62 Changements de l'information professionelle Sandostatin LAR 10 mg Fertigspritzen |
-·Une seringue prête à l'emploi contenant le solvant: 2,0 ml
- +·Une seringue prête à l'emploi contenant le solvant: 2.0 ml
-·Une aiguille de sécurité pour l'injection (20 G × 1,5")
- +·Une aiguille de sécurité pour l'injection
- +Traitement des patients atteints de tumeurs neuroendocrines avancées bien différenciées (G1, G2) de l’intestin moyen (intestin grêle, cæcum et appendice).
-Sandostatine LAR ne peut être administré qu'en injection intramusculaire profonde dans le muscle fessier. En cas d'administrations répétées, l'injection doit être effectuée alternativement dans le muscle fessier droit et gauche (cf. «Instructions pour l'injection i.m.»).
-Afin de garantir une posologie correcte, le kit d'injection Sandostatine LAR doit être réchauffé à température ambiante avant la reconstitution (voir «Autres remarques», rubrique «Précautions particulières de manipulation»).
- +Sandostatine LAR ne peut être administré qu'en injection intramusculaire profonde dans le muscle fessier. En cas d'administrations répétées, l'injection doit être effectuée alternativement dans le muscle fessier droit et gauche.
- +Afin de garantir une posologie correcte, le kit d'injection Sandostatine LAR doit être réchauffé à température ambiante avant la reconstitution (voir «Autres remarques», rubrique «Précautions de manipulation»).
-·Dans les cas où les symptômes cliniques et les paramètres biochimiques (GH; IGF-1) ne peuvent pas être contrôlés pleinement (taux sériques de GH encore supérieurs à 2.5 µg/l), après 3 mois de traitement, la dose peut être augmentée à 30 mg à intervalle de 4 semaines.
- +·Chez les patients dont les symptômes cliniques et les paramètres biochimiques (GH; IGF-1) ne peuvent pas être contrôlés pleinement (taux sériques de GH encore supérieurs à 2.5 µg/l), après 3 mois de traitement, la dose peut être augmentée à 30 mg à intervalle de 4 semaines.
-Il est recommandé de commencer le traitement avec 20 mg de Sandostatine LAR à intervalles de 4 semaines. Chez les patients déjà traités par injection sous-cutanée d'octréotide, le dosage d'octréotide sous-cutané préalablement efficace doit être également poursuivi jusqu'à 2 semaines après la première injection de Sandostatine LAR.
-Ajustement de la posologie
- +Tumeur fonctionnelle du système gastro-entéropancréatique neuroendocrinien ou de l’intestin moyen (carcinoïdes, VIP)
- +Il est recommandé, avant de commencer le traitement avec Sandostatine LAR, d’administrer Sandostatine par voie sous-cutanée sur une courte durée (2 semaines environ) à raison de 0.1 mg trois fois par jour chez ces patients afin de tester la réponse thérapeutique ainsi que la tolérance systémique à l’octréotide.
- +Le traitement peut débuter avec Sandostatine LAR 20 mg à intervalles de 4 semaines. Chez les patients déjà traités par injection sous-cutanée d’octréotide, le dosage d’octréotide sous-cutané préalablement efficace doit être également poursuivi jusqu’à 2 semaines après la première injection de Sandostatine LAR.
- +Sous traitement par Sandostatine LAR, il se peut que les symptômes propres à des tumeurs du système gastroentéropancréatiques puissent s’aggraver certains jours. Dans ce cas, il est recommandé d’administrer en complément de l’octréotide par voie sous-cutanée aux doses administrées avant le traitement avec Sandostatine LAR. Ceci peut être nécessaire, surtout pendant les 2 premiers mois de traitement, jusqu’à ce que les taux thérapeutiques d’octréotide soient atteints.
-·Chez les patients dont les symptômes n'ont pu être contrôlés que partiellement après un traitement de 3 mois, la posologie peut être augmentée à 30 mg de Sandostatine LAR à intervalles de 4 semaines.
