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Accueil - Information professionnelle sur Tramal retard 100 - Changements - 10.04.2020
84 Changements de l'information professionelle Tramal retard 100
  • -Excipients: Tramal retard 50, 100: Excipiens pro compresso obducto.
  • +Excipients:
  • +Tramal retard 50, 100: Excipiens pro compresso obducto.
  • -Douleurs aiguës ou prolongées dintensité moyenne à forte, respectivement en cas defficacité insuffisante des analgésiques de type non-opioïde, et pour continuer la thérapie des patients après titration avec tramadol à libération non prolongée.
  • +Douleurs aiguës ou prolongées d'intensité moyenne à forte, respectivement en cas d'efficacité insuffisante des analgésiques de type non-opioïde, et pour continuer la thérapie des patients après titration avec tramadol à libération non prolongée.
  • -La posologie devrait être adaptée à lintensité des douleurs et à la sensibilité individuelle des patients. La dose analgésique efficace la plus faible doit généralement être choisie. La dose totale de 400 mg chlorhydrate de tramadol ne doit pas être dépassée, sauf circonstances particulières.
  • +La posologie devrait être adaptée à l'intensité des douleurs et à la sensibilité individuelle des patients. La dose analgésique efficace la plus faible doit généralement être choisie. La dose totale de 400 mg chlorhydrate de tramadol ne doit pas être dépassée, sauf circonstances particulières.
  • -La dose initiale habituelle est de 50–100 mg deux fois par jour (correspondant à 100–200 mg de chlorhydrate de tramadol), recommandée matin et soir. Si le niveau dantalgie est insuffisant, la dose peut être portée à 150 mg ou 200 mg, deux fois par jour (correspondant à 300–400 mg de chlorhydrate de tramadol).
  • +La dose initiale habituelle est de 50–100 mg deux fois par jour (correspondant à 100–200 mg de chlorhydrate de tramadol), recommandée matin et soir. Si le niveau d'antalgie est insuffisant, la dose peut être portée à 150 mg ou 200 mg, deux fois par jour (correspondant à 300–400 mg de chlorhydrate de tramadol).
  • -Tramal retard nest pas approprié au traitement des enfants âgés de moins de 12 ans en raison de la dose contenue par comprimé.
  • -Patients souffrant dune insuffisance rénale et hépatique
  • -Lélimination du tramadol est ralentie chez les patients souffrant dinsuffisance rénale et/ou hépatique, donc la durée daction de Tramal retard peut être prolongée. Le cas échéant, on augmentera individuellement les intervalles entre les doses en fonction de la réapparition de la douleur. Ladministration de Tramal retard nest pas recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique grave.
  • +Tramal retard n'est pas approprié au traitement des enfants âgés de moins de 12 ans en raison de la dose contenue par comprimé.
  • +Patients souffrant d'une insuffisance rénale et hépatique
  • +L'élimination du tramadol est ralentie chez les patients souffrant d'insuffisance rénale et/ou hépatique, donc la durée d'action de Tramal retard peut être prolongée. Le cas échéant, on augmentera individuellement les intervalles entre les doses en fonction de la réapparition de la douleur. L'administration de Tramal retard n'est pas recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique grave.
  • -Dû à son grand volume de distribution, le tramadol nest éliminé que très lentement du sérum par hémodialyse ou hémofiltration. Cest pourquoi, en règle générale, une nouvelle administration nest pas nécessaire pour le maintien de lanalgésie chez les patients dialysés.
  • +Dû à son grand volume de distribution, le tramadol n'est éliminé que très lentement du sérum par hémodialyse ou hémofiltration. C'est pourquoi, en règle générale, une nouvelle administration n'est pas nécessaire pour le maintien de l'analgésie chez les patients dialysés.
  • -Il nest généralement pas nécessaire dadapter la dose chez des patients âgés sans insuffisance hépatique ou rénale cliniquement manifeste. Lélimination peut être ralentie chez les patients de plus de 75 ans, même sils nont pas dinsuffisance hépatique ou rénale cliniquement manifeste. En conséquence, on doit augmenter individuellement les intervalles entre les doses, si nécessaire.
  • +Il n'est généralement pas nécessaire d'adapter la dose chez des patients âgés sans insuffisance hépatique ou rénale cliniquement manifeste. L'élimination peut être ralentie chez les patients de plus de 75 ans, même s'ils n'ont pas d'insuffisance hépatique ou rénale cliniquement manifeste. En conséquence, on doit augmenter individuellement les intervalles entre les doses, si nécessaire.
  • -Tramal retard ne devrait pas être utilisé plus longtemps quil nest absolument nécessaire du point de vue thérapeutique. Si, vu le genre et la gravité de la maladie, un traitement analgésique prolongé avec Tramal retard savère nécessaire, il faut contrôler minutieusement et régulièrement (au besoin en interrompant le traitement pendant une courte période) si et dans quelle mesure le traitement est encore nécessaire.
  • +Tramal retard ne devrait pas être utilisé plus longtemps qu'il n'est absolument nécessaire du point de vue thérapeutique. Si, vu le genre et la gravité de la maladie, un traitement analgésique prolongé avec Tramal retard s'avère nécessaire, il faut contrôler minutieusement et régulièrement (au besoin en interrompant le traitement pendant une courte période) si et dans quelle mesure le traitement est encore nécessaire.
