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Accueil - Information professionnelle sur Palladon 1,3 mg - Changements - 16.10.2020
56 Changements de l'information professionelle Palladon 1,3 mg
  • -Principe actif: hydromorphoni hydrochloridum.
  • -Excipients:
  • -Palladon 1,3 mg: lactosum, color.: E 127 (érythrosine); excip. pro capsula.
  • -Palladon 2,6 mg: lactosum, color.: E 127 (érythrosine); excip. pro capsula.
  • -Palladon Retard 4 mg: color.: E 127 (érythrosine), E 132 (indigotine); excip. pro capsula.
  • -Palladon Retard 8 mg: color.: E 127 (érythrosine); excip. pro capsula.
  • -Palladon Retard 16 mg: excip. pro capsula.
  • -Palladon Retard 24 mg: color.: E 132 (indigotine); excip. pro capsula.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Palladon 1,3 mg: capsule dure orange/transparente, portant la mention «HNR 1.3», contenant des granules de couleur blanche à crème avec 1,3 mg de chlorhydrate d'hydromorphone correspondant à 1,16 mg d'hydromorphone (libération rapide du principe actif).
  • -Palladon 2,6 mg: capsule dure rouge/transparente, portant la mention «HNR 2.6», contenant des granules de couleur blanche à crème avec 2,6 mg de chlorhydrate d'hydromorphone correspondant à 2,32 mg d'hydromorphone (libération rapide du principe actif).
  • -Palladon Retard 4 mg: capsule dure bleu clair/transparente, portant la mention «HCR 4», contenant des granules retard de couleur blanche à crème avec 4 mg de chlorhydrate d'hydromorphone correspondant à 3,56 mg d'hydromorphone (libération du principe actif pendant environ 12 h).
  • -Palladon Retard 8 mg: capsule dure rose/transparente, portant la mention «HCR 8», contenant des granules retard de couleur blanche à crème avec 8 mg de chlorhydrate d'hydromorphone correspondant à 7,12 mg d'hydromorphone (libération du principe actif pendant environ 12 h).
  • -Palladon Retard 16 mg: capsule dure marron/transparente, portant la mention «HCR 16», contenant des granules retard de couleur blanche à crème avec 16 mg de chlorhydrate d'hydromorphone correspondant à 14,24 mg d'hydromorphone (libération du principe actif pendant environ 12 h).
  • -Palladon Retard 24 mg: capsule dure bleu foncé/transparente, portant la mention «HCR 24», contenant des granules retard de couleur blanche à crème avec 24 mg de chlorhydrate d'hydromorphone correspondant à 21,36 mg d'hydromorphone (libération du principe actif pendant environ 12 h).
  • -
  • +Principes actifs
  • +Hydromorphoni hydrochloridum.
  • +Excipients
  • +Palladon 1,3 mg: cellulose microcristalline, lactose (39,35 mg par capsule), dodécylsulfate de sodium (correspondant à 0,006 mg de sodium par capsule), gélatine, gomme-laque, propylène glycol, érythrosine (E 127), oxyde de fer, jaune (E 172), dioxyde de titane (E 171), oxyde de fer, noir (E 172).
  • +Palladon 2,6 mg: cellulose microcristalline, lactose (78,70 mg par capsule), dodécylsulfate de sodium (correspondant à 0,008 mg de sodium par capsule), gélatine, gomme-laque, propylène glycol, érythrosine (E 127), oxyde de fer, jaune (E 172), dioxyde de titane (E 171), oxyde de fer, noir (E 172).
  • +Palladon Retard 4 mg: cellulose microcristalline, hypromellose, éthylcellulose, dioxyde de silicium hautement dispersé, sébacate de dibutyle, dodécylsulfate de sodium (correspondant à 0,006 mg de sodium par capsule), gélatine, gomme-laque, propylène glycol, stéarate de magnésium, érythrosine (E 127), indigotine (E 132), dioxyde de titane (E 171), oxyde de fer, noir (E 172).
  • +Palladon Retard 8 mg: cellulose microcristalline, hypromellose, éthylcellulose, dioxyde de silicium hautement dispersé, sébacate de dibutyle, dodécylsulfate de sodium (correspondant à 0,008 mg de sodium par capsule), gélatine, gomme-laque, propylène glycol, stéarate de magnésium, érythrosine (E 127), dioxyde de titane (E 171), oxyde de fer, noir (E 172).