-Sous traitement par Sandostatine LAR, il se peut que les symptômes propres à des tumeurs du système gastroentéropancréatiques puissent s'aggraver certains jours. Dans ce cas, il est recommandé d'administrer en complément de l'octréotide par voie sous-cutanée aux doses administrées avant le traitement avec Sandostatine LAR. Ceci peut être nécessaire, surtout pendant les 2 premiers mois de traitement, jusqu'à ce que les taux thérapeutiques d'octréotide soient atteints.
- +·Chez les patients dont les symptômes n’ont pu être contrôlés que partiellement après un traitement de 3 mois, la posologie peut être augmentée à 30 mg de Sandostatine LAR à intervalles de 4 semaines.
- +Tumeur neuroendocrine de l’intestin moyen
- +La dose recommandée de Sandostatine LAR est de 30 mg à intervalles de 4 semaines. En cas d’absence de progression tumorale, le traitement par Sandostatine LAR devrait être poursuivi afin de contrôler la tumeur.
-Une étude clinique portant sur une petite dose unique chez les patients plus âgés a révélé qu'un dosage spécial n'était pas nécessaire chez les personnes âgées au début d'un traitement avec Sandostatine LAR.
- +Une posologie spéciale chez les patients âgés au début d’un traitement par Sandostatine ou par Sandostatine LAR n’est pas nécessaire.
-Aucune expérience n'a été faite avec l'utilisation de Sandostatine LAR chez les enfants et les adolescents.
- +On ne dispose d'aucune expérience sur l'utilisation de Sandostatine LAR chez les patients de moins de 18 ans.
-Il est inutile d'ajuster la dose (voir «Pharmacocinétique»).
- +Il est inutile d’ajuster la dose (voir «Pharmacocinétique»).
-Une étude sur l'administration sous-cutanée et intra-veineuse d'octréotide a démontré que la capacité d'élimination pouvait être diminuée chez les patients souffrant de cirrhose, mais pas chez les patients souffrant de dégénérescence graisseuse du foie. Une adaptation de la dose chez les patients atteints de cirrhose n'est pas nécessaire en raison de la grande marge thérapeutique de l'octréotide.
- +L’élimination de l’octréotide peut diminuer chez les patients souffrant de cirrhose. Une adaptation de la dose de Sandostatine LAR chez les patients atteints de cirrhose n'est pas nécessaire en raison de la grande marge thérapeutique de l'octréotide.
-Des taux sanguins de vitamine B12 plus faibles et des taux anormaux lors du test de Schilling ont été observés chez certains patients traités par l'octéotride. Il est recommandé pendant le traitement par Sandostatine LAR de surveiller les taux sanguins de vitamine B12 chez les patients présentant des antécédents de carence en vitamine B12.
- +Des taux sanguins de vitamine B12 plus faibles et des taux anormaux lors du test de Schilling ont été observés chez certains patients traités par l’octréotride. Il est recommandé pendant le traitement par Sandostatine LAR de surveiller les taux sanguins de vitamine B12 chez les patients présentant des antécédents de carence en vitamine B12.
-Nous ne savons pas si l'octréotide a des incidences sur la fertilité humaine. L'octréotide en dose allant jusqu'à 1 mg/kg/jour n'a pas d'incidence sur la fertilité des rats mâles et femelles (voir «Données précliniques»).
- +On ignore si l'octréotide a des incidences sur la fertilité humaine. L'octréotide en dose allant jusqu'à 1 mg/kg/jour n'a pas d'incidence sur la fertilité des rats mâles et femelles (voir «Données précliniques»).
-Les effets secondaires gastro-intestinaux peuvent être évités lorsque les injections sont faites bien en-dehors des repas, c'est-à-dire entre les repas ou le soir avant le coucher.
