70 Changements de l'information professionelle Ranitidin-Mepha 150 |
-Principe actif: Ranitidinum (ut Ranitidini Hydrochloridum).
-Excipients: Arom. Vanillinum, Excipiens pro compresso obducto.
- +Principe actif: ranitidinum (ut ranitidini hydrochloridum).
- +Excipients: arom. vanillinum, excipiens pro compresso obducto.
-1 Lactab Ranitidine-Mepha 150 contient: Ranitidinum 150 mg.
-1 Lactab Ranitidine-Mepha 300 contient: Ranitidinum 300 mg.
- +1 Lactab Ranitidin-Mepha 150 contient: Ranitidinum 150 mg.
- +1 Lactab Ranitidin-Mepha 300 contient: Ranitidinum 300 mg.
-Ranitidine-Mepha est indiqué contre les maladies suivantes: ulcères duodénaux et ulcères gastriques bénins, ulcères postopératoires, oesophagite de reflux, syndrome de Zollinger-Ellison.
-Dans les ulcères duodénaux récidivants accompagnés d'une infection à Helicobacter pylori démontrée, la ranitidine doit être prescrite en association avec deux antibiotiques (amoxicilline et métronidazole).
-Ranitidine-Mepha est également indiqué pour la prophylaxie des hémorragies d'ulcérations ou érosions du tractus gastro-intestinal proximal, et pour la prévention de l'ulcère de stress.
-Ranitidine-Mepha s'utilise également dans la dyspepsie acide et en prémédication anesthésique pour atténuer les séquelles du syndrome d'inhalation de liquide gastrique.
- +Ranitidin-Mepha est indiqué pour les affections suivantes: ulcère duodénal et ulcère gastrique bénin, ulcère postopératoire, oesophagite de reflux, syndrome de Zollinger-Ellison.
- +Dans les ulcères duodénaux récidivants, accompagnés d'une infection à Helicobacter pylori avérée, la ranitidine doit être administrée en association avec deux antibiotiques (amoxicilline et métronidazole).
- +Ranitidin-Mepha est également indiqué dans la prévention des hémorragies provoquées par des ulcérations ou des érosions de l'appareil gastro-intestinal supérieur et dans la prévention des ulcères de stress.
- +Ranitidin-Mepha s'utilise également dans la dyspepsie acide et en prémédication anesthésique pour atténuer les séquelles du syndrome d'inhalation de liquide gastrique.
-Avaler les Lactab avec un peu de liquide.
-Ulcères duodénaux, ulcères gastriques bénins, ulcères postopératoires: La posologie usuelle est de 150 mg 2× par jour (le matin et avant le coucher, indépendamment des repas), ou 300 mg 1× par jour avant le coucher pendant 4-6 semaines.
-Une seconde période de traitement de 4 semaines peut s'avérer nécessaire chez quelques rares patients.
-Dans le traitement des ulcères duodénaux, une posologie de 300 mg 2× par jour au lieu de 150 mg 2× par jour ou 300 mg 1× par jour avant le coucher, le tout pendant 4 semaines, donne de meilleurs taux de guérison chez les hommes.
-La dose la plus élevée de 300 mg 2× par jour ne doit s'utiliser que si la dose inférieure n'a pas donné de résultat satisfaisant.
-Le fait d'augmenter la dose ne provoque aucune augmentation des effets indésirables.
-Chez les patients qui ont bien répondu au traitement bref, et surtout qui ont tendance aux récidives, l'administration prophylactique de 150 mg par jour, avant le coucher, peut s'avérer utile.
-Dans des ulcères duodénaux récidivants accompagnés d'une infection à Helicobacter pylori démontrée, Ranitidine-Mepha est administré à la dose de 300 mg 1× par jour le soir avant le coucher ou de 150 mg 2× par jour le matin et avant le coucher, indépendamment des repas, en association avec 750 mg 3× par jour per os d'amoxicilline et 500 mg 3× par jour per os de métronidazole, pendant 2 semaines. Le traitement par Ranitidine-Mepha doit ensuite être poursuivi pendant 4 semaines supplémentaires. Avec ce schéma de traitement, Helicobacter pylori a été éradiqué chez 89% des patients - le taux des récidives étant de 2% seulement après 12 mois de contrôle.
-Oesophagite de reflux: La dose est de 150 mg 2× par jour ou 300 mg 1× par jour (avant le coucher), jusqu'à 12 semaines.
-Dans l'oesophagite de reflux modérée à grave, il est possible d'augmenter cette dose à 150 mg 4× par jour, et ceci jusqu'à 12 semaines également.
