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Accueil - Information professionnelle sur Sevre-Long 30 mg - Changements - 22.12.2020
98 Changements de l'information professionelle Sevre-Long 30 mg
  • -Principe actif: morphini sulfas pentahydricus.
  • +Principes actifs
  • +Morphini sulfas pentahydricus.
  • -Sevre-Long 30 mg, 60 mg, 120 mg: color.: E 132 (indigotine), excip. pro capsula.
  • -Sevre-Long 200 mg: excip. pro capsula.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Sevre-Long 30 mg: capsule bleu clair de taille 4, portant la mention «MS OD 30», contenant des granulés retard de couleur blanche à crème avec 30 mg de sulfate de morphine pentahydraté, équivalant à 22,5 mg de morphine.
  • -Sevre-Long 60 mg: capsule brun foncé de taille 3, portant la mention «MS OD 60», contenant des granulés retard de couleur blanche à crème avec 60 mg de sulfate de morphine pentahydraté, équivalant à 45 mg de morphine.
  • -Sevre-Long 120 mg: capsule de couleur olive de taille 1, portant la mention «MS OD 120», contenant des granulés retard de couleur blanche à crème avec 120 mg de sulfate de morphine pentahydraté, équivalant à 90 mg de morphine.
  • -Sevre-Long 200 mg: capsule de couleur rouille de taille 0, portant la mention «MS OD 200», contenant des granulés retard de couleur blanche à crème avec 200 mg de sulfate de morphine pentahydraté, équivalant à 150 mg de morphine.
  • -
  • +Sevre-Long 30 mg: huile végétale hydrogénée, macrogol 6000, talc, stéarate de magnésium, indigotine (E 132), dioxyde de titane (E 171), laurilsulfate de sodium (correspondant 0,006 mg sodium par capsule), gélatine, gomme laque, oxyde de fer noir (E 172), propylène glycol.
  • +Sevre-Long 60 mg: huile végétale hydrogénée, macrogol 6000, talc, stéarate de magnésium, indigotine (E 132), oxyde de fer rouge (E 172), oxyde de fer jaune (E 172), dioxyde de titane (E 171), laurilsulfate de sodium (correspondant 0,008 mg sodium par capsule), gélatine, gomme laque, oxyde de fer noir (E 172), propylène glycol.
  • +Sevre-Long 120 mg: huile végétale hydrogénée, macrogol 6000, talc, stéarate de magnésium, indigotine (E 132), oxyde de fer jaune (E 172), dioxyde de titane (E 171), laurilsulfate de sodium (correspondant 0,012 mg sodium par capsule), gélatine, gomme laque, oxyde de fer noir (E 172), propylène glycol.
  • +Sevre-Long 200 mg: huile végétale hydrogénée, macrogol 6000, talc, stéarate de magnésium, oxyde de fer rouge (E 172), oxyde de fer jaune (E 172), dioxyde de titane (E 171), laurilsulfate de sodium (correspondant 0,015 mg sodium par capsule), gélatine, gomme laque, oxyde de fer noir (E 172), propylène glycol.
  • +
  • +
  • -Mode d'administration
  • -Les capsules retard Sevre-Long sont destinées à être administrées par voie orale. En règle générale, elles doivent être prises une fois par jour à la même heure.
  • -Des capsules à différents dosages peuvent être associées pour obtenir la dose journalière visée.
  • -Les capsules retard peuvent être prises pendant ou entre les repas, avec un volume suffisant de liquide.
  • -Elles doivent être avalées entières, sans être croquées ni mâchées.
  • -En cas de difficultés de déglutition, les capsules peuvent être ouvertes. Dans ce cas, verser les granulés retard dans un verre, les avaler, puis boire de l'eau. Les granulés retard peuvent sinon être mis en suspension dans de l'eau froide ou saupoudrés sur un aliment froid (sur du yaourt, par exemple), puis être avalés immédiatement sous forme entière, sans être croqués ni mâchés.
