44 Changements de l'information professionelle Allergodil |
-Principe actif: Azélastine.
- +Principe actif: Chlorhydrate d'azélastine.
-Solution à 0,05% contenant 0,5 mg de chlorhydrate d’azélastine/1 ml.
- +Solution à 0,05% contenant 0,5 mg de chlorhydrate d'azélastine et 0,125 mg de chlorure de benzalkonium par 1 ml.
-En cas d’exposition plus forte aux allergènes, la posologie journalière peut être augmentée jusqu’à 1 goutte 4 fois par jour dans chaque oeil.
-Poursuivre le traitement jusqu’à l’amélioration des symptômes.
-L’expérience acquise lors d‘études cliniques contrôlées menées auprès de patients avec une conjonctivite allergique perannuelle est suffisante pour recommander une durée de traitement maximale de 6 semaines chez l’adulte et de 4 semaines chez l’enfant.
- +En cas d'exposition plus forte aux allergènes, la posologie journalière peut être augmentée jusqu'à 1 goutte 4 fois par jour dans chaque oeil.
- +Poursuivre le traitement jusqu'à l'amélioration des symptômes.
- +L'expérience acquise lors d'études cliniques contrôlées menées auprès de patients avec une conjonctivite allergique perannuelle est suffisante pour recommander une durée de traitement maximale de 6 semaines chez l'adulte et de 4 semaines chez l'enfant.
-Le traitement des conjonctivite et rhinoconjonctivite allergiques saisonnières est admis en automédication chez les adolescents dès 12 ans et les adultes. L’utilisation est limitée à 2 semaines maximum.
- +Le traitement des conjonctivite et rhinoconjonctivite allergiques saisonnières est admis en automédication chez les adolescents dès 12 ans et les adultes. L'utilisation est limitée à 2 semaines maximum.
-Hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients de Allergodil/Allergodil saisonal collyre.
- +Hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients de Allergodil/Allergodil saisonal collyre.
-Comme pour la plupart des autres collyres, l’utilisation de Allergodil/Allergodil saisonal collyre n’est pas recommandée pendant le port de lentilles de contact. L’agent conservateur chlorure de benzalconium peut se déposer dans les lentilles de contact souples.
-Précautions additionnelles voir «Interactions», «Grossesse/Allaitement» et «Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines».
- +Ce médicament contient 0.125 mg de chlorure de benzalkonium par ml (0.00375 mg/goutte).
- +Le chlorure de benzalkonium peut être absorbé par les lentilles de contact souples et changer leur couleur. Les lentilles de contact doivent être retirés avant chaque utilisation et il faut attendre au moins 15 minutes avant de les remettre.
- +Le chlorure de benzalkonium peut également provoquer une irritation des yeux, surtout en cas du syndrome de l'œil sec ou de troubles de la cornée
- +Précautions additionnelles voir «Interactions», «Grossesse/Allaitement» et «Effet sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines».
-Aucune étude spécifique sur les interactions n’a été menée avec Allergodil/Allergodil saisonal collyre. Les taux systémiques d’azélastine après instillation du collyre sont de l’ordre du picogramme.
-Des doses orales élevées de chlorhydrate d’azélastine peuvent accentuer l’effet sédatif de l’alcool ou d’autres médicaments.
-La cimétidine augmente la Cmax et l’AUC de l’azélastine administrée par voie orale d’environ 65%.
-Le chlorhydrate de ranitidine (150 mg 2×/jour) n’a pas influencé la pharmacocinétique de l‘azélastine.
-Des études d’interactions ont été menées dans le but d‘examiner l’effet d’une administration orale simultanée de chlorhydrate d‘azélastine et d’érythromycine ou de kétoconazole sur le coeur par l’intermédiaire de l’intervalle QT corrigé (QTc). L’érythromycine par voie orale (500 mg 3×/jour pendant 7 jours) n’a pas influencé la pharmacocinétique de l’azélastine ni le QTc (basé sur l‘analyses d’ECG réalisés en série). Le kétoconazole (200 mg 2×/jour pendant 7 jours) a perturbé le dosage plasmatique de l’azélastine. Aucun effet sur l‘intervalle QTc n’a été observé.
-Aucune interaction de pertinence pharmacocinétique n’a été observée lors de l’administration simultanée de chlorhydrate d’azélastine (doses orales de 4 mg 2×/jour) et de théophylline (300 mg ou 400 mg 2×/jour).
- +Aucune étude spécifique sur les interactions n'a été menée avec Allergodil/Allergodil saisonal collyre. Les taux systémiques d'azélastine après instillation du collyre sont de l'ordre du picogramme.
- +Des doses orales élevées de chlorhydrate d'azélastine peuvent accentuer l'effet sédatif de l'alcool ou d'autres médicaments.
