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Accueil - Information professionnelle sur Tramal retard 100 - Changements - 26.04.2021
82 Changements de l'information professionelle Tramal retard 100
  • -Principe actif: chlorhydrate de tramadol.
  • -Excipients:
  • -Tramal retard 50, 100: Excipiens pro compresso obducto.
  • -Tramal retard 150, 200: Color.: jaune de quinoléine (E 104), excipiens pro compresso obducto.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Comprimés pelliculés à 50 mg, 100 mg, 150 mg ou 200 mg chlorhydrate de tramadol.
  • -
  • +Principes actifs
  • +Chlorhydrate de tramadol.
  • +Excipients
  • +Cellulosum microcristallinum (E460), Hypromellosum 100,000 mPa.s et 6 mPa·s, Silica colloidalis anhydrica, Magnesii stearas. Lactosum monohydricum 2,5 mg, Macrogolum 6000, Propylenglycolum, Talcum, Titanii dioxidum (E171), Ferrum oxydatum (E172) flavum (comprimés retard à 50 mg), Ferrum oxydatum (E172) rubrum (comprimés retard à 150 mg et 200 mg), Ferrum oxydatum (E172) fuscum (comprimés retard à 200 mg), Chinolinum flavum (E104) (comprimés retard à 150 mg et 200 mg).
  • +
  • +
  • -Douleurs aiguës ou prolongées d'intensité moyenne à forte, respectivement en cas d'efficacité insuffisante des analgésiques de type non-opioïde, et pour continuer la thérapie des patients après titration avec tramadol à libération non prolongée.
  • +Douleur persistante modérée à sévère ou efficacité insuffisante des analgésiques non opioïdes et poursuite du traitement des patients après réglage de la dose avec le tramadol à libération non retardée.
  • -La posologie devrait être adaptée à l'intensité des douleurs et à la sensibilité individuelle des patients. La dose analgésique efficace la plus faible doit généralement être choisie. La dose totale de 400 mg chlorhydrate de tramadol ne doit pas être dépassée, sauf circonstances particulières.
  • +La posologie doit être adaptée à l'intensité des douleurs et à la sensibilité individuelle des patients. La dose analgésique efficace la plus faible doit généralement être choisie. La dose quotidienne totale de 400 mg de chlorhydrate de tramadol ne doit pas être dépassée, sauf circonstances particulières.
  • -La dose initiale habituelle est de 50–100 mg deux fois par jour (correspondant à 100–200 mg de chlorhydrate de tramadol), recommandée matin et soir. Si le niveau d'antalgie est insuffisant, la dose peut être portée à 150 mg ou 200 mg, deux fois par jour (correspondant à 300–400 mg de chlorhydrate de tramadol).
  • -Les comprimés ne devront pas être fractionnés ou mâchés et devront être pris entiers avec une quantité suffisante de boisson, indépendamment des repas.
  • +La dose initiale habituelle est de 50–100 mg deux fois par jour (correspondant à 100–200 mg de chlorhydrate de tramadol), il est recommandé de prendre le médicament matin et soir. Si le niveau d'antalgie est insuffisant, la dose peut être portée à 150 mg ou 200 mg, deux fois par jour (correspondant à 300–400 mg de chlorhydrate de tramadol).
  • +Les comprimés retard ne doivent pas être mâchés et ils doivent être pris entiers avec une quantité suffisante de liquide, indépendamment des repas.
  • -Tramal retard n'est pas approprié au traitement des enfants âgés de moins de 12 ans en raison de la dose contenue par comprimé.
  • -Patients souffrant d'une insuffisance rénale et hépatique
  • -L'élimination du tramadol est ralentie chez les patients souffrant d'insuffisance rénale et/ou hépatique, donc la durée d'action de Tramal retard peut être prolongée. Le cas échéant, on augmentera individuellement les intervalles entre les doses en fonction de la réapparition de la douleur. L'administration de Tramal retard n'est pas recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique grave.
  • +Tramal retard n'est pas adaptée au traitement des enfants âgés de moins de 12 ans en raison de la dose contenue dans chaque comprimé.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale et hépatique
  • +L'élimination du tramadol est ralentie chez les patients souffrant d'insuffisance rénale et/ou hépatique, donc la durée d'action de Tramal retard peut être prolongée. Le cas échéant, les intervalles entre les doses seront allongés en fonction de la réapparition de la douleur. L'administration de Tramal retard n'est pas recommandée chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique grave.
  • -Dû à son grand volume de distribution, le tramadol n'est éliminé que très lentement du sérum par hémodialyse ou hémofiltration. C'est pourquoi, en règle générale, une nouvelle administration n'est pas nécessaire pour le maintien de l'analgésie chez les patients dialysés.
  • +En raison de son grand volume de distribution, le tramadol n'est éliminé que très lentement du sérum par hémodialyse ou hémofiltration. C'est pourquoi, en règle générale, une nouvelle administration n'est pas nécessaire pour le maintien de l'analgésie chez les patients dialysés.
