128 Changements de l'information professionelle Roferon-A 3 Mio I.E./0,5 mL |
-Principe actif
-Interféron alfa-2a (fabriqué par biosynthèse à l’aide de la technique de l’ADN recombinant). L’interféron alfa-2a est le produit du clonage du gène de l’interféron prélevé dans des leucocytes humains et transféré dans des bactéries E. coli, où il est ensuite exprimé (produit par génie génétique à l’aide de cellules E. coli).
- +Principes actifs
- +Interferonum alfa-2a (produit par génie génétique à l'aide de cellules E. coli).
-1 seringue préremplie renferme: natrii chloridum; ammoni acetas; polysorbatum 80 (produit à partir de maïs génétiquement modifié); conserv.: alcohol benzylicus 5,0 mg; aqua ad iniectabilia q.s. ad solutionem pro 0,5 ml.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Roferon-A se présente sous forme de solution injectable en seringues préremplies à 3 mio d’UI/0,5 ml.
- +1 solution injectable en seringue préremplie renferme: ammoni acetas, polysorbatum 80 (produit à partir de maïs génétiquement modifié), alcohol benzylicus (E1519) 5,0 mg, acidum aceticum glaciale, natrii chloridum 3,5 mg, natrii hydroxidum 7,5 μg; (correspond au total à 1,42 mg de sodium par seringue préremplie); aqua ad iniectabilia q.s. ad solutionem pro 0,5 ml.
- +
- +
-·Traitement adjuvant chez les patients ayant subi l’ablation d’un mélanome malin de stade II selon la classification de l’AJCC (indice de Breslow: >1,5 mm; pas de métastases lymphatiques ou à distance).
- +·Traitement adjuvant chez les patients ayant subi l'ablation d'un mélanome malin de stade II selon la classification de l'AJCC (indice de Breslow: >1,5 mm; pas de métastases lymphatiques ou à distance).
-·Traitement de première ligne de patients atteints d’un carcinome rénal avancé et/ou métastasique et ayant subi une néphrectomie (en association avec le bévacizumab).
- +·Traitement de première ligne de patients atteints d'un carcinome rénal avancé et/ou métastasique et ayant subi une néphrectomie (en association avec le bévacizumab).
-Hépatite chronique C histologiquement attestée chez l’adulte exempt de décompensation hépatique, porteur d’anticorps anti-VHC, d’ARN du VHC et présentant un taux sérique accru d’aminotransférase (ALT).
-L’efficacité du traitement par l’interféron alfa-2a chez des patients avec rechute d’hépatite chronique C est accrue par l’association du produit avec la ribavirine.
-Lors de traitement associé, tenir compte de l’information scientifique sur la ribavirine.
-En ce qui concerne les patients encore jamais traités par l’interféron, seule une petite étude comparative en mode ouvert a été menée sur le traitement associé avec la ribavirine.
- +Hépatite chronique C histologiquement attestée chez l'adulte exempt de décompensation hépatique, porteur d'anticorps anti-VHC, d'ARN du VHC et présentant un taux sérique accru d'aminotransférase (ALT).
- +L'efficacité du traitement par l'interféron alfa-2a chez des patients avec rechute d'hépatite chronique C est accrue par l'association du produit avec la ribavirine.
- +Lors de traitement associé, tenir compte de l'information scientifique sur la ribavirine.
- +En ce qui concerne les patients encore jamais traités par l'interféron, seule une petite étude comparative en mode ouvert a été menée sur le traitement associé avec la ribavirine.
-Roferon-A est indiqué pour accroître la probabilité d’une séroconversion chez des patients de race blanche atteints d’hépatite chronique B active et exempts de décompensation hépatique. L'hépatite chronique B active doit être confirmée par une biopsie du foie, une augmentation des transaminases (>6 mois) et la présence de marqueurs de la réplication virale (ADN du VHB et AgHBe). Aucun effet favorisant le développement d'une cirrhose hépatique ou d'un carcinome hépatocellulaire n'a pu être mis en évidence.
- +Roferon-A est indiqué pour accroître la probabilité d'une séroconversion chez des patients de race blanche atteints d'hépatite chronique B active et exempts de décompensation hépatique. L'hépatite chronique B active doit être confirmée par une biopsie du foie, une augmentation des transaminases (>6 mois) et la présence de marqueurs de la réplication virale (ADN du VHB et AgHBe). Aucun effet favorisant le développement d'une cirrhose hépatique ou d'un carcinome hépatocellulaire n'a pu être mis en évidence.
-Les seringues préremplies sont uniquement destinées à l’administration sous-cutanée.
-Posologie usuelle
- +Il convient que Roferon-A soit administré sous la surveillance d'un médecin ou d'un spécialiste de l'hépatite habitué à administrer des produits antitumoraux ou antiviraux. La conduite appropriée du traitement et la maîtrise de ses complications exigent un équipement adéquat en matière de diagnostic et de traitement.
- +Afin d'assurer la traçabilité des médicaments biotechnologiques, il convient de documenter pour chaque traitement le nom commercial et le numéro de lot.
-Traitement initial
- +Instauration du traitement
-Traitement d’entretien
- +Traitement d'entretien
-Traitement initial
- +Instauration du traitement
-Traitement d’entretien
- +Traitement d'entretien
-Chez les sidéens atteints de sarcome de Kaposi, la probabilité de réponse au traitement est plus grande en l'absence d'infections opportunistes dans l'anamnèse, en l'absence de symptômes systémiques (perte de poids de plus de 10%, fièvre supérieure à 38 °C sans foyer infectieux connu, sueurs nocturnes) et lorsque la valeur initiale des lymphocytes T4 est supérieure à 0,4× 109/l.
-Une régression objective de la tumeur (réponse complète ou partielle) a été observée chez environ 45% des patients dont la valeur initiale des lymphocytes T4 était supérieure à 0,4× 109/l.
- +Chez les sidéens atteints de sarcome de Kaposi, la probabilité de réponse au traitement est plus grande en l'absence d'infections opportunistes dans l'anamnèse, en l'absence de symptômes systémiques (perte de poids de plus de 10%, fièvre supérieure à 38 °C sans foyer infectieux connu, sueurs nocturnes) et lorsque la valeur initiale des lymphocytes T4 est supérieure à 0,4x 109/l.
- +Une régression objective de la tumeur (réponse complète ou partielle) a été observée chez environ 45% des patients dont la valeur initiale des lymphocytes T4 était supérieure à 0,4x 109/l.
-Traitement initial
-Roferon-A doit être injecté; chez les patients de plus de 18 ans et pour une durée totale de traitement de dix à douze semaines, la dose quotidienne doit être portée progressivement à au moins 18 millions d'UI, de préférence à 36 millions d’UI, selon le schéma suivant:
- +Instauration du traitement
- +Roferon-A doit être injecté; chez les patients de plus de 18 ans et pour une durée totale de traitement de dix à douze semaines, la dose quotidienne doit être portée progressivement à au moins 18 millions d'UI, de préférence à 36 millions d'UI, selon le schéma suivant:
-Jours 7-9: 18 millions d’UI/jour; en cas de bonne tolérance, passage à:
- +Jours 7-9: 18 millions d'UI/jour; en cas de bonne tolérance, passage à:
-Traitement d’entretien
- +Traitement d'entretien
-Hypernéphrome au stade avancé
-Roferon-A en association avec la vinblastine
-Roferon-A doit être injecté à raison de 3 millions d’UI trois fois par semaine pendant une semaine, puis à raison de 9 millions d’UI trois fois par semaine pendant une nouvelle semaine; par la suite, il convient d’administrer 18 millions d’UI trois fois par semaine. La vinblastine doit être administrée de manière concomitante une fois toutes les trois semaines à raison de 0,1 mg/kg par voie intraveineuse, conformément aux instructions du fabricant.
-Si la posologie de 18 millions d’UI de Roferon-A trois fois par semaine n’est pas tolérée, elle peut être ramenée à 9 millions d’UI trois fois par semaine.
-Le traitement doit durer au moins trois mois et au plus 12 mois, ou jusqu’à l’apparition d’une progression de la maladie. Les patients répondant totalement au traitement peuvent arrêter le traitement trois mois après que leur réaction positive a été constatée.
