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Accueil - Information professionnelle sur Lidocain HCl Bichsel 5 mg/ml - Changements - 07.03.2025
58 Changements de l'information professionelle Lidocain HCl Bichsel 5 mg/ml
  • -Lidocaïne HCl «Bichsel» 5 mg/ml contient 3,15 mg de sodium par 1 ml (15,75 mg de sodium par ampoule à 5 ml c.-à-d. 31.5 mg de sodium par ampoule à 10 ml).
  • -Lidocaïne HCl «Bichsel» 10 mg/ml contient 2,72 mg de sodium par 1 ml (13,6 mg de sodium par ampoule à 5 ml c.-à-d. 27,2 mg de sodium par ampoule à 10 ml).
  • -Lidocaïne HCl «Bichsel» 20 mg/ml contient 1,89 mg de sodium par 1 ml (18,9 mg de sodium par ampoule à 10 ml).
  • +Lidocaïne HCl «Bichsel» 5 mg/ml contient 3.15 mg de sodium par 1 ml (31.5 mg de sodium par ampoule à 10 ml).
  • +Lidocaïne HCl «Bichsel» 10 mg/ml contient 2.72 mg de sodium par 1 ml (13.6 mg de sodium par ampoule à 5 ml c.-à-d. 27.2 mg de sodium par ampoule à 10 ml).
  • +Lidocaïne HCl «Bichsel» 20 mg/ml contient 1.89 mg de sodium par 1 ml (18.9 mg de sodium par ampoule à 10 ml).
  • -Adultes et enfants: 4.5 mg/kg PC (300 mg chez les adultes).
  • +Adultes et enfants: Dose maximale: 4.5 mg/kg de poids corporel (300 mg chez les adultes).
  • -Lidocaïne HCl Dose maximale
  • +Lidocaïne HCl Posologie maximale
  • +Personnes âgées: pour les personnes âgées, les doses doivent être calculées individuellement en tenant compte de l'âge et du poids.
  • +Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale ou hépatique, dont l'état général est diminué ou dont la fixation des protéines plasmatiques est modifiée (comme dans le cas de maladies carcinomateuses), il faut en principe utiliser des doses plus faibles.
  • +
  • -Hypersensibilité connue à la lidocaïne, à d'autres anesthésiques de type amide ou à l'un des excipients composant la solution, voir «Composition».
  • -L'utilisation de la Lidocaïne HCl «Bichsel» est contre-indiquée chez les patients présentant une hypovolémie, un bloc cardiaque et d'autres troubles de la conduction, un choc sévère et une myasthénie grave.
  • +Hypersensibilité à la lidocaïne, à d'autres anesthésiques de type amide ou à l'un des excipients composant la solution, voir «Composition».
  • +L'utilisation de la Lidocaïne HCl «Bichsel» est contre-indiquée chez les patients présentant une hypovolémie, une insuffisance cardiaque aiguë décompensée, un bloc cardiaque et d'autres troubles de la conduction, un choc sévère et une myasthénie grave.
  • -En cas de blocages importants ou d'administration de doses importantes, une canule i.v. doit être introduite avant l'injection de l'anesthésique local.
  • -Afin de réduire les risques d'effets secondaires dangereux, il convient d'accorder une attention particulière aux patients suivants:
  • -·patients âgés ou patients dont l'état général est déficient;
  • -·patients souffrant d'un blocage partiel ou complet du système de conduction myocardique, étant donné que l'anesthésique local peut affaiblir la conduction dans le myocarde;
  • -·patients présentant des maladies du foie à un stade avancé ou des troubles graves de la fonction rénale;
  • -·les patients sous traitement avec des antiarythmiques de la classe III (par ex. amiodarone) doivent être surveillés, et un monitoring ECG devrait être pris en considération car les effets cardiaques peuvent être additifs;
  • -·chez les patients atteints de porphyrie aigüe, la lidocaïne ne doit être administrée que dans des cas d'urgence car elle pourrait être porphyrinogène. Des mesures de précaution doivent être prises dans le cas de patients présentant de tels risques.
  • -Certaines formes d'anesthésie locale peuvent, quel que soit l'anesthésique local utilisé, provoquer les effets secondaires graves suivants:
  • -Les blocages centraux de nerfs peuvent provoquer des dépressions cardiovasculaires, particulièrement lors de l'apparition d'une hypovolémie; par conséquent, les anesthésies épidurales ne devraient être appliquées qu'avec prudence chez les patients souffrant d'insuffisance cardiovasculaire.