  • -Il n'est généralement pas nécessaire d'adapter la dose chez des patients âgés sans insuffisance hépatique ou rénale cliniquement manifeste. L'élimination peut être ralentie chez les patients de plus de 75 ans, même s'ils n'ont pas d'insuffisance hépatique ou rénale cliniquement manifeste. En conséquence, on doit augmenter individuellement les intervalles entre les doses, si nécessaire.
  • +Il n'est généralement pas nécessaire d'adapter la dose chez des patients âgés sans insuffisance hépatique ou rénale cliniquement manifeste. L'élimination peut être ralentie chez les patients de plus de 75 ans, même s'ils n'ont pas d'insuffisance hépatique ou rénale cliniquement manifeste. En conséquence, il convient si nécessaire d'augmenter les intervalles entre les doses en fonction des besoins des patients.
  • -Tramal retard ne devrait pas être utilisé plus longtemps qu'il n'est absolument nécessaire du point de vue thérapeutique. Si, vu le genre et la gravité de la maladie, un traitement analgésique prolongé avec Tramal retard s'avère nécessaire, il faut contrôler minutieusement et régulièrement (au besoin en interrompant le traitement pendant une courte période) si et dans quelle mesure le traitement est encore nécessaire.
  • +Il convient de ne pas utiliser Tramal retard plus longtemps qu'il n'est absolument nécessaire du point de vue thérapeutique. Si, selon le genre et la gravité de la maladie, un traitement analgésique prolongé avec Tramal retard s'avère nécessaire, il convient de contrôler minutieusement et régulièrement (au besoin en interrompant le traitement pendant une courte période) si et dans quelle mesure le traitement répond encore à une nécessité médicale.
  • -·Lors d'une hypersensibilité au tramadol ou à l'un des excipients,
  • -·Lors d'intoxications aiguës par l'alcool, les hypnotiques, les analgésiques, les opioïdes ou les psychotropes,
  • -·chez les patients qui sont traités simultanément ou qui ont été traités dans les 14 jours précédents par les inhibiteurs de la MAO sélectifs ou non sélectifs (sélégiline incluse) (voir rubrique «Interactions»),
  • -·chez les patients souffrant d'épilepsie insuffisamment contrôlée par thérapie,
  • -·comme substitut de la drogue. Bien qu'agoniste des opioïdes, le tramadol ne peut pas corriger les symptômes de sevrage de la morphine.
  • +·En cas d'hypersensibilité au tramadol ou à l'un des excipients,
  • +·En cas d'intoxications aiguës par l'alcool, les hypnotiques, les analgésiques, les opioïdes ou les psychotropes,
  • +·chez les patients qui sont traités simultanément ou qui ont été traités dans les 14 jours précédents par les inhibiteurs de la MAO (monoamine oxydase) sélectifs ou non sélectifs (sélégiline incluse) (voir rubrique «Interactions»),
  • +·chez les patients souffrant d'épilepsie insuffisamment contrôlée par traitement,
  • +·comme substitut de la drogue. Bien qu'agoniste des opioïdes, le tramadol ne peut pas limiter les symptômes de sevrage de la morphine.
  • -Tramal retard devra être utilisé qu'avec une prudence particulière chez les patients dépendant des opioïdes et chez les patients présentant un traumatisme crânien, un état de choc, des troubles de la conscience sans cause évidente, des troubles du centre respiratoire ou de la fonction respiratoire ou au cours d'états accompagnés d'une élévation de la pression intracrânienne.
  • -Des convulsions ont été rapportées chez des patients recevant du tramadol aux doses recommandées. Le risque de convulsions est accru si les doses de tramadol dépassent la limite supérieure de la dose quotidienne recommandée (400 mg). Ce risque existe aussi chez les patients traités par des médicaments abaissant le seuil convulsif ou causant des effets adrénergiques dans le SNC comme les antidépresseurs tricycliques, les neuroleptiques, inhibiteurs de la MAO, des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (ISRS), des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (ISRN). Les patients épileptiques ou les patients susceptibles de présenter des convulsions ne devront être traités par tramadol qu'en cas de nécessité absolue (voir rubrique «Effets indésirables, Troubles du système nerveux»).
  • -Les opioïdes peuvent provoquer des troubles respiratoires liés au sommeil, notamment lapnée centrale du sommeil (ACS) et lhypoxémie liée au sommeil. Le risque dACS augmente en fonction de la dose dopioïdes utilisée. Chez les patients présentant une ACS, une diminution de la dose totale dopioïdes doit être envisagée.
  • -Le tramadol présente un faible potentiel de dépendance. Une tolérance et une dépendance psychique et physique peuvent se développer lors d'une utilisation au long cours.
  • -Chez les patients qui présentent une tendance à la toxicomanie ou à la dépendance, le traitement par tramadol doit être limité à une durée brève, sous surveillance médicale stricte (voir aussi rubrique «Effets indésirables»). Ce médicament doit être administré avec une précaution particulière aux patients présentant une hypersensibilité aux opioïdes. Tramal retard n'est pas approprié au traitement chez les patients présentant une dépendance aux opioïdes. Bien qu'agoniste des opioïdes, le tramadol ne peut pas corriger les symptômes de sevrage de la morphine (voir rubrique «Contre-indications»).