-Roferon-A en association avec le bévacizumab
-Roferon-A doit être injecté à raison de 9 millions d’UI trois fois par semaine jusqu’à l’apparition d’une progression de la maladie ou sur 12 mois au plus.
-Le traitement par Roferon-A peut être instauré à une faible posologie (3 ou 6 mio. d’UI); toutefois, la posologie recommandée de 9 mio. d’UI doit être atteinte dans les deux premières semaines du traitement.
-Si la dose de Roferon-A égale à 9 mio. d’UI trois fois par semaine n’est pas bien tolérée, la posologie peut être abaissée à la dose minimum de 3 mio. d’UI trois fois par semaine.
-Les injections de Roferon-A sont à administrer après la fin de la perfusion de bévacizumab. Concernant le dosage de bévacizumab, consulter l’information professionnelle de l’Avastin.
-Posologie
- +Instauration du traitement/Traitement d'entretien
-Patients ayant subi l’ablation d’un mélanome malin de stade II selon la classification de l’AJCC
-Posologie recommandée
-Roferon-A doit être administré à raison de 3 millions d’UI trois fois par semaine.
- +Patients ayant subi l'ablation d'un mélanome malin de stade II selon la classification de l'AJCC
- +Posologie usuelle
- +Roferon-A doit être administré à raison de 3 millions d'UI trois fois par semaine.
-Les patients doivent être traités pendant 18 mois, le traitement devant commencer au plus tard six semaines après l’intervention chirurgicale.
- +Les patients doivent être traités pendant 18 mois, le traitement devant commencer au plus tard six semaines après l'intervention chirurgicale.
-(Le diagnostic doit être posé par un spécialiste.)
-Traitement associé par Roferon-A et la ribavirine
-Association avec la ribavirine: veuillez également tenir compte de l’information scientifique sur la ribavirine lorsque l’interféron alfa-2a est administré en association avec la ribavirine à des patients souffrant d’hépatite chronique C.
-Patients avec rechute (relapsers)
-Roferon-A est utilisé en association avec la ribavirine pour le traitement de l’hépatite chronique C chez des patients adultes ayant présenté une rechute après monothérapie réussie par l’interféron alfa.
-Posologie de Roferon-A
-4,5 millions d’UI trois fois par semaine pendant 6 mois.
-Posologie de la ribavirine
-1000 mg à 1200 mg par jour répartis en deux doses (une avec le petit déjeuner et une avec le dîner). Pour de plus amples informations sur la posologie et le mode d’emploi de la ribavirine, se reporter à l’information scientifique sur la ribavirine.
-Traitement des patients non préalablement traités
-L’efficacité de l’interféron alfa-2a dans le traitement de l’hépatite C est accrue par son association avec la ribavirine. Roferon-A ne doit être utilisé en monothérapie qu’en cas d’intolérance ou de contre-indication à la ribavirine.
-Posologie de Roferon-A
-3 - 4,5 millions d’UI trois fois par semaine pendant au moins 6 mois. Chez les patients exempts d’ARN du VHC après 6 mois et qui présentaient une forte charge virale de génotype I avant le traitement, ce dernier doit être poursuivi pendant au moins 6 mois.
-Posologie de la ribavirine
-Voir ci-dessus.
-D’autres facteurs de pronostic défavorable (âge >40 ans, sexe masculin, fibrose évoluée [«bridging fibrosis»]) doivent être pris en considération lors de la décision de porter éventuellement le traitement à 12 mois.
-Les patients exempts de réponse virologique (taux d’ARN du VHC inférieur au seuil de détection) après 6 mois de traitement ne présentent généralement pas de réponse virologique durable (taux d’ARN du VHC inférieur au seuil de détection 6 mois après la fin du traitement).
- +Le diagnostic doit être posé par un spécialiste.
-Roferon-A ne doit être utilisé en monothérapie qu’en cas d’intolérance ou de contre-indication à la ribavirine.
-Recommandations posologiques
- +Roferon-A ne doit être utilisé en monothérapie qu'en cas d'intolérance ou de contre-indication à la ribavirine.
- +Instauration du Traitement/Traitement d'entretien
- +Traitement associé par Roferon-A et la ribavirine
- +Association avec la ribavirine: veuillez également tenir compte de l'information scientifique sur la ribavirine lorsque l'interféron alfa-2a est administré en association avec la ribavirine à des patients souffrant d'hépatite chronique C.
- +Patients avec rechute (relapsers)
- +Roferon-A est utilisé en association avec la ribavirine pour le traitement de l'hépatite chronique C chez des patients adultes ayant présenté une rechute après monothérapie réussie par l'interféron alfa.
- +Posologie de Roferon-A
- +4,5 millions d'UI trois fois par semaine pendant 6 mois.
- +Posologie de la ribavirine
- +1'000 mg à 1'200 mg par jour répartis en deux doses (une avec le petit déjeuner et une avec le dîner). Pour de plus amples informations sur la posologie et le mode d'emploi de la ribavirine, se reporter à l'information scientifique sur la ribavirine.
- +Traitement des patients non préalablement traités
- +L'efficacité de l'interféron alfa-2a dans le traitement de l'hépatite C est accrue par son association avec la ribavirine. Roferon-A ne doit être utilisé en monothérapie qu'en cas d'intolérance ou de contre-indication à la ribavirine.
- +Posologie de Roferon-A
- +3 - 4,5 millions d'UI trois fois par semaine pendant au moins 6 mois. Chez les patients exempts d'ARN du VHC après 6 mois et qui présentaient une forte charge virale de génotype I avant le traitement, ce dernier doit être poursuivi pendant au moins 6 mois.
- +Posologie de la ribavirine
- +Voir ci-dessus.
- +D'autres facteurs de pronostic défavorable (âge >40 ans, sexe masculin, fibrose évoluée [«bridging fibrosis»]) doivent être pris en considération lors de la décision de porter éventuellement le traitement à 12 mois.
- +Les patients exempts de réponse virologique (taux d'ARN du VHC inférieur au seuil de détection) après 6 mois de traitement ne présentent généralement pas de réponse virologique durable (taux d'ARN du VHC inférieur au seuil de détection 6 mois après la fin du traitement).
-Recommandations posologiques
-La dose recommandée est comprise entre 5 et 10 millions d’UI trois fois par semaine (le lundi, le mercredi et le vendredi, par exemple) pendant quatre mois au maximum. En l'absence de régression du marqueur génomique de la réplication virale (ADN du VHB) ou de l'antigène HBe dans le sérum après deux mois de traitement (diminution >50% par rapport à la valeur initiale), le traitement doit être arrêté. L'apparition d'anticorps anti-HBe et la régression simultanée du marqueur génomique de la réplication virale sont les signes d'une réponse précoce et de bonne qualité au traitement.
-Instructions spéciales pour la posologie
- +Posologie usuelle
- +La dose recommandée est comprise entre 5 et 10 millions d'UI trois fois par semaine (le lundi, le mercredi et le vendredi, par exemple) pendant quatre mois au maximum. En l'absence de régression du marqueur génomique de la réplication virale (ADN du VHB) ou de l'antigène HBe dans le sérum après deux mois de traitement (diminution >50% par rapport à la valeur initiale), le traitement doit être arrêté. L'apparition d'anticorps anti-HBe et la régression simultanée du marqueur génomique de la réplication virale sont les signes d'une réponse précoce et de bonne qualité au traitement.
- +Traitement associé
- +Hypernéphrome au stade avancé
- +Roferon-A en association avec la vinblastine
- +Roferon-A doit être injecté à raison de 3 millions d'UI trois fois par semaine pendant une semaine, puis à raison de 9 millions d'UI trois fois par semaine pendant une nouvelle semaine; par la suite, il convient d'administrer 18 millions d'UI trois fois par semaine. La vinblastine doit être administrée de manière concomitante une fois toutes les trois semaines à raison de 0,1 mg/kg par voie intraveineuse, conformément aux instructions du fabricant.
- +Si la posologie de 18 millions d'UI de Roferon-A trois fois par semaine n'est pas tolérée, elle peut être ramenée à 9 millions d'UI trois fois par semaine.