- +La cimétidine augmente la Cmax et l'AUC de l'azélastine administrée par voie orale d'environ 65%.
- +Le chlorhydrate de ranitidine (150 mg 2×/jour) n'a pas influencé la pharmacocinétique de l'azélastine.
- +Des études d'interactions ont été menées dans le but d'examiner l'effet d'une administration orale simultanée de chlorhydrate d'azélastine et d'érythromycine ou de kétoconazole sur le coeur par l'intermédiaire de l'intervalle QT corrigé (QTc). L'érythromycine par voie orale (500 mg 3×/jour pendant 7 jours) n'a pas influencé la pharmacocinétique de l'azélastine ni le QTc (basé sur l'analyses d'ECG réalisés en série). Le kétoconazole (200 mg 2×/jour pendant 7 jours) a perturbé le dosage plasmatique de l'azélastine. Aucun effet sur l'intervalle QTc n'a été observé.
- +Aucune interaction de pertinence pharmacocinétique n'a été observée lors de l'administration simultanée de chlorhydrate d'azélastine (doses orales de 4 mg 2×/jour) et de théophylline (300 mg ou 400 mg 2×/jour).
-Des effets foetotoxiques ont certes été constatés chez l’animal lors de l’administration orale de doses élevées d’azélastine, mais des études contrôlées chez la femme enceinte ne sont pas disponibles.
-Parce que l’expérience n’est pas suffisante, Allergodil/Allergodil saisonal collyre ne doit pas être administré durant la grossesse ou l’allaitement, sauf dans des cas urgents.
- +Des effets foetotoxiques ont certes été constatés chez l'animal lors de l'administration orale de doses élevées d'azélastine, mais des études contrôlées chez la femme enceinte ne sont pas disponibles.
- +Parce que l'expérience n'est pas suffisante, Allergodil/Allergodil saisonal collyre ne doit pas être administré durant la grossesse ou l'allaitement, sauf dans des cas urgents.
-Les patients avec une rhinite allergique saisonnière ont souvent les yeux qui piquent et qui coulent, ce qui peut entraver la vue. Une légère irritation passagère peut se manifester après l’instillation d’Allergodil/Allergodil saisonal collyre. Les patients ne doivent pas prendre part au trafic routier ni utiliser des machines aussi longtemps que leur vue est entravée.
- +Les patients avec une rhinite allergique saisonnière ont souvent les yeux qui piquent et qui coulent, ce qui peut entraver la vue. Une légère irritation passagère peut se manifester après l'instillation d'Allergodil/Allergodil saisonal collyre. Les patients ne doivent pas prendre part au trafic routier ni utiliser des machines aussi longtemps que leur vue est entravée.
-Système immunitaire
-Dans de très rares cas (<1/10 000), des réactions allergiques peuvent se manifester.
-Troubles généraux et accidents liés au site d’administration
-L’effet indésirable le plus fréquemment observé dans le cadre des études cliniques réalisées avec Allergodil/Allergodil saisonal collyre à la posologie journalière de 1 goutte 2 à 4×/jour jour dans chaque oeil (correspondant à 0,06–0,12 mg de chlorhydrate d’azélastine par jour) a été une sensation passagère de brûlure après l’instillation dans l’oeil (18,4%). Un goût amer a également été fréquemment ressenti.
-Des signes légers de conjonctivite (prurit oculaire léger, rougeur ou sécheresse des yeux) ont été occasionnellement rapportés.
-La sensation passagère de brûlure lors de l’instillation d’Allergodil/Allergodil saisonal collyre a surtout été observée au début du traitement. Après 3 jours de traitement, cet effet indésirable n’était plus présent que chez 3% des patients. Cet effet indésirable n’a entraîné un arrêt du traitement que chez environ 1,4% des patients.
-La sensation de goût amer est dû à l‘amertume propre de la substance azélastine. Après instillation dans l‘oeil, le produit peut s’écouler en faible quantité par le canal lacrymal et les voies nasales jusque dans l’espace oropharyngé et arriver sur la partie postérieure de la langue. Cette sensation d’amertume a entraîné un arrêt du traitement chez environ 0,4% des patients.
- +L'effet indésirable le plus fréquemment observé dans le cadre des études cliniques réalisées avec Allergodil/Allergodil saisonal collyre à la posologie journalière de 1 goutte 2 à 4×/jour jour dans chaque oeil (correspondant à 0,06–0,12 mg de chlorhydrate d'azélastine par jour) a été une sensation passagère de brûlure après l'instillation dans l'oeil (18,4%).
- +La sensation passagère de brûlure lors de l'instillation d'Allergodil/Allergodil saisonal collyre a surtout été observée au début du traitement. Après 3 jours de traitement, cet effet indésirable n'était plus présent que chez 3% des patients. Cet effet indésirable n'a entraîné un arrêt du traitement que chez environ 1,4% des patients.
