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Accueil - Information professionnelle sur Sandimmun Neoral 25 mg - Changements - 11.01.2023
124 Changements de l'information professionelle Sandimmun Neoral 25 mg
  • -Principe actif: Ciclosporinum.
  • -Excipients:
  • +Principes actifs
  • +Ciclosporinum.
  • +Excipients
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Capsules à 10 mg, 25 mg, 50 mg et 100 mg.
  • -Solution buvable à 100 mg/ml.
  • -Sandimmun se présente également sous forme de concentré pour perfusion i.v.; cf. information détaillée destinée aux professionnels pour ce produit.
  • -Pour la plupart des états cliniques, l'administration de Sandimmun Neoral (voie perorale) est recommandée. Pour les exceptions, voir l'information détaillée destinée aux professionnels relative à Sandimmun concentré pour perfusion i. v. Les indications posologiques suivantes se rapportent à l'administration per os.
  • +Pour la plupart des états cliniques, l'administration de Sandimmun Neoral (voie perorale) est recommandée. Pour les exceptions, voir l'information détaillée destinée aux professionnels relative à Sandimmun concentré pour perfusion i.v. Les indications posologiques suivantes se rapportent à l'administration per os.
  • -1. Transplantation d'organe
  • -La dose initiale est de 10-15 mg/kg, administrée dans les 12 h avant la transplantation et divisée en deux doses séparées. Cette dose est maintenue pendant 1 à 2 semaines après l'opération. Ensuite, la dose peut être diminuée progressivement en fonction des taux sanguins jusqu'à une dose d'entretien de 2-6 mg/kg/d, administrée en deux doses séparées.
  • -Il a été établi que chez les patients transplantés rénaux, des doses inférieures à 3-4 mg/kg/d conduisaient à des taux sanguins minimaux de moins de 50-100 ng/ml, avec comme corollaire une élévation du risque d'épisodes de rejet.
  • -Lorsque Sandimmun Neoral est administré en association avec d'autres immunosuppresseurs (avec des corticostéroïdes ou dans une association de trois ou quatre médicaments p.ex.), des doses plus faibles (p.ex. 3-6 mg/kg/d per os en traitement d'attaque) peuvent être administrées.
  • +1) Transplantation d'organe
  • +La dose initiale est de 1015 mg/kg, administrée dans les 12 h avant la transplantation et divisée en deux doses séparées. Cette dose est maintenue pendant 1 à 2 semaines après l'opération. Ensuite, la dose peut être diminuée progressivement en fonction des taux sanguins jusqu'à une dose d'entretien de 26 mg/kg/j, administrée en deux doses séparées.
  • +Il a été établi que chez les patients transplantés rénaux, des doses inférieures à 34 mg/kg/j conduisaient à des taux sanguins minimaux de moins de 50100 ng/ml, avec comme corollaire une élévation du risque d'épisodes de rejet.
  • +Lorsque Sandimmun Neoral est administré en association avec d'autres immunosuppresseurs (avec des corticostéroïdes ou dans une association de trois ou quatre médicaments p. ex.), des doses plus faibles (p.ex. 36 mg/kg/j per os en traitement d'attaque) peuvent être administrées.
  • -[Concentration sanguine de ciclosporine mesurée 2 h après son administration (C2)]: semaines 0-4: 1000-1400 ng/ml; semaines 5-8: 700-900 ng/ml; semaines 9-12: 550-650 ng/ml; semaines 13-52: 350-450 ng/ml.
  • +[Concentration sanguine de ciclosporine mesurée 2 h après son administration (C2)]: semaines 04: 10001400 ng/ml; semaines 58: 700900 ng/ml; semaines 912: 550650 ng/ml; semaines 1352: 350450 ng/ml.
  • -2. Transplantation de moelle osseuse
  • -La dose initiale doit être administrée un jour avant la transplantation. En administration orale, la dose initiale recommandée est de 12.5-15 mg/kg/d. La dose d'entretien d'env. 12.5 mg/kg/d, sous forme de deux doses séparées, sera administrée pendant au moins 3–6 mois (de préférence 6 mois). Ensuite, la posologie pourra être réduite progressivement jusqu'à zéro sur une période d'un an à partir de la transplantation.
  • +2) Transplantation de moelle osseuse
  • +La dose initiale doit être administrée un jour avant la transplantation. En administration orale, la dose initiale recommandée est de 12,5–15 mg/kg/j. La dose d'entretien d'env. 12,5 mg/kg/j, sous forme de deux doses séparées, sera administrée pendant au moins 3–6 mois (de préférence 6 mois). Ensuite, la posologie pourra être réduite progressivement jusqu'à zéro sur une période d'un an à partir de la transplantation.
  • -Chez certains patients, une GvHD se développe après l'arrêt du traitement par ciclosporine. On obtient généralement une réponse favorable en réinstaurant le traitement. Dans de tels cas, il convient d'administrer une dose initiale de 10 à 12.5 mg/kg, suivie de la dose d'entretien orale quotidienne qui était suffisante avant l'arrêt. Des doses faibles de ciclosporine seront administrées pour traiter une GvHD légère et chronique.
  • +Chez certains patients, une GvHD se développe après l'arrêt du traitement par ciclosporine. On obtient généralement une réponse favorable en réinstaurant le traitement. Dans de tels cas, il convient d'administrer une dose initiale de 10 à 12,5 mg/kg, suivie de la dose d'entretien orale quotidienne qui était suffisante avant l'arrêt. Des doses faibles de ciclosporine seront administrées pour traiter une GvHD légère et chronique.
  • -Remarque préliminaire: Surveillance de la fonction rénale et de la pression artérielle
  • -Sandimmun Neoral peut influencer la fonction rénale. Par conséquent, la créatinine sérique doit être déterminée de façon fiable au moyen de deux mesures au minimum avant de commencer le traitement; les 2 valeurs doivent être représentatives d'une fonction rénale normale. À cet effet, les valeurs de créatinine sérique mesurées peuvent être transformées en valeurs de clairance de la créatinine à l'aide d'une formule adéquate (p.ex. selon DETTLI). Durant le premier mois de traitement, les taux sériques de créatinine doivent être contrôlés toutes les semaines. Ensuite, ces valeurs doivent être contrôlées tous les mois; des contrôles plus fréquents sont nécessaires lors d'augmentation des doses de Sandimmun Neoral. Lorsque les valeurs de créatinine augmentent de 20-30% au-dessus de la valeur d'origine, s'assurer que l'augmentation est temporaire et d'origine extra-rénale en répétant les mesures.