  • +Palladon Retard 16 mg: cellulose microcristalline, hypromellose, éthylcellulose, dioxyde de silicium hautement dispersé, sébacate de dibutyle, dodécylsulfate de sodium (correspondant à 0,012 mg de sodium par capsule), gélatine, gomme-laque, propylène glycol, stéarate de magnésium, oxyde de fer, rouge (E 172), oxyde de fer, jaune (E 172), oxyde de fer, noir (E 172), dioxyde de titane (E 171).
  • +Retard de Palladon 24 mg: cellulose microcristalline, hypromellose, éthylcellulose, dioxyde de silicium hautement dispersé, sébacate de dibutyle, dodécylsulfate de sodium (correspondant à 0,018 mg de sodium par capsule), gélatine, gomme-laque, propylène glycol, stéarate de magnésium, indigotine (E 132), dioxyde de titane (E 171), oxyde de fer, noir (E 172).
  • +
  • +
  • -Palladon Retard capsules: douleurs prolongées moyennement fortes à fortes ou en cas d'efficacité insuffisante des analgésiques non-opioïdes et/ou des opioïdes faibles.
  • +Palladon Retard capsules à liberation prolongée: douleurs prolongées moyennement fortes à fortes ou en cas d'efficacité insuffisante des analgésiques non-opioïdes et/ou des opioïdes faibles.
  • -Mode d'administration
  • -Les capsules de Palladon et Palladon Retard sont destinées à une administration par voie orale.
  • -Les capsules de Palladon et Palladon Retard peuvent être prises pendant ou entre les repas, avec un volume suffisant de liquide. Elles doivent être avalées entières, sans être croquées ni mâchées.
  • -En cas de difficultés de déglutition, les capsules peuvent être ouvertes et leur contenu saupoudré sur un aliment semi-solide. Dans ce cas, il convient de veiller à ce que le contenu total de la capsule soit avalé immédiatement, sans mâcher, ni croquer.
  • -Posologie
  • +Posologie usuelle
  • -Pour les patients n'ayant pas reçu d'opioïdes au préalable, la posologie initiale est généralement de 1 capsule de Palladon à 1,3 mg ou à 2,6 mg toutes les 4 heures ou de 1 capsule de Palladon Retard à 4 mg toutes les 12 heures.
  • +Pour les patients n'ayant pas reçu d'opioïdes au préalable, la posologie initiale est généralement de 1 capsule de Palladon à 1,3 mg ou à 2,6 mg toutes les 4 heures ou de 1 capsule à liberation prolongée de Palladon Retard à 4 mg toutes les 12 heures.
  • +Passage d'un autre opioïde à Palladon ou Palladon Retard
  • +
  • -Palladon Retard capsules
  • +Palladon Retard capsules à liberation prolongée
  • -Autres augmentations 30-50%
  • +Autres augmentations 30-50%
  • -Palladon et Palladon Retard ne doivent pas être administrés plus longtemps qu'absolument nécessaire. Si un traitement prolongé de la douleur est nécessaire, en raison de la nature et de la sévérité de la maladie, une surveillance attentive et régulière doit être mise en place pour déterminer dans quelle mesure il faut poursuivre le traitement. Quand le recours aux opioïdes n'est plus indiqué, le traitement doit être arrêté de manière progressive (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Instructions spéciales pour la posologie
  • +Palladon et Palladon Retard ne doivent pas être administrés plus longtemps qu'absolument nécessaire. Si un traitement prolongé de la douleur est nécessaire, en raison de la nature et de la sévérité de la maladie, une surveillance attentive et régulière doit être mise en place pour déterminer dans quelle mesure il faut poursuivre le traitement. Quand le recours aux opioïdes n'est plus indiqué, le traitement doit être arrêté de manière progressive (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Chez les patients ayant une insuffisance hépatique modérée à sévère (score de Child-Pugh 7-15), la dose doit être réduite, puis augmentée avec une prudence particulière (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Chez les patients ayant une insuffisance rénale sévère (clairance the la créatinine < 30 ml/min), la dose doit être réduite, puis augmentée avec une prudence particulière (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Patients âgés
  • +Comme chez les adultes plus jeunes, la posologie doit être adaptée en fonction de l'intensité de la douleur et de la sensibilité individuelle du patient (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Patients âgés
  • -Comme chez les adultes plus jeunes, la posologie doit être adaptée en fonction de l'intensité de la douleur et de la sensibilité individuelle du patient (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • -Insuffisance hépatique et rénale
  • -Chez les patients ayant une insuffisance hépatique modérée à sévère (score de Child-Pugh 7-15) ou une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min), la dose doit être réduite, puis augmentée avec une prudence particulière (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • +Mode d'administration
  • +Les capsules et capsules à liberation prolongée de Palladon et Palladon Retard sont destinées à une administration par voie orale.