- +Un goût amer a également été fréquemment ressenti.
- +La sensation de goût amer est dû à l'amertume propre de la substance azélastine. Après l'instillation dans l'œil, le produit peut s'écouler en faible quantité par le canal lacrymal et les voies nasales jusque dans l'espace oropharyngé et arriver sur la partie postérieure de la langue. Cette sensation d'amertume a entraîné un arrêt du traitement chez environ 0,4% des patients.
- +La fréquence est indiquée comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100,), «rares» (≥1/10'000 à <1/1000), «très rares» (<1/10'000).
- +Affections du système immunitaire
- +Très rares: réactions allergiques.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Fréquents: goût amer.
- +Occasionnels: conjonctivite légère (prurit oculaire léger, rougeur ou sécheresse des yeux).
- +
-Aucune réaction spécifique de surdosage n’est connue après application oculaire et aucune réaction n’est à escompter. Aucune expérience n’est disponible sur l’application du chlorhydrate d’azélastine chez l‘homme à des doses toxiques. Les résultats d’expérimentation animale laissent prévoir des manifestations nerveuses centrales en cas de surdosage ou d’intoxication. Le traitement doit être symptomatique.
-Aucun antidote spécifique pour l’azélastine n’est connu.
- +Aucune réaction spécifique de surdosage n'est connue après application oculaire et aucune réaction n'est à escompter. Aucune expérience n'est disponible sur l'application du chlorhydrate d'azélastine chez l'homme à des doses toxiques. Les résultats d'expérimentation animale laissent prévoir des manifestations nerveuses centrales en cas de surdosage ou d'intoxication. Le traitement doit être symptomatique.
- +Aucun antidote spécifique pour l'azélastine n'est connu.
-Mécanisme d’action
-L’azélastine est un inhibiteur des récepteurs H1 de l’histamine et donc une substance antiallergique efficace, à la demi-vie relativement longue. Un effet anti-inflammatoire additionnel a été observé après application oculaire de solutions localement plus concentrées.
-Les données issues des études précliniques in vivo et in vitro montrent que l’azélastine inhibe la synthèse ou la libération de médiateurs chimiques connus pour leur implication dans les phases précoces ou tardives des réactions allergiques. Parmi ces médiateurs se trouvent les leucotriènes, l’histamine, les inhibiteurs du PAF et la sérotonine.
- +Mécanisme d'action
- +L'azélastine est un inhibiteur des récepteurs H1 de l'histamine et donc une substance antiallergique efficace, à la demi-vie relativement longue. Un effet anti-inflammatoire additionnel a été observé après application oculaire de solutions localement plus concentrées.
- +Les données issues des études précliniques in vivo et in vitro montrent que l'azélastine inhibe la synthèse ou la libération de médiateurs chimiques connus pour leur implication dans les phases précoces ou tardives des réactions allergiques. Parmi ces médiateurs se trouvent les leucotriènes, l'histamine, les inhibiteurs du PAF et la sérotonine.
-L’utilisation oculaire du principe actif azélastine s’impose en raison de son action locale et de son bref délai d’action. Un effet s’observe dans les 10 à 20 minutes suivant l’application du collyre et il persiste jusqu’à 12 heures.
-L’analyse d’ECG réalisés à long terme après administration itérative de doses orales (jusqu’à 4 mg 2×/jour) n’a pas mis en évidence d’effet cliniquement significatif sur l’intervalle QT corrigé (QTc).
-Chez plus de 3700 patients traités par azélastine par voie orale, aucune arythmie ventriculaire ni tachycardie ventriculaire chaotique (torsade de pointe) n’a été constatée.
- +L'utilisation oculaire du principe actif azélastine s'impose en raison de son action locale et de son bref délai d'action. Un effet s'observe dans les 10 à 20 minutes suivant l'application du collyre et il persiste jusqu'à 12 heures.
- +L'analyse d'ECG réalisés à long terme après administration itérative de doses orales (jusqu'à 4 mg 2×/jour) n'a pas mis en évidence d'effet cliniquement significatif sur l'intervalle QT corrigé (QTc).
- +Chez plus de 3700 patients traités par azélastine par voie orale, aucune arythmie ventriculaire ni tachycardie ventriculaire chaotique (torsade de pointe) n'a été constatée.
-Suite aux faibles doses appliquées localement dans l’oeil, seules des concentrations minimales d’azélastine et de déméthylazélastine ont été mesurées dans le plasma. Après administration oculaire répétée (0,12 mg par jour, correspondant à 1 goutte 4×/jour dans chaque oeil), les Cmax mesurées à l’état d‘équilibre étaient très basses et généralement inférieures ou égales au seuil de détection de 0,25 ng/ml.