  • -Les injections au niveau de la tête et de la nuque qui ont été effectuées accidentellement dans une artère provoquent des symptômes cérébraux déjà à une dose faible.
  • -Le bloc paracervical peut provoquer une bradycardie/tachycardie chez le fœtus de sorte qu'une surveillance étroite du rythme cardiaque du fœtus est nécessaire.
  • -L'anesthésie épidurale peut provoquer une hypotension et une bradycardie. Afin de réduire le risque de telles complications, il convient de procéder à une expansion préalable de la circulation avec des solutions cristalloïdes ou colloïdales.
  • +Pour éviter des effets indésirables, les points suivants doivent être pris en considération:
  • +·Veiller à l'équilibre hémodynamique avant une anesthésie locale. Corriger toute hypovolémie existante.
  • +·Vérifier la pression artérielle, la fréquence cardiaque et la dilatation des pupilles.
  • +·Veiller au bon positionnement du patient.
  • +·Poser une canule i.v. avant d'injecter l'anesthésique local.
  • +·Injecter lentement et éviter l'administration intravasculaire en répétant l'aspiration.
  • +Il convient d'accorder une attention particulière aux patients suivants:
  • +·Patients âgés ou patients dont l'état général est déficient.
  • +·Patients souffrant d'un blocage partiel ou complet du système de conduction myocardique, étant donné que l'anesthésique local peut affaiblir la conduction dans le myocarde. Une surveillance constante des paramètres fonctionnels est requise, même après la fin de l'effet de l'anesthésique local.
  • +·Chez les patients souffrant de maladies du foie. Leur seuil de tolérance aux anesthésiques locaux de type amide est abaissé.
  • +·Chez les patients souffrant d'insuffisance rénale, on observe une réduction du délai d'action des anesthésiques locaux.
  • +·Les patients sous traitement avec des antiarythmiques de la classe III (par ex. amiodarone) doivent être surveillés, et un monitoring ECG devrait être pris en considération car les effets cardiaques peuvent être additifs.
  • +·Chez les patients atteints de porphyrie aigüe, la lidocaïne ne doit être administré que dans des cas d'urgence car elle pourrait être porphyrinogène. Des mesures de précaution doivent être prises dans le cas de patients présentant de tels risques.
  • +·Chez les patients souffrant d'épilepsie cérébrale, il convient de prêter une attention accrue à la manifestation de symptômes neurologiques. Une augmentation de la propension à convulser est probable.
  • +·Une augmentation de la tendance aux saignements est à prévoir chez les patients traités par anticoagulants, anti-inflammatoires non stéroïdiens ou substituts du plasma. Toute lésion vasculaire accidentelle peut entraîner une hémorragie grave.
  • +·Il convient d'accorder une attention particulière aux nouveau-nés, considérés comme particulièrement vulnérables à l'intoxication par les anesthésiques locaux.
  • +·En cas de syndrome de Melkersson-Rosenthal, les réactions allergiques et toxiques du système nerveux aux anesthésiques locaux peuvent être plus fréquentes.
  • +Certaines procédures d'anesthésie locale peuvent, quel que soit l'anesthésique local utilisé, provoquer les effets secondaires graves suivants:
  • +·Les blocages centraux de nerfs peuvent provoquer des dépressions cardiovasculaires, particulièrement lors de l'apparition d'une hypovolémie; par conséquent, les anesthésies épidurales ne doivent être appliquées qu'avec prudence chez les patients souffrant d'insuffisance cardiovasculaire.
  • +·Les injections au niveau de la tête et de la nuque qui ont été effectuées accidentellement dans une artère provoquent des symptômes cérébraux dès une dose faible.
  • +·Le bloc paracervical peut provoquer une bradycardie/tachycardie chez le fœtus de sorte qu'une surveillance étroite du rythme cardiaque du fœtus est nécessaire.
  • +·En principe, tous les anesthésiques locaux sont susceptibles de provoquer des lésions des fibres musculaires squelettiques, voire des myonécroses, en fonction de leur concentration. Les troubles réversibles de la motilité oculaire après un bloc péri- ou rétrobulbaire sont particulièrement significatifs; ils sont clairement dus à des lésions directes des muscles oculaires externes.