  • +Remarque préliminaire: surveillance de la fonction rénale et de la pression artérielle
  • +Sandimmun Neoral peut influencer la fonction rénale. Par conséquent, la créatinine sérique doit être déterminée de façon fiable au moyen de deux mesures au minimum avant de commencer le traitement; les 2 valeurs doivent être représentatives d'une fonction rénale normale. À cet effet, les valeurs de créatinine sérique mesurées peuvent permettre de calculer les valeurs de clairance de la créatinine à l'aide d'une formule adéquate (p.ex. selon DETTLI). Durant le premier mois de traitement, les taux sériques de créatinine doivent être contrôlés toutes les semaines. Ensuite, ces valeurs doivent être contrôlées tous les mois; des contrôles plus fréquents sont nécessaires lors d'augmentation des doses de Sandimmun Neoral. Lorsque les valeurs de créatinine augmentent de 2030% au-dessus de la valeur d'origine, s'assurer que l'augmentation est temporaire et d'origine extra-rénale en répétant les mesures.
  • -La dose orale initiale recommandée est de 5 mg/kg/d, fractionnée en deux doses séparées, jusqu'à une rémission de l'uvéite manifeste et jusqu'à ce que l'acuité visuelle se soit améliorée. Dans les cas résistants, la dose peut être augmentée temporairement jusqu'à 7 mg/kg/d.
  • -Afin d'atteindre une rémission particulièrement rapide ainsi que de combattre une poussée inflammatoire et/ou lorsque l'état ne s'est pas suffisamment amélioré par Sandimmun Neoral seul, une corticothérapie systémique supplémentaire avec de la prednisone (0.2-0.6 mg/kg/d) ou un produit équivalent peut être administrée.
  • -Lorsqu' aucune amélioration visible n'intervient après 3 mois de traitement, celui-ci doit être interrompu.
  • -Pour le traitement d'entretien, diminuer lentement la dose jusqu'à atteindre la dose minimale efficace qui, en phase de rémission, ne devrait pas dépasser 5 mg/kg/d.
  • -La dose journalière doit être diminuée de 25-50% lorsque pour plus d'une mesure, les taux sériques de créatinine dépassent de 30% la valeur mesurée avant le début du traitement, même si cette valeur se trouve encore dans les limites de la normale (cf. «Surveillance de la fonction rénale»). Si la réduction de la dose ne produit aucun effet dans l'intervalle d'un mois, le traitement avec Sandimmun Neoral doit être interrompu.
  • +La dose orale initiale recommandée est de 5 mg/kg/j, fractionnée en deux doses séparées, jusqu'à une rémission de l'uvéite manifeste et jusqu'à ce que l'acuité visuelle se soit améliorée. Dans les cas résistants, la dose peut être augmentée temporairement jusqu'à 7 mg/kg/j.
  • +Afin d'atteindre une rémission particulièrement rapide ainsi que de combattre une poussée inflammatoire et/ou lorsque l'état ne s'est pas suffisamment amélioré par Sandimmun Neoral seul, une corticothérapie systémique supplémentaire avec de la prednisone (0,2 –0,6 mg/kg/j) ou un produit équivalent peut être administrée.
  • +Lorsqu' aucune amélioration visible n'intervient après 3 mois de traitement, Sandimmun Neoral doit être interrompu.
  • +Pour le traitement d'entretien, diminuer lentement la dose jusqu'à atteindre la dose minimale efficace qui, en phase de rémission, ne devrait pas dépasser 5 mg/kg/j.
  • +La dose journalière doit être diminuée de 2550% lorsque pour plus d'une mesure, les taux sériques de créatinine dépassent de 30% la valeur mesurée avant le début du traitement, même si cette valeur se trouve encore dans les limites de la normale (cf. «Surveillance de la fonction rénale»). Si la réduction de la dose ne produit aucun effet dans l'intervalle d'un mois, le traitement avec Sandimmun Neoral doit être interrompu.
  • -Pour induire une rémission, la dose initiale recommandée est de 2.5 mg/kg/d, divisée en deux prises séparées. Si aucune amélioration n'intervient après un mois, la dose quotidienne peut être augmentée graduellement à raison de 0.5-1 mg/kg chaque mois, jusqu'à un maximum de 5 mg/kg.
  • -Chez les patients dont l'état nécessite une amélioration particulièrement rapide, une dose initiale de 5 mg/kg/d, administrée en deux prises séparées, est justifiée.
  • -Pour le traitement d'entretien, la dose quotidienne sera établie individuellement à la dose minimale efficace et ne devrait pas dépasser 5 mg/kg/d.
  • -Si après 1 mois de traitement à une dose de 5 mg/kg/d, les lésions psoriasiques ne se sont pas améliorées suffisamment, le traitement doit être interrompu.
  • +Pour induire une rémission, la dose initiale recommandée est de 2,5 mg/kg/j, divisée en deux prises séparées. Si aucune amélioration n'intervient après un mois, la dose quotidienne peut être augmentée graduellement à raison de 0,5–1 mg/kg chaque mois, jusqu'à un maximum de 5 mg/kg.
  • +Chez les patients dont l'état nécessite une amélioration particulièrement rapide, une dose initiale de 5 mg/kg/j, administrée en deux prises séparées, est justifiée.
  • +Pour le traitement d'entretien, la dose quotidienne sera établie individuellement à la dose minimale efficace et ne devrait pas dépasser 5 mg/kg/j.
  • +Si après 1 mois de traitement à une dose de 5 mg/kg/j, les lésions psoriasiques ne se sont pas améliorées suffisamment, le traitement doit être interrompu.
  • -Adultes et adolescents dès 16 ans: la dose recommandée se situe entre 2.5-5 mg/kg/d, administrée en deux prises séparées.
  • -Lorsqu'aucun effet satisfaisant n'est intervenu après 2 semaines de traitement à une posologie initiale de 2.5 mg/kg/d, la dose quotidienne peut être augmentée rapidement à maximum 5 mg/kg.
  • +Adultes et adolescents dès 16 ans: la dose recommandée se situe entre 2,5–5 mg/kg/j, administrée en deux prises séparées.
  • +Lorsqu'aucun effet satisfaisant n'est intervenu après 2 semaines de traitement à une posologie initiale de 2,5 mg/kg/j, la dose quotidienne peut être augmentée rapidement à maximum 5 mg/kg.
  • -Avant d'administrer Sandimmun Neoral, une infection manifeste d'herpès doit être sous contrôle. Par contre son apparition au cours du traitement ne constitue pas une raison impérative d'interrompre le traitement avec Sandimmun Neoral, à moins que l'infection ne soit grave.
  • +Avant d'administrer Sandimmun Neoral, une infection manifeste d'herpès doit être cicatrisée. Par contre son apparition au cours du traitement ne constitue pas une raison impérative d'interrompre le traitement avec Sandimmun Neoral, à moins que l'infection ne soit grave.
