < 30 ml/min/1,73 m2) et/ou d’une défaillance rénale aiguë. Omniscan est contre-indiqué chez ces patients. Les patients ayant subi ou devant subir une greffe du foie sont particulièrement exposés, car le risque de défaillance rénale aiguë est élevé dans ce groupe. Par conséquent Omniscan ne doit pas être utilisé chez ces patients pendant la phase périopératoire d’une greffe du foie et chez les nouveau-nés (voir rubrique «Contre-indications»).
  • +Le risque de développer une FSN chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée (TFG 30–59 ml/min/1,73 m2) n’est pas connu.
  • -Chez les patients atteints d’épilepsie ou de lésions cérébrales, la survenue de crises convulsives peut être plus fréquente au cours de l’examen. Des précautions doivent être prises lors de l’examen de tels patients (p. ex. surveillance du patient) et le matériel et les médicaments nécessaires au traitement immédiat d’éventuelles crises convulsives doivent être tenus à disposition.
  • +Des crises convulsives peuvent survenir plus fréquemment au cours de l'examen chez les patients atteints d’épilepsie ou de lésions cérébrales. Des précautions doivent être prises lors de l’examen de ces patients (p. ex. surveillance du patient), et le matériel et les médicaments nécessaires au traitement immédiat d’éventuelles crises convulsives doivent être tenus à disposition.
  • -Omniscan est contre-indiqué chez les nouveau-nés âgés de 4 semaines ou moins (voir également chapitre « Contre-indications »). Chez les nouveau-nés et les nourrissons âgés de moins d’un an, en raison de l’immaturité de leur fonction rénale, Omniscan ne doit être utilisé qu’en cas d’indication vitale.
  • +Omniscan est contre-indiqué chez les nouveau-nés âgés de 4 semaines ou moins (voir aussi rubrique «Contre-indications»). En raison de l’immaturité de la fonction rénale chez les nouveau-nés et les nourrissons âgés de moins d’un an, Omniscan ne doit être utilisé chez ces patients qu’après une évaluation approfondie en cas d’indication vitale.
  • +Patients pédiatriques
  • +La quantité de gadolinium accumulé dans le cerveau des enfants et sa distribution sont similaires aux valeurs observées chez les adultes. Le cerveau des enfants, en développement, pourrait être plus vulnérable aux effets potentiels de l’exposition au gadolinium.
  • -Aucune connue jusqu’à présent.
  • -Concernant l’influence des tests de laboratoire in-vitro (électrolytes), voir rubrique « Remarques particulières ».
  • +Aucune interaction n’est connue à ce jour.
  • +Concernant l’influence des tests de laboratoire in-vitro (électrolytes), voir rubrique «Remarques particulières».
  • -On ne dispose d’aucune expérience sur l’utilisation d’Omniscan chez les femmes enceintes. Les études sur le rat et le lapin à un dosage non toxique pour les mères n’ont mis aucun effet tératogène en évidence. Chez le lapin, on a constaté des effets embryotoxiques aux doses de 0,5 et 1,0 mmol/kg/jour, qui étaient également toxiques pour la mère.
  • -Le produit ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, sauf lorsqu’un examen IRM avec contraste rehaussé s’avère absolument nécessaire.
  • +Grossesse
  • +On ne dispose d’aucune expérience sur l’utilisation d’Omniscan chez les femmes enceintes. Les études sur le rat et le lapin à un dosage non toxique pour la mère n’ont révélé aucun effet tératogène. Chez le lapin, on a constaté des effets embryotoxiques avec des doses de 0,5 et 1,0 mmol/kg/jour, qui étaient également toxiques pour la mère.
  • +Les produits de contraste à base de gadolinium franchissent la barrière placentaire et conduisent à une exposition du fÅ“tus ainsi qu’à une rétention de gadolinium. Chez l’être humain, les données cliniques disponibles sur le lien entre les produits de contraste à base de gadolinium et des conséquences nuisibles pour le fÅ“tus sont insuffisantes et non significatives. Omniscan est contre-indiqué chez les femmes enceintes (voir rubrique «Contre-indications»).
