90 Changements de l'information professionelle Taxotere 20 mg |
-En association au trastuzumab administré toutes les semaines, la posologie recommandée de docétaxel est de 100 mg/m2 toutes les 3 semaines.. La première perfusion de docétaxel a été effectuée le lendemain de la première administration de trastuzumab. Les cures suivantes de docétaxel ont été administrées immédiatement après la fin de la perfusion du trastuzumab si la dose précédente de trastuzumab avait été bien tolérée. Pour trastuzumab, voir l'information professionnelle du produit Herceptin®.
- +En association au trastuzumab administré toutes les semaines, la posologie recommandée de docétaxel est de 100 mg/m2 toutes les 3 semaines. La première perfusion de docétaxel a été effectuée le lendemain de la première administration de trastuzumab. Les cures suivantes de docétaxel ont été administrées immédiatement après la fin de la perfusion du trastuzumab si la dose précédente de trastuzumab avait été bien tolérée.
-Chimiothérapie d'induction suivie de radiothérapie
- +• Chimiothérapie d'induction suivie de radiothérapie
-Chimiothérapie d'induction suivie de chimio radiothérapie
- +• Chimiothérapie d'induction suivie de chimio radiothérapie
- +Les patients qui ont déjà subi une réaction d'hypersensibilité au paclitaxel peuvent développer une réaction d'hypersensibilité potentiellement fatale au docétaxel.
- +
-Chez les patients traités par le docétaxel en combinaison avec le cisplatine et le 5-fluorouracil (TCF), une neutropénie fébrile et/ou une infection neutropénique sont apparues à des taux plus faibles lorsque les patients ont reçu du G-CSF en prophylaxie. Dans le traitement adjuvant du cancer du sein, les patients doivent avoir un suivi hématologique, dû au risque de développer une myelodysplasie tardive ou une leucémie myéloide (AML). Après un temps median de suivi de 83 mois, l'AML est apparue chez 3 patients sur 744 (0,4%) qui ont été traités par TAC, et chez 1 patient sur 736 (0,1%) traités par 5-FU/doxorubicine/cyclophosphamide. L'expérience post-marketing a montré que de très rares cas d'AML et de syndrome myelodysplasique ont été rapportés en association avec docétaxel utilisé en combinaison avec d'autres chimiothérapies et/ou radiothérapie.
- +Chez les patients traités par le docétaxel en combinaison avec le cisplatine et le 5-fluorouracil (TCF), une neutropénie fébrile et/ou une infection neutropénique sont apparues à des taux plus faibles lorsque les patients ont reçu du G-CSF en prophylaxie. Dans le traitement adjuvant du cancer du sein, les patients doivent avoir un suivi hématologique, dû au risque de développer une myelodysplasie tardive ou une leucémie myéloide (AML). Après un temps median de suivi de 83 mois, l'AML est apparue chez 3 patients sur 744 (0,4%) qui ont été traités par TAC, et chez 1 patient sur 736 (0,1%) traités par 5-FU/doxorubicine/cyclophosphamide. L'expérience post-marketing a montré que de très rares cas d'AML et de syndrome myélodysplasique ont été rapportés en association avec docétaxel utilisé en combinaison avec d'autres chimiothérapies et/ou radiothérapie.
- +Réactions gastro-intestinales:
- +Des précautions sont recommandées pour les patients neutropéniques qui risquent plus particulièrement de développer des complications gastro-intestinales. Une entérocolite peut se développer à tout moment et peut engendrer le décès dès le premier jour de son apparition. Les patients devraient être étroitement surveillés pour des manifestations précoces de toxicité gastro-intestinale grave, telles que douleurs et sensibilité abdominales précoces, fièvre, diarrhée, avec ou sans neutropénie. Ces symptômes doivent être évalués et traités rapidement.
- +Des arythmies ventriculaires y compris des tachycardies (parfois fatales) ont été rapportées chez les patients traités avec du docétaxel en combinaison avec des traitements tels que la doxorubicine, le 5-fluorouracile et/ou le cyclophosphamide (voir section «Effets indésirables»).
- +Une évaluation cardiaque de base est recommandée.
- +Veuillez indiquer aux patients de signaler tout rythme cardiaque irrégulier et/ou rapide, essoufflement sévère, vertige et/ou évanouissement.
- +
-Excipients:
-La quantité d'éthanol dans Taxotere dans la présentation «concentré pour perfusion, 1 Vial» peut être néfaste pour les patients souffrant d'alcoolisme et devrait aussi être pris en compte chez la femme enceinte ou allaitante, chez les enfants et les groupes de patients à risque élevé tels que les patients souffrant d'une maladie du foie ou épileptiques.