  • -Posologie
  • +Posologie usuelle
  • -Posologie initiale usuelle de Sevre-Long
  • +Posologie initiale usuelle de Sevre-Long est:
  • -Sevre-Long ne doit pas être administré plus longtemps qu'absolument nécessaire. Si un traitement prolongé de la douleur est nécessaire, en raison de la nature et de la sévérité de la maladie, une surveillance attentive et régulière doit être mise en place pour déterminer dans quelle mesure il faut poursuivre le traitement. Quand le recours aux opioïdes n'est plus indiqué, le traitement doit être arrêté de manière progressive (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Sevre-Long ne doit pas être administré plus longtemps qu'absolument nécessaire. Si un traitement prolongé de la douleur est nécessaire, en raison de la nature et de la sévérité de la maladie, une surveillance attentive et régulière doit être mise en place pour déterminer dans quelle mesure il faut poursuivre le traitement. Quand le recours aux opioïdes n'est plus indiqué, le traitement doit être arrêté de manière progressive (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Posologie usuelle
  • +
  • -Il convient d'expliquer aux patients dépendants aux opioïdes que l'administration par voie orale est le seul mode d'administration autorisé et sûr pour Sevre-Long et de les informer clairement des conséquences possibles d'un usage abusif de ce médicament (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Afin d'évaluer les interactions possibles et la posologie nécessaire de Sevre-Long, la consommation supplémentaire d'autres substances psychotropes doit être abordée avec le patient au début et au cours du traitement de substitution. L'attention du patient doit être attirée sur les dangers d'une telle consommation (voir également la rubrique «Interactions»).
  • +Il convient d'expliquer aux patients dépendants aux opioïdes que l'administration par voie orale est le seul mode d'administration autorisé et sûr pour Sevre-Long et de les informer clairement des conséquences possibles d'un usage abusif de ce médicament (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Afin d'évaluer les interactions possibles et la posologie nécessaire de Sevre-Long, la consommation supplémentaire d'autres substances psychotropes doit être abordée avec le patient au début et au cours du traitement de substitution. L'attention du patient doit être attirée sur les dangers d'une telle consommation (voir également la «Interactions»).
  • -Si l'arrêt du traitement de substitution est prévu, la dose doit être réduite progressivement sur plusieurs semaines, voire sur plusieurs mois, selon l'état du patient et l'apparition d'éventuels symptômes de sevrage. Les réductions de la dose ne doivent pas être supérieures à 10% de la dose journalière actuelle et ne doivent intervenir que lorsque les éventuels troubles apparus à la suite de la réduction précédente ont disparu (voir également rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Si l'arrêt du traitement de substitution est prévu, la dose doit être réduite progressivement sur plusieurs semaines, voire sur plusieurs mois, selon l'état du patient et l'apparition d'éventuels symptômes de sevrage. Les réductions de la dose ne doivent pas être supérieures à 10% de la dose journalière actuelle et ne doivent intervenir que lorsque les éventuels troubles apparus à la suite de la réduction précédente ont disparu (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • -Pédiatrie
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Chez les patients ayant une insuffisance hépatique sévère, la dose doit être réduite et augmentée avec une prudence particulière (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Chez les patients ayant une insuffisance rénale, la dose doit être réduite et augmentée avec une prudence particulière (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Patients âgés
  • +La posologie doit être adaptée en fonction de la situation individuelle de chaque patient et du ressenti subjectif.
  • +Enfants et adolescents
  • -Patients âgés
  • -La posologie doit être adaptée en fonction de la situation individuelle de chaque patient et du ressenti subjectif.
  • -Insuffisance hépatique et rénale
  • -Chez les patients ayant une insuffisance hépatique sévère ou une insuffisance rénale, la dose doit être réduite, puis augmentée avec une prudence particulière (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • +Mode d'administration
  • +Les capsules retard Sevre-Long sont destinées à être administrées par voie orale. En règle générale, elles doivent être prises une fois par jour à la même heure.
  • +Des capsules à différents dosages peuvent être associées pour obtenir la dose journalière visée.
  • +Les capsules retard peuvent être prises pendant ou entre les repas, avec un volume suffisant de liquide.
