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Accueil - Information professionnelle sur Zyprexa 5 mg - Changements - 14.02.2020
66 Changements de l'information professionelle Zyprexa 5 mg
  • -Principe actif: Olanzapinum.
  • -Excipients:
  • -Comprimés filmés à 2,5 mg, 5 mg, 10 mg: lactosum, excipiens pro compresso obducto.
  • +Principes actifs
  • +Olanzapinum.
  • +Excipients
  • +Comprimés filmés à 2.5 mg, 5 mg, 10 mg: lactosum, excipiens pro compresso obducto.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Comprimés filmés à 2,5 mg, 5 mg, 10 mg et 15 mg.
  • -Comprimés orodispersibles à 5 mg, 10 mg, 15 mg et 20 mg.
  • +
  • +Posologie usuelle
  • -Au moment du sevrage d'olanzapine, on envisagera éventuellement une réduction graduelle de la posologie.
  • -Les comprimés orodispersibles Zyprexa Velotab doivent être pris dans la bouche. Ils sont rapidement dissous dans la salive, et peuvent donc être facilement avalés. L'extraction d'un comprimé orodispersible intact de la bouche s'avère difficile. Les comprimés orodispersibles étant très friables, ils doivent être pris immédiatement après l'ouverture du blister.
  • -Une alternative peut être de dissoudre immédiatement le comprimé dans un verre d'eau ou dans une autre boisson compatible (jus d'orange, jus de pomme, lait ou café).
  • -Posologies spéciales
  • -Enfants et adolescents: voir «Contre-indications».
  • -Personnes âgées: Chez les personnes âgées (65 ans et plus) en bonne santé, le temps de demi-vie de l'olanzapine est prolongé. Il faut compter avec la même variabilité pharmacocinétique que chez les personnes jeunes. Pour une dose de 5 à 20 mg/jour, le profil de sécurité du Zyprexa est comparable chez les jeunes et chez les vieux. En général, on recommande une adaptation du dosage chez les personnes âgées: le dosage initial chez les vieillards étant de 5 mg/jour.
  • -Patients présentant une insuffisance hépatique et/ou rénale: la pharmacocinétique de l'olanzapine n'était pas modifiée chez les patients présentant une altération de la fonction rénale. En cas d'altération de la fonction hépatique, la demi-vie peut être légèrement prolongée. Une diminution de la dose est donc recommandée chez ces patients.
  • -Parmi d'autres facteurs bien étudiés, notons que le métabolisme de l'olanzapine est influencé par le tabagisme (prolongation de la demi-vie chez les non-fumeurs) et par le sexe (prolongation de la demi-vie chez la femme).
  • +A l'arrêt du traitement par olanzapine, il faut envisager une réduction graduelle de la dose.
  • -Au cas où une augmentation de la posologie de 2,5 mg s'avérerait nécessaire, les comprimés filmés de Zyprexa seront prescrits (voir également «Interactions», «Pharmacocinétique»).
  • +Au cas où une augmentation de la posologie de 2.5 mg s'avérerait nécessaire, les comprimés filmés de Zyprexa seront prescrits (voir également «Interactions», «Pharmacocinétique»).
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Parmi les facteurs bien étudiés, notons que le métabolisme de l'olanzapine est influencé par le tabagisme (prolongation de la demi-vie chez les non-fumeurs) et par le sexe (prolongation de la demi-vie chez la femme).
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +En cas d'insuffisance hépatique, la demi-vie peut être légèrement prolongée. Une diminution de la dose est donc recommandée chez ces patients.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +La pharmacocinétique de l'olanzapine était pratiquement inchangée chez les patients présentant une insuffisance rénale.
  • +Patients âgés
  • +Chez les personnes âgées (65 ans et plus) en bonne santé, le temps de demi-vie de l'olanzapine est prolongé. Il faut compter avec la même variabilité pharmacocinétique que chez les personnes jeunes. Pour une dose de 5 à 20 mg/jour, le profil de sécurité du Zyprexa est comparable chez les jeunes et chez les vieux. En général, on recommande une adaptation du dosage chez les personnes âgées: le dosage initial chez les vieillards étant de 5 mg/jour.
  • +Enfants et adolescents
  • +Voir «Contre-indications».