  • -On ignore dans quelle mesure Omniscan passe dans le lait maternel. Les données disponibles établies à partir d’études sur l’animal ont révélé que le produit passe dans le lait maternel. Un risque pour le nourrisson ne peut pas être exclu. Il est recommandé d’interrompre l’allaitement pendant 24 h et de jeter le lait.
  • +On ignore dans quelle mesure Omniscan passe dans le lait maternel. Les données disponibles issues de l'expérimentation animale ont révélé que le produit passe dans le lait maternel. Un risque pour le nourrisson ne peut pas être exclu. Il est recommandé d’interrompre l’allaitement pendant 24 h et de jeter le lait.
  • +Fertilité
  • +Il n’existe pas de données cliniques au sujet de l’influence sur la fertilité.
  • +
  • -Les études cliniques menées avec Omniscan ont mis en évidence des effets indésirables avec les fréquences suivantes (très fréquent ≥1/10 ; fréquent ≥1/100, <1/10; occasionnel ≥1/1’000, <1/100; rare ≥1/10’000, <1/1’000; très rare <1/10’000):
  • +Les études cliniques menées avec Omniscan ont mis en évidence des effets indésirables avec les fréquences suivantes (très fréquents ≥1/10 ; fréquents ≥1/100, <1/10; occasionnels ≥1/1000, <1/100; rares ≥1/10 000, <1/1000; très rares <1/10 000), et cas isolés (fréquence indéterminée sur la base des données disponibles):
  • -Occasionnel : réactions allergiques ou pseudoallergiques de la peau et des muqueuses (par ex. urticaire, prurit [démangeaisons], irritations dans la gorge).
  • +Occasionnels: réaction d’hypersensibilité , y compris réactions allergiques ou pseudoallergiques de la peau et des muqueuses (par ex. urticaire, prurit [démangeaisons], irritations dans la gorge).
  • -Fréquent : maux de tête, vertiges.
  • -Occasionnel : somnolence, sensations olfactives et gustatives.
  • -Rare : crises convulsives.
  • +Fréquents: céphalées, vertiges.
  • +Occasionnels: somnolence, sensations gustatives et olfactives.
  • +Rares: crises convulsives.
  • -Fréquent : nausées.
  • -Occasionnel : vomissements.
  • +Fréquents: nausées.
  • +Occasionnels: vomissements.
  • -Fréquent : sensation locale de chaleur, de froid ou de pression.
  • -Occasionnel : douleurs au point d’injection.
  • -Les effets indésirables suivants ont été rapportés après commercialisation :
  • +Fréquents: sensation locale de chaleur, de froid ou de pression.
  • +Occasionnels: douleurs au niveau du site d’injection.
  • +Les effets indésirables suivants ont été rapportés après la commercialisation:
  • -Réaction anaphylactoïde, choc anaphylactique.
  • +Réaction d’hypersensibilité, y compris réaction anaphylactoïde, choc anaphylactique.
  • -Perception modifiée des saveurs, céphalées, vertiges, convulsions (crises convulsives), paresthésies (troubles sensoriels), tremblements, somnolence, trouble temporaire de l’odorat.
  • +Altération des sensations gustatives, céphalées, vertiges, convulsions (crises convulsives), paresthésies (troubles sensoriels), tremblements, somnolence, troubles temporaires de l’odorat.
  • -Troubles de la vue.
  • +Troubles visuels.
  • -Chez les patients avec insuffisance rénale sévère préexistante : défaillance rénale aiguë, augmentation de la créatinine sanguine.
  • +Chez les patients souffrant d’une insuffisance rénale sévère préexistante: défaillance rénale aiguë, augmentation de la créatinine sanguine.