- +Le traitement doit durer au moins trois mois et au plus 12 mois, ou jusqu'à l'apparition d'une progression de la maladie. Les patients répondant totalement au traitement peuvent arrêter le traitement trois mois après que leur réaction positive a été constatée.
- +Roferon-A en association avec le bévacizumab
- +Roferon-A doit être injecté à raison de 9 millions d'UI trois fois par semaine jusqu'à l'apparition d'une progression de la maladie ou sur 12 mois au plus.
- +Le traitement par Roferon-A peut être instauré à une faible posologie (3 ou 6 mio. d'UI); toutefois, la posologie recommandée de 9 mio. d'UI doit être atteinte dans les deux premières semaines du traitement.
- +Si la dose de Roferon-A égale à 9 mio. d'UI trois fois par semaine n'est pas bien tolérée, la posologie peut être abaissée à la dose minimum de 3 mio. d'UI trois fois par semaine.
- +Les injections de Roferon-A sont à administrer après la fin de la perfusion de bévacizumab. Concernant le dosage de bévacizumab, consulter l'information professionnelle de l'Avastin.
- +Ajustement de la posologie du fait d'effets indésirables
-Enfants
- +Enfants et adolescents
-Avertissement
-Etant donné qu'il contient de l'alcool benzylique, Roferon-A ne doit pas être utilisé chez le nouveau-né, en particulier chez le prématuré immature et chez l’enfant jusqu’à 3 ans (voir sous Contre-indications). Dans de rares cas, l’alcool benzylique peut provoquer des états compromettant le pronostic vital ou entraîner des réactions anaphylactoïdes chez l’enfant jusqu’à 3 ans. Aussi Roferon-A ne doit-il pas être utilisé chez le nouveau-né, le petit enfant et l’enfant jusqu’à 3 ans. La solution de Roferon-A contient 10 mg d’alcool benzylique par ml.
- +Mode d'administration
- +Les seringues préremplies sont uniquement destinées à l'administration sous-cutanée.
-Hypersensibilité connue au principe actif ou à d'autres produits à base d'interféron, ainsi qu'aux immunoglobulines murines ou à l’un des excipients conformément à la composition.
-Nouveau-né, enfant jusqu’à 3 ans et prématuré immature. La solution injectable de Roferon-A contient de l’alcool benzylique. Des cas de déficit neuropsychiatrique durable et de défaillance pluriorganique liés à l’alcool benzylique ont été signalés. Cardiopathie sévère existante ou antécédents d’affection cardiaque de quelque type que ce soit.
- +Hypersensibilité connue au principe actif ou à d'autres produits à base d'interféron, ainsi qu'aux immunoglobulines murines ou à l'un des excipients conformément à la composition.
- +Nouveau-né, enfant jusqu'à 3 ans et prématuré immature. La solution injectable de Roferon-A contient de l'alcool benzylique. Des cas de déficit neuropsychiatrique durable et de défaillance pluriorganique liés à l'alcool benzylique ont été signalés. Cardiopathie sévère existante ou antécédents d'affection cardiaque de quelque type que ce soit.
-L’association ribavirine plus Roferon-A ne doit pas être utilisée chez la femme enceinte. Veuillez également lire l’information scientifique sur la ribavirine.
- +L'association ribavirine plus Roferon-A ne doit pas être utilisée chez la femme enceinte. Veuillez également lire l'information scientifique sur la ribavirine.
-Il convient que Roferon-A soit administré sous la surveillance d'un médecin ou d'un spécialiste de l'hépatite habitué à administrer des produits antitumoraux ou antiviraux. La conduite appropriée du traitement et la maîtrise de ses complications exigent un équipement adéquat en matière de diagnostic et de traitement.
-En cas de troubles fonctionnels légers à modérés des reins, du foie ou de la moelle osseuse, une surveillance étroite des fonctions correspondantes s’impose.
- +En cas de troubles fonctionnels légers à modérés des reins, du foie ou de la moelle osseuse, une surveillance étroite des fonctions correspondantes s'impose.
-Bien que la fièvre puisse être provoquée par un syndrome pseudo-grippal, tel qu’il est souvent observé lors de traitement par des interférons, il convient d'écarter d’autres causes possibles chez les patients avec neutropénie présentant une fièvre persistante. Des infections sévères (bactéries, virus, champignons) ont été signalées sous traitement par des interférons alfa, y compris Roferon-A. Dans un tel cas, un traitement par des anti-infectieux doit être instauré immédiatement et l’arrêt du traitement par l’interféron doit être envisagé.
- +Bien que la fièvre puisse être provoquée par un syndrome pseudo-grippal, tel qu'il est souvent observé lors de traitement par des interférons, il convient d'écarter d'autres causes possibles chez les patients avec neutropénie présentant une fièvre persistante. Des infections sévères (bactéries, virus, champignons) ont été signalées sous traitement par des interférons alfa, y compris Roferon-A. Dans un tel cas, un traitement par des anti-infectieux doit être instauré immédiatement et l'arrêt du traitement par l'interféron doit être envisagé.
-Des signes de dépression doivent être recherchés par le médecin chez tous les patients. La prudence est de rigueur en cas de dépression dans l’anamnèse. Avant l’instauration du traitement, le médecin doit avertir les patients de la survenue possible d’une dépression et les inviter à signaler immédiatement tout symptôme dépressif. Dans de tels cas, un traitement psychiatrique et/ou l’arrêt du médicament doivent être envisagés.
- +Des signes de dépression doivent être recherchés par le médecin chez tous les patients. La prudence est de rigueur en cas de dépression dans l'anamnèse. Avant l'instauration du traitement, le médecin doit avertir les patients de la survenue possible d'une dépression et les inviter à signaler immédiatement tout symptôme dépressif. Dans de tels cas, un traitement psychiatrique et/ou l'arrêt du médicament doivent être envisagés.
-La prudence est tout particulièrement de rigueur lors de l’administration de Roferon-A à des patients présentant une grave aplasie médullaire, car l’effet myélosuppressif entraîne une diminution des globules blancs (notamment des granulocytes) et des thrombocytes; moins souvent, on note également une baisse du taux d’hémoglobine. Ces modifications peuvent prédisposer à un risque accru d’infections ou d’hémorragies. Les troubles mentionnés ci-dessus doivent être soigneusement recherchés chez tous les patients. Des contrôles de la formule sanguine doivent être effectués tant avant le traitement par Roferon-A qu'à intervalles appropriés pendant ce dernier.
- +La prudence est tout particulièrement de rigueur lors de l'administration de Roferon-A à des patients présentant une grave aplasie médullaire, car l'effet myélosuppressif entraîne une diminution des globules blancs (notamment des granulocytes) et des thrombocytes; moins souvent, on note également une baisse du taux d'hémoglobine. Ces modifications peuvent prédisposer à un risque accru d'infections ou d'hémorragies. Les troubles mentionnés ci-dessus doivent être soigneusement recherchés chez tous les patients. Des contrôles de la formule sanguine doivent être effectués tant avant le traitement par Roferon-A qu'à intervalles appropriés pendant ce dernier.
-La prudence est de rigueur lorsque l’interféron alfa est administré à des patients atteints d’hépatite chronique et présentant des antécédents de maladie auto-immune. De ce fait, chaque patient chez lequel apparaît un trouble de la fonction hépatique sous traitement par Roferon A doit être étroitement surveillé, et le traitement arrêté si nécessaire.
- +La prudence est de rigueur lorsque l'interféron alfa est administré à des patients atteints d'hépatite chronique et présentant des antécédents de maladie auto-immune. De ce fait, chaque patient chez lequel apparaît un trouble de la fonction hépatique sous traitement par Roferon A doit être étroitement surveillé, et le traitement arrêté si nécessaire.
