14 Changements de l'information professionelle M-retard Zentiva 10 mg |
-Douleurs prolongées moyennement fortes à fortes ou en cas d’efficacité insuffisante des analgésiques non-opioïdes et/ou des opioïdes faibles.
- +Douleurs prolongées moyennement fortes à fortes ou en cas d'efficacité insuffisante des analgésiques non-opioïdes et/ou des opioïdes faibles.
-·traitement concomitant par des inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) (voir rubrique «Interactions»),
-·allaitement (voir section «Grossesse/Allaitement»).
-L'utilisation prolongée de M-retard Helvepharm peut conduire au développement d'une tolérance rendant nécessaire une augmentation des doses pour parvenir à l'effet analgésique souhaité. L'utilisation chronique de M-retard Helvepharm peut conduire à une dépendance physique et l'apparition d'un syndrome de sevrage est possible à l'arrêt abrupt du traitement. Lorsque le traitement par la morphine n'est plus nécessaire, il est conseillé de réduire progressivement la dose journalière pour éviter l'apparition de symptômes d'un syndrome de sevrage.
-Le principe actif morphine présente un potentiel d'abus semblable à celui d'autres puissants agonistes des récepteurs aux opioïdes. Une dépendance psychique (addiction aux médicaments) peut apparaître suite à l'administration d'analgésiques opioïdes comme M-retard Helvepharm. Une prudence particulière est de rigueur lors de la prescription de M-retard Helvepharm chez des patients qui présentent des antécédents d'alcoolisme ou d'abus de drogues ou de médicaments.
- +·prise concomitante de substances à effet dépresseur central ou d'inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) (voir rubrique «Interactions»),
- +·allaitement (voir rubrique «Grossesse/Allaitement»).
- +L'utilisation prolongée de M-retard Helvepharm peut conduire au développement d'une tolérance pouvant rendre nécessaire une augmentation des doses pour parvenir à l'effet analgésique souhaité. L'utilisation chronique de M-retard Helvepharm peut conduire à une dépendance physique, et l'apparition d'un syndrome de sevrage est possible à l'arrêt abrupt du traitement. Lorsque le traitement par la morphine n'est plus nécessaire, il est conseillé de réduire progressivement la dose journalière pour éviter l'apparition de symptômes d'un syndrome de sevrage.
- +La morphine présente un potentiel d'abus semblable à celui d'autres agonistes opioïdes forts. Une dépendance psychique (toxicomanie médicamenteuse) peut apparaître suite à l'administration d'analgésiques opioïdes comme M-retard Helvepharm. Une prudence particulière est de rigueur lors de la prescription de M-retard Helvepharm chez des patients présentant des antécédents d'alcoolisme ou d'abus de drogues ou de médicaments.
- +Les opioïdes, tels que la morphine, peuvent influer sur l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien ou gonadique. Certaines modifications peuvent être observées telles qu'une élévation de la prolactine sérique et une diminution du taux plasmatique de cortisol et de testostérone. Ces modifications hormonales peuvent se manifester par des symptômes cliniques.
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-Les substances ayant un effet dépresseur sur le système nerveux central (SNC) telles que benzodiazépines, barbituriques, opioïdes, alcool, neuroleptiques (phénothiazines), antidépresseurs tricycliques, antihistaminiques H1 avec effet sédatif, antiémétiques avec action centrale, gabapentine, prégabaline, autres anesthésiques, sédatifs, hypnotiques ou anxiolytiques peuvent augmenter le risque de dépression respiratoire, d'hypotension et/ou d'effet sédatif de M-retard Helvepharm et diminuer l'attention.
- +Les substances à effet dépresseur central telles que benzodiazépines, barbituriques, autres opioïdes, alcool, neuroleptiques (phénothiazines), antidépresseurs tricycliques, antihistaminiques H1 sédatifs, antiémétiques à action centrale, gabapentine, prégabaline, anesthésiques, sédatifs, hypnotiques ou anxiolytiques peuvent augmenter le risque de dépression respiratoire, d'hypotension et de déficit d'attention. Dans les cas graves, une sédation prononcée, le coma et la mort peuvent survenir.
-M-retard Helvepharm peut influencer l'aptitude à la conduite ou l'utilisation de machines, particulièrement en début de traitement, après augmentation du dosage ou passage à M-retard Helvepharm, ou en cas d'association avec l'alcool ou des substances à effet dépresseur sur le SNC. La mise en place de restrictions n'est pas obligatoire avec un traitement stable. Les patients doivent discuter avec leur médecin pour savoir s'ils ont le droit de conduire ou d'utiliser des machines.
- +M-retard Helvepharm peut influencer l'aptitude à la conduite ou l'utilisation de machines, particulièrement en début de traitement, après augmentation du dosage ou passage à M-retard Helvepharm, ou en cas d'association avec l'alcool ou des substances à effet dépresseur central. La mise en place de restrictions n'est pas obligatoire avec un traitement stable. Les patients doivent discuter avec leur médecin pour savoir s'ils ont le droit de conduire ou d'utiliser des machines.
-Par l'intermédiaire des récepteurs aux opioïdes périphériques, la morphine soutient l'action analgésique, entraîne une réduction de la motilité et une augmentation du tonus des muscles lisses du tractus gastro-intestinal (constipation spastique), une contraction des sphincters des voies biliaires, une augmentation du tonus de la musculature de la vessie et du sphincter vésical, un ralentissement de la vidange gastrique par constriction du pylore, une rougeur du visage, un urticaire et un prurit par libération d'histamine ainsi que des bronchospasmes chez les asthmatiques, une influence sur l'axe hypophyso-hypothalamique et ainsi sur l'activité des hormones corticoïdes, sexuelles, prolactine et antidiurétique. La survenue de symptômes cliniques en raison des changements hormonaux peut être possible.
- +Par l'intermédiaire des récepteurs aux opioïdes périphériques, la morphine soutient l'action analgésique, entraîne une réduction de la motilité et une augmentation du tonus des muscles lisses du tractus gastro-intestinal (constipation spastique), une contraction des sphincters des voies biliaires, une augmentation du tonus de la musculature de la vessie et du sphincter vésical, un ralentissement de la vidange gastrique par constriction du pylore, une rougeur du visage, un urticaire et un prurit par libération d'histamine, des bronchospasmes chez les asthmatiques ou des changements hormonaux (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
-La demivie d'élimination de la morphine après une administration orale et intraveineuse est de 2-4 heures et la clairance plasmatique totale est de 15-30 ml/min/kg. La morphine est principalement éliminée par les reins sous forme de morphine-glucuronide. Environ 7 à 10% de la morphine administrée sont excrétés par la bile avec les fèces.
- +La demi-vie d'élimination de la morphine après une administration orale et intraveineuse est de 2-4 heures et la clairance plasmatique totale est de 15-30 ml/min/kg. La morphine est principalement éliminée par les reins sous forme de morphine-glucuronide. Environ 7 à 10% de la morphine administrée sont excrétés par la bile avec les fèces.
-Avril 2017.
- +Décembre 2017.
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