-Chez les patients atteints d'acromégalie et de carcinoïde, des modifications de l'ECG telles qu'un allongement de QT, une déviation de l'axe, une repolarisation précoce, un faible voltage, une transition R/S, une propagation précoce de l'onde R et des modifications non spécifiques des ondes ST-T, ont été observées. Le lien entre ces événements et l'octréotide n'a pas été clairement démontré, car beaucoup de ces patients souffraient d'une cardiopathie sous-jacente (cf. «Mises en garde et précautions»).
- +Des modifications de l'ECG telles qu'un allongement de QT, une déviation de l'axe, une repolarisation précoce, un faible voltage, une transition R/S, une propagation précoce de l'onde R et des modifications non spécifiques des ondes ST-T, ont été observées. Le lien entre ces événements et l'octréotide n'a pas été clairement démontré, car beaucoup de ces patients souffraient d'une cardiopathie sous-jacente (cf. «Mises en garde et précautions»).
-Non connu: Réactions d'hypersensibilité, y compris les réactions anaphylactiques.
- +Non connus: Réactions d'hypersensibilité, y compris les réactions anaphylactiques.
-Très fréquents: Hyperglycémie (10,8%).
- +Très fréquents: Hyperglycémie (10.8%).
-Très fréquents: Céphalées (12,4%).
- +Très fréquents: Céphalées (12.4%).
-Très fréquents: Diarrhée (26,1%), douleurs abdominales (24,2%), nausées (14,3%), flatulences (14,2%), constipation (12,7%).
- +Très fréquents: Diarrhée (26.1%), douleurs abdominales (24.2%), nausées (14.3%), flatulences (14.2%), constipation (12.7%).
-Très fréquents: Cholélithiase (12,0%).
- +Très fréquents: Cholélithiase (12.0%).
-Le traitement du surdosage de Sandostatine est symptomatique.
- +Le traitement du surdosage de Sandostatine LAR est symptomatique.
-Sandostatine LAR – une forme galénique à l'efficacité prolongée de l'octréotide pour une administration répétée à 4 semaines d'intervalle – libère des concentrations thérapeutiques et constantes d'octréotide; de ce fait, elle diminue les taux sériques de GH et normalise les taux sériques d'IGF-1 de façon régulière. Chez la plupart des patients, Sandostatine LAR réduit considérablement les symptômes cliniques de la maladie tels que les céphalées, la transpiration, les paresthésies, la fatigue, les douleurs osseuses et articulaires et le syndrome du canal carpien.
- +Sandostatine LAR libère des concentrations thérapeutiques et constantes d'octréotide; de ce fait, elle diminue les taux sériques de GH et normalise les taux sériques d'IGF-1 de façon régulière. Chez la plupart des patients, Sandostatine LAR réduit considérablement les symptômes cliniques de la maladie tels que les céphalées, la transpiration, les paresthésies, la fatigue, l‘osteoarthralgie et le syndrome du canal carpien.
-Sandostatine LAR permet de contrôler de façon continue les symptômes engendrés par la maladie sous-jacente. Ce faisant, l'octréotide influence les différentes formes de tumeurs gastro-entéropancréatiques de la façon suivante:
- +L’administration de Sandostatine LAR permet de contrôler de façon continue les symptômes engendrés par la maladie sous-jacente. Ce faisant, l'octréotide influence les différentes formes de tumeurs gastro-entéropancréatiques de la façon suivante:
- +Tumeurs neuroendocrines avancées bien différenciées de l’intestin moyen
- +Des patients atteints de tumeurs métastatiques neuroendocrines bien différenciées fonctionnelles ou non fonctionnelles de l’intestin moyen ont été inclus dans une étude de phase III contrôlée contre placebo (PROMID).
- +85 patients ont été randomisés pour recevoir un traitement par Sandostatine LAR 30 mg à intervalles de quatre semaines (n = 42) ou par placebo (n = 43).