  • -Pendant les 6 premières semaines de traitement, la dose quotidienne recommandée s'élève à 3 mg/kg/d, répartie en 2 prises séparées. Si l'effet se révèle insuffisant, la dose quotidienne peut être augmentée progressivement, à condition de respecter la mise en garde ci-après, mais elle ne devrait pas dépasser 5 mg/kg/d.
  • +Pendant les 6 premières semaines de traitement, la dose quotidienne recommandée s'élève à 3 mg/kg/j, répartie en 2 prises séparées. Si l'effet se révèle insuffisant, la dose quotidienne peut être augmentée progressivement, à condition de respecter la mise en garde ci-après, mais elle ne devrait pas dépasser 5 mg/kg/j.
  • -Sandimmun Neoral peut être administré en association avec des corticoïdes faiblement dosés et/ou des anti-inflammatoires non stéroïdiens.
  • -La dose quotidienne de Sandimmun Neoral doit être diminuée lorsque les valeurs de créatinine augmentent de plus de 30% au-dessus de la valeur moyenne avant traitement, même si elle se trouve encore dans les valeurs normales (cf. «Surveillance de la fonction rénale»). Si le taux de créatinine sérique augmente de plus de 50%, une réduction posologique de 50% s'impose. Le traitement avec Sandimmun Neoral doit être arrêté si la réduction posologique reste sans effet au bout d'un mois.
  • +Sandimmun Neoral peut être administré en association avec des corticoïdes et/ou des anti-inflammatoires non stéroïdiens faiblement dosés.
  • +La dose quotidienne de Sandimmun Neoral doit être diminuée lorsque les taux sériques de créatinine augmentent de plus de 30% au-dessus de la valeur moyenne avant traitement, même si elle se trouve encore dans les valeurs normales (cf. «Surveillance de la fonction rénale»). Si le taux de créatinine sérique augmente de plus de 50%, une réduction posologique de 50% s'impose. Le traitement avec Sandimmun Neoral doit être arrêté si la réduction posologique reste sans effet au bout d'un mois.
  • -Comme avec d'autres traitements immunosuppresseurs de longue durée, le risque accru de troubles lymphoprolifératifs doit être pris en considération (cf. «Mises en garde et précautions; 9. Surveillance en vue de la détection précoce de troubles lymphoprolifératifs et de tumeurs malignes»).
  • +Comme avec d'autres traitements immunosuppresseurs de longue durée, le risque accru de troubles lymphoprolifératifs doit être pris en considération (cf. «Mises en garde et Précautions; 9. Surveillance en vue de la détection précoce de troubles lymphoprolifératifs et de tumeurs malignes»).
  • -Pour induire une rémission, la dose quotidienne initiale recommandée, répartie en deux prises séparées, est de 5 mg/kg pour les adultes et 6 mg/kg pour les enfants. Chez ces patients, la ciclosporine peut être utilisée si le taux de créatinine sérique est <200 µmol/l chez l'adulte et <140 µmol/l chez l'enfant. La dose initiale ne doit pas excéder 2.5 mg/kg/j (cf. «Contre-indications»).
  • -Les doses doivent être ajustées individuellement en fonction de l'efficacité (protéinurie) et de l'innocuité (créatinine sérique principalement), mais elles ne devraient pas dépasser 5 mg/kg/d chez l'adulte et 6 mg/kg/d chez l'enfant.
  • +Pour induire une rémission, la dose quotidienne initiale recommandée, répartie en deux prises séparées, est de 5 mg/kg pour les adultes et de 6 mg/kg pour les enfants. Chez ces patients, la ciclosporine peut être utilisée si le taux de créatinine est < 200 µmol/l chez l'adulte et < 140 µmol/l chez l'enfant. La dose initiale ne doit pas excéder 2,5 mg/kg/j (cf. «Contre-indications»).
  • +Les doses doivent être ajustées individuellement en fonction de l'efficacité (protéinurie) et de l'innocuité (créatinine sérique principalement), mais elles ne devraient pas dépasser 5 mg/kg/j chez l'adulte et 6 mg/kg/j chez l'enfant.
  • -La dose doit être diminuée de 25-50% lorsque les taux sériques de créatinine dépassent de 30% la valeur initiale.
  • +La dose doit être diminuée de 2550% lorsque les taux sériques de créatinine dépassent de 30% la valeur initiale.
  • -Les patients dont la fonction rénale se traduit par des valeurs initiales anormales (créatinine sérique max. 200/140 µmol/l chez l'adulte resp. l'enfant: dose initiale max. 2.5 mg/kg/d) doivent être surveillés très étroitement.
  • +Les patients dont la fonction rénale se traduit par des valeurs initiales anormales (créatinine sérique max. 200/140 µmol/l chez l'adulte resp. l'enfant: dose initiale max. 2,5 mg/kg/j) doivent être surveillés très étroitement.
  • -Les expériences avec la ciclosporine chez les enfants sont encore limitées. L'expérience de traitement de nourrissons avec Sandimmun Neoral n'est pas disponible. Des enfants âgés de plus d'un an ont reçu Sandimmun Neoral à la posologie usuelle sans présenter de problème particulier. Plusieurs études révèlent que des sujets pédiatriques ont nécessité et bien supporté des doses (par kg de poids corporel) de ciclosporine plus élevées que les doses utilisées chez les adultes. Au cas où des dysfonctions hépatiques sévères préexistent, une surveillance étroite des taux sériques de créatinine (et si possible de ciclosporine) est impérative, de même que l'adaptation de la posologie en conséquence.
  • +Les expériences avec la ciclosporine chez les enfants sont encore limitées. L'expérience de traitement de nourrissons avec Sandimmun Neoral n'est pas disponible. Des enfants âgés de plus d'un an ont reçu Sandimmun à la posologie usuelle sans présenter de problème particulier. Plusieurs études révèlent que des sujets pédiatriques ont nécessité et bien supporté des doses (par kg de poids corporel) de ciclosporine plus élevées que les doses utilisées chez les adultes. Au cas où des dysfonctions hépatiques sévères préexistent, une surveillance étroite des taux sériques de créatinine (et si possible de ciclosporine) est impérative, de même que l'adaptation de la posologie en conséquence.
  • -Dans des études cliniques sur l'emploi de la ciclosporine par administration orale dans la polyarthrite rhumatoïde, 17.5% des patients étaient âgés de 65 ans ou plus. Après 3 à 4 mois de traitement, ces patients avaient une plus forte probabilité de développer une hypertension systolique et de présenter une hausse de la créatinine sérique de ≥50% par rapport à la valeur d'origine.
  • +Dans des études cliniques sur l'emploi de la ciclosporine par administration orale dans la polyarthrite rhumatoïde, 17,5% des patients étaient âgés de 65 ans ou plus. Après 3 à 4 mois de traitement, ces patients avaient une plus forte probabilité de développer une hypertension systolique et de présenter une hausse de la créatinine sérique de ≥50% par rapport à la valeur d'origine.