-Comme pour d’autres interférons, des cas de rétinopathie – y compris d’hémorragie rétinienne –, d'exsudats cotonneux, d'œdème papillaire, d'oblitération des artères ou des veines rétiniennes et de neuropathie optique pouvant entraîner une baisse de la vision ont été rapportés après traitement par Roferon-A. Chaque patient signalant une diminution ou une perte de vision doit faire l’objet d’un examen ophtalmologique. Etant donné que de tels événements oculaires peuvent également survenir en relation avec d’autres tableaux cliniques, il est recommandé que les patients souffrant de diabète sucré ou d’hypertension fassent examiner leurs yeux avant l’instauration du traitement par Roferon-A en monothérapie ou en association avec la ribavirine. Le traitement par Roferon-A, que ce soit en monothérapie ou en association avec la ribavirine, doit être interrompu chez les patients chez lesquels des affections oculaires se développent ou s’aggravent.
- +Comme pour d'autres interférons, des cas de rétinopathie – y compris d'hémorragie rétinienne –, d'exsudats cotonneux, d'œdème papillaire, d'oblitération des artères ou des veines rétiniennes et de neuropathie optique pouvant entraîner une baisse de la vision ont été rapportés après traitement par Roferon-A. Chaque patient signalant une diminution ou une perte de vision doit faire l'objet d'un examen ophtalmologique. Etant donné que de tels événements oculaires peuvent également survenir en relation avec d'autres tableaux cliniques, il est recommandé que les patients souffrant de diabète sucré ou d'hypertension fassent examiner leurs yeux avant l'instauration du traitement par Roferon-A en monothérapie ou en association avec la ribavirine. Le traitement par Roferon-A, que ce soit en monothérapie ou en association avec la ribavirine, doit être interrompu chez les patients chez lesquels des affections oculaires se développent ou s'aggravent.
-Si une réaction d’hypersensibilité (p.ex. urticaire, œdème de Quincke, bronchoconstriction, anaphylaxie) survient pendant le traitement par Roferon-A, utilisé seul ou en association avec la ribavirine, arrêter ce dernier et instaurer immédiatement un traitement médical correspondant. Des exanthèmes transitoires ne nécessitent pas d’interruption du traitement.
- +Si une réaction d'hypersensibilité (p.ex. urticaire, œdème de Quincke, bronchoconstriction, anaphylaxie) survient pendant le traitement par Roferon-A, utilisé seul ou en association avec la ribavirine, arrêter ce dernier et instaurer immédiatement un traitement médical correspondant. Des exanthèmes transitoires ne nécessitent pas d'interruption du traitement.
-Dans de rares cas, une hyperglycémie a été constatée chez des patients traités par Roferon-A. Chez les patients présentant les symptômes correspondants, la glycémie doit être déterminée et surveillée en conséquence. Chez les patients avec diabète sucré, une adaptation du traitement antidiabétique peut s’avérer nécessaire.
- +Dans de rares cas, une hyperglycémie a été constatée chez des patients traités par Roferon-A. Chez les patients présentant les symptômes correspondants, la glycémie doit être déterminée et surveillée en conséquence. Chez les patients avec diabète sucré, une adaptation du traitement antidiabétique peut s'avérer nécessaire.
-des phénomènes auto-immuns tels que vascularite, polyarthrite rhumatoïde, anémie hémolytique, dysfonctionnement thyroïdien et lupus érythémateux disséminé ont été observés chez de rares patients sous traitement par Roferon A. Chez les patients présentant une prédisposition aux troubles auto-immuns ou des antécédents de telles manifestations, il est recommandé de surveiller l’apparition de symptômes évoquant de tels troubles et de procéder à la détermination d’autoanticorps et des taux de TSH.
-Une aggravation ou le développement d’un psoriasis ont été signalés dans de rares cas lors d’utilisation de Roferon-A.
-Chez les transplantés (p.ex. personnes ayant bénéficié d’une greffe de rein ou de moelle osseuse), le traitement par Roferon-A peut éventuellement atténuer l’immunosuppression à visée thérapeutique, étant donné que les interférons exercent également un effet immunostimulant. Comme avec d’autres interférons alfa, des rejets de greffes ont été rapportés chez les patients ayant pris du Roféron-A.
- +des phénomènes auto-immuns tels que vascularite, polyarthrite rhumatoïde, anémie hémolytique, dysfonctionnement thyroïdien et lupus érythémateux disséminé ont été observés chez de rares patients sous traitement par Roferon A. Chez les patients présentant une prédisposition aux troubles auto-immuns ou des antécédents de telles manifestations, il est recommandé de surveiller l'apparition de symptômes évoquant de tels troubles et de procéder à la détermination d'autoanticorps et des taux de TSH.
- +Une aggravation ou le développement d'un psoriasis ont été signalés dans de rares cas lors d'utilisation de Roferon-A.
- +Chez les transplantés (p.ex. personnes ayant bénéficié d'une greffe de rein ou de moelle osseuse), le traitement par Roferon-A peut éventuellement atténuer l'immunosuppression à visée thérapeutique, étant donné que les interférons exercent également un effet immunostimulant. Comme avec d'autres interférons alfa, des rejets de greffes ont été rapportés chez les patients ayant pris du Roféron-A.
-Veuillez également tenir compte de l’information scientifique sur la ribavirine lorsque l’interféron alfa-2a est administré en association avec la ribavirine à des patients souffrant d’hépatite chronique C.
- +Veuillez également tenir compte de l'information scientifique sur la ribavirine lorsque l'interféron alfa-2a est administré en association avec la ribavirine à des patients souffrant d'hépatite chronique C.
- +Avertissement
- +Alcool benzylique: ce médicament contient 5 mg d'alcool benzylique par seringue préremplie, équivalent à 10 mg/ml. Etant donné qu'il contient de l'alcool benzylique, Roferon-A ne doit pas être utilisé chez le nouveau-né, en particulier chez le prématuré immature et chez l'enfant jusqu'à 3 ans (voir «Contre-indications»). L'alcool benzylique peut provoquer des réactions allergiques et dans de rares cas, des états compromettant le pronostic vital ou des réactions anaphylactoïdes (syndrome de suffocation) chez l'enfant jusqu'à 3 ans. Les volumes élevés doivent être utilisés avec prudence et en cas de nécessité absolue uniquement, en particulier chez les personnes atteintes d'insuffisance hépatique ou rénale en raison du risque d'accumulation et de toxicité («acidose métabolique»).
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par seringue préremplie, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
- +
-Veuillez également tenir compte de l’information scientifique sur la ribavirine lorsque l’interféron alfa-2a est administré en association avec la ribavirine à des patients souffrant d’hépatite chronique C.
- +Veuillez également tenir compte de l'information scientifique sur la ribavirine lorsque l'interféron alfa-2a est administré en association avec la ribavirine à des patients souffrant d'hépatite chronique C.
-Le bévacizumab n’influence pas la pharmacocinétique de l’interféron alfa-2a.
- +Le bévacizumab n'influence pas la pharmacocinétique de l'interféron alfa-2a.
-Tant l’homme que la femme doivent recourir à des mesures contraceptives efficaces pendant le traitement par Roferon-A.
-Il n’existe aucune donnée clinique sur l’utilisation chez la femme enceinte.
-On ne dispose pas d’études expérimentales suffisantes chez l’animal en ce qui concerne les répercussions sur la grossesse, le développement embryonnaire, le développement du fœtus et/ou le développement postnatal. Le risque potentiel n’est pas connu.
- +Grossesse
-Bien que l'expérimentation animale n'ait fourni aucun indice d'un effet tératogène de Roferon-A, l'éventualité d'une action toxique sur le fœtus ne peut être exclue. C’est pourquoi Roferon-A ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, sauf nécessité clairement établie. Lors d’administration de doses excessivement élevées à des macaques rhésus, un effet abortif a été observé au cours des deux premiers tiers de la gestation.
- +Tant l'homme que la femme doivent recourir à des mesures contraceptives efficaces pendant le traitement par Roferon-A.
- +Il n'existe pas de données cliniques concernant l'emploi chez la femme enceinte.
- +Il n'existe pas d'expérimentations animales suffisantes concernant l'incidence sur la grossesse, le développement embryonnaire, le développement fœtal et/ou le développement post-natal. Le risque potentiel pour l'être humain n'est pas connu.
- +Bien que l'expérimentation animale n'ait fourni aucun indice d'un effet tératogène de Roferon-A, l'éventualité d'une action toxique sur le fœtus ne peut être exclue. C'est pourquoi Roferon-A ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, sauf nécessité clairement établie. Lors d'administration de doses excessivement élevées à des macaques rhésus, un effet abortif a été observé au cours des deux premiers tiers de la gestation.