-La dose préconisée pour le traitement à long terme est de 150 mg 2× par jour.
-Syndrome de Zollinger-Ellison: Dose initiale 150 mg 3× par jour (matin, midi et avant le coucher); cette dose peut être augmentée à 600-900 mg par jour si nécessaire. Des doses atteignant 6 g par jour ont été bien tolérées.
-Dyspepsie hyperacide: La posologie recommandée est de 150 mg 2× par jour jusqu'à 6 semaines. Les patients qui ne répondent pas à ce traitement, ou qui présentent une récidive à court terme, doivent subir des examens plus approfondis.
-Prémédication avant la narcose, pour atténuer les conséquences du syndrome d'aspiration acide (syndrome de Mendelson): 150 mg 2 heures avant la narcose, et si possible 150 mg le soir précédent.
-Pour atténuer l'influence sur la biodisponibilité de la didanosine et de l'atazanavir, il est recommandé de prendre la didanosine 2 heures après et l'atazanavir à 12 d'intervalle avec les médicaments modifiant le pH (voir «Interactions»).
- +Les Lactab sont à avaler avec un peu de liquide.
- +Ulcère duodénal, ulcère gastrique bénin, ulcère postopératoire: la posologie usuelle est de 150 mg 2×/jour (matin et soir au coucher, indépendamment du moment des repas), ou de 1× 300 mg au coucher pendant 4 à 6 semaines.
- +La poursuite du traitement pour une deuxième période de 4 semaines n'est nécessaire que chez peu de patients. Dans le traitement de l'ulcère duodénal, une posologie de 300 mg 2×/jour pendant 4 semaines permet d'obtenir un meilleur taux de guérison chez les patients de sexe masculin qu'une posologie de 150 mg 2×/jour ou de 300 mg 1×/jour au coucher pendant 4 semaines. La dose plus élevée de 300 mg 2×/jour ne sera utilisée que si la dose plus faible n'a pas abouti au résultat thérapeutique. Cette augmentation posologique ne se traduit pas par une fréquence accrue d'effets indésirables.
- +La dose prophylactique de 150 mg par jour, administrée au coucher, peut s'avérer utile chez les patients ayant bien répondu au traitement à court terme, mais aussi notamment chez ceux prédisposés aux récidives.
- +Dans les ulcères duodénaux récidivants, accompagnés d'une infection à Helicobacter pylori avérée, Ranitidin-Mepha est administré à raison de 300 mg 1×/jour au coucher ou de 150 mg 2×/jour, matin et soir au coucher, indépendamment du moment des repas, en association avec 750 mg d'amoxicilline 3×/jour par voie orale et 500 mg de métronidazole 3×/jour par voie orale pendant 2 semaines. Ensuite, la prise de Ranitidin-Mepha doit être poursuivie pendant 4 semaines supplémentaires. Ce schéma thérapeutique a permis d'éradiquer le Helicobacter pylori chez 89% des patients, le taux de récidives n'étant que de 2% après 12 mois de suivi.
- +Oesophagite de reflux: la posologie est de 150 mg 2×/jour ou de 300 mg 1×/jour (au coucher) sur une période n'excédant pas 12 semaines.
- +En cas d'oesophagite de reflux de gravité moyenne à sévère, la dose peut atteindre 150 mg 4×/jour pendant une période allant jusqu'à 12 semaines.
- +Dans le traitement prolongé, la dose recommandée est de 150 mg 2×/jour.
- +Syndrome de Zollinger-Ellison: la dose initiale est de 150 mg 3×/jour (le matin, à midi et au coucher); au besoin, elle peut être augmentée jusqu'à 600-900 mg par jour. Des doses journalières allant jusqu'à 6 g ont été bien tolérées.
- +Dyspepsie acide: la posologie recommandée s'élève à 150 mg 2×/jour, pendant une période allant jusqu'à 6 semaines. Les patients réfractaires au traitement ou récidivant en peu de temps devraient être soumis à un examen approfondi.
- +Prémédication anesthésique: pour atténuer les séquelles du syndrome d'inhalation du liquide gastrique (syndrome de Mendelson): 150 mg 2 heures avant l'induction de l'anesthésie et, si possible, 150 mg la veille au soir.
- +Pour minimiser l'effet sur la biodisponibilité de la didanosine et de l'atazanavir, il est conseillé d'administrer la didanosine 2 heures après et l'atazanavir à un intervalle de 12 heures par rapport à des médicaments qui modifient le pH (cf. «Interactions»).