  • -·Lors dune hypersensibilité au tramadol ou à lun des excipients,
  • -·Lors dintoxications aiguës par lalcool, les hypnotiques, les analgésiques, les opioïdes ou les psychotropes,
  • +·Lors d'une hypersensibilité au tramadol ou à l'un des excipients,
  • +·Lors d'intoxications aiguës par l'alcool, les hypnotiques, les analgésiques, les opioïdes ou les psychotropes,
  • -·chez les patients souffrant dépilepsie insuffisamment contrôlée par thérapie,
  • -·comme substitut de la drogue. Bien quagoniste des opioïdes, le tramadol ne peut pas corriger les symptômes de sevrage de la morphine.
  • +·chez les patients souffrant d'épilepsie insuffisamment contrôlée par thérapie,
  • +·comme substitut de la drogue. Bien qu'agoniste des opioïdes, le tramadol ne peut pas corriger les symptômes de sevrage de la morphine.
  • -Tramal retard devra être utilisé quavec une prudence particulière chez les patients dépendant des opioïdes et chez les patients présentant un traumatisme crânien, un état de choc, des troubles de la conscience sans cause évidente, des troubles du centre respiratoire ou de la fonction respiratoire ou au cours détats accompagnés dune élévation de la pression intracrânienne.
  • -Des convulsions ont été rapportées chez des patients recevant du tramadol aux doses recommandées. Le risque de convulsions est accru si les doses de tramadol dépassent la limite supérieure de la dose quotidienne recommandée (400 mg). Ce risque existe aussi chez les patients traités par des médicaments abaissant le seuil convulsif ou causant des effets adrénergiques dans le SNC comme les antidépresseurs tricycliques, les neuroleptiques, inhibiteurs de la MAO, des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (ISRS), des inhibiteurs de la recapture de la sérotoninenoradrénaline (ISRN). Les patients épileptiques ou les patients susceptibles de présenter des convulsions ne devront être traités par tramadol quen cas de nécessité absolue (voir rubrique «Effets indésirables, Troubles du système nerveux»).
  • -Le tramadol présente un faible potentiel de dépendance. Une tolérance et une dépendance psychique et physique peuvent se développer lors dune utilisation au long cours.
  • -Chez les patients qui présentent une tendance à la toxicomanie ou à la dépendance, le traitement par tramadol doit être limité à une durée brève, sous surveillance médicale stricte (voir aussi rubrique «Effets indésirables»). Ce médicament doit être administré avec une précaution particulière aux patients présentant une hypersensibilité aux opioïdes. Tramal retard nest pas approprié au traitement chez les patients présentant une dépendance aux opioïdes. Bien quagoniste des opioïdes, le tramadol ne peut pas corriger les symptômes de sevrage de la morphine (voir rubrique «Contre-indications»).
  • +Tramal retard devra être utilisé qu'avec une prudence particulière chez les patients dépendant des opioïdes et chez les patients présentant un traumatisme crânien, un état de choc, des troubles de la conscience sans cause évidente, des troubles du centre respiratoire ou de la fonction respiratoire ou au cours d'états accompagnés d'une élévation de la pression intracrânienne.
  • +Des convulsions ont été rapportées chez des patients recevant du tramadol aux doses recommandées. Le risque de convulsions est accru si les doses de tramadol dépassent la limite supérieure de la dose quotidienne recommandée (400 mg). Ce risque existe aussi chez les patients traités par des médicaments abaissant le seuil convulsif ou causant des effets adrénergiques dans le SNC comme les antidépresseurs tricycliques, les neuroleptiques, inhibiteurs de la MAO, des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (ISRS), des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (ISRN). Les patients épileptiques ou les patients susceptibles de présenter des convulsions ne devront être traités par tramadol qu'en cas de nécessité absolue (voir rubrique «Effets indésirables, Troubles du système nerveux»).
  • +Les opioïdes peuvent provoquer des troubles respiratoires liés au sommeil, notamment l’apnée centrale du sommeil (ACS) et l’hypoxémie liée au sommeil. Le risque d’ACS augmente en fonction de la dose d’opioïdes utilisée. Chez les patients présentant une ACS, une diminution de la dose totale d’opioïdes doit être envisagée.
  • +Le tramadol présente un faible potentiel de dépendance. Une tolérance et une dépendance psychique et physique peuvent se développer lors d'une utilisation au long cours.
  • +Chez les patients qui présentent une tendance à la toxicomanie ou à la dépendance, le traitement par tramadol doit être limité à une durée brève, sous surveillance médicale stricte (voir aussi rubrique «Effets indésirables»). Ce médicament doit être administré avec une précaution particulière aux patients présentant une hypersensibilité aux opioïdes. Tramal retard n'est pas approprié au traitement chez les patients présentant une dépendance aux opioïdes. Bien qu'agoniste des opioïdes, le tramadol ne peut pas corriger les symptômes de sevrage de la morphine (voir rubrique «Contre-indications»).
  • -Des signes de sevrage peuvent survenir lors de larrêt soudain dun traitement de Tramal (voir rubrique «Effets indésirables»). Lexpérience clinique à ce sujet montre que les symptômes de sevrage peuvent être atténués par une réduction progressive de la dose administrée.
  • +Des signes de sevrage peuvent survenir lors de l'arrêt soudain d'un traitement de Tramal (voir rubrique «Effets indésirables»). L'expérience clinique à ce sujet montre que les symptômes de sevrage peuvent être atténués par une réduction progressive de la dose administrée.
