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Accueil - Information professionnelle sur Lamictal 5 mg - Changements - 18.07.2024
50 Changements de l'information professionelle Lamictal 5 mg
  • -Enfants entre 2 et 12 ans:
  • +Enfants de 2 à 12 ans:
  • -Le comprimé peut être soit croqué, soit mis en suspension dans un peu d'eau (l'eau doit au moins recouvrir le comprimé), soit avalé entier avec un peu de liquide. NE JAMAIS administrer seulement des parties d'un comprimé à croquer/à déliter. Le comprimé NE doit PAS être partagé avant son administration ou sa prise; il doit seulement être croqué, mis en suspension ou avalé en entier. Le comprimé peut être pris au moment ou en dehors des repas.
  • +Le comprimé peut être soit croqué, soit mis en suspension dans un peu d'eau (l'eau doit au moins recouvrir le comprimé), soit avalé entier avec un peu de liquide. NE JAMAIS administrer seulement des parties d'un comprimé à croquer/à déliter. Le comprimé NE doit PAS être partagé avant son administration ou sa prise; il doit seulement être croqué, mis en suspension ou avalé en entier. Le comprimé peut être pris au moment des repas ou en dehors.
  • -Si la dose calculée en fonction du poids corporel (par exemple, chez l'enfant ou l'insuffisant hépatique) ne correspond pas à un nombre de comprimés entiers, la dose à administrer doit être arrondie au nombre immédiatement inférieur de comprimés entiers.
  • +Si la dose calculée en fonction du poids corporel (p. ex., chez l'enfant ou l'insuffisant hépatique) ne correspond pas à un nombre de comprimés entiers, la dose à administrer doit être arrondie au nombre immédiatement inférieur de comprimés entiers.
  • -A partir de la semaine 7: si nécessaire, augmenter la dose à une dose d'entretien de 200 mg 2 fois par jour
  • +A partir de la semaine 7: si nécessaire, augmenter la dose à une dose d'entretien de 200 mg 2 fois par jour.
  • -Une fois que la dose d'entretien de la lamotrigine est atteinte, les autres psychotropes peuvent être arrêtés lentement, si indiqué sur le plan clinique. Le schéma posologique suivant peut être utilisé pour arrêter d'autres psychotropes:
  • +Une fois que la dose d'entretien de la lamotrigine est atteinte, les autres psychotropes peuvent être arrêtés lentement, si cela est indiqué sur le plan clinique. Le schéma posologique suivant peut être utilisé pour arrêter d'autres psychotropes:
  • -a) Femmes prenant des contraceptifs hormonaux (cf. aussi les rubriques «Mises en garde et précautions» et «Interactions»)
  • +a) Femmes prenant des contraceptifs hormonaux et des traitements hormonaux substitutifs (cf. aussi les rubriques «Mises en garde et précautions» et «Interactions»)
  • +• Début de la prise d'un traitement hormonal substitutif aux œstrogènes chez les patientes recevant déjà des doses d'entretien de lamotrigine et AUCUN inducteur de la glucuronidation de la lamotrigine:
  • +Un traitement hormonal substitutif peut augmenter la clairance de la lamotrigine. Une surveillance étroite avec une éventuelle augmentation de la dose de lamotrigine peut être nécessaire.
  • +• Arrêt de la prise d'un traitement hormonal substitutif aux œstrogènes chez les patientes prenant déjà des doses d'entretien de lamotrigine et AUCUN inducteur de la glucuronidation de la lamotrigine:
  • +Une surveillance étroite avec diminution de la dose de lamotrigine peut être nécessaire.
  • +
  • -Des exanthèmes ont aussi été décrits dans le contexte d'un syndrome DRESS (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms), également connu sous le nom de syndrome d'hypersensibilité. Cette maladie est associée aux symptômes systémiques les plus divers tels que fièvre, lymphadénopathie, œdème facial, altérations des paramètres hématologiques, hépatiques et rénaux, ainsi que méningite aseptique (cf. «Effets indésirables»). Le degré de sévérité clinique de ce syndrome est très variable et peut conduire dans de rares cas à une coagulopathie de consommation aiguë (coagulation intravasculaire disséminée, CIVD) et à une défaillance multiviscérale. Il est important de noter que les signes systémiques d'une hypersensibilité (par exemple fièvre et lymphadénopathie) peuvent se manifester même si aucune altération cutanée n'est visible.