-La dose orale recommandée de Ranitidine-Mepha dans le traitement de l'ulcère peptique pour les enfants à partir d'un mois est de 2-4 mg/kg PC 2× par jour, jusqu'à une dose journalière maximale de 300 mg. Mais l'expérience en pédiatrie est encore limitée.
-Patients de plus de 50 ans (cf. «Pharmacocinétique, Cinétique pour certains groupes de patients»).
-Insuffisance rénale:
-La ranitidine est éliminée par les reins. Dans l'insuffisance rénale (clairance de la créatinine <50 ml/min) sa concentration plasmatique est augmentée et sa demi-vie plasmatique prolongée (voir «Pharmacocinétique»): chez de tels patients la dose usuelle est de 150 mg par jour.
- +Chez les enfants à partir d'un mois, la dose orale recommandée de Ranitidin-Mepha dans le traitement de l'ulcère peptique est de 2 à 4 mg/kg de poids corporel 2× par jour, jusqu'à une dose journalière maximale de 300 mg. Toutefois, l'expérience acquise en pédiatrie est encore limitée.
- +Patients de plus de 50 ans (cf. «Pharmacocinétique», cinétique pour certains groupes de patients).
- +Fonction rénale réduite:
- +La ranitidine est éliminée par voie rénale. En cas d'insuffisance rénale (clairance de la créatinine <50 ml/min), la concentration plasmatique est plus élevée et la demi-vie plasmatique est prolongée (cf. «Pharmacocinétique»): Chez ces patients, la dose recommandée s'élève à 150 mg par jour.
-Ranitidine-Mepha ne doit pas être utilisé chez des patients ayant une hypersensibilité connue à l'égard de l'un de ses constituants.
- +Ranitidin-Mepha ne doit pas être utilisé chez les patients présentant une hypersensibilité avérée à l'un de ses composants.
-Une ascension du pH du suc gastrique augmente le risque de contamination par des germes pathogènes.
-Le traitement par un antagoniste du récepteur H2 peut masquer les symptômes d'un carcinome gastrique, et retarder son diagnostic. Avant tout traitement de patients souffrant d'ulcères gastriques, ou de vieillards souffrant de symptômes dyspeptiques d'apparition nouvelle, ou récemment modifiés, il est indispensable d'exclure la présence de carcinomes ulcérés.
-Réduire la dose dans l'insuffisance rénale (voir «Instructions spéciales pour la posologie»).
-Il est recommandé de contrôler régulièrement les patients âgés surtout, qui présentent un ulcère peptique et suivent un traitement d'AINS.
-La ranitidine ne doit pas être administrée à des patients ayant des antécédents de porphyrie aiguë.
-Les patients âgés, les diabétiques et les personnes souffrant d'une pneumopathie chronique ou d'une faiblesse immunitaire peuvent courir un risque accru de pneumonie communautaire (CAP). Une grande étude épidémiologique a montré un risque relatif de pneumonie 1,63 fois (IC 95%: 1,07-2,48) plus élevé chez les patients sous antagonistes du récepteur H2 que chez ceux ayant arrêté leur traitement.
- +Un accroissement du pH gastrique fait augmenter le risque d'une colonisation par des germes pathogènes.
- +Le traitement par un antagoniste des récepteurs H2 peut masquer les symptômes d'un cancer gastrique et en retarder le diagnostic. Il faut donc écarter, avant le traitement, la présence d'un ulcère malin chez les patients souffrant d'un ulcère gastrique ou chez les patients âgés présentant des symptômes dyspeptiques récents ou récemment modifiés.
- +En cas d'insuffisance rénale, il faut réduire la dose (voir «Instructions spéciales pour la posologie»).
- +Un contrôle régulier, notamment chez les patients âgés, est conseillé en cas d'ulcère peptique et de traitement concomitant avec des AINS.
- +L'emploi de la ranitidine est à éviter chez les patients présentant des antécédents de porphyrie aiguë.
- +Les patients âgés, les diabétiques ainsi que les sujets présentant une affection pulmonaire chronique ou une immunodéficience peuvent avoir un risque plus élevé de pneumonie acquise en ambulatoire (CAP). Une vaste étude épidémiologique a montré un risque relatif de pneumonie majoré de 1,63 fois (IC à 95%, 1.07-2.48) chez les patients sous antagonistes des récepteurs H2 par rapport à des patients qui avaient arrêté le traitement.
