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Accueil - Information professionnelle sur Entocort CIR 3 mg - Changements - 14.10.2017
28 Changements de l'information professionelle Entocort CIR 3 mg
  • -Principe actif: Budesonidum.
  • -Excipients: Excipiens pro capsula.
  • +Principe actif: Budésonide.
  • +Excipients: Excipients per capsule.
  • -En général, le plein effet est obtenu au bout de 2 à 4 semaines. Ces recommandations sont fondées sur les résultats d’études cliniques contrôlées qui ont duré un an.
  • +La réponse thérapeutique optimale est généralement atteinte en 2 à 4 semaines. Ces recommandations sont fondées sur les résultats d’études cliniques contrôlées qui ont duré un an.
  • -Pour les poussées légères à modérées, la dose journalière recommandée est de 9 mg par jour pendant 8 semaines au maximum. La pleine efficacité thérapeutique est généralement obtenue en l’espace de 2 à 4 semaines. Une fois que les symptômes sont contrôlés, il faut réduire la dose à la dose minimale efficace. Dans les études cliniques contrôlées, la durée de traitement a été de 12 semaines au maximum (9 mg par jour pendant 8 semaines puis 6 mg par jour pendant 4 semaines). Ni l’efficacité ni la sécurité d’emploi d’un traitement plus long ne sont établies chez l’enfant.
  • +Pour les poussées légères à modérées, la dose journalière recommandée est de 9 mg par jour pendant 8 semaines au maximum. La réponse thérapeutique optimale est généralement atteinte en 2 à 4 semaines. Une fois que les symptômes sont contrôlés, il faut réduire la dose à la dose minimale efficace. Dans les études cliniques contrôlées, la durée de traitement a été de 12 semaines au maximum (9 mg par jour pendant 8 semaines puis 6 mg par jour pendant 4 semaines). Ni l’efficacité ni la sécurité d’emploi d’un traitement plus long ne sont établies chez l’enfant.
  • -Il convient d’être particulièrement prudent lors de tout passage à Entocort capsules retard en remplacement d’un traitement conventionnel par des corticoïdes dont l’effet systémique est supérieur. Il est possible que ces patients présentent une suppression corticosurrénalienne. Aussi convient-il de surveiller de près la fonction surrénalienne et de réduire avec prudence la dose de corticoïdes systémiques chez ces patients.
  • +Il convient d’être particulièrement prudent lors de tout passage à Entocort capsules retard en remplacement d’un traitement conventionnel par des corticoïdes dont l’effet systémique est supérieur. Il est possible que ces patients présentent une suppression corticosurrénalienne. Aussi convient-il de surveiller de près la fonction surrénalienne et de réduire avec prudence la dose de corticoïdes systémiques chez ces patients. Parce que la fonction surrénalienne peut être supprimée, un test de stimulation à l'ACTH peut montrer de faux résultats (valeurs faibles) pour le diagnostic de hypopituitarisme.
  • -Les corticoïdes peuvent induire une diminution de la réaction de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien dans des situations de stress. Pour les patients subissant une intervention chirurgicale ou soumis à d’autres situations de stress, il est recommandé d’administrer, en plus, un glucocorticoïde systémique.
  • +Les corticoïdes peuvent induire une diminution de la réaction de l’axe hypothalamohypophyso-surrénalien dans des situations de stress. Pour les patients subissant une intervention chirurgicale ou soumis à d’autres situations de stress, il est recommandé d’administrer, en plus, un glucocorticoïde systémique.
  • -Des études menées in vivo montrent que l’administration orale de kétoconazole provoque une augmentation de l’absorption systémique du budésonide. Le kétoconazole est un inhibiteur du CYP3A4 qui agit dans le foie et la muqueuse intestinale (voir «Interactions»). Une diminution de la dose de budésonide doit être envisagée lors de l’administration concomitante de budésonide et de kétoconazole.
  • +Il est prévu que l’administration concomitante d’inhibiteurs du CYP3A, y compris de produits contenant du cobicistat, augmente le risque d’effets secondaires systémiques en inhibant la dégradation du budésonide, en particulier parce que le budésonide est fortement soumis au métabolisme du premier passage. L’association doit être évitée, sauf si les bénéfices sont supérieurs au risque accru d’effets secondaires systémiques des corticostéroïdes; dans ce cas, les patients doivent être surveillés en vue de détecter les éventuels effets secondaires systémiques des corticostéroïdes.
  • +Des études menées in vivo chez l'homme montrent que l’administration orale de kétoconazole provoque une augmentation de l’absorption systémique du budésonide. Le kétoconazole est un inhibiteur du CYP3A4 qui agit dans le foie et la muqueuse intestinale (voir «Interactions»). Une diminution de la dose de budésonide doit être envisagée lors de l’administration concomitante de budésonide et de kétoconazole.
