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-Le salbutamol n'est pas un substitut aux inhalations d'anti-inflammatoires (corticostéroïdes p.ex.). Tout particulièrement en cas d'asthme sévère ou non stabilisé, les bronchodilatateurs ne devraient pas représenter la seule ou la principale thérapie.
- +Le salbutamol n'est pas un substitut aux inhalations d'anti-inflammatoires (p.ex. corticostéroïdes). Tout particulièrement en cas d'asthme sévère ou non stabilisé, les bronchodilatateurs ne devraient pas représenter la seule ou la principale thérapie.
-Pour le traitement de fond, il est préférable de choisir une utilisation en fonction des symptômes – avec prise en compte des recommandations posologiques suivantes – en plus d'un traitement anti-inflammatoire continu par des glucocorticoïdes inhalés ou par d'autres substances aux effets anti-inflammatoires. Si un traitement continu par des agonistes β2adrénergiques est jugé nécessaire, la posologie est de 1 dose unitaire de 100 à 200 µg 3 à 4 fois par jour. Un intervalle d'au moins 4 heures doit être respecté entre les inhalations.
- +Pour le traitement de fond, il est préférable de choisir une utilisation en fonction des symptômes – avec prise en compte des recommandations posologiques suivantes – en plus d'un traitement anti-inflammatoire continu par des glucocorticoïdes inhalés ou par d'autres substances aux effets anti-inflammatoires. Si un traitement continu par des agonistes β2-adrénergiques est jugé nécessaire, la posologie est de 1 dose unitaire de 100 à 200 µg 3 à 4 fois par jour. Un intervalle d'au moins 4 heures doit être respecté entre les inhalations.
-Les patients souffrant d'asthme sévère présentent une symptomatologie ininterrompue, des exacerbations fréquentes et des débits de pointe (Peak Expiratory Flow ou PEF) inférieurs à 60% des valeurs normales, avec une marge de variation de plus de 30%, impossibles à normaliser malgré l'administration d'un bronchodilatateur. Ces patients requièrent une corticothérapie à hautes doses, par voie orale ou par inhalation. Une aggravation soudaine des symptômes peut nécessiter une augmentation de la dose de corticostéroïdes, qui doit avoir lieu sous surveillance médicale.
- +Les patients souffrant d'asthme sévère présentent une symptomatologie ininterrompue, des exacerbations fréquentes et des débits de pointe (Peak Expiratory Flow ou PEF) inférieurs à 60% des valeurs normales, avec une marge de variation de plus de 30%, impossibles à normaliser malgré l'administration d'un bronchodilatateur. Ces patients requièrent une corticothérapie à hautes doses, par voie orale ou par inhalation. Une aggravation soudaine des symptômes peut nécessiter une augmentation de la dose de corticostéroïdes, qui doit avoir lieu sous surveillance médicale.
-L'administration aiguë en fonction des symptômes («à la demande») est éventuellement préférable à une administration régulière. Certaines études montrent que des inhalations régulières, bien qu'elles continuent à exercer une influence favorable sur la bronchodilatation, entraînent une hypersensibilité accrue des voies aériennes et perdent ainsi l'effet protecteur contre la bronchoconstriction déclenchée par des stimuli tels que la bradykinine ou les allergènes.
-Pour l'évaluation médicale de l'évolution de la maladie et du succès thérapeutique, un auto-contrôle régulier conformément aux instructions médicales est important. Celui-ci se fait par exemple en mesurant régulièrement la force maximale du flux respiratoire (Peak Expiratory Flow, PEF) à l'aide d'un débitmètre de pointe.
-La nécessité d'augmenter la dose d'agonistes β2-adrénergiques peut indiquer un traitement non optimal ou une aggravation de l'asthme (voir «Instruction posologiques spéciales»).
-Étant donné qu'une aggravation soudaine et croissante de l'asthme peut être fatale, on envisagera le recours à une corticothérapie ou, si le patient reçoit déjà une corticothérapie, l'utilisation d'une dose plus élevée. Une détermination quotidienne du débit de pointe est indiquée chez les patients à risque.
- +L'administration aiguë en fonction des symptômes («à la demande») est préférable à une administration régulière. Certaines études montrent que des inhalations régulières, bien qu'elles continuent à exercer une influence favorable sur la bronchodilatation, entraînent une hypersensibilité accrue des voies aériennes et perdent ainsi l'effet protecteur contre la bronchoconstriction déclenchée par des stimuli tels que la bradykinine ou les allergènes.
- +Pour l'évaluation médicale de l'évolution de la maladie et du succès thérapeutique, un auto-contrôle régulier conformément aux instructions médicales est important. Celui-ci se fait par exemple en mesurant régulièrement la force maximale du flux respiratoire (Peak Expiratory Flow, PEF) à l'aide d'un débitmètre de pointe. Une détermination quotidienne du débit de pointe est indiquée chez les patients à risque.
- +La surutilisation de bêta agoniste de courte durée d'action peut masquer la progression de la pathologie sous-jacente et contribuer à la détérioration du contrôle de l'asthme, entrainant une augmentation du risque d'exacerbations graves d'asthme et de la mortalité.
- +Il doit être conseillé aux patients chez qui un traitement anti-inflammatoire régulier est prescrit (ex: corticostéroïdes par voie inhalée), de continuer à prendre leur traitement anti-inflammatoire même si les symptômes s'améliorent, et qu'ils n'ont pas besoin de Salbu Orion Easyhaler.
