| 24 Changements de l'information professionelle Bondronat 2 mg/2 mL |
-Hypercalcémie
-Posologie usuelle
-Avant le traitement par Bondronat, réhydrater les patients avec une solution de chlorure de sodium à 0,9%. La posologie dépend de la sévérité de l’hypercalcémie et du type de tumeur. En règle générale, les patients présentant des métastases osseuses ostéolytiques nécessitent l’administration de doses plus faibles que les patients atteints d’hypercalcémie humorale. Chez la plupart des patients souffrant d’hypercalcémie sévère (calcémie* corrigée en fonction de l’albuminémie ≥3 mmol/l ou ≥12 mg/dl), une dose unique de 4 mg suffit. Chez les patients dont l’hypercalcémie est modérée (calcémie corrigée en fonction de l’albuminémie <3 mmol/l ou <12 mg/dl), une dose de 2 mg s’avère efficace.
-* Remarque concernant le calcul de la calcémie corrigée en fonction de l’albuminémie: calcémie corrigée (mmol/l) = calcémie (mmol/l) - [0,02 × albumine (g/l)] + 0,8
- +Hypercalcémie Posologie usuelle
- +Avant le traitement par Bondronat, réhydrater les patients avec une solution de chlorure de sodium à 0,9%. La posologie dépend de la sévérité de l’hypercalcémie et du type de tumeur. En règle générale, les patients présentant des métastases osseuses ostéolytiques nécessitent l’administration de doses plus faibles que les patients atteints d’hypercalcémie humorale. Chez la plupart des patients souffrant d’hypercalcémie sévère (calcémie* corrigée en fonction de l’albuminémie ≥3 mmol/l ou ≥12 mg/dl), une dose unique de 4 mg suffit. Chez les patients dont l’hypercalcémie est modérée (calcémie corrigée en fonction de l’albuminémie <3 mmol/l ou
- +<12 mg/dl), une dose de 2 mg s’avère efficace.
- +*Remarque concernant le calcul de la calcémie corrigée en fonction de l’albuminémie: calcémie corrigée (mmol/l) = calcémie (mmol/l) - [0,02 × albumine (g/l)] + 0,8
-·Avaler les comprimés pelliculés avec un verre d’eau du robinet (180 à 240 ml), sans les croquer, en position assise ou debout.
-·Ne pas mâcher ni sucer les comprimés pelliculés afin d’éviter d’éventuelles ulcérations oropharyngées.
-·Ne prendre les comprimés pelliculés de Bondronat qu’avec de l’eau du robinet, car certaines eaux minérales contiennent une concentration élevée en sels de calcium.
-·Les patientes ne doivent pas s’allonger pendant les 60 minutes qui suivent la prise de Bondronat.
- +•Avaler les comprimés pelliculés avec un verre d’eau du robinet (180 à 240 ml), sans les croquer, en position assise ou debout.
- +•Ne pas mâcher ni sucer les comprimés pelliculés afin d’éviter d’éventuelles ulcérations oropharyngées.
- +•Ne prendre les comprimés pelliculés de Bondronat qu’avec de l’eau du robinet, car certaines eaux minérales contiennent une concentration élevée en sels de calcium.
- +•Les patientes ne doivent pas s’allonger pendant les 60 minutes qui suivent la prise de Bondronat.
-Bondronat doit uniquement être perfusé par voie intraveineuse, car une administration intra-artérielle ou paraveineuse peut entraîner des lésions tissulaires.
- +Bondronat doit uniquement être perfusé par voie intraveineuse, car une administration intra- artérielle ou paraveineuse peut entraîner des lésions tissulaires.
-≥30, <50 4 mg/1 heure 500 ml
- +≥30,<50 4 mg/1 heure 500 ml
-·Hypersensibilité connue au principe actif (acide ibandronique) ou à l’un des excipients conformément à la composition.
-·Hypocalcémie.
-·En cas d’anomalies œsophagiennes retardant la vidange œsophagienne, telles que strictures ou achalasie, le traitement oral est contreindiqué.