  • -Ne pas associer Tramal aux inhibiteurs de la MAO sélectifs ou non sélectifs (sélégiline incluse) (voir aussi rubrique « Contre-indications »). En cas de traitement préalable par un inhibiteur de la monoamine oxydase (MAO) au cours des 14 jours précédant ladministration de péthidine, un opioïde, des interactions potentiellement mortelles ont été observées avec atteinte du système nerveux central, des fonctions respiratoires et circulatoires. Le même type dinteraction médicamenteuse nest pas exclu lors de lassociation dun inhibiteur de la MAO et de Tramal.
  • -Ladministration concomitante de Tramal retard avec dautres dépresseurs centraux, y compris lalcool, peut potentialiser les effets sur le système nerveux central.
  • -Lors de combinaison du Tramal avec des barbituriques p.ex., on a observé dans lexpérimentation animale une prolongation de la durée de lanesthésie. Mais, en même temps, on peut sattendre à un effet favorable sur la sensibilité à la douleur en combinant Tramal retard avec un tranquillisant par exemple.
  • -Les études pharmacocinétiques, réalisées à ce jour, ont montré que ladministration concomitante ou antérieure de cimétidine (inhibiteur denzymes)est peu susceptible de provoquer des interactions cliniquement significatives.
  • -Ladministration simultanée ou antérieure de carbamazépine (inducteur denzymes) peut réduire les effets analgésiques et raccourcir la durée daction.
  • -Le tramadol peut provoquer des convulsions et accroître le potentiel épileptogène des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (ISRN), des antidépresseurs tricycliques, des antipsychotiques et dautres produits abaissant le seuil épileptogène (comme le bupropion, mirtazapine et tétrahydrocannabinol).
  • -Lutilisation concomitante du tramadol avec des médicaments sérotoninergiques tels que ISRS, ISRN, IMAO (voir rubrique « Contre-indications »), les antidépresseurs tricycliques et la mirtazapine peut entrainer une toxicité sérotoninergique. Des symptômes dun syndrome sérotoninergique peuvent être:
  • +Ne pas associer Tramal aux inhibiteurs de la MAO sélectifs ou non sélectifs (sélégiline incluse) (voir aussi rubrique «Contre-indications»). En cas de traitement préalable par un inhibiteur de la monoamine oxydase (MAO) au cours des 14 jours précédant l'administration de péthidine, un opioïde, des interactions potentiellement mortelles ont été observées avec atteinte du système nerveux central, des fonctions respiratoires et circulatoires. Le même type d'interaction médicamenteuse n'est pas exclu lors de l'association d'un inhibiteur de la MAO et de Tramal.
  • +L'administration concomitante de Tramal retard avec d'autres dépresseurs centraux, y compris l'alcool, peut potentialiser les effets sur le système nerveux central.
  • +Lors de combinaison du Tramal avec des barbituriques p.ex., on a observé dans l'expérimentation animale une prolongation de la durée de l'anesthésie. Mais, en même temps, on peut s'attendre à un effet favorable sur la sensibilité à la douleur en combinant Tramal retard avec un tranquillisant par exemple.
  • +Les études pharmacocinétiques, réalisées à ce jour, ont montré que l'administration concomitante ou antérieure de cimétidine (inhibiteur d'enzymes)est peu susceptible de provoquer des interactions cliniquement significatives.
  • +L'administration simultanée ou antérieure de carbamazépine (inducteur d'enzymes) peut réduire les effets analgésiques et raccourcir la durée d'action.
  • +Le tramadol peut provoquer des convulsions et accroître le potentiel épileptogène des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (ISRN), des antidépresseurs tricycliques, des antipsychotiques et d'autres produits abaissant le seuil épileptogène (comme le bupropion, mirtazapine et tétrahydrocannabinol).
  • +L'utilisation concomitante du tramadol avec des médicaments sérotoninergiques tels que ISRS, ISRN, IMAO (voir rubrique «Contre-indications»), les antidépresseurs tricycliques et la mirtazapine peut entrainer une toxicité sérotoninergique. Des symptômes d'un syndrome sérotoninergique peuvent être:
  • -·Clonus inductible ou oculaire accompagné dagitation ou de diaphorèse
  • +·Clonus inductible ou oculaire accompagné d'agitation ou de diaphorèse
  • -·Hypertonie et température corporelle > 38°C et clonus inductible ou oculaire.
  • -Larrêt des substances sérotoninergiques permet habituellement dobtenir une amélioration rapide. Le traitement dépend du type et de la sévérité des symptômes.
  • -Les patients doivent être soigneusement surveillés en cas dutilisation simultanée de tramadol et de dérivés de la coumarine (par exemple, la warfarine), une augmentation l’INR (International Normalised Ratio) ayant été observée chez quelques patients, associée à des hémorragies et des ecchymoses importantes.
  • -Dautres inhibiteurs CYP3A4 tels que le kétoconazole et lérythromycine, pourraient inhiber le métabolisme du tramadol (N-déméthylation) et probablement également le métabolisme du métabolite O-déméthylé actif. Limportance clinique dune telle interaction na pas fait lobjet détudes (voir aussi rubrique «Effets indésirables»).