  • +Des exanthèmes ont aussi été décrits dans le contexte d'un syndrome DRESS (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms), également connu sous le nom de syndrome d'hypersensibilité. Cette maladie est associée aux symptômes systémiques les plus divers tels que fièvre, lymphadénopathie, œdème facial, altérations des paramètres hématologiques, hépatiques et rénaux, ainsi que méningite aseptique (cf. «Effets indésirables»). Le degré de sévérité clinique de ce syndrome est très variable et peut conduire dans de rares cas à une coagulopathie de consommation aiguë (coagulation intravasculaire disséminée, CIVD) et à une défaillance multiviscérale. Il est important de noter que les signes systémiques d'une hypersensibilité (p.ex. fièvre et lymphadénopathie) peuvent se manifester même si aucune altération cutanée n'est visible.
  • -Comme avec les autres antiépileptiques, un arrêt brutal de Lamictal peut provoquer un rebond des crises épileptiques. C'est pourquoi, sauf dans les cas où un arrêt brutal est nécessaire pour des raisons de sécurité (par exemple à cause de réactions cutanées), il faut arrêter progressivement le traitement par Lamictal, en diminuant les doses par paliers sur une période de 2 semaines.
  • +Comme avec les autres antiépileptiques, un arrêt brutal de Lamictal peut provoquer un rebond des crises épileptiques. C'est pourquoi, sauf dans les cas où un arrêt brutal est nécessaire pour des raisons de sécurité (p.ex. à cause de réactions cutanées), il faut arrêter progressivement le traitement par Lamictal, en diminuant les doses par paliers sur une période de 2 semaines.
  • -Une LHH est survenue chez des patients adultes et pédiatriques en lien avec la prise de lamotrigine (cf. «Effets indésirables»). La LHH est un syndrome menaçant potentiellement le pronostic vital avec une activation pathologique du système immunitaire. Si la LHH n'est pas détectée et traitée précocement, son évolution est fréquemment fatale. La maladie se caractérise par des signes cliniques et des symptômes d'une grave inflammation systémique tels que fièvre, éruption cutanée, hépato-splénomégalie, cytopénie (notamment anémie et thrombocytopénie), lymphadénopathie, symptômes neurologiques, ferritine sérique élevée, hypertriglycéridémie, ainsi que troubles de la fonction hépatique et de la coagulation. Les symptômes apparaissent généralement en l'espace de quelques jours et jusqu'à 4 semaines après le début du traitement. Les patients chez qui de tels signes et symptômes se manifestent doivent être examinés immédiatement et leur état doit être évalué en vue d'un éventuel diagnostic de LHH. L'administration de lamotrigine est suspendue aussi longtemps qu'une étiologie alternative ne peut être établie.
  • +Une LHH est survenue chez des patients adultes et pédiatriques en lien avec la prise de lamotrigine (cf. «Effets indésirables»). La LHH est un syndrome menaçant potentiellement le pronostic vital avec une activation pathologique du système immunitaire. Si la LHH n'est pas détectée et traitée précocement, son évolution est fréquemment fatale. La maladie se caractérise par des signes cliniques et des symptômes d'une grave inflammation systémique tels que fièvre, éruption cutanée, hépato-splénomégalie, cytopénie (notamment anémie et thrombocytopénie), lymphadénopathie, symptômes neurologiques, ferritine sérique élevée, hypertriglycéridémie, ainsi que troubles de la fonction hépatique et de la coagulation. Les symptômes apparaissent généralement en l'espace de quelques jours et jusqu'à 4 semaines après le début du traitement. Les patients chez lesquels de tels signes et symptômes se manifestent doivent être examinés immédiatement et leur état doit être évalué en vue d'un éventuel diagnostic de LHH. L'administration de lamotrigine est suspendue aussi longtemps qu'une étiologie alternative ne peut être établie.
  • -Chez les patients souffrant d'un trouble bipolaire, une aggravation des symptômes dépressifs et/ou l'apparition d'une suicidalité peuvent survenir, indépendamment du fait que les patients prennent ou non des médicaments pour le traitement des troubles bipolaires, y compris la lamotrigine. 25%-50% des patients souffrant d'un trouble bipolaire font au moins une fois une tentative de suicide. En outre, il existe des indices que les patients épileptiques présentent aussi un risque accru de suicidalité (voir ci-dessous).
  • +Chez les patients souffrant d'un trouble bipolaire, une aggravation des symptômes dépressifs et/ou l'apparition d'une suicidalité peuvent survenir, indépendamment du fait que les patients prennent ou non des médicaments pour le traitement des troubles bipolaires, y compris la lamotrigine. 25%-50% des patients souffrant d'un trouble bipolaire font au moins une fois une tentative de suicide. En outre, il existe des indices que les patients épileptiques présentent aussi un risque accru de suicidalité (voir cidessous).