  • -·insuffisance rénale, excepté pour les patients présentant un syndrome néphrotique et un taux de créatinine sérique initial modérément augmenté, au maximum 200 µmol/l chez l'adulte et 140 µmol/l chez l'enfant. Un traitement prudent (2.5 mg/kg/j au maximum) peut être instauré en cas de syndrome néphrotique, pour autant que les taux de créatinine, augmentés en raison de la maladie, s'améliorent sous ciclosporine.
  • +·Insuffisance rénale, excepté pour les patients présentant un syndrome néphrotique et un taux de créatinine sérique initial modérément augmenté, au maximum 200 µmol/l chez l'adulte et 140 µmol/l chez l'enfant. Un traitement prudent (2,5 mg/kg/j au maximum) peut être instauré en cas de syndrome néphrotique, pour autant que les taux de créatinine, augmentés en raison de la maladie, s'améliorent sous ciclosporine.
  • -Sandimmun Neoral ne doit être prescrit que par des médecins ayant l'expérience du traitement immunosuppresseur et pouvant assurer le suivi nécessaire, qui comporte, à intervalles réguliers, un examen physique général, la mesure de la pression artérielle et le contrôle des données de laboratoire destinées à vérifier la sécurité. Le suivi des patients transplantés traités avec Sandimmun Neoral doit s'effectuer dans des locaux dotés d'un équipement de laboratoire adéquat et d'un personnel médical compétent. Le médecin responsable du traitement d'entretien doit recevoir toutes les informations requises pour le suivi de son patient.
  • +Sandimmun Neoral ne doit être prescrit que par des médecins ayant l'expérience du traitement immunosuppresseur et pouvant assurer le suivi nécessaire, qui comporte, à intervalles réguliers, un examen physique général, la mesure de la pression artérielle et le contrôle des données de laboratoire destinées à vérifier la sécurité. Le suivi des patients transplantés traités avec Sandimmun Neoral doit s'effectuer dans des locaux dotés d'un équipement de laboratoire et médical adéquat . Le médecin responsable du traitement d'entretien doit recevoir toutes les informations requises pour le suivi de son patient.
  • -Utilisation chez l'enfant: Chez les enfants en dessous de 16 ans, en raison du manque d' expérience, l'utilisation de Sandimmun Neoral en dehors de la transplantation ne peut pas être recommandée, sauf pour le traitement du syndrome néphrotique.
  • +Utilisation chez l'enfant: chez les enfants en dessous de 16 ans, en raison du manque d'expérience, l'utilisation de Sandimmun Neoral en dehors de la transplantation ne peut pas être recommandée, sauf pour le traitement du syndrome néphrotique.
  • -De plus, un schéma thérapeutique comprenant plusieurs immunosuppresseurs (y compris la ciclosporine) doit être mis en œuvre avec prudence car il peut provoquer des troubles lymphoprolifératifs ou des tumeurs solides d'autres organes qui peuvent avoir une issue fatale.
  • +De plus, un schéma thérapeutique comprenant plusieurs immunosuppresseurs (y compris la ciclosporine) doit être mis en œuvre avec prudence car il peut provoquer des troubles lymphoprolifératifs ou des tumeurs solides d'autres organes, qui peuvent avoir une issue fatale.
  • -L'augmentation de la créatinine et de l'urée sériques est une complication fréquente et potentiellement grave, qui peut se manifester durant les premières semaines de traitement avec Sandimmun Neoral. Ces modifications fonctionnelles, qui sont liées à la dose et réversibles, répondent généralement à une réduction posologique. Au cours d'un traitement à long terme, certains patients peuvent présenter des altérations structurelles des reins (fibrose interstitielle p.ex.) qui, chez un patient ayant subi une transplantation rénale, doivent être différenciées d'altérations dues à un rejet chronique.
  • +L'augmentation de la créatinine et de l'urée sériques est une complication fréquente et potentiellement grave, qui peut se manifester durant les premières semaines de traitement avec Sandimmun Neoral. Ces modifications fonctionnelles, qui sont liées à la dose et réversibles, répondent généralement à une réduction posologique. Au cours d'un traitement à long terme, certains patients peuvent présenter des altérations structurelles des reins (fibrose interstitielle p. ex.) qui, chez un patient ayant subi une transplantation rénale, doivent être différenciées d'altérations dues à un rejet chronique.
  • -Il est indispensable de surveiller attentivement les paramètres des fonctions hépatique et rénale. Des valeurs anormales peuvent exiger une réduction posologique.
  • +Il est indispensable de surveiller régulièrement les paramètres des fonctions hépatique et rénale. Des valeurs anormales peuvent exiger une réduction posologique.
  • -Pour le contrôle initial après une transplantation du foie, on aura recours soit à l'anticorps monoclonal spécifique, soit à des mesures en parallèle de l'anticorps monoclonal spécifique et de l'anticorps monoclonal non spécifique afin d'assurer une immunosuppression adéquate.
  • -Il faut aussi savoir que la concentration de ciclosporine dans le sang, le plasma ou le sérum n'est qu'un des facteurs intervenant dans l'état clinique du patient. Les résultats sont donc à considérer comme guide de posologie et doivent être mis en parallèle avec d'autres données cliniques et biologiques (cf. «Posologie/Mode d'emploi; Transplantation d'organe»).
  • +Pour le contrôle initial après une transplantation du foie, on aura recours soit à l'anticorps monoclonal spécifique, soit à des mesures en parallèle en utilisant l'anticorps monoclonal spécifique et l'anticorps monoclonal non spécifique afin d'assurer une immunosuppression adéquate.
  • +Il faut aussi savoir que la concentration de ciclosporine dans le sang, le plasma ou le sérum n'est qu'un des facteurs intervenant dans l'état clinique du patient. Les résultats sont donc à considérer comme guide de posologie et doivent être mis en parallèle avec d'autres données cliniques et biochimiques (cf. «Posologie/mode d'emploi; Transplantation d'organe»).
  • -La ciclosporine peut augmenter les concentrations plasmatiques et ainsi les risques d'effets secondaires dose-dépendants de médicaments administrés simultanément qui sont des substrats de Pgp/multidrug efflux transporter (glycoprotéine P de transport de Multidrug Efflux) ou des protéines de transport des anions organiques (OAPT) tels que l'aliskirène, le dabigatran ou le bosentan. Il convient d'éviter une prise simultanée de ciclosporine et d'aliskirène, de dagibitran ou de bosentan (cf. «Interactions»).
  • +La ciclosporine peut augmenter les concentrations plasmatiques et ainsi les risques d'effets secondaires dose-dépendants de médicaments administrés simultanément, qui sont des substrats de Pgp/multidrug efflux transporter (glycoprotéine P de transport de Multidrug Efflux) ou des protéines de transport des anions organiques (OAPT) tels que l'aliskirène, le dabigatran ou le bosentan. Il convient d'éviter une prise simultanée de ciclosporine et d'aliskirène, de dagibitran ou de bosentan (cf. «Interactions»).