  • -Une rechute a été observée chez les patients sous Tramal ayant auparavant connu une dépendance aux opioïdes.
  • -Des signes de sevrage peuvent survenir lors de l'arrêt soudain d'un traitement de Tramal (voir rubrique «Effets indésirables»). L'expérience clinique à ce sujet montre que les symptômes de sevrage peuvent être atténués par une réduction progressive de la dose administrée.
  • -Tramal retard contient 2,5 mg de lactose par comprimé. La prudence est recommandée chez les patients ayant une rare intolérance héréditaire au galactose, un déficit en Lapp lactase ou une malabsorption du glucose-galactose.
  • +Tramal retard ne devra être utilisé qu'avec une prudence particulière chez les patients dépendant des opioïdes et chez les patients présentant un traumatisme crânien, un état de choc, des troubles de la conscience sans cause évidente, des troubles du centre respiratoire ou de la fonction respiratoire ou au cours d'états accompagnés d'une élévation de la pression intracrânienne.
  • +Des convulsions ont été rapportées chez des patients recevant du tramadol aux doses recommandées. Le risque de convulsions est accru si les doses de tramadol dépassent la limite supérieure de la dose quotidienne recommandée (400 mg). Ce risque existe aussi chez les patients traités par des médicaments abaissant le seuil convulsif ou causant des effets adrénergiques dans le SNC comme les antidépresseurs tricycliques, les neuroleptiques, inhibiteurs de la MAO, les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (ISRS), les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (ISRN). Les patients épileptiques ou les patients susceptibles de présenter des convulsions ne devront être traités par tramadol qu'en cas de nécessité absolue (voir rubrique «Effets indésirables, Troubles du système nerveux»).
  • +Troubles respiratoires liés au sommeil
  • +Les opioïdes peuvent provoquer des troubles respiratoires liés au sommeil, notamment l'apnée centrale du sommeil (ACS) et l'hypoxémie liée au sommeil. Le risque d'ACS augmente en fonction de la dose d'opioïdes utilisée. Chez les patients présentant une ACS, une diminution de la dose totale d'opioïdes doit être envisagée.
  • +Le tramadol présente un faible potentiel de dépendance. Une tolérance et une dépendance psychique et physique peuvent se développer lors d'une utilisation prolongée.
  • +Chez les patients qui présentent une tendance au mésusage ou à la dépendance des médicaments, le traitement par tramadol doit être limité à une durée brève, sous surveillance médicale stricte (voir aussi rubrique «Effets indésirables»).
  • +Ce médicament doit être administré avec une précaution particulière aux patients présentant une hypersensibilité aux opioïdes.
  • +Tramal retard n'est pas approprié au traitement de substitution chez les patients présentant une dépendance aux opioïdes. Bien qu'agoniste des opioïdes, le tramadol ne peut pas limiter les symptômes de sevrage de la morphine (voir rubrique «Contre-indications»).
  • +Des cas de rechute ont été observés chez les patients sous Tramal ayant auparavant connu une dépendance aux opioïdes.
  • +Des signes de sevrage peuvent survenir lors de l'arrêt soudain d'un traitement par Tramal (voir rubrique «Effets indésirables»). L'expérience clinique à ce sujet montre que les symptômes de sevrage peuvent être atténués par une réduction progressive de la dose administrée.
  • +Tramal retard contient 2,5 mg de monohydrate de lactose par comprimé. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
  • -Ne pas associer Tramal aux inhibiteurs de la MAO sélectifs ou non sélectifs (sélégiline incluse) (voir aussi rubrique «Contre-indications»). En cas de traitement préalable par un inhibiteur de la monoamine oxydase (MAO) au cours des 14 jours précédant l'administration de péthidine, un opioïde, des interactions potentiellement mortelles ont été observées avec atteinte du système nerveux central, des fonctions respiratoires et circulatoires. Le même type d'interaction médicamenteuse n'est pas exclu lors de l'association d'un inhibiteur de la MAO et de Tramal.
  • -L'administration concomitante de Tramal retard avec d'autres dépresseurs centraux, y compris l'alcool, peut potentialiser les effets sur le système nerveux central.
  • +Il convient de ne pas associer Tramal aux inhibiteurs de la MAO sélectifs ou non sélectifs (sélégiline incluse) (voir aussi rubrique «Contre-indications»). En cas de traitement préalable par un inhibiteur de la monoamine oxydase (MAO) au cours des 14 jours précédant l'administration de péthidine, un opioïde, des interactions potentiellement mortelles ont été observées avec atteinte du système nerveux central, des fonctions respiratoires et circulatoires. Le même type d'interactions médicamenteuses ne peut pas être exclu lors de l'association d'un inhibiteur de la MAO et de Tramal.
  • +L'administration concomitante de Tramal retard avec d'autres dépresseurs centraux, y compris l'alcool, peut entraîner la potentialisation réciproque des effets sur le système nerveux central.
  • -Les études pharmacocinétiques, réalisées à ce jour, ont montré que l'administration concomitante ou antérieure de cimétidine (inhibiteur d'enzymes)est peu susceptible de provoquer des interactions cliniquement significatives.