  • +·La lidocaïne pouvant endommager de manière irréversible les chondrocytes humains, on a pu observer des modifications de leur morphologie et de leur fonction ainsi qu'une perte de la matrice cartilagineuse protectrice. Le cartilage articulaire hyalin abimé et vieillissant semble être particulièrement vulnérable.
  • +Les anesthésies épidurales peuvent provoquer une hypotension et une bradycardie. Afin de réduire le risque de telles complications, il convient de procéder à une expansion préalable de la circulation avec des solutions cristalloïdes ou colloïdales.
  • -Lidocaïne HCl «Bichsel» 5 mg/ml contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par ampoule à 5 ml, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • -Lidocaïne HCl «Bichsel» 5 mg/ml contient 31,5 mg de sodium par ampoule de 10 ml, correspondant à 1,6 % de l'apport quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium pour un adulte.
  • +Lidocaïne HCl «Bichsel» 5 mg/ml contient 31.5 mg de sodium par ampoule de 10 ml, correspondant à 1.6 % de l'apport quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium pour un adulte.
  • -Lidocaïne HCl «Bichsel» 10 mg/ml contient 27,2 mg de sodium par ampoule de 10 ml, correspondant à 1,36 % de l'apport quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium pour un adulte.
  • +Lidocaïne HCl «Bichsel» 10 mg/ml contient 27.2 mg de sodium par ampoule de 10 ml, correspondant à 1.36 % de l'apport quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium pour un adulte.
  • -La lidocaïne doit être utilisée avec prudence chez les patients traités simultanément par d'autres anesthésiques locaux ou d'autres principes actifs de structure apparentée aux anesthésiques locaux de type amide (anti-arythmiques comme par ex. la tocaïnide et la méxilétine), car leurs effets toxiques systémiques sont additifs.
  • -Aucune étude d'interactions spécifique entre la lidocaïne et les anti-arythmiques de classe III (par ex. l'amiodarone) n'a été effectuée. La prudence est toutefois recommandée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +La lidocaïne doit être utilisée avec prudence chez les patients recevant simultanément d'autres anesthésiques locaux ou d'autres principes actifs dont la structure est proche de celle des anesthésiques locaux de type amide (antiarythmiques tels que la tocaïne et la mexilétine), car leurs effets toxiques systémiques sont cumulatifs.
  • +Aucune étude d'interactions spécifique entre la lidocaïne et les antiarythmiques de classe III (par ex. l'amiodarone) n'a été effectuée. La prudence est toutefois recommandée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -L'administration concomitante de bêta-bloquants, tels que le propranolol, le métoprolol ou le nadolol, augmente la concentration plasmatique de lidocaïne (en raison de l'abaissement de la clairance).
  • -L'antagoniste des récepteurs-H2 cimétidine peut élever jusqu'à 50 % la concentration plasmatique de lidocaïne.
  • -Des concentrations plasmatiques augmentées s'observent également avec l'amiodarone, la quinidine, le diltiazem, l'érythromycine, le fluconazole, la fluvoxamine, l'itraconazole, le kétoconazole, la nifédipine, la roxithromycine, l'acide valproïque et le vérapamil.
  • -Les substances inductrices d'enzymes, telles les barbituriques (surtout le phénobarbital), la phénytoïne et les benzodiazépines accélèrent la dégradation de la lidocaïne. De même, des concentrations plasmatiques plus faibles sont induites par l'administration simultanée d'aminoglutéthimide, de carbamazépine, de primidone et de rifampicine.
  • -En outre, la lidocaïne renforce l'effet du suxaméthonium et d'autres myorelaxants.
  • +L'administration concomitante de bêta-bloquants, tels que le propranolol, le métoprolol ou le nadolol, augmente la concentration plasmatique de lidocaïne (en raison d'une clairance réduite).
  • +La cimétidine, un antagoniste des récepteurs H2, peut augmenter la concentration plasmatique de lidocaïne de jusqu'à 50 %.
  • +Des concentrations plasmatiques accrues s'observent également avec l'amiodarone, la quinidine, le diltiazem, l'érythromycine, le fluconazole, la fluvoxamine, l'itraconazole, le kétoconazole, la nifédipine, la roxithromycine, l'acide valproïque et le vérapamil.