  • +Les capsules et capsules à liberation prolongée de Palladon et Palladon Retard peuvent être prises pendant ou entre les repas, avec un volume suffisant de liquide. Elles doivent être avalées entières, sans être croquées ni mâchées.
  • +En cas de difficultés de déglutition, les capsules peuvent être ouvertes et leur contenu saupoudré sur un aliment semi-solide. Dans ce cas, il convient de veiller à ce que le contenu total de la capsule soit avalé immédiatement, sans mâcher, ni croquer.
  • -Tout comme pour d'autres médicaments opioïdes, la survenue d'une dépression respiratoire constitue le principal risque en cas de surdosage (voir rubrique «Surdosage»).
  • +Tout comme pour d'autres médicaments opioïdes, la survenue d'une dépression respiratoire constitue le principal risque en cas de surdosage (voir «Surdosage»).
  • -·prise concomitante de substances à effet dépresseur central ou d'inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) (voir rubrique «Interactions»),
  • -·allaitement (voir rubrique «Grossesse/Allaitement»).
  • +·prise concomitante de substances à effet dépresseur central ou d'inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) (voir «Interactions»),
  • +·allaitement (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • +L'utilisation concomitante de Palladon ou Palladon Retard et des médicaments sédatifs tels que des benzodiazépines ou des médicaments apparentés peut entraîner une sédation, une dépression respiratoire, un coma et le décès. Du fait de ces risques, la prescription concomitante de Palladon ou Palladon Retard avec ces médicaments sédatifs est uniquement indiquée pour les patients pour lesquels on ne dispose d'aucune autre alternative. Lorsqu'une telle prescription est néanmoins jugée nécessaire, il convient d'utiliser la dose efficace la plus faible et de limiter autant que possible la durée du traitement.
  • +Les patients doivent faire l'objet d'une surveillance étroite afin de détecter les signes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation. Dans ce contexte, il est instamment recommandé d'informer les patients et leurs proches de ces symptômes (voir «Interactions»).
  • -Il convient de noter qu'après la détermination réussie de la dose efficace d'un certain opioïde (titration), les patients ne doivent pas passer à un autre opioïde sans une évaluation par le médecin et sans une nouvelle titration soigneuse en fonction des besoins. Dans le cas contraire, un effet analgésique continu n'est pas garanti.
  • -Les opioïdes, tels que lhydromorphone, peuvent influer sur laxe hypothalamo-hypophyso-surrénalien ou gonadique. Certaines modifications peuvent être observées telles quune élévation de la prolactine sérique et une diminution du taux plasmatique de cortisol et de testostérone. Ces modifications hormonales peuvent se manifester par des symptômes cliniques.
  • -Les capsules de Palladon et Palladon Retard sont destinées à une administration par voie orale. L'utilisation détournée par voie parentérale peut entraîner des effets indésirables graves pouvant être fatals.
  • -Afin de ne pas altérer les caractéristiques de libération prolongée des granules contenues dans les capsules de Palladon Retard, il ne faut ni les casser, ni les mâcher, ni les écraser. Casser, mâcher ou écraser les granules conduit à la libération rapide et à l'absorption d'une dose potentiellement fatale d'hydromorphone (voir aussi «Surdosage»).
  • -Les capsules de Palladon contiennent du lactose. Leur prise est déconseillée chez les patients présentant une rare intolérance héréditaire au galactose, un déficit en lactase ou une malabsorption du glucose-galactose.