  • -L'administration simultanée ou antérieure de carbamazépine (inducteur d'enzymes) peut réduire les effets analgésiques et raccourcir la durée d'action.
  • -Le tramadol peut provoquer des convulsions et accroître le potentiel épileptogène des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (ISRN), des antidépresseurs tricycliques, des antipsychotiques et d'autres produits abaissant le seuil épileptogène (comme le bupropion, mirtazapine et tétrahydrocannabinol).
  • -L'utilisation concomitante du tramadol avec des médicaments sérotoninergiques tels que ISRS, ISRN, IMAO (voir rubrique «Contre-indications»), les antidépresseurs tricycliques et la mirtazapine peut entrainer une toxicité sérotoninergique. Des symptômes d'un syndrome sérotoninergique peuvent être:
  • -·Myoclonies
  • +Les études pharmacocinétiques, réalisées à ce jour, ont montré que l'administration concomitante ou antérieure de cimétidine (inhibiteur enzymatique)est peu susceptible de provoquer des interactions cliniquement significatives.
  • +L'administration simultanée ou antérieure de carbamazépine (inducteur enzymatique) peut réduire les effets analgésiques et raccourcir la durée d'action du médicament.
  • +Le tramadol peut provoquer des convulsions et accroître le potentiel épileptogène des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline (ISRN), des antidépresseurs tricycliques, des antipsychotiques et d'autres produits abaissant le seuil épileptogène (comme le bupropion, la mirtazapine et le tétrahydrocannabinol).
  • +L'utilisation concomitante du tramadol avec des médicaments sérotoninergiques tels que les ISRS, les ISRN, les IMAO (voir rubrique «Contre-indications»), les antidépresseurs tricycliques et la mirtazapine peut entrainer une toxicité sérotoninergique. Les symptômes d'un syndrome sérotoninergique peuvent être:
  • +·Myoclonies spontanées
  • -·Hypertonie et température corporelle >38 °C et clonus inductible ou oculaire.
  • -L'arrêt des substances sérotoninergiques permet habituellement d'obtenir une amélioration rapide. Le traitement dépend du type et de la sévérité des symptômes.
  • -Les patients doivent être soigneusement surveillés en cas d'utilisation simultanée de tramadol et de dérivés de la coumarine (par exemple, la warfarine), une augmentation de l'INR (International Normalised Ratio) ayant été observée chez quelques patients, associée à des hémorragies et des ecchymoses importantes.
  • -D'autres inhibiteurs CYP3A4 tels que le kétoconazole et l'érythromycine, pourraient inhiber le métabolisme du tramadol (N-déméthylation) et probablement également le métabolisme du métabolite O-déméthylé actif. L'importance clinique d'une telle interaction n'a pas fait l'objet d'études (voir aussi rubrique «Effets indésirables»).
  • +·Hypertonie et température corporelle supérieure à 38 °C et clonus inductible ou oculaire.
  • +L'arrêt des substances sérotoninergiques permet habituellement d'obtenir une amélioration rapide. Le traitement médicamenteux sera établi en fonction du type et de la sévérité des symptômes.
  • +Il convient de surveiller soigneusement les patients en cas d'utilisation simultanée de tramadol et de dérivés de la coumarine (par exemple, la warfarine), une augmentation de l'INR (International Normalised Ratio) ayant été observée chez quelques patients, associée à des hémorragies et des ecchymoses importantes.
  • +Les substances inhibant le CYP3A4 telles que le kétoconazole et l'érythromycine, peuvent inhiber le métabolisme du tramadol (N-déméthylation) et probablement également le métabolisme du métabolite O-déméthylé actif. L'importance clinique d'une telle interaction n'est pas connue (voir aussi rubrique «Effets indésirables»).
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, allaitement
  • -Le tramadol traverse la barrière placentaire. Il n'existe pas de données suffisamment pertinentes pour évaluer la sécurité d'emploi chez la femme enceinte.
  • -Les études sur animaux ont mis en évidence, à des doses très élevées materno-toxiques, des effets toxicologiques dans la reproduction, mais pas des effets tératogènes (voir rubrique «Données précliniques»). Administré avant ou pendant l'accouchement, le tramadol ne modifie pas la contractilité utérine. Il peut provoquer des modifications de la fréquence respiratoire chez les nouveau-nés, qui sont généralement sans conséquences cliniques préjudiciables.
  • -Une prise de Tramal pendant une période prolongée pendant la grossesse peut provoquer un état de manque chez le nouveau-né. Tramal ne doit donc pas être utilisé chez les femmes enceintes sauf si cela est absolument nécessaire.
  • +Le tramadol traverse la barrière placentaire. Il n'existe pas de données probantes suffisantes en faveur de l'inocuité du tramadol pendant la grossesse. Les études chez l'animal, des effets toxicologiques sur la reproduction, mais pas tératogènes, ont été observés à des doses très élevées materno-toxiques (voir rubrique «Données précliniques»). Administré avant ou pendant l'accouchement, le tramadol ne modifie pas la contractilité utérine. Il peut provoquer des modifications de la fréquence respiratoire chez les nouveau-nés, qui sont généralement sans conséquences cliniques.