- +Excipients: La quantité d'éthanol dans Taxotere dans la présentation «concentré pour perfusion, 1 Vial» peut être néfaste pour les patients souffrant d'alcoolisme et devrait aussi être pris en compte chez la femme enceinte ou allaitante, chez les enfants et les groupes de patients à risque élevé tels que les patients souffrant d'une maladie du foie ou épileptiques.
-Vu ses effets indésirables, le docétaxel peut influencer l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines après son administration. Cependant, les effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'ont pas été étudiés. La quantité d'éthanol dans le flacon de Taxotere peut altérer les capacités à conduire des véhicules ou à utiliser des machines.
- +Les effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'ont pas été étudiés. Vu ses effets indésirables, le docétaxel peut influencer l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines après son administration. Les patients doivent donc être avertis de l'impact potentiel des effets indésirables du traitement par docétaxel et de ne pas conduire de véhicule ou utiliser des machines en cas de survenue de ces effets indésirables. La quantité d'éthanol dans le flacon de Taxotere peut altérer les capacités à conduire des véhicules ou à utiliser des machines.
-Parmi les patients ayant reçu le docétaxel en monothérapie, 1’312 patients ont reçu docétaxel à la dose de 100 mg/m2 et 121 à la dose de 75 mg/m2. En association au docétaxel (75 mg/m2), 258 patients ont reçu de la doxorubicine, 406 du cisplatine, 92 du trastuzumab, 255 de la capécitabine, 332 de la prednisone/prednisolone, 744 de la doxorubicine/du cyclophosphamide et 395 du cisplatine/5-fluorouracil. 859 patients (tête et cou) ont reçu du cisplatine/5-fluorouracil.
- +Parmi les patients ayant reçu le docétaxel en monothérapie, 1'312 patients ont reçu docétaxel à la dose de 100 mg/m2 et 121 à la dose de 75 mg/m2. En association au docétaxel (75 mg/m2), 258 patients ont reçu de la doxorubicine, 406 du cisplatine, 92 du trastuzumab, 255 de la capécitabine, 332 de la prednisone/prednisolone, 744 de la doxorubicine/du cyclophosphamide et 395 du cisplatine/5-fluorouracil. 859 patients (tête et cou) ont reçu du cisplatine/5-fluorouracil.
-Fréquents: candidose buccale, infection du haut appareil respiratoire, infection de l’appareil uro-génital, septicémie neutropénique.
-<2%: infections de l’appareil respiratoire inférieur, pharyngite, otite moyenne, septicémie, bronchopneumonie.
-Néoplasmes, bénins et malins (y compris les kystes et les polypes)
- +Fréquents: candidose buccale, infection du haut appareil respiratoire, infection de l'appareil uro-génital, septicémie neutropénique.
- +<2%: infections de l'appareil respiratoire inférieur, pharyngite, otite moyenne, septicémie, bronchopneumonie.
- +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incluant kystes et polypes)
-Rare: leucémie myeloide aigüe (AML).
-Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
- +Occasionnel: leucémie myeloide aigüe (AML), syndrome myélodysplasique.
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
-Troubles du système immunitaire
-Très fréquents: réactions d’hypersensibilité (3-26%; G3/4: 1,4-5%).
-Rare: choc anaphylactique.
- +Affections du système immunitaire
- +Très fréquent: réactions d'hypersensibilité (3-26%; G3/4: 1,4-5%).Rare: choc anaphylactique.
- +En combinaison avec la capécitabine:
- +Fréquent: mal de dos 7% (G>3/4: 1%).
- +En combinaison avec le trastuzumab:
- +Très fréquent: mal de dos 10% (tout grade).
- +Cas isolés: réaction d'hypersensibilité.
- +
-Très fréquent: anorexie (17-19%; G3/4: 2%). Des cas d’hyponatrémie ont été rapportés, essentiellement associés à une déshydratation, à des vomissements, à une pneumonie.
- +Très fréquent: anorexie (17-19%; G3/4: 2%).
- +Cas isolés: hyponatrémie, hypokaliémie, hypomagnésiémie, hypocalcémie.
-Troubles psychiatriques
- +Affections psychiatriques
-Troubles du système nerveux
-Très fréquents: troubles neurosensoriels (24-50%; G3: 1-4%), troubles neuromoteurs (4-14%; G3/4: jusqu’à 4%).