  • -Contraceptifs hormonaux
  • +Contraceptifs hormonaux et traitements hormonaux substitutifs
  • -L'association éthinylestradiol/lévonorgestrel multiplie environ par deux la clairance de la lamotrigine, entraînant ainsi une diminution de la concentration de lamotrigine (cf. «Interactions»). Après la titration de la dose, de plus fortes doses d'entretien de lamotrigine sont donc nécessaires dans la majorité des cas pour obtenir un effet thérapeutique optimal (cf. «Posologie/Mode d'emploi, Instructions posologiques particulières»). Chez les femmes ne recevant pas déjà un inducteur de la glucuronidation de la lamotrigine mais prenant un contraceptif hormonal prévoyant un intervalle sans principe actif (par ex. «semaine sans prise»), une augmentation progressive temporaire des taux de lamotrigine pendant l'intervalle sans principe actif est observée, laquelle est susceptible de provoquer des effets indésirables. Ces augmentations sont plus importantes lorsque les élévations de la dose de lamotrigine sont effectuées durant la semaine sans principe actif ou les jours précédents. Il faut attirer l'attention des patientes sur des fluctuations correspondantes.
  • +Un contraceptif oral combiné avec l'association éthinylestradiol/lévonorgestrel multiplie environ par deux la clairance de la lamotrigine, entraînant ainsi une diminution de la concentration de lamotrigine (cf. «Interactions»). Après la titration de la dose, de plus fortes doses d'entretien de lamotrigine sont donc nécessaires dans la majorité des cas pour obtenir un effet thérapeutique optimal (cf. «Posologie/Mode d'emploi, Instructions posologiques particulières»). Chez les femmes ne recevant pas déjà un inducteur de la glucuronidation de la lamotrigine mais prenant un contraceptif hormonal prévoyant un intervalle sans principe actif (p.ex. «semaine sans prise»), une augmentation progressive temporaire des taux de lamotrigine pendant l'intervalle sans principe actif est observée, laquelle est susceptible de provoquer des effets indésirables. Ces augmentations sont plus importantes lorsque les élévations de la dose de lamotrigine sont effectuées durant la semaine sans principe actif ou les jours précédents. Il faut attirer l'attention des patientes sur des fluctuations correspondantes.
  • +Effets des traitements hormonaux substitutifs sur l'efficacité de la lamotrigine:
  • +Certains rapports ont évoqué une possible interaction avec des traitements hormonaux substitutifs aux œstrogènes, qui pourraient entraîner une diminution de l'efficacité de la lamotrigine. Une surveillance étroite avec adaptation éventuelle de la dose de lamotrigine est donc recommandée si un traitement hormonal substitutif est mis en place. Après l'arrêt de la préparation hormonale, les concentrations de lamotrigine peuvent à nouveau augmenter, de sorte que la patiente devrait aussi faire l'objet d'une surveillance pendant cette phase pour éventuellement réduire la dose de lamotrigine.
  • +
  • -Dans de très rares cas, une corrélation a été constatée avec un tracé d'ECG typique de Brugada, bien qu'aucun lien de causalité n'ai pu être confirmé. Aussi, l'utilisation de la lamotrigine chez des patients présentant un syndrome de Brugada ne doit être envisagée qu'avec une prudence particulière, s'il n'existe aucune autre alternative thérapeutique (voir «Propriétés/Effets» sous Pharmacodynamique).
  • +Dans de très rares cas, une corrélation a été constatée avec un tracé d'ECG typique de Brugada, bien qu'aucun lien de causalité n'ait pu être confirmé. Aussi, l'utilisation de la lamotrigine chez des patients présentant un syndrome de Brugada ne doit être envisagée qu'avec une prudence particulière, s'il n'existe aucune autre alternative thérapeutique (voir «Propriétés/Effets» sous Pharmacodynamique).
  • -Pour les instructions posologiques, voir «Posologie/Mode d'emploi» sous «Instructions posologiques particulières en cas d'épilepsie et de trouble bipolaire»; chez les femmes qui prennent des contraceptifs hormonaux, voir aussi «Mises en garde et précautions» – «Contraceptifs hormonaux».