  • -Fréquence indéterminée : plaque cutanée*
  • -Affections musculo-squelettiques et systémiques
  • +Fréquence indéterminée sur la base des données disponibles: plaques cutanées*
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • -Sensation de chaleur, douleurs au point d’injection, douleurs thoraciques, fièvre, tremblements.
  • +Sensation de chaleur, douleurs au site d’injection, douleurs thoraciques, fièvre, tremblements.
  • -*Des cas de plaques cutanées associées au gadolinium avec corps sclérotiques mis en évidence en histologie ont été rapportés avec le gadodiamide chez des patients ne présentant pas par ailleurs de signes ou symptômes de fibrose néphrogénique systémique.
  • +*Des cas de plaques cutanées associées au gadolinium, comportant des corpuscules sclérotiques mis en évidence par examen histologique, ont été rapportés après l'administration de gadodiamide chez des patients ne présentant par ailleurs aucun signe ou symptôme de fibrose systémique néphrogénique.
  • -Aucune conséquence clinique d’un surdosage n’a été rapportée et, chez les patients ayant une fonction rénale normale, des symptômes aigus de toxicité sont improbables. Le traitement est symptomatique. Il n’existe pas d’antidote à ce produit de contraste. Chez les patients ayant une élimination ralentie en raison d’une insuffisance rénale et chez les patients qui ont reçu des doses trop élevées, le produit de contraste peut être éliminé par hémodialyse.
  • +Aucune conséquence clinique d’un surdosage n’a été rapportée et, chez les patients ayant une fonction rénale normale, la survenue de symptômes aigus de toxicité est improbable. Le traitement est symptomatique. Il n’existe pas d’antidote à ce produit de contraste. Chez les patients ayant une élimination ralentie en raison d’une insuffisance rénale et chez les patients qui ont reçu des doses trop élevées, le produit de contraste peut être éliminé par hémodialyse.
  • -Code ATC : V08CA03
  • -Mécanisme d’action/Pharmacodynamie
  • -Omniscan est un produit de contraste paramagnétique non ionique pour la tomographie par résonance magnétique nucléaire (produit de contraste IRM). L’effet de rehaussement du contraste est obtenu grâce au complexe de gadolinium. Le temps de relaxation spin-réseau des noyaux d’atomes excités est raccourci par l’ion gadolinium et entraîne – lorsque la séquence des images est appropriée – une augmentation de l’intensité du signal et donc, le cas échéant, un rehaussement de contraste de l’image dans la tomographie par résonance magnétique nucléaire de protons. Ainsi facilite-t-il la détection de structures anormales ou lésions dans les différentes parties du corps, système nerveux central inclus.
  • -Après injection intraveineuse chez les sujets sains, aucune modification cliniquement significative n’a été observée ni de l’hémodynamie, ni des valeurs de laboratoire obtenues dans les analyses du sang et de l’urine. Seule une modification minime transitoire du fer sérique a été observée entre 8 et 48 heures après l’injection de gadodiamide.
  • -L’administration d’Omniscan rehausse les signaux dans les régions avec dysfonctionnement de la barrière hémato-encéphalique dû à des processus pathologiques. Un manque de rehaussement du contraste ne signifie cependant pas forcément l’absence de processus pathologiques, car certains processus faiblement malins ou plaques de sclérose inactives ne déclenchent pas de rehaussement du signal. Le produit peut être utilisé pour établir un diagnostic différencié lors d’affections diverses.
  • +Code ATC: V08CA03
  • +Mécanisme d’action/Pharmacodynamique
  • +Omniscan est un produit de contraste paramagnétique non ionique pour la tomographie par résonance magnétique nucléaire (produit de contraste d’IRM). L’effet de rehaussement du contraste est obtenu grâce au complexe de gadolinium. Le temps de relaxation spin-réseau des noyaux d’atomes excités est raccourci par l’ion gadolinium et entraîne – lorsque la séquence des images est appropriée – une augmentation de l’intensité du signal et donc, le cas échéant, un rehaussement du contraste de l’image dans la tomographie par résonance magnétique nucléaire de protons. La détection de structures anormales ou de lésions dans les différentes parties du corps, système nerveux central inclus, s’en trouve ainsi facilitée.