  • +Elles doivent être avalées entières, sans être croquées ni mâchées.
  • +En cas de difficultés de déglutition, les capsules peuvent être ouvertes. Dans ce cas, verser les granulés retard dans un verre, les avaler, puis boire de l'eau. Les granulés retard peuvent sinon être mis en suspension dans de l'eau froide ou saupoudrés sur un aliment froid (sur du yaourt, par exemple), puis être avalés immédiatement sous forme entière, sans être croqués ni mâchés.
  • -Tout comme pour d'autres médicaments opioïdes, la survenue d'une dépression respiratoire constitue le principal risque en cas de surdosage (voir rubrique «Surdosage»).
  • +Tout comme pour d'autres médicaments opioïdes, la survenue d'une dépression respiratoire constitue le principal risque en cas de surdosage (voir «Surdosage»).
  • -·prise concomitante de substances à effet dépresseur central ou d'inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) (voir rubrique «Interactions»),
  • -·allaitement (voir rubrique «Grossesse/Allaitement»).
  • +·prise concomitante de substances à effet dépresseur central ou d'inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) (voir «Interactions»),
  • +·allaitement (voir «Grossesse, Allaitement»).
  • +L'utilisation concomitante de morphine et de médicaments sédatifs tels que des benzodiazépines ou des médicaments apparentés peut entraîner une sédation, une dépression respiratoire, un coma et le décès. Du fait de ces risques, la prescription concomitante de morphine avec ces médicaments sédatifs est uniquement indiquée pour les patients pour lesquels on ne dispose d'aucune autre alternative. Lorsqu'une telle prescription est néanmoins jugée nécessaire, il convient d'utiliser la dose efficace la plus faible et de limiter autant que possible la durée du traitement.
  • +Les patients doivent faire l'objet d'une surveillance étroite afin de détecter les signes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation. Dans ce contexte, il est instamment recommandé d'informer les patients et leurs proches de ces symptômes (voir «Interactions»).
  • -Les opioïdes, tels que la morphine, peuvent influer sur laxe hypothalamo-hypophyso-surrénalien ou gonadique. Certaines modifications peuvent être observées telles quune élévation de la prolactine sérique et une diminution du taux plasmatique de cortisol et de testostérone. Ces modifications hormonales peuvent se manifester par des symptômes cliniques.
  • +Les opioïdes, tels que la morphine, peuvent influer sur l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien ou gonadique. Certaines modifications peuvent être observées telles qu'une élévation de la prolactine sérique et une diminution du taux plasmatique de cortisol et de testostérone. Ces modifications hormonales peuvent se manifester par des symptômes cliniques.
  • -Afin de ne pas nuire à la libération retardée du principe actif, le contenu des capsules ne doit pas être mâché ni écrasé. Mâcher ou écraser le contenu des capsules retard conduit à la libération rapide et à l'absorption d'une dose potentiellement létale de morphine (voir rubrique «Surdosage»).
  • +Afin de ne pas nuire à la libération retardée du principe actif, le contenu des capsules ne doit pas être mâché ni écrasé. Mâcher ou écraser le contenu des capsules retard conduit à la libération rapide et à l'absorption d'une dose potentiellement létale de morphine (voir «Surdosage»).
  • +La prudence est de mise en cas de changement de traitement vers une autre forme pharmaceutique et/ou un autre médicament contenant le même principe actif. Le patient doit alors faire l'objet d'une surveillance adaptée (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Il convient d'expliquer au patient qu'en raison d'une potentialisation de la dépression respiratoire, la consommation concomitante d'opioïdes illégaux, de benzodiazépines, d'alcool ou d'autres substances ou médicaments déprimant le système nerveux central peut entraîner la mort par paralysie respiratoire (voir rubrique «Interactions»). Disposer d'informations sur tous les psychotropes consommés actuellement et dans le passé et sur l'ensemble des médicaments pris par le patient est essentiel pour pouvoir évaluer les interactions potentielles.