- +Affections du système nerveux
- +Très fréquents: troubles neurosensoriels (24-50%; G3: 1-4%), troubles neuromoteurs (4-14%; G3/4: jusqu'à 4%).
-Troubles oculaires
-Rares: larmoiements avec ou sans conjonctivite, obstruction du canal lacrymal avec larmoiement intempestif. Des cas d’œdème maculaire cystoïdes (CMO) ont été rapportés chez les patients traités avec docétaxel ainsi qu’avec d’autres taxanes.
-Très rares: troubles visuels réversibles (flashs de lumière, scotomes) pendant la perfusion en relation avec une réaction d’hypersensibilité.
- +Affections oculaires
- +Rares: larmoiements avec ou sans conjonctivite, obstruction du canal lacrymal avec larmoiement intempestif. Des cas d'œdème maculaire cystoïdes (CMO) ont été rapportés chez les patients traités avec docétaxel ainsi qu'avec d'autres taxanes.
- +Très rares: troubles visuels réversibles (flashs de lumière, scotomes) pendant la perfusion en relation avec une réaction d'hypersensibilité.
-Troubles de l’oreille et du conduit auditif
-Rares: ototoxicité, troubles auditifs, perte de l’ouïe.
- +Affections de l'oreille et du labyrinthe
- +Rares: ototoxicité, troubles auditifs, perte de l'ouïe.
-Fréquent: altération de l’ouïe.
-Troubles cardiovasculaires
-Des événements tels qu’un œdème périphérique et moins fréquemment une pleurésie, une péricardite, une ascite et une prise de poids ont été rapportés. L’œdème périphérique débute généralement au niveau des membres inférieurs et peut se généraliser avec une prise de poids de 3 kg ou plus. L’incidence et la sévérité de la rétention hydrique est dépendante de la dose de docétaxel cumulée et de la prémédication (voir «Mises en garde et précautions»). Au total, 26 patients dans le groupe TAC ont développé des évènements CHF (Congestive Heart Failure) durant la période de l’étude, dont la plupart des cas dans la période de suivi. Les évènements CHF ont entrainé 2 décès parmi les patients du groupe TAC et 4 décès parmi les patients du groupe FAC. Le risque de développer du CHF est plus élevé dans le groupe TAC durant la première année.
- +Fréquent: altération de l'ouïe.
- +Affections cardiaques
- +Des événements tels qu'un œdème périphérique et moins fréquemment une pleurésie, une péricardite, une ascite et une prise de poids ont été rapportés. L'œdème périphérique débute généralement au niveau des membres inférieurs et peut se généraliser avec une prise de poids de 3 kg ou plus. L'incidence et la sévérité de la rétention hydrique est dépendante de la dose de docétaxel cumulée et de la prémédication (voir «Mises en garde et précautions»). Au total, 26 patients dans le groupe TAC ont développé des évènements CHF (Congestive Heart Failure) durant la période de l'étude, dont la plupart des cas dans la période de suivi. Les évènements CHF ont entrainé 2 décès parmi les patients du groupe TAC et 4 décès parmi les patients du groupe FAC.
- +Le risque de développer du CHF est plus élevé dans le groupe TAC durant la première année.
- +En association avec des traitements tels que la doxorubicine, le 5-fluorouracile et/ou le cyclophosphamide:
- +Fréquence inconnue: arythmies ventriculaires y compris des tachycardies, parfois fatales.
- +
-L’incidence cumulée sur 3 ans de tous les évènements cardiaques symptomatiques est de 2,36% et 1,16% dans les bras AC→TH et TCH respectivement (versus 0,52 dans le bras contrôle AC-T).
-L’incidence cumulée sur 3 ans des évènements CHF de grade 3 ou 4 est de 1,9% et 0,4% dans les bras AC→TH et TCH respectivement (versus 0,3 dans le bras contrôle AC-T).
-Troubles respiratoires
- +L'incidence cumulée sur 3 ans de tous les évènements cardiaques symptomatiques est de 2,36% et 1,16% dans les bras AC→TH et TCH respectivement (versus 0,52 dans le bras contrôle AC-T).
- +L'incidence cumulée sur 3 ans des évènements CHF de grade 3 ou 4 est de 1,9% et 0,4% dans les bras AC→TH et TCH respectivement (versus 0,3 dans le bras contrôle AC-T).