  • +Après l’injection intraveineuse chez des sujets sains, aucune déviation cliniquement significative de l’hémodynamique ou des paramètres sanguins et urinaires n’a été observée. Seule une modification minime et transitoire du fer sérique a été constatée entre 8 et 48 heures suivant l’injection de gadodiamide.
  • +L’administration d’Omniscan rehausse les signaux dans les régions présentant un dysfonctionnement de la barrière hémato-encéphalique consécutif à des processus pathologiques. Un déficit de rehaussement du contraste n’exclut pas la présence de mécanismes pathologiques, car certains processus faiblement malins ou des plaques de SEP (sclérose en plaques) inactives ne provoquent pas de rehaussement du signal. Le produit peut être utilisé pour établir un diagnostic différentiel lors d’affections diverses.
  • -Absorption, distribution, métabolisme et élimination
  • -Le gadodiamide se distribue rapidement dans le liquide extracellulaire. Le volume de distribution correspond à celui du liquide extracellulaire. La demi-vie de la distribution (t½α) est de 4 min environ, la demi-vie d’élimination (t½β) de 70 min environ. L’élimination du gadodiamide sous forme inchangée se fait par voie rénale par filtration glomérulaire. 4 heures après l’injection, 85 % de la dose injectée sont retrouvés dans les urines, pour atteindre 95–98% après 24 heures. Les taux de clairance rénale et totale du gadodiamide sont presque identiques.
  • -Ils sont comparables aux taux d’autres substances essentiellement éliminées par filtration glomérulaire.
  • -Après injection intraveineuse de 0,1 et 0,3 mmol/kg, aucune cinétique dose-dépendante n’est apparue.
  • -Une liaison aux protéines plasmatiques n’a pas pu être mise en évidence.
  • -Absence de métabolites.
  • +Distribution
  • +Le gadodiamide se distribue rapidement dans le liquide extracellulaire. Le volume de distribution correspond à celui du liquide extracellulaire. La demi-vie de distribution (t½α) est de 4 minutes environ, la demi-vie d’élimination (t½β) de 70 minutes environ.
  • +Élimination
  • +Le gadodiamide est éliminé sous forme inchangée par voie rénale, par filtration glomérulaire.
  • +4 heures après l’injection, 85% de la dose injectée sont retrouvés dans les urines, après 24 heures cette proportion est de 95 à 98%. Les taux de clairance rénale et de clairance totale du gadodiamide sont presque identiques. Ils sont comparables aux taux d’autres substances essentiellement éliminées par filtration glomérulaire.
  • +Après l’injection intraveineuse de 0,1 et de 0,3 mmol/kg, aucune cinétique dose-dépendante n’est apparue. Aucune liaison aux protéines plasmatiques n’a été décelée. Absence de métabolites.
  • +Chez les patients présentant une insuffisance rénale (TFG < 30 ml/min/1,73 m2), la demi-vie d’élimination est prolongée proportionnellement au TFG.
  • +Après l’administration de produits de contraste à base de gadolinium, de faibles accumulations de gadolinium peuvent se produire dans le cerveau, les os, la peau et dans d’autres organes (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Chez certains patients avec une insuffisance rénale sévère (TFG <10 ml/min), d’autres réductions minimes du taux de filtration glomérulaire (TFG) ont été observées sans signe de toxicité rénale. Parce que les nouveau-nés et les jeunes enfants ont un taux de filtration glomérulaire réduit par rapport aux adultes, la vitesse d’élimination d’Omniscan dépend de l’âge. L’expérience acquise chez les enfants permet d’estimer un allongement de la demi-vie d’élimination chez les nouveau-nés d’un facteur 2 à 3,3.