  • +Les substances inductrices d'enzymes, telles que les barbituriques (surtout le phénobarbital), la phénytoïne et les benzodiazépines accélèrent la dégradation de la lidocaïne.
  • +De même, des concentrations plasmatiques plus faibles sont induites par l'administration simultanée d'aminoglutéthimide, de carbamazépine, de primidone et de rifampicine.
  • +En outre, la lidocaïne renforce l'effet du suxaméthionium et d'autres myorelaxants.
  • +L'administration concomitante de lidocaïne et d'alcaloïdes de l'ergot de seigle (tels que la bromocriptine) ou d'adrénaline peut entraîner une chute marquée de la pression artérielle.
  • +Les sédatifs qui affectent le fonctionnement du SNC peuvent modifier les effets toxiques des anesthésiques locaux. D'autre part, il existe un antagonisme entre les anesthésiques locaux et les sédatifs/hypnotiques. Ces deux derniers groupes de médicaments élèvent le seuil de convulsion du SNC.
  • +
  • -Une éventuelle bradycardie chez le fœtus due à l'anesthésique local administré peut se manifester lors d'un bloc paracervical, en raison des concentrations élevées d'anesthésique local atteignant le fœtus.
  • +La lidocaïne ne doit pas être utilisée en obstétrique à des concentrations supérieures à 1%.
  • +La lidocaïne traverse rapidement le placenta. Chez les nouveau-nés présentant des concentrations plasmatiques élevées, la lidocaïne peut entraîner une dépression du SNC et donc une diminution du score d'Apgar. Une injection accidentelle dans l'hypoderme du fœtus au cours d'un bloc paracervical ou périnéal peut entraîner une apnée, une hypotonie, des troubles du rythme cardiaque et des convulsions, présentant ainsi un risque vital pour le nouveau-né.
  • -·des effets physiologiques d'une anesthésie par blocage nerveux (par ex. chute de la tension artérielle, bradycardie);
  • +·des effets physiologiques d'une anesthésie par blocage nerveux (par ex. chute de la tension artérielle, bradycardie),
  • -«très rares» (<1/10'000).
  • +«très rares» (<1/10'000),
  • +fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Rare: réactions allergiques, réactions anaphylactiques, choc anaphylactique.
  • +Rare: réactions allergiques sous forme d'urticaire, d'œdème, de bronchospasme, de syndrome de détresse respiratoire et de réactions circulatoires, réactions anaphylactiques, choc anaphylactique.
  • +Fréquence inconnue: hyperthermie.
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Fréquence inconnue: méthémoglobinémie.
  • +
  • -Système nerveux central
  • +Système nerveux
  • -Les troubles de la vision et les contractions musculaires sont plus sévères et précèdent des convulsions généralisées. Ils peuvent être suivis d'une perte de connaissance et de crises de grand mal, qui peuvent durer de quelques secondes à quelques minutes. Une hypoxie et une hypercapnie surviennent rapidement durant les convulsions, du fait de l'augmentation de l'activité musculaire et d'une interférence avec la respiration normale. Dans les cas graves, une apnée peut apparaître. L'acidose augmentent l'effet toxique des anesthésiques locaux. Le rétablissement du patient dépend de la redistribution du médicament anesthésique local depuis le système nerveux central. Le rétablissement peut être rapide si la quantité d'anesthésique injecté n'était pas trop importante.
  • +Les troubles de la vision et les contractions musculaires sont plus sévères et précèdent des convulsions généralisées. Ils peuvent être suivis d'une perte de connaissance et de crises de grand mal, qui peuvent durer de quelques secondes à quelques minutes. Une hypoxie et une hypercapnie surviennent rapidement durant les convulsions, du fait de l'augmentation de l'activité musculaire et d'une interférence avec la respiration normale. Dans les cas graves, une apnée peut apparaître. L'acidose, l'hypoxie et l'hyperkaliémie augmentent l'effet toxique des anesthésiques locaux. Le rétablissement du patient dépend de la redistribution du médicament anesthésique local depuis le système nerveux central. Le rétablissement peut être rapide si la quantité d'anesthésique injecté n'était pas trop importante.