  • -Pendant le traitement de substitution, il convient d'être tout particulièrement attentif à l'apparition de symptômes de surdosage ou de sevrage et d'adapter, le cas échéant, la posologie en conséquence (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Il convient d'expliquer au patient qu'en raison d'une potentialisation de la dépression respiratoire, la consommation concomitante d'opioïdes illégaux, de benzodiazépines, d'alcool ou d'autres substances ou médicaments déprimant le système nerveux central peut entraîner la mort par paralysie respiratoire (voir «Interactions»). Disposer d'informations sur tous les psychotropes consommés actuellement et dans le passé et sur l'ensemble des médicaments pris par le patient est essentiel pour pouvoir évaluer les interactions potentielles.
  • +Pendant le traitement de substitution, il convient d'être tout particulièrement attentif à l'apparition de symptômes de surdosage ou de sevrage et d'adapter, le cas échéant, la posologie en conséquence (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Lors de l'arrêt du traitement de substitution, il est indiqué de réduire lentement la dose sur plusieurs semaines, voire sur plusieurs mois (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»). Le patient doit être informé de la perte de tolérance et du risque accru de surdosage en cas de reprise de la consommation d'opioïdes.
  • +Lors de l'arrêt du traitement de substitution, il est indiqué de réduire lentement la dose sur plusieurs semaines, voire sur plusieurs mois (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Le patient doit être informé de la perte de tolérance et du risque accru de surdosage en cas de reprise de la consommation d'opioïdes.
  • +Sodium
  • +Sevre-Long contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par capsule, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +
  • -Les substances à effet dépresseur central telles que benzodiazépines, barbituriques, autres opioïdes, alcool, neuroleptiques (phénothiazines), antidépresseurs tricycliques, antihistaminiques H1 sédatifs, antiémétiques à action centrale, gabapentine, prégabaline, anesthésiques, sédatifs, hypnotiques ou anxiolytiques peuvent augmenter le risque de dépression respiratoire, d'hypotension et de déficit d'attention. Dans les cas graves, une sédation prononcée, le coma et la mort peuvent survenir.
  • -Si un traitement en association est envisagé, il convient de prendre en considération une réduction de la dose d'une des substances ou des deux et de surveiller régulièrement les patients pour repérer les signes de dépression respiratoire, de sédation et d'hypotension.
  • -La consommation concomitante d'alcool est à proscrire (voir également rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Après la prise concomitante de péthidine et d'un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), des cas graves d'interactions affectant le système nerveux central et les fonctions respiratoire et circulatoire ont été observés. On ne peut exclure un potentiel d'interaction semblable avec Sevre-Long. Sevre-Long n'est pas indiqué en association avec des IMAO ou dans un intervalle de 14 jours après l'arrêt d'un tel traitement (voir également rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +L'utilisation concomitante d'opioïdes avec des médicaments sédatifs tels que des benzodiazépines ou médicaments apparentés augmente le risque de sédation, dépression respiratoire, coma et décès en raison d'un effet dépresseur supplémentaire sur le SNC.
  • +Les substances ayant un effet dépresseur sur le SNC sont notamment les autres opioïdes, l'alcool, les antipsychotiques, les neuroleptiques (phénothiazines), les antidépresseurs tricycliques, les antihistaminiques H1 avec effet sédatif, les antiémétiques avec action centrale, les gabapentinoïdes (gabapentine, prégabaline), les anesthésiques (p.ex. barbituriques), les sédatifs (y compris benzodiazépines), les hypnotiques ou les anxiolytiques.