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales:
-Rares: syndrome de détresse respiratoire aiguë, pneumopathie interstitielle, maladie interstitielle des poumons, défaillance respiratoire, fibrose pulmonaire, pneumonie, phénomènes de réactivation de réaction radique, peuvent être associés à une issue fatale. Pneumonie d’irradiation chez les patients recevant en parallèle de la radiothérapie.
- +Rares: syndrome de détresse respiratoire aiguë, pneumopathie interstitielle, maladie interstitielle des poumons, défaillance respiratoire, fibrose pulmonaire, pneumonie, phénomènes de réactivation de réaction radique, peuvent être associés à une issue fatale. Pneumonie d'irradiation chez les patients recevant en parallèle de la radiothérapie.
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinales
-Rares: cas de déshydratation faisant suite à des manifestations gastro-intestinales, perforation gastro-intestinale, colite ischémique, colite et entérocolite concomitante d’une neutropénie.
-Rares: iléus, obstruction intestinale.
- +Rares: iléus, obstruction intestinale, déshydratation faisant suite à des manifestations gastro-intestinales (y compris perforation gastro-intestinale et entérocolite), entérocolite (y compris colite, colite ischémique et entérocolite neutropénique), parfois fatale
-<2%: iléus, entérocolite nécrosante, ulcère de l’œsophage, diarrhée hémorragique, hémorroïdes.
- +<2%: iléus, entérocolite nécrosante, ulcère de l'œsophage, diarrhée hémorragique, hémorroïdes.
-Troubles hépato-biliaires
- +Affections hépatobiliaires
-Très rares: cas d’hépatite, quelques fois fatale surtout chez les patients ayant des troubles hépatiques préexistants.
- +Très rares: cas d'hépatite, quelques fois fatale surtout chez les patients ayant des troubles hépatiques préexistants.
-Système cutané et sous-cutané
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os
-Très fréquents: myalgie (6-20%; G3/4: jusqu’à 1%).
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Très fréquents: myalgie (6-20%; G3/4: jusqu'à 1%).
-Troubles rénaux et urinaires
- +Affections du rein et des voies urinaires
-Très fréquents: rétention d’urine (15%).
- +Très fréquents: rétention d'urine (15%).
-Troubles fonctionnels de l'appareil reproducteur et du sein
- +Affections des organes de reproduction et du sein
-Troubles généraux et réactions au site d’injection
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Fréquents: réactions au site d’injection comme une hyperpigmentation, une inflammation, une rougeur ou une sécheresse de la peau, une phlébite ou une extravasation et une tuméfaction de la veine; douleur au niveau de la poitrine sans complication cardiaque ou respiratoire.
- +Fréquents: réactions au site d'injection comme une hyperpigmentation, une inflammation, une rougeur ou une sécheresse de la peau, une phlébite ou une extravasation et une tuméfaction de la veine; douleur au niveau de la poitrine sans complication cardiaque ou respiratoire.
- +Fréquence inconnue: réaction de rappel au niveau du site d'injection.
- +
-Très fréquents: fièvre (17-43%; G3/4: ≤ 1%), augmentation du poids (12,5%).
- +Très fréquents: fièvre (17-43%; G3/4: ≤1%), augmentation du poids (12,5%).
-Fréquents: douleurs osseuses (6,3-9,7%; G3/4: 0,1-0,4%), douleurs (5,4-8,1%; G3/4: 0,4%), épistaxis (G3/4: 0,6%), réaction au site d’injection (4,7-5,8%; G3/4: 0,1-0,2%), bouche sèche (2,7-4%), tremblements/frissons (5,1-5,9%).
- +Fréquents: douleurs osseuses (6,3-9,7%; G3/4: 0,1-0,4%), douleurs (5,4-8,1%; G3/4: 0,4%), épistaxis (G3/4: 0,6%), réaction au site d'injection (4,7-5,8%; G3/4: 0,1-0,2%), bouche sèche (2,7-4%), tremblements/frissons (5,1-5,9%).
-Les effets indésirables les plus fréquents qui ont persisté durant la période de suivi chez les patients du groupe TAC étaient: l’alopécie (92,3%), l’asthénie (31,7%) et l’aménorrhée (27,2%). Parmi ces effets indésirables qui persistaient durant la période de suivi chez plus de 1% des patients, la majorité des évènements ont disparus; cependant, l’aménorrhée (59,9%) et l’œdème lymphatique (54,5%) ont persisté chez les patients TAC.