  • -Des études dinteractions effectuées in vitro sur des microsomes hépatiques humains montrent que la prise simultanée dun inhibiteur du CYP2D6 comme la fluoxétine, la paroxétine et lamitriptyline peut entraîner une certaine inhibition du métabolisme du tramadol.
  • -Dans un nombre limité détudes, le besoin en tramadol des patients présentant des douleurs postopératoires était augmenté après ladministration pré- ou postopératoire de lantiémétique ondansétron (antagoniste des récepteurs 5-HT3).
  • +·Hypertonie et température corporelle >38 °C et clonus inductible ou oculaire.
  • +L'arrêt des substances sérotoninergiques permet habituellement d'obtenir une amélioration rapide. Le traitement dépend du type et de la sévérité des symptômes.
  • +Les patients doivent être soigneusement surveillés en cas d'utilisation simultanée de tramadol et de dérivés de la coumarine (par exemple, la warfarine), une augmentation de l'INR (International Normalised Ratio) ayant été observée chez quelques patients, associée à des hémorragies et des ecchymoses importantes.
  • +D'autres inhibiteurs CYP3A4 tels que le kétoconazole et l'érythromycine, pourraient inhiber le métabolisme du tramadol (N-déméthylation) et probablement également le métabolisme du métabolite O-déméthylé actif. L'importance clinique d'une telle interaction n'a pas fait l'objet d'études (voir aussi rubrique «Effets indésirables»).
  • +Des études d'interactions effectuées in vitro sur des microsomes hépatiques humains montrent que la prise simultanée d'un inhibiteur du CYP2D6 comme la fluoxétine, la paroxétine et l'amitriptyline peut entraîner une certaine inhibition du métabolisme du tramadol.
  • +Dans un nombre limité d'études, le besoin en tramadol des patients présentant des douleurs postopératoires était augmenté après l'administration pré- ou postopératoire de l'antiémétique ondansétron (antagoniste des récepteurs 5-HT3).
  • -Le tramadol traverse la barrière placentaire. Il n'existe pas de données suffisamment pertinentes pour évaluer la sécurité demploi chez la femme enceinte.
  • -Les études sur animaux ont mis en évidence, à des doses très élevées materno-toxiques, des effets toxicologiques dans la reproduction, mais pas des effets tératogènes (voir rubrique «Données précliniques»). Administré avant ou pendant laccouchement, le tramadol ne modifie pas la contractilité utérine. Il peut provoquer des modifications de la fréquence respiratoire chez les nouveau-nés, qui sont généralement sans conséquences cliniques préjudiciables.
  • +Le tramadol traverse la barrière placentaire. Il n'existe pas de données suffisamment pertinentes pour évaluer la sécurité d'emploi chez la femme enceinte.
  • +Les études sur animaux ont mis en évidence, à des doses très élevées materno-toxiques, des effets toxicologiques dans la reproduction, mais pas des effets tératogènes (voir rubrique «Données précliniques»). Administré avant ou pendant l'accouchement, le tramadol ne modifie pas la contractilité utérine. Il peut provoquer des modifications de la fréquence respiratoire chez les nouveau-nés, qui sont généralement sans conséquences cliniques préjudiciables.
  • -Dans la surveillance post-marketing quelques cas d'anomalies des spermatozoïdes et dhypogonadismes ont été signalés. Cependant, aucune relation de causalité na pu être établie. Les études animales n'ont montré aucun effet du tramadol sur la fertilité.
  • +Dans la surveillance post-marketing quelques cas d'anomalies des spermatozoïdes et d'hypogonadismes ont été signalés. Cependant, aucune relation de causalité n'a pu être établie. Les études animales n'ont montré aucun effet du tramadol sur la fertilité.
  • -Même pris en respectant les recommandations, Tramal retard peut diminuer les réactions (par ex. par somnolence et vertiges) des conducteurs de véhicules et des utilisateurs de machines. Cette considération sapplique en particulier en cas dassociation avec dalcool ou dautres psychotropes.
  • +Même pris en respectant les recommandations, Tramal retard peut diminuer les réactions (par ex. par somnolence et vertiges) des conducteurs de véhicules et des utilisateurs de machines. Cette considération s'applique en particulier en cas d'association avec d'alcool ou d'autres psychotropes.
  • -Fréquents (1–10%): céphalées, confusion.
  • +Fréquents (1–10%): céphalées, somnolence.
  • -Des convulsions sont survenues principalement après ladministration de doses élevées de tramadol ou après un traitement concomitant par des médicaments qui peuvent abaisser le seuil convulsivant (voir rubrique «Mises en garde et précautions» et rubrique «Interactions»).
  • +Des convulsions sont survenues principalement après l'administration de doses élevées de tramadol ou après un traitement concomitant par des médicaments qui peuvent abaisser le seuil convulsivant (voir rubrique «Mises en garde et précautions» et rubrique «Interactions»).
  • -Après ladministration de Tramal, on peut également observer différents effets secondaires psychiques dont lintensité et la nature varient dun patient à lautre (en fonction de la réactivité individuelle et de la durée du traitement). On peut aussi observer des troubles de lhumeur (habituellement une exaltation, occasionnellement une dysphorie), des modifications de lactivité (habituellement une diminution de lactivité, occasionnellement un accroissement) et des modifications des capacités cognitive et sensorielle (p.ex. la capacité décisionnelle, des troubles de la perception).