  • +Mode d'administration
  • +Les comprimés orodispersibles Zyprexa Velotab doivent être pris dans la bouche. Ils sont rapidement dissous dans la salive, et peuvent donc être facilement avalés. L'extraction d'un comprimé orodispersible intact de la bouche s'avère difficile. Les comprimés orodispersibles étant très friables, ils doivent être pris immédiatement après l'ouverture du blister.
  • +Une alternative peut être de dissoudre le comprimé dans un verre d'eau ou dans une autre boisson appropriée (jus d'orange, jus de pomme, lait ou café) juste avant de le prendre.
  • +
  • -Le Zyprexa ne doit pas être administré à des patients présentant une hypersensibilité connue à l'un des composants.
  • -Le Zyprexa n'est pas indiqué chez des patients présentant un risque connu de glaucome à angle fermé.
  • -Enfants et adolescents de moins de 18 ans.
  • +Zyprexa ne doit pas être utilisé:
  • +·chez des patients présentant une hypersensibilité connue à l'un des composants.
  • +·chez des patients présentant un risque connu de glaucome à angle fermé.
  • +·chez les enfants et adolescents de moins de 18 ans.
  • -L'olanzapine n'est pas indiquée dans le traitement de la démence avec troubles psychotiques et/ou troubles du comportement et son utilisation chez ce groupe spécifique de patients est déconseillée du fait d'une augmentation du risque de mortalité et d'accidents cérébrovasculaires. Au cours d'essais cliniques contrôlés versus placebo (durée de 6 à 12 semaines), réalisés chez des patients âgés (âge moyen 78 ans) souffrant de démence avec troubles psychotiques et/ou de troubles du comportement, l'incidence des décès dans le groupe olanzapine a été deux fois plus importante que celle observée dans le groupe placebo (3,5 versus 1,5% respectivement). L'incidence plus élevée de décès n'a pas été corrélée à la dose d'olanzapine (dose moyenne quotidienne de 4,4 mg) ou à la durée de traitement. Dans cette population de patients, un âge >65 ans, une dysphagie, une sédation, une malnutrition et une déshydratation, une pathologie pulmonaire (telle qu'une pneumopathie avec ou sans inhalation) ou une utilisation concomitante de benzodiazépines peuvent être des facteurs prédisposant à une augmentation du risque de mortalité. Néanmoins, l'incidence de mortalité a été supérieure dans le groupe olanzapine (versus placebo), indépendamment de ces facteurs de risque.
  • -Des événements indésirables cérébrovasculaires (tels que accidents vasculaires cérébraux, accidents ischémiques transitoires), dont certains d'issue fatale, ont été rapportés dans ces mêmes essais cliniques. Trois fois plus d'événements indésirables cérébrovasculaires ont été rapportés dans le groupe des patients traités par olanzapine comparativement au groupe de patients traités par placebo (1,3% versus 0,4% respectivement). Tous les patients traités par olanzapine ou par placebo ayant présenté un événement vasculaire cérébral, avaient des facteurs de risque préexistants. Un âge supérieur à 75 ans et une démence de type vasculaire ou mixte ont été identifiés comme des facteurs de risque d'événements indésirables cérébrovasculaires dans le groupe olanzapine. L'efficacité clinique de l'olanzapine n'a pas été démontrée dans ces essais.
  • +L'olanzapine n'est pas indiquée dans le traitement de la démence avec troubles psychotiques et/ou troubles du comportement et son utilisation chez ce groupe spécifique de patients est déconseillée du fait d'une augmentation du risque de mortalité et d'accidents cérébrovasculaires. Au cours d'essais cliniques contrôlés versus placebo (durée de 6 à 12 semaines), réalisés chez des patients âgés (âge moyen 78 ans) souffrant de démence avec troubles psychotiques et/ou de troubles du comportement, l'incidence des décès dans le groupe olanzapine a été deux fois plus importante que celle observée dans le groupe placebo (3.5 versus 1.5% respectivement). L'incidence plus élevée de décès n'a pas été corrélée à la dose d'olanzapine (dose moyenne quotidienne de 4.4 mg) ou à la durée de traitement. Dans cette population de patients, un âge >65 ans, une dysphagie, une sédation, une malnutrition et une déshydratation, une pathologie pulmonaire (telle qu'une pneumopathie avec ou sans inhalation) ou une utilisation concomitante de benzodiazépines peuvent être des facteurs prédisposant à une augmentation du risque de mortalité. Néanmoins, l'incidence de mortalité a été supérieure dans le groupe olanzapine (versus placebo), indépendamment de ces facteurs de risque.