- +Dans l'étude TAX316 (Voir propriétés/effets), les effets indésirables les plus fréquents commençant en début de traitement et ayant persisté dans la période de suivi chez les patients TAC sont décrits ci-dessous (période de suivi médian de 8 ans). La majorité de ces évènements persistants ont été résolus durant la période de suivi.
- +Réactions persistantes chez les patients ayant reçu docetaxel en combinaison avec la doxorubicine et le cyclophosphamide. (TAX316) docetaxel 75 mg/m2 + Doxorubicin 50 mg/m2 + Cyclophosphamide 500 mg/m2 n = 744
- +Type d'évènement Persistant de la période de traitement dans la période de suivi: n (%) En cours à la fin de la période de suivi: n (%)
- +Alopécie 687 (92.3) 29 (3.9)
- +Asthénie 236 (31.7) 29 (3.9)
- +Aménorrhée 202 (27.2) 121 (16.3)
- +Lymphoedème 11 (1.5) 6 (0.8)
- +Oedème périphérique 119 (16.0) 19 (2.6)
- +Neuropathie sensitive périphérique 84 (11.3) 10 (1.3)
- +
- +Description de certains effets indésirables:
- +Tumeurs bénignes,malignes et non précisées (incluant kystes et polypes)
- +Après 10 ans de suivi dans l'étude TAX316, une leucémie myéloïde aiguë (AML) est apparue dans 3 cas sur 744 (0,4%) chez les patients ayant reçu docétaxel avec doxorubicine et cyclophosphamide (TAC), et chez 1 patient sur 736 (0,1%) ayant reçu fluorouracil avec doxorubicine et cyclophosphamide. Un patient TAC a succombé à une AML durant la période de suivi (temps médian de suivi de 8 ans). Un syndrome myélodysplasique est apparu dans 2 cas sur 744 (0,3%) chez les patients ayant reçu docétaxel avec doxorubicine et cyclophosphamide, et chez un patient sur 736 (0,1%) qui ont reçu fluorouracil avec doxorubicine et cyclophosphamide.
- +Affections du système immunitaire
- +Des réactions d'hypersensibilité potentiellement fatales ont été rapportées avec le docétaxel chez les patients ayant expérimenté auparavant une réaction d'hypersensibilité au paclitaxel.
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition:
- +Des cas de déséquilibre électrolytique ont été rapportés. Des cas d'hyponatrémie ont été rapportés, essentiellement associés à une déshydratation, à des vomissements ou, à une pneumonie. Des cas d'hypokaliémie, d'hypomagnésémie et d'hypocalcémie ont été observés, en général associés à des désordres gastro-intestinaux et en particulier la diarrhée.
- +Affections gastro-intestinales
- +De rares cas d'entérocolites, incluant des colites, des colites ischémiques et des entérocolites neutropéniques, ont été rapportés avec une potentielle issue fatale (fréquence inconnue).
- +De rares cas de déshydratation ont été rapportés suite à des évènements gastro-intestinaux incluant des entérocolites et des perforations intestinales. De rares cas d'iléus et d'occlusion intestinale ont été rapportés.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration:
- +La réaction de rappel au niveau du site d'injection (Injection site recall reaction) est une récidive de la réaction cutanée sur un site d'extravasation antérieure suite à l'administration de docétaxel sur un site différent). Cette réaction a été observée sur le site d'une extravasation précédente.