- +Les principaux critères d’inclusion étaient: non traité, histologiquement confirmé, inopérable localement ou avancée métastatique, bien différencié, tumeurs neuroendocrines fonctionnelles ou non fonctionnelles, carcinomes neuroendocriniens fonctionnels ou non fonctionnels, tumeur primaire localisée dans l’intestin moyen ou d’origine inconnue (mais origine supposée dans l’intestin moyen après exclusion d’une tumeur primaire du pancréas, du thorax ou d’autres localisations).
- +L’intervalle de temps jusqu’à la progression tumorale (TTP) constitue le premier critère d’évaluation, basé sur une évaluation centrale des résultats radiologiques réalisée conformément aux critères de l’OMS.
- +Le temps médian jusqu’à la progression tumorale dans le groupe avec Sandostatine LAR était de 14,3 mois et 5,9 mois pour le groupe avec placebo (HR = 0.36; 95% CI, 0.21–0.61; p = 0.0001).
- +L’action du traitement chez les patients atteints de tumeurs fonctionnelles (HR = 0.41; 95% CI, 0.18 à 0.92) était similaire à celle des patients atteints de tumeurs non fonctionnelles (HR = 0.32; 95% CI, 0.15 à 0.66).
- +Dans la mesure où un avantage clinique significatif de la Sandostatine LAR a été démontré dans l’analyse intermédiaire prévue au préalable sur une période de 18 mois, le recrutement de patients a été interrompu. Dans le groupe avec Sandostatine LAR, le traitement a pu être poursuivi jusqu’à l’apparition d’une progression; dans le groupe avec placebo, le traitement a pu être remplacé par un traitement actif.
- +La survie globale a été évaluée après un suivi supplémentaire de 4.5 ans. Il n’existe aucune différence entre les deux groupes d’études.
- +
-Après une injection i.m. unique de Sandostatine LAR, la concentration sérique d'octréotide atteint un pic initial temporaire dans l'heure qui suit l'administration, puis elle chute progressivement à un taux de concentration d'octréotide non détectable en 24 h. Après ce maximum initial au 1er jour, la concentration d'octréotide reste, chez la plupart des patients, au niveau des valeurs sous-thérapeutique pendant les 7 jours suivant l'injection de Sandostatine LAR.
-Ensuite, la concentration d'octréotide augmente à nouveau et atteint un plateau au 14eme jour env. auquel elle reste relativement constante pendant les 3-4 semaines suivantes.
-La valeur maximale au premier jour est plus basse que la concentration atteinte pendant la phase plateau. Au premier jour, moins de 0,5% de la quantité de substance totale dégagée est mesuré. Après env. 42 jours, les concentrations d'octréotide commencent à diminuer lentement du fait de la dégradation terminale de la matrice polymérique.
-Chez les patients atteints d'acromégalie, les taux plateau d'octréotide augmentent après des doses uniques de 10 mg, 20 mg et 30 mg de Sandostatine LAR à 358 ng/l, 926 ng/l et 1710 ng/l. La concentration plasma d'octréotide steady-state après trois injections à quatre semaines d'intervalle est à peu près 1,6 à 1,8 fois supérieure après plusieurs injections de 20 mg et 30 mg de Sandostatine LAR, atteint 1557 ng/l et 2384 ng/l.
-Chez les patients atteints de carcinoïde, les concentrations plasma d'octréotide steady-state moyennes (et médianes) après plusieurs injections de 10 mg, 20 mg et 30 mg de Sandostatine LAR à quatre semaines d'intervalle augmentaient également en fonction de la dose et atteignaient 1231 (894) ng/l, 2620 (2270) ng/l et 3928 (3010) ng/l.
-Une accumulation d'octréotide avec jusqu'à 28 injections de Sandostatine LAR selon un rythme mensuel n'a pas été observée, à l'exception de l'accumulation pouvant être attendue dans le cas de profils de libération qui se chevauchent.