  • +Les définitions de fréquence sont indiqués comme suit
  • +Très fréquent (>1/10), fréquent (>1/100, <1/10), peu fréquent (>1/1000, <1/100), rare (>1/10'000, <1/1000), très rare (<1/10'000).
  • +
  • -Peau: Exanthème allergique, urticaire, vergetures, pétéchies, ecchymoses, acné stéroïdien, retard de guérison des plaies, dermatite de contact.
  • -Muscles, squelette: Ostéoporose, ostéonécroses aseptiques (tête fémorale et humérale), spasmes musculaires, tremblements.
  • -Yeux: Glaucome, cataracte, vision floue.
  • -Système nerveux central et périphérique: Dépressions, irritabilité, euphorie, agitation, insomnie et fluctuations de l’humeur.
  • -Tractus gastro-intestinal: Troubles gastriques, ulcère gastro-duodénal, pancréatite, dyspepsie.
  • -Métabolisme: Syndrome de Cushing (visage lunaire, obésité du tronc), diminution de la tolérance au glucose, diabète sucré, rétention sodée avec formation d’oedèmes, élimination accrue de potassium, inactivité ou atrophie du cortex surrénal, retard de croissance chez l’enfant, troubles de la sécrétion des hormones sexuelles (p.ex. aménorrhée, hirsutisme, impuissance).
  • -Système cardio-vasculaire: Hypertension, palpitations.
  • -Système vasculaire: Augmentation du risque de thrombose, vascularite (syndrome de sevrage après un traitement au long cours).
  • -Système immunitaire: Inhibition des processus immunitaires (p.ex. augmentation du risque d’infections).
  • -Lors d’études contrôlées par placebo, les effets indésirables suivants ont été observés sous Entocort CIR (incidence sous placebo entre parenthèses):
  • -Système immunitaire
  • -
  • +Affections du système immunitaire
  • +Peu fréquent: Inhibition des processus immunitaires (p.ex. augmentation du risque d’infections).
  • -Système endocrinien
  • -Maladie de Cushing: visage lunaire 7% (4%), hypokaliémie 2% (0%).
  • -Troubles de la menstruation 7% (2%).
  • -Système nerveux
  • -Nervosité 2% (0%), insomnie 4% (3%), variations d’humeur 34% (37%).
  • -Oeil
  • -Vision floue 2% (0%).
  • -Système cardio-vasculaire
  • -Palpitations 2% (0%).
  • -Tractus gastro-intestinal
  • -Dyspepsie 6% (4%).
  • -Peau
  • -Urticaire 0,4% (1%), exanthème 3% (8%).
  • -Muscles, squelette
  • -Spasmes musculaires 4% (0%), tremblements 1% (0%).
  • -Les effets indésirables suivants sont apparus en dehors des études cliniques: Un retard de la croissance, une urticaire et un exanthème ont été observés dans des cas isolés.
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • +Fréquent: Syndrome de Cushing (visage lunaire, obésité du tronc), hypokaliémie, élimination accrue de potassium.
  • +Très rare: Diminution de la tolérance au glucose, diabète sucré, rétention sodée avec formation d’oedèmes, inactivité ou atrophie du cortex surrénal.
  • +Affections psychiatriques
  • +Fréquent: Dépressions, euphorie, agitation, insomnie et fluctuations de l’humeur.
  • +Peu fréquent: Anxiété.
  • +Rare: Agression.
  • +Affections du système nerveux
  • +Peu fréquent: Tremblement, hyperactivité psychomotrice.
  • +Affections oculaires
  • +Fréquent: Vision floue.
  • +Rare: Cataracte y compris la cataracte sous-capsulaire.
  • +Très rare: Glaucome.
  • +Affections cardiaques
  • +Fréquent: Palpitations.
  • +Très rare: Hypertension
  • +Affections vasculaire
  • +Très rare: Augmentation du risque de thrombose, vascularite (syndrome de sevrage après un traitement au long cours).
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Fréquent: Dyspepsie.
  • +Rare: Pancréatite.
  • +Très rare: Troubles gastriques, ulcère gastro-duodénal.
  • +Affections de la peau et du tissus sous-cutané
  • +Fréquent: Exanthème allergique.
  • +Peu fréquent: Urticaire.
  • +Rare: Ecchymoses.
  • +Très rare: vergetures, pétéchies, acné stéroïdien, retard de guérison des plaies, dermatite de contact.
  • +Affections musculo-squelettiques et systémiques
  • +Fréquent: Spasmes musculaires.