  • +Pour les instructions posologiques, voir «Posologie/Mode d'emploi» sous «Instructions posologiques particulières en cas d'épilepsie et de trouble bipolaire»; chez les femmes qui prennent des contraceptifs hormonaux ou des traitements hormonaux substitutifs, voir aussi «Mises en garde et précautions» – «Contraceptifs hormonaux et traitements hormonaux substitutifs».
  • -Chez 20 volontaires sains ayant reçu pendant 6 jours 2 g de gluconate de lithium anhydre 2 fois par jour ainsi que 100 mg de lamotrigine une fois par jour, la pharmacocinétique du lithium n'était pas fondamentalement modifiée (< 10% de réduction de l'AUC). L'influence de cette association sur la pharmacocinétique de la lamotrigine n'a pas été évalué dans cette étude. Une dose de 100 mg de lamotrigine correspond à la moitié de la dose d'entretien recommandée pour l'indication «trouble bipolaire», si bien que les résultats de cette étude ne permettent pas d'exclure des effets éventuellement plus marqués sur la pharmacocinétique du lithium lors de l'administration de la lamotrigine à des doses thérapeutiques.
  • -Interactions avec les contraceptifs hormonaux (cf. «Posologie/Mode d'emploi», «Instructions posologiques particulières» et «Mises en garde et précautions»)
  • +Chez 20 volontaires sains ayant reçu pendant 6 jours 2 g de gluconate de lithium anhydre 2 fois par jour ainsi que 100 mg de lamotrigine une fois par jour, la pharmacocinétique du lithium n'était pas fondamentalement modifiée (<10% de réduction de l'AUC). L'influence de cette association sur la pharmacocinétique de la lamotrigine n'a pas été évaluée dans cette étude. Une dose de 100 mg de lamotrigine correspond à la moitié de la dose d'entretien recommandée pour l'indication «trouble bipolaire», si bien que les résultats de cette étude ne permettent pas d'exclure des effets éventuellement plus marqués sur la pharmacocinétique du lithium lors de l'administration de la lamotrigine à des doses thérapeutiques.
  • +Interactions avec les contraceptifs hormonaux et les traitements hormonaux substitutifs (cf. «Posologie/Mode d'emploi», «Instructions posologiques particulières» et «Mises en garde et précautions»)
  • -Aucun autre contraceptif oral ni traitement hormonal substitutif (THS) n'a été évalué, bien que ceux-ci puissent avoir un effet similaire sur les paramètres pharmacocinétiques de la lamotrigine.
  • -Effet de la lamotrigine sur la pharmacocinétique du contraceptif hormonal:
  • -Dans une étude menée chez 16 sujets de sexe féminin, une dose à l'état d'équilibre de 300 mg de lamotrigine n'a eu aucun impact sur la pharmacocinétique du composant éthinylestradiol d'un contraceptif oral combiné. Une augmentation modérée de la clairance du composant lévonorgestrel a été observée, ce qui a entraîné une réduction moyenne de 19% de l'AUC respectivement de 12% de la Cmax du lévonorgestrel. La mesure des concentrations sériques de FSH, de LH et d'estradiol au cours de l'étude a révélé chez quelques femmes une certaine perte d'efficacité en ce qui concerne la suppression de l'activité hormonale ovarienne, bien que la détermination des taux sériques de progestérone n'ait mis en évidence de signe hormonal d'ovulation chez aucune des 16 volontaires. L'effet de l'augmentation modérée de la clairance du lévonorgestrel et des modifications des taux sériques de FSH et LH sur l'activité ovarienne est inconnu. Une diminution de l'efficacité contraceptive ne peut être exclue de façon certaine. Aucune étude n'a été réalisée jusqu'à présent avec une posologie autre que 300 mg/jour de lamotrigine ou avec d'autres produits contenant des hormones féminines.
  • +Aucun autre contraceptif oral ni traitement hormonal substitutif (THS) n'a été évalué, bien que ceux-ci puissent avoir un effet similaire sur les paramètres pharmacocinétiques de la lamotrigine. Certains rapports montrent que les THS aux œstrogènes peuvent limiter l'efficacité de la lamotrigine.