  • +La prudence est de mise en cas de changement de traitement vers une autre forme pharmaceutique et/ou un autre médicament contenant le même principe actif. Le patient doit alors faire l'objet d'une surveillance adaptée (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Les opioïdes, tels que l'hydromorphone, peuvent influer sur l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien ou gonadique. Certaines modifications peuvent être observées telles qu'une élévation de la prolactine sérique et une diminution du taux plasmatique de cortisol et de testostérone. Ces modifications hormonales peuvent se manifester par des symptômes cliniques.
  • +Les capsules et les capsules à liberation prolongée de Palladon et Palladon Retard sont destinées à une administration par voie orale. L'utilisation détournée par voie parentérale peut entraîner des effets indésirables graves pouvant être fatals.
  • +Afin de ne pas altérer les caractéristiques de libération prolongée des granules contenues dans les capsules à liberation prolongée de Palladon Retard, il ne faut ni les casser, ni les mâcher, ni les écraser. Casser, mâcher ou écraser les granules conduit à la libération rapide et à l'absorption d'une dose potentiellement fatale d'hydromorphone (voir aussi «Surdosage»).
  • +Les capsules de Palladon contiennent du lactose. Leur prise est déconseillée chez les patients présentant une rare intolérance héréditaire au galactose, un déficit total en lactase ou une malabsorption du glucose-galactose.
  • +Palladon et Palladon Retard contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par capsule, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +
  • -Les substances à effet dépresseur central telles que benzodiazépines, barbituriques, autres opioïdes, alcool, neuroleptiques (phénothiazines), antidépresseurs tricycliques, antihistaminiques H1 sédatifs, antiémétiques à action centrale, gabapentine, prégabaline, anesthésiques, sédatifs, hypnotiques ou anxiolytiques peuvent augmenter le risque de dépression respiratoire, d'hypotension et de déficit d'attention. Dans les cas graves, une sédation prononcée, le coma et la mort peuvent survenir.
  • -Si un traitement en association est envisagé, il convient de prendre en considération une réduction de la dose d'une des substances ou des deux et de surveiller régulièrement les patients pour repérer les signes de dépression respiratoire, de sédation et d'hypotension.
  • -La consommation concomitante d'alcool est à proscrire (voir également rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Après la prise concomitante de péthidine et d'un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), des cas sévères d'interactions affectant le système nerveux central et les fonctions respiratoire et circulatoire ont été observés. On ne peut exclure un potentiel d'interaction semblable avec Palladon ou Palladon Retard. Palladon et Palladon Retard ne sont pas indiqués en association avec des IMAO ou dans un intervalle de 14 jours après l'arrêt d'un tel traitement (voir également rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +L'utilisation concomitante d'opioïdes avec des médicaments sédatifs tels que des benzodiazépines ou médicaments apparentés augmente le risque de sédation, dépression respiratoire, coma et décès en raison d'un effet dépresseur supplémentaire sur le SNC. Les substances ayant un effet dépresseur sur le SNC sont notamment les autres opioïdes, l'alcool, les antipsychotiques, les neuroleptiques (phénothiazines), les antidépresseurs tricycliques, les antihistaminiques H1 avec effet sédatif, les antiémétiques avec action centrale, les gabapentinoïdes (gabapentine, prégabaline), les anesthésiques (p.ex. barbituriques), les sédatifs (y compris benzodiazépines), les hypnotiques ou les anxiolytiques.
  • +Lorsqu'une telle association est indiquée, il convient de réduire la posologie d'une des substances ou des deux, de limiter la durée du traitement et de surveiller régulièrement les patients pour repérer les signes de dépression respiratoire, de sédation et d'hypotension (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +La consommation concomitante d'alcool est à proscrire (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • +Après la prise concomitante de péthidine et d'un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), des cas sévères d'interactions affectant le système nerveux central et les fonctions respiratoire et circulatoire ont été observés. On ne peut exclure un potentiel d'interaction semblable avec Palladon ou Palladon Retard. Palladon et Palladon Retard ne sont pas indiqués en association avec des IMAO ou dans un intervalle de 14 jours après l'arrêt d'un tel traitement (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, allaitement
  • -On ne dispose d'aucune donnée clinique concernant l'utilisation de Palladon et Palladon Retard pendant la grossesse ou l'accouchement. L'hydromorphone passe la barrière placentaire. Les études chez l'animal avec l'hydromorphone ont mis en évidence des effets indésirables sur le fœtus (voir rubrique «Données précliniques»).