  • +Chez certains patients atteints d’une insuffisance rénale sévère (TFG < 10 ml/min), une faible accentuation des réductions du TFG a été observée, sans signes de toxicité rénale. Étant donné que le taux de filtration glomérulaire est abaissé chez les nouveau-nés et les jeunes enfants par rapport aux adultes, la vitesse d’élimination d’Omniscan dépend de l’âge. L’expérience acquise chez les enfants permet de supposer un allongement de la demi-vie d’élimination chez les nouveau-nés d’un facteur 2 à 3,3.
  • -Des études de sécurité pharmacologiques sur le chien et le rat ont montré qu’Omniscan 0,5 mmol/ml n’avait pas d’effet significatif sur le système cardiovasculaire. Un test cutané sur le cochon d’Inde n’a pas mis d’effet sensibilisant en évidence. Des études toxicologiques ont montré qu’Omniscan 0,5 mmol/ml avait une tolérance aiguë élevée ; le LD50 approximatif était supérieur à 30 mmol/kg chez la souris. L’état le plus fréquent après une dose unique élevée ou des doses multiples était une vacuolisation tubulaire proximale qui était réversible et qui n’était pas liée à des troubles de la fonction rénale. Après une dose multiple de 5,0 mmol/kg, la majorité des rats mâles a présenté des poids testiculaires diminués avec une dégénération des cellules géantes testiculaires et un nombre diminué de spermatozoïdes matures. Omniscan 0,5 mmol/ml n’a pas eu d’effet sur la fertilité des femelles ni sur la reproduction chez le rat. Les études de toxicité embryonnaire sur le rat et le lapin avec des doses ne provoquant pas de symptôme toxique chez la mère n’ont pas montré d’effet tératogène non plus. Chez le lapin, mais pas chez le rat, les doses de 0,5 et de 1,0 mmol/kg/jour ainsi qu’une administration répétée ont mis en évidence des indices parlant pour des effets toxiques chez la mère et l’embryon. Le gadodiamide n’a pas montré d’effet mutagène dans plusieurs systèmes de tests in vitro et in vivo.
  • +Des études pharmacologiques de sécurité menées chez le chien et le rat ont montré qu’Omniscan 0,5 mmol/ml n’a pas d’effet significatif sur le système cardiovasculaire. Un test cutané sur le cochon d’Inde n’a pas révélé d’effet sensibilisant. Des études toxicologiques ont montré une tolérance aiguë élevée pour Omniscan 0,5 mmol/ml; la DL50 approximative était supérieure à 30 mmol/kg chez la souris. L’observation la plus fréquente après une dose unique élevée ou des doses multiples était une vacuolisation tubulaire proximale réversible, qui ne s’accompagnait pas de troubles de la fonction rénale. Après l'administration répétée de 5,0 mmol/kg, la majorité des rats mâles a présenté une baisse du poids des testicules, avec une dégénérescence des cellules géantes testiculaires et une réduction du nombre de spermatozoïdes matures. Omniscan 0,5 mmol/ml n’a pas eu d’effet sur la fertilité des femelles ni sur la reproduction chez le rat. Les études d’embryotoxicité menées sur le rat et le lapin à des dosages ne provoquant pas de symptôme toxique chez la mère n’ont pas montré d’effet tératogène non plus. Chez le lapin, mais pas chez le rat, des signes d’effets toxiques pour la mère et l’embryon ont été révélés en cas d’administration répétée de doses de 0,5 et de 1 mmol/kg/jour. Le gadodiamide n’a pas montré d’effet mutagène dans plusieurs systèmes de tests in vitro et in vivo.
  • +Chez le rat, l’administration répétée de 20 doses de gadodiamide à la posologie utilisée en clinique n’a entraîné aucun signe d’inflammation ou de neurotoxicité, ni aucune altération ultrastructurelle dans les noyaux cérébelleux profonds (deep cerebellar nuclei, DCN) pendant une période allant jusqu’à un an. Des études de toxicité de doses répétées, ayant évalué le gadodiamide chez le rat et le primate non humain, n’ont révélé aucune neurotoxicité après l’administration de doses allant jusqu’à 0,25 mmol/kg/jour (chez le rat) et 1,25 mmol/kg/jour (chez le singe) pendant 28 jours.