  • +La prise de Tramal pendant une période prolongée au cours de la grossesse peut provoquer un état de manque chez le nouveau-né.
  • +Il convient de ne pas administrer Tramal à la femme enceinte sauf si cela est absolument nécessaire.
  • -Le tramadol est crété à environ 0,1% de la concentration du sérum maternel dans le lait. Tramal retard ne doit pas être administré à ou utilisé par des femmes qui allaitent
  • +Le tramadol est excrété à un taux d'environ 0,1% de la concentration plasmatique maternelle dans le lait. Tramal retard ne doit pas être administré à des femmes qui allaitent et elles ne doivent pas l'utiliser.
  • -Dans la surveillance post-marketing quelques cas d'anomalies des spermatozoïdes et d'hypogonadismes ont été signalés. Cependant, aucune relation de causalité n'a pu être établie. Les études animales n'ont montré aucun effet du tramadol sur la fertilité.
  • +Dans le cadre de la surveillance post-marketing quelques cas d'anomalies des spermatozoïdes et d'hypogonadismes ont été signalés. Cependant, aucune relation de causalité n'a pu être établie. Les études animales n'ont montré aucun effet du tramadol sur la fertilité.
  • -Même pris en respectant les recommandations, Tramal retard peut diminuer les réactions (par ex. par somnolence et vertiges) des conducteurs de véhicules et des utilisateurs de machines. Cette considération s'applique en particulier en cas d'association avec d'alcool ou d'autres psychotropes.
  • +Même pris en respectant les recommandations, Tramal retard peut diminuer la capacité de réaction (par ex. en entraînant somnolence et vertiges) de sorte que ce médicament a une influence importante sur l'aptitude à la conduite ou à l'utilisation de machines. Cette considération s'applique en particulier en cas d'association à l'alcool ou à d'autres substances à effet psychotrope.
  • -Rares (0,01–0,1%): paresthésie, tremblements, troubles de la parole, convulsions, tressaillements musculaires involontaires, troubles de la coordination, syncope.
  • +Rares (0,01–0,1%): troubles de la parole, paresthésies, tremblements, convulsions, tressaillements musculaires involontaires, troubles de la coordination, syncope.
  • -Après l'administration de Tramal, on peut également observer différents effets secondaires psychiques dont l'intensité et la nature varient d'un patient à l'autre (en fonction de la réactivité individuelle et de la durée du traitement). On peut aussi observer des troubles de l'humeur (habituellement une exaltation, occasionnellement une dysphorie), des modifications de l'activité (habituellement une diminution de l'activité, occasionnellement un accroissement) et des modifications des capacités cognitive et sensorielle (p.ex. la capacité décisionnelle, des troubles de la perception).
  • +Après l'administration de Tramal, différents effets secondaires psychiques, dont l'intensité et la nature étaient variables d'un patient à l'autre (en fonction de la réactivité individuelle et de la durée du traitement) ont été observés. Il s'agit entre autres de troubles de l'humeur (habituellement une exaltation, occasionnellement une dysphorie), de modifications de l'activité (habituellement une diminution de l'activité, occasionnellement un accroissement) et de modifications des capacités cognitive et sensorielle (p.ex. de la capacité décisionnelle, des troubles de la perception).
  • -Les symptômes observés qui peuvent survenir à l'arrêt du traitement par le tramadol dans de très rares cas (<0,01%) sont les suivants: crise d'attaques de panique, forte anxiété/angoisse, hallucinations, paresthésies, acouphènes et symptômes du système nerveux central inhabituels (par exemple confusion, délire, troubles de la personnalité, déréalisation, paranoïa).
  • +Les symptômes observés qui peuvent survenir à l'arrêt du traitement par le tramadol dans de très rares cas (<0,01%) sont, entre autres, les suivants: crises de panique, forte anxiété/angoisse, hallucinations, paresthésies, acouphènes et symptômes du système nerveux central inhabituels (par exemple confusion, délire, troubles de la personnalité, déréalisation, paranoïa).
  • -Une dépression respiratoire peut survenir lors d'un dépassement considérable de la dose recommandée et utilisation simultanée d'autres substances à effet dépresseur central (voir rubrique «Interactions»).
  • -L'aggravation d'un asthme a été également signalée, bien qu'une relation de causalité n'ait pas été établie.
  • +Une dépression respiratoire peut survenir lors d'un dépassement considérable de la dose recommandée et en cas d'utilisation simultanée d'autres substances à effet dépresseur central (voir rubrique «Interactions»).
  • +L'aggravation d'un asthme a également été signalée, bien qu'une relation de causalité n'ait pas été établie.
  • -Fréquents (1–10%): vomissements (9%), constipation, sécheresse de la bouche.
  • +Fréquents (1–10%): envie de vomir (9%), constipation, sécheresse buccale.
  • -Affections hépatobiliairesTrès rares (<0,01%): des enzymes hépatiques élevées en association avec l'utilisation thérapeutique du tramadol.
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Très rares (<0,01%): des enzymes hépatiques élevées ont été rapportées dans un contexte temporel associé à l'utilisation thérapeutique du tramadol.
  • -Fréquents (1–10%): hyperhidrosis.