  • +On ne dispose d'aucune donnée clinique concernant l'utilisation de Palladon et Palladon Retard pendant la grossesse ou l'accouchement. L'hydromorphone passe la barrière placentaire. Les études chez l'animal avec l'hydromorphone ont mis en évidence des effets indésirables sur le fœtus (voir «Données précliniques»).
  • -* Un syndrome de sevrage peut se manifester par divers symptômes, p.ex.: agitation, anxiété, nervosité, insomnie, hyperkinésie, tremblements et symptômes gastro-intestinaux.
  • +* Un syndrome de sevrage peut se manifester par divers symptômes, p. ex.: agitation, anxiété, nervosité, insomnie, hyperkinésie, tremblements et symptômes gastro-intestinaux.
  • +Description de certains effets indésirables
  • +Des mesures concomitantes diététiques et/ou prophylactiques médicamenteuses (laxatifs) sont recommandées contre la constipation dès le début du traitement par Palladon resp. Palladon Retard.
  • +Des nausées et des vomissements ne se manifestent souvent qu'au début du traitement et disparaissent spontanément au bout de quelques jours. Dans certains cas, il peut être indiqué d'administrer un antiémétique.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Symptômes
  • +Signes et symptômes
  • -Code ATC: N02AA03
  • +Code ATC
  • +N02AA03
  • -L'hydromorphone exerce son effet analgésique objectif et subjectif au niveau supraspinal et spinal en stimulant les récepteurs situés dans le SNC et dans divers organes périphériques. L'hydromorphone est 7-8 fois plus puissante que la morphine.
  • -L'hydromorphone exerce une forte action analgésique, ainsi qu'un effet antitussif, sédatif, dépresseur sur le système respiratoire et inhibiteur sur la motilité du tractus gastro-intestinal.
  • +L'hydromorphone exerce son effet analgésique objectif et subjectif au niveau supraspinal et spinal en stimulant les récepteurs situés dans le SNC et dans divers organes périphériques.
  • +Pharmacodynamique
  • +L'hydromorphone exerce une forte action analgésique, ainsi qu'un effet antitussif, sédatif, dépresseur sur le système respiratoire et inhibiteur sur la motilité du tractus gastro-intestinal. L'hydromorphone est 7-8 fois plus puissante que la morphine.
  • -Les capsules de Palladon Retard sont une forme retard à libération contrôlée avec une durée d'action d'environ 9-12 heures.
  • +Les capsules à liberation prolongée de Palladon Retard sont une forme retard à libération contrôlée avec une durée d'action d'environ 9-12 heures.
  • -Absorption et distribution
  • +Absorption
  • -L'absorption de l'hydromorphone après l'administration des capsules de Palladon ou de Palladon Retard n'est pas influencée de manière cliniquement pertinente par la prise de nourriture.
  • -Les concentrations maximales sont atteintes après environ 1 heure avec les capsules de Palladon et, à l'état d'équilibre, après 3 heures en moyenne avec les capsules de Palladon Retard.
  • -Les capsules de Palladon Retard présentent les caractéristiques typiques d'une libération retardée (persistance prolongée de taux plasmatiques thérapeutiques efficaces, tmax différé pour une Cmax plus faible).
  • +L'absorption de l'hydromorphone après l'administration des capsules et des capsules à liberation prolongée de Palladon ou de Palladon Retard n'est pas influencée de manière cliniquement pertinente par la prise de nourriture.
  • +Les concentrations maximales sont atteintes après environ 1 heure avec les capsules à liberation prolongée de Palladon et, à l'état d'équilibre, après 3 heures en moyenne avec les capsules de Palladon Retard.
  • +Les capsules à liberation prolongée de Palladon Retard présentent les caractéristiques typiques d'une libération retardée (persistance prolongée de taux plasmatiques thérapeutiques efficaces, tmax différé pour une Cmax plus faible).
  • +Distribution
  • +
  • -Elimination
  • +Élimination
  • -Pédiatrie
  • -Les données concernant les propriétés pharmacocinétiques de l'hydromorphone chez l'enfant sont limitées. Son métabolisme chez l'adolescent à partir de 12 ans n'est pas différent de celui observé chez l'adulte.