  • -Les médicaments inhibant ou induisant les enzymes hépatiques intervenant dans le métabolisme et l'excrétion de la ciclosporine, en particulier le CYP3A4, modifient en conséquence les taux de ciclosporine dans le plasma et le sang total. La ciclosporine est un inhibiteur du CYP3A4 et un inhibiteur très puissant de la glycoprotéine P (Pgp/multidrug efflux transporter). Elle peut augmenter les taux plasmatiques des médicaments administrés simultanément et qui sont des substrats du CYP3A4 ou de la Pgp.
  • +Les médicaments inhibant ou induisant les enzymes hépatiques intervenant dans le métabolisme et l'excrétion de la ciclosporine, en particulier le CYP3A4, modifient en conséquence les taux de ciclosporine dans le plasma et le sang total. La ciclosporine est un substrat de la glycoprotéine P (Pgp/multidrug efflux transporteur); en conséquence, les inhibiteurs et les inducteurs de la Pgp peuvent influencer la concentration de ciclosporine. La ciclosporine est un inhibiteur du CYP3A4 et un inhibiteur très puissant de la glycoprotéine P (Pgp/multidrug efflux transporter). Elle peut augmenter les taux plasmatiques des médicaments administrés simultanément et qui sont des substrats du CYP3A4 ou de la Pgp.
  • -Après l'administration concomitante de ciclosporine et de lercanidipine, l'AUC de la lercanidipine avait triplé et l'AUC de la ciclosporine était augmentée de 21%. Il faut choisir de préférence un antihypertenseur ne présentant pas d'interaction pharmacocinétique avec la ciclosporine.
  • -L'administration concomitante de diclofénac et de Sandimmun Neoral provoque une augmentation significative de la biodisponibilité du diclofénac pouvant entraîner des troubles réversibles de la fonction rénale. Il est fort probable que l'augmentation de la biodisponibilité du diclofénac soit due à une baisse de son effet de premier passage très important. Si des anti-inflammatoires non stéroïdiens ayant un faible effet de premier passage (acide acétylsalicylique p.ex.) sont administrés en même temps que la ciclosporine, une augmentation de leur biodisponibilité n'est pas à craindre.
  • +Après l'administration concomitante de ciclosporine et de lercanidipine, l'ASC de la lercanidipine avait triplé et l'ASC de la ciclosporine était augmentée de 21%. Il faut choisir de préférence un antihypertenseur ne présentant pas d'interaction pharmacocinétique avec la ciclosporine.
  • +L'administration concomitante de diclofénac et de ciclosporine provoque une augmentation significative de la biodisponibilité du diclofénac pouvant entraîner des troubles réversibles de la fonction rénale. Il est fort probable que l'augmentation de la biodisponibilité du diclofénac soit due à une baisse de son effet de premier passage très important. Si des anti-inflammatoires non stéroïdiens ayant un faible effet de premier passage (acide acétylsalicylique p. ex.) sont administrés en même temps que la ciclosporine, une augmentation de leur biodisponibilité n'est pas à craindre.
  • -L'administration concomitante de ciclosporine et d'aliskirène provoque une augmentation 2,5 fois supérieure de la concentration Cmax de l'aliskirène et 5 fois supérieure de l'AUC. Toutefois, le profil pharmacocinétique de la ciclosporine ne s'en trouve pas modifié de façon significative.
  • -L'administration concomitante de dabigatran étexilate et de ciclosporine provoque une hausse de la concentration plasmatique de dabigatran en raison de l'effet inhibiteur de la P-gp de la ciclosporine (voir «Mises en garde et précautions»). Le dabigatran a une marge thérapeutique étroite et une augmentation plasmatique est associée à un risque accru d'hémorragie.
  • +L'administration concomitante de ciclosporine et d'aliskirène provoque une augmentation de 2,5 fois de la concentration Cmax de l'aliskirène et de 5 fois de l'ASC. Toutefois, le profil pharmacocinétique de la ciclosporine ne s'en trouve pas modifié de façon significative.
  • +L'administration concomitante de dabigatran étexilate et de ciclosporine provoque une hausse de la concentration plasmatique de dabigatran en raison de l'effet inhibiteur de la Pgp de la ciclosporine (voir «Mises en garde et précautions»). Le dabigatran a une marge thérapeutique étroite et une augmentation plasmatique est associée à un risque accru d'hémorragie.
  • +Des cas d'augmentation de la concentration sanguine d'un autre inhibiteur de la calcineurine lors de l'administration concomitante de cannabidiol (inhibiteur de la Pgp) ont été rapportés. Cette interaction peut intervenir en raison de l'inhibition de l'efflux intestinal produit par la glycoprotéine P, entraînant une augmentation de la biodisponibilité de l'inhibiteur de la calcineurine. C'est pourquoi, en cas d'administration concomitante de ciclosporine et de cannabidiol, la prudence est recommandée et une surveillance étroite des effets secondaires doit être mise en place. Chez les patients transplantés, le creux de concentration de ciclosporine dans le sang complet doit être surveillé et la dose de ciclosporine doit être adaptée le cas échéant. Chez les patients non transplantés, une surveillance de la concentration sanguine de ciclosporine, le cas échéant accompagnée d'une adaptation de la dose, doit être envisagée.
  • +
  • -Durant l'utilisation concomitante d'un médicament susceptible d'une synergie néphrotoxique, la fonction rénale (en particulier la créatinine sérique) doit être contrôlée attentivement. En cas d'apparition d'un trouble significatif de la fonction rénale, les doses du médicament administré simultanément doivent être réduites ou un autre traitement doit être envisagé.
  • +Durant l'utilisation concomitante d'un médicament susceptible d'augmenter la concentration de ciclosporine ou d'avoir un effet synergique néphrotoxique, la fonction rénale (en particulier la créatinine sérique) doit être contrôlée attentivement. En cas d'apparition d'un trouble significatif de la fonction rénale, les doses du médicament administré simultanément doivent être réduites ou un autre traitement doit être envisagé.
  • +L'état clinique du patient doit être étroitement surveillé. Une surveillance de la concentration sanguine de ciclosporine et une adaptation de la dose de ciclosporine peuvent être nécessaires.
  • +
  • -Digoxine, colchicine, inhibiteurs de l'HMG-CoA réductase: En cas d'administration concomitante avec Sandimmun Neoral, une surveillance clinique stricte est nécessaire afin de déceler rapidement les manifestations toxiques de ces médicaments et d'en réduire les doses ou d'arrêter leur administration.