-Dans une étude ouverte de phase III, 1'491 femmes atteintes de cancer du sein avec atteinte ganglionnaire opérable ont été traitées soit par docétaxel 75 mg/m2, doxorubicine 50 mg/m2 et cyclophosphamide 500 mg/m2 (TAC) soit par 5-fluorouracil 500 mg/m2, doxorubicine 50 mg/m2 et cyclophosphamide 500 mg/m2 (FAC). Le traitement a été instauré dans les 60 jours suivant l'opération et comprenait 6 cycles TAC ou FAC, suivis de tamoxifène prévu durant 5 ans. Les patientes ayant subi une lumpectomie (15,9%) ou une résection de quadrant (24,9%) ont subi une radiothérapie après la chimiothérapie. La moitié des patientes ayant subi une mastectomie ont suivi une radiothérapie. 5 ans après randomisation, 23,1% des femmes dans le groupe TAC (n=745) et 30,4% des femmes dans le groupe FAC (n=746) présentaient une rechute ou une seconde tumeur (11,5% du taux de rechute, dont n=7 versus 8 avec tumeur dans l'autre sein). Dans la majorité des cas, il s'agissait de métastases éloignées, hasard ratio 0,72 (95% CI 0,59, 0,88), p = 0,001. Lors de l'analyse de sous-groupes, le hasard ratio était de 0,61 (0,46, 0,82) pour 1-3 ganglions positifs et de 0,83 (0,66, 1,08) pour ≥4 ganglions positifs. Les femmes pré ménopausées présentaient de meilleurs résultats que les femmes post ménopausées; les patientes présentant un index de performance de 100% (Karnofsky) et ayant reçu une radiothérapie adjuvante présentaient également un avantage. Deux analyses intermédiaires et 1 analyse finale ont été effectuées. L’analyse finale a été effectuée quand tous les patients ont passé leur visite de suivi à 10 ans (à l’exception de la survenue d’un évènement DFS ou perdus de vue avant). La survie sans maladie (DFS) était le critère primaire d’efficacité et la survie globale (OS) était le critère secondaire d’efficacité. L’analyse finale a été effectuée avec un suivi médian de 96 mois. Une DFS significativement plus longue a été démontrée dans le groupe TAC en comparaison avec le groupe FAC. L’incidence des rechutes à 10 ans était réduite dans le bras TAC en comparaison avec le groupe FAC (39% vs 45%), à savoir une réduction du risque absolu de 6% (p=0.0043)
-L'OS à 10 ans était également significativement plus longue dans le bras TAC en comparaison avec le bras FAC (76% vs 68%), à savoir une réduction du risque absolu de décès de 7% (p = 0,002).
-Taxotere en association au trastuzumab après traitement avec doxorubicine et cyclophosphamide (AC→TH) ou docétaxel en association au trastuzumab et carboplatine (TCH) (traitement adjuvant de patients ayant un cancer du sein opérable surexprimant HER2)
-L'efficacité et la sécurité de docétaxel en combinaison avec trastuzumab a été étudié pour le traitement adjuvant de patients avec un cancer opérable dont les tumeurs surexpriment HER2 (node positive et high risk node negative). Au total, 3'222 patientes on été randomisées et 3'174 ont été traitées avec AC-T vs AC→TH ou TCH.
- +Dans une étude ouverte de phase III, 1'491 femmes atteintes de cancer du sein avec atteinte ganglionnaire opérable ont été traitées soit par docétaxel 75 mg/m2, doxorubicine 50 mg/m2 et cyclophosphamide 500 mg/m2 (TAC) soit par 5-fluorouracil 500 mg/m2, doxorubicine 50 mg/m2 et cyclophosphamide 500 mg/m2 (FAC). Le traitement a été instauré dans les 60 jours suivant l'opération et comprenait 6 cycles TAC ou FAC, suivis de tamoxifène prévu durant 5 ans. Les patientes ayant subi une lumpectomie (15,9%) ou une résection de quadrant (24,9%) ont subi une radiothérapie après la chimiothérapie. La moitié des patientes ayant subi une mastectomie ont suivi une radiothérapie. 5 ans après randomisation, 23,1% des femmes dans le groupe TAC (n=745) et 30,4% des femmes dans le groupe FAC (n=746) présentaient une rechute ou une seconde tumeur (11,5% du taux de rechute, dont n=7 versus 8 avec tumeur dans l'autre sein). Dans la majorité des cas, il s'agissait de métastases éloignées, hasard ratio 0,72 (95% CI 0,59, 0,88), p=0,001. Lors de l'analyse de sous-groupes, le hasard ratio était de 0,61 (0,46, 0,82) pour 1-3 ganglions positifs et de 0,83 (0,66, 1,08) pour ≥4 ganglions positifs. Les femmes pré ménopausées présentaient de meilleurs résultats que les femmes post ménopausées; les patientes présentant un index de performance de 100% (Karnofsky) et ayant reçu une radiothérapie adjuvante présentaient également un avantage. Deux analyses intermédiaires et 1 analyse finale ont été effectuées. L'analyse finale a été effectuée quand tous les patients ont passé leur visite de suivi à 10 ans (à l'exception de la survenue d'un évènement DFS ou perdus de vue avant). La survie sans maladie (DFS) était le critère primaire d'efficacité et la survie globale (OS) était le critère secondaire d'efficacité. L'analyse finale a été effectuée avec un suivi médian de 96 mois. Une DFS significativement plus longue a été démontrée dans le groupe TAC en comparaison avec le groupe FAC. L'incidence des rechutes à 10 ans était réduite dans le bras TAC en comparaison avec le groupe FAC (39% vs 45%), à savoir une réduction du risque absolu de 6% (p=0.0043).