  • +Des événements indésirables cérébrovasculaires (tels que accidents vasculaires cérébraux, accidents ischémiques transitoires), dont certains d'issue fatale, ont été rapportés dans ces mêmes essais cliniques. Trois fois plus d'événements indésirables cérébrovasculaires ont été rapportés dans le groupe des patients traités par olanzapine comparativement au groupe de patients traités par placebo (1.3% versus 0.4% respectivement). Tous les patients traités par olanzapine ou par placebo ayant présenté un événement vasculaire cérébral, avaient des facteurs de risque préexistants. Un âge supérieur à 75 ans et une démence de type vasculaire ou mixte ont été identifiés comme des facteurs de risque d'événements indésirables cérébrovasculaires dans le groupe olanzapine. L'efficacité clinique de l'olanzapine n'a pas été démontrée dans ces essais.
  • -Il n'est pas recommandé d'administrer l'olanzapine pour traiter les psychoses provoquées par des médicaments à effet dopaminergique chez des patients souffrant de la maladie de Parkinson. Dans des essais cliniques, une aggravation des symptômes du Parkinson et des hallucinations a été rapportée très souvent, et plus souvent que sous placebo. Dans le traitement des symptômes psychotiques, l'olanzapine n'était pas plus efficace que le placebo. Une des préconditions de ces essais, était que l'état des patients en début d'étude soit stable avec la dose efficace d'antiparkinsonien (médicament à effet dopaminergique) la plus faible et que les patients soient maintenus sous la même dose du même médicament antiparkinsonien tout au long de l'étude. Le traitement avec l'olanzapine a commencé avec 2,5 mg/jour et, selon l'appréciation du médecin de l'étude, la dose a été portée à 15 mg/jour au maximum.
  • -Syndrome neuroleptique malin (SNM): de rares cas de SNM ont été signalés chez des patients sous Zyprexa. Le SNM est une affection susceptible de constituer un danger vital, en rapport avec la prise de neuroleptiques. Cliniquement, le SNM se manifeste par une augmentation de la température corporelle (hyperthermie), une rigidité musculaire, une modification de l'état mental et une instabilité du système nerveux autonome (pulsations ou tension artérielle irrégulières, tachycardie, sueurs et troubles du rythme cardiaque). D'autres symptômes peuvent être une augmentation de la créatinine-phosphokinase, une myoglobinurie (rhabdomyolyse) et une insuffisance rénale. En pareil cas ou face à une fièvre inexpliquée même sans manifestations cliniques concomitantes de SNM, le traitement de tous les neuroleptiques, incluant l'olanzapine, doivent être interrompus.
  • +Il n'est pas recommandé d'administrer l'olanzapine pour traiter les psychoses provoquées par des médicaments à effet dopaminergique chez des patients souffrant de la maladie de Parkinson. Dans des essais cliniques, une aggravation des symptômes du Parkinson et des hallucinations a été rapportée très souvent, et plus souvent que sous placebo. Dans le traitement des symptômes psychotiques, l'olanzapine n'était pas plus efficace que le placebo. Une des préconditions de ces essais, était que l'état des patients en début d'étude soit stable avec la dose efficace d'antiparkinsonien (médicament à effet dopaminergique) la plus faible et que les patients soient maintenus sous la même dose du même médicament antiparkinsonien tout au long de l'étude. Le traitement avec l'olanzapine a commencé avec 2.5 mg/jour et, selon l'appréciation du médecin de l'étude, la dose a été portée à 15 mg/jour au maximum.
  • +Syndrome neuroleptique malin (SNM)
  • +De rares cas de SNM ont été signalés chez des patients sous Zyprexa. Le SNM est une affection susceptible de constituer un danger vital, en rapport avec la prise de neuroleptiques. Cliniquement, le SNM se manifeste par une augmentation de la température corporelle (hyperthermie), une rigidité musculaire, une modification de l'état mental et une instabilité du système nerveux autonome (pulsations ou tension artérielle irrégulières, tachycardie, sueurs et troubles du rythme cardiaque). D'autres symptômes peuvent être une augmentation de la créatinine-phosphokinase, une myoglobinurie (rhabdomyolyse) et une insuffisance rénale. En pareil cas ou face à une fièvre inexpliquée même sans manifestations cliniques concomitantes de SNM, le traitement de tous les neuroleptiques, incluant l'olanzapine, doivent être interrompus.