  • +Après l'administration de Tramal, on peut également observer différents effets secondaires psychiques dont l'intensité et la nature varient d'un patient à l'autre (en fonction de la réactivité individuelle et de la durée du traitement). On peut aussi observer des troubles de l'humeur (habituellement une exaltation, occasionnellement une dysphorie), des modifications de l'activité (habituellement une diminution de l'activité, occasionnellement un accroissement) et des modifications des capacités cognitive et sensorielle (p.ex. la capacité décisionnelle, des troubles de la perception).
  • -Les symptômes dune réaction de sevrage identiques à ceux observés avec les opioïdes peuvent survenir. Ces symptômes sont: agitation, angoisse, nervosité, troubles du sommeil, hyperkinésie/hyperactivité, tremblements et symptômes gastro-intestinaux.
  • -Les symptômes observés qui peuvent survenir à larrêt du traitement par le tramadol dans de très rares cas (<0,01%) sont les suivants: crise dattaques de panique, forte anxiété/angoisse, hallucinations, paresthésies, acouphènes et symptômes du système nerveux central inhabituels (par exemple confusion, délire, troubles de la personnalité, déréalisation, paranoïa).
  • +Les symptômes d'une réaction de sevrage identiques à ceux observés avec les opioïdes peuvent survenir. Ces symptômes sont: agitation, angoisse, nervosité, troubles du sommeil, hyperkinésie, tremblements et symptômes gastro-intestinaux.
  • +Les symptômes observés qui peuvent survenir à l'arrêt du traitement par le tramadol dans de très rares cas (<0,01%) sont les suivants: crise d'attaques de panique, forte anxiété/angoisse, hallucinations, paresthésies, acouphènes et symptômes du système nerveux central inhabituels (par exemple confusion, délire, troubles de la personnalité, déréalisation, paranoïa).
  • -Rares (0,01–0,1%): myosis, mydriase, flou visuel.
  • +Rares (0,01–0,1%): myosis, mydriase, vision floue.
  • -Occasionnels (0,1–1%): anomalie de la régulation cardio-vasculaire (hypotension orthostatique ou collapsus cardio-vasculaire). Ces effets indésirables peuvent en particulier survenir lors dune administration intraveineuse et chez des patients atteints de comorbidités.
  • +Occasionnels (0,1–1%): anomalie de la régulation cardio-vasculaire (hypotension orthostatique ou collapsus cardio-vasculaire). Ces effets indésirables peuvent en particulier survenir lors d'une administration intraveineuse et chez les patients soumis à un stress physique.
  • -Rares (0,01–0,1%): modifications de lappétit.
  • +Rares (0,01–0,1%): modifications de l'appétit.
  • -Une dépression respiratoire peut survenir lors dun dépassement considérable de la dose recommandée et utilisation simultanée dautres substances à effet dépresseur central (voir rubrique «Interactions»).
  • -Laggravation dun asthme a été également signalée, bien quune relation de causalité nait pas été établie.
  • +Une dépression respiratoire peut survenir lors d'un dépassement considérable de la dose recommandée et utilisation simultanée d'autres substances à effet dépresseur central (voir rubrique «Interactions»).
  • +L'aggravation d'un asthme a été également signalée, bien qu'une relation de causalité n'ait pas été établie.
  • -Occasionnels (0,1–1%): nausée, malaise (p.ex. sensation de pesanteur gastrique, flatulences) diarrhée.
  • -Affections hépatobiliaires
  • -Très rares (<0,01%): une augmentation des enzymes hépatiques a été rapportée lors de l’utilisation thérapeutique du tramadol.
  • +Occasionnels (0,1–1%): envie de vomir, malaise (p.ex. sensation de pesanteur gastrique, flatulences) diarrhée.
  • +Affections hépatobiliairesTrès rares (<0,01%): des enzymes hépatiques élevées en association avec l'utilisation thérapeutique du tramadol.
  • -Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • -Affections du rein et des vois urinaires
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Rares (0,01–0,1%): réactions allergiques (par exemple dyspnée, bronchospasme, sibilants/ronchus, oedème angioneurotique) et choc anaphylactique.
  • -Troubles généraux et anomalies au site d’administration
  • +Rares (0,01–0,1%): réactions allergiques (par exemple dyspnée, bronchospasme, respiration sifflante, oedème angioneurotique) et choc anaphylactique.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -En principe, lors dune intoxication par le Tramal retard, des symptômes analogues à ceux provoqués par dautres substances opioïdes sont attendus. Il sagit en particulier dun myosis, de vomissements, dun collapsus cardiovasculaire, de troubles de la conscience allant jusquau coma, de convulsions et dune dépression respiratoire allant jusquà larrêt respiratoire.
  • +En principe, lors d'une intoxication par le Tramal retard, des symptômes analogues à ceux provoqués par d'autres substances opioïdes sont attendus. Il s'agit en particulier d'un myosis, de vomissements, d'un collapsus cardiovasculaire, de troubles de la conscience allant jusqu'au coma, de convulsions et d'une dépression respiratoire allant jusqu'à l'arrêt respiratoire.
  • -Prendre les mesures durgences générales habituelles. Assurer la liberté des voies respiratoires (aspiration), maintenir la ventilation et la circulation en fonction des symptômes. Lantidote en cas de dépression respiratoire est la naloxone. En expérimentation animale, la naloxone na exercé aucun effet sur les convulsions. Dans de tels cas, du diazépam devra être administré par voie intraveineuse. Linteraction opioïdes/benzodiazépine doit être considérée (risque dune dépression respiratoire).