  • +La présence de gadolinium (Gd) dans le cerveau de la progéniture adulte de souris traitées par un agent de contraste à base de gadolinium (ACBG) pendant la gestation, ainsi que des anomalies dans une série de tests comportementaux ont été signalées. Un lien avec la présence de Gd ne peut pas être exclu.
  • +Au cours d’une étude menée sur des rats adultes et jeunes, l’administration répétée de gadodiamide (correspondant à une dose 20 fois supérieure à la dose utilisée en clinique) n’a provoqué aucune anomalie histopathologique au niveau du cervelet, n’a pas influencé les paramètres de développement des jeunes et n’a pas révélé de différences significatives dans les tests comportementaux. Dans deux des tests comportementaux, des signes d’un possible effet anxiogène ont été observés. Chez les jeunes animaux traités par le gadodiamide, des lésions cutanées transitoires sont apparues; ces altérations n’ont pas touché les animaux adultes ou ceux traités par le gadotérate. Des résultats quantitatifs obtenus par spectrométrie de masse montrent que les concentrations totales de gadolinium dans le cerveau, les os et la peau des rats après l'administration répétée de gadodiamide sont significativement plus élevées qu’après l’administration de gadotérate.
  • -Omniscan ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments. Utiliser une seringue d’injection et une aiguille séparées.
  • +Ce médicament ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments. Utiliser une seringue d’injection et une aiguille séparées.
  • -Omniscan interfère avec les méthodes colorimétriques (complexométriques) fréquemment utilisées pour la détermination du calcium sérique, ainsi que d’autres électrolytes et le fer. Il est donc recommandé de ne pas employer de telles méthodes de laboratoire dans les 12–24 heures suivant l’administration d’Omniscan. Dans le cas où des examens de laboratoire sont nécessaires, il est préférable d’avoir recours à d’autres méthodes, dans la mesure du possible.
  • +Omniscan interfère avec les méthodes colorimétriques (complexométriques) fréquemment utilisées pour la détermination du calcium sérique, ainsi que d’autres électrolytes et du fer. Il est donc recommandé de ne pas employer de telles méthodes de laboratoire dans un délai de 12 à 24 heures suivant l’administration d’Omniscan. Dans le cas où des examens de laboratoire sont nécessaires, il est préférable d’avoir recours à d’autres méthodes, dans la mesure du possible.
  • -Omniscan ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention « Exp » sur le récipient.
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Conserver Omniscan à l’abri de la lumière et à température ambiante (15–25 °C). Ne plus utiliser après la date de péremption.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver à température ambiante (15 - 25°C), à l’abri de la lumière. Ne plus utiliser après la date de péremption.
  • -Conserver hors de portée des enfants!
  • -Les flacons en verre et les seringues prêtes à l’emploi jusqu’à un volume de 20 ml sont destinés à un seul patient. Les solutions non utilisées doivent être jetées.
  • -Flacons en PP avec bouchon à pas de vis
  • -N’aspirer Omniscan dans la seringue que juste avant l’utilisation. Avant d’employer le produit, examiner le flacon et son bouchon pour s’assurer qu’ils ne sont pas endommagés.
  • -Seringues prêtes à l’emploi
  • -Tenir la seringue préremplie en position verticale (pointe vers le haut), retirer le capuchon protecteur en tournant, puis visser l’aiguille sur la seringue. Toujours en position verticale, chasser l’air de la seringue en poussant le piston jusqu’à l’apparition des premières gouttes à la pointe de l’aiguille.
  • +Conserver hors de portée des enfants.
  • +Les flacons en verre et les seringues préremplies jusqu’à un volume de 20 ml sont destinés à un seul patient. Les restes de solution non utilisés doivent être jetés.