  • -Les données sur l'association avec le lithium ou le valproate sont limitées (voir «Propriétés/Effets»).Une étude pharmacocinétique a été conduite sur la combinaison d'olanzapine et de carbamazépine.
  • +Les données sur l'association avec le lithium ou le valproate sont limitées (voir «Propriétés/Effets»). Une étude pharmacocinétique a été conduite sur la combinaison d'olanzapine et de carbamazépine.
  • -L'arrêt soudain du traitement à l'olanzapine a été suivi rarement (>0,01% et <0.1%) de symptômes aigus tels que sueurs, insomnie, tremblement, anxiété, nausée ou vomissement ont été rapportés. Avant d'arrêter un traitement avec l'olanzapine, on envisagera une réduction graduelle de la dose.
  • +L'arrêt soudain du traitement à l'olanzapine a été suivi rarement (>0.01% et <0.1%) de symptômes aigus tels que sueurs, insomnie, tremblement, anxiété, nausée ou vomissement ont été rapportés. Avant d'arrêter un traitement avec l'olanzapine, on envisagera une réduction graduelle de la dose.
  • -L'olanzapine montre un faible potentiel d'allongement du QTc et d'événements cardiaques qui y sont associés. Dans les études cliniques, un allongement cliniquement pertinent du QTc est apparu occasionnellement chez les patients traités par l'olanzapine (de 0,1% à 1%), sans qu'existent des différences significatives par rapport au placebo. Cependant, comme avec d'autres antipsychotiques, la prudence est recommandée lorsque l'olanzapine est prescrite en même temps que des médicaments connus pour allonger l'intervalle QTc, notamment chez le sujet âgé, chez les patients présentant un syndrome de QT long congénital, une insuffisance cardiaque non compensée, une hypertrophie cardiaque, une hypokaliémie ou une hypomagnésémie.
  • +L'olanzapine montre un faible potentiel d'allongement du QTc et d'événements cardiaques qui y sont associés. Dans les études cliniques, un allongement cliniquement pertinent du QTc est apparu occasionnellement chez les patients traités par l'olanzapine (de 0.1% à 1%), sans qu'existent des différences significatives par rapport au placebo. Cependant, comme avec d'autres antipsychotiques, la prudence est recommandée lorsque l'olanzapine est prescrite en même temps que des médicaments connus pour allonger l'intervalle QTc, notamment chez le sujet âgé, chez les patients présentant un syndrome de QT long congénital, une insuffisance cardiaque non compensée, une hypertrophie cardiaque, une hypokaliémie ou une hypomagnésémie.
  • -Des atteintes thromboemboliques veineuses ont été très rarement rapportées avec l'olanzapine (<0,01%). Il n'a pas été établi de lien de causalité entre la survenue de ces atteintes et le traitement par l'olanzapine. Cependant les patients schizophrènes présentant souvent des facteurs de risque thromboembolique veineux, tout facteur de risque potentiel d'atteintes thromboemboliques veineuses, p.ex. l'immobilisation prolongée, doit être identifié et des mesures préventives mises en oeuvre.
  • +Des atteintes thromboemboliques veineuses ont été très rarement rapportées avec l'olanzapine (<0.01%). Il n'a pas été établi de lien de causalité entre la survenue de ces atteintes et le traitement par l'olanzapine. Cependant les patients schizophrènes présentant souvent des facteurs de risque thromboembolique veineux, tout facteur de risque potentiel d'atteintes thromboemboliques veineuses, p.ex. l'immobilisation prolongée, doit être identifié et des mesures préventives mises en oeuvre.
  • -Interactions potentielles ayant un effet sur l'olanzapine
  • -L'olanzapine étant métabolisée par le cytochrome CYP1A2, les produits qui stimulent ou inhibent spécifiquement cette isoenzyme peuvent modifier les paramètres pharmacocinétiques de l'olanzapine.