- +L'OS à 10 ans était également significativement plus longue dans le bras TAC en comparaison avec le bras FAC (76% vs 68%), à savoir une réduction du risque absolu de décès de 7% (p=0,002).
- +Taxotere en association au trastuzumab après traitement avec doxorubicine et cyclophosphamide (AC→TH) ou docétaxel en association au trastuzumab et carboplatine (TCH) (traitement adjuvant de patients ayant un cancer du sein opérable surexprimant HER2).
- +L'efficacité et la sécurité de docétaxel en combinaison avec trastuzumab a été étudié pour le traitement adjuvant de patients avec un cancer opérable dont les tumeurs surexpriment HER2 (node positive et high risk node negative). Au total, 3'222 patientes ont été randomisées et 3'174 ont été traitées avec AC-T vs AC→TH ou TCH.
-Les résultats de la deuxième analyse intermédiaire, établie avec un suivi médian de 36 mois, démontrent que le schéma AC→TH respectivement TCH appliqué comme traitement adjuvant, à des patients avec un cancer du sein opérable HER-2 positifs, prolonge statistiquement DFS et OS, en comparaison avec le bras contrôle (AC-T); DFS: HR 0,61 (0,49-0,77) p<0,001 respectivement 0,67 (0,54-0,83) p = 0.0003; OS: HR 0,58 (0,40-0,83) p = 0,0024 respectivement 0,66 (0,47-0,93) p = 0,0182.
- +Les résultats de la deuxième analyse intermédiaire, établie avec un suivi médian de 36 mois, démontrent que le schéma AC→TH respectivement TCH appliqué comme traitement adjuvant, à des patients avec un cancer du sein opérable HER-2 positifs, prolonge statistiquement DFS et OS, en comparaison avec le bras contrôle (AC-T); DFS: HR 0,61 (0,49-0,77) p<0,001 respectivement 0,67 (0,54-0,83) p=0.0003; OS: HR 0,58 (0,40-0,83) p=0,0024 respectivement 0,66 (0,47-0,93) p=0,0182.
-Voir l'information destinée aux professionnels du trastuzumab (Herceptin®).
- +Voir l'information destinée aux professionnels du trastuzumab.
-·Le taux de réponse global dans la population randomisée (évaluation par l'investigateur), était de 41,6% pour l'association docétaxel/capécitabine vs 29,7% pour le docétaxel en monothérapie. Ceci a été confirmé par un comité de révision indépendant (32,2% versus 23,1%, (p = 0,025)).
- +·Le taux de réponse global dans la population randomisée (évaluation par l'investigateur), était de 41,6% pour l'association docétaxel/capécitabine vs 29,7% pour le docétaxel en monothérapie. Ceci a été confirmé par un comité de révision indépendant (32,2% versus 23,1%, (p=0,025)).
-Dans une étude de phase III, 1'006 patients souffrant d'un cancer de la prostate métastatique hormonorésistant ont été randomisés et traités soit par du docétaxel 75 mg/m2 (i.v. toutes les 3 semaines pour 10 cycles), soit par du docétaxel 30 mg/m2 (i.v. toutes les semaines pendant les 5 premières semaines de 5 cycles de 6 semaines), soit par de la mitoxantrone 12 mg/m2 (i.v. toutes les 3 semaines pour 10 cycles). Les 3 groupes ont reçu, en plus, 5 mg de prednisone/prednisolone p.o. deux fois par jour de manière continue. Les patients traités par le docétaxel toutes les 3 semaines ont montré une amélioration significative de la durée de survie, comparés à ceux qui avaient été traités par la mitoxantrone (18,9 vs 16,5 mois, p = 0,009). Aucun avantage de survie significatif n'a été observé dans le groupe recevant le docétaxel chaque semaine (17,4 vs 16,5 mois, p = 0,362).
- +Dans une étude de phase III, 1'006 patients souffrant d'un cancer de la prostate métastatique hormonorésistant ont été randomisés et traités soit par du docétaxel 75 mg/m2 (i.v. toutes les 3 semaines pour 10 cycles), soit par du docétaxel 30 mg/m2 (i.v. toutes les semaines pendant les 5 premières semaines de 5 cycles de 6 semaines), soit par de la mitoxantrone 12 mg/m2 (i.v. toutes les 3 semaines pour 10 cycles). Les 3 groupes ont reçu, en plus, 5 mg de prednisone/prednisolone p.o. deux fois par jour de manière continue. Les patients traités par le docétaxel toutes les 3 semaines ont montré une amélioration significative de la durée de survie, comparés à ceux qui avaient été traités par la mitoxantrone (18,9 vs 16,5 mois, p=0,009). Aucun avantage de survie significatif n'a été observé dans le groupe recevant le docétaxel chaque semaine (17,4 vs 16,5 mois, p = 0,362).