-La ranitidine a la capacité d'influencer l'absorption, la métabolisation ou l'excrétion rénale d'autres médicaments. La modification de la pharmacocinétique peut impliquer un ajustement du dosage pour les médicaments concernés ou l'arrêt du traitement.
- +La ranitidine a la capacité d'influencer la résorption, la métabolisation ou l'excrétion rénale d'autres médicaments. La modification de la pharmacocinétique peut impliquer un ajustement du dosage pour les médicaments concernés ou l'arrêt du traitement.
-1. L'inhibition du système d'oxygénase multifonctionnelle dépendant du cytochrome P450
- +1. Inhibition du système d'oxygénase multifonctionnelle dépendant du cytochrome P450
-Pour les anticoagulants à base de coumarine (par ex. la warfarine), une modification des temps de prothrombine a été rapportée. Peu de données concernant la phenprocoumone et l'acénocoumarol sont disponibles. Du fait du spectre thérapeutique étroit de ce médicament, une surveillance étroite de l'allongement ou de la réduction du temps de prothrombine est recommandée durant le traitement d'accompagnement à base de ranitidine.
- +Pour les anticoagulants coumariniques (par ex. la warfarine), une modification des temps de prothrombine a été rapportée. Peu de données concernant la phenprocoumone et l'acénocoumarol sont disponibles. Du fait de la marge thérapeutique étroite de ces médicaments, une surveillance étroite de l'allongement ou de la réduction du temps de prothrombine est recommandée durant le traitement concomitant avec la ranitidine.
-Comme la ranitidine est partiellement éliminée au moyen du système de transport des cations, la clairance des autres médicaments excrétés par cette voie, peut s'en trouver affectée. Des doses élevées de ranitidine (p.ex. pour le traitement du syndrome Zollinger-Ellison) peuvent diminuer l'excrétion du procaïnamide et du N-acétylprocaïnamide, et par conséquent, générer de fortes concentrations plasmatiques de ces médicaments.
- +Comme la ranitidine est partiellement éliminée au moyen du système de transport des cations, la clairance des autres médicaments excrétés par cette voie peut s'en trouver affectée. Des doses élevées de ranitidine (p.ex. pour le traitement du syndrome de Zollinger-Ellison) peuvent diminuer l'excrétion du procaïnamide et du N-acétylprocaïnamide, et par conséquent, générer de fortes concentrations plasmatiques de ces médicaments.
-La modification du pH gastrique peut influencer la biodisponibilité de certains médicaments. L'absorption peut être renforcée (par ex. triazolam, midazolam, didanosine, glipizide) ou réduite (par ex. kétoconazole, atazanavir, délavirdine, géfitinib) (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Il n'existe aucune indication quant aux interactions entre la ranitidine et l'amoxicilline ou le métronidazole.
-Si des doses élevées (2 g) de sucralfate sont absorbées parallèlement à Ranitidine-Mepha, l'absorption de Ranitidine-Mepha est réduite. C'est pourquoi il faut prendre le sucralfate au moins deux heures après Ranitidine-Mepha.
- +La modification du pH gastrique peut influencer la biodisponibilité de certains médicaments. La résorption peut être renforcée (par ex. triazolam, midazolam, didanosine, glipizide) ou réduite (par ex. kétoconazole, atazanavir, délavirdine, géfitinib) (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Rien n'indique qu'il existe une interaction entre la ranitidine et l'amoxicilline ou le métronidazole.
- +Si des doses élevées (2 g) de sucralfate sont prises en même temps que Ranitidin-Mepha, l'absorption de Ranitidin-Mepha est réduite. C'est pourquoi il faut prendre le sucralfate au moins deux heures après Ranitidin-Mepha.
-Les études de reproduction chez l'animal n'ont fait ressortir aucun risque pour les embryons/foetus, mais aucune étude contrôlée n'a été effectuée chez la femme enceinte.
-Une certaine prudence est donc de mise lors de l'emploi de Ranitidine-Mepha pendant la grossesse.
-La ranitidine traverse la barrière placentaire. Administré à des doses thérapeutiques au début de l'accouchement ou avant une césarienne, il n'a aucune répercussion fâcheuse sur les contractions, l'accouchement ni l'enfant.
-La ranitidine diffuse dans le lait maternel; l'importance clinique de ce fait n'est pas encore totalement précisée, mais la possibilité d'une perturbation de la sécrétion gastrique ne peut être écartée. Le produit ne devrait donc pas être utilisé pendant la période d'allaitement.