-·En cas d’incapacité de rester debout ou assis pendant au moins 60 minutes, le traitement oral est contre-indiqué.
-·Grossesse et allaitement.
-·Enfants et adolescents.
- +•Hypersensibilité connue au principe actif (acide ibandronique) ou à l’un des excipients conformément à la composition.
- +•Hypocalcémie.
- +•En cas d’anomalies œsophagiennes retardant la vidange œsophagienne, telles que strictures ou achalasie, le traitement oral est contre-indiqué.
- +•En cas d’incapacité de rester debout ou assis pendant au moins 60 minutes, le traitement oral est contre-indiqué.
- +•Grossesse et allaitement.
- +•Enfants et adolescents.
-Des fractures fémorales atypiques, sous-trochantériennes et diaphysaires, ont été rapportées au cours du traitement par des bisphosphonates, essentiellement chez des patients ayant reçu un traitement antiostéoporotique prolongé. Ces fractures transversales ou obliques courtes peuvent survenir à un endroit quelconque le long du fémur, entre la région située immédiatement au-dessous du petit trochanter et les condyles. Ces fractures surviennent après un traumatisme minime ou en l’absence de traumatisme et certains patients ressentent déjà des semaines ou des mois avant la formation d’une fracture fémorale complète, des douleurs au niveau de la cuisse ou de l’aine, souvent associées à des signes radiologiques d’une fracture de stress. Les fractures sont souvent bilatérales; une fracture controlatérale doit donc être recherchée chez les patients qui sont traités par des bisphosphonates et souffrent d’une fracture du fût fémoral. Une mauvaise consolidation de ces fractures a également été rapportée. Chez les patients chez qui l’on suspecte une fracture atypique du fémur, il faut envisager l’arrêt du traitement par les bisphosphonates jusqu’à l’évaluation du patient basée sur le rapport bénéfice/risques individuel.
- +Des fractures fémorales atypiques, sous-trochantériennes et diaphysaires, ont été rapportées au cours du traitement par des bisphosphonates, essentiellement chez des patients ayant reçu un traitement antiostéoporotique prolongé. Ces fractures transversales ou obliques courtes peuvent survenir à un endroit quelconque le long du fémur, entre la région située immédiatement au- dessous du petit trochanter et les condyles. Ces fractures surviennent après un traumatisme minime ou en l’absence de traumatisme et certains patients ressentent déjà des semaines ou des mois avant la formation d’une fracture fémorale complète, des douleurs au niveau de la cuisse ou de l’aine, souvent associées à des signes radiologiques d’une fracture de stress. Les fractures sont souvent bilatérales; une fracture controlatérale doit donc être recherchée chez les patients qui sont traités par des bisphosphonates et souffrent d’une fracture du fût fémoral. Une mauvaise consolidation de ces fractures a également été rapportée. Chez les patients chez qui l’on suspecte une fracture atypique du fémur, il faut envisager l’arrêt du traitement par les bisphosphonates jusqu’à l’évaluation du patient basée sur le rapport bénéfice/risques individuel.
-Des événements oculaires inflammatoires, tels qu’une uvéite, une épisclérite et une sclérite ont été rapportés au cours du traitement par des bisphosphonates, dont l’acide ibandronique. Dans certains cas, ces événements n’ont pas guéri avant l’arrêt du bisphosphonate.
- +Des événements oculaires inflammatoires, tels qu’une uvéite, une épisclérite et une sclérite ont été rapportés au cours du traitement par des bisphosphonates, dont l’acide ibandronique. Dans certains cas, ces événements n’ont pas guéri avant l’arrêt du bisphosphonate.