  • -Induction du CYP1A2: la métabolisation de l'olanzapine peut être favorisée par le tabagisme (chez les non-fumeurs, la clairance est inférieure de 33%, et la demi-période d'élimination terminale allongée de 21%, par rapport aux fumeurs) et par la carbamazépine (lors d'une administration simultanée de carbamazépine, la clairance est augmentée de 44% et la demi-période d'élimination terminale est raccourcie de 20%). L'association thérapeutique à la carbamazépine entraîne une induction significative du métabolisme de l'olanzapine. En cas d'administration concomitante de carbamazépine, on a observé une réduction de l'exposition d'environ 50%. Une surveillance clinique est recommandée. Si nécessaire, on envisagera d'augmenter la dose d'olanzapine (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Inhibition du CYP1A2: Il a été montré que la fluvoxamine, inhibiteur spécifique du CYP1A2, inhibe significativement le métabolisme de l'olanzapine. La fluvoxamine entraîne une augmentation moyenne du Cmax de l'olanzapine de 54% chez les femmes non-fumeuses et de 77% chez les hommes fumeurs. L'augmentation moyenne de l'ASC de l'olanzapine était respectivement de 52% et de 108%. Une posologie initiale plus faible de l'olanzapine doit être envisagée chez les patients traités par la fluvoxamine ou tout autre inhibiteur du CYP1A2 telle la ciprofloxacine. Une diminution de la posologie de l'olanzapine doit être envisagée si un traitement par un inhibiteur du CYP1A2 est instauré.
  • -Diminution de la biodisponibilité: Le charbon activé diminue la biodisponibilité de l'olanzapine par voie orale de 50 à 60% et doit être pris au moins 2 heures avant ou après l'administration de l'olanzapine.
  • -Avec la fluoxétine (inhibiteur du CYP2D6), des doses uniques d'antiacides (aluminium, magnésium) ou la cimétidine il n'a pas été retrouvé d'effet significatif sur les paramètres pharmacocinétiques de l'olanzapine.
  • -Effets potentiels de l'olanzapine sur les autres médicaments
  • -
  • +Effet de l'olanzapine sur d'autres médicaments
  • +Effet d'autres médicaments sur l'olanzapine
  • +L'olanzapine étant métabolisée par le cytochrome CYP1A2, les produits qui stimulent ou inhibent spécifiquement cette isoenzyme peuvent modifier les paramètres pharmacocinétiques de l'olanzapine.
  • +Induction du CYP1A2: la métabolisation de l'olanzapine peut être favorisée par le tabagisme (chez les non-fumeurs, la clairance est inférieure de 33%, et la demi-période d'élimination terminale allongée de 21%, par rapport aux fumeurs) et par la carbamazépine (lors d'une administration simultanée de carbamazépine, la clairance est augmentée de 44% et la demi-période d'élimination terminale est raccourcie de 20%). L'association thérapeutique à la carbamazépine entraîne une induction significative du métabolisme de l'olanzapine. En cas d'administration concomitante de carbamazépine, on a observé une réduction de l'exposition d'environ 50%. Une surveillance clinique est recommandée. Si nécessaire, on envisagera d'augmenter la dose d'olanzapine (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Inhibition du CYP1A2: Il a été montré que la fluvoxamine, inhibiteur spécifique du CYP1A2, inhibe significativement le métabolisme de l'olanzapine. La fluvoxamine entraîne une augmentation moyenne du Cmax de l'olanzapine de 54% chez les femmes non-fumeuses et de 77% chez les hommes fumeurs. L'augmentation moyenne de l'AUC de l'olanzapine était respectivement de 52% et de 108%. Une posologie initiale plus faible de l'olanzapine doit être envisagée chez les patients traités par la fluvoxamine ou tout autre inhibiteur du CYP1A2 telle la ciprofloxacine. Une diminution de la posologie de l'olanzapine doit être envisagée si un traitement par un inhibiteur du CYP1A2 est instauré.
  • +Diminution de la biodisponibilité: Le charbon activé diminue la biodisponibilité de l'olanzapine par voie orale de 50 à 60% et doit être pris au moins 2 heures avant ou après l'administration de l'olanzapine.
  • +Avec la fluoxétine (inhibiteur du CYP2D6), des doses uniques d'antiacides (aluminium, magnésium) ou la cimétidine il n'a pas été retrouvé d'effet significatif sur les paramètres pharmacocinétiques de l'olanzapine.
  • -Grossesse: des études animales ont mis en évidence des effets secondaires affectant le foetus et il n'existe aucune étude contrôlée et suffisamment documentée chez les femmes enceintes. L'attention des patientes sera donc attirée sur le fait qu'elles doivent avertir leur médecin en cas de grossesse débutante ou de projet de grossesse en cours de traitement au Zyprexa. L'expérience chez l'homme étant limitée, ce médicament ne sera administré lors d'une grossesse que si les avantages éventuels justifient le risque foetal potentiel.