  • +Digoxine, colchicine, inhibiteurs de l'HMG-CoA réductase: en cas d'administration concomitante avec Sandimmun Neoral, une surveillance clinique stricte est nécessaire afin de déceler rapidement les manifestations toxiques de ces médicaments et d'en réduire les doses ou d'arrêter leur administration.
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, allaitement
  • -Les données concernant l'emploi de Sandimmun Neoral chez les femmes enceintes sont limitées. Les femmes enceintes qui sont traitées par des immunosuppresseurs, y compris la ciclosporine et les schémas thérapeutiques comprenant la ciclosporine, après une transplantation présentent un risque élevé d'accouchement prématuré (<37 semaines).
  • -On dispose d'un nombre limité d'observations chez les enfants jusqu'à l'âge de 7 ans qui ont été exposés in utero à la ciclosporine (données récoltées sur 12 enfants). La pression artérielle et la fonction rénale étaient normales chez ces enfants.
  • -Sur la base des données disponibles, Sandimmun Neoral ne devrait pas être utilisé durant la grossesse, à moins que le bénéfice attendu ne l'emporte sur le risque potentiel.
  • +Les données concernant l'emploi de Sandimmun Neoral chez les femmes enceintes sont limitées. Les femmes enceintes qui sont traitées par des immunosuppresseurs, y compris la ciclosporine et les schémas thérapeutiques comprenant la ciclosporine, après une transplantation présentent un risque élevé d'accouchement prématuré (< 37 semaines).
  • +On dispose d'un nombre limité d'observations chez les enfants jusqu'à l'âge de 7 ans, qui ont été exposés in utero à la ciclosporine (données récoltées sur 12 enfants). La pression artérielle et la fonction rénale étaient normales chez ces enfants.
  • +Sur la base des données disponibles, Sandimmun ne devrait pas être utilisé durant la grossesse, à moins que le bénéfice attendu ne l'emporte sur le risque potentiel.
  • -Les effets indésirables sont énumérés par ordre décroissant de leur fréquence, définie comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (1/100, ≥1/1'000), «rares» (<1/1'000, >1/10'000), «très rares» (<1/10'000).
  • +Les effets indésirables sont énumérés par ordre décroissant de leur fréquence, définie comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (< 1/10, ≥1/100), «occasionnels» (1/100, ≥1/1000), «rares» (< 1/1000, > 1/10 000), «très rares» (< 1/10 000).
  • -Très fréquents: tremblements (10-20%), céphalées (jusquà env. 15%), y compris migraine.
  • +Très fréquents: tremblements (1020%), céphalées (jusqu'à env. 15%), y compris migraine.
  • -Occasionnels: signes dencéphalopathie y c. syndrome dencéphalopathie postérieure réversible (SEPR): convulsions, confusion mentale, désorientation, diminution des réflexes, agitation, insomnie, troubles de la vision, cécité corticale, coma, parésie, ataxie cérébelleuse.
  • +Occasionnels: signes d'encéphalopathie y c. syndrome d'encéphalopathie postérieure réversible (SEPR): convulsions, confusion mentale, désorientation, diminution des réflexes, agitation, insomnie, troubles de la vision, cécité corticale, coma, parésie, ataxie cérébelleuse.
  • -Très rares: œdème papillaire du nerf optique, y compris œdème papillaire avec péjoration potentielle de la vue à la suite dune hypertension intracrânienne bénigne.
  • +Très rares: œdème papillaire du nerf optique, y compris œdème papillaire avec péjoration potentielle de la vue à la suite d'une hypertension intracrânienne bénigne.
  • -Très fréquents: hypertension (15-40%).
  • +Très fréquents: hypertension (1540%).
  • -Troubles cutanés
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Très fréquents: troubles de la fonction rénale (cf. «Mises en garde et précautions; 4. Fonctions rénale et hépatique»; incidence selon lindication: 10-50%.)
  • +Très fréquents: troubles de la fonction rénale (cf. «Mises en garde et précautions; 4. Fonctions rénale et hépatique»; incidence selon l'indication: 1050%.)
  • -Troubles généraux et anomalies au site dadministration
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Autres effets indésirables rapportés au cours de lexpérience après commercialisation
  • -Des rapports post-marketing, sur requête et spontanés, font état dune hépatotoxicité et dune atteinte hépatique incluant cholestase, ictère, hépatite et défaillance hépatique, chez des patients traités par la ciclosporine. La plupart des cas se rapportaient à des patients présentant des comorbidités significatives, des maladies de fond et dautres facteurs perturbateurs incluant complications infectieuses et médicaments associés potentiellement hépatotoxiques. Une issue fatale a été rapportée dans quelques cas, essentiellement chez des patients transplantés (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Autres effets indésirables rapportés au cours de l'expérience après commercialisation
  • +Des rapports post-marketing, sur requête et spontanés, font état d'une hépatotoxicité et d'une atteinte hépatique incluant cholestase, ictère, hépatite et défaillance hépatique, chez des patients traités par la ciclosporine. La plupart des cas se rapportaient à des patients présentant des comorbidités significatives, des maladies de fond et d'autres facteurs perturbateurs incluant complications infectieuses et médicaments associés potentiellement hépatotoxiques. Une issue fatale a été rapportée dans quelques cas, essentiellement chez des patients transplantés (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch
  • +
  • -Code ATC: L04AD01
  • -Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
  • +Code ATC
  • +L04AD01
  • +Mécanisme d'action
  • +Pharmacodynamique
  • +Efficacité clinique
  • +
  • -Sandimmun Neoral possède une linéarité de la relation dose-exposition (AUC) pour toute l'étendue des posologies appliquées en clinique, une dépendance de la bile réduite, un profil d'absorption constant ainsi qu'une influence négligeable de la nourriture absorbée en même temps ou du rythme nycthéméral. Sur la base de ces propriétés, avec Sandimmun Neoral la variabilité intra-individuelle des paramètres pharmacocinétiques est faible (entre 10 et 22% chez les transplantés rénaux), la corrélation entre les concentrations minimales et l'exposition globale (AUC) de la ciclosporine est élevée et l'administration peut se faire indépendamment de la prise de nourriture.
  • -Les résultats de différentes études ont montré que le contrôle de la courbe AUC de la ciclosporine pendant les 4 premières heures après l'administration de la dose (AUC0-4) autorisait une prédiction plus précise de l'exposition à Sandimmun Neoral que le contrôle de la valeur au moment de l'administration de la dose (mesures de C0).
  • -Les résultats d'autres études ont montré une bonne corrélation entre un seul contrôle 2 h après la prise de la dose (mesure C2) et la mesure AUC0-4 chez les patients ayant reçu une transplantation.