  • +Effet de la lamotrigine sur la pharmacocinétique du contraceptif hormonal et des traitements hormonaux substitutifs:
  • +Dans une étude menée chez 16 sujets de sexe féminin, une dose à l'état d'équilibre de 300 mg de lamotrigine n'a eu aucun impact sur la pharmacocinétique du composant éthinylestradiol d'un contraceptif oral combiné. Une augmentation modérée de la clairance du composant lévonorgestrel a été observée, ce qui a entraîné une réduction moyenne de 19% de l'AUC respectivement de 12% de la Cmax du lévonorgestrel. La mesure des concentrations sériques de FSH, de LH et d'estradiol au cours de l'étude a révélé chez quelques femmes une certaine perte d'efficacité en ce qui concerne la suppression de l'activité hormonale ovarienne, bien que la détermination des taux sériques de progestérone n'ait mis en évidence de signe hormonal d'ovulation chez aucune des 16 volontaires. L'effet de l'augmentation modérée de la clairance du lévonorgestrel et des modifications des taux sériques de FSH et LH sur l'activité ovarienne est inconnu. Une diminution de l'efficacité contraceptive ne peut être exclue de façon certaine. Aucune étude n'a été réalisée jusqu'à présent avec une posologie autre que 300 mg/jour de lamotrigine ou avec d'autres produits contenant des hormones féminines (y compris de la progestérone/des traitements hormonaux substitutifs à la progestérone).
  • -Fréquence inconnue: trouble obsessionnel compulsif.
  • +Fréquence inconnue: trouble obsessionnel compulsif
  • -* Dans des cas isolés, des troubles moteurs extrapyramidaux et une choréoathétose ont été décrits chez des patients sans maladie préexistante correspondante.
  • +*Dans des cas isolés, des troubles moteurs extrapyramidaux et une choréoathétose ont été décrits chez des patients sans maladie préexistante correspondante.
  • -* peut survenir en relation avec une uvéite.
  • +*peut survenir en relation avec une uvéite.
  • -Suicidalité totale 29/1212 (2,4%) 19/1054 (1,8%) 1,31 (0,73; 2,39) 0,46
  • -dont
  • -
  • +Suicidalité totale dont 29/1212 (2,4%) 19/1054 (1,8%) 1,31 (0,73; 2,39) 0,46
  • -* dont la lamotrigine (cf. «Mises en garde et précautions»)
  • - Antiépileptiques Placebo
  • - Valeur absolue Pourcentage Valeur absolue Pourcentage OR
  • -Suicidalité totale 104/27863 0,37% 38/16029 0,24% 1,58
  • -dont
  • -
  • +*dont la lamotrigine (cf. «Mises en garde et précautions»)
  • + Antiépileptiques Placebo OR
  • + Valeur absolue Pourcentage Valeur absolue Pourcentage
  • +Suicidalité totale dont 104/27863 0,37% 38/16029 0,24% 1,58
  • -suicide accompli 4/27863 0.01% 0/16029 0.00%
  • +suicide accompli 4/27863 0,01% 0/16029 0,00% -
  • -Dans les deux études, l'analyse principale du délai écoulé jusqu'à la survenue d'un événement bipolaire quelconque (TIME to Any Bipolar Event, ABE) (tableau 1), du TIDep (tableau 2) et du TIMan (tableau 3) a montré qu'au bout de 12 et 18 mois, la proportion estimée de patients «sans intervention/sans événement» était toujours plus élevée dans le groupe sous lamotrigine que dans le groupe sous placebo. Une comparaison des courbes de Kaplan-Meier a montré, pour les critères TIME (ABE) et TIDep, une différence statistiquement significative entre placebo et lamotrigine, en faveur de cette dernière (p <0,05).
  • +Dans les deux études, l'analyse principale du délai écoulé jusqu'à la survenue d'un événement bipolaire quelconque (TIME to Any Bipolar Event, ABE) (tableau 1), du TIDep (tableau 2) et du TIMan (tableau 3) a montré qu'au bout de 12 et 18 mois, la proportion estimée de patients «sans intervention/sans événement» était toujours plus élevée dans le groupe sous lamotrigine que dans le groupe sous placebo. Une comparaison des courbes de Kaplan-Meier a montré, pour les critères TIME (ABE) et TIDep, une différence statistiquement significative entre placebo et lamotrigine, en faveur de cette dernière (p < 0,05).
  • -Pendant la durée de l'étude, le risque d'intervention motivée par une dépression a été réduit de 33% (SCAB2003) et de 61% (SCAB2006) sous lamotrigine par rapport au groupe sous placebo (modèle à risques proportionnels de Cox: p <0,05).
  • +Pendant la durée de l'étude, le risque d'intervention motivée par une dépression a été réduit de 33% (SCAB2003) et de 61% (SCAB2006) sous lamotrigine par rapport au groupe sous placebo (modèle à risques proportionnels de Cox: p<0,05).
  • -Mars 2023
  • +Juin 2024
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