- +Allaitement
- +
-L’alcool benzylique, un excipient, est susceptible de franchir la barrière placentaire. Il convient de tenir compte des éventuels effets toxiques pouvant apparaître chez le prématuré dont la mère a reçu Roferon-A sous forme de solution injectable juste avant l’accouchement ou la césarienne.
-L’association Roferon-A et ribavirine ne doit pas être utilisée chez la femme enceinte.
-Les femmes en âge de procréer ainsi que leurs partenaires ne doivent pas être traités par l’association Roferon-A et ribavirine, sauf lorsque la patiente/le patient et son/sa partenaire ont recours à une contraception efficace.
-Association avec la ribavirine: veuillez également tenir compte de l’information scientifique sur la ribavirine lorsque l’interféron alfa-2a est administré en association avec la ribavirine à des patients souffrant d’hépatite chronique C.
- +L'alcool benzylique, un excipient, est susceptible de franchir la barrière placentaire. Il convient de tenir compte des éventuels effets toxiques pouvant apparaître chez le prématuré dont la mère a reçu Roferon-A sous forme de solution injectable juste avant l'accouchement ou la césarienne.
- +L'association Roferon-A et ribavirine ne doit pas être utilisée chez la femme enceinte.
- +Fertilité
- +Les femmes en âge de procréer ainsi que leurs partenaires ne doivent pas être traités par l'association Roferon-A et ribavirine, sauf lorsque la patiente/le patient et son/sa partenaire ont recours à une contraception efficace.
- +Association avec la ribavirine
- +veuillez également tenir compte de l'information scientifique sur la ribavirine lorsque l'interféron alfa-2a est administré en association avec la ribavirine à des patients souffrant d'hépatite chronique C.
-En fonction de la dose et du schéma posologique ainsi que de la sensibilité individuelle des patients, Roferon-A pourrait influer sur la capacité de réaction. Cela pourrait par exemple compromettre la conduite d’un véhicule à moteur ou la commande de machines.
- +En fonction de la dose et du schéma posologique ainsi que de la sensibilité individuelle des patients, Roferon-A pourrait influer sur la capacité de réaction. Cela pourrait par exemple compromettre la conduite d'un véhicule à moteur ou la commande de machines.
-Les données ci-après, relatives aux effets indésirables, se fondent sur le traitement de patients cancéreux atteints de tumeurs malignes très diverses, s'étant souvent avérées rebelles à un traitement antérieur et se trouvant à un stade avancé, ainsi que sur le traitement de patients présentant une hépatite chronique B ou C. La fréquence des effets indésirables s’est toujours avérée plus importante chez les patients cancéreux que chez les personnes atteintes d’hépatite.
-Dans le cadre des études cliniques, deux tiers des cancéreux environ ont perdu l'appétit et la moitié ont présenté des nausées. Des troubles cardiovasculaires et respiratoires, tels qu’hypotension, hypertension, œdèmes, cyanose, arythmie, palpitations et douleurs thoraciques transitoires, ont été constatés chez environ un cinquième des patients cancéreux. La plupart des patients cancéreux ont reçu le médicament à des doses bien supérieures à celles recommandées aujourd'hui dans le traitement des hépatites chroniques B et C, ce qui explique probablement que les effets indésirables aient été plus fréquents et plus marqués chez eux que chez les patients avec hépatite B ou C, qui présentent des effets indésirables généralement transitoires et revenant, 1-2 semaines après la fin du traitement, au niveau qui était le leur avant le début de ce même traitement; une chute accrue des cheveux peut persister pendant plusieurs semaines. Les effets indésirables cardiovasculaires se sont produits plus rarement chez les patients atteints d’hépatite B ou C.
- +Les données ci-après, relatives aux effets indésirables, se fondent sur le traitement de patients cancéreux atteints de tumeurs malignes très diverses, s'étant souvent avérées rebelles à un traitement antérieur et se trouvant à un stade avancé, ainsi que sur le traitement de patients présentant une hépatite chronique B ou C. La fréquence des effets indésirables s'est toujours avérée plus importante chez les patients cancéreux que chez les personnes atteintes d'hépatite.
- +Dans le cadre des études cliniques, deux tiers des cancéreux environ ont perdu l'appétit et la moitié ont présenté des nausées. Des troubles cardiovasculaires et respiratoires, tels qu'hypotension, hypertension, œdèmes, cyanose, arythmie, palpitations et douleurs thoraciques transitoires, ont été constatés chez environ un cinquième des patients cancéreux. La plupart des patients cancéreux ont reçu le médicament à des doses bien supérieures à celles recommandées aujourd'hui dans le traitement des hépatites chroniques B et C, ce qui explique probablement que les effets indésirables aient été plus fréquents et plus marqués chez eux que chez les patients avec hépatite B ou C, qui présentent des effets indésirables généralement transitoires et revenant, 1-2 semaines après la fin du traitement, au niveau qui était le leur avant le début de ce même traitement; une chute accrue des cheveux peut persister pendant plusieurs semaines. Les effets indésirables cardiovasculaires se sont produits plus rarement chez les patients atteints d'hépatite B ou C.
-Les fréquences indiquées sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 et <1/10); occasionnels (≥1/1000 et <1/100); rares (≥1/10'000 et <1/1000); très rares (<1/10'000); fréquence inconnue (ne peut être déterminée sur la base de l’expérience post-commercialisation).
- +Les fréquences indiquées sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 et <1/10); occasionnels (≥1/1000 et <1/100); rares (≥1/10'000 et <1/1000); très rares (<1/10'000); fréquence inconnue (ne peut être déterminée sur la base de l'expérience post-commercialisation).
-Rarement: pneumonie, herpès simplex (y compris aggravation d’herpès labial).
-Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
-Très fréquemment: leucopénie.
-Fréquemment: thrombopénie, anémie.
-Rarement: agranulocytose, anémie hémolytique.
-Très rarement: purpura thrombopénique idiopathique.
-Chez les patients avec aplasie médullaire, thrombopénie et baisse du taux d'hémoglobine sont plus fréquemment observées. Le retour aux valeurs initiales de paramètres hématologiques fortement modifiés est généralement intervenu sept à dix jours après arrêt du traitement par Roferon-A.
-Troubles du système immunitaire
-Rarement: affections auto-immunes, réactions d’hypersensibilité aiguës (p.ex. urticaire, œdème de Quincke, bronchospasme et réaction anaphylactique).
-Très rarement: sarcoïdose.
-Fréquence inconnue: rejets de greffes (comme avec d’autres interférons alfa).
-Troubles endocriniens
-Rarement: hyperthyroïdie, hypothyroïdie, troubles de la fonction thyroïdienne.
- +Rares: pneumonie, herpès simplex (y compris aggravation d'herpès labial).
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
- +Très fréquents: leucopénie.
- +Fréquents: thrombopénie, anémie.
- +Rares: agranulocytose, anémie hémolytique, augmentation du taux sanguin de LDH, de bilirubine, de créatinine, d'acide urique et d'urée.
- +Très rares: purpura thrombopénique idiopathique.
- +Chez les patients avec aplasie médullaire, thrombopénie et baisse du taux d'hémoglobine sont plus fréquents observées. Le retour aux valeurs initiales de paramètres hématologiques fortement modifiés est généralement intervenu sept à dix jours après arrêt du traitement par Roferon-A.
- +Affections du système immunitaire
- +Rares: affections auto-immunes, réactions d'hypersensibilité aiguës (p.ex. urticaire, œdème de Quincke, bronchospasme et réaction anaphylactique).
- +Très rares: sarcoïdose.
- +Fréquence inconnue: rejets de greffes (comme avec d'autres interférons alfa).
- +Affections endocriniens
- +Rares: hyperthyroïdie, hypothyroïdie, troubles de la fonction thyroïdienne.
-Très fréquemment: perte d’appétit, nausées, hypocalcémie.
-Occasionnellement: troubles de l’équilibre électrolytique, déshydratation.
-Rarement: hyperglycémie.