- +La nécessité d'augmenter la dose d'agonistes β2-adrénergiques peut indiquer un traitement non optimal ou une aggravation de l'asthme (voir «Instruction posologiques spéciales»), et les patients doivent être avertis qu'ils doivent alors consulter un médecin dès que possible. Dans ces conditions, la thérapeutique du patient doit être réévalué.
- +Les patients qui prennent du salbutamol « à la demande » plus de deux fois par semaine (en plus des administrations en traitement préventif de l'asthme induit par l'effort) sont à risque de surutilisation de salbutamol et doivent donc être réexaminés (symptômes diurnes, réveils nocturnes, limitation des activités due à l'asthme) afin de réajuster leur traitement.
- +Une aggravation soudaine et croissante de l'asthme peut être fatale. Les patients doivent être informés qu'ils doivent consulter leur médecin ou se rendre à l'hôpital le plus proche en cas de détresse respiratoire aiguë ou d'aggravation rapide. Dans ces conditions, la thérapeutique du patient doit être réévalué.
-À cause des effets indésirables cardio-vasculaires, Salbu Orion Easyhaler ne doit pas être prescrit en association avec un bêtabloquant non sélectif (comme par exemple le propranolol) (cf. «Contre-indications»).
-L'administration concomitante de salbutamol et d'autres sympathomimétiques peut potentialiser l'effet anti-obstructif des substances individuelles. Il faut alors escompter l'augmentation des effets indésirables du type arythmies. Il en est de même pour l'utilisation simultanée de méthylxanthines (théophylline p.ex.). Des sympathomimétiques supplémentaires ne devraient donc être administrés qu'en cas d'indication absolue.
- +À cause des effets indésirables cardio-vasculaires, Salbu Orion Easyhaler ne doit pas être prescrit en association avec un bêtabloquant non sélectif (comme par exemple le propranolol) (voir «Contre-indications»).
- +L'administration concomitante de salbutamol et d'autres sympathomimétiques peut potentialiser l'effet anti-obstructif des substances individuelles. Il faut alors escompter l'augmentation des effets indésirables du type arythmies. Il en est de même pour l'utilisation simultanée de méthylxanthines (p.ex. théophylline). Des sympathomimétiques supplémentaires ne devraient donc être administrés qu'en cas d'indication absolue.
-Les glucosides digitaliques, la quinidine et d'autres anti-arythmiques peuvent altérer la tolérance du cœur au salbutamol. Les glycosides digitaliques, les diurétiques, les méthylxanthines et les corticostéroïdes peuvent aggraver une hypokaliémie (le contrôle des électrolytes, en particulier de la kaliémie, est nécessaire). Les bêtabloquants sont des antagonistes du salbutamol (voir «Contre-indications»). Un glaucome à angle fermé peut apparaître lors de l'inhalation concomitante de bromure d'ipratropium (cf. «Mises en garde et précautions»).
- +Les glucosides digitaliques, la quinidine et d'autres anti-arythmiques peuvent altérer la tolérance du cœur au salbutamol. Les glycosides digitaliques, les diurétiques, les méthylxanthines et les corticostéroïdes peuvent aggraver une hypokaliémie (le contrôle des électrolytes, en particulier de la kaliémie, est nécessaire). Les bêtabloquants sont des antagonistes du salbutamol (voir «Contre-indications»). Un glaucome à angle fermé peut apparaître lors de l'inhalation concomitante de bromure d'ipratropium (voir «Mises en garde et précautions»).
-Lors de l'application concomitante, pour une anesthésie, de carbures halogénés, le risque d'arythmies se trouve augmenté.
- +Lors de l'application concomitante, pour une anesthésie, de carbures halogénés, le risque d'arythmies se trouve augmenté.
-Grossesse/Allaitement
- +Grossesse, allaitement
-Très rares: réactions d'hypersensibilité telles que p.ex. œdème de Quincke, urticaire, bronchospasme, hypotension ou collapsus circulatoire (cf. «Contre-indications»).
- +Très rares: réactions d'hypersensibilité telles que p.ex. œdème de Quincke, urticaire, bronchospasme, hypotension ou collapsus circulatoire (voir «Contre-indications»).
-Au cas où un antidote est nécessaire, il est possible, en surveillant attentivement le patient, de lui administrer un bêtabloquant cardiosélectif (du métoprolol p.ex.), tout en tenant compte du risque de déclenchement d'un bronchospasme sévère par blocage des récepteurs β et il faut aussi agir avec la plus grande circonspection lors d'antécédents de bronchospasme,.
- +Au cas où un antidote est nécessaire, il est possible, en surveillant attentivement le patient, de lui administrer un bêtabloquant cardiosélectif (p.ex. du métoprolol), tout en tenant compte du risque de déclenchement d'un bronchospasme sévère par blocage des récepteurs β et il faut aussi agir avec la plus grande circonspection lors d'antécédents de bronchospasme.
-Conserver à température ambiante (15-25 °C).
-Conserver le récipient dans son carton pour le protéger de l'humidité.
-Conserver hors de portée des enfants.
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- +Conserver hors de la portée des enfants, à température ambiante (15–25 °C) et à l'abri
- +de l'humidité.
-53190 (Swissmedic)
- +53190 (Swissmedic).
-Salbu Orion Easyhaler 100 µg/Dose: 200 Inhalation (B)
-Salbu Orion Easyhaler 200 µg/Dose: 200 Inhalation (B)
- +Salbu Orion Easyhaler 100 µg/Dose: 200 Inhalation (B).
- +Salbu Orion Easyhaler 200 µg/Dose: 200 Inhalation (B).
-Juillet 2019
- +Avril 2024.
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