  • +Sandimmun Neoral possède une linéarité de la relation doseexposition (ASC) pour toute l'étendue des posologies appliquées en clinique, une dépendance de la bile réduite, un profil d'absorption constant ainsi qu'une influence négligeable de la nourriture absorbée en même temps ou du rythme nycthéméral. Sur la base de ces propriétés, avec Sandimmun Neoral la variabilité intra-individuelle des paramètres pharmacocinétiques est faible (entre 10 et 22% chez les transplantés rénaux), la corrélation entre les concentrations minimales et l'exposition globale (ASC) de la ciclosporine est élevée et l'administration peut se faire indépendamment de la prise de nourriture.
  • +Les résultats de différentes études ont montré que le contrôle de la courbe ASC de la ciclosporine pendant les 4 premières heures après l'administration de la dose (ASC0–4) autorisait une prédiction plus précise de l'exposition à Sandimmun Neoral que le contrôle de la valeur au moment de l'administration de la dose (mesures de C0).
  • +Les résultats d'autres études ont montré une bonne corrélation entre un seul contrôle 2 h après la prise de la dose (mesure C2) et la mesure ASC0–4 chez les patients ayant reçu une transplantation.
  • -Après administration de Sandimmun Neoral à des patients ayant reçu une transplantation d'organe, la ciclosporine est absorbée rapidement (tmax = 1-2 h). Sa biodisponibilité est de 30-60%. Chez les transplantés rénaux stables, la Cmax et l'AUC en steady state s'élèvent en moyenne à 793 ng/ml et 2741 h×ng/ml (sur la base d'une posologie normalisée à 100 mg/d).
  • +Après administration de Sandimmun Neoral à des patients ayant reçu une transplantation d'organe, la ciclosporine est absorbée rapidement (tmax = 12 h). Sa biodisponibilité absolue est de 3060%. Chez les transplantés rénaux stables, la Cmax et l'ASC en steady state s'élèvent en moyenne à 793 ng/ml et 2741 h × ng/ml (sur la base d'une posologie normalisée à 100 mg/j).
  • -La ciclosporine est largement distribuée en dehors de la masse sanguine avec un volume apparent de distribution de 3.5 l/kg en moyenne. Dans le sang, la distribution est fonction de la concentration en substance active: 33-47% dans le plasma, 4-9% dans les lymphocytes, 5-12% dans les granulocytes et 41-58% dans les érythrocytes. Aux concentrations élevées, l'absorption par les leucocytes et les érythrocytes est saturée. Dans le plasma, la ciclosporine se fixe à environ 90% aux protéines, surtout aux lipoprotéines.
  • +La ciclosporine est largement distribuée en dehors de la masse sanguine avec un volume apparent de distribution de 3,5 l/kg en moyenne. Dans le sang, la distribution est fonction de la concentration en substance active: 3347% dans le plasma, 49% dans les lymphocytes, 512% dans les granulocytes et 4158% dans les érythrocytes. Aux concentrations élevées, l'absorption par les leucocytes et les érythrocytes est saturée. Dans le plasma, la ciclosporine se fixe à environ 90% aux protéines, surtout aux lipoprotéines.
  • -La ciclosporine est, en grande partie, métabolisée, principalement par le système cytochrome P450 (CYP4503A4) dépendant de la monoxygénase. À ce jour, plus d'une quinzaine de métabolites sont connus. La plupart des métabolites proviennent de la mono ou di-hydroxylation ainsi que de la N-déméthylation sur différents sites de la molécule. Il est établi que les médicaments qui influencent le système enzymatique dépendant du cytochrome P450 (CYP4503A4) augmentent ou diminuent les concentrations de ciclosporine (cf. «Interactions»). Tous les métabolites identifiés aujourd'hui contiennent la structure peptidique intacte de la substance inchangée. Quelques métabolites ont une faible activité immunosuppressive (jusqu'à 10%, comparé à la ciclosporine).
  • +La ciclosporine est, en grande partie, métabolisée, principalement par le système cytochrome P450 (CYP4503A4) dépendant de la monoxygénase. À ce jour, plus d'une quinzaine de métabolites sont connus. La plupart des métabolites proviennent de la mono- ou di-hydroxylation ainsi que de la Ndéméthylation sur différents sites de la molécule. Il est établi que les médicaments qui influencent le système enzymatique dépendant du cytochrome P450 (CYP4503A4) augmentent ou diminuent les concentrations de ciclosporine (cf. «Interactions»). Tous les métabolites identifiés aujourd'hui contiennent la structure peptidique intacte de la substance inchangée. Quelques métabolites ont une faible activité immunosuppressive (jusqu'à 10%, comparé à la ciclosporine).
  • -Les données à disposition concernant la demi-vie d'élimination varient beaucoup en fonction de la méthode de détermination utilisée ainsi que de la population cible. Les valeurs sont de 6.3 h chez les volontaires sains et jusqu'à 7-16 h chez les patients ayant reçu une transplantation rénale, resp. de 20.4 h chez les patients atteints d'insuffisance hépatique grave. L'élimination est essentiellement biliaire, et seuls 6% de la dose orale sont excrétés dans l'urine et moins de 1% est excrété dans l'urine sous forme inchangée.
  • +Les données à disposition concernant la demi-vie d'élimination de la ciclosporine varient beaucoup en fonction de la méthode de détermination utilisée ainsi que de la population cible. Les valeurs sont de 6,3 h chez les volontaires sains et jusqu'à 716 h chez les patients ayant reçu une transplantation rénale, resp. de 20,4 h chez les patients atteints d'insuffisance hépatique grave. L'élimination est essentiellement biliaire, et seuls 6% de la dose orale sont excrétés dans l'urine et moins de 1% est excrété dans l'urine sous forme inchangée.
  • -Dans des tests standard, la ciclosporine administrée oralement n'a entraîné aucun effet mutagène ou tératogène (rats jusqu'à des doses orales de 17 mg/kg/d et lapins jusqu'à des doses orales de 30 mg/kg/d). Elle a toutefois une action embryotoxique et fœtotoxique à des doses qui sont toxiques pour les mères (100 mg/kg PC/d chez la lapine, 30 mg/kg PC/d chez la ratte), ce qui se manifeste par une augmentation de la mortalité pré- et postnatale et par une diminution du poids à la naissance accompagnée d'un retard de croissance.
  • -Dans deux études publiées, des lapins exposés in utero à la ciclosporine (10 mg/kg PC/d) ont présenté une diminution du nombre de néphrons, une hypertrophie rénale, une hypertension systémique et une insuffisance rénale progressive jusqu'à l'âge de 35 semaines.
  • -Des rattes portantes qui ont reçu de la ciclosporine i.v. à raison de 12 mg/kg PC/d (le double de la dose i.v. recommandée chez l'homme) ont donné naissance à des fœtus avec une forte incidence de défaut du septum ventriculaire.