  • +Grossesse
  • +des études animales ont mis en évidence des effets secondaires affectant le foetus et il n'existe aucune étude contrôlée et suffisamment documentée chez les femmes enceintes. L'attention des patientes sera donc attirée sur le fait qu'elles doivent avertir leur médecin en cas de grossesse débutante ou de projet de grossesse en cours de traitement au Zyprexa. L'expérience chez l'homme étant limitée, ce médicament ne sera administré lors d'une grossesse que si les avantages éventuels justifient le risque foetal potentiel.
  • -Allaitement: une étude sur des femmes qui allaitaient a montré que l'olanzapine était excrétée dans le lait maternel. On a mesuré que la quantité moyenne absorbée par les nourrissons (mg/kg) était, au steady-state, de 1,8% environ de la dose d'olanzapine d'origine maternelle. On recommandera aux patientes de ne pas allaiter lorsqu'elles prennent de l'olanzapine.
  • -Accouchement et naissance: chez le rat, le déroulement de l'accouchement n'est pas influencé par l'olanzapine. Mais, chez la femme, l'effet de l'olanzapine sur la délivrance n'est pas connu.
  • -
  • +Travail et accouchement: chez le rat, le déroulement de l'accouchement n'est pas influencé par l'olanzapine. Mais chez la femme, l'effet de l'olanzapine sur le travail et le déroulement de l'accouchement n'est pas connu.
  • +Allaitement
  • +une étude sur des femmes qui allaitaient a montré que l'olanzapine était excrétée dans le lait maternel. On a mesuré que la quantité moyenne absorbée par les nourrissons (mg/kg) était, au steady-state, de 1.8% environ de la dose d'olanzapine d'origine maternelle. On recommandera aux patientes de ne pas allaiter lorsqu'elles prennent de l'olanzapine.
  • -Comme l'olanzapine peut provoquer une somnolence et des vertiges, le patient devra en être averti avant toute utilisation ou conduite de machines ou d'automobiles.
  • +Comme l'olanzapine peut provoquer une somnolence et des vertiges, le patient devra en être averti avant toute utilisation de machines ou conduite de véhicules.
  • -Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (≥1% des patients) au cours des essais
  • -cliniques ont été: somnolence, prise de poids, éosinophilie, augmentation des taux de prolactine, de cholestérol, de la glycémie et de la triglycéridémie (voir «Mises en garde et précautions»), glucosurie, augmentation de l'appétit, sensation vertigineuse, acathisie, parkinsonisme leucopénie, neutropénie (voir «Mises en garde et précautions»), dyskinésie, hypotension orthostatique, effets anticholinergiques, élévations transitoires asymptomatiques des aminotransférases hépatiques (voir «Mises en garde et précautions»), rash, asthénie, fatigue, pyréxie, arthralgie, phosphatase alcaline sanguine augmentée, gamma-glutamyltransférase augmentée, uricémie augmentée, créatine phosphokinase sanguine augmentée et oedème.
  • +Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (≥1% des patients) au cours des essais cliniques ont été: somnolence, prise de poids, éosinophilie, augmentation des taux de prolactine, de cholestérol, de la glycémie et de la triglycéridémie (voir «Mises en garde et précautions»), glucosurie, augmentation de l'appétit, sensation vertigineuse, acathisie, parkinsonisme leucopénie, neutropénie (voir «Mises en garde et précautions»), dyskinésie, hypotension orthostatique, effets anticholinergiques, élévations transitoires asymptomatiques des aminotransférases hépatiques (voir «Mises en garde et précautions»), rash, asthénie, fatigue, pyréxie, arthralgie, phosphatase alcaline sanguine augmentée, gamma-glutamyltransférase augmentée, uricémie augmentée, créatine phosphokinase sanguine augmentée et oedème.
  • -La fréquence des effets indésirables est indiquée comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10'000), «très rares» (<1/10'000).
  • +La fréquence des effets indésirables est indiquée comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10'000), « très rares » (<1/10'000).
  • -Très fréquent: Somnolence (17,6%). Chez les patients souffrant de la maladie de Parkinson, on a rapporté plus souvent une péjoration des symptômes de Parkinson et des hallucinations.