-Le profil pharmacocinétique d'octréotide après l'injection de Sandostatine LAR reflète la libération de la matrice polymère et la dégradation biologique de la substance. Après la libération dans le circuit systémique, l'octréotide se répand selon ses propriétés pharmacocinétiques connues et décrites dans l'application sous-cutanée. Le volume de distribution d'octréotide en steady-state s'élève à 0.27 l/kg, la clairance corporelle totale est de 160 ml/min. La liaison aux protéines plasmatiques s'élève à 6%. L'octréotide ne se lie que très peu aux cellules sanguines.
- +Le profil pharmacocinétique d’octréotide après l’injection de Sandostatine LAR reflète la libération de la matrice polymère et la dégradation biologique de la substance. Après la libération dans le circuit systémique, l’octréotide se répand selon ses propriétés pharmacocinétiques connues et décrites dans l’application sous-cutanée. Après une injection i.m. unique de Sandostatine LAR, la concentration sérique d'octréotide atteint un pic initial temporaire dans l'heure qui suit l'administration, puis elle chute progressivement à un taux de concentration d’octréotide non détectable en 24 h.
- +Au premier jour, moins de 0.5% de la quantité de substance totale dégagée est mesuré. Après ce maximum initial au 1er jour, la concentration d’octréotide reste, chez la plupart des patients, au niveau des valeurs sous-thérapeutique pendant les 7 jours suivant l’injection de Sandostatine LAR.
- +Ensuite, la concentration d’octréotide augmente à nouveau et atteint un plateau au 14eme jour env. auquel elle reste relativement constante pendant les 3-4 semaines suivantes.
- +Après env. 42 jours, les concentrations d'octréotide commencent à diminuer lentement du fait de la dégradation terminale de la matrice polymérique.
- +Distribution
- +Le volume de distribution d’octréotide en steady-state s’élève à 0.27 l/kg, la clairance corporelle totale est de 160 ml/min. La liaison aux protéines plasmatiques s’élève à 65%. L’octréotide ne se lie que très peu aux cellules sanguines.
- +Élimination
- +Après utilisation sous-cutanée, la demi-vie d’élimination s’élève à 100 minutes. La majeure partie des peptides est excrétée par les fèces, environ 32% d’entre eux sont excrétés en l’état par l’urine.
- +Cinétique des groupes de patients spécifiques
- +Insuffisance rénale: la perturbation de la fonction rénale n’a eu aucune influence sur l’exposition totale (AUC) à l’octréotide lorsqu’il est administré par voie sous-cutanée.
- +Insuffisance hépatique: une cirrhose – mais pas une stéatose hépatique – diminue l’élimination (30%) de l’octréotide.
-Des études sur la toxicité sur la reproduction et le développement ont été menées sur des rates et des lapins à qui des doses allant jusqu'à 1 mg/kg de PC par jour ont été administrées. L'octréotide n'a montré aucune incidence sur la fertilité chez les rats mâles et femelles. Aucun signe d'effet tératogène, embryonnaire/fœtal ni autre incidence sur la reproduction successive à l'octréotide n'a été relevé chez la progéniture des rats. Un certain retard passager de la croissance physiologique très certainement dû à l'inhibition de l'hormone de croissance en raison de l'effet pharmacodynamique marqué a été constaté. Des études sur le développement pré- et postnatal ont révélé une descente tardive des testicules chez la progéniture mâle des mères traitées pendant la gestation et l'allaitement. La fertilité des jeunes animaux F1 concernés était toutefois normale. Nous supposons que ces observations sont à mettre sur le compte de l'inhibition de la croissance due à l'octréotide.
- +Des études sur la toxicité sur la reproduction et le développement ont été menées sur des rates et des lapins à qui des doses allant jusqu'à 1 mg/kg de PC par jour ont été administrées. L'octréotide n'a montré aucune incidence sur la fertilité chez les rats mâles et femelles. Aucun signe d'effet tératogène, embryonnaire/fœtal ni autre incidence sur la reproduction successive à l'octréotide n'a été relevé chez la progéniture des rats. Un certain retard passager de la croissance physiologique chez les jeunes très certainement dû à l'inhibition de l'hormone de croissance en raison de l'effet pharmacodynamique marqué a été constaté.