  • -Lors dune intoxication par les formes orales, lélimination gastro-intestinale par administration de charbon actif ou par lavage gastrique est uniquement recommandée dans les 2 heures après la prise de tramadol. Passé ce délai, de telles mesures ne sont utiles quen cas dintoxication par des quantités exceptionnellement importantes de tramadol ou par une forme à libération prolongée.
  • -Le tramadol nest que très faiblement éliminé du sérum par hémodialyse ou par hémofiltration. Le traitement dune intoxication aiguë au Tramal retard par hémodialyse ou hémofiltration seul nest donc pas efficace.
  • +Prendre les mesures d'urgences générales habituelles. Assurer la liberté des voies respiratoires (aspiration), maintenir la ventilation et la circulation en fonction des symptômes. L'antidote en cas de dépression respiratoire est la naloxone. En expérimentation animale, la naloxone n'a exercé aucun effet sur les convulsions. Dans de tels cas, du diazépam devra être administré par voie intraveineuse. L'interaction opioïdes/benzodiazépine doit être considérée (risque d'une dépression respiratoire).
  • +Lors d'une intoxication par les formes orales, l'élimination gastro-intestinale par administration de charbon actif ou par lavage gastrique est uniquement recommandée dans les 2 heures après la prise de tramadol. Passé ce délai, de telles mesures ne sont utiles qu'en cas d'intoxication par des quantités exceptionnellement importantes de tramadol ou par une forme à libération prolongée.
  • +Le tramadol n'est que très faiblement éliminé du sérum par hémodialyse ou par hémofiltration. Le traitement d'une intoxication aiguë au Tramal retard par hémodialyse ou hémofiltration seul n'est donc pas efficace.
  • -Le tramadol est un analgésique opioïde à action centrale. Il s’agit d’un agoniste pur et non sélectif des récepteurs opïoid µ, δ et κ avec une affinité plus élevée pour les récepteurs µ. Dautres mécanismes qui contribuent aux effets analgésiques du produit sont linhibition de la recapture neuronale de noradrénaline et laugmentation de la libération de sérotonine.
  • -Le tramadol a un effet antitussif. A linverse de la morphine, une large gamme de doses analgésiques de tramadol ne présente pas deffet dépresseur respiratoire. De même, la motricité gastro-intestinale est peu modifiée. Les effets sur le système cardiovasculaire sont plutôt faibles. La puissance du tramadol serait de 1⁄10 à 1⁄6 de celle de la morphine.
  • +Mécanisme d’action
  • +Le tramadol est un analgésique opioïde à action centrale.
  • +Pharmacodynamique
  • +Le tramadol est un agoniste pur et non sélectif des récepteurs opïoides µ, δ et κ avec une affinité plus élevée pour les récepteurs µ. D'autres mécanismes qui contribuent aux effets analgésiques du produit sont l'inhibition de la recapture neuronale de noradrénaline et l'augmentation de la libération de sérotonine.
  • +Le tramadol a un effet antitussif. A l'inverse de la morphine, une large gamme de doses analgésiques de tramadol ne présente pas d'effet dépresseur respiratoire. De même, la motricité gastro-intestinale est peu modifiée. Les effets sur le système cardiovasculaire sont plutôt faibles. La puissance du tramadol serait de 1⁄10 à 1⁄6 de celle de la morphine.
  • +Efficacité clinique
  • +Voir pharmacodynamique.
  • +
  • -Les effets dune administration entérale ou parentérale du tramadol ont été étudiés dans des essais cliniques ayant inclus plus de 2000 patients âgés de 0 (nouveau-né) à 17 ans. Les indications étudiées dans ces essais comprenaient le traitement des douleurs post-opératoires (principalement abdominales), des douleurs suite à extractions dentaires chirurgicales, des fractures, des brûlures ou des traumatismes ainsi que d'autres conditions douloureuses pouvant nécessiter un traitement antalgique pendant au moins 7 jours.
  • -A des doses allant jusqu'à 2mg/kg en dose unique ou 8mg/kg par jour en doses multiples (sans dépasser 400 mg par jour), l'efficacité du tramadol a été jugée supérieure au placebo, et supérieure ou égale au paracétamol, à la nalbuphine, à la péthidine ou à la morphine à faible dose. Les essais conduits ont confirmé l'efficacité du tramadol. Le profil de sécurité du tramadol était similaire chez les patients adultes et les patients pédiatriques âgés de plus de 1 an (voir rubrique « Posologie et mode d'administration »).
  • +Les effets d'une administration entérale ou parentérale du tramadol ont été étudiés dans des essais cliniques ayant inclus plus de 2000 patients âgés de 0 (nouveau-né) à 17 ans. Les indications étudiées dans ces essais comprenaient le traitement des douleurs post-opératoires (principalement abdominales), des douleurs suite à extractions dentaires chirurgicales, des fractures, des brûlures ou des traumatismes ainsi que d'autres conditions douloureuses pouvant nécessiter un traitement antalgique pendant au moins 7 jours.