  • +Très fréquent: Somnolence (17.6%). Chez les patients souffrant de la maladie de Parkinson, on a rapporté plus souvent une péjoration des symptômes de Parkinson et des hallucinations.
  • -Occasionnel: distension abdominale.
  • +Occasionnel: distension abdominale, hypersécrétion salivaire.
  • -Très fréquent: prise de poids ≥7% observée chez 22,2% des patients.
  • -Fréquent: prise de poids ≥15% observée chez 4,2% des patients.
  • -Occasionnel: prise de poids ≥25% observée chez 0,8% des patients.
  • +Très fréquent: prise de poids ≥7% observée chez 22.2% des patients.
  • +Fréquent: prise de poids ≥15% observée chez 4.2% des patients.
  • +Occasionnel: prise de poids ≥25% observée chez 0.8% des patients.
  • -Très fréquent: 64,4% des patients avec prise de poids de plus de 7%, 31,7% des patients avec prise de poids de plus de 15%, 12,3% des patients avec prise de poids de plus de 25%.
  • -2 Augmentation observée pour des taux mesurés à jeun normaux (<5,56 mmol/l) qui sont devenus élevés (≥7 mmol/l). Une augmentation de la glycémie à jeun d'une valeur légèrement élevée (≥5,56 mmol/l à <7 mmol/l) à une valeur élevée (≥7 mmol/l) a été très fréquemment constatée.
  • +Très fréquent: 64.4% des patients avec prise de poids de plus de 7%, 31.7% des patients avec prise de poids de plus de 15%, 12.3% des patients avec prise de poids de plus de 25%.
  • +2 Augmentation observée pour des taux mesurés à jeun normaux (<5.56 mmol/l) qui sont devenus élevés (≥7 mmol/l). Une augmentation de la glycémie à jeun d'une valeur légèrement élevée (≥5.56 mmol/l à <7 mmol/l) à une valeur élevée (≥7 mmol/l) a été très fréquemment constatée.
  • -4 Augmentation observée pour des taux mesurés à jeun normaux (<1,69 mmol/l) qui sont devenus élevés (≥2,26 mmol/l). Une augmentation de la triglycéridémie à jeun d'une valeur légèrement élevée (≥1,69 mmol/l à <2,26 mmol/l) à une valeur élevée (≥2,26 mmol/l) a été très fréquemment constatée.
  • -5 Augmentation observée pour des taux mesurés à jeun normaux (<5,17 mmol/l) qui sont devenus élevés (≥6,2 mmol/l). Une augmentation des taux de cholestérol total à jeun d'une valeur légèrement élevée (≥5,17 à <6,2 mmol/l) à une valeur élevée (≥6,2 mmol/l) a été très fréquemment constatée.
  • +4 Augmentation observée pour des taux mesurés à jeun normaux (<1.69 mmol/l) qui sont devenus élevés (≥2.26 mmol/l). Une augmentation de la triglycéridémie à jeun d'une valeur légèrement élevée (≥1.69 mmol/l à <2.26 mmol/l) à une valeur élevée (≥2.26 mmol/l) a été très fréquemment constatée.
  • +5 Augmentation observée pour des taux mesurés à jeun normaux (<5.17 mmol/l) qui sont devenus élevés (≥6.2 mmol/l). Une augmentation des taux de cholestérol total à jeun d'une valeur légèrement élevée (≥5.17 à <6.2 mmol/l) à une valeur élevée (≥6.2 mmol/l) a été très fréquemment constatée.
  • -Dans une étude clinique impliquant des patients atteints de manie bipolaire, la fréquence de la neutropénie a été de 4,1% pour un traitement simultané avec le valproate et l'olanzapine. Lors de l'administration concomitante d'olanzapine et de lithium ou de valproate, on a plus souvent (>10%) observé de tremblement, de sécheresse de la bouche, d'augmentation de l'appétit et de prise de poids que sous le lithium et le valproate seuls. Des troubles du langage ont été occasionnellement rapportés. Au cours d'un traitement avec l'olanzapine associée au lithium ou au Divalproex, 17,4% des patients ont enregistré une prise de poids de ≥7% par rapport à leur poids de départ durant le traitement aigu (jusqu'à 6 semaines). La prise de poids relative maximum dans ce groupe de patients a été de 19,6%. Le traitement à long terme avec l'olanzapine (jusqu'à 12 mois) pour la prévention des phases bipolaires chez des patients atteints de troubles bipolaires a entraîné chez 39,9% des patients une augmentation de poids de ≥7% par rapport à leur poids de départ. La prise de poids relative maximum chez les patients sous traitement à long terme avec l'olanzapine a été de 56,3%.