-Très rarement: diabète sucré, hypertriglycéridémie/hyperlipidémie.
-Troubles psychiatriques
-Occasionnellement: dépression, anxiété, altération de l’état psychique, confusion, comportement anormal, nervosité, troubles de la mémoire, troubles du sommeil.
-Rarement: suicide, tentative de suicide, idées de suicide.
- +Très fréquents: perte d'appétit, nausées, hypocalcémie.
- +Occasionnels: troubles de l'équilibre électrolytique, déshydratation.
- +Rares: hyperglycémie.
- +Très rares: diabète sucré, hypertriglycéridémie/hyperlipidémie.
- +Affections psychiatriques
- +Occasionnels: dépression, anxiété, altération de l'état psychique, confusion, comportement anormal, nervosité, troubles de la mémoire, troubles du sommeil.
- +Rares: suicide, tentative de suicide, idées de suicide.
-Troubles du système nerveux
-Très fréquemment: céphalées.
-Occasionnellement: neuropathie, sensation de vertige, somnolence, agueusie, paresthésie, hypoesthésie, tremblement.
-Rarement: coma, apoplexie, convulsions, troubles de l’érection passagers.
-Troubles oculaires
-Occasionnellement: conjonctivite, troubles de la vision.
-Rarement: rétinopathie ischémique.
-Très rarement: neuropathie optique, occlusion de l’artère rétinienne centrale, thrombose de la veine rétinienne centrale, rétinopathie, hémorragie rétinienne, œdème papillaire, exsudats rétiniens.
-Troubles de l’oreille et du conduit auditif
-Occasionnellement: vertiges.
-Troubles cardiaques
-Occasionnellement: troubles du rythme, y compris bloc atrioventriculaire, palpitations.
-Rarement: arrêt cardio-respiratoire, infarctus du myocarde, insuffisance cardiaque congestive, œdème pulmonaire, cyanose.
-Troubles vasculaires
-Occasionnellement: hypertension, hypotension.
-Rarement: vascularite.
-Troubles respiratoires
-Rarement: dyspnée, toux.
-Troubles gastro-intestinaux
-Très fréquemment: diarrhée.
-Fréquemment: nausées/vomissements.
-Occasionnellement: douleurs abdominales, sécheresse buccale.
-Rarement: hypermotilité intestinale, constipation, dyspepsie, flatulence, pancréatite.
-Très rarement: réactivation d'un ulcère gastrique, hémorragie gastro-intestinale ne compromettant pas le pronostic vital.
- +Affections du système nerveux
- +Très fréquents: céphalées.
- +Occasionnels: neuropathie, sensation de vertige, somnolence, agueusie, paresthésie, hypoesthésie, tremblement.
- +Rares: coma, apoplexie, convulsions, troubles de l'érection passagers.
- +Affections oculaires
- +Occasionnels: conjonctivite, troubles de la vision.
- +Rares: rétinopathie ischémique.
- +Très rares: neuropathie optique, occlusion de l'artère rétinienne centrale, thrombose de la veine rétinienne centrale, rétinopathie, hémorragie rétinienne, œdème papillaire, exsudats rétiniens.
- +Affections de l'oreille et du labyrinthe
- +Occasionnels: vertiges.
- +Affections cardiaques
- +Occasionnels: troubles du rythme, y compris bloc atrioventriculaire, palpitations.
- +Rares: arrêt cardio-respiratoire, infarctus du myocarde, insuffisance cardiaque congestive, œdème pulmonaire, cyanose.
- +Affections vasculaires
- +Occasionnels: hypertension, hypotension.
- +Rares: vascularite.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Rares: dyspnée, toux.
- +Affections gastro-intestinales
- +Très fréquents: diarrhée.
- +Fréquents: nausées/vomissements.
- +Occasionnels: douleurs abdominales, sécheresse buccale.
- +Rares: hypermotilité intestinale, constipation, dyspepsie, flatulence, pancréatite.
- +Très rares: réactivation d'un ulcère gastrique, hémorragie gastro-intestinale ne compromettant pas le pronostic vital.
-Troubles hépato-biliaires
-Rarement: insuffisance hépatique, hépatite, trouble de la fonction hépatique.
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
-Très fréquemment: alopécie (réversible après la fin du traitement; une chute accrue des cheveux peut persister pendant plusieurs semaines après la fin du traitement), sudation accrue.
-Occasionnellement: aggravation ou développement d’un psoriasis, prurit.
-Rarement: éruption cutanée, sécheresse cutanée, épistaxis, sécheresse des muqueuses, écoulement nasal.
-Troubles musculo-squelettiques
-Très fréquemment: myalgies, arthralgies.
-Rarement: lupus érythémateux disséminé, arthrite.
-Troubles rénaux et urinaires
-Occasionnellement: protéinurie et augmentation du nombre de cellules dans l'urine.
-Rarement: insuffisance rénale aiguë (principalement chez des cancéreux présentant une néphropathie), troubles de la fonction rénale.
-Troubles généraux et accidents liés au site d’administration
-Très fréquemment: affection pseudo-grippale, fatigue, fièvre, frissons, perte d’appétit.
-Occasionnellement: douleurs thoraciques, œdèmes.
-Très rarement: nécrose au point d’injection, réactions au point d’injection.
-Investigations
-Occasionnellement: augmentation du taux d’ALT, de la phosphatase alcaline dans le sang et des transaminases, perte de poids.
-Rarement: augmentation du taux sanguin de LDH, de bilirubine, de créatinine, d’acide urique et d’urée.
-
- +Affections hépatobiliaires
- +Occasionnels: augmentation du taux d'ALT, de la phosphatase alcaline dans le sang et des transaminases, perte de poids.
- +Rares: insuffisance hépatique, hépatite, trouble de la fonction hépatique.
- +Affections de la peau et des tissu sous-cutané
- +Très fréquents: alopécie (réversible après la fin du traitement; une chute accrue des cheveux peut persister pendant plusieurs semaines après la fin du traitement), sudation accrue.
- +Occasionnels: aggravation ou développement d'un psoriasis, prurit.
- +Rares: éruption cutanée, sécheresse cutanée, épistaxis, sécheresse des muqueuses, écoulement nasal.
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
- +Très fréquents: myalgies, arthralgies.
- +Rares: lupus érythémateux disséminé, arthrite.
- +Affections du rein et des voies urinaires
- +Occasionnels: protéinurie et augmentation du nombre de cellules dans l'urine.
- +Rares: insuffisance rénale aiguë (principalement chez des cancéreux présentant une néphropathie), troubles de la fonction rénale.
- +Affections généraux et anomalies au site d'administration
- +Très fréquents: affection pseudo-grippale, fatigue, fièvre, frissons, perte d'appétit.
- +Occasionnels: douleurs thoraciques, œdèmes.
- +Très rares: nécrose au point d'injection, réactions au point d'injection.
-Des données provenant d’études cliniques ayant fait appel à Roferon-A indiquent que des anticorps neutralisants anti-Roferon-A ont été détectés chez environ un cinquième des patients. Chez des patients souffrant d’hépatite C et ayant développé des anticorps neutralisants alors qu’ils répondaient au traitement, on a noté que le médicament avait tendance à perdre de son effet au fil du traitement; en revanche, les patients ne développant pas de tels anticorps ont répondu plus longtemps. Il n’existe pas de données relatives à d’autres répercussions cliniques d’anticorps anti-Roferon-A. L’importance clinique de cette formation d’anticorps n’a pas été totalement élucidée.
- +Des données provenant d'études cliniques ayant fait appel à Roferon-A indiquent que des anticorps neutralisants anti-Roferon-A ont été détectés chez environ un cinquième des patients. Chez des patients souffrant d'hépatite C et ayant développé des anticorps neutralisants alors qu'ils répondaient au traitement, on a noté que le médicament avait tendance à perdre de son effet au fil du traitement; en revanche, les patients ne développant pas de tels anticorps ont répondu plus longtemps. Il n'existe pas de données relatives à d'autres répercussions cliniques d'anticorps anti-Roferon-A. L'importance clinique de cette formation d'anticorps n'a pas été totalement élucidée.