  • -Si les convulsions ne disparaissent pas spontanément en 15 à 20 secondes, il faut injecter un anticonvulsif par voie i.v. Le thiopental sodique 1-3 mg/kg i.v. supprime rapidement les convulsions. Le diazépam 0,1 mg/kg i.v. peut également être administré, bien que son action soit lente. Des convulsions persistantes peuvent mettre en danger la respiration et l'absorption d'oxygène par le patient. L'injection d'un relaxant musculaire (par ex. succinylcholine 1 mg/kg) fera cesser rapidement les convulsions, facilitant la respiration et permettant le contrôle de l'apport en oxygène. Dans de tels cas, une intubation endotrachéale doit être envisagée rapidement.
  • +Si les convulsions ne disparaissent pas spontanément en 15 à 20 secondes, il faut injecter un anticonvulsif par voie i.v. Le thiopental sodique 1-3 mg/kg i.v. supprime rapidement les convulsions. Le diazépam 0.1 mg/kg i.v. peut également être administré, bien que son action soit lente. Le propofol ou un traitement lipidique constituent d'autres options. Des convulsions persistantes peuvent mettre en danger la respiration et l'absorption d'oxygène par le patient. L'injection d'un relaxant musculaire (par ex. succinylcholine 1 mg/kg) fera cesser rapidement les convulsions, facilitant la respiration et permettant le contrôle de l'apport en oxygène. Dans de tels cas, une intubation endotrachéale doit être envisagée rapidement.
  • -Si une dépression cardiovasculaire (hypotonie, bradycardie) devient manifeste, un sympathomimétique tel que l'éphédrine 5-10 mg i.v. doit être administré et répété si nécessaire après 2-3 minutes. Chez les enfants, la posologie doit être adaptée à l'âge et au poids.
  • +Si une dépression cardiovasculaire (hypotonie, bradycardie) devient manifeste, un sympathomimétique tel que l'éphédrine 5-10 mg i.v. ou l'adrénaline en petits bolus i.v. de 10-100 µg par exemple (≤1 µg/kg PC) doit être administré et répété si nécessaire après 2-3 minutes. Chez les enfants, la posologie doit être adaptée à l'âge et au poids. Il convient également de procéder à une substitution volumique.
  • +Après une intoxication, le patient doit être surveillé pendant une période adéquate (au moins 2 heures).
  • -Une solution à 20 mg/ml en injection épidurale a une durée d'action de 1,5 à 2 heures, et jusqu'à 5 heures en injection périphérique.
  • +Une solution à 20 mg/ml en injection épidurale a une durée d'action de 1.5 à 2 heures, et jusqu'à 5 heures en injection périphérique.
  • -Tout comme d'autres anesthésiques locaux, la lidocaïne provoque un blocage réversible de la propagation de l'influx nerveux en inhibant le passage d'ions sodiques vers l'intérieur de la membrane des cellules nerveuses. On suppose la présence de récepteurs de molécules d'anesthésiques locaux dans les canaux sodiques des membranes nerveuses.
  • -Les anesthésiques locaux peuvent avoir un effet semblable sur d'autres membranes excitables du cerveau et du myocarde.
  • +Tout comme d'autres anesthésiques locaux, la lidocaïne provoque un blocage réversible de la propagation de l'influx nerveux en inhibant le passage d'ions sodiques vers l'intérieur de la membrane des cellules nerveuses. On suppose la présence de récepteurs de molécules d'anesthésiques locaux dans les canaux sodiques des membranes nerveuses. Les anesthésiques locaux peuvent avoir un effet semblable sur d'autres membranes excitables du cerveau et du myocarde.
  • -Pas de données disponibles.
  • +Pas de données.
  • -La lidocaïne présente un pKa de 7,9 et un coefficient de répartition huile/eau de 2,9. La liaison aux protéines plasmatiques s'élève à 65 %. La lidocaïne est principalement liée à la glycoprotéine α-1 acide.
  • +La lidocaïne présente un pKa de 7.9 et un coefficient de répartition huile/eau de 2.9. La liaison aux protéines plasmatiques s'élève à 65 %. La lidocaïne est principalement liée à la glycoprotéine α-1 acide.
  • +La lidocaïne passe la barrière hémato-encéphalique.
  • +
  • -Les principaux métabolites de la lidocaïne sont le mono-éthyl-glycine-xylidide (MEGX), le glycine-xylidide (GX), la 2,6-xylidine et la 4-hydroxy-2,6-xylidine. Le métabolisme du MEGX se fait par N-désalkylation et implique les CYP1A2 et CYP3A4. Le métabolisme de la 2,6-xylidine en 4-hydroxy-2,6-xylidine, métabolite principal dans les urines, passe par le CYP2A6.