  • +Lorsqu'une telle association est indiquée, il convient de réduire la posologie d'une des substances ou des deux, de limiter la durée du traitement et de surveiller régulièrement les patients pour repérer les signes de dépression respiratoire, de sédation et d'hypotension (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +La consommation concomitante d'alcool est à proscrire (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • +Après la prise concomitante de péthidine et d'un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), des cas graves d'interactions affectant le système nerveux central et les fonctions respiratoire et circulatoire ont été observés. On ne peut exclure un potentiel d'interaction semblable avec Sevre-Long. Sevre-Long n'est pas indiqué en association avec des IMAO ou dans un intervalle de 14 jours après l'arrêt d'un tel traitement (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, allaitement
  • -La morphine passe la barrière placentaire. Des signes d'atteinte de l'embryon et du fœtus dans l'utérus (voir rubrique «Données précliniques») ont été constatés lors d'essais réalisés chez l'animal avec de la morphine administrée à haute dose. On ne dispose pas de données suffisantes chez l'être humain qui permettraient d'évaluer de manière concluante un risque tératogène possible. L'existence d'une relation possible avec une augmentation de la fréquence des hernies inguinales a toutefois été rapportée.
  • +La morphine passe la barrière placentaire. Des signes d'atteinte de l'embryon et du fœtus dans l'utérus (voir «Données précliniques») ont été constatés lors d'essais réalisés chez l'animal avec de la morphine administrée à haute dose. On ne dispose pas de données suffisantes chez l'être humain qui permettraient d'évaluer de manière concluante un risque tératogène possible. L'existence d'une relation possible avec une augmentation de la fréquence des hernies inguinales a toutefois été rapportée.
  • -Une aménorrhée, une baisse de la libido et des troubles de l'érection ont été décrits comme des effets indésirables possibles de la morphine (voir rubrique «Effets indésirables»). Il convient d'expliquer au patient qu'un risque de grossesse existe même en cas d'aménorrhée et qu'une contraception efficace est par conséquent nécessaire.
  • -Les expérimentations animales ont montré que la morphine peut altérer la fertilité (voir rubrique «Données précliniques»).
  • +Une aménorrhée, une baisse de la libido et des troubles de l'érection ont été décrits comme des effets indésirables possibles de la morphine (voir «Effets indésirables»). Il convient d'expliquer au patient qu'un risque de grossesse existe même en cas d'aménorrhée et qu'une contraception efficace est par conséquent nécessaire.
  • +Les expérimentations animales ont montré que la morphine peut altérer la fertilité (voir «Données précliniques»).
  • -Les fréquences sont définies comme suit: «très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (≥1/100, <1/10), «occasionnel» (≥1/1000, <1/100), «rare» (≥1/10'000, <1/1000), «très rare» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (ne peut être estimée à partir des données disponibles).
  • -Troubles du système immunitaire
  • +Les fréquences sont définies comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (ne peut être estimée à partir des données disponibles).
  • +Affections du système immunitaire
  • -Troubles psychiatriques
  • +Affections psychiatriques
  • -Troubles du système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Troubles oculaires
  • +Affections oculaires
  • -Troubles de l'oreille et du conduit auditif
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • -Troubles cardiaques
  • +Affections cardiaques
  • -Troubles vasculaires
  • +Affections vasculaires
  • -Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Troubles hépato-biliaires
  • +Troubles hépatobiliaires
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Troubles des organes de reproduction et du sein
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • -Troubles psychiatriques
  • +Affections psychiatriques
  • -Troubles du système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Troubles cardiaques
  • +Affections cardiaques
  • -Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Troubles musculo-squelettiques
  • +Affections musculosequelettiques et du tissu conjonctif
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Symptômes
  • +Signes et symptômes
  • -Code ATC: N02AA01
  • +Code ATC
  • +N02AA01
  • +Mécanisme d'action
  • +Pharmacodynamique
  • +
  • -Par l'intermédiaire des récepteurs aux opioïdes périphériques, la morphine soutient l'action analgésique, entraîne une réduction de la motilité et une augmentation du tonus des muscles lisses du tractus gastro-intestinal (constipation spastique), une contraction des sphincters des voies biliaires, une augmentation du tonus de la musculature de la vessie et du sphincter vésical, un ralentissement de la vidange gastrique par constriction du pylore, une rougeur du visage, une urticaire et un prurit par libération d'histamine, des bronchospasmes chez les asthmatiques, ou des changements hormonaux (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Par l'intermédiaire des récepteurs aux opioïdes périphériques, la morphine soutient l'action analgésique, entraîne une réduction de la motilité et une augmentation du tonus des muscles lisses du tractus gastro-intestinal (constipation spastique), une contraction des sphincters des voies biliaires, une augmentation du tonus de la musculature de la vessie et du sphincter vésical, un ralentissement de la vidange gastrique par constriction du pylore, une rougeur du visage, une urticaire et un prurit par libération d'histamine, des bronchospasmes chez les asthmatiques ou des changements hormonaux (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Efficacité clinique
  • +
  • -La part déchantillons durine positifs concernant la consommation concomitante dhéroïne était plus importante sous Sevre-Long (20,2%) que sous méthadone (15,1%). La différence moyenne était de +5,13%; la limite supérieure de lIC à 95% (8,1%) est restée inférieure à la valeur limite prédéfinie de 10%, ce qui prouve la non-infériorité de Sevre-Long par rapport à la méthadone (population per protocole (n= 157)).