-Veuillez également tenir compte de l’information scientifique sur la ribavirine lorsque l’interféron alfa-2a est administré en association avec la ribavirine à des patients souffrant d’hépatite chronique C.
-Dans de rares cas, les interférons alfa, y compris le peginterféron alfa-2a, utilisés en association avec ribavirine peuvent être responsables d’une pancytopénie. De très rares cas d’anémie aplasique ont également été rapportés.
- +Veuillez également tenir compte de l'information scientifique sur la ribavirine lorsque l'interféron alfa-2a est administré en association avec la ribavirine à des patients souffrant d'hépatite chronique C.
- +Dans de rares cas, les interférons alfa, y compris le peginterféron alfa-2a, utilisés en association avec ribavirine peuvent être responsables d'une pancytopénie. De très rares cas d'anémie aplasique ont également été rapportés.
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +
-Aucun cas de surdosage n’a été rapporté à ce jour. Après administration de plusieurs doses très élevées d’interféron, des cas de léthargie, fatigue, épuisement marqué et coma ont été signalés. Il convient d’hospitaliser de tels patients à des fins d’observation et d’instaurer un traitement symptomatique correspondant.
-Les patients présentant des réactions indésirables sévères à Roferon-A voient en général leur état se normaliser en l'espace de quelques jours après l'arrêt du traitement, sous l'effet de mesures appropriées. Lors des études cliniques, un coma a été observé chez 0,4% des patients cancéreux.
- +Aucun cas de surdosage n'a été rapporté à ce jour.
- +Signes et symptômes
- +Après administration de plusieurs doses très élevées d'interféron, des cas de léthargie, fatigue, épuisement marqué et coma ont été signalés. Lors des études cliniques, un coma a été observé chez 0,4% des patients cancéreux.
- +Traitement
- +Il convient d'hospitaliser de tels patients à des fins d'observation et d'instaurer un traitement symptomatique correspondant.
- +Les patients présentant des réactions indésirables sévères à Roferon-A voient en général leur état se normaliser en l'espace de quelques jours après l'arrêt du traitement, sous l'effet de mesures appropriées.
-Code ATC: L03AB04
-Mécanisme d’action/Pharmacodynamique
-L’interféron alfa-2a est une protéine hautement purifiée qui se compose de 165 acides aminés. Son poids moléculaire est d'environ 19'000 daltons. L’interféron alfa-2a est produit à l'aide des techniques de recombinaison de l'ADN grâce à une souche de E. coli soumise à une manipulation génétique, dont l'ADN est porteur du code pour cette protéine humaine.
- +Code ATC
- +L03AB04
- +Mécanisme d'action
- +L'interféron alfa-2a est une protéine hautement purifiée qui se compose de 165 acides aminés. Son poids moléculaire est d'environ 19'000 daltons. L'interféron alfa-2a est produit à l'aide des techniques de recombinaison de l'ADN grâce à une souche de E. coli soumise à une manipulation génétique, dont l'ADN est porteur du code pour cette protéine humaine.
-Le mécanisme de l'activité antitumorale de Roferon-A n'est pas encore connu. Il a toutefois été démontré que Roferon-A exerce in vitro un effet antiprolifératif à l'égard de nombreuses cellules tumorales humaines et qu'il inhibe la croissance de certaines tumeurs humaines transplantées chez la souris nude. L’activité antiproliférative est variable.
- +Le mécanisme de l'activité antitumorale de Roferon-A n'est pas encore connu. Il a toutefois été démontré que Roferon-A exerce in vitro un effet antiprolifératif à l'égard de nombreuses cellules tumorales humaines et qu'il inhibe la croissance de certaines tumeurs humaines transplantées chez la souris nude. L'activité antiproliférative est variable.
- +Pharmacodynamique
- +
-Chez des patients ayant subi l’ablation d’un mélanome (épaisseur >1,5 mm) et ne présentant aucun signe clinique de métastases lymphatiques ou à distance, le traitement adjuvant par une faible dose de Roferon-A prolonge l’intervalle sans maladie.
- +Chez des patients ayant subi l'ablation d'un mélanome (épaisseur >1,5 mm) et ne présentant aucun signe clinique de métastases lymphatiques ou à distance, le traitement adjuvant par une faible dose de Roferon-A prolonge l'intervalle sans maladie.
-L’efficacité thérapeutique de l’interféron alfa-2a utilisé seul a été comparée à celle de l'interféron alfa-2a en association avec la ribavirine (24 semaines de traitement dans les deux cas) dans le cadre d’une étude clinique randomisée en double insu chez des patients ayant rechuté et présentant une hépatite chronique C attestée sur les plans virologique, biochimique et histologique (n= 49 sous traitement associé par Roferon-A et ribavirine; n= 50 sous Roferon-A et placebo). Six mois après la fin du traitement, une réponse biochimique et virologique durable (sustained response) ainsi qu’une amélioration des données histologiques a été constatée.
-Chez les patients avec rechute, une augmentation statistiquement significative de la réponse virologique et biochimique durable (ALT et ARN du VHC) a été constatée en faveur de l’association interféron alfa plus ribavirine (43%), par rapport à la monothérapie par l’interféron alfa (4%, p <0,01). Le résultat favorable obtenu avec le traitement associé se reflète également dans les taux de réponse rapportés au génotype du VHC ou à la valeur initiale de la charge virale. Bien que le taux de réponse durable chez les patients avec VHC de génotype 1 ait été plus faible que dans le collectif global (30% contre 0% dans le groupe sous monothérapie), le bénéfice relatif de la ribavirine associée à Roferon-A dans ce groupe de patients est particulièrement significatif. En outre, l’amélioration des données histologiques plaide en faveur du traitement combiné.
-Des résultats allant dans le même sens ont été obtenus dans le cadre d’une petite étude menée chez des patients non préalablement traités, ayant reçu de l’interféron alfa-2a (3 millions d’UI trois fois par semaine) en association avec la ribavirine.
-Pour tout renseignement complémentaire sur les propriétés pharmacodynamiques, il convient de consulter l’information scientifique sur la ribavirine.
- +L'efficacité thérapeutique de l'interféron alfa-2a utilisé seul a été comparée à celle de l'interféron alfa-2a en association avec la ribavirine (24 semaines de traitement dans les deux cas) dans le cadre d'une étude clinique randomisée en double insu chez des patients ayant rechuté et présentant une hépatite chronique C attestée sur les plans virologique, biochimique et histologique (n= 49 sous traitement associé par Roferon-A et ribavirine; n= 50 sous Roferon-A et placebo). Six mois après la fin du traitement, une réponse biochimique et virologique durable (sustained response) ainsi qu'une amélioration des données histologiques a été constatée.
- +Chez les patients avec rechute, une augmentation statistiquement significative de la réponse virologique et biochimique durable (ALT et ARN du VHC) a été constatée en faveur de l'association interféron alfa plus ribavirine (43%), par rapport à la monothérapie par l'interféron alfa (4%, p <0,01). Le résultat favorable obtenu avec le traitement associé se reflète également dans les taux de réponse rapportés au génotype du VHC ou à la valeur initiale de la charge virale. Bien que le taux de réponse durable chez les patients avec VHC de génotype 1 ait été plus faible que dans le collectif global (30% contre 0% dans le groupe sous monothérapie), le bénéfice relatif de la ribavirine associée à Roferon-A dans ce groupe de patients est particulièrement significatif. En outre, l'amélioration des données histologiques plaide en faveur du traitement combiné.
- +Des résultats allant dans le même sens ont été obtenus dans le cadre d'une petite étude menée chez des patients non préalablement traités, ayant reçu de l'interféron alfa-2a (3 millions d'UI trois fois par semaine) en association avec la ribavirine.
- +Pour tout renseignement complémentaire sur les propriétés pharmacodynamiques, il convient de consulter l'information scientifique sur la ribavirine.
-Le traitement par Roferon-A administré en association avec la vinblastine entraîne un taux de réponse global de 20% environ, retarde l’évolution de la maladie et prolonge la survie globale des patients atteints d’hypernéphrome au stade avancé.