  • +Dans une étude clinique impliquant des patients atteints de manie bipolaire, la fréquence de la neutropénie a été de 4.1% pour un traitement simultané avec le valproate et l'olanzapine. Lors de l'administration concomitante d'olanzapine et de lithium ou de valproate, on a plus souvent (>10%) observé de tremblement, de sécheresse de la bouche, d'augmentation de l'appétit et de prise de poids que sous le lithium et le valproate seuls. Des troubles du langage ont été occasionnellement rapportés. Au cours d'un traitement avec l'olanzapine associée au lithium ou au Divalproex, 17.4% des patients ont enregistré une prise de poids de ≥7% par rapport à leur poids de départ durant le traitement aigu (jusqu'à 6 semaines). La prise de poids relative maximum dans ce groupe de patients a été de 19.6%. Le traitement à long terme avec l'olanzapine (jusqu'à 12 mois) pour la prévention des phases bipolaires chez des patients atteints de troubles bipolaires a entraîné chez 39.9% des patients une augmentation de poids de ≥7% par rapport à leur poids de départ. La prise de poids relative maximum chez les patients sous traitement à long terme avec l'olanzapine a été de 56.3%.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Symptômes
  • +Signes et symptômes
  • -D'autres séquelles médicales notables peuvent se manifester: délire, convulsions, coma, éventuel syndrome neuroleptique malin, dépression respiratoire, aspiration, hypertension ou hypotension, arythmie cardiaque (moins de 2% des cas de surdosage), arrêt cardiaque et apnée.
  • +D'autres séquelles médicales notables peuvent se manifester: délire, convulsions, coma, éventuel syndrome neuroleptique malin, dépression respiratoire, aspiration, hypertension ou hypotension, arythmie cardiaque (moins de 2% des cas de surdosage) et arrêt cardiorespiratoire.
  • -Traitement en cas de surdosage
  • +Traitement
  • -Code ATC: N05AH03
  • +Code ATC
  • +N05AH03
  • +Pharmacodynamique
  • +
  • -Elimination
  • +Élimination
  • - <65 ans ≥65 ans
  • + <65 ans ≥65 ans
  • -Une insuffisance rénale ou une insuffisance hépatique légère à modérée ne modifient pas significativement la pharmacocinétique de l'olanzapine. Des études appropriées ont montré qu'environ 57% de l'olanzapine marquée radioactivement sont éliminés dans les urines (principalement sous forme de métabolite).
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Une insuffisance hépatique légère à modérée ne modifie pas significativement la pharmacocinétique de l'olanzapine. Des études appropriées ont montré qu'environ 57% de l'olanzapine marquée radioactivement sont éliminés dans les urines (principalement sous forme de métabolite).
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Une insuffisance rénale ne modifie pas significativement la pharmacocinétique de l'olanzapine.
  • +
  • -L'olanzapine n'a montré aucun effet tératogène, ni mutagène ni clastogène, lors d'une série de tests. Chez la souris et le rat, l'olanzapine n'a aucun effet carcinogène.
  • +Mutagénicité
  • +L'olanzapine n'a montré aucun effet mutagène ni clastogène, lors d'une série de tests.
  • +Carcinogénicité
  • +Chez la souris et le rat, l'olanzapine n'a aucun effet carcinogène.
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +L'olanzapine n'a montré aucun effet tératogène.
  • +
  • -Le médicament ne doit être utilisé que jusqu'à la date indiquée sur l'emballage avec la mention «Exp».
  • -Remarques concernant le stockage
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • -Remarques concernant la manipulation
  • -Les comprimés orodispersibles Zyprexa Velotab doivent être pris dans la bouche. Ils sont rapidement dissous dans la salive, et peuvent donc être facilement avalés. L'extraction d'un comprimé orodispersible intact de la bouche s'avère difficile. Les comprimés orodispersibles étant très friables, ils doivent être pris immédiatement après l'ouverture du blister.
  • -Une alternative peut être de dissoudre immédiatement le comprimé dans un verre d'eau ou dans une autre boisson compatible (jus d'orange, jus de pomme, lait ou café).
  • -Octobre 2018.
  • +Décembre 2019.
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