-Une étude ouverte, multicentrique randomisée a été conduite pour évaluer la sécurité et l'efficacité de Taxotere pour le traitement de patients avec un adénocarcinome gastrique avancé, incluant l'adénocarcinome de la jonction gastro-œsophagienne, qui ont eu ou non une résection gastrique et qui n'ont pas reçu de chimiothérapie préalable pour l'état avancé de leur maladie. Un total de 445 patients avec un KPS >70 (KPS: index de performances selon Karnofsky) ont été traités avec soit Taxotere (T) (75 mg/m2 le premier jour) en combinaison avec cisplatine (P) (75 mg/m2 le premier jour) et 5-fluorouracil (F) (750 mg/m2 par jour pendant 5 jours) soit cisplatine (100 mg/m2 le premier jour) et 5-fluorouracil (1000 mg/m2 par jour pendant 5 jours).
- +Une étude ouverte, multicentrique randomisée a été conduite pour évaluer la sécurité et l'efficacité de Taxotere pour le traitement de patients avec un adénocarcinome gastrique avancé, incluant l'adénocarcinome de la jonction gastro-œsophagienne, qui ont eu ou non une résection gastrique et qui n'ont pas reçu de chimiothérapie préalable pour l'état avancé de leur maladie. Un total de 445 patients avec un KPS >70 (KPS: index de performances selon Karnofsky) ont été traités avec soit Taxotere (T) (75 mg/m2 le premier jour) en combinaison avec cisplatine (C) (75 mg/m2 le premier jour) et 5-fluorouracil (F) (750 mg/m2 par jour pendant 5 jours) soit cisplatine (100 mg/m2 le premier jour) et 5-fluorouracil (1000 mg/m2 par jour pendant 5 jours).
-Le temps de progression était prolongé de 3,7 à 5,6 mois en faveur du bras TCF, HR 1,47 (CI 95% 1,19, 1,83; p<0,001). La survie globale était aussi significativement prolongée de 8,6 à 9,2 mois en faveur du bras TCF, HR 1,29 (CI 95% 1,04, 1,60; p = 0,02). Les taux de réponse globale étaient 36,7% pour le bras TCF vs. 25,4% pour le bras CF (p = 0,01).
- +Le temps de progression était prolongé de 3,7 à 5,6 mois en faveur du bras TCF, HR 1,47 (CI 95% 1,19, 1,83; p<0,001). La survie globale était aussi significativement prolongée de 8,6 à 9,2 mois en faveur du bras TCF, HR 1,29 (CI 95% 1,04, 1,60; p=0,02). Les taux de réponse globale étaient 36,7% pour le bras TCF vs. 25,4% pour le bras CF (p=0,01).
-Chimiothérapie d'induction suivie de radiothérapie
- +• Chimiothérapie d'induction suivie de radiothérapie
-Chimiothérapie d'induction suivie de chimio radiothérapie
- +• Chimiothérapie d'induction suivie de chimio radiothérapie
-Insuffisance hépatique: chez les patients (n=23) présentant des valeurs de laboratoire élevées (ALAT, ASAT ≥1,5 fois la limite supérieure de la normale et phosphatase alcaline ≥2,5 fois la limite supérieure de la normale), la clairance a diminué en moyenne de 27% (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Insuffisance hépatique: chez les patients (n = 23) présentant des valeurs de laboratoire élevées (ALAT, ASAT ≥1,5 fois la limite supérieure de la normale et phosphatase alcaline ≥2,5 fois la limite supérieure de la normale), la clairance a diminué en moyenne de 27% (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-D'un point de vue microbiologique, la dilution doit être réalisée dans des conditions aseptiques. Dans le cas où les flacons perforables sont stockés au réfrigérateur, garder les flacons nécessaires à température ambiante (25 °C) 5 minutes avant l'utilisation.
- +D'un point de vue microbiologique, la dilution doit être réalisée dans des conditions aseptiques. Dans le cas oú les flacons perforables sont stockés au réfrigérateur, garder les flacons nécessaires à température ambiante (25 °C) 5 minutes avant l'utilisation.
-Mai 2017.
- +Juillet 2018.
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