- +Des études sur le développement pré- et postnatal ont révélé une descente tardive des testicules chez la progéniture mâle des mères traitées pendant la gestation et l'allaitement. La fertilité des jeunes animaux F1 concernés était toutefois normale. Nous supposons que ces observations sont à mettre sur le compte de l'inhibition de la croissance due à l'octréotide.
-d Aiguille de sécurité (20 G × 1,5")
- +d Aiguille de sécurité
- (image) (image) (image) Enlever l'obturateur du bouchon du flacon de Sandostatine LAR.Désinfecter le bouchon en caoutchouc du flacon avec un tampon d'alcool.Retirer ensuite le film de protection de la plaquette thermoformée qui contient l'adaptateur pour le flacon. NE PAS retirer l'adaptateur de la plaquette thermoformée. Positionner l'adaptateur avec la plaquette thermoformée sur le flacon. Presser l'adaptateur sur le flacon jusqu'à ce qu'il s'enclenche de manière audible.Une fois l'adaptateur enclenché, retirer la plaquette thermoformée verticalement vers le haut et l'éliminer.
- + (image) (image) (image) Enlever l'obturateur du bouchon du flacon de Sandostatine LAR. Désinfecter le bouchon en caoutchouc du flacon avec un tampon d'alcool. Retirer ensuite le film de protection de la plaquette thermoformée qui contient l'adaptateur pour le flacon. NE PAS retirer l'adaptateur de la plaquette thermoformée. Positionner l'adaptateur avec la plaquette thermoformée sur le flacon. Presser l'adaptateur sur le flacon jusqu'à ce qu'il s'enclenche de manière audible. Une fois l'adaptateur enclenché, retirer la plaquette thermoformée verticalement vers le haut et l'éliminer.
- (image) (image) Ôter le capuchon de protection de la seringue prête à l'emploi contenant le solvant et visser la seringue sur l'adaptateur du flacon.Pousser lentement le piston vers le bas et injecter tout le solvant dans l'ampoule sans remuer la poudre de Sandostatine LAR.
- + (image) (image) Ôter le capuchon de protection de la seringue prête à l'emploi contenant le solvant et visser la seringue sur l'adaptateur du flacon. Pousser lentement le piston vers le bas et injecter tout le solvant dans l'ampoule sans remuer la poudre de Sandostatine LAR.
- (image) (image) Ne pas remuer le flacon pendant au moins 2 min (max. 5 min.) jusqu'à ce que le solvant ait mouillé entièrement la poudre de Sandostatine LAR. Préparer le patient pendant ce temps.Sans retourner le flacon, contrôler le fond et les parois du flacon. S'il reste des endroits où la poudre n'est pas mouillée, laisser encore reposer le flacon afin d'obtenir un mouillage complet de la poudre.Remarque: Il est normal que le piston remonte légèrement car l'ampoule est soumise à une légère surpression.
- + (image) Ne pas remuer le flacon pendant 5 min. jusqu'à ce que le solvant ait mouillé entièrement la poudre de Sandostatine LAR. Préparer le patient pendant ce temps. Sans retourner le flacon, contrôler le fond et les parois du flacon. S'il reste des endroits où la poudre n'est pas mouillée, laisser encore reposer le flacon afin d'obtenir un mouillage complet de la poudre. Remarque: Il est normal que le piston remonte légèrement car l'ampoule est soumise à une légère surpression.
- (image) Lorsque la poudre est complètement imbibée, enfoncer entièrement le piston dans la seringue prête à l'emploi.Maintenir le piston enfoncé et remuer modérément le flacon par des mouvements circulaires pendant au moins 30 s. Vérifier que la poudre au fond et sur les parois du flacon est complètement diluée (une suspension homogène d'apparence laiteuse doit être obtenue). Si ce n'est pas le cas, remuer à nouveau modérément le flacon par des mouvements circulaires pendant env. 30 s.ATTENTION: Ne pas agiter le flacon violemment, cela pourrait provoquer une floculation ce qui rendrait la suspension inutilisable.