-L’association Roferon-A + bévacizumab comme traitement de première intention chez des patients atteints de carcinome rénal avancé ou métastatique a montré un allongement de la survie, sans progression du cancer (médiane 10,2 contre 5,4 mois; risque relatif de 0,063; p <0,0001) et un taux de réponse plus élevé (31% contre 13%; p <0,0001) comparé au traitement par Roferon-A en monothérapie.
-L’allongement observé de la survie globale égal à 2 mois n’était cependant pas significatif (médiane 23,3 contre 21,3 mois; risque relatif de 0,91; p= 0,3360). Une analyse rétrospective en sous-groupes de cette étude comportant 131 patients indique qu’une réduction de la posologie d’IFN alfa-2a conformément au protocole – passant de 9 mio. d’UI à 6 ou 3 mio. d’UI trois fois par semaine – ne semble pas altérer l’efficacité du traitement combiné Avastin/IFN (survie sans progression après 6, 12 et 18 mois: 73, 52 resp. 21% dans le groupe «IFN réduit» contre 61, 43, 17% pour la population globale de l’étude).
-Pour tout renseignement complémentaire sur l’association avec le bévacizumab, il convient de consulter l’information professionnelle de l’Avastin.
- +Le traitement par Roferon-A administré en association avec la vinblastine entraîne un taux de réponse global de 20% environ, retarde l'évolution de la maladie et prolonge la survie globale des patients atteints d'hypernéphrome au stade avancé.
- +L'association Roferon-A + bévacizumab comme traitement de première intention chez des patients atteints de carcinome rénal avancé ou métastatique a montré un allongement de la survie, sans progression du cancer (médiane 10,2 contre 5,4 mois; risque relatif de 0,063; p <0,0001) et un taux de réponse plus élevé (31% contre 13%; p <0,0001) comparé au traitement par Roferon-A en monothérapie.
- +L'allongement observé de la survie globale égal à 2 mois n'était cependant pas significatif (médiane 23,3 contre 21,3 mois; risque relatif de 0,91; p= 0,3360). Une analyse rétrospective en sous-groupes de cette étude comportant 131 patients indique qu'une réduction de la posologie d'IFN alfa-2a conformément au protocole – passant de 9 mio. d'UI à 6 ou 3 mio. d'UI trois fois par semaine – ne semble pas altérer l'efficacité du traitement combiné Avastin/IFN (survie sans progression après 6, 12 et 18 mois: 73, 52 resp. 21% dans le groupe «IFN réduit» contre 61, 43, 17% pour la population globale de l'étude).
- +Pour tout renseignement complémentaire sur l'association avec le bévacizumab, il convient de consulter l'information professionnelle de l'Avastin.
-La biodisponibilité absolue après injection intramusculaire est supérieure à 80%. 3,8 heures après administration intramusculaire et 7,3 heures après administration sous-cutanée (valeurs moyennes) de 36 millions d'UI, on a retrouvé dans le sérum des concentrations maximales comprises respectivement entre 1500 et 2580 pg/ml (moyenne: 2020 pg/ml) et 1250 et 2320 pg/ml (moyenne: 1730 pg/ml).
- +La biodisponibilité absolue après injection intramusculaire est supérieure à 80%. 3,8 heures après administration intramusculaire et 7,3 heures après administration sous-cutanée (valeurs moyennes) de 36 millions d'UI, on a retrouvé dans le sérum des concentrations maximales comprises respectivement entre 1'500 et 2'580 pg/ml (moyenne: 2'020 pg/ml) et 1'250 et 2'320 pg/ml (moyenne: 1'730 pg/ml).
-Elimination
-Le catabolisme rénal est le principal mode d'élimination de l'interféron alfa. Le métabolisme hépatique et l'élimination subséquente avec la bile ne jouent qu'un rôle de second plan dans l'élimination des interférons alfa. Après perfusion intraveineuse de 36 millions d'UI (2,2× 108 pg) d'interféron alfa-2a à des sujets sains, la demi-vie d'élimination a été de 3,7-8,5 heures (5,1 heures en moyenne) et la clairance totale de 2,14-3,62 ml/kg/min (2,79 ml/kg/min en moyenne).
- +Élimination
- +Le catabolisme rénal est le principal mode d'élimination de l'interféron alfa. Le métabolisme hépatique et l'élimination subséquente avec la bile ne jouent qu'un rôle de second plan dans l'élimination des interférons alfa. Après perfusion intraveineuse de 36 millions d'UI (2,2x 108 pg) d'interféron alfa-2a à des sujets sains, la demi-vie d'élimination a été de 3,7-8,5 heures (5,1 heures en moyenne) et la clairance totale de 2,14-3,62 ml/kg/min (2,79 ml/kg/min en moyenne).
-Pour tout renseignement complémentaire sur les propriétés pharmacocinétiques, il convient de consulter l’information scientifique sur la ribavirine.
- +Pour tout renseignement complémentaire sur les propriétés pharmacocinétiques, il convient de consulter l'information scientifique sur la ribavirine.
-Etant donné la spécificité de l'interféron humain, les études de toxicité effectuées avec Roferon-A ont été limitées. La toxicité aiguë de Roferon-A a été testée chez la souris, le rat, le lapin et le furet, qui ont reçu des doses allant jusqu'à 30 millions d'UI/kg de poids corporel par voie intraveineuse et jusqu'à 500 millions d'UI/kg par voie intramusculaire. Une mortalité imputable au produit n'a été enregistrée chez aucune des espèces animales, quel qu'ait été le mode d'administration. A des doses excessivement élevées, aucun effet indésirable important n'a été constaté, hormis un effet abortif chez le macaque rhésus au cours des deux premiers tiers de la gestation ainsi que, chez des femelles non gravides, plusieurs irrégularités transitoires du cycle menstruel, incluant une prolongation de la menstruation.
-Mutagenèse: aucun effet mutagène n'a été observé avec Roferon-A sur le plan expérimental.
-Pour ce qui est du traitement associé avec la ribavirine lors d’hépatite C, veuillez également tenir compte des données précliniques figurant dans l’information scientifique relative à la ribavirine.
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- +Etant donné la spécificité de l'interféron humain, les études de toxicité effectuées avec Roferon-A ont été limitées.
- +Pour ce qui est du traitement associé avec la ribavirine lors d'hépatite C, veuillez également tenir compte des données précliniques figurant dans l'information scientifique relative à la ribavirine.
- +Pharmacologie de sécurité
- +La toxicité aiguë de Roferon-A a été testée chez la souris, le rat, le lapin et le furet, qui ont reçu des doses allant jusqu'à 30 millions d'UI/kg de poids corporel par voie intraveineuse et jusqu'à 500 millions d'UI/kg par voie intramusculaire. Une mortalité imputable au produit n'a été enregistrée chez aucune des espèces animales, quel qu'ait été le mode d'administration. A des doses excessivement élevées, aucun effet indésirable important n'a été constaté, hormis un effet abortif chez le macaque rhésus au cours des deux premiers tiers de la gestation ainsi que, chez des femelles non gravides, plusieurs irrégularités transitoires du cycle menstruel, incluant une prolongation de la menstruation.
- +Mutagénicité
- +Aucun effet mutagène n'a été observé avec Roferon-A sur le plan expérimental.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention EXP sur le récipient.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Conserver au réfrigérateur (2-8 °C).
- +Ne pas congeler.
- +Conserver dans l'emballage d'origine.
- +Conserver le récipient dans son carton pour le protéger de la lumière.
- +
-Conserver dans l’emballage original, à l’abri de la lumière. Conserver à 2-8 °C (au réfrigérateur). Ne pas surgeler.
-Remarques concernant l’élimination
-Après la fin du traitement ou après la date d’expiration, tout médicament non utilisé doit être éliminé d’une manière appropriée.
- +Remarques concernant la manipulation
- +Après la fin du traitement ou après la date d'expiration, tout médicament non utilisé doit être éliminé d'une manière appropriée.
-Roferon-A seringues préremplies à 3 millions d’UI/0,5 ml: 5 [A]
- +Roferon-A solution injectable en seringue préremplie à 3 millions d'UI/0,5 ml: 5 [A]
-Roche Pharma (Suisse) SA, Bâle.
- +Roche Pharma (Schweiz) AG, Bâle.
-Mars 2015.
- +Décembre 2019.
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