  • +La part d'échantillons d'urine positifs concernant la consommation concomitante d'héroïne était plus importante sous Sevre-Long (20,2%) que sous méthadone (15,1%). La différence moyenne était de +5,13%; la limite supérieure de l'IC à 95% (8,1%) est restée inférieure à la valeur limite prédéfinie de 10%, ce qui prouve la non-infériorité de Sevre-Long par rapport à la méthadone (population per protocole (n= 157)).
  • -Elimination
  • +Élimination
  • -Pédiatrie
  • -La clairance est fortement réduite chez les nouveau-nés et s'élève à environ 5 ml/kg/min. La clairance de la morphine atteint chez les jeunes enfants âgés de 6 à 30 mois des taux semblables à ceux observés chez les adultes. Le volume de distribution est indépendant de l'âge. En raison des fortes différences interindividuelles, une titration de la dose s'impose dans tous les cas (voir rubriques «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Les patients atteints de cirrhose hépatique montrent des modifications au niveau de la pharmacocinétique de la morphine. De ce fait, la demi-vie plasmatique de la morphine est prolongée du fait d'une réduction de la glucurono-conjugaison et de la clairance. De même, le rapport M3G et M6G / morphine dans le plasma est abaissé, ce qui suggère une activité métabolique réduite.
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Les patients atteints d'insuffisance rénale présentent des modifications au niveau de la pharmacocinétique de la morphine. L'AUC plasmatique est augmentée et la clairance est réduite. Par rapport aux personnes ayant une fonction rénale normale, les patients atteints d'insuffisance rénale sévère présentent également des concentrations plasmatiques significativement accrues de M3G et de M6G.
  • -Insuffisance hépatique
  • -Les patients atteints de cirrhose hépatique montrent des modifications au niveau de la pharmacocinétique de la morphine. De ce fait, la demi-vie plasmatique de la morphine est prolongée du fait d'une réduction de la glucurono-conjugaison et de la clairance. De même, le rapport M3G et M6G/morphine dans le plasma est abaissé, ce qui suggère une activité métabolique réduite.
  • -Insuffisance rénale
  • -Les patients atteints d'insuffisance rénale présentent des modifications au niveau de la pharmacocinétique de la morphine. L'AUC plasmatique est augmentée et la clairance est réduite. Par rapport aux personnes ayant une fonction rénale normale, les patients atteints d'insuffisance rénale sévère présentent également des concentrations plasmatiques significativement accrues de M3G et de M6G.
  • +Enfants et adolescents
  • +La clairance est fortement réduite chez les nouveau-nés et s'élève à environ 5 ml/kg/min. La clairance de la morphine atteint chez les jeunes enfants âgés de 6 à 30 mois des taux semblables à ceux observés chez les adultes. Le volume de distribution est indépendant de l'âge. En raison des fortes différences interindividuelles, une titration de la dose s'impose dans tous les cas (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • -Conservation
  • -Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Conserver à température ambiante (15-25 °C) et hors de portée des enfants.
  • +Stabilité
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver à température ambiante (15-25°C).
  • +Conserver hors de portée des enfants.
  • -Septembre 2019.
  • +Juillet 2020.
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