  • +L’étiquette détachable de traçabilité sur les flacons en verre/ flacons en plastique/ seringues préremplies, est à coller dans le dossier du patient, afin de permettre une documentation exacte du produit de contraste à base de gadolinium utilisé. La dose administrée doit également être consignée. En cas de gestion électronique des dossiers, inscrire le nom du produit, la description du lot et la dose administrée dans le dossier du patient.
  • +Flacons en polypropylène avec bouchon à visser
  • +Aspirer Omniscan dans la seringue juste avant l’utilisation. Avant l’emploi, examiner le flacon et son bouchon pour s’assurer qu’ils ne sont pas endommagés.
  • +Seringues préremplies
  • +Tenir la seringue préremplie en position verticale, retirer le capuchon protecteur en tournant, puis visser l’aiguille sur la seringue. Toujours en position verticale, chasser l’air de la seringue en poussant le piston jusqu’à l’apparition des premières gouttes à la pointe de l’aiguille.
  • -Les flacons en polypropylène de 100 ml peuvent être utilisés plusieurs fois pendant une journée, à condition de travailler avec un injecteur automatique autorisé pour ce volume. Le bouchon de caoutchouc ne doit être percé qu’une seule fois. Tous les matériaux ayant été en contact avec le patient, ainsi que les systèmes de perfusion et tuyaux doivent être éliminés après chaque examen afin d’éviter une contamination entre patients. Bien respecter les recommandations du fabricant. Les quantités de solution non utilisée ainsi que les éléments à usage unique du système d’injection doivent être jetés à la fin de la journée.
  • +Les flacons en polypropylène de 100 ml peuvent être utilisés plusieurs fois pendant une journée, à condition de travailler avec un injecteur automatique autorisé pour ce volume. Le bouchon de caoutchouc ne doit être percé qu’une seule fois. Tous les matériaux ayant été en contact avec le patient, ainsi que les sets de perfusion et les tubulures doivent être éliminés après chaque examen afin d’éviter toute contamination entre les patients. Les recommandations du fabricant sont à respecter. Les restes de solution non utilisés, ainsi que les éléments à usage unique du dispositif d’injection doivent être jetés à la fin de la journée.
  • -52537 (Swissmedic).
  • +52537 (Swissmedic)
  • -1 x 10 ml, (B) 10 x 10 ml. (B)
  • -1 x 15 ml, (B) 10 x 15 ml. (B)
  • -1 x 20 ml, (B) 10 x 20 ml. (B)
  • -Flacons en PP avec bouchon à pas de vis
  • -1 x 50 ml, (B) 10 x 50 ml. (B)
  • -1 x 100 ml, (B) 10 x 100 ml. (B)
  • -Seringues prêtes à l’emploi
  • -1 x 10 ml, (B) 10 x 10 ml. (B)
  • -1 x 15 ml, (B) 10 x 15 ml. (B)
  • -1 x 20 ml, (B) 10 x 20 ml. (B)
  • +10 x 10 ml (B)
  • +1 x 10 ml (B)*, 1 x 15 ml (B)*, 10 x 15 ml (B)*, 1 x 20 ml (B)*, 10 x 20 ml (B)* (actuellement indisponible dans le commerce)
  • +Flacons en polypropylène avec bouchon à visser* (actuellement indisponible dans le commerce)
  • +1 x 50 ml (B), 10 x 50 ml (B)
  • +1 x 100 ml (B), 10 x 100 ml (B)
  • +Seringues préremplies* (actuellement indisponible dans le commerce)
  • +1 x 10 ml (B), 10 x 10 ml (B)
  • +1 x 15 ml (B), 10 x 15 ml (B)
  • +1 x 20 ml (B), 10 x 20 ml (B)
  • -GE Healthcare AG, Opfikon.
  • +GE Healthcare AG, Opfikon
  • -Septembre 2016.
  • +Octobre 2019
2025 Â©ywesee GmbH
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