  • +A des doses allant jusqu'à 2mg/kg en dose unique ou 8mg/kg par jour en doses multiples (sans dépasser 400 mg par jour), l'efficacité du tramadol a été jugée supérieure au placebo, et supérieure ou égale au paracétamol, à la nalbuphine, à la péthidine ou à la morphine à faible dose. Les essais conduits ont confirmé l'efficacité du tramadol. Le profil de sécurité du tramadol était similaire chez les patients adultes et les patients pédiatriques âgés de plus de 1 an (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Plus de 90% du tramadol est absorbé après administration orale. La biodisponibilité absolue moyenne est approximativement 68% pendant des études avec des doses simples et indépendamment de la prise concomitante daliments. Leffet de premier passage après administration orale est au maximum de 30%.
  • -Pendante des études multidoses on a trouvé après administration orale répété de Tramal retard que la biodisponibilité augmente jusquà 70–90%, tandis que les autres paramètres restent inchangés. Cest probablement à expliquer avec une réduction de leffet de premier passage.
  • -Après administration de Tramal retard 100, des concentrations plasmatiques maximales cmax de 141 ±40 ng/ml sont atteintes au bout de 4,9 heures. Une cmax de 260 ± 62 ng/ml est atteinte 4,8 heures après ladministration de Tramal 200.
  • +Plus de 90% du tramadol est absorbé après administration orale. La biodisponibilité absolue moyenne est approximativement 68% pendant des études avec des doses simples et indépendamment de la prise concomitante d'aliments. L'effet de premier passage après administration orale est au maximum de 30%.
  • +Pendante des études multidoses on a trouvé après administration orale répété de Tramal retard que la biodisponibilité augmente jusqu'à 70–90%, tandis que les autres paramètres restent inchangés. C'est probablement à expliquer avec une réduction de l'effet de premier passage.
  • +Après administration de Tramal retard 100, des concentrations plasmatiques maximales cmax de 141 ±40 ng/ml sont atteintes au bout de 4,9 heures. Une cmax de 260 ± 62 ng/ml est atteinte 4,8 heures après l'administration de Tramal 200.
  • -Le tramadol a une haute affinité tissulaire. Le volume de distribution est de 203±40 l. Le taux de liaison aux protéines plasmatiques est denviron 20%.
  • -Le tramadol traverse la barrière hémato-encéphalique et le placenta. De très faibles quantités du principe actif et de son dérivé Odesméthylé sont retrouvées dans le lait maternel (respectivement 0,1% et 0,02% de la dose administrée).
  • -Métabolisme/Elimination
  • -La demi-vie délimination t½β est denviron 6 heures, indépendamment des modalités dadministration.
  • -Chez lhomme, le tramadol est métabolisé principalement par une N- et une O-déméthylation et une conjugaison des produits de lO-déméthylation avec lacide glucuronique. Seul l’Odesméthyltramadol est actif sur le plan pharmacologique, mais se retrouve dans le sang à des concentrations plus faibles que le tramadol même.
  • -Les expérimentations animales ont montré que l’Odesméthyltramadol est plus puissant que la molécule-mère dun facteur de 2 à 4. Sa demi-vie délimination t½β est de 7,9 heures et approximativement identique à celle du tramadol.
  • -Linhibition de lun ou des deux cytochromes CYP3A4 et CYP2D6 participant à la biotransformation du tramadol peut modifier la concentration plasmatique du tramadol ou de lun de ses métabolites actifs. A ce jour, aucune interaction cliniquement significative na été relevée.
  • +Le tramadol a une haute affinité tissulaire. Le volume de distribution est de 203±40 l. Le taux de liaison aux protéines plasmatiques est d'environ 20%.
  • +Le tramadol traverse la barrière hémato-encéphalique et le placenta. De très faibles quantités du principe actif et de son dérivé O-desméthylé sont retrouvées dans le lait maternel (respectivement 0,1% et 0,02% de la dose administrée).
  • +Métabolisme
  • +La demi-vie d'élimination t½β est d'environ 6 heures, indépendamment des modalités d'administration.
  • +Chez l'homme, le tramadol est métabolisé principalement par une N- et une O-déméthylation et une conjugaison des produits de l'O-déméthylation avec l'acide glucuronique. Seul l'O-desméthyltramadol est actif sur le plan pharmacologique, mais se retrouve dans le sang à des concentrations plus faibles que le tramadol même.
  • +Les expérimentations animales ont montré que l'O-desméthyltramadol est plus puissant que la molécule-mère d'un facteur de 2 à 4. Sa demi-vie d'élimination t½β est de 7,9 heures et approximativement identique à celle du tramadol.
  • +L'inhibition de l'un ou des deux cytochromes CYP3A4 et CYP2D6 participant à la biotransformation du tramadol peut modifier la concentration plasmatique du tramadol ou de l'un de ses métabolites actifs. A ce jour, aucune interaction cliniquement significative n'a été relevée.
  • +Elimination
  • +
  • -La dépendance de lâge est peu importante pour la pharmacocinétique de Tramadol et pour la thérapie insignifiante.
  • -Chez des patients âgés de moins de 75 ans sans insuffisance hépatique ou rénale traités pour des douleurs chroniques, une adaptation de la posologie nest normalement pas nécessaire.
  • -Chez les patients âgés de plus de 75 ans, le temps délimination peut être prolongé. En conséquence, lintervalle entre les prises devrait être allongé individuellement si nécessaire.
  • -En cas dinsuffisance hépatique ou rénale, il faut sattendre à une prolongation de la demi-vie, prolongation négligeable tant que lun des deux organes fonctionne normalement.