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Dans une étude pharmacocinétique menée avec une formulation à libération rapide de l'hydromorphone administrée chez des patients présentant une insuffisance hépatique modérée (score de Child-Pugh de 7-9), l'AUCINF et la Cmax de l'hydromorphone ont quadruplé, probablement en raison d'une réduction de l'effet de premier passage. Les patients ayant une insuffisance hépatique sévère n'ont pas été étudiés.
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Les patients ayant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min) présentent une augmentation de l'AUC de l'hydromorphone allant du double au quadruple. Par rapport aux personnes ayant une fonction rénale normale, les patients atteints d'insuffisance rénale sévère peuvent présenter des concentrations plasmatiques significativement accrues d'hydromorphone-3-glucuronide.
  • -Insuffisance hépatique
  • -Dans une étude pharmacocinétique menée avec une formulation à libération rapide de l'hydromorphone administrée chez des patients présentant une insuffisance hépatique modérée (score de Child-Pugh de 7-9), l'AUCINF et la Cmax de l'hydromorphone ont quadruplé, probablement en raison d'une réduction de l'effet de premier passage. Les patients ayant une insuffisance hépatique sévère n'ont pas été étudiés.
  • -Insuffisance rénale
  • -Les patients ayant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) présentent une augmentation de l'AUC de l'hydromorphone allant du double au quadruple. Par rapport aux personnes ayant une fonction rénale normale, les patients atteints d'insuffisance rénale sévère peuvent présenter des concentrations plasmatiques significativement accrues d'hydromorphone-3-glucuronide.
  • +Enfants et adolescents
  • +Les données concernant les propriétés pharmacocinétiques de l'hydromorphone chez l'enfant sont limitées. Son métabolisme chez l'adolescent à partir de 12 ans n'est pas différent de celui observé chez l'adulte.
  • +Mutagénicité
  • +L'hydromorphone n'a pas été mutagène dans les tests d'Ames et des micronoyaux chez la souris.
  • +Par ailleurs, l'hydromorphone ne s'est pas non plus révélée mutagène dans le test du lymphome de souris sans activation métabolique exogène (S9). Dans les conditions d'une activation métabolique exogène, l'hydromorphone n'était pas mutagène aux concentrations ≤ 100 µg/ml. Des propriétés mutagènes ont pu être observées aux concentrations ≥ 200 µg/ml, concentrations significativement plus élevées que la moyenne des pics de concentration plasmatique attendus chez l'être humain.
  • +Carcinogénicité
  • +Aucune étude de cancérogenèse à long terme n'a été réalisée.
  • +Toxicité sur la reproduction
  • -L'hydromorphone n'a pas été mutagène dans les tests d'Ames et des micronoyaux chez la souris.
  • -Par ailleurs, l'hydromorphone ne s'est pas non plus révélée mutagène dans le test du lymphome de souris sans activation métabolique exogène (S9). Dans les conditions d'une activation métabolique exogène, l'hydromorphone n'était pas mutagène aux concentrations ≤100 µg/ml. Des propriétés mutagènes ont pu être observées aux concentrations ≥200 µg/ml, concentrations significativement plus élevées que la moyenne des pics de concentration plasmatique attendus chez l'être humain.
  • -Aucune étude de cancérogenèse à long terme n'a été réalisée.
  • -Conservation
  • +Stabilité
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Préserver de l'humidité et conserver à température ambiante (15-25 °C) et dans l'emballage original (blister).
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver à température ambiante (15-25 °C). Préserver de l'humidité dans l'emballage original (blister). Conserver hors de portée des enfants.
  • -Palladon Retard 4 mg, 30 et 60 capsules retard [A+]
  • -Palladon Retard 8 mg, 30 et 60 capsules retard [A+]
  • -Palladon Retard 16 mg, 30 et 60 capsules retard [A+]
  • -Palladon Retard 24 mg, 30 et 60 capsules retard [A+]
  • +Palladon Retard 4 mg, 30 et 60 capsules à liberation prolongée [A+]
  • +Palladon Retard 8 mg, 30 et 60 capsules à liberation prolongée [A+]
  • +Palladon Retard 16 mg, 30 et 60 capsules à liberation prolongée [A+]
  • +Palladon Retard 24 mg, 30 et 60 capsules à liberation prolongée [A+]
  • -Décembre 2017.
  • +Mai 2020.
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