- +Les études de reproduction menées chez l'animal n'ont révélé aucun risque pour l'embryon ou le foetus; cependant, on ne dispose pas d'études contrôlées chez la femme enceinte.
- +Lors de l'emploi de Ranitidin-Mepha au cours de la grossesse, la prudence est donc de rigueur.
- +La ranitidine franchit la barrière placentaire. Administré aux doses thérapeutiques au début de l'accouchement ou avant une césarienne, le médicament est dépourvu d'effets défavorables sur le travail, l'accouchement et l'enfant.
- +La ranitidine passe dans le lait maternel; la portée clinique de cette constatation n'a pas encore été entièrement élucidée, mais la possibilité d'une perturbation de la sécrétion gastrique ne peut être écartée. Le produit ne devrait donc pas être utilisé pendant la période d'allaitement.
-Aucune étude n'a été effectuée à ce propos. Mais toute influence négative de ce médicament sur ce point ne saurait être exclue (voir «Effets indésirables»).
- +Aucune étude correspondante n'a été effectuée. Toutefois, un effet négatif du médicament ne peut être exclu (voir «Effets indésirables»).
-En raison de leur fréquence d'apparition, les effets indésirables observés ont été attribués aux catégories suivantes:
-Très fréquent (>1/10), fréquent (>1/100 et <1/10), occasionnel (>1/1'000 et <1/100), rare (>1/10'000 et <1/1'000), très rare (<1/10'000).
- +Les effets indésirables observés ont été classifiés au moyen de leur fréquence d'apparition de la façon suivante: très fréquent (>1/10), fréquent (>1/100 et <1/10), occasionnel (>1/1'000 et <1/100), rare (>1/10'000 et <1/1'000), très rare (<1/10'000).
-Très rare: altération de la formule sanguine (leucopénie, thrombocytopénie), en général réversible.
- +Très rares: Altérations de la formule sanguine (leucopénie, thrombopénie), en général réversibles.
-Rare: réactions d'hypersensibilité (urticaire, oedème de Quincke, fièvre, bronchospasme, chute tensionnelle, douleurs thoraciques).
-Très rare: choc anaphylactique.
- +Rares: Réactions d'hypersensibilité (urticaire, oedème de Quincke, fièvre, bronchospasme, chute tensionnelle, douleurs thoraciques).
- +Très rares: Choc anaphylactique.
-Très rare: états confusionnels réversibles, dépressions et hallucinations.
- +Très rares: Etats confusionnels réversibles, dépressions et hallucinations.
-Occasionnel: céphalées, vertiges, fatigue.
-Très rare: mouvements involontaires réversibles tels que dystonies, dyskinésies, myoclonies, symptomatologie parkinsonienne.
- +Occasionnels: Céphalées, vertiges, fatigue.
- +Très rares: Mouvements involontaires réversibles tels que dystonies, dyskinésies, myoclonies, symptomatologie parkinsonienne.
-Très rare: vue brouillée passagère.
- +Très rares: Vue brouillée passagère.
-Très rare: comme avec d'autres antagonistes des récepteurs H2, bradycardie, bloc AV et asystoles.
- +Très rares: Comme avec d'autres antagonistes des récepteurs H2, bradycardie, bloc AV et asystolies.
-Très rare: vascularite.
- +Très rares: Vascularite.
-Occasionnel: diarrhées, constipation, nausées.
-Très rare: pancréatite aiguë.
- +Occasionnels: Diarrhées, constipation, nausées.
- +Très rares: Pancréatite aiguë.
-Occasionnel: modification passagère et réversible des paramètres hépatiques.
-Très rare: hépatite (hépatocellulaire, cholestatique ou mixte) avec ou sans ictère (en général réversible).
- +Occasionnels: Modification passagère et réversible des paramètres hépatiques.
- +Très rares: Hépatite (hépatocellulaire, cholestatique ou mixte) avec ou sans ictère (en général réversible).
-Occasionnel: éruption cutanée.
-Rare: démangeaison.
-Très rare: érythème polymorphe, chute de cheveux.
-Affections musculo-squelettiques
-Très rare: arthralgies et myalgies.
- +Occasionnels: Eruption cutanée.
- +Rares: Prurit.
- +Très rares: Erythème polymorphe, chute de cheveux.
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
- +Très rares: Arthralgie et myalgie.
-Très rare: néphrite interstitielle aiguë.
- +Très rares: Néphrite interstitielle aiguë.
-Très rare: impuissance réversible, symptômes mammaires (tels que gynécomastie et galactorrhée).