  • +Fréquents (1–10%): hyperhidrose.
  • -Lannonce deffets secondaires présumés après lautorisation est dune grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion deffet secondaire nouveau ou grave via le portail dannonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -En principe, lors d'une intoxication par le Tramal retard, des symptômes analogues à ceux provoqués par d'autres substances opioïdes sont attendus. Il s'agit en particulier d'un myosis, de vomissements, d'un collapsus cardiovasculaire, de troubles de la conscience allant jusqu'au coma, de convulsions et d'une dépression respiratoire allant jusqu'à l'arrêt respiratoire.
  • +En principe, lors d'une intoxication par le Tramal retard, des symptômes analogues à ceux provoqués par d'autres substances opioïdes sont attendus. Il s'agit en particulier d'un myosis, de vomissements, d'un collapsus cardiovasculaire, de troubles de la conscience allant jusqu'à la perte de conscience, de coma, de convulsions et d'une dépression respiratoire allant jusqu'à l'arrêt respiratoire.
  • -Prendre les mesures d'urgences générales habituelles. Assurer la liberté des voies respiratoires (aspiration), maintenir la ventilation et la circulation en fonction des symptômes. L'antidote en cas de dépression respiratoire est la naloxone. En expérimentation animale, la naloxone n'a exercé aucun effet sur les convulsions. Dans de tels cas, du diazépam devra être administré par voie intraveineuse. L'interaction opioïdes/benzodiazépine doit être considérée (risque d'une dépression respiratoire).
  • -Lors d'une intoxication par les formes orales, l'élimination gastro-intestinale par administration de charbon actif ou par lavage gastrique est uniquement recommandée dans les 2 heures après la prise de tramadol. Passé ce délai, de telles mesures ne sont utiles qu'en cas d'intoxication par des quantités exceptionnellement importantes de tramadol ou par une forme à libération prolongée.
  • -Le tramadol n'est que très faiblement éliminé du sérum par hémodialyse ou par hémofiltration. Le traitement d'une intoxication aiguë au Tramal retard par hémodialyse ou hémofiltration seul n'est donc pas efficace.
  • +Prendre les mesures d'urgences générales habituelles permettant d'assurer la libération des voies respiratoires (aspiration). Maintenir la ventilation et la circulation en fonction des symptômes. L'antidote en cas de dépression respiratoire est la naloxone. En expérimentation animale, la naloxone n'a exercé aucun effet sur les convulsions. Dans de tels cas, du diazépam devra être administré par voie intraveineuse. L'interaction opioïdes/benzodiazépine doit être prise en compte (risque d'une dépression respiratoire).
  • +En cas d'intoxication par les formes orales, l'élimination gastro-intestinale par administration de charbon actif ou par lavage gastrique est uniquement recommandée dans les 2 heures suivant la prise de tramadol. Passé ce délai, de telles mesures ne sont utiles qu'en cas d'intoxication par des quantités exceptionnellement importantes de tramadol ou par des comprimés retard.
  • +Le tramadol n'est que très faiblement éliminé du sérum par hémodialyse. Le traitement d'une intoxication aiguë au Tramal retard par hémodialyse ou hémofiltration seul n'est donc pas efficace.
  • -Code ATC: N02AX02
  • -Mécanisme daction
  • +Code ATC
  • +N02AX02
  • +Mécanisme d'action
  • -Le tramadol est un agoniste pur et non sélectif des récepteurs opïoides µ, δ et κ avec une affinité plus élevée pour les récepteurs µ. D'autres mécanismes qui contribuent aux effets analgésiques du produit sont l'inhibition de la recapture neuronale de noradrénaline et l'augmentation de la libération de sérotonine.
  • -Le tramadol a un effet antitussif. A l'inverse de la morphine, une large gamme de doses analgésiques de tramadol ne présente pas d'effet dépresseur respiratoire. De même, la motricité gastro-intestinale est peu modifiée. Les effets sur le système cardiovasculaire sont plutôt faibles. La puissance du tramadol serait de 1⁄10 à 1⁄6 de celle de la morphine.
  • +Le tramadol est un agoniste pur et non sélectif des récepteurs opïoides µ, δ et κ avec une affinité plus élevée pour les récepteurs µ. D'autres mécanismes qui contribuent aux effets analgésiques du produit sont l'inhibition de la recapture neuronale de la noradrénaline et l'augmentation de la libération de la sérotonine.
  • +Le tramadol a un effet antitussif. A l'inverse de la morphine, une large gamme de doses analgésiques de tramadol ne présente pas d'effet dépresseur respiratoire. De même, la motilité gastro-intestinale est moins modifiée. Les effets sur le système cardiovasculaire sont plutôt faibles. La puissance analgésique du tramadol serait de 1⁄10 à 1⁄6 de celle de la morphine.
  • -Voir pharmacodynamique.
  • +Voir Pharmacodynamique.
  • -Les effets d'une administration entérale ou parentérale du tramadol ont été étudiés dans des essais cliniques ayant inclus plus de 2000 patients âgés de 0 (nouveau-né) à 17 ans. Les indications étudiées dans ces essais comprenaient le traitement des douleurs post-opératoires (principalement abdominales), des douleurs suite à extractions dentaires chirurgicales, des fractures, des brûlures ou des traumatismes ainsi que d'autres conditions douloureuses pouvant nécessiter un traitement antalgique pendant au moins 7 jours.