  • +Rare: Stéonécroses aseptiques (tête fémorale et humérale).
  • +Très rare: Ostéoporose, retard de croissance chez l’enfant.
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • +Fréquent: Troubles de la sécrétion des hormones sexuelles (p.ex. aménorrhée, hirsutisme, impuissance).
  • -Les données de pharmacologie clinique et les études cliniques contrôlées montrent que l’action d’Entocort CIR est essentiellement topique. Cette démonstration se fonde sur le fait qu’Entocort CIR présente une efficacité similaire à celle de la prednisolone tout en ayant une influence significativement plus faible sur l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien et les marqueurs systémiques de l’inflammation.
  • +Les données de pharmacologie clinique et les études cliniques contrôlées montrent que l’action d’Entocort CIR est essentiellement topique. Cette démonstration se fonde sur le fait qu’Entocort CIR présente une efficacité similaire à celle de la prednisolone tout en ayant une influence significativement plus faible sur l’axe hypothalamohypophyso-surrénalien et les marqueurs systémiques de l’inflammation.
  • -On n’a pas mené d’études de longue durée avec Entocort CIR chez l’enfant.
  • +Population pédiatrique
  • +Une étude en ouvert, non contrôlée visant à évaluer ENTOCORT chez 108 patients pédiatriques (enfants et adolescents âgés de 5 à 17 ans) atteints d’une maladie de Crohn légère à modérée au niveau de l'iléon et/ou du côlon ascendant. La durée médiane d’exposition au traitement ENTOCORT est de 58 jours (intervalle : 5 jours à 90 jours). Les patients ont reçu une dose d’ENTOCORT par voir orale 1 fois par jour en fonction de la masse corporelle. Les patients dont le poids corporel était ≤ 25kg ont reçu 6 mg 1 fois par jour pendant 8 semaines ; les patients dont le poids corporel était > 25 kg ont reçu 9 mg une fois par jour pendant 8 semaines. Pendant les 8 semaines de traitement il y a eu une diminution du score moyen CDAI (± écart type) de 19,1 (± 10,1) à 9,1 (± 8,5), ce qui indique une amélioration de la maladie ; avec une amélioration du score moyen IMPACT 3 (± écart type) de 132,1 (± 18,8) à 140,9 (± 16,9). Des effets indésirables ont été observés à des fréquences et des gravités similaires à celles observées chez l’adulte, et étaient principalement liées à la maladie de Crohn, la puberté et les possibles effets secondaires des glucocorticoïdes.
  • +Une autre étude en ouvert, non comparative visant à évaluer ENTOCORT 6 mg 1 fois par jour en traitement d’entretien chez 50 patients pédiatriques (enfants et adolescents âgés de 5 à 17 ans) avec un diagnostic de maladie de Crohn légère à modérée de l'iléon et / ou du côlon ascendant et qui étaient en rémission clinique (CDAI ≤ 10). Le traitement consistait en une phase de 12 semaines de traitement d’entretien à 6 mg 1 fois par jour, puis une phase de 2 semaine à 3 mg 1 fois par jour. La durée médiane d'exposition d’ENTOCORT était de 98,5 jours (intervalle : 11 jours à 135 jours). La plupart des patients sont restés au stade de rémission clinique, car il n'y pas eu de changements majeurs dans le score moyen CDAI ou le score moyen IMPACT 3. La moyenne du score CDAI (± écart type) était de 4,85 (± 3,62) à l’initiation du traitement et de 6,89 (± 8,08) après 12 semaines de traitement d'entretien avec ENTOCORT 6 mg 1 fois par jour. De la même manière, le score moyen IMPACT 3 était 145,62 (± 12,43) et 146,98 (± 15,48), respectivement. Des effets indésirables ont été observés à des fréquences et des gravités similaires à celles observées chez l’adulte, et étaient principalement liées à la maladie de Crohn, la puberté et les possibles effets secondaires des glucocorticoïdes. .
  • -L’activité glucocorticoïde des principaux métabolites, le 6β-hydroxybudésonide et la 16α-hydroxyprednisolone, est inférieure à 1% de celle du budésonide.
  • +L’activité glucocorticoïde des principaux métabolites, le 6βhydroxybudésonide et la 16αhydroxyprednisolone, est inférieure à 1% de celle du budésonide.
  • -Aucune connue.
  • +Sans objet.
  • -Entocort CIR ne doit pas être conservé à des températures au-dessus de 30 °C et hors de la portée des enfants. Entocort CIR ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Entocort CIR ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Instructions de stockage
  • +Tenir hors de la vue et de la portée des enfants.
  • +A conserver à une température ne dépassant pas 30°°C.
  • -Juin 2009.
  • +Septembre 2017.
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