  • +La lidocaïne est métabolisée par le foie.
  • +Les principaux métabolites de la lidocaïne sont le mono-éthyl-glycine-xylidide (MEGX), le glycine-xylidide (GX), la 2,6-xylidine et la 4-hydroxy-2,6-xylidine.
  • +Le métabolisme du MEGX se fait par N-désalkylation et implique les CYP1A2 et CYP3A4. Le métabolisme de la 2,6-xylidine en 4-hydroxy-2,6-xylidine, métabolite principal dans les urines, passe par le CYP2A6.
  • -La lidocaïne présente une absorption complète et biphasique depuis l'espace épidural, avec des demi-vies respectives de 9,3 minutes et 82 minutes. La lente absorption limite le taux d'élimination de la lidocaïne. Cela explique que l'élimination soit plus lente après une injection épidurale qu'après une injection intraveineuse.
  • +La lidocaïne présente une absorption complète et biphasique depuis l'espace épidural, avec des demi-vies respectives de 9.3 minutes et 82 minutes. La lente absorption limite le taux d'élimination de la lidocaïne. Cela explique que l'élimination soit plus lente après une injection épidurale qu'après une injection intraveineuse.
  • -La lidocaïne présente une clairance plasmatique totale de 0,95 l/min et une demi-vie de 1,6 heures. La clairance de la lidocaïne dépend pratiquement exclusivement du métabolisme hépatique, et varie ainsi en fonction de l'irrigation du foie et de l'activité des enzymes hépatiques.
  • +La lidocaïne présente une clairance plasmatique totale de 0.95 l/min et une demi-vie de 1.6 heures. La clairance de la lidocaïne dépend pratiquement exclusivement du métabolisme hépatique, et varie ainsi en fonction de l'irrigation du foie et de l'activité des enzymes hépatiques.
  • -La demi-vie d'élimination chez les nouveau-nés est environ le double de celle des adultes (3,2 heures), alors que la clairance est semblable (10,2 ml/min kg).
  • +La demi-vie d'élimination chez les nouveau-nés est environ le double de celle des adultes (3.2 heures), alors que la clairance est semblable (10.2 ml/min kg).
  • -Certains signes indiquent que la 2,6-xylidine, un produit du métabolisme de la lidocaïne retrouvé chez le rat, éventuellement aussi chez l'être humain, pourrait avoir des effets mutagènes. Ces informations sont issues de tests in vitro dans lesquels ce métabolite a été utilisé à des concentrations très élevées, pratiquement toxiques. Actuellement, rien n'indique que la substance mère, la lidocaïne, soit elle-même mutagène.
  • +Certains signes indiquent que la 2,6-xylidine (un produit du métabolisme de la lidocaïne retrouvé chez le rat et éventuellement aussi chez l'être humain) pourrait avoir des effets mutagènes. Ces informations sont issues de tests in vitro dans lesquels ce métabolite a été utilisé à des concentrations très élevées, pratiquement toxiques. Actuellement, rien n'indique que la substance mère, la lidocaïne, soit elle-même mutagène.
  • -Dans une étude sur la cancérogénicité menée chez le rat avec exposition trans-placentaire et traitement post-partum des animaux sur 2 ans avec des doses élevées de 2,6-xylidine, des tumeurs malignes et bénignes ont été observées, principalement dans la cavité nasale (ethmoturbinalia). La pertinence de ces observations pour l'homme n'est pas élucidée. Il est par conséquent indiqué de ne pas utiliser la lidocaïne à long terme à des posologies élevées.
  • +Dans une étude sur la cancérogénicité menée chez le rat avec exposition transplacentaire et traitement post-partum des animaux sur 2 ans avec des doses élevées de 2,6-xylidine, des tumeurs malignes et bénignes ont été observées, principalement dans la cavité nasale (ethmoturbinalia). La pertinence de ces observations pour l'homme est incertaine. Par conséquent, il est recommandé de ne pas utiliser la lidocaïne sur le long terme et à des doses élevées.
  • -Ampoules: 10 x 5 ml, 10 x 10 ml (B)
  • +Ampoules: 10 x 10 ml (B)
  • -Octobre 2023
  • +Février 2024
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