-Taux de réponse (limite supérieure – inférieure de l'IC à 90%) 54 (44-63) 76 (62-86) 78 (64-88)
- +Taux de réponse (limite supérieure – inférieure de l'IC à 90%) 54 (44-63) 76 (62-86) 78 (64-88)
-Le traitement des métastases osseuses en cas de cancer du sein, par les comprimés pelliculés de Bondronat 50 mg, a été évalué lors de deux essais de phase III, randomisés, contrôlés versus placebo, d’une durée de 96 semaines. Les patientes atteintes de cancer du sein et de métastases osseuses confirmées radiologiquement ont été randomisées pour recevoir soit un placebo (277 patientes), soit Bondronat 50 mg (287 patientes). Le principal critère de jugement de l’essai était le taux de morbidité osseuse par période (skeletal morbidity period rate, SMPR), un critère composite incluant la radiothérapie osseuse, la chirurgie osseuse pour traitement de fractures ainsi que l’incidence de fractures vertébrales et non-vertébrales. Les données poolées de ces essais ont mis en évidence un avantage significatif de Bondronat par rapport au placebo en termes de réduction du SMPR. Par rapport au groupe placebo, le nombre d’événements osseux (skeletal-related event, SRE) a également significativement diminué. Les résultats de ces essais sont résumés ci-dessous. Par ailleurs, l’administration intraveineuse de Bondronat 6 mg a été évaluée dans un essai de phase III, randomisé, contrôlé versus placebo, d’une durée de 96 semaines, selon les mêmes critères d’efficacité. Les patientes atteintes de cancer du sein et de métastases osseuses confirmées radiologiquement ont été randomisées pour recevoir soit un placebo (158 patientes), soit Bondronat 6 mg (154 patientes). Les résultats sont résumés ci-dessous:
- +Le traitement des métastases osseuses en cas de cancer du sein, par les comprimés pelliculés de Bondronat 50 mg, a été évalué lors de deux essais de phase III, randomisés, contrôlés versus placebo, d’une durée de 96 semaines. Les patientes atteintes de cancer du sein et de métastases osseuses confirmées radiologiquement ont été randomisées pour recevoir soit un placebo (277 patientes), soit Bondronat 50 mg (287 patientes). Le principal critère de jugement de l’essai était le taux de morbidité osseuse par période (skeletal morbidity period rate, SMPR), un critère composite incluant la radiothérapie osseuse, la chirurgie osseuse pour traitement de fractures ainsi que l’incidence de fractures vertébrales et non-vertébrales. Les données poolées de ces essais ont mis en évidence un avantage significatif de Bondronat par rapport au placebo en termes de réduction du SMPR. Par rapport au groupe placebo, le nombre d’événements osseux (skeletal-related event, SRE) a également significativement diminué. Les résultats de ces essais sont résumés ci-dessous. Par ailleurs, l’administration intraveineuse de Bondronat 6 mg a été évaluée dans un essai de phase III, randomisé, contrôlé versus placebo, d’une durée de 96 semaines, selon les mêmes critères d’efficacité. Les patientes atteintes de cancer du sein et de métastases osseuses confirmées radiologiquement ont été randomisées pour recevoir soit un placebo (158 patientes), soit Bondronat 6 mg (154 patientes). Les résultats sont résumés ci- dessous:
-Après administration orale, l’acide ibandronique est rapidement absorbé dans le tractus gastro-intestinal supérieur. A jeun, les concentrations plasmatiques maximales ont été atteintes après 0,5 à 2 heures (médiane: une heure); la biodisponibilité absolue s’est élevée à environ 0,6%. L’absorption est limitée lorsque l’acide ibandronique est pris en même temps que des aliments ou des boissons (à l’exception de l’eau du robinet).
- +Après administration orale, l’acide ibandronique est rapidement absorbé dans le tractus gastro- intestinal supérieur. A jeun, les concentrations plasmatiques maximales ont été atteintes après 0,5 à 2 heures (médiane: une heure); la biodisponibilité absolue s’est élevée à environ 0,6%. L’absorption est limitée lorsque l’acide ibandronique est pris en même temps que des aliments ou des boissons (à l’exception de l’eau du robinet).
-Bondronat 50 mg: 28 comprimés pelliculés [B]
-Bondronat 2 mg/2 ml: 1 flacon [B]
- +Bondronat 50 mg: 28 comprimés pelliculés [B] Bondronat 2 mg/2 ml: 1 flacon [B]
-Roche Pharma (Suisse) SA, 4153 Reinach.
- +Future Health Pharma GmbH, 8620 Wetzikon.
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