  • -A des doses allant jusqu'à 2mg/kg en dose unique ou 8mg/kg par jour en doses multiples (sans dépasser 400 mg par jour), l'efficacité du tramadol a été jugée supérieure au placebo, et supérieure ou égale au paracétamol, à la nalbuphine, à la péthidine ou à la morphine à faible dose. Les essais conduits ont confirmé l'efficacité du tramadol. Le profil de sécurité du tramadol était similaire chez les patients adultes et les patients pédiatriques âgés de plus de 1 an (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Les effets d'une administration entérale ou parentérale du tramadol ont été étudiés dans des essais cliniques ayant inclus plus de 2000 patients âgés de 0 (nouveau-né) à 17 ans. Les indications étudiées dans ces essais comprenaient le traitement des douleurs post-opératoires (principalement abdominales), des douleurs consécutives à des extractions dentaires chirurgicales, des fractures, des brûlures ou des traumatismes ainsi que d'autres conditions douloureuses pouvant laisser prévoir la nécessité d'un traitement antalgique pendant 7 jours.
  • +A des doses allant jusqu'à 2 mg/kg en dose unique ou 8 mg/kg par jour en doses multiples (sans dépasser 400 mg par jour), l'efficacité du tramadol a été jugée supérieure au placebo, et supérieure ou égale au paracétamol, à la nalbuphine, à la péthidine ou à la morphine à faible dose. Les essais conduits ont confirmé l'efficacité du tramadol. Le profil de sécurité du tramadol était similaire chez les patients adultes et les patients pédiatriques âgés de plus de 1 an (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Plus de 90% du tramadol est absorbé après administration orale. La biodisponibilité absolue moyenne est approximativement 68% pendant des études avec des doses simples et indépendamment de la prise concomitante d'aliments. L'effet de premier passage après administration orale est au maximum de 30%.
  • -Pendante des études multidoses on a trouvé après administration orale répété de Tramal retard que la biodisponibilité augmente jusqu'à 70–90%, tandis que les autres paramètres restent inchangés. C'est probablement à expliquer avec une réduction de l'effet de premier passage.
  • +Plus de 90% du tramadol est absorbé après administration orale. La biodisponibilité absolue moyenne de Tramal retard était d'approximativement 68% pendant des études avec des doses simples et indépendamment de la prise concomitante d'aliments. L'effet de premier passage après administration orale est au maximum de 30%.
  • +Après administration orale répétée de Tramal retard, les études avec des doses multiples ont permis de montrer que que la biodisponibilité augmente jusqu'à 70–90%, tandis que les autres paramètres restent inchangés. Cela s'explique probablement par une réduction de l'effet de premier passage.
  • -La biodisponibilité relative de tramadol des doses examinés de 100 et de 200 mg retardé était comparable avec une préparation non retardé.
  • -La relation entre les concentrations sériques et les effets analgésiques de tramadol est dose-dépendante, mais varie considérablement dans des cas particuliers. Une concentration sérique de 100 ng/ml à 300 ng/ml est habituellement efficace.
  • +La biodisponibilité relative de tramadol des doses examinées de 100 et de 200 mg était comparable à celle d'une préparation sans libération prolongée.
  • +La relation entre les concentrations sériques et les effets analgésiques de tramadol est dose-dépendante, mais varie considérablement d'un individu à l'autre. Une concentration sérique de 100 ng/ml à 300 ng/ml est habituellement efficace.
  • -L'inhibition de l'un ou des deux cytochromes CYP3A4 et CYP2D6 participant à la biotransformation du tramadol peut modifier la concentration plasmatique du tramadol ou de l'un de ses métabolites actifs. A ce jour, aucune interaction cliniquement significative n'a été relevée.
  • +L'inhibition de l'un ou des deux cytochromes CYP3A4 et CYP2D6 participant à la biotransformation du tramadol peut modifier la concentration plasmatique du tramadol ou de l'un de ses métabolites actifs. A ce jour, aucune interaction cliniquement significative n'a été rapportée.
  • -Le tramadol et ses métabolites sont excrétés pratiquement complètement (90%) par voie rénale. 1⁄4 à 1⁄3 de la forme active est excrétée inchangée par voie urinaire.
  • +Le tramadol et ses métabolites sont éliminés pratiquement complètement (90%) par voie rénale. 1⁄4 à 1⁄3 de la forme active est excrétée inchangée par voie urinaire. Il ne faut donc pas s'attendre à des complications thérapeutiques dues à des métabolites lentement éliminés dans le cas d'administration de doses multiples.
  • -La dépendance de l'âge est peu importante pour la pharmacocinétique de Tramadol et pour la thérapie insignifiante.
  • -Chez des patients âgés de moins de 75 ans sans insuffisance hépatique ou rénale traités pour des douleurs chroniques, une adaptation de la posologie n'est normalement pas nécessaire.