  • +Dans des tests standard, la ciclosporine administrée oralement n'a entraîné aucun effet mutagène ou tératogène (rats jusqu'à des doses orales de 17 mg/kg/j et lapins jusqu'à des doses orales de 30 mg/kg/j). Elle a toutefois une action embryotoxique et fœtotoxique à des doses qui sont toxiques pour les mères (100 mg/kg PC/j chez la lapine, 30 mg/kg PC/j chez la ratte), ce qui se manifeste par une augmentation de la mortalité pré- et postnatale et par une diminution du poids à la naissance accompagnée d'un retard de croissance.
  • +Dans deux études publiées, des lapins exposés in utero à la ciclosporine (10 mg/kg PC/j) ont présenté une diminution du nombre de néphrons, une hypertrophie rénale, une hypertension systémique et une insuffisance rénale progressive jusqu'à l'âge de 35 semaines.
  • +Des rattes portantes qui ont reçu de la ciclosporine i.v. à raison de 12 mg/kg PC/j (le double de la dose i.v. recommandée chez l'homme) ont donné naissance à des fœtus avec une forte incidence de défaut du septum ventriculaire.
  • -La fertilité des rats mâles et femelles n'a pas été entravée à des doses allant jusqu'à 5 mg/kg PC/d. Une incidence élevée de malignités est une complication reconnue des immunosuppresseurs chez les receveurs d'organes. Les formes de néoplasie les plus fréquentes sont les lymphomes non hodgkiniens et les cancers de la peau (sur le risque de développement de lymphomes et d'autres malignités, cf. «Mises en garde et précautions»). Le risque de malignités au cours d'un traitement par la ciclosporine est plus élevé qu'au sein de la population saine normale, mais analogue à celui de patients sous un autre traitement immunosuppressif. Il a été rapporté qu'une diminution ou une interruption de l'immunosuppresseur pouvait faire régresser l'altération pathologique.
  • +La fertilité des rats mâles et femelles n'a pas été entravée à des doses allant jusqu'à 5 mg/kg PC/j.
  • +Une incidence élevée de malignités est une complication reconnue des immunosuppresseurs chez les receveurs d'organes. Les formes de néoplasie les plus fréquentes sont les lymphomes non hodgkiniens et les cancers de la peau (sur le risque de développement de lymphomes et d'autres malignités, cf. «Mises en garde et précautions»). Le risque de malignités au cours d'un traitement par la ciclosporine est plus élevé qu'au sein de la population saine normale, mais analogue à celui de patients sous un autre traitement immunosuppressif. Il a été rapporté qu'une diminution ou une interruption de l'immunosuppresseur pouvait faire régresser l'altération pathologique.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • -Le flacon entamé ne peut être utilisé au-delà de 2 mois.
  • -Remarques concernant le stockage
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • -Sandimmun Neoral solution buvable est délivrée avec deux pipettes graduées. La pipette graduée de 1 ml est utilisée pour mesurer des doses inférieures ou égales à 1 ml (chaque graduation de 0.05 ml correspond à 5 mg de ciclosporine). La pipette graduée de 4 ml est utilisée pour mesurer des doses supérieures à 1 ml et inférieures ou égales à 4 ml (chaque graduation de 0.1 ml correspond à 10 mg de ciclosporine).
  • +Sandimmun Neoral solution buvable est délivrée avec deux pipettes graduées. La pipette graduée de 1 ml est utilisée pour mesurer des doses inférieures ou égales à 1 ml (chaque graduation de 0,05 ml correspond à 5 mg de ciclosporine). La pipette graduée de 4 ml est utilisée pour mesurer des doses supérieures à 1 ml et inférieures ou égales à 4 ml (chaque graduation de 0,1 ml correspond à 10 mg de ciclosporine).
  • -3. Ôter le bouchon noir du flacon et le jeter.
  • +3. Ôter le bouchon gris du flacon et le jeter.
  • -8. Ejecter le médicament de la pipette graduée dans un petit verre contenant du liquide (pas du jus de grape-fruit). Eviter tout contact entre la pipette graduée et le liquide contenu dans le verre. Le médicament doit être dilué juste avant son ingestion. Remuer et ingérer la totalité du mélange sans attendre. Vous devez prendre le médicament immédiatement après sa préparation!
  • +8. Ejecter le médicament de la pipette graduée dans un petit verre contenant du liquide (pas du jus de pamplemousse). Eviter tout contact entre la pipette graduée et le liquide contenu dans le verre. Le médicament doit être dilué juste avant son ingestion. Remuer et ingérer la totalité du mélange sans attendre. Vous devez prendre le médicament immédiatement après sa préparation!
  • -Utilisations suivantes du flacon de solution buvable: Reprendre à partir du point 5.
  • -La solution devrait être diluée juste avant son ingestion. Pour la diluer, du jus d'orange ou du jus de pomme conviennent le mieux; d'autres boissons peuvent aussi être utilisées selon les goûts, par ex. des boissons sucrées sans alcool. En raison d'une interaction avec le système enzymatique intestinal P450-dépendant, le jus de grape-fruit ne devrait pas être utilisé pour la dilution. La pipette ne doit pas entrer en contact avec le liquide de dilution.
  • +Utilisations suivantes du flacon de solution buvable
  • +Reprendre à partir du point 5.
  • +La solution devrait être diluée juste avant son ingestion. Pour la diluer, du jus d'orange ou du jus de pomme conviennent le mieux; d'autres boissons peuvent aussi être utilisées selon les goûts, par ex. des boissons sucrées sans alcool. En raison d'une interaction avec le système enzymatique intestinal P450-dépendant, le jus de pamplemousse ne devrait pas être utilisé pour la dilution. La pipette ne doit pas entrer en contact avec le liquide de dilution.
  • -Conseils pratiques relatifs à l'utilisation correcte des capsules et de la solution buvable: (cf. «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Conseils pratiques relatifs à l'utilisation correcte des capsules et de la solution buvable (cf. «Posologie/mode d'emploi»).
  • -52656, 52657 (Swissmedic).
  • +52656, 52657 (Swissmedic)
  • -Capsules à 10 mg: 60. [B]
  • -Capsules à 25 mg: 50. [B]
  • -Capsules à 50 mg: 50. [B]
  • -Capsules à 100 mg: 50. [B]
  • -Solution buvable à 100 mg/ml: 50 ml. [B]
  • +Capsules à 10 mg: 60 [B]
  • +Capsules à 25 mg: 50 [B]
  • +Capsules à 50 mg: 50 [B]
  • +Capsules à 100 mg: 50 [B]
  • +Solution buvable à 100 mg/ml: 50 ml [B]
  • -Novartis Pharma Schweiz AG, Risch; Domicile: 6343 Rotkreuz.
  • +Novartis Pharma Schweiz AG, Risch; Siège: 6343 Rotkreuz
  • -Juin 2018.
  • +Janvier 2023
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