- +Suite aux faibles doses appliquées localement dans l'oeil, seules des concentrations minimales d'azélastine et de déméthylazélastine ont été mesurées dans le plasma. Après administration oculaire répétée (0,12 mg par jour, correspondant à 1 goutte 4×/jour dans chaque oeil), les Cmax mesurées à l'état d'équilibre étaient très basses et généralement inférieures ou égales au seuil de détection de 0,25 ng/ml.
-Le volume de distribution de l’azélastine peut atteindre 50 fois le volume corporel, ce qui implique une distribution périphérique élevée du médicament. Seule une faible part de la radioactivité, env. 1,4%, est décelée dans le sang après administration orale de 14C-azélastine.
- +Le volume de distribution de l'azélastine peut atteindre 50 fois le volume corporel, ce qui implique une distribution périphérique élevée du médicament. Seule une faible part de la radioactivité, env. 1,4%, est décelée dans le sang après administration orale de 14Cazélastine.
-L’azélastine est largement métabolisée. Les principales voies de réaction métabolique sont la Ndéméthylation, l’hydroxylation cyclique et la scission oxydative du noyau d’azépine en métabolites amphioniques.
- +L'azélastine est largement métabolisée. Les principales voies de réaction métabolique sont la N-déméthylation, l'hydroxylation cyclique et la scission oxydative du noyau d'azépine en métabolites amphioniques.
-Sur les bases de données issues après application orale et intraveienuse, la demi-vie d’élimination plasmatique est d’environ 25 heures pour l’azélastine. Elle est d’environ 45 heures pour la Ndéméthylazélastine, métabolite principal également actif.
-Seuls 6,5% de la dose sont éliminés sous forme inchangée. Après administration de 14C-azélastine, 75% de la radioactivité se retrouvent dans les fèces, 25% dans l’urine. L’élimination continuelle de faibles quantités de la dose administrée laisse supposer un cycle entéro-hépatique de peu d’importance.
-L’azélastine est dégradée oxydativement en Ndéméthylazélastine, métabolite principal, par le système du CYT P 450.
- +Sur les bases de données issues après application orale et intraveienuse, la demi-vie d'élimination plasmatique est d'environ 25 heures pour l'azélastine. Elle est d'environ 45 heures pour la N-déméthylazélastine, métabolite principal également actif.
- +Seuls 6,5% de la dose sont éliminés sous forme inchangée. Après administration de 14C-azélastine, 75% de la radioactivité se retrouvent dans les fèces, 25% dans l'urine. L'élimination continuelle de faibles quantités de la dose administrée laisse supposer un cycle entéro-hépatique de peu d'importance.
- +L'azélastine est dégradée oxydativement en N-déméthylazélastine, métabolite principal, par le système du CYT P 450.
-Aucun effet génotoxique ni aucun potentiel carcinogène n’a été mis en évidence pour le chlorhydrate d’azélastine dans une série de tests in vitro et in vivo.
-Chez les rats mâle et femelle, l’administration d’azélastine à des doses journalières orales supérieures à 3,0 mg/kg a provoqué une diminution dose-dépendante de l’index de fertilité. Toutefois, les études de toxicité chronique n’ont pas mis en évidence de modifications liées à la substance sur les organes de reproduction mâles ou femelles.
- +Aucun effet génotoxique ni aucun potentiel carcinogène n'a été mis en évidence pour le chlorhydrate d'azélastine dans une série de tests in vitro et in vivo.
- +Chez les rats mâle et femelle, l'administration d'azélastine à des doses journalières orales supérieures à 3,0 mg/kg a provoqué une diminution dose-dépendante de l'index de fertilité. Toutefois, les études de toxicité chronique n'ont pas mis en évidence de modifications liées à la substance sur les organes de reproduction mâles ou femelles.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Après l’ouverture du flacon, la solution ne doit pas être conservée plus de 4 semaines.
-Afin d’éviter la contamination de l’embout du compte-gouttes ou de la solution, éviter si possible que l’embout du compte-gouttes n’entre en contact avec un autre objet, les paupières ou le pourtour de l’oeil. Conserver bien fermé un flacon qui n’est pas utilisé. Le produit est stérile après son conditionnement par le fabricant.
- +Après l'ouverture du flacon, la solution ne doit pas être conservée plus de 4 semaines.
- +Afin d'éviter la contamination de l'embout du compte-gouttes ou de la solution, éviter si possible que l'embout du compte-gouttes n'entre en contact avec un autre objet, les paupières ou le pourtour de l'oeil. Conserver bien fermé un flacon qui n'est pas utilisé. Le produit est stérile après son conditionnement par le fabricant.
-ALLERGODIL gtt opht fl 6 ml. (B)
-ALLERGODIL SAISONAL gtt opht fl 4 ml. (C)
- +Allergodil gtt opht fl 6 ml. (B)
- +Allergodil saisonal gtt opht fl 4 ml. (C)
-Juillet 2012.
- +Juin 2018.
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