  • +La dépendance de l'âge est peu importante pour la pharmacocinétique de Tramadol et pour la thérapie insignifiante.
  • +Chez des patients âgés de moins de 75 ans sans insuffisance hépatique ou rénale traités pour des douleurs chroniques, une adaptation de la posologie n'est normalement pas nécessaire.
  • +Chez les patients âgés de plus de 75 ans, le temps d'élimination peut être prolongé. En conséquence, l'intervalle entre les prises devrait être allongé individuellement si nécessaire.
  • +En cas d'insuffisance hépatique ou rénale, il faut s'attendre à une prolongation de la demi-vie, prolongation négligeable tant que l'un des deux organes fonctionne normalement.
  • -Chez les insuffisants rénaux (clearance de la créatinine <5 ml/min), la demi-vie délimination était denviron 11 heures, dans un cas extrême denviron 20 heures.
  • +Chez les insuffisants rénaux (clearance de la créatinine <5 ml/min), la demi-vie d'élimination était d'environ 11 heures, dans un cas extrême d'environ 20 heures.
  • -La pharmacocinétique du tramadol et de l’Odesméthyltramadol après administration orale dune dose unique et de doses multiples à des patients âgés de 1 à 16 ans sont généralement similaires à ceux observés chez ladulte lorsque la dose était ajustée au poids corporel, mais avec une variabilité interindividuelle plus élevée chez les patients âgés de 8 ans et moins.
  • -Chez les enfants de moins de 1 an, la pharmacocinétique du tramadol et de l’Odesméthyltramadol n'a pas été entièrement caractérisée. Les données pour ce groupe d'âge issues des études cliniques indiquent que le taux de formation de l’Odesméthyltramadol par le cytochrome CYP2D6 augmente de manière continue chez le nouveau-né, et les niveaux d'activité du CYP2D6 de ladulte seraient atteints à environ 1 an. En outre, les systèmes immatures de glucuronidation ainsi que la fonction rénale immature peuvent entraîner élimination lente et l'accumulation de l’Odesméthyltramadol chez les enfants de moins de 1 an, et par conséquent, le tramadol ne doit pas être administrée dans ce groupe dâge.
  • +La pharmacocinétique du tramadol et de l'O-desméthyltramadol après administration orale d'une dose unique et de doses multiples à des patients âgés de 1 à 16 ans sont généralement similaires à ceux observés chez l'adulte lorsque la dose était ajustée au poids corporel, mais avec une variabilité interindividuelle plus élevée chez les patients âgés de 8 ans et moins.
  • +Chez les enfants de moins de 1 an, la pharmacocinétique du tramadol et de l'O-desméthyltramadol n'a pas été entièrement caractérisée. Les données pour ce groupe d'âge issues des études cliniques indiquent que le taux de formation de l'O-desméthyltramadol par le cytochrome CYP2D6 augmente de manière continue chez le nouveau-né, et les niveaux d'activité du CYP2D6 de l'adulte seraient atteints à environ 1 an. En outre, les systèmes immatures de glucuronidation ainsi que la fonction rénale immature peuvent entraîner élimination lente et l'accumulation de l'O-desméthyltramadol chez les enfants de moins de 1 an, et par conséquent, le tramadol ne doit pas être administrée dans ce groupe d'âge.
  • -Les résultats des études ne montrent aucun indice en faveur dun risque potentiellement génotoxique du tramadol. Une étude chez le rat na montré aucun indice en faveur dune incidence accrue de la survenue de tumeurs liée au principe actif. Dans l'étude chez la souris, une incidence accrue dadénome hépatocellulaires chez les mâles a été observée (à partir de 15 mg/kg de façon dose dépendante, mais laugmentation nétait pas significative) et une augmentation des tumeurs du poumon chez les animaux femelles de tous les autres groupes de dose (augmentation significative mais pas dose-dépendante). Les études chez la souris, le rat et le lapin ont montré à très haute doses materno-toxiques de chlorhydrate de tramadol (correspondant à 3-15 fois la dose humaine maximum correspondante) des effets sur le développement des organes, l'ossification ainsi que la mortalité embryonnaire et fœtal. Fertilité et développement des jeunes nont pas été affectés. On na pas observé daltération de la fertilité mâle ou femelle des animaux adultes.
  • +Les résultats des études ne montrent aucun indice en faveur d'un risque potentiellement génotoxique du tramadol. Une étude chez le rat n'a montré aucun indice en faveur d'une incidence accrue de la survenue de tumeurs liée au principe actif. Dans l'étude chez la souris, une incidence accrue d'adénome hépatocellulaires chez les mâles a été observée (à partir de 15 mg/kg de façon dose dépendante, mais l'augmentation n'était pas significative) et une augmentation des tumeurs du poumon chez les animaux femelles de tous les autres groupes de dose (augmentation significative mais pas dose-dépendante). Les études chez la souris, le rat et le lapin ont montré à très haute doses materno-toxiques de chlorhydrate de tramadol (correspondant à 3-15 fois la dose humaine maximum correspondante) des effets sur le développement des organes, l'ossification ainsi que la mortalité embryonnaire et fœtal. Fertilité et développement des jeunes n'ont pas été affectés. On n'a pas observé d'altération de la fertilité mâle ou femelle des animaux adultes.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur lemballage.
  • -Remarques concernant le stockage
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver hors de portée des enfants.
  • +
  • -Septembre 2017.
  • +Février 2020.
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