- + (image) Lorsque la poudre est complètement imbibée, enfoncer entièrement le piston dans la seringue prête à l'emploi. Maintenir le piston enfoncé et remuer modérément le flacon par des mouvements circulaires pendant au moins 30 s. Vérifier que la poudre au fond et sur les parois du flacon est complètement diluée (une suspension homogène d'apparence laiteuse doit être obtenue). Si ce n'est pas le cas, remuer à nouveau modérément le flacon par des mouvements circulaires pendant env. 30 s. ATTENTION: Ne pas agiter le flacon violemment, cela pourrait provoquer une floculation ce qui rendrait la suspension inutilisable.
- + Désinfecter le point d'injection avec un tampon d'alcool.
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- (image) Visser l'aiguille de sécurité sur la seringue.
- (image) Retirer le capuchon de protection de l'aiguille. Retourner doucement la seringue prête à l'emploi afin de maintenir la suspension homogène et d'éviter une sédimentation.Tapoter légèrement la seringue prête à l'emploi pour éliminer toutes les bulles d'air visibles.La suspension de Sandostatine LAR est maintenant prête et doit être administrée immédiatement.
- + (image) Visser l'aiguille de sécurité sur la seringue. Déplacer doucement la seringue prête à l'emploi afin de maintenir une suspension laiteuse homogène.
- + (image) Retirer le capuchon de protection de l'aiguille. Tapoter légèrement la seringue prête à l'emploi pour éliminer toutes les bulles d'air visibles. Vérifier que le point d'injection ne soit pas contaminé. Poursuivre immédiatement avec l'étape 8.
- (image) (image) Désinfecter le point d'injection avec un tampon d'alcool.Piquer l'aiguille à un angle de 90° par rapport à la peau dans le muscle fessier droit ou gauche et aspirer pour s'assurer que l'aiguille n'ait pas pénétré dans un vaisseau sanguin. Sinon, la position de l'aiguille doit être modifiée.Injecter lentement et profondément dans le muscle fessier avec une pression régulière jusqu'à ce que la seringue soit vide.Une fois terminé, activer le dispositif de protection pour aiguilles, comme indiqué à l'étape 9.
- + (image) (image) Piquer l'aiguille à un angle de 90° par rapport à la peau dans le muscle fessier droit ou gauche et aspirer pour s'assurer que l'aiguille n'ait pas pénétré dans un vaisseau sanguin. Sinon, la position de l'aiguille doit être modifiée. Injecter lentement et profondément dans le muscle fessier avec une pression régulière jusqu'à ce que la seringue soit vide. Une fois terminé, activer le dispositif de protection pour aiguilles, comme indiqué à l'étape 9.
- (image) Le dispositif de protection pour aiguilles est manœuvrable avec une seule main:A) soit en pressant l'encoche du dispositif de protection sur une surface dure (Figure A),B) soit en poussant l'encoche vers l'avant avec l'index (Figure B).
- (image) Un «clic» audible indique que le dispositif de protection a été correctement activé.Éliminer immédiatement l'adaptateur et la seringue prête à l'emploi dans un récipient de sécurité ou dans une poubelle spécifique.
- + (image) Le dispositif de protection pour aiguilles est manœuvrable avec une seule main: A) soit en pressant l'encoche du dispositif de protection sur une surface dure (Figure A), B) soit en poussant l'encoche vers l'avant avec l'index (Figure B).
- + (image) Un «clic» audible indique que le dispositif de protection a été correctement activé. Éliminer immédiatement l'adaptateur et la seringue prête à l'emploi dans un récipient de sécurité ou dans une poubelle spécifique.
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