- +Très rares: Impuissance réversible, symptômes mammaires (tels que gynécomastie et galactorrhée).
-Du fait que l'effet de Ranitidine-Mepha est très spécifique, aucun problème n'est à prévoir en cas de surdosage.
-Le cas échéant, traiter les symptômes en tant que tels.
- +Ranitidin-Mepha ayant une action très spécifique, aucun problème particulier n'est à craindre en cas de surdosage.
- +Au besoin, pratiquer un traitement symptomatique.
-Ranitidine-Mepha est un antagoniste spécifique du récepteur H2.
-Ranitidine-Mepha inhibe la sécrétion gastrique basale et stimulée, et diminue autant le volume des sécrétions que la concentration d'acide et de pepsine.
-Ranitidine-Mepha a une durée d'action relativement prolongée: 150 mg inhibent la sécrétion acide de l'estomac pendant 12 heures.
- +Ranitidin-Mepha est un antagoniste spécifique des récepteurs H2. Ranitidin-Mepha inhibe la sécrétion basale et stimulée d'acide gastrique en réduisant à la fois le volume sécrété et la concentration en acide et pepsine.
- +Ranitidin-Mepha présente une durée d'action relativement longue: une dose de 150 mg permet d'inhiber la sécrétion gastrique pendant 12 heures.
-Après administration orale de 150 mg de ranitidine, les concentrations plasmatiques maximales (300 à 550 ng/ml) sont atteintes en 1 à 3 heures. Deux pics distincts ou un plateau dans la phase d'absorption résultent de la réabsorption du principe actif excrété dans l'intestin. La biodisponibilité absolue de la ranitidine est de 50–60%.
- +Après administration orale de 150 mg de ranitidine, les concentrations plasmatiques maximales (300 à 550 ng/ml) sont atteintes en 1 à 3 heures. Deux pics distincts ou un plateau dans la phase d'absorption résultent de la réabsorption du principe actif excrété dans l'intestin. La biodisponibilité absolue de la ranitidine est de 50-60%.
-Les concentrations plasmatiques diminuent de façon bi-exponentielle, avec une demi-vie finale de 2–3 heures. L'élimination a lieu principalement par voie rénale. Après administration intraveineuse de 150 mg de ranitidine marquée (³H), 98% de la radioactivité est retrouvée, 5% dans les fèces et 93% dans l'urine dont 70% sous la forme inchangée du principe actif. Après administration orale de 150 mg de ranitidine marquée (³H), 96% de la radioactivité est retrouvée, 26% dans les fèces et 70% dans l'urine dont 35% sous la forme inchangée du principe actif. Moins de 3% de la dose sont excrétés avec la bile. La clairance rénale est d'environ 500 ml/min et excède le taux de filtration glomérulaire ce qui suggère une sécrétion tubulaire rénale.
- +Les concentrations plasmatiques diminuent de façon bi-exponentielle, avec une demi-vie finale de 2-3 heures. L'élimination a lieu principalement par voie rénale. Après administration intraveineuse de 150 mg de ranitidine marquée (3H), 98% de la radioactivité est retrouvée, 5% dans les fèces et 93% dans l'urine dont 70% sous la forme inchangée du principe actif. Après administration orale de 150 mg de ranitidine marquée (3H), 96% de la radioactivité est retrouvée, 26% dans les fèces et 70% dans l'urine dont 35% sous la forme inchangée du principe actif. Moins de 3% de la dose sont excrétés avec la bile. La clairance rénale est d'environ 500 ml/min et excède le taux de filtration glomérulaire ce qui suggère une sécrétion tubulaire rénale.
-Chez les patients de plus de 50 ans, la demi-vie est prolongée (3–4 h) et la clairance réduite, en conséquence à la diminution de la fonction rénale liée à l'âge. L'exposition systémique est augmentée d'environ 50%.
- +Chez les patients de plus de 50 ans, la demi-vie est prolongée (3-4 h) et la clairance réduite, en conséquence à la diminution de la fonction rénale liée à l'âge. L'exposition systémique est augmentée d'environ 50%.
-Le médicament ne peut être utilisé que jusqu'à la date figurant après la mention «EXP».
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Conserver dans l'emballage original, à température ambiante (15-25 °C) et à l'abri de la lumière et de l'humidité. Tenir hors de portée des enfants.
- +Conserver dans l'emballage original, à une température ne dépassant pas 30 °C, à l'abri de la lumière et de l'humidité. Tenir hors de portée des enfants.
-Numéro de version interne: 4.2
- +Numéro de version interne: 5.2
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