  • -Chez les patients âgés de plus de 75 ans, le temps d'élimination peut être prolongé. En conséquence, l'intervalle entre les prises devrait être allongé individuellement si nécessaire.
  • -En cas d'insuffisance hépatique ou rénale, il faut s'attendre à une prolongation de la demi-vie, prolongation négligeable tant que l'un des deux organes fonctionne normalement.
  • -Chez des patients présentant une cirrhose du foie, des temps de demi-vie de 13 heures a été observés (22 heures dans un cas extrême).
  • +La dépendance de l'âge est peu importante pour la pharmacocinétique de Tramadol et insignifiante pour la thérapie.
  • +Chez des patients âgés de moins de 75 ans sans manifestation clinique d'insuffisance hépatique ou rénale traités pour des douleurs chroniques, une adaptation de la dose n'est normalement pas nécessaire.
  • +Chez les patients âgés de plus de 75 ans, la durée d'élimination peut être prolongée. En conséquence, il convient d'allonger l'intervalle entre les prises si nécessaire.
  • +En cas d'insuffisance hépatique ou rénale, il faut s'attendre à une prolongation de la demi-vie terminale, elle est toutefois négligeable tant que l'un de ces deux organes fonctionne normalement.
  • +Chez des patients présentant une cirrhose du foie, la demi-vie d'élimination du tramadol s'élevait à 13 heures (22 heures dans un cas extrême).
  • -Chez les enfants de moins de 1 an, la pharmacocinétique du tramadol et de l'O-desméthyltramadol n'a pas été entièrement caractérisée. Les données pour ce groupe d'âge issues des études cliniques indiquent que le taux de formation de l'O-desméthyltramadol par le cytochrome CYP2D6 augmente de manière continue chez le nouveau-né, et les niveaux d'activité du CYP2D6 de l'adulte seraient atteints à environ 1 an. En outre, les systèmes immatures de glucuronidation ainsi que la fonction rénale immature peuvent entraîner élimination lente et l'accumulation de l'O-desméthyltramadol chez les enfants de moins de 1 an, et par conséquent, le tramadol ne doit pas être administrée dans ce groupe d'âge.
  • +Chez les enfants de moins de 1 an, la pharmacocinétique du tramadol et de l'O-desméthyltramadol n'a pas été entièrement caractérisée. Les données pour ce groupe d'âge issues des études cliniques indiquent que le taux de formation de l'O-desméthyltramadol par le cytochrome CYP2D6 augmente de manière continue chez le nouveau-né, et les niveaux d'activité du CYP2D6 de l'adulte seraient atteints à environ 1 an. En outre, les systèmes immatures de glucuronidation ainsi que la fonction rénale immature peuvent entraîner une lenteur d'élimination et l'accumulation de l'O-desméthyltramadol chez les enfants de moins de 1 an, il convient par conséquent de ne pas administrer le tramadol ne doit pas être administrée dans ce groupe d'âge.
  • -Les résultats des études ne montrent aucun indice en faveur d'un risque potentiellement génotoxique du tramadol. Une étude chez le rat n'a montré aucun indice en faveur d'une incidence accrue de la survenue de tumeurs liée au principe actif. Dans l'étude chez la souris, une incidence accrue d'adénome hépatocellulaires chez les mâles a été observée (à partir de 15 mg/kg de façon dose dépendante, mais l'augmentation n'était pas significative) et une augmentation des tumeurs du poumon chez les animaux femelles de tous les autres groupes de dose (augmentation significative mais pas dose-dépendante). Les études chez la souris, le rat et le lapin ont montré à très haute doses materno-toxiques de chlorhydrate de tramadol (correspondant à 3-15 fois la dose humaine maximum correspondante) des effets sur le développement des organes, l'ossification ainsi que la mortalité embryonnaire et fœtal. Fertilité et développement des jeunes n'ont pas été affectés. On n'a pas observé d'altération de la fertilité mâle ou femelle des animaux adultes.
  • +Les résultats des études ne montrent aucun indice en faveur d'un risque potentiellement génotoxique du tramadol. Une étude chez le rat n'a montré aucun indice en faveur d'une incidence accrue de la survenue de tumeurs liées au principe actif. Dans l'étude chez la souris, une incidence accrue d'adénome hépatocellulaires chez les mâles a été observée (à partir de 15 mg/kg de façon dose dépendante, mais l'augmentation n'était pas significative) et une augmentation des tumeurs du poumon chez les animaux femelles de tous les autres groupes de dose (augmentation significative mais pas dose-dépendante). Les études chez la souris, le rat et le lapin ont montré à très haute doses materno-toxiques de chlorhydrate de tramadol (correspondant à 3-15 fois la dose maximale chez l'humain) des effets sur le développement des organes, l'ossification ainsi que la mortalité embryonnaire et fœtale. La fertilité et le développement des jeunes n'ont pas été affectés. Aucune altération de la fertilité mâle ou femelle des animaux adultes n'a été observée.
  • -Tramal retard 50, 100, 150 et 200 cpr ret. 10, 30 et 50 [A]
  • +Comprimés retard à 50, 100, 150 et 200: 10, 30 et 50 [A]
  • -Février 2020.
  • +Janvier 2021.
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